L’Église est occupée.

Monseigneur LEFEBVRE

*

l’Eglise conciliaire de Rome n’est plus la Sainte Eglise Catholique.

Elle est infiltrée par la secte du pouvoir judéo-maçonnique et illuminati.

Ceci est une allocution de Monseigneur Lefebvre, Père fondateur de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X en réaction à l’apostasie de Vatican II.

A 3 min 28 :
« L’Église est occupée par cette contre-église que nous connaissons bien, et que les Papes connaissent parfaitement et que les Papes ont condamnée tout au long des siècles, depuis maintenant bientôt quatre siècles.

… L’Église ne cesse de condamner cette contre-église qui est née avec le protestantisme, surtout, qui s’est developpée avec le
protestantisme et qui est à l’origine de toutes les erreurs modernes… libéralisme, socialisme, communisme, modernisme, sionisme…

Nous en mourrons !

… Tout ce programme a été élaboré dans les loges maçoniques…

Maintenant on s’aperçoit… qu’il y a tout simplement
une loge maçonique au Vatican…quand on se trouve devant un Cardinal…on se trouve devant un franc-maçon !

Obéissance à l’Église, oui ! Obéissance à la franc-maçonnerie ? NON !!!

*

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Quand un Musulman se convertit au Christ.

 

Que vous soyez croyant ou non, que vous soyez chrétien ou non,

Le témoignage de cet ex-Musulman est représentatif de ces nombreuses personnes qui découvrent le Christ aujourd'hui … et dont on ne parle pas beaucoup. 

On aimerait trouver la force d'une telle foi chez beaucoup de Chrétiens.

Ecoutez … La foi et l'humour ne sont pas forcément antagonistes :

 

 

 

***

 

Catholicisme moderniste et conciliaire.

 
 
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Correspondance Polémia – 10/11/2015
 
http://www.polemia.com/secularisation-et-religion-en-milieu-urbain-blase/
 
 
On évoque couramment la déchristianisation et la sécularisation. Mais on précise rarement ce qui se passe en détail et d’une façon méthodique. Je présente ici quelques faits et quelques hypothèses pour situer et quadriller le sujet. Il ne sera question que du catholicisme moderniste et conciliaire.
 
1 – Les églises des quartiers bobos deviennent essentiellement des lieux d’art. Elles sont déjà avant tout des lieux d’exposition pour les artistes contemporains. Un beau jour, l’église est devenue autre chose que ce qu’elle était : elle s’oppose à tout ce qui participait des anciennes dévotions. Cela s’est fait insidieusement. Les pratiques de dévotion populaires ont été peu à peu rendues impossibles par des apports et modifications diverses : éclairage, introduction de mobilier design, fléchage, affichage, afflux touristique, expositions, audio-visuel. L’église est devenue quelque chose qui tient de la galerie d’art, du musée, du centre culturel. Pour des raisons évidentes, les néo-catholiques artys maintiendront longtemps l’étiquette «église» sur le fronton, et ne chasseront que lentement les derniers croyants sincères : l’aura du passé est toujours bonne à accaparer, «ça en jette».
 
2 – On sait que la plupart des œuvres d’art contemporain introduites dans les églises sont à double entente : une interprétation pour les prêtres et les croyants naïfs, une toute autre signification pour les initiés. Plusieurs églises ont été ainsi investies et sont devenues objets d’ironie pour «ceux qui savent». Qu’un lieu ait pu être détourné ainsi de manière évidente et publique et reste imposé comme «église» pour les gens du quartier devrait conduire à se poser de sérieuses questions sur ce qu’il reste de l’Eglise aujourd’hui !
 
3 – On sait depuis longtemps que les ressources de la sécularisation interne du catholicisme sont infinies : croire en un Dieu mort, rendre hommage à un Dieu mort, créer un Dieu inexistant, rendre hommage à un Dieu créé, inventer Dieu à chaque instant, et ainsi de suite. Ce sont évidemment des jeux entre initiés, clercs ou laïcs. C’est l’esprit qui prévaut depuis longtemps dans les milieux intellectuels sérieux (éditeurs, libraires, théologiens, philosophes, psychanalystes). On échange entre gens acquis à ces visions. On s’adapte, on change de croyance au gré des nécessités des stratégies intellectuelles : recherche d’originalité ou au contraire conformisme calculé. On maintient une vague emprise spirituelle sur une petite foule de gens par l’intermédiaire de conférences ou de livres : ils ont l’impression de participer d’une élite spirituelle. Ce qui n’est d’ailleurs pas entièrement faux : ils adoptent une des innombrables variantes de la sécularisation interne du catholicisme, et c’est plutôt branché.
 
4 – Mais attention : tout ceci n’est pas de la raison raisonnante, ce ne sont pas des bavardages scolastiques, il y a de fort solides connaissances philosophiques et théologiques derrière. Qu’on ne parle pas à ces gens de scepticisme, de relativisme ou d’incroyance : ils ont du répondant.
 
5 – Lors des innombrables conférences ou débats sur ces sujets, on sème de petites allusions : tout le monde comprend. Ouf, rien n’était sérieux ! L’on est entre soi, et l’on se conforte dans un dilettantisme de bon ton ! On est entre complices adaptant la religion aux mesures de la nouvelle bourgeoisie libertine et blasée. Le public acquis d’avance est très satisfait : les orateurs sont brillants, les voix sont chaudes et bien posées, il y a tout plein d’allusions et de clins d’œil de connivence, rien à redire sur l’érudition : ces gens connaissent parfaitement les textes, les auteurs. Ils sont bardés de diplômes. Ils ont accaparé les meilleures institutions. Simplement il y a ceci : ils ont un rapport ironique au monde et à la religion en particulier.
 
6 – Parfois, ces jeux théologiques se trouvent croisés avec un œcuménisme de bon ton. Lors de certaines de ces conférences ou débats organisés par ces gens d’esprit, on invite large, et l’on trouve toujours le spécialiste qui saura apporter la petite touche paradoxale ou provocante permettant de compliquer encore les choses. On s’envole, on exulte dans le paradoxal : on est cinq cents coudées au dessus de la religion banale. On est entre fins connaisseurs : on peut justifier tout, n’importe quoi et leurs contraires, et même plus encore, si plus encore se présente à nous.
 
7 – Mais dans tout cela il est encore largement question de religion et de haute culture. La seule et vraie chute, c’est la réduction de la religion à la médiocrité mentale par l’industrie journalistique et culturelle, par les gens de presse, de pub, de com. C’est la réduction de la religion à une culture culturelle pour classes moyennes. La religion n’est plus alors qu’un chapitre de l’infraculture fabriquée industriellement à l’usage des nouvelles classes moyennes par les éditeurs, les agences de com et de pub. C’est l’adaptation de la religion aux nécessités du marché par les spécialistes de la destruction de la culture et de la mécanisation de l’esprit. Et c’est désormais pratiquement la seule incarnation de la religion qui subsiste en ville. Elle diffuse l’idéologie tiers-mondiste et mondialiste, quelques obsessions morales pas gênantes du tout pour le gros argent, ignore toute spiritualité et toute mystique et crétinise les classes moyennes à pleins tubes. On aboutit au fonctionnement religieux de mécaniques mentales. Toute épaisseur mentale a disparu. On est en pleine ratiocination scientiste et moraliste, un peu en dessous des plus plats matérialismes. Rien de tout ceci ne peut être pris au sérieux : il s’agit de religions artificielles, usinées, opportunistes et téléguidées.
 
8 – D’ailleurs dans la nouvelle bourgeoisie, on ne parle plus guère de religion. Il est plutôt question de religiosité, de sacré, et par là, il faut comprendre des conceptions et des pratiques aussi malléables et tolérantes que peu institutionnalisées et peu contraignantes. On distingue alors que ces pratiques sont fonction des demandes du marché.
 
9 – Aux antipodes, une certaine religion ne semble plus pouvoir se présenter que sous la forme d’un moralisme hypertrophié, sinistre et lassant, exténuant et harassant, glacé, comme s’il s’agissait d’achever au plus vite un suicide spirituel.
 
10 – En milieu urbain blasé, on n’imagine plus très bien ce que pourrait être par exemple la direction de conscience. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a plus guère que deux types de clercs. D’une part, quelques religieux sincères qui ne connaissent pas tous ces jeux d’esprits autour de la religion, et qui ne sont d’aucun secours pour s’y retrouver dans ces labyrinthes. D’autre part, des «conjurés» participants de ces nouvelles formes de religion urbaines hypocrites et tordues et qui guident les naïfs égarés, d’une manière extrêmement discrète et insensible évidemment, vers telle ou telle conception bizarroïde de la religion selon leur dernière lubie ou leur avant-dernière lecture.
 
11 – Sur les classes moyennes, je serai très bref : disons qu’elles se débrouillent comme elles peuvent au milieu de ces diverses «offres religieuses» et ne disposent guère d’une culture permettant de trier tout cela. D’ailleurs tout cela est absolument impossible à trier à vue humaine : il faudrait se plonger à plein temps dans les bibliothèques d’érudition. On fonctionne donc plus à l’engouement qu’à la raison : on tend parfois timidement vers la théologie branchée. Les nouvelles classes bobos iront plutôt vers les religions orientales ou de simples techniques de spiritualité syncrétiques.
 
12 – Quant aux classes populaires, elles subissent avant tout l’idéologie tiers-mondiste d’une Eglise conciliaire qui semble totalement acquise au mondialisme. On ne trouve pratiquement plus de gens de milieu modeste dans les églises urbaines aujourd’hui : l’Eglise participe nettement de l’idéologie mondialiste qui achève de détruire leur monde, ils ne sont plus chez eux dans l’Eglise.
 
13 – Mais tous ces problèmes évoqués rapidement sont très complexes, il faudrait apporter bien des nuances. Il y a par exemple des inquiétudes sincères dans le monde des artistes : il y a évidemment plus de ferveur et de sincérité dans les milieux artys que dans les paroisses mondaines cérémonielles et ritualistes, spirituellement mortes. Lorsque l’on aborde le milieu de la théologie contemporaine arty et avancée, on a beau avoir l’expérience des milieux intellectuels, on est un peu surpris par le savoir philosophique et théologique des prétendants.
 
Sous le nom de catholicisme, c’est donc une bonne dizaine de religions repérables, totalement différentes les unes des autres et incompatibles entre elles, qui existent aujourd’hui dans nos villes ! Aucun rapport entre les théologies de la mort de Dieu pour l’hyper-élite intellectuelle et le tiers-mondisme militant, aucun rapport entre les théologiens de l’art contemporain et la voie mystique (cette pauvre voie mystique est-elle encore fréquentée quelque part ?). Sans compter évidemment d’innombrables «religions individuelles» !
 
On peut dire d’une manière très synthétique qu’un processus de distanciation et d’ironisation surplombe entièrement la religion. Cette faculté d’ironisation peut dissoudre, reconstituer, restaurer, jeter, aménager, abandonner la religion en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Cette ironisation est moins nouvelle qu’on pourrait le croire. Mais aujourd’hui, cette mentalité distanciée et ironique qui fut longtemps l’apanage de petits milieux a été diffusée dans l’ensemble des classes moyennes. C’est tout simplement la mentalité ironique et blasée de la grande bourgeoisie internationale qui est passée pro parte dans certaines fractions avancées de la petite bourgeoisie arty et branchée et qui s’est généralisée. On est passé de la religion recueillement, de la religion conscience à la religion ironisée, réversible, jetable, adaptable.
 
En milieu urbain blasé, le catholicisme moderniste existe donc, entre autres, sous forme :
 
-muséographiée, érudite
 
-mondaine (par intérêt purement mondain)
 
-laïque (c’est à dire purement cérémonielle)
 
-neutralisée par l’industrie culturelle
 
-culturelle, bobo et arty, distanciée, démarquée, légèrement ironisée
 
-savamment ironisée par les théologiens et les initiés «de pointe»
 
-sécularisée, de manière interne
 
-tiers-mondiste.
 
Je tente de synthétiser en trois lignes. Dans les milieux intellectuels, «de pointe», artys et bobos, la religion catholique, quand on s’y intéresse, est perçue comme un objet de jeu, à adapter, à ironiser, à recycler, à bricoler. Dans les milieux bourgeois classiques, elle est une routine mondaine absolument morte. Dans les milieux populaires, elle est devenue une sorte de dressage au tiers-mondisme et au mondialiste. Que reste-t-il donc de l’ancien catholicisme ? Sans doute la religion «laïque cérémonielle» liée aux grands événements de la vie : on n’éclate pas encore de rire aux enterrements que je sache. On néglige trop ce rapport solide et fondé, enraciné : c’est sans doute le dernier rapport sérieux, ni ironique, ni mécanique, ni téléguidé, à la religion qui subsiste en milieu urbain.
 
Que conclure ? Le catholicisme moderniste donne l’impression général d’un épouvantable complot contre la spiritualité où l’on distingue vaguement des malins très prévenus, bien placés et nombreux, des braves clercs alibis encore nombreux, de nombreux suiveurs qui ne comprennent pas grand chose et une foule de braves gens qui ne reconnaissent pas l’Eglise de jadis et qui ont fui. On pourrait presque dire : tout le monde est accepté dans l’Eglise moderniste à condition d’avoir définitivement oublié ce qu’étaient la mystique et la spiritualité.
 
Jean-Yves Rossignol
10/11/2015
 
 
 
Image : Le Carré Sainte-Anne à Montpellier poursuit sa volonté de mettre en avant l’art contemporain avec l’exposition « Above and Below » du street artiste new-yorkais JonOne. Une réussite !
Composée d’œuvres inédites, cette exposition dévoile des productions spécialement conçues pour le lieu, dans cette ancienne église désacralisée.
Exposition du 24 juin au Ier novembre 2015.
 

Apostasie du pape François.

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L’entretien en video que je vous enjoins de regarder ici est absolument captivant (On ne voit pas passer les presque deux heures, tant sont grandes passion et érudition de l’auteur !) 

Tout Européen sincère et attaché à sa culture, qu’il soit croyant, athé, païen, devrait se pencher sur les implications phénoménales de cette affaire du Linceul de Turin et s’y intéresser au plus haut point, tant il en va de la pérennité de notre civilisation européenne : 

Celui-ci nous place en effet, Chrétiens ou pas, devant la clef de voûte de la compréhension de notre monde, de sa chute et de son relèvement … 

Les Temps bibliques annoncés semblent arriver proches de leurs termes avec cette nouvelle apostasie de François 1er.

Bien sûr, ce fait est tellement énorme que peu de personnes le perçoivent pour ce qu’il est, il est vrai, bien aidé par la déchristianisation avancée et la collusion de la désinformation ambiante sur ce sujet eminemment sensible !

Comme le dit Upinsky du « pape François 1er » :

« Loup des Âmes, déguisé en Agneau de la fausse compassion écologique, pré-figuration-même de l’antéchrist, travaillant avant tout à l’unité des peuples pour les mettre au service du Prince de ce monde … »

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… Et pararachevant en cela la prédiction de Notre Dame de la Salette :
« Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’impiété et de l’Antéchrist. »

Car enfin si, comme les scientifiques viennent de le prouver de façon définitve et sans aucune ambigüité, le Suaire de Turin est authentique, le Suaire même ayant enveloppé le corps de Jésus-Christ et portant trace d’un formidable et indélébile phénomène d’ordre énergétique inconnu de la science actuelle et non point pictural, que cela nous plaise ou non !

Dès lors nous avons deux solutions :

* Nier une évidence, bien trop énorme dans ses implications, afin de conserver le confort de nos certitudes intellectuelles douillettes et acquises de longue lutte.

* Ou bien tout naturellement, ouvrir le champs de notre intelligence à une Réalité supra-humaine, dépassant notre réalité humaine, provisoirement bien connue de nous et « sous contrôle », croyons-nous …

Dans le premier cas, nous restons enfermés dans des certitudes, au risque que celles-ci soient fausses (pourquoi pas ? Votre libre-arbitre vous le permet.)

Dans le deuxième, nous ouvrons une porte sur une perspective, vertigineuse certes pour le non-croyant, mais expliquant aussi pas mal de choses si l’on veut bien avoir « des yeux pour voir ».

… Entre autre, la formidable explosion de Foi que fut la Chrétienté primitive se répandant dans tout l’Occident comme trainée de poudre, brisant tous les schémas du monde ancien, fut-ce au risque impertinent et à la suprême liberté du martyre !

Entre autre également, la période « médiévale » qui s’en suivit, encore irradiée de cette Foi supra-humaine et donnant naissance à l’une des plus admirables civilisations où « la pesanteur et la Grâce » ont peut-être, par un improbable équilibre, donné en Europe les plus belles formes civilisationnelles qui soient (Voir à ce sujet l’intelligente complexité de l’organisation sociale médiévale avec des médiévistes comme Jacques Heers en particulier.)

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Pour moi, la seconde hypothèse est la bonne, toutes les pièces du puzzle s’assemblant admirablement dans une vision élargie, universelle, de notre Histoire humaine … D’où le qualificatif en grec de « Catholicos » (universelle) donné à l’Eglise du Christ d’avant Vatican II .

Parenthèse pour ceux qui pensent que l’Eglise de Rome est encore Catholique : La revue maçonique « L’Acacia«   nous dit en parlant de l’Eglise :

 » Nous avons changé le chocolat, sans changer l’étiquette et ils ne s’en sont pas aperçu ! « 

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Comme le dit Upinsky : Le signe de Jonas est bien là sous nos yeux : 

« Les Français ont un gouvernement qui est leur ennemi, un ministère de la Culture, ennemi de la Culture, un ministère de l’Education, ennemi de l’Education et un Pape, ennemi de la Chrétienté !

Et ça c’est difficile à supporter parce qu’on se sent mal … Mais c’est la triste réalité et aussi le message du Linceul. »

« Le signe de Jonas est celui qui débloque le cerveau pour le libérer du terrorisme intellectuel qui paralyse et détruit la Chrétienté, libérant le Verbe Invicible, la Vérité, le Christ en Gloire… »

« Car le Verbe, la Vérité, la réalité des miracles, l’authenticité du message chrétien, sont un, et sont la clef de voûte du Christianisme, de la science et de notre civilisation. »

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Dans son premier entretien « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » Arnaud-Aaron Upinsky, mathématicien, épistémologue et linguiste, avait exposé les impérieuses raisons qui l’avaient incité, le 29 mars 2015, à adresser au Pape François, au nom de la Science, une Lettre ouverte lui demandant de procéder à la reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin – recélant la preuve scientifique du fait fondateur de notre ère – pour en revenir au statut de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection qui n’avait cessé d’être celui reconnu par l’Eglise, de 1473 à 1988, et pour mettre un terme définitif à l’intolérable ambiguïté attribuée au Linceul, authentique pour les uns, faux pour certains, objet criminel pour les autres.

Le doute sur le Linceul de Turin doit cesser, l’Eglise doit trancher, allez-vous le vénérer ou l’Adorer ? lui avait-t-il écrit.

En dépit de la censure, cette « Lettre ouverte au Pape », diffusée dans le monde entier, traduite en italien, espagnol, allemand, anglais, russe… et âprement discutée au Vatican, a créé un véritable électrochoc à bas bruit.

Mais lors de son face-à-face avec le Linceul, dans l’obscurité de la cathédrale de Turin, le 21 juin 2015, pour sa visite exceptionnelle clôturant l’ostension de 2015, quelle réponse le Pape François a-t-il donnée, aux yeux du Monde entier, à cette Question de la Reconnaissance – « Qui dites-vous que je suis ? » – posée au nom de la Communauté scientifique internationale, réunie à Rome en 2013, ayant procédé à la reconnaissance officielle de l’authenticité scientifique.

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La Réponse éblouissante du Pape, la presse l’a cachée et le public, même averti, a cru qu’il ne s’était « rien passé », tant le « secret » fut bien gardé.

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Pourtant cette réponse historique fut telle que plus rien ne sera comme avant.

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Réponse à vivre comme un fait biblique se dévoilant selon la grille de lecture religieuse du Temps et de « l’économie de la Révélation » : comme la figure du reniement de Pierre, mise en ombres et lumières dans toute l’histoire de l’art chrétien.

Aujourd’hui, dans ce deuxième entretien, Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome et auteur de cinq livres sur le Linceul, nous révèle l’énigme de la venue exceptionnelle du Pape à Turin, le 21 juin 2015, le décryptage bien gardé de la réponse du Saint Siège à sa lettre ouverte du 29 mars 2015 :

 la clef initiatique de la pièce géopolitique, scientifico-religieuse, dont dépend l’avenir de la Chrétienté, de l’Europe et de l’Humanité. »

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Le secret du reniement du Pape qui désarme la Chrétienté ! 

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Linceul de Turin: Réalité de la Résurrection

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(Cliquez sur l’image ci-dessous pour écouter l’entretien passionnant et décisif d’Upensky sur le suaire de Turin)
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saint Suaire
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“Nul n’est obligé de croire à une preuve si contraignante soit elle. Tel est le mystère du libre arbitre.”
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 “Qui sont-ils, ces dénonciateurs de prétendues contrefaçons, ces chevaliers modernes  défenseurs des pauvres croyants abusés dans leur foi, ces « messieurs-dames Je-sais tout » qui, forts de leurs certitudes, ne manquent pas une occasion de s’en prendre aux reliques du christianisme et, à travers elles, à cette religion “ringarde” qu’est la religion catholique “.
professeur LUCOTTE, scientifique incroyant mais respectueux des faits et des croyances d’autrui.
Ces 2 vidéos apportent les derniers éléments scientifiques permettant d’établir l’authenticité du fameux Linceul de Turin. Tous les septiques, croyants ou incroyants et honnêtes d’esprit, se doivent de visionner entièrement ces 2 vidéos.
Cette 1ère vidéo est un montage regroupant la quasi totalité des informations scientifiques concernant le Suaire.
Chacun des éléments qui allaient jusqu’à présent à l’encontre de l’authenticité du linceul (notamment la datation au Carbone 14), sont ici invalidés. En dépit de ces faits, le débat reste bien entendu ouvert. Ce sujet suscite toujours autant de passion et de mystère et ce, malgré les résultats concrets et factuels de la science. Il y aura visiblement toujours 2 camps statuant sur ce Linceul : les partisans de son authenticité et les sceptiques optant pour un faux médiéval malgré quantité de preuves contraires.
L’acceptation officielle et publique de son authenticité serait comparable à un coup de massue dans le monde des religions et des croyances de chacun, puisque l’on aurait là une preuve tangible pour tous de la véracité du christianisme (sans même parler des tentatives de clonage pouvant en résulter…). Les retombées seraient considérables à tous les niveaux, d’où l’extrême sensibilité du sujet et l’immense prudence de l’église.
 Mais il ne s’agit pas ici de rentrer dans un débat d’opinion ou religieux mais uniquement de se concentrer sur les faits scientifiques menant naturellement à la conclusion finale de l’authenticité du linceul de Turin. Nous verrons brièvement dans cet article les étapes aboutissant à une telle conclusion en rapport et en appui direct avec le montage vidéo proposé.
Une telle conclusion s’imposant pour tout esprit honnête, les conséquences dans la vie de chacun peuvent être conséquentes, nous en convenons.
Mais si ce Linceul est authentique et correspond bien à la personne de Jésus Christ, chacun à le droit de savoir, puisque Jésus lui même prêchait la vérité pour tous les hommes, sans favoritisme, et en toute transparence. Il ne faut donc pas retenir la vérité captive de l’injustice comme a dit l’apôtre Paul il y a près de 2000 ans. Bien sûr, il est évident que la foi d’un croyant n’a guerre besoin du Linceul de Turin pour rentrer dans la réalité divine. Cependant, la confirmation scientifique du pilier du Christianisme mérite d’être annoncée à chacun, car le Linceul n’est pas destiné qu’aux croyants, loin de là…
Très sceptique au départ sur la véritable authenticité du Linceul de Turin, voici les 7 principaux points (d’autres points sont bien sûr abordés dans les vidéos) ayant poussé Prisedeconscience à créer cet article qui démontre clairement l’authenticité du Linceul :
1) L’image imprimée en négatif sur le Linceul de Turin est absolument unique et n’a aucun équivalent proche, sur les 5 continents, et dans toute l’Histoire.
2)Ce Linceul est l’énigme archéologique et scientifique la plus étudiée au monde.
3) Après des dizaines d’années d’études par des centaines de spécialistes, le Linceul reste un mystère absolu pour les scientifiques qui sont incapables de donner la moindre explication rationnelle de son origine.
4) La démonstration scientifique présentée au Symposium de Paris et de Rome (1989 et 1993) par Arnaud UPINSKY et portant sur l’ultime évaluation de l’authenticité du Linceul, a été proclamée à l’unanimité par tous les scientifiques présents. La conclusion unanime des 57 intervenants scientifiques du monde entier tombe : L’homme du Linceul ne peut être que Jésus de Nazareth. (Arnaud UPINSKY est mathématicien, épistémologue et spécialiste du Linceul de Turin.)
5) Sur la tunique d’Argenteuil (autre relique qui serait le vêtement porté par Jésus avant de monter sur la croix), les auteurs ont  retrouvé à sa surface des pollens de deux espèces particulières de tamarin et de pistachier qui ne se rencontrent qu’en Palestine, espèces que l’on a aussi retrouvées sur le linceul de Turin et sur le suaire d’Oviedo (dernière relique qui serait une sorte de grand mouchoir utilisé pour essuyer le visage du Christ après le supplice de la croix). Ils ont également analysé le sang présent sur la tunique ; il est de groupe AB, le plus rare (4 à 5 % de la population mondiale), groupe auquel appartiennent aussi les sangs analysés sur le linceul de Turin et sur le suaire d’Oviedo. Enfin, les études d’ADN ont montré que le sang était d’un individu de sexe masculin et d’origine ethnique juive moyen-orientale et plus incroyable encore, le sang était également identique au sang miraculeux coulant sur les statuettes de la vierge ou sur les tableaux représentant Jésus Christ.
6) Les nombreuses caractéristiques uniques, notamment la tridimensionnalité et l’impression-retrait-sans-contact, sont spécifiques au Linceul et sont irreproductibles.
7) La seule explication plausible prenant en compte un à un tous les paramètres irréfutables de chaque spécialité scientifique étudiant le linceul, est d’admettre que l’image s’est formée par une sorte de rayonnement que pourrait provoquer une “dématérialisation” (phénomène explicable scientifiquement). Avec les termes de l’époque, la dématérialisation correspondrait donc naturellement au miracle de la Résurrection du Christ. Avec cette hypothèse tout s’explique parfaitement. Sans elle, il n’y a aucune explication. Mais nul n’est obligé de croire à une preuve si contraignante soit elle. Tel est le mystère de la liberté.
Aujourd’hui, le Linceul apparaît bien comme le révélateur inattendu du rapport très ambigu que notre société entretient avec la vérité et la connaissance, d’où notre volonté de consacrer un article et 2 vidéos à ce sujet.
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Reconstitution de Lavère d’après le suaire
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En premier lieu, regardons les principales erreurs scientifiques commises par les plus célèbres détracteurs de la sainte Relique :
Henri Broch, Docteur en Science est à l’origine d’un article paru dans Science et Vie en 2005, article censé démontrer que le suaire est un faux :
Malgré des tentatives de reproduction très convaincantes comme celle très connue du Docteur en Science Henri Broch (article paru dans Science et Vie en 2005) visant a démontrer que le suaire est un faux, les aspects les plus étonnants du suaire, c’est à dire sa tridimensionnalité et ses caractéristiques chimiques et biologiques, n’ont jamais pu être reproduites. Christophe Mignot, ingénieur physicien, spécialiste du traitement d’image et qui conduit depuis quinze ans de nombreuses analyses tridimensionnelles pour le monde de la recherche et de l’industrie, vient d’effectuer, avec un logiciel professionnel, une analyse de la tridimensionnalité comparée du suaire de Turin et du faux suaire de Broch paru dans Science et Vie.
Il y explique en outre de façon détaillée et très claire ce qu’est réellement cette fameuse tridimensionnalité et ce qu’elle implique. Cet article, à lire absolument, est complémentaire de celui-ci et disponible sur le site www.suaire-science.com à la rubrique « Mises A Jour » au 27/08/2005.
Démonstration est faite, preuves et images à l’appui, que le faux suaire de Science et Vie ne reproduit pas les caractéristiques tridimensionnelles uniques du suaire, par ailleurs à nouveau démontrées.
Si, comme l’explique Christophe Mignot, il est théoriquement possible de fabriquer une image réellement tridimensionnelle à partir d’un bas-relief, en pratique, il faut bien reconnaître que l’on n’y parvient pas aujourd’hui encore et qu’il serait donc « miraculeux » qu’un artiste du Moyen-âge y arrive, nécessairement par hasard, comme une conséquence de sa technique, et sans aucun moyen de contrôle du résultat !
On peut citer aussi Walter McCrone,  directeur du McCrone Research Institute, laboratoire spécialisé dans la détection scientifique des faux en art :
Walter McCrone a voulu démontrer que le suaire était un faux médieval en le qualifiant de peinture. Après examen au microscope de minuscules échantillons de fibres et de particules prélevées sur le linceul, Mc Crone conclut que l’image diaphane du Christ a été obtenue à partir d’ocre rouge et d’un pigment ferreux. L’artiste qui a créé le Saint-Suaire a peint les endroits où le corps était supposé entrer en contact avec le tissu, comme le front, l’arête du nez, les pommettes, etc., de sorte qu’il en résulte une image négative. Une teinte vermillon à base de sulfure de mercure a ensuite été utilisée pour représenter les taches de sang.
Mais rapidement, il fut aussi rapidement mis de côté : J.H.Heller (biophysicien) et A.D Adler (chimiste), membres du STURP, étudièrent les échantillons de surface d’une façon beaucoup plus approfondie et précise. Leurs principaux résultats furent publiés dans deux revues scientifiques.
Ils appliquèrent une impressionnante série de tests microchimiques qui leur permirent :
1) d’une part de mettre en évidence tous les composants d’un sang ancien et dénaturé (la porphyrine, les protéines dont l’albumine, la méthémoglobine, la bilirubine).
2) d’autre part de contredire formellement McCrone dans son interprétation des faits et dans certains de ses résultats. Enfin, bien d’autres indices abordés dans la vidéo montrent comment certains pigments auraient pu être présent sur la relique et n’ayant aucun rapport avec son authenticité. Enfin, ce dernier n’a jamais publié un seul article sur le sujet dans une revue indépendante, ni même tenté de soumettre ses travaux à un comité de lecture indépendant. Ses travaux sont publiés par son propre organisme, il a été désavoué par ses pairs sur le sujet et est isolé dans son argumentation. En contradiction avec sa thèse, il existe des dizaines d’articles qui ont été  produits par une équipe multidisciplinaire, internationalement reconnue, et publiés dans des revues indépendantes faisant autorité dans leur domaine.
Comme autres détracteurs, on pourrait aussi citer Le cercle de la zététique qui est la science qui s’attache à l’étude des phénomènes paranormaux pour leur trouver une explication rationnelle… ou les nier. Aux personnes soucieuses de connaître et défendre le vrai, cette zététique donne du fil à retordre. Mais heureusement, tous leur arguments concernant la fausseté du linceul sont aujourd’hui démontés, d’autant plus que le dossier des “zététiciens” s’appuie sur les travaux de McCrone pour démontrer la fausseté du Linceul…
Tous les autres faussaires comme Luigi Garlaschelli par exemple n’ont jamais réussi à reproduire le suaire. Ces différentes personnes ont semé le doute dans l’esprit des gens mais la vérité revient toujours au galop.
Enfin, concernant les tests aux Carbones 14, censés dater le suaire du XIIIème siècle, la science est claire : aucun de ces tests ne sont valables, bien au contraire… nous aborderons brièvement ce point plus bas dans l’article et bien sûr dans la vidéo. Encore une fois, la vérité est rendue captive de l’injustice puisque beaucoup de personnes pensent toujours que le suaire est un faux en raison de la datation erronée au carbone 14.
Voici maintenant les principaux points amenant à la conclusion de l’authenticité du Linceul.

L’origine du tissu :

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C’est un sergé de lin à chevrons en arêtes de poisson qui correspond à un tissu antique d’excellente qualité, fabriqué sur un métier à tisser à 4 pédales utilisé au Moyen-Orient dans l’antiquité. Ces métiers à tisser étaient utilisés également pour la laine et le coton. Or, on a également retrouvé des traces de coton dont les fibres sont caractéristiques d’une espèce de cotonnier du Moyen-Orient. D’autre part, on n’a pas retrouvé de traces de laine, or, dans la Palestine antique une loi judaïque interdisait de mélanger les fibres animales et végétales. Le lin a été blanchi après son tissage, technique abandonnée à partir du VIIIe siècle au profit d’un blanchiment avant tissage. Cette étoffe a certainement été tissée dans la région de Sidon, à une centaine de kilomètres au nord de Jérusalem. Les dimensions du Linceul correspondent à 2 coudées juives sur 8 ( d’une valeur d’environ 54,6 centimètres ), en vigueur dans la Palestine au début de notre ère.
Le faussaire du moyen-âge aurait donc dû penser à tous ces détails, pouvait-il en avoir même la connaissance ? N’était-il pas plus simple d’utiliser une étoffe courante de son temps ? Pourquoi ce luxe de détails qui n’intéressent que les scientifiques du XXe siècle !?

La poussière et le pollen retrouvés :

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On a retrouvé à l’emplacement du nez, des genoux et des pieds, des poussières d’aragonite, du carbonate de calcium provenant du travertin, une pierre utilisée en particulier à Jérusalem. Là encore, notre faussaire moyenâgeux aurait pensé à ces petits détails pour leurrer les scientifiques du XXe siècle !?
Sur les 58 espèces de pollens retrouvés sur le Linceul, 44 proviennent du bassin méditerranéen voire de Palestine notamment, et 28 d’entre-elles ont été identifiées comme provenant d’espèces florissant au printemps entre Jérusalem et Jéricho.
La présence de ces pollens, découverte par le Dr Max Frei (décédé avant de pouvoir publier l’ensemble de ses travaux) sera confirmée en juillet 1988 par les Dr Alan Adler, le Dr Walter McCrone (ce dernier étant un farouche opposant à l’authenticité du Linceul) et plus récemment par le Dr Avinoam Danin, palynologue de l’université de Jérusalem.
Une fois de plus, notre faussaire moyenâgeux aurait pensé à ces petits détails invisibles pour leurrer les scientifiques du XXe siècle !?

Le linceul n’est pas une peinture :

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Le Linceul n’est pas une peinture. Il y a en fait deux images superposées :
La première est composée des taches de sang et des divers liquides du corps, eau et sérum, qui ont coulé sur le Linceul qui les a absorbés. C’est une image positive brun-pâle. On a du mal à imaginer un faussaire peignant avec du sang et reproduisant parfaitement les traces d’écoulements et de coagulation. De plus, n’oublions pas qu’il aurait du avoir beaucoup de chance en récoltant un groupe sanguin AB très rare correspondant au sang récolté sur la tunique d’Argenteuil, le suaire d’Oviedo ainsi que sur les lacrimations sanguines miraculeuses analysées sur les tableaux et les statuette du Christ ou de la vierge …
La seconde, l’image de la double silhouette, qui n’apparait pas sous les taches de sang (elle serait donc postérieure à la première), est monochrome, jaune sépia.
C’est une oxydation acide et déshydratante de la cellulose du lin, superficielle, qui ne touche que les fibres supérieures du tissu sur une épaisseur variant entre 20 et 40 microns. C’est une image négative, “photographique”, sans aucune direction privilégiée (aucun coup de pinceau), tramée, tridimensionnelle et INDELEBILE.
Cela ne correspond à aucune technique connue au moyen-âge, pas plus qu’à notre époque. Le mécanisme de formation de cette image reste une énigme !
On recherche toujours désespérément un artiste capable de peindre avec une déshydratation de la cellulose monochrome et superficielle en 3-D !

L’Impression-retrait-sans-contact :

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A partir de 1978, des analyses furent faites sur les marques brunes apparaissant sur le Linceul aux emplacements correspondant aux stigmates de Jésus.
Les résultats furent confirmés par observations au microscope, par fluorescence X, par analyses spectroscopiques et chimiques et par différents traitements optiques. Ainsi comme vu précédemment, divers composants sanguins ont été trouvés, de la porphyrine (constituant de l’hémoglobine), de la methé-hémoglobine, de l’albumine et de la bilirubine (substance qui se retrouve dans le sang de ceux qui ont subi des souffrances extrêmes) et du sérum.
Les traces brunes ne sont donc par dues à des pigments colorés, pas plus qu’à du sang de boeuf, mais sont donc bien des taches de sang d’un homme (présence des chromosomes X et Y) de groupe AB. A partir des lois connues de la coagulation sanguine, le contact entre le corps et le Linceul se serait produit de 2 à 3 heures après la mort et aurait dû durer entre 36 et 40 heures. Et là nous sommes confrontés à un mystère encore plus épais :
comment le corps s’est-il séparé du Linceul alors qu’on ne voit aucune trace d’arrachement des fibrilles du lin et des fibrines du sang ? Ce problème nommé Impression-Retrait-Sans-Contact soulève pour les uns le mystère de la résurrection, pour les autres ce n’est qu’un argument supplémentaire pour nier l’authenticité du Linceul car, comme chacun le sait c’est définitivement impossible ! Même pour Jésus ? Ceci est très dérangeant…
Maintenant le faussaire aurait rajouté du sang à ses pigments simplement pour rendre son faux plus crédible aux scientifiques du XXe siècle…

La Tridimensionnalité:

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C’est probablement la propriété la plus connue et la plus étrange de l’image du suaire. La constatation est la suivante : il existe une relation étroite entre l’intensité de la coloration de l’image en chaque point de celle-ci et la distance entre le suaire et le corps (supposé) en ce point. Cette propriété était soupçonnée depuis longtemps en raison de l’étrange effet de relief observable sur le négatif photographique du suaire, en particulier au niveau du visage. C’est en 1976 que Jumper et Jackson démontrèrent sans ambiguïté cette propriété grâce au fameux analyseur VP-8.  
Cet appareil calcule une « élévation » d’une zone d’une image en fonction du caractère plus ou moins clair ou foncé de cette zone.
En soi, il n’indique rien de la « hauteur » réelle de la zone en question sur le sujet photographié : une zone claire de n’importe quelle photographie apparaîtra en hauteur, même si elle est dans un creux sur le sujet photographié. L’image obtenue par le VP-8, d’abord sur le visage puis sur le corps entier de l’homme du suaire, donne un « vrai » relief de corps humain en 3 dimensions avec très peu de distorsion (due aux limites de la technique, au « bruit de fond » du suaire, aux taches, aux plis etc.).
Ce résultat a ensuite été amplement confirmé par d’autres techniques de traitement d’image. Comme pour le «négatif», la tridimensionnalité est nécessairement une propriété intrinsèque de l’image du suaire, c’est-à-dire que l’information tridimensionnelle est codée dans une structure en 2 dimensions (l’image plate sur le linceul).
Cette propriété est unique au suaire : de nombreuses analyses de même type ont été effectuées sur toutes sortes de photos, peintures etc., aboutissant toujours à des déformations plus ou moins importantes du relief obtenu. La conclusion s’impose :
– le corps (ou l’objet en relief en forme de corps) est lui-même la source de l’image du suaire.
– la coloration de l’image en chaque point est fonction de la distance qui sépare le corps du linceul en ce point. On explique ainsi le dégradé qui va des zones de contact (coloration maximale) aux zones les plus claires, sans contour. On a pu calculer que la distance maximale corps/suaire donnant une coloration aux fibres est d’environ 4 cm.
Le faussaire est décidément un génie ! 

Présence de lettres en Hébreux sur le suaire :

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En 1979, Pierre Ugolotti suppose la présence de lettres en hébreu, latin et grec autour du visage de l’homme du linceul. Ces traces non visibles à l’œil nu et extrêmement ténues sont confirmées en 1998 par André Marion, docteur en physique nucléaire, expert en traitement d’images et ingénieur au CNRS. Il y trouve notamment :
– sur la gauche du visage les mots latin IN NECEM, sous le menton un N dédoublé qui rappelle les deux N de IN NECEM signifiant “tu iras à la mort”
– sur la droite du visage la mot grec ΡΕΖΩ “accomplir un sacrifice”, ainsi que les lettres grecques Ψ, Σ, K I A qui pourrait signifier (ce n’est qu’une hypothèse) en 2 mots “ombre de visage” ou “visage à peine visible”
– sur la gauche du visage les lettres latines SB “Signum Baldinii” qui sont supposées être le sceau de Baudoin roi de Jérusalem
– un ensemble de lettres pour le mot grec ΝΑΖΑΡΕΝΟΣ pour “le nazaréen” mais encore une fois les lettres sont peu visibles et la traduction est contestée.
– Des lettres grecques Α∆Αµ évoquent le mot “ADAM”, sous le menton les lettres ΗΣΟΥ seraient un ensemble composé du mot “Jésus”
– sur le front les 2 lettres IC comme sur les icônes byzantines qui représentent la première et la dernière lettre de IHEOYC “Jésus”.
Les lettres autour du visage de l’homme du linceul de Turin semblent donc bien exister car elles ont été découvertes par différents scientifiques utilisant des méthodes différentes. Les mots retrouvés sont parfois datés de quelques siècles après JC, mais leur traduction pose parfois quelques soucis. Certains mots sont écrits en grec, latin, araméen ou hébreux. Ces lettres sont invisibles à l’oeil nu. On ne connaît ni leur date d’inscription ni comment elles y ont été inscrites.

D’autres faits surprenants :

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Ceux-ci se sont déroulés au moment de réaliser un scanner détaillé du Linceul de Turin avec des technologies modernes comme celles du scanner à rayons ultraviolets. Parmi ces faits, on retrouve :
– Les marques de plaies et de coup de fouet sur le corps conformément à la flagellation romaine, qui employait le flagrum, petit fouet aux lanières en cuir lestées d’os, de plomb ou de métal, pour déchirer la chair et les muscles.
– Les marques de perforation réalisée par une couronne d’épines, comme celle qui était décrite dans la Bible.
– Sur les photos, des numismates ont reconnu des leptons, une monnaie frappée vers l’an 29, sous Ponce Pilate. Or, à l’époque du Christ, on collait des pièces sur les yeux des cadavres afin d’empêcher leurs paupières de se relever.
– Le pollen retrouvé sur le Linceul dont les fleurs font partie d’une variété de plantes qui poussent seulement dans la zone de Jérusalem. D’autres pollens différents confirment son trajet historique de Jérusalem jusqu’à Turin.
– Les particules du sol semblables à celles qu’on retrouve sur le sol de Jérusalem, en bas les empreintes du pied sur le Linceul furent analysées : on découvrit que les particules de la roche sédimentaire calcaire travertin qui proviennent des sépulcres à Jérusalem se trouvent partout sur le drap.
– L’étrange tissage à la main de ce Linceul remonte au Ier siècle au Moyen-Orient. Des draps funéraires ressemblant beaucoup au Linceul de Turin et remontant à la même date (Ier ap. J.-C.), furent retrouvés à Massada, ancienne forteresse juive, ce qui confirme l’authenticité du Linceul de Turin en tant que linge funéraire juif.
– Les clous sont plutôt enfoncés dans les poignets et non pas dans les paumes des mains. La croyance générale de nos jours et celle du Moyen-âge était que, les clous étaient enfoncés dans les paumes des mains. Les squelettes des victimes crucifiées au Ier siècle ap. J.-C. furent découverts dans la zone de Jérusalem ; ils avaient des clous fixés sur les poignets. La science moderne émet l’opinion suivante : si les clous avaient été enfoncés dans les paumes des main, le poids du corps n’aurait pas permis la suspension du condamné sur la partie supérieure de la croix lors de la Crucifixion.

La superposition de la tunique d’Argenteuil au Linceul de Turin est identique au niveau des marques à 97 %.

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Il y a une chose dont on est sûr c’est que le Suaire ne peut pas être du XIIIe siècle. Il aurait pu être un faux du IVe siècle mais pas du XIIIe. La raison est toute simple : Depuis le Ve siècle, et jusqu’au début de XXe siècle, on ignorait qu’il était impossible de crucifier les victimes en les clouant à la croix à partir de la paume des mains.
Tous les crucifiés et les peintures qu’on possède représente le Christ avec la marque des clous dans le creux des paumes de ses mains.
Or sur le Suaire ce n’est pas du tout le cas… Les clous sont plantés dans le poignet. Fait remarquable, le chirurgien Pierre Barbet a même vérifié qu’enfoncés dans les paumes, le corps se détache de la croix et tombe. Or personne ne savait cela jusqu’à la découverte du Saint-Suaire au début du XXe siècle. Il est donc inconcevable qu’il soit un faux du XIIIe siècle.
Quelques années plus tard, le 12 avril 1997, on essaye de le brûler encore une fois. (En effet un incendie l’avait déjà altéré dans le passé). Si c’est un faux pourquoi vouloir le détruire ? Quand la vérité est captive de l’injustice, les attaques sont nombreuses !

Dernier point et le plus surprenant :

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Un fait passionnant, encore peu connu, est intervenu lors de la réfection du Linceul en 2002 : selon les experts une faible image de la Sainte Face et des mains du Christ a pu être photographiée sur le côté arrière du Linceul, très similaire – mais pas identique – à l’image bien connue sur le devant.
Les professeurs Oswald Scheuerman et Giulio Fanti ont pu déterminer que ces images ne peuvent être venues d’autre chose que d’une irradiation ou une décharge électrique extrêmement contrôlée émanant du Corps.
Pour que cette image puisse se former, uniquement par un brunissement superficiel de quelques brins extérieurs du lin sur chacun de ses côtés,
il aurait fallu 14.000 Laser à tir orthogonal avec 60 à 100 millions de Volt, et cela pendant une nanoseconde, le tout, émanant d’un corps censé mort.
A-t-on jamais vu un corps mort rayonner ?
Cela devient une preuve matérielle d’une dématérialisation que la bible traduit par résurrection… Cela est ahurissant ! Depuis 8 ans, les autorités et Turin et du Vatican ont du mal à assimiler cette découverte.
Pour l’instant ils ne savent pas faire mieux que d’assurer : « Il n’y a pas d’image sur le côté arrière du Linceul », en dépit de toute évidence scientifique.
Un mathématicien a calculé que l’improbabilité d’un faux, prônée par la télévision française, est de 200 milliards à 1. Le fait de la 2e image, sur le côté arrière, multiplie ce taux de 200 milliards de nouveau par lui-même.
Dorénavant il faut plus de « foi » pour croire à l’inauthenticité du Linceul de Turin que pour croire en son authenticité.
Il faut dire aussi, si vous permettez, que Dieu a beaucoup d’humour face aux bêtises humaines aussi bien dans le domaine scientifique (Carbone 14) que dans le domaine religieux (le Linceul n’est qu’une « icône »).
Dieu met une couche en plus, au grand étonnement de tous. Le « mystère continu » du Linceul ne s’arrête pas.
Voyons rapidement pourquoi la datation au carbone 14 de 1988 n’a aucune valeur :
En 2005, Ray Rogers, un chimiste américain qui a participé aux essais au carbone 14, a apporté les preuves que l’échantillon qui avait été utilisé pour les tests n’appartenait pas au tissu original, mais à un rapiéçage ultérieur. Ray Rogers était un septique intègre qui voulait au départ démontrer que le linceul était un faux.
Toujours en 2005, la publication d’un article de Ray Rogers, qui a aussi été membre d’un projet de recherche sur le linceul de Turin, conteste la datation de 1988 et conclut à un linge âgé de deux millénaires. La polémique rebondit aussitôt. Un chimiste du CNRS (Centre national de la recherche scientifique), Claude Gavach, qui a consacré plusieurs années de recherche au saint suaire, appuie la thèse de l’Américain.
Sceptique dans un premier temps, il a peu à peu acquis la conviction que la fabrication du linceul remonte au temps de Jésus. « Les données de Ray Rogers sont sans appel : les fils ayant servi, en 1988, à l’analyse au carbone 14 ne sont pas des originaux et proviennent d’une restauration ultérieure. »
Soulignons qu’en 2008, Christopher Bronk Ramsey, directeur de l’Institut de l’accélérateur radiocarbone d’Oxford, qui avait travaillé sur ces fameux tests, déclarait à la BBC qu’il s’était peut-être trompé dans la datation du Suaire…
Sauvé de son premier incendie en 1532, le linceul a effectivement fait l’objet d’un rapiéçage par des sœurs clarisses. Le verso a été doublé d’une toile afin de renforcer l’originale. L’ajout de teinture et l’accumulation de divers polluants au fil des siècles ont par ailleurs été relevés.
Enfin, les experts du Vatican ont condamné sans le savoir les potentiels prochains tests au Carbone 14 : après avoirs découvert des microscopiques bêtes, ils ont répandu dans le coffre du Linceul un produit organique faussant obligatoirement tous les prochains tests puisque venant ajouter leur teneur en Carbone 14. Il existe cependant un dernier et unique moyen (voir dans la vidéo). De quoi induire en erreur les spécialistes ?
Malgré cela, admettons que si par miracle, la datation au carbone 14 était exacte, d’autres indices troublant laissent à penser qu’un remplacement du tissu original par un médiéval aurait été effectué au moment des analyses (voir dans la vidéo).
Enfin, il est nécessaire de terminer cet article sur la fiabilité véritable du Carbone 14 : est-il infaillible ?
Qui a su que le professeur Harry Gove a reconnu publiquement en janvier 2000 (vidéo Discovery channel) qu’il n’était pas possible en 1988 de dater le suaire avec une certitude absolue ? Les spécialistes n’avaient pas intégré des facteurs de rajeunissement comme la chaleur, l’humidité, la présence de moisissures ou la contamination bactérienne.
Ensuite, il suffit de se promener dans les laboratoires et de vérifier les résultats obtenus pour constater les aberrations. Pour ne mentionner que les plus célèbres : 14 momies égyptiennes qui se trouvent au Musée de Manchester en Grande Bretagne ont donné des résultats totalement fausses
D’après la datation au carbone 14 ces momies seraient du Moyen-âge. Personne n’a déclaré que c’était des faux… Des sédiments volcaniques à Santorini qui datent de 1500 AJ, passés au carbone 14 ont été daté de -2590 etc.. Un des 3 laboratoires ayant analysé le linceul avait déjà commis une erreur de 10 siècles entre le corps d’une momie et des bandelettes l’enveloppant.
Comment remettre en question les datations radioactives, d’abord en ce qui concerne la préhistoire et ensuite en ce qui concerne le Linceul de Turin? Réponse: ” C’est tout simplement en consultant les publications spécialisées telles que “Radiocarbon”, “Archaeo-metry” ou les compte-rendu des congrès.
On y découvre une abondance de dates chaotiques sans rapport avec les âges officiels indiqués dans les chronologies historiques ou préhistoriques. On trouve aussi bien des dates très anciennes pour des matériaux actuels, tels ces restes de poissons de l’Antarctique vivants ou récemment tués, datés de 600 à 4000 ans B.P. (”Before Present”-avant l’époque actuelle ; la date charnière étant 1950, date des premières expériences de Libby, l’inventeur de la méthode), des bois du Moyen-âge datés de 2450 ans B.P, ainsi que des dates récentes pour des matériaux anciens, tel ce charbon du Magdalénien, d’âge officiel 17 000 ans B.P, qui n’a que 4730 ans B.P.
Les âges des objets historiques, dont la date est connue par les listes généalogiques varient de façon tout aussi fantaisiste. Certains sont trop vieux de milliers d’années, d’autres trop jeunes, d’autres encore ont des âges dans l’avenir. Les âges des tissus sont souvent trop jeunes. C’est le cas des cinq dates C14 du coton “Chimu” étudié par Burleigh, Leese et Tite en 1986 dans l’inter comparaison en test aveugle préliminaire à la datation du Linceul, qui étaient toutes trop jeunes par rapport à son âge historique (1200 de notre ère) la plus jeune datant du début du XXème siècle.
Cet échantillon dont la distribution en C14 rappelle celle du Linceul a été écarté comme “aberrant”, comme le sont d’ailleurs les échantillons dont les âges s’écartent des chronologies officielles. On ne trouve, par conséquent, dans les publications, que des âges préalablement triés.
Un autre problème : il y a le principe d’uniformité qui postule que la production du rayonnement cosmique responsable de la formation du radiocarbone dans la haute atmosphère est restée constante au cours des 40 000 dernières années, durée qui correspond à la période de validité de la méthode. Or on sait maintenant que le rayonnement cosmique a varié.
On mit en évidence des “mauvais matériaux” qui donnaient des âges surprenants et ne s’intégraient en aucune façon dans les chronologies officielles historiques ou préhistoriques. La liste en était longue: niveaux tourbeux, paléosols, ossements, cendrées, lits carbonatés, coquilles diverses. Bien plus tard, l’âge radiocarbone des peintures pariétales des grottes ornées fut suspecté à son tour car il était influencé par des solutions pauvres en radiocarbone et par des attaques microbiennes. Or ces éléments avaient tous servi à élaborer des chronologies officielles de la paléoclimatologie et de la préhistoire.
Qui plus est, même les matériaux les plus fiables tels que le bois, le charbon de bois, les grains de pollen et le collagène délivraient eux aussi de mauvais âges. Avec les nouveaux appareils permettant de doser de petites prises, il était fréquent de mesurer des âges C14 différents pour les os d’un même squelette, les graines d’un même gisement et les retailles d’un même tissu. Or tel était le cas des retailles du Linceul dont les âges étaient également hétérogènes.
A mesure que le temps passait, on découvrait non seulement que les matériaux manquaient de fiabilité, mais aussi que les principes fondant la méthode de Libby étaient erronés: la production du C14 dans la haute atmosphère n’avait pas été constante au cours du temps. Celui-ci ne s’était pas répandu de façon uniforme dans l’air, les eaux ou les organismes. Le transport du radiocarbone dans les solutions se révéla une importante cause d’erreur que Libby avait tout simplement ignorée. Du reste, les processus de distribution du radiocarbone se révélaient infiniment plus complexes que ne l’avait cru Libby. L’influence de la température et des radiations avait été mise en évidence dans de nombreux travaux, de même que la spécificité de sa distribution dans chaque espèce vivante. Il est impossible de tout citer ici…
On comprend maintenant que les dates C14 ne sont pas à l’origine des chronologies préhistoriques, mais que c’est l’inverse: ces chronologies déterminent les âges
officiels et président au tri des dates incohérentes.
En ce qui concerne le Linceul de Turin dont l’authenticité est prouvée par les travaux du STURP et la Tradition constante de l’Eglise, comment pensez-vous qu’on doive interpréter la datation radiocarbone?
Réponse: elle a été fabriquée par les ennemis de l’Eglise.
Les A.M.S. n’ont pas mesuré de date médiévale, celle-ci a été fabriquée de façon très astucieuse. C’est à cela qu’a servi le calcul statistique extrêmement complexe – et incompréhensible pour la plupart. Seuls les statisticiens ont pu en suivre les arcanes.
Ils ont tous déclaré l’âge médiéval dépourvu de fondement scientifique.
On consultera avec fruit l’étude magistrale du Dr. Jouvenroux sur le sujet. Un point d’une importance capitale dans l’affrontement du Linceul de Turin avec la méthode radiocarbone: celui-ci est le grand perdant.
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Le Linceul est authentique, la Tradition est véridique et notre »modernité » vit sur de faux principes qu’elle fait passer pour des acquis scientifiques.
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Jesus nasa
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Visage du Christ d’après reconstitution suivant le Suaire de Turin par la NASA
Pour tout autre personnage, le doute ne serait plus permis.
Nous possédons bien la momie du pharaon RAMSES II, ainsi que des textiles anciens provenant également d’Égypte, bien plus anciens que lui, sans que cela ne soit contesté. Cette remarque, pourtant déjà ancienne (en 1902) d’Yves DELAGE, à l’Académie des Sciences en France conserve toute son actualité.
Ce remarquable savant, professeur à la Sorbonne, non-croyant et libre penseur, fut ému par la noblesse du visage apparaissant sur l’image et défendait son authenticité.
De ce fait, il fut critiqué violemment et injustement par ses collègues.
Dans une lettre ouverte, il déclarait : “Je considère le Christ comme un personnage historique, et je ne vois pas pourquoi on se scandaliserait qu’il existe une trace matérielle de son passage.” La controverse qui n’a fait que se développer depuis cette époque (vers 1900) , dépasse de loin l’authenticité ou  l’inauthenticité du Linceul.
Elle fait partie du conformisme intellectuel actuel qui nous répète, toujours et partout, ce que nous devons penser.
Et le professeur LUCOTTE, lui aussi un scientifique incroyant respectueux des faits et des croyances d’autrui, en a fait la douloureuse expérience récemment . Nous citons textuellement :
“Qui sont-ils, ces dénonciateurs de prétendues contrefaçons, ces chevaliers modernes  défenseurs des pauvres croyants abusés dans leur foi, ces messieurs-dames Je-sais tout qui, forts de leurs certitudes, ne manquent pas une occasion de s’en prendre aux reliques du christianisme et, à travers elles, à cette religion “ringarde” qu’est la religion catholique “.
 A méditer…
Enfin, pour boucler la boucle, le mathématicien et épistémologue Arnaud UPISNKY applique la méthode des systèmes experts à l’authentification du linceul de Turin. Il présente cette démarche épistémologique entièrement nouvelle qui est la démonstration scientifique de son authenticité. (Voir dans la vidéo 2).
Conclusion :
Film infalsifiable du ” moment ” fondateur du christianisme pour la science, objet du premier acte de foi des chrétiens selon les Evangiles, le Linceul de Turin est un signe de contradiction invincible.
Il a résisté à toutes les tentatives de disqualification depuis cent dix ans, c’est un fait aujourd’hui acquis. La surabondance d’éléments favorables à l’authenticité avait jusqu’à une date récente dispensé d’une épistémologie générale cette pièce archéologique la mieux étudiée au monde.
La contradiction du C 14 a, paradoxalement, rendu l’immense service de rappeler qu’en sciences comme ailleurs l’accumulation de preuves ne dispense jamais d’un jugement de vérité. L’apport décisif des ” systèmes experts “, c’est d’exiger la mise en place d’une architecture d’analyse méthodique des différents éléments du dossier.
En découle une synthèse logique contraignante au terme de laquelle il apparaît, sans échappatoire possible, que le Linceul est, par sa nature même, sa propre démonstration d’authenticité, au troisième degré par défaut, en ce sens qu’il ne peut pas être autre chose que l’authentique linceul de Jésus Christ.
C’est pourquoi, il n’est plus possible, du point de vue des exigences de la raison, de le présenter comme si il était la représentation du Christ , sans reconnaître qu’il est le Linceul des Évangiles : ” photographie ” du corps supplicié de celui qui a dit ” Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie “.
Le linceul de Turin peut facilement être vu comme une évidence scientifique irréfutable de l’existence de Dieu. On Pourrait difficilement se présenter des preuves scientifiques plus éloquentes sur la réalité de Dieu que celles que nous présente le Linceul.
Mais il est possible que beaucoup d’athées, agnostiques et indifférents religieux refusent de croire tout ce qui est exposé. Les preuves objectives sont écrasantes, mais non définitives. Il est nécessaire de mettre une petite portion de foi pour croire à l’existence du Fils de Dieu révélé à travers le Linceul. Mais n’oublions pas une chose : une partie de la définition de la foi selon la bible nous indique cela : “La démonstration des choses que l’on ne voit pas” ou lorsque “l’invisible devient visible” : n’est-ce pas le cas avec le Linceul ?
La science et la raison font là une brillante démonstration des choses que l’on ne voit pas, à savoir Dieu, et cela peut légitimement amener à la foi selon la bible…
L’Histoire Sacrée démontre que même avec les preuves les plus éloquentes il n’est pas possible de changer l’avis de quelqu’un qui ne veut pas accepter Dieu.
Judas a vécu plusieurs années en la compagnie de Jésus-Christ, a vu Ses miracles, a vérifié par lui-même la Sagesse qui émanait de Ses lèvres et pourtant…
En outre, il faut s’arrêter un instant sur l’incroyable échec de la science moderne pour donner une explication rationnelle à l’image christique imprimée sur un très vieux linge. Il n’y a aucune explication, et ce linge est absolument le seul dans ce cas. La recherche scientifique qui va si loin et qui est capable de tant de merveilles bloque inexplicablement sur le Linceul, dont l’origine dépasse la nature…
A l’inverse, si l’on prend l’hypothèse de la Résurrection du Christ, qui est celle que privilégient multitudes de personnes depuis des siècles, tout s’éclaire et tout devient cohérent.
Certains s’irritent donc aujourd’hui que l’Eglise ne conclue pas publiquement à l’authenticité du Linceul du Christ devant tant de faits concordants. En effet, si la relique est bien contemporaine des évènements, il n’y a plus que deux alternatives :
Croire au miracle de la résurrection ou admettre la possibilité d’un faux tout aussi miraculeux du 1er siècle… A chacun de décider.
Note de l’auteur de cet article :
Alors, à tous ceux qui, comme l’apôtre Thomas, ont besoin de voir pour croire, le Linceul semble être une manifestation tangible de la véracité du passage de Jésus sur terre, de sa mort ainsi que de sa résurrection. Il confirmerait ainsi le pilier du Christianisme et la vérité du message de Jésus. Dans ce contexte, il semblerait évident de ne pas vénérer, prier ou encore se prosterner devant le linceul car en effet, si le Linceul est vrai, et nous avons vu que c’est très certainement le cas, il paraîtrait important de se remémorer simplement un des 10 commandements : “Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point”.
La science comme la raison peuvent éclairer ou renforcer la foi ou même la faire naître…

 

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 (Tiré du blog : http://www.prisedeconscience.org/)

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Ouvrage de synthèse de Johann Livernette

 
 
 
Présentation par Johann Livernette de son ouvrage de synthèse
 
" Le complot contre Dieu"
 
 
 
Couronne de France
 
 
 
 
       
 
 
 
"L’union ou tout du moins la coopération des patriotes est aujourd’hui et plus que jamais une nécessité. Pour faire face efficacement au système mondialiste, l’idée de patrie est fondamentale. Il est en effet essentiel d’avoir le même amour de sa patrie, de son pays, de sa terre, de sa religion, de ses traditions, de sa culture, de son terroir, de son glorieux passé, de nos glorieux aînés, de tout ce qui a fait la grandeur de la France et sa spécificité.
 
Sont donc concernés tous ceux qui aiment leur pays, qu’ils soient croyants ou non, mais en tenant compte toutefois d’une chose importante : la patrie française n’est point la France des Lumières, celle des encyclopédistes francs-maçons Voltaire, Diderot et d’Alembert, ni celle du laïciste Jules Ferry, ou du naturaliste Rousseau ou encore celle de l’évolutionniste Lamarck. Non, la France est la Fille aînée de l’Église catholique. Telle est la véritable nature de notre patrie. Nos élites maçonniques n’en ont pourtant pas la même conception. Ce qui, lorsqu’on est membre d’une loge, est somme toute logique.
 
 
Pour le socialiste franc-maçon Vincent Peillon, « la révolution est un événement religieux qui implique l’oubli total de ce qui la précède ». Selon lui, l’histoire de France aurait commencé en 1789. La France serait donc la France des Lumières, des droits de l’Homme.
 
Pour Jacques Attali (talmudiste franc-maçon du B’naï B’rith), c’est un peu pareil. C’est même pire. Pour ce conseiller économique à vie à l’Élysée, « un pays c’est un hôtel ». Sa conception du monde, c’est le fameux « village global ». Un concept pas très éloigné de celui de son coreligionnaire Edgar Morin et de sa promotion de la planète-patrie. Autrement dit : avoir le monde pour seule patrie. En conciliant les deux, Morin et Attali, la France serait un simple hôtel au sein d’un village global que l’on devrait accepter comme unique patrie ! Cette considération est l’antithèse de ce qu’est réellement la France. Ceci est pourtant le projet antipatriote de nos élites maçonniques, qui ne cessent de projeter leurs désirs talmudiques dans notre réalité.
 
Le problème est simple depuis la Révolution dite française de 1789 : la France n’est plus la France. La France est la République française. C’est-à-dire l’anti-France. La terre d’accueil qui sera toujours plus favorable au dernier venu, au détriment de l’enraciné. Cette république, c’est la franc-maçonnerie à découvert. Son régime politique durable, dont le gouvernement est acquis à la cause d’une nation étrangère. Nous savons laquelle.
 
Cette république française, « fille de la franc-maçonnerie française » selon les propres termes du GO [Grand Orient] en 1923, poursuit tout simplement le désintérêt national sur la base des faux principes issus de 1789. Et c’est aujourd’hui cette même république des droits de l’Homme – ne cessant de promouvoir la liberté d’expression – qui envoie en prison des écrivains pour délit d’opinion ou des patriotes sincères parce qu’ils ont voulu manifester pour leur pays.
 
 
Il n’y a pas de liberté dans cette république bananière. Il n’y a pas d’égalité, ni même d’équité, ni encore de fraternité, si ce n’est entre les frères trois points. Dans le traitement médiatique et judiciaire, on est constamment le deux poids, deux mesures. 
 
Essentiellement parce qu’un lobby communautaire écrase tout sans aucune mesure.
 
 Sur cette terre d’accueil républicaine, selon Jacques Attali, on y ferait venir des talents, des gens plein d’énergie. Pour ce même Attali, 100 000 immigrés par an en France, ce n’est pas assez. Il en faudrait 300 000, majoritairement extra-européens et non catholiques, qu’on nous oblige à considérer comme des « talents », alors que ces prétendus talents ne sont en fait qu’un outil d’abaissement des salaires et de dissolution de l’identité française en vue d’une substitution de population. 
 
 
Simple remarque :
le peuple des francs était autrefois un peuple de combattants. En 2015, le peuple français est divisé, métissé, dévirilisé et majoritairement à genoux devant ses propres bourreaux.
 
 
Monsieur Jacques Attali est par ailleurs le promoteur obsessionnel du Nouvel ordre mondial. Ce mondialisme dont il est question est tout sauf salutaire, car il est à la fois destructeur (famille, nation et religion), antipatriote, antinational et antichrétien. De cet antichristianisme doublé d’antipatriotisme découlent les principales mesures injustes et même contre nature de notre gouvernement. Le mondialisme est aussi cosmopolite et immigrationniste. Il s’agit d’un processus destructeur qui pousse au consumérisme, à la dépression et pour finir à la damnation des âmes. Ce système de nature talmudo-maçonnique est donc tout ce qu’il ne devrait pas être. De surcroît en France. La solution à ce fléau est diamétralement son opposé : elle est constructive, patriote, nationale et catholique. Elle défend son identité, poursuit le bien commun, favorise le travail, le juste salaire, la famille traditionnelle et se soucie du salut des âmes.
 
 
 
Dans l’alternative au mondialisme cosmopolite immigrationniste, nous entendons parfois parler d’un retour à la souveraineté nationale face au pouvoir d’institutions supranationales. Mais cette souveraineté est celle de l’État. C’est une vague idée de l’État qui s’est substituée au monarque très chrétien. Et comme l’État français et ses institutions sont pilotés par une secte, il ne peut s’agir que d’une fausse souveraineté.
 
Ils sont assez nombreux, désormais, à défendre la France aux heures de grande écoute, à surfer sur la vague patriote tout en étant discrètement affilié à une loge. Ce qui est en soi contradictoire, car on ne peut être franc-maçon et patriote, contrairement à ce que voudrait nous faire croire Monsieur Gilbert Collard.
 
Mais de quelle France s’agit-il ? De quelle France nous fait-on l’éloge dans les médias dominants ? Est-on patriote lorsqu’on est républicain ? Lorsqu’on défend la France des droits de l’Homme et la devise « Liberté, égalité, fraternité » ? Lorsqu’on défend la France façon « auberge espagnole black-blanc-beur » ? Peut-on être patriote lorsqu’on est un déraciné avec une double voire une triple nationalité ?
 
La souveraineté nationale apparaît désormais comme une évidence. Mais à certaines conditions. C’est qu’elle ne soit ni républicaine ni démocrate ni laïciste. 
 
C’est qu’elle soit en rupture totale avec les faux principes issus de 1789. 
 
De plus, cette souveraineté doit être elle-même soumise à une souveraineté supérieure : celle du Christ, Roi des nations et Rédempteur de l’humanité.
 
Tout catholique devrait être patriote. Tout catholique devrait aimer son pays pour ce qu’il était et non pour ce qu’il est devenu. Tout catholique devrait combattre pour sa patrie de cœur. Tout catholique devrait avoir un esprit de reconquête et de reconstruction.
 
Patriotisme et catholicisme sont intimement liés depuis des siècles. Joseph de Maistre écrivait d’ailleurs qu’ « il n’ y a pas de véritable patriotisme sans la religion ». La relation entre les deux a eu son effet dans l’Histoire. 
 
Sur les âmes comme sur le patrimoine français. 
 
Sur les choses visibles et les invisibles. 
 
Pour rappel, l’âge d’or de la France correspond à la période où elle fut pleinement catholique et patriote, du temps de saint Louis, à la fin des croisades.
 
Depuis, Réforme protestante et Révolution sont passées par là. Ce que les protestants ont voulu, les francs-maçons l’accomplirent. 
 
La République se substitua à la monarchie chrétienne pendant que la contre-Église s’octroyait l’autorité spirituelle.
 
Changement de régime, changement de religion d’État, changement dans les mœurs et dans les esprits. Changement de direction pour la France qui, depuis, court à sa perte.
 
Dans son livre Études sur la souveraineté, l’éminent Joseph de Maistre écrivait sur un ton prophétique :
 
" La guerre faite à la religion causera la ruine du patriotisme dans les cœurs […] Pour les Français, la religion et le patriotisme se confondent. On ne voit le patriotisme briller que dans les siècles de croyance, et toujours il décline et meurt avec elle.
Cette relation particulière entre la France et Dieu est une importante leçon à retenir de l’histoire de France : coupée du Christ, la Fille aînée de l’Église périclite."
 
Dans sa lettre adressée à monseigneur Fava, le 2 juin 1892, le pape Léon XIII parlait de « coopérer entre honnêtes hommes face à la persécution sectaire ». Il prônait, à juste titre, une sorte d’union des patriotes face à la puissance occulte maçonnique.
 
Toujours au XIXe siècle, l’auteur contre-révolutionnaire Antoine Blanc de Saint-Bonnet écrivait quant à lui :
 
" Demain, ceux qui tiennent à la vie vont être obligés de s’unir à ceux qui défendent la foi, car ceux qui demandent leur sang se rangeront ouvertement sous le drapeau de l’athéisme et du carnage. Alors, tous les partis n’en formeront que deux : l’un désirant que Dieu triomphe pour que la France existe, et l’autre que la France périsse pour satisfaire la soif de crime que l’envie allume dans leur cœur."
 
 Cette soif de crime et de domination est ce qui caractérise la franc-maçonnerie, Synagogue de Satan. Le triomphe de la France alliée à Dieu est ce qu’espère tout patriote français.
 
Pour la France et Dieu ou contre la France et Dieu, tel est le clivage établi par Antoine Blanc de Saint-Bonnet. On ne saurait lui donner tort, car l’un ne va pas sans l’autre, notamment si l’on s’en réfère au pape saint Pie X qui écrivit il y a plus d’un siècle :
 
 « Le salut de la France ne peut être obtenu que par la reconnaissance du règne du Christ sur la nation ».
 
 Malgré les événements récents qui incitent naturellement au désespoir, nous avons toutes les raisons d’y croire car, toujours selon saint Pie X : « Dieu garde pour la France sa prédilection ».
 
 
 
Johan Livernette
 
 
 

«Le catholicisme: religion d’état.»

« Il faut refaire du catholicisme la religion d’état en France.»

… Nous dit Alain Soral.

On pense ce que l’on veut du personnage d’Alain Soral, peut-importe.

Il n’en reste pas moins que l’analyse des choses qu’il donne à Media Presse Infos dans cette vidéo représente une intéressante synthèse.

De la catastrophe franc-maçonnique, « religion de la république » selon Vincent Peillon, aux racines catholiques de notre civilisation, jusqu’à l’ébauche de solutions possibles, son approche structurée et pertinente semble pour le moins digne d’être écoutée.

***

 

Incroyable mais vrai …

 

 

Quand j'étais gosse, cette expression faisait allusion au "coup du lapin" par lequel "le père François" sacrifiait son lapin pour le repas du Dimanche …

Je reproduis ici un article l'article de http://fawkes-news.blogspot.fr/  auquel je n'ai rien à  rajouter …

 

 

 Dimanche 30 novembre 2014
 
Après avoir ignoré la cathédrale de Strasbourg, François  prie dans la Mosquée bleue d’Istanbul …
 
 
 
" En début de semaine, le pape François s’est rendu à Strasbourg. On aurait pu penser qu’il serait allé à la cathédrale, une des plus hautes du monde (elle culmine à 144 mètres), une des plus belles (elle est la deuxième cathédrale la plus visitée en France), d’autant que celle-ci avait été souillée par les horribles Femen quelques jours avant sa venue.
 
 
Une prière de réparation du Pape aurait été réellement bienvenue dans la maison de Dieu, celle du Christ, mais non, il n’a pas fait le détour.
 
Il a préféré se rendre dans le temple maçonnique qu’est l’assemblée européenne où, sans surprise, il a été ovationné par l’ensemble des députés européens, quelle que soit leur tendance politique ou leur appartenance à quelque loge…
 
Après cette infamie, on aurait pu penser que François  se serait ravisé. Eh bien non, en visite à Istanbul, celui-ci est allé prier… à la mosquée bleue, au côté du grand mufti. Le Figaro nous relate comment cela s’est passé et les raisons pour lesquelles il a agi ainsi : son prédécesseur, Benoît XVI, s’étant déjà rendu et recueilli dans cette mosquée, une polémique en était née pour savoir si Benoît XVI avait prié ou non.
 
Le Vatican avait officiellement dit qu’il ne s’agissait que d’un recueillement. Là, nous dit Le Figaro, « c’est sans doute pour éviter l’ambiguïté mais surtout par conviction profonde – François inscrit le « dialogue » avec les autres, et les autres religions, comme une priorité de son pontificat – que le successeur de Benoît XVI, dans la même mosquée, a donc croisé très visiblement les doigts, incliné longuement la tête en fermant profondément les yeux, deux à trois minutes, pour prier à l’évidence.
 
Et pour… signifier qu’il priait.
 
Et ce en direction du mihrab, cette niche cernée de deux colonnes, qui indique la qibla, donc la direction de la ka’ba de la Mecque. »
 
 
 
Voilà où en est l’église conciliaire, et ça se passe de tout commentaire… "
 
 
 
 
françois premier
 
François premier, pape.
 
 
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Les Editions Barruel : INCONTOURNABLE

franc-maçonnerie clergé de la république
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Un site extrêmement bien documenté concernant la franc-maçonnerie :
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Voici sa propre présentation:
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« Permettez ces quelques mots avant de prendre connaissance des FAITS qui vont vous être annoncés sur ce petit site.
Je pense que, le fait de savoir QUI gouverne et dirige un pays, ce pays qu’est la France, est au moins aussi important que de savoir le temps qu’il fera demain, ou le prix de la denière console vidéo sortie…
Or, la réalité est bien différente de celle que l’on vous jette en pâture… dans la presse « officielle »…
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franc-maçonerie clergé occulte de la république
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Une secte, la franc-maçonnerie, par leurs laquais et autres pions « républicains », dirige, gouverne ce pays…
Les pages que vous allez lire sont « SIMPLEMENT » des FAITS.
MON INTENTION EST D’INFORMER.
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Informer est aussi un devoir…
Vous en pensez ce que vous voulez, mais si vous cherchez réellement à comprendre « ce monde qui nous entoure », vous en arriverez aux mêmes conclusions »
franc-maçonnerie clergé de la république
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Comme vous pouvez le voir, cher lecteur,  il y a aujourd’hui de plus en plus de gens en effet qui arrivent aux mêmes conclusions !
franc maçonnerie, clergé occulte de la raie publique
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grand orient clergé occulte
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(Les illustrations de cette page proviennent du site barruel.com)
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La religion occulte depuis plus de 200 ans.

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« Aucune décision importante en France ne se prend sans la divine bénédiction, la pression ou l’influence d’un bienveillant frère. »

Magazine « Capital »

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« les Frans-maçons du Grand Orient dont j’ai été pendant 25 ans (j’assume), en voulant tuer le catholicisme on fait le lit de l’Islam et c’est devenu le train de l’histoire que rien ne semble pouvoir arrêter, vu la lâcheté collaborative de tous nos gouvernants exceptés de la Russie et de la Chine qui sont concernés au premier chef par ce problème…  « 
 
Charles Davin
Forum du site Boulevard Voltaire 31.08 2013

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2501602-3520300    
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 Il est grand temps de séparer le grand orient de l’Etat ! 

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http://www.christianophobie.fr/breves/christianophobie-les-francs-macs-a-la-manoeuvre :
 
 
 » Un lecteur (merci D. N.) me livre, par courriel, un fort bon exemple de christianophobie : 
 
Je lisais un livre scientifique sur l’athéisme (rassurez-vous, dès la page 31 l’auteur se marche sur les pieds comme tous ses semblables – mais j’aime bien me tenir au courant de la pensée athée du style « on a filmé la conscience », ou bien « on sait enfin tout sur l’Univers », ou encore « nos frères les singes », etc. ), et j’ai eu la surprise de voir que l’éditeur H&O était subventionné par la Région Languedoc-Roussillon (c’est à dire par les impôts de ses habitants).
Ce livre est la traduction en français d’un ouvrage nord-américain écrit par un des quelques antithéistes notoires des USA (c’est ainsi qu’il se définit au-delà du simple athéisme) qui milite contre « l’Intelligent design».
 
Je me suis donc demandé qui était cet éditeur subventionné.
 
Ses gérants sont Henri&Ollivier, d’où le sigle H&O (info publiques trouvées sur le Web) Henri Dhellemmes co-auteur de livres érotiques et homo (cf lectura.fr) & Olivier Tourtois co-auteur avec Katerine Forrest (romancière lesbienne réputée aux U.S.A, à ne pas confondre avec “notre” Caroline Fourest) du livre « Meurtre par tradition » ou encore auteur du livre d’érotisme gay « Coupable ».
 
La ligne éditoriale d’H&O est sur son site Web : « Pour la liberté sexuelle, contre tous les obscurantismes, H&O est une maison d’édition assurément gay, résolument athée et évidemment féministe ». Plus de 200 livres « pour fêter la diversité sexuelle dans une grande sarabande colorée » et une collection de 12 titres d’athéisme « pour déconstruire le discours moralisateur des marchands d’illusion ».
 
Son siège social : 10, rue du Parc des Garrigues 34380 Saint-Martin-de-Londres, ou bien : CS00001, 34270 Le TRIADOU. http://www.ho-editions.com/about/
http://www.ho-editions.com/products-page/atheism/
 
Le livre que je lisais remerciait en plus deux personnes pour leur aide : Marc-Jean Filaire, agrégé et responsable de la filière « lettres modernes » de l’université de Nîmes auteur du livre L’Ado, la folle et le pervers. Images & subversion gay au cinéma et « coordinateur » à la revue Entrelacs (éd ESAV à Toulouse) sur la « notion du gender » ; Vincent Ramos, professeur de lettres classiques au collège de la petite Camargue dont il assure aussi la maintenance du serveur web et du site du collège. Vacataire à l’université Paul Valéry de Montpellier, formateur à la DAFPEN du rectorat de Montpellier (formation des professeurs de l’éducation nationale), et auteur du livre La face cachée de Dieu, qui est-il, que veut-il, nous aimes t-il ? Traductrices : Véronique Dassas essayiste et traductrice qui donne un peu dans le social et le féminisme et Colette Saint-Hilaire essayiste et traductrice. Elles ont travaillé à la traduction en français de plusieurs livres anglais sur l’athéisme et l’anticléricalisme et semble avoir en commun un pied au Canada.
 
Ce livre de 350 pages est vendu pour la modique somme de 19 €, alors que le prix d’un tel livre, en plus traduit de l’américain, devrait être de 29 € au moins.
 
Merci donc aux habitants du Languedoc-Roussillon qui paient des impôts pour vulgariser à moindre prix la pensée athée, et merci aussi à leurs élus athées pour leur soutien au réseau mondial de déchristianisation et de promotion de l’homosexualité qui nous mène droit à la décadence éthique, donc économique et sociale (1,29 million d’€ par an de subvention au livre en général, pour cette région).
 
J’ai alors creusé un peu plus pour connaître qui pouvait être derrière cette manne :
 
En 1973, Francis Vals (rien à voir avec notre ministre Manuel Valls) franc-maçon, membre de la Loge La Libre Pensée de Narbonne, dépendant du Grand Orient de France, a été le premier président du Conseil Régional du Languedoc-Roussillon.
 
Question : Après lui plus de frères ni de sœurs au Conseil ?
 
Je suis donc reparti en recherche pour trouver un article récent de Jacques Molénat (journaliste à L’Express, expert de ces questions). Voici ce qu’il écrit :
 
« partant du début des années 70, on trouve 300 frères pour 6 loges. La franc-maçonnerie locale est passée aujourd’hui à 2 200 frères (et sœurs car il y a 20 % de femmes) pour 48 loges. Soit un rapport de l’ordre de 7 pour 1 000 habitants au regard d’une moyenne nationale de 2,5 pour 1 000 seulement. « 
 
Pourquoi une telle présence « dans la machine montpelliéraine » ? Il répond :  
 
« Ce n’est pas seulement des petits arrangements entre amis, même si plus d’un s’y intéressent en espérant une ascension sociale plus rapide. Il y a aussi la tradition universitaire bien ancrée à Montpellier, ou encore les réseaux juridiques et le rôle certain que jouent ces personnalités [FM] dans les institutions, notamment dans la préparation de décisions municipales ou au niveau de l’agglomération.
 
Il y a des cas supposés de dérive, comme celui d’Alain M[…] au CHU de Montpellier… Lui-même l’a dit ouvertement en arrivant à Montpellier : “Je suis flic et franc-maçon”. On peut dire qu’il avait installé un gouvernement maçonnique à l’hôpital, qui est le plus gros employeur de l’Hérault.
 
Il a fait venir de Paris des hommes de confiance de la Grande Loge de France, son obédience. Il avait aussi établi un lien de proximité et de coopération avec un autre frère, Jacques T[…], alors doyen de la faculté. Et que dire aussi du tribunal de commerce de Montpellier ? C’est vrai que Michel F[…] (président du Tribunal de commerce de Montpellier jusqu’à sa démission en janvier 2000 et ancien président de la CRCI) est franc-maçon et que sa gestion de l’affaire Montlaur (chaîne de supermarchés en faillite en 1991) a été contestée, en raison, en particulier, des honoraires faramineux touchés par les administrateurs judiciaires qu’il avait contresignés…, c’est un fait établi que beaucoup de tribunaux de commerce sont aux mains de francs-maçons. C’est le cas à Béziers où le président est membre de la Grande Loge nationale de France ».
 
Pourtant, sur France-Culture, le 7 avril 2013 à partir de 9H42, au cours des émissions religieuses du dimanche matin, la séquence des Francs-Maçons a été occupée à démontrer que les F.M. ne sont en aucun cas des infiltrés tirant en coulisse les ficelles de la révolution des mœurs.
 
Pour cela, un docteur de l’École pratique des Hautes études, spécialiste des sciences du fait religieux (approche matérialiste-athée des religions prises sur un même niveau au sens de Vatican II), et qui est maintenant Maître de conférence à l’Université Catholique de l’Ouest,
 
présenté comme totalement indépendant et objectif, a exposé que tout n’était qu’une théorie du complot, montée à la fin du XIXe siècle par un abbé et qui a la vie dure. (http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4366213)
 
Alors que penser ?
 
Je donne deux indices.
 
Le mercredi 10 avril 2013, la Fédération nationale de la Libre Pensée (ni dieu, ni maître) a été reçue par le Président François Hollande, à l’Élysée.
 
« La Libre Pensée » lui a réaffirmé sa volonté de voir abrogée la loi Debré, «mère de toutes les lois anti laïques».
 
De même, elle a rappelé sa demande de voir supprimé le concordat d’Alsace-Moselle.
 
Enfin, la Libre Pensée a informé le Président de la République qu’elle avait sollicité toute une série d’entrevues avec différents ministères pour aborder « un panel de dossiers », mais seul le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche les a reçus. Le Président de la République a promis de demander aux ministres concernés de recevoir la Libre Pensée. (Elle a déjà droit de cité environ une fois par mois lors des émissions religieuses du dimanche matin sur le créneau du Grand Orient de France  et de la Grande Loge de France masculine et féminine, mais c’est insuffisant car il lui faut diriger les projets de loi dans les ministères).
 
La libre pensée regroupe des radicaux, anarchistes et socialistes, pour peu qu’ils promettent d’être anticléricaux et antithéistes et de défendre toutes les options libertaires actuelles.
 
Existe-t-il une seule association (de quelques milliers de personnes dans le monde) qui puisse obtenir une telle docilité ?
 
 
Le 16 novembre 2012, le ministre de l’Éducation Nationale, Vincent Peillon, a présenté devant le Grand Orient de France « sa loi » sur la réforme de l’instruction sur « le genre » pour la tranche des 6-16 ans de l’enseignement obligatoire, puis en Conseil des ministres…
 
Elle est maintenant votée avec la mention de cet enseignement du « genre »à l’art. 31 « 
 
 
*
 
Cet intéressant témoignage ne révèlant bien entendu qu’une humble cassette  parmi celles du trésor de guerre  de la « Religion de la République »  qui peut ainsi, par ce pillage incessant, financer ses  opérations de destruction de la Civilisation en toute quiétude :
 
 
Abrutissement par l’école : 
 
(a-culturation par la falsification de l’Histoire, suppression de la plupart des auteurs classiques des programmes de français, endoctrinement « citoyen » et athé permanent et pour faire bonne mesure aujourd’hui : théorie du genre, en provenance directe des loges mondiales de l’OMS, il faut le savoir !)
 
Grand remplacement de la population de souche par l’immigration de peuplement et sa religion d’importation :
 
Dénoncer ce fait  de haute trahison de la France Historique étant passible de sanctions et de lynchage médiatique foudroyant.
 
Déchristianisation par tous les moyens : 
 
C’ est  l’assurance d’une parfaite amnésie spirituelle et charnelle de sa condition humaine réelle.
 
Destruction de la cellule familiale organique :
 
Ce qui permet une plus grande vulnérabilité d’individus mobiles, sans attaches ni solidarités autres que celles de … l’Etat ! (qui pourra alors « aider » grâce à ses « subventions » : Technique bien rôdée du « Pompier-Pyromane »)
 
 
Sabotage de l’Art :
 
Faire disparaitre la Beauté de ce monde, habituer progressivement les humains à la laideur et  l’abject.
Promotion subventionnée de « l’Art Contemporain »  qui n’est en réalité que laideur absolue et immondices, mais aussi  marché juteux et par conséquent pourvoyeur de TVA !
 
Etc, etc ……
 
 
A part celà, la Franc-Maçonnerie … « n’a que très peu d’influence sur les affaires du Pays et sur les « Pompes à Phynance  » , comme on le lit régulièrement dans « Le Monde », « l’Express »,  » Le Figaro », etc.… c’est à dire leurs journaux qui, comme par le plus grand des hasards, sont aussi ceux du Gros Argent apatride !
 
 * 
 
 *

 » Jusqu’à présent les nations ont été tuées par conquête, c’est à dire par voie de pénétration; mais il se présente ici une grande question: Une nation peut-elle mourir sur son propre sol, sans transplantation ni pénétration, uniquement par voie de putréfaction, en laissant parvenir la corruption jusqu’au point central et jusqu’aux principes originaux et constitutifs qui font ce qu’elle est ? « 

 

Joseph de Maistre (1753-1851)

 

 

 

Des faits parmi d’autres témoignant de « l’Humanisme maçonique » :

 

     

 

*

 Comment 200.000 maçons imposent leurs lois à 59.800.000 non-maçon !!

 

       

 

Partie 2 :

 

 

 *

La contre-église maçonique en raccourci : 

 

 

le 14 juillet 1889, Albert Pike (Grand Maitre du 33 ème degré d’initiation) déclarait aux 23 suprêmes conseils du monde (les chefs de la Franc-maçonnerie mondiale) :

«la véritable et pure religion philosophique (= maçonique) est la croyance en Lucifer».

(source « La Maçonnerie » de Ph. Ploncard d’Assac)

 

« ILS » se prétendent grands démocrates et voix du peuple mais c’est le mensonge le plus éhonté de tous les temps car ils ne représentent qu’eux-même :

C’est à dire 0.33 % des 60.000.000 environ de Français !!! 

 La France se redressera dès qu’elle se sera débarassée de ce véritable cancer qui la ronge dans ses forces vives et qui a lancé ses métastases partout, grâce à ses innombrables chapelles distillant leurs idéologies mortifères :

Idéologies dites « modernes » :

Anti-traditions, anti-chrétiennes, anti-mémoire, anti-libertés, anti-beauté, anti-famille, anti-France !

MAIS AUJOURD’HUI, « LE ROI EST NU » ET LEUR REGNE, né dans le sang et les larmes du Peuple Vendéen et de centaines de milliers d’innocents, touche à sa fin.

Ils n’ont certainement plus vocation à diriger notre pays aujourd’hui  et s’ils ne se maintiennent encore en place, ce ne sera qu’au prix du durcissement de leurs méthodes habituelles. 

 

Qu’importe, « Ils » sont désormais convoqués devant le tribunal de l’Histoire et les Français auront à les juger.

 

Ils le savent !

 

Valls 96
 
 
hollande 75 non
 
 
 
 

Maurice Caillet : « J’étais franc-maçon. »

Maurice Caillet ex franc-mac
 
Maurice Caillet était franc-maçon. Profondément athée, il a vécu un retournement aussi inattendu que décisif.
 Maurice Caillet ex franc-mac
*
Récit :
 
 
« J’ai cherché la lumière en vain dans les initiations.
Être franc-maçon a facilité mon ascension professionnelle. Pourtant, en 1983, je me retrouvai en grandes difficultés professionnelles. Dans le même temps, la santé de mon épouse Claude me préoccupait de plus en plus. Elle présentait des troubles digestifs graves et très douloureux. Elle ne s’alimentait presque plus. Aucun traitement, ni scientifique, ni occulte, ne parvenait à résoudre ses maux.
Je proposais à Claude de quitter la Bretagne quelques jours pour Font-Romeu, comptant sur les vertus d’un changement de climat. Début février 1984, je la transportai, allongée, dans notre voiture. Malheureusement, elle dut rester alitée durant tout le séjour.
Un choc cosmo-tellurique :
Il me vint alors une idée bien saugrenue pour un athée. Je lui proposais que, sur la route du retour, nous fassions étape à Lourdes. J’espérais que cela provoquerait chez elle un choc psychologique salvateur ou un choc cosmo-tellurique. Mes recherches en radiesthésie et en géobiologie m’avaient en effet appris que ce site était situé sur un croisement de courants telluriques. Le choc fut immense. Son mari, médecin scientiste, franc-maçon et anticlérical, lui suggérait d’aller à Lourdes !
Chrétienne dans le secret de son cœur, Claude se mit à craindre qu’un échec de cette démarche ne déclenche en moi un surcroît de scepticisme et d’athéisme.
À Lourdes, nous sommes allés à la Grotte où les chrétiens croient que la Vierge Marie est apparue à une jeune bergère, Bernadette, puis aux piscines, où les malades venus en pèlerinage sont plongés dans une eau qu’ils considèrent miraculeuse.
Confiant Claude à des mains expertes, je cherchai refuge dans une crypte. Une messe y était célébrée. J’écoutai avec attention. À un moment, le prêtre se leva et lut cette parole :
«Demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira… Parole du Seigneur Jésus.»
Cette phrase que j’avais entendue souvent lors des rites d’initiation maçons, c’était une parole de ce Jésus que je considérais comme un sage et un grand initié, mais pas comme le Seigneur !! 
Un long moment de silence s’ensuivit et j’entendis nettement une voix douce qui me disait :
«C’est bien, tu demandes la guérison de Claude, mais qu’as-tu à offrir ?»
Fasciné par cette parole intérieure, je ne repris mes esprits qu’au moment où le prêtre éleva l’hostie et où, pour la première fois, je reconnus le Christ dans cet humble morceau de pain : c’était la Lumière que j’avais cherchée, en vain, dans de multiples initiations.
En un éclair et comme toute réponse, je ne vis que moi-même à offrir. Moi, l’athée qui avait «bouffé du curé» pendant plus de quarante ans…
Dès la fin de la messe, je suivis le curé dans la sacristie et lui demandai de me baptiser sans me douter que toute une préparation était nécessaire pour recevoir ce sacrement. Il me l’expliqua, me renvoyant vers l’archevêque de Rennes.
Ma nouvelle vie :
Porté par l’expérience que je venais de vivre, je rejoignis Claude. Elle ne put que constater la joie nouvelle qui émanait de moi. Sur la route du retour, ma curiosité insatiable pour la foi et la vie chrétienne, la manière de prier et mon désir d’être baptisé finirent de la convaincre de la véracité de mon retournement.
C’étaient mes premiers pas dans ma vie nouvelle. De plus en plus attiré vers cette Lumière que j’avais entrevue à Lourdes, je quittai peu à peu et non sans difficulté tout attachement occulte et maçon.
Commençait pour moi une existence tournée vers l’amour de Dieu et des autres. Quant à Claude, elle recouvra la santé de manière inespérée. »
 
 
« J’étais franc-maçon » Maurice Caillet, Éditions Salvator
 
 
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