Mensonge et supercherie du système bancaire :

Louis Even

L’île des naufragés

Récit pour comprendre « le mystère » de l’argent.
Par Louis Even

(http://www.versdemain.org/)

Louis Even et le crédit social

Sauvés du naufrage.

Une explosion a détruit un bateau venant du Canada. Cinq hommes ont survécu en s’accrochant à des débris flottants et le courant marin les fait arriver sur une île déserte.
Il y a François, charpentier, Paul qui est cultivateur, Jacques, éleveur, Henri, agronome et Thomas qui est minéralogiste.

Une île providentielle.

Après avoir repris des forces, ils font le tour de l’île qu’ils conviennent de nommer L’île des Naufragés. Ils s’aperçoivent que l’île a du être habitée parce qu’ils voient des troupeaux à demi sauvages. Jacques, l’éleveur dit qu’il saura les domestiquer à nouveau. Paul, l’agriculteur, dit que les terres sont fertiles. Henri repère des arbres fruitiers qu’il se fait fort d’améliorer. Le charpentier, François, découvre des forêts d’arbres bons pour la construction de maisons et enfin, le géologue Thomas a identifié des gisements métallifères.

Les véritables richesses.

Dès le lendemain, Thomas se met à fabriquer des outils rudimentaires qui permettent au charpentier de construire une maison et fabriquer des meubles. Peu à peu, ils exploitent la terre et récoltent diverses nourritures.
A mesure que les saisons se succèdent, le patrimoine de l’Ile s’enrichit. Il s’enrichit, non pas d’or ou de papier imprimé, mais de véritables richesses : des choses qui nourrissent, qui habillent, qui logent, qui répondent à des besoins.
La vie n’est pas toujours aussi douce qu’ils souhaiteraient. Il leur manque bien des choses auxquelles ils étaient habitués dans la civilisation. Mais leur sort pourrait être bien pire.
D’ailleurs, ils ont déjà connu des temps de crise au Canada. Ils se rappellent les privations subies, alors que des magasins étaient trop pleins à dix pas de leur porte. Au moins, dans l’Ile des Naufragés, personne ne les condamne à voir pourrir sous leurs yeux des choses dont ils ont besoin. Puis les taxes sont inconnues. Les saisies-ventes par le shérif ne sont pas à craindre.
Si le travail est dur parfois, au moins on a le droit de jouir des fruits du travail.
Somme toute, on exploite l’île en bénissant Dieu, espérant qu’un jour on pourra retrouver les parents et les amis, avec deux grands biens conservés : la vie et la santé.

Un grave inconvénient.

Nos hommes se réunissent souvent pour parler de leurs affaires.
Dans le système économique très simplifié qu’ils pratiquent, une chose les gêne de plus en plus : ils n’ont aucune espèce de monnaie. Le troc, l’échange direct de produits contre produits, a ses inconvénients. Les produits à échanger ne sont pas toujours en face l’un de l’autre en même temps. Ainsi, du bois livré au cultivateur en hiver ne pourra être remboursé en légumes que dans six mois.
Parfois aussi, c’est un gros article livré d’un coup par un des hommes, et il voudrait en retour différentes petites choses produites par plusieurs des autres hommes, à des époques différentes.
Tout cela complique la vie. S’il y avait de l’argent en circulation, chacun vendrait ses produits aux autres contre de l’argent, de la monnaie. Avec l’argent reçu, il achèterait aux autres les choses dont il a besoin, quand il les voudrait et qu’elles sont là.
Tous s’accordent pour reconnaître la commodité que serait un système financier. Mais aucun d’eux ne sait comment établir un tel système. Ils ont appris à produire la vraie richesse, les choses. Mais ils ne savent pas fabriquer les signes d’équivalence et d’échange : la monnaie.
Ils ignorent comment naît l’argent, comment le créer quand il n’y en a pas et qu’on décide ensemble d’en avoir… Bien des hommes instruits seraient sans doute aussi embarrassés ; bien des gouvernements l’ont été avant eux. A une époque, seul l’argent manquait au Canada, et le gouvernement restait paralysé devant ce problème.

Arrivée d’un autre naufragé.

Un soir que nos hommes, assis sur le rivage, ressassent ce problème pour la centième fois, ils voient soudain approcher une chaloupe avironnée par un seul homme.
On s’empresse d’aider le nouveau venu. On lui offre les premiers soins et on cause. Il parle français, bien que les traits de son visage indiquent une autre origine.
On apprend que c’est un Européen échappé lui aussi à un naufrage et seul survivant. Son nom : Martin Golden.
Heureux d’avoir un compagnon de plus, nos cinq hommes l’accueillent avec chaleur et lui font visiter la colonie.
– » Quoique perdus loin du reste du monde, lui disent-ils, nous ne sommes pas trop à plaindre. La terre rend bien ; la forêt aussi. Une seule chose nous manque : nous n’avons pas de monnaie pour faciliter les échanges de nos produits « .

– » Bénissez le hasard qui m’amène ici, répond Martin. L’argent n’a pas de mystère pour moi. Je suis un banquier, et je puis vous installer en peu de temps un système monétaire qui vous donnera satisfaction « .
Un banquier !… Un banquier !… Un ange venu tout droit du ciel n’aurait pas inspiré plus de révérence. N’est-on pas habitué, en pays civilisé, à s’incliner devant les banquiers, qui contrôlent les pulsations de la finance ?

Le dieu de la civilisation.

-« Monsieur Martin, puisque vous êtes banquier, vous ne travaillerez pas dans l’île. Vous allez seulement vous occuper de notre argent.
-« Je m’en acquitterai avec la satisfaction, comme tout banquier, de forger la prospérité commune.
-« Monsieur Martin, on vous bâtira une demeure digne de vous. En attendant, peut-on vous installer dans l’édifice qui sert à nos réunions publiques  » ?
-« Très bien, mes amis. Mais commençons par décharger les objets de la chaloupe que j’ai pu sauver dans le naufrage : une petite presse, du papier et accessoires, et surtout un petit baril que vous traiterez avec grand soin. »
On décharge le tout. Le petit baril intrigue la curiosité de nos braves gens.
-« Ce baril, déclare Martin, c’est un trésor sans pareil. Il est plein d’or ! »
Plein d’or ! Cinq âmes faillirent s’échapper de cinq corps. Le dieu de la civilisation entré dans l’Ile des Naufragés. Le dieu jaune, toujours caché, mais puissant, terrible, dont la présence, l’absence ou les moindres caprices peuvent décider de la vie de 100 nations !
-« De l’or ! Monsieur Martin, vrai grand banquier ! Recevez nos hommages et nos serments de fidélité.
-« De l’or pour tout un continent, mes amis. Mais ce n’est pas de l’or qui va circuler. Il faut cacher l’or : l’or est l’âme de tout argent sain. L’âme doit rester invisible. Je vous expliquerai tout cela en vous passant de l’argent. »

Un enterrement sans témoin.

Avant de se séparer pour la nuit, Martin leur pose une dernière question:
-« Combien vous faudrait-il d’argent dans l’île pour commencer, pour que les échanges fonctionnent bien ? »
On se regarde. On consulte humblement Martin lui-même. Avec les suggestions du bienveillant banquier, on convient que 200 dollars pour chacun paraissent suffisants pour commencer. Rendez-vous fixé pour le lendemain soir.
Les hommes se retirent, échangent entre eux des réflexions émues, se couchent tard, ne s’endorment que vers le matin, après avoir longtemps rêvé d’or les yeux ouverts.

Martin, lui, ne perd pas de temps. Il oublie sa fatigue pour ne penser qu’à son avenir de banquier. A la faveur du petit jour, il creuse un trou, y roule son baril, le couvre de terre, le dissimule sous des touffes d’herbe soigneusement placées, y transplante même un petit arbuste pour cacher toute trace et marquer l’emplacement.
Puis, il met en œuvre sa petite presse, pour imprimer mille billets d’un dollar. En voyant les billets sortir, tout neufs, de sa presse, il songe en lui-même :
-« Comme ils sont faciles à faire, ces billets ! Ils tirent leur valeur des produits qu’ils vont servir à acheter. Sans produits, les billets ne vaudraient rien. Mes cinq naïfs de clients ne pensent pas à cela. Ils croient que c’est l’or qui garantit les dollars. Je les tiens par leur ignorance ! »
Le soir venu, les cinq arrivent en courant près de Martin.

A qui l’argent frais ?

Cinq piles de billets étaient là, sur la table.
-« Avant de vous distribuer cet argent, dit le banquier, il faut s’entendre.
« La monnaie est basée sur l’or. L’or, placé dans la voûte de ma banque, est à moi. Donc, l’argent est à moi… Oh! Ne soyez pas tristes. Je vais vous prêter cet argent, et vous l’emploierez à votre gré. En attendant, je ne vous réclamerais que l’intérêt. Vu que l’argent est rare dans l’Ile, puisqu’il n’y en a pas du tout, je crois être raisonnable en demandant un petit intérêt de 8 pour cent seulement.
-« En effet, monsieur Martin, vous êtes très généreux.
-« Un dernier point, mes amis. Les affaires sont les affaires, même entre grands amis. Avant de toucher son argent, chacun de vous va signer ce document : c’est l’engagement par chacun de rembourser capital et intérêts, sous peine de confiscation par moi de ses propriétés. Oh ! Une simple garantie. Je ne tiens pas du tout à jamais avoir vos propriétés, je me contente d’argent. Je suis sûr que vous garderez vos biens et que vous me rendrez l’argent.
-« C’est plein de bons sens, monsieur Martin. Nous allons redoubler d’ardeur au travail et tout rembourser.
-« C’est cela. Et revenez me voir chaque fois que vous avez des problèmes. Le banquier est le meilleur ami de tout le monde… Maintenant, voici à chacun ses deux cents dollars. »
Et nos cinq hommes s’en vont ravis, les dollars plein les mains et plein la tête.

Un problème d’arithmétique. L’argent de Martin a circulé dans l’Ile. Les échanges se sont multipliés en se simplifiant. Tout le monde se réjouit et salue Martin avec respect et gratitude.
Cependant, le prospecteur Thomas est inquiet. Ses produits sont encore sous terre. Il n’a plus que quelques dollars en poche. Comment rembourser le banquier à l’échéance qui vient?
Après s’être longtemps creusé la tête devant son problème individuel, Thomas l’aborde d’un point de vue social :
« Considérant la population entière de l’île, songe-t-il, sommes-nous capables de tenir nos engagements ? Martin a créé une somme totale de $1000. Il nous demande au total $1080. Quand même nous prendrions ensemble tout l’argent de l’île pour le lui porter, cela ferait 1000, pas 1080. Personne n’a fait les $80 de plus. Nous produisons des choses, pas des dollars. Martin pourra donc saisir toute l’île, parce que tous ensemble, nous ne pouvons rembourser le capital plus les intérêts.
« Si ceux qui sont capables remboursent pour eux-mêmes sans se soucier des autres, quelques-uns vont tomber tout de suite, quelques autres vont survivre. Mais le tour des autres viendra et le banquier saisira tout. Il vaut mieux s’unir tout de suite et régler cette affaire socialement. »
Thomas n’a pas de peine à convaincre les autres que Martin les a dupés. On s’entend pour un rendez-vous général chez le banquier.

Bienveillance du banquier.

Martin devine leur état d’âme, mais fait bon visage. L’impulsif François présente le cas:
-« Comment pouvons-nous vous rendre $1080 quand il n’y a que $1000 dans toute l’ile ?
-« C’est l’intérêt, mes bons amis. Est-ce que votre production n’a pas augmenté ?
-« Oui, mais l’argent, lui, n’a pas augmenté. Or, c’est justement de l’argent que vous réclamez, et non pas des produits. Vous seul pouvez faire de l’argent. Or vous ne faites que $1000 et vous demandez $1080. C’est impossible!
-« Attendez, mes amis. Les banquiers s’adaptent toujours aux conditions, pour le plus grand bien du public… Je ne vais vous demander que l’intérêt. Rien que $80. Vous continuerez de garder le capital.
-« Vous nous remettez notre dette ?
-« Non pas. Je le regrette, mais un banquier ne remet jamais une dette. Vous me devrez encore tout l’argent prêté. Mais vous ne me remettrez chaque année que l’intérêt, je ne vous presserai pas pour le remboursement du capital. Quelques-uns parmi vous peuvent devenir incapables de payer même leur intérêt, parce que l’argent va de l’un à l’autre. Mais organisez-vous en nation, et convenez d’un système de collecte. On appelle cela taxer. Vous taxerez davantage ceux qui auront plus d’argent, les autres moins. Pourvu que vous m’apportiez collectivement le total de l’intérêt, je serai satisfait et votre nation se portera bien. »
Nos hommes se retirent, mi calmés, mi-pensifs.

L’extase de Martin Golden.

Martin est seul. Il se recueille. Il conclut:
« Mon affaire est bonne. Bons travailleurs, ces hommes, mais ignorants. Leur ignorance et leur crédulité font ma force. Ils voulaient de l’argent, je leur ai passé des chaînes. Ils m’ont couvert de fleurs pendant que je les roulais.
« Oh! Grand Rothschild, je sens ton génie de banquier s’emparer de mon être. Tu l’as bien dit, illustre maître: « Qu’on m’accorde le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois ». Je suis le maître de l’Ile des Naufragés, parce que je contrôle son système monétaire.
Je pourrais contrôler un univers. Ce que je fais ici, moi, Martin Golden, je puis le faire dans le monde entier. Que je sorte un jour de cet îlot: je sais comment gouverner le monde sans tenir de sceptre.
« Ma délectation souveraine serait de verser ma philosophie dans des têtes de chrétiens: banquiers, chefs d’industrie, politiciens, sauveurs du peuple, professeurs, journalistes, ils seraient mes valets. La masse des chrétiens s’endort mieux dans son esclavage, quand les contremaîtres d’esclaves sont eux-mêmes des chrétiens. »
Et toute la structure du système bancaire rothschildien se dresse dans l’esprit ravi de Martin.

Crise de vie chère.

Cependant, la situation empire dans l’Ile des Naufragés. La productivité a beau augmenter, les échanges ralentissent. Martin pompe régulièrement ses intérêts. Il faut songer à mettre de l’argent de côté pour lui. L’argent colle, il circule mal.
Ceux qui paient le plus de taxes crient contre les autres et haussent leurs prix pour trouver compensation. Les plus pauvres, qui ne paient pas de taxes, crient contre la cherté de la vie et achètent moins.
Le moral baisse, la joie de vivre s’en va. On n’a plus de cœur à l’ouvrage. A quoi bon? Les produits se vendent mal ; et quand ils se vendent, il faut donner des taxes pour Martin. On se prive. C’est la crise. Et chacun accuse son voisin de manquer de vertu et d’être la cause de la vie chère.
Un jour, Henri, réfléchissant au milieu de ses vergers, conclut que le « progrès » apporté par le système monétaire du banquier a tout gâté dans l’île. Assurément, les cinq hommes ont leurs défauts ; mais le système de Martin nourrit tout ce qu’il y a de plus mauvais dans la nature humaine.
Henri décide de convaincre et rallier ses compagnons. Il commence par Jacques. C’est vite fait : « Eh ! dit Jacques, je ne suis pas savant, moi; mais il y a longtemps que je le sens : le système de ce banquier est plus pourri que le fumier de mon étable du printemps dernier ! »
Tous sont gagnés l’un après l’autre, et une nouvelle entrevue avec Martin est décidée.

Chez le forgeur de chaînes.

Ce fut une tempête chez le banquier:
-« L’argent est rare dans l’île, monsieur, parce que vous nous l’ôtez. On vous paie, on vous paie, et on vous doit encore autant qu’au commencement. On travaille, on fait de plus belles terres, et nous voilà plus mal lotis qu’avant votre arrivée. Dette! Dette! Dette par-dessus la tête !
-« Allons, mes amis, raisonnons un peu. Si vos terres sont plus belles, c’est grâce à moi. Un bon système bancaire est le plus bel actif d’un pays. Mais pour en profiter, il faut garder avant tout la confiance dans le banquier. Venez à moi comme à un père… Vous voulez d’autre argent ? Très bien. Mon baril d’or vaut bien des fois mille dollars… Tenez, je vais hypothéquer vos nouvelles propriétés et vous prêter un autre mille dollars tout de suite.
-« Deux fois plus de dette ? Deux fois plus d’intérêt à payer tous les ans, sans jamais finir?
-« Oui, mais je vous en prêterai encore, tant que vous augmenterez votre richesse foncière ; et vous ne me rendrez jamais que l’intérêt. Vous empilerez les emprunts; vous appellerez cela dette consolidée. Dette qui pourra grossir d’année en année. Mais votre revenu aussi. Grâce à mes prêts, vous développerez votre pays.
-« Alors, plus notre travail fera produire l’île, plus notre dette totale augmentera ?
-« Comme dans tous les pays civilisés. La dette publique est un baromètre de la prospérité. »

Le loup mange les agneaux.

« C’est cela que vous appelez monnaie saine, monsieur Martin ? Une dette nationale devenue nécessaire et impossible à rembourser, ce n’est pas sain, c’est malsain.
-« Messieurs, toute monnaie saine doit être basée sur l’or et sortir de la banque à l’état de dette. La dette nationale est une bonne chose: elle place les gouvernements sous la sagesse incarnée dans les banquiers. A titre de banquier, je suis un flambeau de civilisation dans votre île.
-« Monsieur Martin, nous ne sommes que des ignorants, mais nous ne voulons point de cette civilisation-là ici. Nous n’emprunterons plus un seul sou de vous. Monnaie saine ou pas saine, nous ne voulons plus faire affaire avec vous.
-« Je regrette cette décision maladroite, messieurs. Mais si vous rompez avec moi, j’ai vos signatures. Remboursez-moi immédiatement tout, capital et intérêts.
-« Mais c’est impossible, monsieur. Quand même on vous donnerait tout l’argent de l’île, on ne serait pas quitte.
-« Je n’y puis rien. Avez-vous signé, oui ou non? Oui? Eh bien, en vertu de la sainteté des contrats, je saisis toutes vos propriété gagées, tel que convenu entre nous, au temps où vous étiez si contents de m’avoir. Vous ne voulez pas servir de bon gré la puissance suprême de l’argent, vous la servirez de force. Vous continuerez à exploiter l’Ile, mais pour moi et à mes conditions. Allez ! Je vous passerai mes ordres demain.

Le contrôle des journaux.

Comme Rothschild, Martin sait que celui qui contrôle le système monétaire d’une nation contrôle cette nation. Mais il sait aussi que, pour maintenir ce contrôle, il faut entretenir le peuple dans l’ignorance et l’amuser avec autre chose.
Martin a remarqué que, sur les cinq insulaires, deux sont conservateurs et trois sont libéraux. Cela apparaît dans les conversations des cinq, le soir, surtout depuis qu’ils sont devenus ses esclaves. On se chicane entre bleus et rouges.
De temps en temps, Henri, moins partisan, moins endoctriné, suggère une force dans le peuple pour faire pression sur les gouvernants… Force dangereuse pour toute dictature.
Martin va donc s’appliquer à envenimer leurs discordes politiques le plus possible.
Il se sert de sa petite presse et fait paraître deux feuilles hebdomadaires: « Le Soleil », pour les rouges ; « L’Etoile », pour les bleus. « Le Soleil » dit en substance : Si vous n’êtes plus les maîtres chez vous, c’est à cause de ces arriérés de bleus, toujours collés aux gros intérêts.
« L’Etoile » dit en substance: Votre dette nationale est l’œuvre des maudits rouges, toujours prêts aux aventures politiques.
Et nos deux groupements politiques se chamaillent de plus belle, oubliant le véritable forgeur de chaînes, le contrôleur de l’argent : Martin.

Une épave précieuse.

Un jour, Thomas, le prospecteur, découvre, échouée au fond d’une anse, une chaloupe de sauvetage, sans rame, sans autre trace de service qu’une caisse assez bien conservée.
Il ouvre la caisse : outre du linge et quelques menus effets, son attention s’arrête sur un livre-album en assez bon état, intitulé : Première année de « Vers Demain ».
Curieux, notre homme s’assied et ouvre ce volume. Il lit. Il dévore. Il s’illumine :
« Mais, s’écrie-t-il, voilà ce qu’on aurait dû savoir depuis longtemps.
« L’argent ne tire nullement sa valeur de l’or, mais des produits qu’il permet d’acheter. « La monnaie peut être une simple comptabilité, les crédits passant d’un compte à l’autre selon les achats et les ventes. Il faut que le total de l’argent soit en rapport avec le total de la production.
« A toute augmentation de production, doit correspondre une augmentation équivalente d’argent… Jamais d’intérêt à payer sur l’argent créé… Le progrès est représenté, non pas par une dette publique, mais par un dividende égal pour chacun… Les prix, ajustés au pouvoir d’achat par un coefficient des prix. Le Crédit Social… »
Thomas n’y tient plus. Il se lève et court, avec son livre, faire part de sa splendide découverte à ses quatre compagnons.

L’argent, la monnaie, c’est une simple comptabilité.

Et Thomas s’installe professeur:
« Voici, dit-il, ce qu’on aurait pu faire, sans le banquier, sans or, sans signer aucune dette.
« J’ouvre un compte au nom de chacun de vous. A droite, les crédits, ce qui ajoute au compte; à gauche, les débits, ce qui le diminue.
« On voulait chacun $200 pour commencer. D’un commun accord, décidons d’écrire $200 au crédit de chacun. Chacun a tout de suite $200.
« François achète des produits de Paul, pour $10. Je retranche 10 à François, il lui reste 190. J’ajoute 10 à Paul, il a maintenant 210. « Jacques achète à Paul pour $8. Je retranche 8 à Jacques, il garde 192. Paul, lui, monte à 218.

« Paul achète du bois à François, pour $15. Je retranche 15 à Paul, il garde 203; j’ajoute 15 à François, il remonte à 205.
« Et ainsi de suite; d’un compte à l’autre, tout comme des dollars en papier vont d’une poche à l’autre.
« Si l’un de nous a besoin d’argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt. Il rembourse le crédit une fois sa production vendue. Même chose pour les travaux publics.
« On augmente aussi, périodiquement, les comptes de chacun d’une somme additionnelle, sans rien ôter à personne, en correspondance au progrès social. C’est le dividende national. L’argent est ainsi un instrument de service, un outil et non pas un maître.

Désespoir du banquier.

Tous ont compris. La petite nation est devenue créditiste. Le lendemain, le banquier Martin reçoit une lettre signée des cinq:
« Monsieur, vous nous avez endettés et exploités sans aucune nécessité. Nous n’avons plus besoin de vous pour régir notre système d’argent. Nous aurons désormais tout l’argent qu’il nous faut, sans or, sans dette, sans voleur. Nous établissons immédiatement dans l’Ile des Naufragés le système du Crédit Social. Le dividende national remplacera la dette nationale.
« Si vous tenez à votre remboursement, nous pouvons vous remettre tout l’argent que vous avez fait pour nous, pas plus. Vous ne pouvez réclamer ce que vous n’avez pas fait.
Martin est au désespoir. C’est son empire qui s’écroule. Les cinq devenus créditistes, plus de mystère d’argent ou de crédit pour eux.
« Que faire? Leur demander pardon, devenir comme l’un d’eux ? Moi, banquier, faire cela ?… Non. Je vais plutôt essayer de me passer d’eux et de vivre à l’écart.

Supercherie mise à jour.

Pour se protéger contre toute réclamation future possible, nos hommes ont décidé de faire signer au banquier un document attestant qu’il possède encore tout ce qu’il avait en arrivant dans l’île.
D’où l’inventaire général : la chaloupe, la petite presse et… le fameux baril d’or.
Il a fallu que Martin indique l’endroit, et l’on déterre le baril. Nos hommes le sortent du trou avec beaucoup moins de respect cette fois. Le Crédit Social leur a appris à mépriser le fétiche or.
Le prospecteur, en soulevant le baril, trouve que pour de l’or, il ne pèse pas beaucoup: « Je doute fort que ce baril soit plein d’or », dit-il.
L’impétueux François n’hésite pas plus longtemps. Un coup de hache et le baril étale son contenu : d’or, pas une once! Des pierres, rien que de vulgaires roches sans valeur!…
Nos hommes n’en reviennent pas:
-« Dire qu’il nous a mystifiés à ce point-là, le misérable ! A-t-il fallu être gogos, aussi, pour tomber en extase devant le seul mot OR !
-« Dire que nous lui avons gagé toutes nos propriétés pour des bouts de papier basés sur quatre pelletées de roche ! Voleur doublé de menteur !
-« Dire que nous nous sommes boudés et haïs les uns les autres pendant des mois et des mois pour une supercherie pareille ! Le démon ».

A peine François avait-il levé sa hache que le banquier partait à toutes jambes vers la forêt.

FIN

 

Carte dynamique des migrations actuelles :

carte dynamique des migrations

Visualisez sur cette carte dynamique les splendides résultats de l’incessant travail de nos « élites » otanifiées, trilatéralisées et bilderbergisées qui prétendent nous gouverner depuis 70 ans !

 

Chaque point représente 25 personnes soit un autocar environ.

Réglez les curseurs pour choisir la plage de temps et la vitesse de visualisation.

Pensez-vous encore que le Grand Remplacement de population en cours dans notre pays soit un fanstasme de complotistes paranoïaques ?

 

« Une chance pour la France » !

chance pour la France

Je ne sais plus quel ministre avait déclaré un jour benoîtement que :

« l’immigration était une chance pour la France « …

Phrase assénée depuis lors ad nauseam par tous les fossoyeurs maçoniques de notre belle France et assistés en cela par leur meute d’idiots utiles … (Ah bon il n’y a plus que les journalistes pourris du système à les suivre ??)  

Voici un reflet de la France en 1958 :

          

 

 

Et voici la France de 2015 où l’on peut effectivement constater toute la chance que ces admirables ministres ont prodigué à leur pays :  

Progrès de la Civilisation et douceur de vivre sont en effet au rendez-vous, comme chacun peut indéniablement le constater :

           

Sans commentaire.

 

Daniel Conversano : « Ouvrir son Chakra du bon sens »

Daniel Conversano

Quel est cet outrecuidant qui ose défier la méga chappe de plomb de la pensée correcte multi-culturelle imposée par le gauchisme soixante-huitard ?

Qui ose dé-diaboliser, après Vincent Reynouard, le fascisme et le national-socialisme, seuls vrais ennemis du capitalisme mondialiste ??

Qui OSE, horreur absolue, envisager une remigration et une France blanche ???

Avant de condamner et de vouer aux gémonies cet hérétique absolu à la non-pensée Bisounours, avant que la France ne soit totalement africaine ou/et musulmane, ayons au moins la curiosité intellectuelle de prendre connaissance de ces cinq entretiens sur Meta-TV.

Car enfin nous a-t-on jamais consulté et a-t-on posé la question aux Français il y a environ quarante ans :

« Êtes-vous d’accord pour faire rentrer tous les ans 200.000 à 300.000 immigrés Africains en France ??? »

Devant le grand remplacement en cours et la haine de soi au profit de l’étranger, décrétés (par qui ???) Grande Cause Nataionale, n’y a-t-il pas urgence à sortir de la maladie mentale dans laquelle l’idéologie de gauche nous a ligotés pour mieux nous faire disparaitre ?

N’est-il pas urgent d’ouvrir notre « chakra » du simple bon sens si nous en sommes encore capables  !

Merci à Meta-TV et à Tepa pour leur courage à défier ainsi  » nos Maîtres » …

 

 

L’entretien d ‘Amhadinejad par Pujadas que les Français ne verront pas !

L'interview caché aux Français...Ahmadinejad interrogé par Pujadas et son acolyte.

Difficile de faire plus clair, concis et calme !

Bravo Monsieur Amhadinejad !

Pujadas et son pote ont parfois de ces mimiques : Hilarant ! Les cravates ont vraiment l’air d’être trop sérrées par moment … 

Dommage que les chaumières de Hollandie ne puissent en profiter, c’est plus tous les jours qu’on rigole tout de même …

Heureusement qu’internet permet de circonvenir « les troupes d’occupation mentale »  (Philippe Murray)

Pensez à utiliser « Security KISS Tunnel » ou autres anonymizers pour voir la vidéo, car il semble qu’elle soit parfois bloquée en France : https://www.youtube.com/watch?v=cGjoMoi3fCo

*

https://www.youtube.com/watch?v=cGjoMoi3fCo

*

 

Je ne suis pas Charlie !

« Les 56 chefs d’état défilant en tête de la manif des « 3.7 millions » de Charlie le 11 Janvier, tel que montré sur BFMWC :

(Notons la présence de Benyamin Netanyahou et de Petro Porochenko, bouchers de Palestine et d’Ukraine, entre autres grands humanistes.)

ATTENTION  SURPRISE REVISIONISTE !

je suis charlie
Les 56 chefs d’État et de gouvernements « présents » à la manifestation organisée par l’Élysée, le 11 janvier 2015 à Paris, n’y étaient pas en réalité !
Regroupés quelques minutes dans une rue adjacente du cortège, à hauteur de la station de métro Voltaire, ils ont pris la pose quelques minutes devant leur larbins de la presse internationale juste pour la « mise en scène » dont nous parle Jacques Attali sur I-télé ! (voir ci-dessous) 
Non, ils ne se sont jamais joints au cortège national, dont ils n’ont jamais formé le carré de tête.
Non, ils n’ont jamais défilé avec la population dans les rues de Paris.
attali charlie
attali charlie tweet
***
je suis charlie mouton
La Pravda est d’ailleurs unanime :
charlie 3.7 m
***
 

Des avions ? Quels avions ??

11 Septembre 2001 : L’Opération sous faux drapeau a fait long feu !

Les matériaux sur le fameux 9.11 sont désormais partout sur le web et peu de gens aux Etats-Unis croient encore la version « officielle » …

Pour ceux qui ne seraient pas au courant :

www.reopen911.info

Richard Gage, porte-parole d’un groupe de 2200 ingénieurs et architectes (http://www.ae911truth.orgdemande la ré-ouverture d’une enquête indépendante sur les très nombreuses invraissemblances du 9.11 et des guerres terribles (Irak, Lybie …) qui s’en sont suivies.

Ici, invité du Washington Journal sur C-SPAN le 1er août 2014, il nous démontre que le bâtiment 7 du WTC, ainsi que les deux tours, ont été soumis à une démolition contrôlée le 11 septembre 2001. 

Rien de plus, rien de moins

 

Il faut insister sur le fait qu’il s’agit d’un collectif de plus de 2200 architectes et ingénieurs, et non pas de complotistes compulsifs !

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SI VOUS N’AVEZ PAS LE TEMPS DE VISIONNER TOUTES LES VIDEOS, NE REGARDEZ QUE CELLE CI : 

 

 

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… Et ce bus est aussi réel que les avions du 9.11, dont on a jamais retrouvé aucune pièce !

 

 

 9.11 lol !

Abrégez le suspense, cliquez ici ! 

 

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Il est urgent de réaliser que la réalité dépasse à présent la fiction !!

 

Regardez d’abord cette Vidéo :

Un spectacle holographique à Dubaï : Inouï !!!

A présent, voici LA vidéo officielle qui a fait le tour du monde de façon quasi-instantannée des millions de fois !

« Plus c’est gros, mieux ça passe ! »

Et pour récapituler :

9.11

En 8.55 minutes, ne manquez surtout pas cette vidéo :

http://youtu.be/fL9ZQjbVoyk 

Et surtout … A vous d’en tirer toutes les conclusions !!!

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MISE A JOUR 31 OCTOBRE 2018:

BEAUCOUP DES VIDEOS PRESENTEES ICI ONT DISPARU. 

A VOUS D’EN TIRER LES CONCLUSIONS.

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Docteur Alain Scohy : Révisioniste médical et vaccinal.

Docteur Alain Scohy

Il n’y a pas qu’en Histoire que le « révisionisme » sévit !

Le docteur Alain Scohy, récapitule dans cette vidéo passionnante sa prise de conscience par rapport au dogme vaccinaliste obligatoire, imposé à tous dans notre belle république maçonique !

En 1996, il est radié à vie de l’Ordre des Médecins pour délit d’opinion : il a osé demander à ses « pairs » l’application du principe de précaution et du Code de Déontologie Médicale (qui interdit l’utilisation de produits ou procédés dont l’intérêt et l’efficacité ne sont pas certains ou qui ne sont pas suffisamment éprouvés) lors de la campagne de vaccination contre l’hépatite B de 1994 dans les collèges et lycées : un vaccin nouveau, révolutionnaire, préparé sur des cellules OGM et testé à grands frais sur nos enfants.

Dans cette affaire, le Conseil de l’Ordre des médecins était à la fois le plaignant et le juge !

     
Il édite depuis 1994 une revue pour diffuser ses découvertes en matière de santé :
* sur le plan pharmaceutique ou vaccinal,
* sur le plan de la Biologie avec en particulier les découvertes fondamentales – beaucoup trop méconnues – du Pr. Antoine Béchamp,
* sur la Médecine Psychosomatique (Médecine Nouvelle du Dr Ryke Geerd Hamer),
* sur les problèmes de terrain avec la Bioélectronique de Louis Claude Vincent,
* sur l’hygiène de vie et en particulier le problème du scorbut,
* sur la dimension spirituelle incontournable propre à l’être humain.     
Là, comme ailleurs, lisez les ouvrages du Docteur Scohy et faites-vous votre propre ideé !

http://www.alain-scohy.com/acheter-livres-et-revue.html

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L’ Histoire doit être remise à l’endroit.

 

 
 
Qui a eu l'occasion de lire quelques passages de Robert Faurisson ?
(désigné par les bien-pensants auto-proclamés à la vindicte publique comme méchant révisionniste)
 
 
" Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie. Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affirmer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes»; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
 
Le révisionnisme peut s’exercer en cent activités de la vie courante et en cent domaines de la recherche historique, scientifique ou littéraire. Il ne remet pas forcément en cause des idées acquises mais souvent amène à les nuancer. Il cherche à démêler le vrai d’avec le faux. L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie. Comme l’idéologie n’est jamais aussi forte qu’en temps de guerre ou de conflit, et comme elle fabrique alors du faux à profusion pour les nécessités de sa propagande, l’historien sera, en la circonstance, conduit à redoubler de vigilance: passant au crible de l’examen ce qu’on a pu lui assener de «vérités», il s’apercevra sans doute que, là où une guerre a provoqué des dizaines de millions de victimes, la première des victimes aura été la vérité vérifiable : une vérité qu’il s’agira de rechercher et de rétablir.
 
L’histoire officielle de la seconde guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
 
Il est exact que l’Allemagne nationale-socialiste a créé des camps de concentration; elle l’a fait après – et avec – bien d’autres pays, tous convaincus que ces camps seraient plus humains que la prison mais n'a jamais créé des «camps d’extermination» (expression forgée par les Alliés).
 
Il est exact que les Allemands ont fabriqué des camions fonctionnant au gaz (Gaswagen). Mais il est faux qu’ils aient jamais fabriqué des camions à gaz homicides (si un seul de ces camions avait existé, il figurerait au Musée de l’automobile ou dans les musées de l’«Holocauste», ne fût-ce que sous la forme d’un croquis de valeur scientifique).
 
Il est exact que les Allemands employaient le Zyklon (produit à base d’acide cyanhydrique utilisé dès 1922) pour protéger par la désinsectisation la santé des civils, des troupes, des prisonniers ou des internés. Mais ils n’ont jamais employé le Zyklon pour tuer qui que ce fût et surtout pas des foules d’êtres humains; en raison des précautions draconiennes d’emploi du gaz cyanhydrique, les prétendus gazages homicides d’Auschwitz ou d’autres camps auraient été, d’ailleurs, radicalement impossibles ; je m’étends longuement sur ce point dans le corps du présent ouvrage.
 
Il est exact que les Allemands envisageaient une «solution finale de la question juive» (Endlösung der Judenfrage). Mais cette solution était territoriale (territoriale Endlösung der Judenfrage) et non pas homicide; il s’agissait de pousser ou, si nécessaire, de forcer les juifs à quitter l’Allemagne et sa sphère d’influence en Europe pour établir, en accord avec les sionistes, un foyer national juif, à Madagascar ou ailleurs. Beaucoup de sionistes ont collaboré avec l’Allemagne nationale-socialiste en vue de cette solution.
 
Il est exact que des Allemands se sont réunis, le 20 janvier 1942, dans une villa d’une banlieue de Berlin (Berlin-Wannsee) pour traiter de la question juive. Mais ils y ont envisagé l’émigration forcée ou la déportation des juifs ainsi que la création future d’une entité juive spécifique et non pas un programme d’extermination physique.
 
Il est exact que des camps de concentration possédaient des fours crématoires pour l’incinération des cadavres. Mais c’était pour mieux combattre les épidémies et non pour y incinérer, comme on a parfois osé le dire, des êtres vivants en plus des cadavres.
 
Il est exact que les juifs ont connu les souffrances de la guerre, de l’internement, de la déportation, des camps de rétention, des camps de concentration, des camps de travail forcé, des ghettos, des épidémies, des exécutions sommaires pour toutes sortes de raisons; ils ont aussi souffert de représailles ou même de massacres car il n’est pas de guerre sans massacres.
 
Mais il est également vrai que toutes ces souffrances ont été aussi le lot de bien d’autres nations ou communautés pendant la guerre et, en particulier, des Allemands et de leurs alliés (les souffrances des ghettos mises à part, car le ghetto est d’abord et avant tout une création spécifique des juifs eux-mêmes ; il est surtout vraisemblable, pour qui n’est pas affligé d’une mémoire hémiplégique et pour qui s’efforce de connaître les deux faces de l’histoire de la seconde guerre mondiale (la face toujours montrée et la face presque toujours cachée), que les souffrances des vaincus pendant la guerre et après la guerre ont été, en nombre et en qualité, pires que celles des juifs et des vainqueurs, surtout pour ce qui est des déportations.
 
Il est faux que, comme on a longtemps osé le prétendre, il ait existé un ordre quelconque de Hitler ou de l’un de ses proches d’exterminer les juifs. Pendant la guerre, des soldats et des officiers allemands ont été condamnés par leurs propres cours martiales, et parfois fusillés, pour avoir tué des juifs.
 
Il est bon que les exterminationnistes (c’est-à-dire ceux qui croient à l’extermination des juifs) aient fini, de guerre lasse, par reconnaître qu’on ne trouve trace d’aucun plan, d’aucune instruction, d’aucun document relatif à une politique d’extermination physique des juifs et que, de la même façon, ils aient enfin admis qu’on ne trouve trace d’aucun budget pour une pareille entreprise ni d’aucun organisme chargé de mener à bien une telle politique.
 
Il est bon que les exterminationnistes aient enfin concédé aux révisionnistes que les juges du procès de Nuremberg (1945-1946) ont accepté pour vrais des faits de pure invention comme l’histoire du savon fabriqué à partir de la graisse des juifs, l’histoire des abat-jour faits de peau humaine, celle des «têtes réduites», l’histoire des gazages homicides de Dachau; et surtout il est bon que les exterminationnistes aient enfin reconnu que l’élément le plus spectaculaire, le plus terrifiant, le plus significatif de ce procès, c’est-à-dire l’audience du 15 avril 1946 au cours de laquelle on a vu et entendu un ex-commandant du camp d’Auschwitz (Rudolf Höss) confesser publiquement que, dans son camp, on avait gazé des millions de juifs, n’était que le résultat de tortures infligées à ce dernier. Cette confession, présentée durant tant d’années et en tant d’ouvrages historiques comme la «preuve» n° 1 du génocide des juifs, est maintenant reléguée aux oubliettes, du moins par les historiens.
 
Il est heureux que des historiens exterminationnistes aient enfin reconnu que le fameux témoignage du SS Kurt Gerstein, élément essentiel de leur thèse, est dénué de valeur; il est détestable que l’Université française ait retiré au révisionniste Henri Roques son titre de docteur pour l’avoir démontré en 1985.
 
Il est pitoyable que Raul Hilberg, le pape de l’exterminationnisme, ait osé écrire, en 1961, dans la première édition de The Destruction of the EuropeanJews, qu’il avait existé deux ordres de Hitler d’exterminer les juifs, pour ensuite déclarer, à partir de 1983, que cette extermination s’était faite d’elle-même, sans aucun ordre ni plan mais par «une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle» au sein de la vaste bureaucratie allemande. R. Hilberg a ainsi remplacé l’assertion gratuite par l’explication magique (la télépathie).
 
Il est bon que les exterminationnistes aient enfin, dans la pratique, à peu près abandonné l’accusation, appuyée de «témoignages», selon laquelle il existait des chambres à gaz homicides à Ravensbrück, à Oranienburg-Sachsenhausen, à Mauthausen, à Hartheim, au Struthof-Natzweiler, au Stutthof-Danzig, à Bergen-Belsen…
 
Il est bon que la chambre à gaz nazie la plus visitée du monde – celle d’Auschwitz-I –ait été enfin reconnue, en 1995, pour ce qu’elle était, c’est-à-dire une fabrication.
 
Il est heureux qu’on ait enfin admis que «TOUT Y EST FAUX» et, personnellement, je me réjouis de ce qu’un historien appartenant à l’Établissement officiel ait pu écrire: «A la fin des années 70, Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée rechignaient alors à les reconnaître. » Je m’en réjouis d’autant plus qu’au fond la justice française m’avait, de façon inique, condamné pour l’avoir dit.
 
Il est bon que, dans le même article, le même historien ait révélé qu’une sommité du monde juif comme Théo Klein ne voit dans cette «chambre à gaz» qu’un «artifice».
 
Il est également bon que, dans le même article, le même historien ait révélé d’abord que les autorités du musée d’Auschwitz ont conscience d’avoir trompé des millions de visiteurs (cinq cent mille par an au début des années quatre vingt-dix), puis qu’elles continueront néanmoins à l’avenir de tromper les visiteurs car, selon la sous-directrice du musée: «Dire la vérité sur cette «chambre à gaz», c’est trop compliqué. On verra plus tard !»  
 
Il est heureux qu’en 1996 deux historiens d’origine juive, le Canadien Robert Jan van Pelt et l’Américaine Debórah Dwork, aient, enfin, dénoncé quelques-unes des énormes supercheries du camp-musée d’Auschwitz et le cynisme avec lequel on y trompe les visiteurs.
 
Il est, en revanche, inadmissible que l’UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation) maintienne depuis 1979 son patronage à un site comme celui d’Auschwitz dont le centre recèle, avec cette fausse « chambre à gaz » (sans compter d’autres énormes falsifications), une imposture maintenant avérée. l’UNESCO (dont le siège est à Paris et qui est dirigée par Federico Mayor) n’a pas le droit d’utiliser les cotisations des pays adhérents pour cautionner une vaste escroquerie aussi contraire à «l’éducation», à « la science» et à « la culture».
 
Il est heureux que Jean-Claude Pressac, après avoir été porté aux nues, soit tombé dans le discrédit. Lancé par le couple Klarsfeld, ce pharmacien a cru intelligent de rechercher une position médiane entre ceux qui croient aux chambres à gaz et ceux qui n’y croient pas. Pour lui, en quelque sorte, la femme à examiner n’était ni enceinte ni non enceinte mais à demi-enceinte et même, le temps passant, de moins en moins enceinte. Auteur d’écrits censés porter sur les chambres à gaz nazies mais où l’on ne pouvait trouver ni une photographie d’ensemble, ni un dessin d’ensemble d’un seul de ces abattoirs chimiques, le pitoyable gribouille devait faire la démonstration, le 9 mai 1995, à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, de sa totale impuissance à répondre aux questions de la présidente du tribunal sur ce qu’aurait bien pu être l’un de ces abattoirs. Trois ans plus tard, il en est réduit à écrire: « Ainsi, d’après les dires d’anciens membres du Sonderkommando, on estime avec une forte certitude qu’un film sur les gazages homicides fut tourné par les SS à Birkenau. Pourquoi ne serait-il pas retrouvé par hasard dans le grenier ou la cave d’un ancien SS ? »
 
Il est heureux que «la chambre à gaz» à l’état de ruines, appartenant au Krematorium-II de Birkenau (Auschwitz-II), puisse surtout servir à démontrer «in vivo» et «de visu » qu’il n’y a jamais eu d’«Holocauste», ni dans ce camp ni ailleurs. En effet, d’après les interrogatoires d’un accusé allemand et d’après des photographies aériennes «retouchées» par les Alliés, le toit de cette chambre à gaz aurait possédé quatre ouvertures spéciales (de 25 cm x 25 cm, précisait-on) pour le déversement du Zyklon. Or, tout le monde peut constater sur place qu’aucune de ces ouvertures n’existe ni n’a jamais existé. Auschwitz étant la capitale de l’«Holocauste» et ce crématoire en ruines étant au cœur de l’extermination des juifs à Auschwitz, j’ai pu dire en 1994 – et la formule semble avoir fait son chemin dans les esprits: «No holes, no “Holocaust”» (Pas d’orifices, pas d’«Holocauste»).
 
Il est également heureux qu’on ait ainsi finalement invalidé une pléthore de «témoignages» selon lesquels ces gazages-là avaient existé et il est, du même coup, extrêmement déplorable que tant d’Allemands, jugés par leurs vainqueurs, aient été condamnés et parfois même exécutés pour des crimes qu’ils n’avaient pas pu commettre.
 
Il est bon qu’à la lumière de procès qui ressemblent à des mascarades judiciaires les exterminationnistes eux-mêmes émettent des doutes sur la validité de maints témoignages; ces témoignages apparaîtraient encore plus clairement erronés si l’on se donnait enfin la peine d’ordonner des expertises judiciaires de l’arme supposée du crime supposé puisque, à l’occasion de mille procès concernant Auschwitz ou d’autres camps, aucun tribunal n’a ordonné une telle expertise (la seule exception, très peu connue, étant celle du Struthof-Natzweiler, dont les résultats ont été tenus cachés jusqu’à ce que je les révèle). On savait pourtant bien que des témoignages ou des aveux doivent être circonstanciés et vérifiés et que, faute de ces deux conditions, ils sont dépourvus de valeur probatoire.
 
Il est heureux que l’histoire officielle ait révisé à la baisse – souvent dans de considérables proportions – le nombre supposé des victimes. Il a fallu plus de quarante années de pressions révisionnistes pour que les autorités juives et celles du musée d’Auschwitz retirent les dix-neuf plaques qui, en dix-neuf langues différentes, annonçaient que le nombre des victimes du camp s’élevait à quatre millions. Il a ensuite fallu cinq années de disputes internes pour qu’on s’accorde sur le nouveau chiffre d’un million et demi, chiffre qui, ensuite, à son tour, a été très vite contesté par des auteurs exterminationnistes; J.-C. Pressac, le protégé de S. Klarsfeld, ne propose plus, pour sa part, que le chiffre de 600.000 à 800.000 victimes juives et non juives pour toute la durée de l’existence du complexe d’Auschwitz. Il est dommage que cette quête du vrai chiffre ne se poursuive pas pour atteindre le chiffre probable de 150.000 personnes, victimes, principalement, d’épidémies en près de quarante camps du complexe d’Auschwitz.
 
Il est déplorable que, dans les écoles de France, on continue de projeter "Nuit et Brouillard" où le chiffre des morts d’Auschwitz est fixé à neuf millions; en outre, dans ce film on perpétue le mythe du «savon fabriqué avec les corps », celui des abat-jour en peau humaine et celui des traces d’ongles des victimes dans le béton des chambres à gaz ; on y entend dire que «rien ne distinguait la chambre à gaz d’un block ordinaire» !
 
Il est bon qu’en 1988 Arno Mayer, professeur d’origine juive, enseignant à l’université de Princeton, ait soudainement écrit: «Les sources pour l’étude des chambres à gaz sont à la fois rares et douteuses»; mais pourquoi avoir si longtemps affirmé que les sources étaient innombrables et dignes de confiance, et pourquoi avoir vilipendé les révisionnistes qui écrivaient dès 1950 ce qu’Arno Mayer découvrait en 1988 ?
      
     Il est surtout bon qu’en 1996 un historien, Jacques Baynac, qui s’était fait une spécialité, y compris dans le journal Le Monde, de traiter les révisionnistes de faussaires, ait enfin reconnu qu’il n’y a, en définitive, aucune preuve de l’existence des chambres à gaz. C’est, précise-t-il, «pénible à dire comme à entendre ». Peut-être, dans certaines circonstances, la vérité est-elle, pour certains, «pénible à dire comme à entendre» mais, pour les révisionnistes, la vérité est agréable à dire comme à entendre.
      
Il est enfin heureux que les exterminationnistes se soient permis de porter atteinte au troisième et dernier élément de la trinité de la Shoah: le chiffre de six millions de morts juives. Il semble que ce chiffre ait été lancé pour la première fois (un an avant la fin de la guerre en Europe !) par le rabbin Michael Dov Weissmandel (1903-1956); établi en Slovaquie, ce rabbin a été l’artisan principal du mensonge d’Auschwitz à partir des prétendus témoignages de Slovaques comme Rudolf Vrba et Alfred Wetzler; il organisait d’intenses «campagnes d’information» en direction des Alliés, de la Suisse et du Vatican. Dans une lettre du 31 mai 1944, il n’hésitait pas à écrire: «Jusqu’à ce jour, six fois un million de juifs d’Europe et de Russie ont été détruits. »
 
 
Robert Faurisson – "Ecrits révisionnistes" 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Videos :
 
 
 
 
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A noter : Davis COLE, l'auteur de cette video est juif ET révisioniste.
 

Il publiera une répudiation forcée de son travail à la suite d'une agression physique de la LDJ et de menaces de mort a l'encontre de lui-meme et de sa famille.

 

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Quand Robert Badinter et Vincent Reynouard  explose la loi Gayssot :

 

 

 

Un des meilleurs argumentaires d'un homme debout !

 

 

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Juin 2015 :

 

Une historienne allemande de 86 ans Ursula Haverbeck dénonce à la télévision allemande ARD ( budget 6.2 milliards d'euro et 23.000 employés), la seconde en impotance dans le monde après la BBC, le mensonge de la "Shoah"devant des millions de téléspectateurs allemands médusés !!

 

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La nuit suivante une équipe de choc de la police antiterroriste allemande défonce sa porte et prends d'assaut sa maison !!

 
Tout fut saccagé dans leur recherche de documents supposés pouvoir mettre en doute la version officielle de l'Holocauste. 
 
Trois autres de ses collègues historiens ont aussi vu leurs maisons investies par la police et leurs livres et documents divers saisis. 
 
Ursula Haverbeck tombe donc sous le coup des lois anti-négationnistes et anti-discours de haine antisémite.
 
 
Approcherions-nous de la chute du mur de mensonges des mythes fondateurs de "l'Europe moderne" depuis 1945 ?
 
 
Les fissures seraient-elles en train de s'élargir ??
 
 
La video qui suit est sous-titrée en anglais (penser à faire le réglage dans la partie paramètres).
 
A voir impérativement !
 
 
 

 

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