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Voici leur superbe petit texte de présentation :
» Nostalgie certes,mais aussi et surtout défense et promotion des valeurs et attitudes « vieille France »: la foi, la famille, les traditions, l’honneur, la terre et le terroir, le savoir-vivre, l’élégance, l’esprit chevaleresque, la morale…
« Vieille France » est en général un terme dépréciatif ( * * * : Voir note en bas de page)
Il désigne ceux qui vivent dans le passé, qui n’ont pas évolué avec leur temps, qui ont gardé des habitudes anciennes, dépassées, surannées.
Il est nécessaire aujourd’hui, et la publicité nous le serine à longueur de journée, d’être « moderne », « dynamique », « in », « dans le coup » ou « dans le vent », aurait-on dit dans les années 60. Car cette manie de modernisme date peu ou prou de l’après seconde guerre mondiale, d’une époque où l’on a voulu tourner la page du passé, d’une France vieillissante, fatiguée, détruite aussi par la guerre, d’une France à reconstruire. Le modernisme à l’américaine devenait alors la référence, le nec plus ultra.
Aujourd’hui, cinquante ou soixante ans après, quand on fait le bilan, on s’aperçoit que la technologie a révolutionné notre vie quotidienne, certes, mais que les valeurs sur lesquelles reposaient notre « vieille France » sont bel et bien derrière nous.
On a privilégié le matériel sur le spirituel, notre société matérialiste a relégué les valeurs morales au vestiaire de l’histoire.
Le résultat ?
Une société sans repères, une école qui ne sait pas où elle va, des inégalités croissantes, une misère inadmissible, le cynisme érigé en dogme télévisuel, une violence omniprésente, des familles désunies, l’amour piétiné par la pornographie, l’irrespect généralisé, le refus de toute autorité, le culte de l’argent dans toutes les classes sociales, l’abandon des religions basées sur l’amour, le mépris de la femme et de la mère, l’égoïsme et l’individualisme dominant la société.
Est-on plus heureux pour autant ?
Comment l’être dans un tel contexte ? Le nombre de suicides n’a jamais été aussi élevé, le stress au travail se généralise, les enfants souffrent de voir leurs parents séparés, le nombre de SDF augmente régulièrement, les vieux sont abandonnés dans des mouroirs baptisés « maisons de retraite ».
Le jeu en valait-il la chandelle ?
On ne peut pas revenir en arrière et il ne sert à rien de se lamenter.
Il est possible par contre de retrouver, de pratiquer individuellement et de promouvoir les valeurs qui ont fait notre « vieille France », et qui sont les mêmes valeurs d’ailleurs qui ont fait la « vieille Angleterre » ou la « vieille Europe », ces valeurs sûres qui, au fil du temps, se sont révélées, et dans toute l’histoire humaine, les plus propres à faire le bonheur des individus :
– Le respect des autres, riches ou pauvres, hommes ou femmes, qui entraîne dans son sillage la politesse, la courtoisie, la galanterie, le savoir-vivre .
– Le respect de sa famille, le respect du père et de l’époux, celui de la mère et de l’épouse, celui des grands-parents, respect qui évite à l’enfant, puis à l’adulte qu’il devient, de se croire le centre du monde et de penser qu’il a tous les droits ou qu’il n’a que des droits .
– Le respect de la femme, qui ne doit pas être réduit à un objet sexuel, et, par conséquence, la promotion de l’amour conjugal, de la fidélité, voire de la chasteté.
– Le respect de soi, le refus du laisser-aller, qu’il soit physique ou moral.
– Le respect des croyances, quelles qu’elles soient, à condition qu’elles ne versent pas dans le fanatisme. Se moquer d’une religion, c’est manquer de respect envers ceux qui la pratiquent.
– Le respect et la connaissance du passé, des objets du passé, des lieux du passé, du patrimoine, des traditions.
– Le respect de la nature, des animaux, de la terre, des terroirs, face à une urbanisation croissante.
– La tolérance : pas cette caricature de tolérance qui n’est rien d’autre que de la lâcheté et qui consiste à croire que « tout se vaut », car tout ne se vaut pas, mais celle de Montaigne qui déclarait que « seuls les fols sont certains et résolus ».
– La distinction entre le bien et le mal. Ces concepts ne sont qu’en partie relatifs, puisque cette distinction se retrouve pratiquement la même dans toutes les sociétés humaines et dans tous les temps, alors que le nôtre a tendance à la nier.
Est-ce là un programme réactionnaire ?
Ce le serait si l’on voulait nier le présent, alors qu’il ne s’agit que de rétablir un équilibre rompu.
Retrouver les valeurs anciennes, celles de la famille, de la foi, du respect de l’autre, c’est redonner du ciment à notre société, lui apporter ce qui lui manque le plus : la matière humaine.
Alors oui, « vieille France » nous sommes, et « vieille France » nous resterons ! «
Merci pour ces mots forts qui se passent de commentaires…
Que ce groupe croîsse et que tous ses amis unissent leurs talents pour éveiller les coeurs de nos compatriotes encore sous hypnose de la » Matrice » !
Vive la France éternelle !
( NOTE * * * : Souvenons-nous toujours que « ringardiser » l’adversaire est l’ arme de prédilection qu’ont utilisé les loges pour parvenir à leur fin !
Désolé, « Vénérables Frères » : Ca ne marche plus !! )