La “société ouverte”

société ouverte

Voici un article d’Antonin Campana sur son excellent site: autochtonisme.com

Je rajouterai cependant que si la “société ouverte” a bien été initiée dans les faits par la dite “révolution française”, celle-ci a été soigneusement préparée par des minorités agissantes sur le plan intellectuel, au premier rang desquelles la maçonnerie.

Par ailleurs les liens entre maçonnerie et judaïsme ne sont plus à démontrer (Noachisme sous-jacent et revendiqué, perpétuelles références hébraïques: Légende d’Hiram, le temple de Salomon, les sefiroth de la kabbale, les grades et les mots de passes en hébreux, etc…). Il s’agit en fait comme l’écrit le fort documenté Pierre Hillard “d’un projet issu directement du judaïsme talmudique.”

Apparaît donc ainsi clairement la filiation profonde (idéologiquement et historiquement) de cette merveilleuse “société ouverte” … Ouverte, mais à l’usage de certains seulement, car cette belle ouverture ne saurait en aucun cas concerner ni la secte maçonnique, ni le petit groupe messianique auquel en revient la géniale et discrète conception.

 

Voici l’article:

L’idée de «société ouverte » dont parle Georges Soros n’est pas sortie spontanément de l’esprit nauséeux de ce spéculateur. Cette idée n’est pas davantage une invention du groupe de Bilderberg, de la Trilatérale, du Forum de Davos ou même de Karl Popper (et quoi qu’en dise Georges Soros). Popper a peut-être forgé l’expression « société ouverte » mais n’est à l’origine ni de l’idée qui la sous-tend, ni de sa mise en application concrète.

La paternité de la « société ouverte » revient sans aucun doute à la révolution “française“. Non que cette révolution bourgeoise ait inventé stricto sensu cette idée stupide d’ouvrir la société aux quatre vents. Celle-ci courait chez les philosophes des lumières depuis un certain temps. Bien plutôt, la révolution “française“ a pour la première fois appliqué cette idée concrètement, lui donnant ainsi chair et vie. Les suivants et les suiveurs, les Popper, les Soros, n’ont fait que reprendre et étendre la recette républicaine.

On le sait, la bourgeoisie d’affaire qui prend le pouvoir à la fin du XVIIIe siècle est essentiellement représentée dans les assemblées révolutionnaires par des hommes de loi. Cette bourgeoisie d’affaire et ces hommes de loi (avocats, greffiers, conseillers d’Etats…) évoluent dans un monde où la notion de « contrat » est centrale : contrats de négoce, contrat de change, contrat de bail, contrat de prestation de service, contrat de mariage…. Dans ce monde, le contrat organise la vie des hommes et assure le bon fonctionnement de la vie en société. Naturellement, cette bourgeoisie d’affaire sera donc très sensible aux idées d’un Rousseau qui fera du « contrat social » le moyen de fonder une société libre et harmonieuse, voire de « régénérer » les sociétés traditionnelles fondées sur une identité culturelle.

Que dit en substance Rousseau ? Rousseau prétend qu’une juste société est une société produite par le rassemblement d’individus autour d’un contrat social préservant leurs droits naturels : la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l’oppression. Pour Rousseau, tout autre type de socialisation corrompt la bonté originelle de l’homme.

Rousseau ne parle ni des Français, ni des Chinois, ni des Lapons en particulier. Rousseau parle de l’Homme en général. Ce qu’énonce le philosophe est valable pour tous les hommes. La société fondée sur le contrat et sur la loi, et non sur une quelconque identité, ne discrimine pas selon l’origine, la religion ou la couleur de peau. Elle distingue ceux qui adhèrent au pacte social de ceux qui n’y adhèrent pas. Le corps politique est un club dont il suffit d’accepter le règlement intérieur pour devenir un de ses membres. Notons que ce règlement est acceptable par tous les hommes, puisque traduisant leur nature universelle, et non leurs cultures particulières.

Par définition, la juste société est donc une société ouverte. Le contrat social est l’image philosophique du « pacte républicain » et le pacte républicain est la traduction politique du contrat social. La république est fondée sur le pacte républicain, et le pacte républicain, fondé sur le principe d’universalité, est ouvert à tous les hommes sans distinction d’origine, de race ou de religion. C’est pourquoi la république ouverte peut se dire « universelle ». Tous ceux qui souscrivent au pacte républicain « appartiennent » au corps politique qui en est l’émanation. C’est ainsi que, dès 1790, les Français deviennent, individuellement par le Grand Transfert, des « associés » dissociés de leur identité, et que peu après les Juifs deviennent des « Français ». Autrement dit, l’appartenance ne dépend plus de l’identité mais d’un acte juridico-administratif ouvert à tous ceux qui l’acceptent. L’appartenance est ouverte et ne nécessite plus une assimilation identitaire préalable.

Notons au passage que la francité perd sa dimension culturelle et devient une catégorie juridique. Etre Français a désormais une signification au niveau du Droit (l’appartenance à un Etat), mais ne veut plus rien dire du point de vue de l’identité ou de la lignée. La doctrine du Pacte républicain a donc bien détruit la francité.

La capacité à intégrer librement un corps politique s’organisant selon des valeurs universelles relevant de la nature de l’Homme, et non des valeurs particulières relevant d’une identité spécifique, est la marque des « sociétés ouvertes ». La révolution française a créé le premier modèle de société ouverte. Elle a expérimenté son principe d’universalité avec les populations juives, puis avec certains habitants des colonies, avant de le systématiser à travers le processus immigration-inclusion-naturalisation-changement ethnique du corps électoral.

En 1791, Adrien Duport (un des rédacteurs de la déclaration des droits de l’homme) dira, devant l’Assemblée, que le principe de citoyenneté n’autorise « aucune distinction ». En conséquence de quoi, ajoutait-il : « les Turcs, les Musulmans, les hommes de toutes les sectes sont admis à jouir en France des droits politiques ». Ce principe de citoyenneté, dissocié de l’identité, associé au principe d’universalité, n’annonce-t-il pas le destin funeste de notre pays et le Grand Remplacement qui vient ?

Antonin Campana

 

Résoudre nos problèmes par le bas ou par le haut ?

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Résoudre nos problèmes par le bas ou par le haut ?

Il semble que nous nous soyons laissé enfermer par des renonciations en séries dans un certain nombre d’impasses : fuite en avant technologique au détriment de toutes autres solutions traditionnelles ayant fait leurs preuves, hideuses concentrations urbaines à la limite de l’asphyxie physique et spirituelle, robotisation et transhumanisme à l’horizon, manipulations à échelle planétaire entre autres de la monnaie et de la finalité de la vie humaine: Moderne version donc de la Tour de Babel.

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Ce projet prométhéen et à l’opposé du monde chrétien, nous est imposé par une “élite” dominatrice sous couvert de Progrès sans qu’il ne soit jamais ni envisagé ni sérieusement admis de dessiner des contours clairs à ce fameux Progrès, ni d’ailleurs à ses petites soeurs “Liberté” “Egalité”, “Fraternité”… sous peine d’être catalogué comme méchant et ennemi du peuple 🙁

Toute la révolution industrielle s’est faite en rupture claire et affichée avec toutes les formes d’assises durables, autonomes et prudentes de notre civilisation millénaire. Ainsi en fut-il de la destruction du monde du travail jusqu’alors libre, au sein de familles, de paroisses, de provinces, de corporations. Le brillant résultat fut immédiat: Une populations déclassées et mises en esclavage dans les conditions lamentables décrites par Emile Zola: Ce qui, comme par hasard, se fit au grand bénéfice des instigateurs du nouveau régime lumineux et humaniste !

Nous fûmes donc d’une ineffable naïveté d’être tombés dans ce panneau et de nous être laissé berner par cette entreprise de tromperie sociale sans issue que fut 1789.  Nous fûmes priés de nommer “Révolution française” et “République” ce qui n’est en réalité que l’insondable rouerie d’un putch masqué et totalitaire ô combien, de cette caste financière hautement organisée, bien qu’alors encore au tout début de son expansion à l’échelle de la planète… 

Ouvrons les yeux:

Quels étaient alors les obstacles à abattre pour cette aristocratie financière arrogante et intrigante, insupportablement à l’étroit dans une Civilisation millénaire spiritualisée, pétrie de valeurs de modération, de frugalité, d’abnégation, voire de Beauté et d’héroïsme ?

* Le pouvoir spirituel de l’Eglise cultivant les vertus d’un Ordre chrétien, plus axé sur le Salut de l’âme que sur toutes viles formes d’intentance…

* Le pouvoir politique fort du Roi, père de la nation, garant ultime de cet Ordre civilisateur et de ses équilibres naturels nombreux dans la société organique de l’Ancien Régime (paroisses, droits coûtumiers innombrables, privilèges provinciaux, corporations souveraines par branches de métiers, etc).

En abattant les deux au nom d’un Progrès non questionnable sous peine de guillotine, un boulevard à l’échelle planétaire s’est ouvert devant les nouveaux maîtres de la ruse et de la manipulation sémantique, déguisés en Humanistes.

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Ces Humanistes auto-proclamés ont ainsi créé un enfer de dévastation sur la terre en inversant toutes les priorités humaines. Il est donc primordial de sortir de leur Matrice mentale ayant pour base la subversion de toutes lois de la Création et de remettre ainsi notre monde à l’endroit !

Nous cesserons dès lors de prendre les problèmes à l’envers, c’est à dire “par le bas”, sous l’angle d’une organisation économique triviale et sans issue, mais “par le haut”, ce qui suppose de revisiter un certain nombre de choses intégrées comme allant de soi, et qui pourtant doivent être questionnées, au premier rang desquelles la finalité de la destinée humaine.

Celle-ci doit elle tendre vers toujours plus de confort, toujours plus d’objets de consommation et d’enlisement matériel ou bien vers davantage de satisfactions d’ordre élevé et spirituel ?

Ce qui nous sort, il est vrai, du champs clos de l’Economie stricto sensu…

Il est certainement opportun de nous souvenir de cette phrase de Nietzsche :

“L’Homme de l’avenir est celui de la plus longue mémoire”.

Faute de quoi, il est fort probable que nous n’ayons aucun avenir !

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Le Club des Cordeliers

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Le Club des Cordeliers :

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Voici l’ambiance du “Club des Cordeliers” décrite par Chateaubriand :

“Auprès de la tribune nationale, s’étaient élevées deux tribunes concurrentes: celle des Jacobins et celle des Cordeliers, la plus formidable alors, parce qu’elle donna des membres à la fameuse Commune de Paris, et qu’elle lui fournissait des moyens d’action. Si la formation de la Commune n’eût pas eu lieu, Paris, faute d’un point de concentration, se serait divisé, et les différentes mairies fussent devenues des pouvoirs rivaux.
Le club des Cordeliers était établi dans ce monastère, dont une amende en réparation d’un meurtre avait servi à bâtir l’église sous Saint Louis, en 1259.
Les tableaux, les images sculptées ou peintes, les voiles, les rideaux du couvent avaient été arrachés ; la basilique, écorchée, ne présentait plus aux yeux que ses ossements et ses arêtes.
Au chevet de l’église, où le vent et la pluie entraient par les rosaces sans vitraux, des établis de menuisier servaient de bureau au président, quand la séance se tenait dans l’église. Sur ces établis étaient déposés des bonnets rouges, dont chaque orateur se coiffait avant de monter à la tribune.
Cette tribune consistait en quatre poutrelles arc-boutées, et traversées d’une planche dans leur X, comme un échafaud. Derrière le président, avec une statue de la Liberté, on voyait de prétendus instruments de l’ancienne justice, instruments suppléés par un seul, la machine à sang, comme les mécaniques compliquées sont remplacées par le bélier hydraulique.
Le Club des Jacobins épurés, emprunta quelques-unes de ces dispositions au Club des Cordeliers.
 Les orateurs, unis pour détruire, ne s’entendaient ni sur les chefs à choisir, ni sur les moyens à employer; ils se traitaient de gueux, de filous, de voleurs, de massacreurs, à la cacophonie des sifflets et des hurlements de leurs différents groupes de diables.
Les métaphores étaient prises du matériel des meurtres, empruntées des objets les plus sales de tous les genres de voirie et de fumier, ou tirées des lieux consacrés aux prostitutions des hommes et des femmes. Les gestes rendaient les images sensibles; tout était appelé par son nom, avec le cynisme des chiens, dans une pompe obscène et impie de jurements et de blasphèmes.
Détruire et produire, mort et génération, on ne démêlait que cela à travers l’argot sauvage dont les oreilles étaient assourdies.
Les harangueurs, à la voix grêle ou tonnante, avaient d’autres interrupteurs que leurs opposants: les petites chouettes noires du cloître sans moines et du clocher sans cloches s’éjouissaient aux fenêtres brisées, en espoir du butin; elles interrompaient les discours.
On les rappelait d’abord à l’ordre par le tintamarre de l’impuissante sonnette; mais ne cessant point leur criaillement, on leur tirait des coups de fusil pour leur faire faire silence: elles tombaient palpitantes, blessées et fatidiques, au milieu du pandémonium. Des charpentes abattues, des bancs boiteux, des stalles démantibulées, des tronçons de saints roulés et poussés contre les murs, servaient de gradins aux spectateurs crottés, poudreux, soûls, suants, en carmagnole percée, la pique sur l’épaule ou les bras nus croisés.
Les plus difformes de la bande obtenaient de préférence la parole. Les infirmités de l’âme et du corps ont joué un rôle dans nos troubles: l’amour-propre en souffrance a fait de grands révolutionnaires.
 D’après ces préséances de hideur, passait successivement, mêlée aux fantômes des Seize, une série de têtes de gorgones. L’ancien médecin des gardes du corps du comte d’Artois, l’embryon suisse Marat, les pieds nus dans des sabots ou des souliers ferrés, pérorait le premier, en vertu de ses incontestables droits. Nanti de l’office de fou à la cour du peuple, il s’écriait, avec une physionomie plate et ce demi-sourire d’une banalité de politesse que l’ancienne éducation mettait sur toutes les faces : «Peuple, il te faut couper deux cent soixante-dix mille têtes!»
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Club des Cordeliers
Marat (Masque mortuaire)
Le Club des Cordeliers
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À ce Caligula de carrefour succédait le cordonnier athée, Chaumette:

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Club des Cordeliers
Chaumette 
Le Club des Cordeliers
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 Celui-ci était suivi du procureur général de la lanterne, Camille Desmoulins, Cicéron bègue, conseiller public de meurtres, épuisé de débauches, léger républicain à calembours et à bons mots, diseur de gaudrioles de cimetière, lequel déclara qu’aux massacres de septembre, tout s’était passé avec ordre …”
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Club des Cordeliers
 Camille Desmoulins
Le Club des Cordeliers
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Les ouvriers de France demandent toujours des comptes !!!

 
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14 juillet 1789 : opération de brigandage !
 
  Ouvriers français, retenez bien ceci : l’émeute du 14 juillet 1789 fut le signal d’une vaste opération de brigandage commise au préjudice des travailleurs français.
 
Un révolutionnaire avéré mais clairvoyant, Proudhon, a écrit ce qui suit :
 
  “Ce qui a créé la distinction toute nouvelle de “classe bourgeoise” et de “classe ouvrière”, ou ” prolétaire”, C’EST LE NOUVEAU DROIT INAUGURE EN 1789. AVANT 89, L’OUVRIER EXISTAIT DANS LA CORPORATION ET DANS LA MAÎTRISE, comme la femme, l’enfant et le domestique dans la famille. Il aurait répugné alors d’admettre une classe de “travailleur” en face d’une classe d’ “entrepreneurs”, puisque celle-ci contenait celle-là.
 
  Mais depuis 1789, le faisceau des corporations ayant été brisé sans que les fortunes et les conditions fussent devenues égales entre maîtres et ouvriers, sans qu’on eût rien fait ou prévu pour la répartition des capitaux, pour une organisation nouvelle de l’industrie et des droits des travailleurs, la distinstion s’est établie d’elle-même entre la classe des patrons, détenteurs des instruments de travail, capitalistes et grands propriétaires, et celle des ouvriers, simples salariés.
 
  On ne peut nier aujourd’hui cet antagonisme profond des deux classes, inconnu au moyen âge, et la raison qui l’amena fut d’une grande iniquité.”
 
  La “grande iniquité” dont parle Proudhon a consisté :
 
1 – A voler les biens considérables des Métiers, qui étaient la propriété collective des ouvriers ;
 
  2 – A abolir les corporations qui préservaient les ouvriers du chômage et leur garantissaient le pain pour leurs vieux jours.
 
  3 – A interdire aux ouvriers le droit de s’associer pour la defense de leurs intérêts communs.
 
  4- A sanctionner de la peine de mort celui ou ceux qui contreviendraient à cette nouvelle et “démocratique” monstruosité.
 
Le vol du bien commun des ouvriers a été décidé par les décrets des  2 et 17 mars 1791, qui déclare propriété nationale les biens corporatifs.
 
  L’historien Hyppolyte Taine évalue à seize milliards de l’époque la valeur du patrimoine des métiers confisqué aux corporations. Somme énorme si l’on considère le chiffre peu élevé des effectifs ouvriers au moment de la révolution.
 
  Privés de leur patrimoine, les corps de métiers ne pouvaient désormais plus vivre.
 
Au demeurant, le décret d’Allarde faisait du libéralisme économique le fondement du nouveau régime de travail, de la production et du commerce.
 
Les 14  et 17 juin 1791, la loi dite “Le Chapelier” interdisait aux hommes de métier de s’associer en vue de: “former des règlements sur leurs prétendus intérêts communs”.
 
  Dès le lendemain de la suppression du régime corporatif, les ouvriers : charpentiers, maréchaux, tailleurs, cordonniers et autres,  tentèrent de reformer des compagnonnages pour s’entendre sur leurs exigences en matière de salaires. Le législateur révolutionnaire brisa cette tentative en assimilant à la rébellion l’association entre Citoyens d’un même état ou profession. Or la rébellion était passible de la peine capitale.
 
  Tel est le nouveau droit inauguré en 1789 par la prise de la Bastille !
 
  Patrice La Tour du Pin a bien raison d’écrire dans ses “Jalons de route” : “Le peuple a été particulièrement floué dans toute cette histoire de l’avènement de la démocratie.”
 
  Il ajoute :
 
  “Les autres classes ont récupéré quelque peu leurs anciennes ressources, le clergé par le budget des cultes, les acquéreurs de biens, soit-disant nationaux, par le milliard des émigrés. Mais le peuple n’a rien vu revenir de tout ce qui avait été confisqué, dissipé, aliéné, de cette masse de biens constituée au cours des siècles et qui ne profitait qu’à lui.”
 
  Autrement dit : le monde ouvrier n’a pas reçu réparation de l’immense injustice que la révolution a commise à son endroit.
 
  C’est la réparation de cette immense injustice que poursuit toujours aujourd’hui le mouvement de  l’Action française ! 
 
 
AF
 
 
 
Elle réclame la restituion au monde ouvrier des biens que la révolution lui a volés en 1791.
 
 

Voltaire en parlant du Christ : ” Ecrasons l’infâme ! “

 
 
 
 
 
 
613201ToléranceE
 
 
En quoi a donc réellement consisté cette "philosophie" de Voltaire et de ses émules, Diderot, d'Alembert ?

 

Et en quoi celle-ci a-t-elle ouvert la boite de Pandore de la division, de la haine et non de l'humanisme et de la tolérance, comme sa propagande a voulu nous le faire croire depuis?

Un éclairage historique et documenté nouveau, permettant de mieux comprendre les tristes suites que cette" philosophie" a naturellement engendré.

 

Attention !!

 

Durée 2 heures ! mais vous devez absolument regarder cela si vous voulez comprendre les rouages de la naissance de cette démocratie totalitaire !

 

 

                        
 
 
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