*
Le Professeur Faurisson a toujours bon pieds, bon oeil !
*
La passion de cet homme pour la vérité et la dénonciation du mensonge est exemplaire. Le Professeur Faurisson, né en 1929, est un exemple pour tous.
Une heure de conférence, debout, à 87 ans : Respect !
Voici un des derniers développements de cette affaire « des chambres à gaz », que l’on peut lire sur son « blog inofficiel »:
*
Un document scientifique de plus qui, à lui seul, met à mal le mythe des chambres à gaz hitlériennes :
Depuis le début des années 1960, d’abord dans mes recherches, puis dans mes articles, études ou livres j’ai abondamment traité des raisons scientifiques pour lesquelles les prétendues chambres à gaz hitlériennes n’ont pas existé ni même pu exister.
Je ne rappellerai pas ces raisons.
Pour une fois, je me contenterai de ne présenter ici qu’un document et un seul à l’appui de la conclusion de mes recherches.
Il s’agit d’une fiche toxicologique de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (30, rue Olivier-Noyer, 75680, Paris Cedex, 01 40 44 30 00 ; site internet : www.inrs.fr ; courriel : [email protected]).
Forte de huit pages, cette fiche, qui a été mise à jour en 2011, porte le numéro 4 d’une collection de 311 fiches à ce jour. « Cyanure d’hydrogène » désigne le gaz (HCN) tandis que son synonyme, « acide cyanhydrique », est utilisé pour la solution. On se souviendra que le pesticide appelé Zyklon B, inventé dans les années 1920 et censé avoir été employé pour tuer en masse des détenus à Auschwitz et ailleurs, est de l’acide cyanhydrique sur base poreuse inerte (par exemple, de la terre d’infusoires).
Pour sa production par la Société DEGESCH et pour sa description ainsi que sur les conditions (drastiques) d’emploi, on se reportera aux documents NI-9098 et NI-9912, tels que reproduits dans mon Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire, Paris, La Vieille Taupe, 1980, XXIV-280 p. ; p. 161-178.
« Numéro CAS » désigne la référence américaine du gaz (Chemical Abstract Service) tandis que « Numéro CE » désigne la référence de la Communauté européenne.
En vue de faciliter et de résumer la lecture des sept premières pages de cette fiche (la huitième et dernière page ne contenant qu’une partie de la bibliographie), j’en reproduis ci-dessous les principaux fragments.
On constatera que le HCN est a) hautement inflammable, b) hautement explosif et c) hautement dangereux pour l’environnement, à tel point qu’on ne saurait en concevoir l’emploi dans un crématoire.
Ce que cette fiche nous rapporte dans sa précision scientifique et dans sa candeur devrait conduire tout honnête homme à en déduire qu’un emploi de ce gaz à proximité d’une salle de plusieurs fours crématoires, qui doivent être laborieusement portés à la température de 900 degrés, relève d’une impossibilité radicale.
L’explosion serait inévitable surtout si, sous un même toit, la pièce supposée être une chambre à gaz d’exécution était contiguë à une salle de crémation (cas du Crématoire I à Auschwitz-I).
Il en irait de même si la salle de crémation était située à l’étage supérieur (cas des Crématoires II et III à Birkenau) : rien n’aurait pu empêcher le gaz de s’élever naturellement vers cet étage par la voie du monte-charge, lui-même plein de cadavres saturés de gaz.
Le 19 mars 1976, j’ai découvert les plans des cinq bâtiments d’Auschwitz-Birkenau conçus pour abriter, nous dit-on, essentiellement une chambre à gaz et une salle de crémation.
Ces plans étaient jusque-là cachés par le Musée d’Etat d’Auschwitz. On le comprend !
Pour ce qu’étaient en réalité les prétendues chambres de déshabillage et les prétendues chambres à gaz d’exécution, on pourra consulter, de Serge Thion, Vérité historique ou Vérité politique ? Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz, Paris, La Vieille Taupe, 1980, 352 p. ; p. 310-322. L’ouvrage rapporte ou reproduit les éléments essentiels de mes propres découvertes.
*