Technologies du IIIème Reich

Technologies du IIIème Reich: Les scientifiques allemands Nationaux-Socialistes avaient-ils mis au point des technologies secrètes sur le point d’être produites en série ? Je suis tombé plusieurs fois sur des photos d’époque tendant à le prouver, mais n’avais pas encore vu de tels extraits de films sur le sujet… Il est notoire que Viktor Schauberger avait entre autres scientifiques, étudié l’énergie des vortex et étudié l’anti-gravité, ainsi d’ailleurs que Werner Von Braun.

Ci-dessous un extrait de l’ouvrage de Jan Van Hesling, « Sociétés secrètes » qui donne à réfléchir même si tout n’est pas à prendre pour argent comptant et à recroiser avec d’autres sources:

Plans et légendes reconstruits à partir de fragments tirés des archives secrètes des SS:

Technologies du IIIème Reich


…..A cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°. « C’est incroyable » vont penser certains d’entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des OVNIs.

Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d’un terrain d’expérimentation à Brandebourg. Le « chasseur VRIL I », disque volant équipé d’armes légères, volait à la fin de l’année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann » et un « pilotage par impulsion à champ magnétique ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace.

On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d’un dôme de verre.Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C’est grâce à ANDREAS EPP que le RFZ-7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L’équipe de SCHRIEVER-HABERMOHL et celle de MIETHE-RELLUZO participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètre mais se fracassa lors d’un attérissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d’un RFZ-7 construit de la même façon. D’après Andreas Epp, il devait être équipé d’ogives nucléaires et il devait bombarder New York.

En juillet 1941, SCHRIEVER et HABERMHOL, construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On dédeloppa pourtant une autre « toupie volante à électro-gravitation » avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ-7T, construit par Schriever, Habermhol et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V7 étaient plutôt des jouets d’enfants. Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative :

le BUREAU D’ETUDE IV DU SOLEIL NOIR = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le « mécanisme THULE », appelé, plus tard, TACHYONATEUR THULE, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C’était une toupi volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de « HAUNEBU I ».

Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux « canons à rayons forts » (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace.

Fin 1942, le « HAUNEBU III » était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières.

Peu après, on construisit le « HAUNEBU III », exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, « canon à rayons forts ») qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage.

Le proresseur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de « Die Schlüssel des Enoch » (« Les clefs d’Hénoch »), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de « système d’armes miracles ». Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant :

  1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’esapce
  2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne. Probablement un appareil de Schauberger avec camouflage d’hiver(région d’Augsbourg en 1939)avant le premier vol, photographié à partir du HS-126. Sans camouflage et avec « l’emblème exotique » de la société Vril (une croix gammée noire sur fond argenté au milieu d’une couronne de feuilles de chêne violet) sur le terrain d’essai, au décollage pour Traunstein en avril 1945.

Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les « FOO-FIGHTERS » (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, un 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de foo-fighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort.

La « TORTUE VOLANTE » fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, à développer cette technique.

Quiconque a déjà vu des OVNIs pourra confirmer que cette « coupure de contact », c.-à-d. l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des OVNIs quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.

Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foo-fighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.

Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’ « APPAREIL ANDROMEDA » (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Une réunion importante de la SOCIETE VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum.

le sujet pincipal concernait l’ « ENTREPRISE ALDEBARAN ». Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran…

Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donne la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie.

Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l’opération « PAPERCLIP ».

Il s’y trouvait, entre autres, VIKTOR SCHAUBERGER et WERNER VON BRAUN.

Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série :Le premier projet fut conduit sous la direction du Prof. Dr W. 0. Schumann de la Faculté des sciences de Munich, C’est dans ce cadre qu’auraient été construits, jusqu’au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11.5m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol,, c’étaient ceux qu’on appelait les « CHASSEURS VRIL 1 ». Un VRIL-7 et un VRIL-7 grand modèle du nom de « ODIN » auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.

Le deuxième projet était mené par le bureau d’étude IV des SS qui fit construire, jusqu’au début 1945, trois types du toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche :le HAUNEBU I, 25m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d’environ 4.800km/h).le HAUNEBU I, 11332m de diamètre, en sept exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d’environ 6.000km/h).Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d’avions Dornier et Junkers.

Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L’appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions STRAtosphère DOrnier). Le HAUNEBU III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d’environ 7.000km/h). L’ « APPAREIL ANDROMEDA », astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l’état de projet.Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre qui furent tenus secrets :

  1. Atterrissage près du lac « Mondsee » dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage.
  2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la « Forteresse des Alpes » de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalites importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le « NEUSCHWABENLAND » (explication ci-après) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre.
  3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus.

Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ? On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’OVNIs qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.

Certains disent qu’une partie des engins avait été coulée dans le lac « Mondsee » en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils.

On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l’ « expérience Phoenix », projet précédé par l’ « expérience Philadelphia » de 1943. (Il s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US NAVY qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires.

Il y aurait ici matière à un autre livre mais cela nous écarterait du sujet. Voir la bibliographie).

En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schvabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu’ils baptisèrent « NEUSCHWABENLAND » (Nouvelle Souabe). C’était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland.

Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent.

Ils étaient équipés entre autres du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre les soucoupes volantes s’y sont rendues directement.

Cette supposition peut paraître osée à plus d’un mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi.On peut alors se poser la question :

« Pourquoi les Alliés ont-ils envahi L’Antarctique sous les ordres de l’Amiral E. Byrd, en 1947 ? ».

Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de huit mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions.Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement :

Qu’arriva-t-il ?

L’amiral Byrd expliqua, plus lard, à la presse : « C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre ». Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure.

Dans son livre « Zeitmaschinen » (Machines à remonter le temps) où il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit: « Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparu, d’abord, sans laisser de traces. (…)

A vous de vous poser des questions et de vous faire votre idée !

 

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