11 Novembre 2016: Marche contre l’islamisation de l’Europe:
*
Le 11 novembre 1918, la Pologne récupéra son indépendance après 123 années d’occupation.
Chaque année, le 11 novembre, des centaines de milliers de patriotes polonais célèbrent le Jour de l’Indépendance. Cette année notre manifestation sera dédiée à l’Europe. Il est temps que les patriotes de tout le continent s’unissent et s’entraident. Nous devons défendre nos nations, nos traditions et nos cultures.
Nous devons dire non au multiculturalisme et autres expérimentations dangereuses pour les peuples d’Europe. Nous voyons tous ce que représente réellement l’Islam radical. Les politiciens corrompus et les médias influencés essayent de nous faire accroire que l’Europe doit accepter des millions de réfugiés.
Il est tout simplement impossible d’assimiler un tel nombre de personnes, qui ne comprennent ni ne respectent notre culture et nos lois, et parmi lesquels se cachent de nombreux terroristes.
C’est une invasion.
Rejoignez-nous à Varsovie le 11 novembre pour la plus importante marche patriotique d’Europe. Nous vous attendons. Nous vous invitons à la plus grande manifestation de liberté en Europe.
François Hollande déclare que nous sommes en guerre au cœur même de la France (depuis longtemps, mais il ne s’en était pas encore aperçu). Il décide de fermer les frontières, annonce des ripostes implacables, réunit le Congrès à Versailles pour lui dire que sa riposte implacable consiste en une révision de la Constitution que tous les juristes en droit constitutionnel estiment inutile et irréaliste (une idée de l’un des énarques qui conseillent l’Élysée, sans doute).
On se dit qu’il a enfin compris qu’en ouvrant grand les portes de l’immigration il a aussi ouvert la France aux terroristes islamistes, on se réjouit de le voir en général des Armées. C’était mal le connaître. À peine sorti du Congrès, il annonce que la France accueillera 30.000 « réfugiés » de plus d’ici la fin de son quinquennat ! Comme le disait le général Dourakine, « Un âne à deux pieds peut devenir général et demeurer un âne ».
Il est faux de croire que cette persévérance de François Hollande dans l’erreur est gratuite ou le résultat de l’auto-adoration de son intelligence qu’il croit très grande. En fait, il n’est que le grouillot d’institutions supranationales peu voyantes, souvent partiellement noyautées par la Franc-maçonnerie, comme Nouvel Ordre Mondial, Trilatérale, Bilderberg, FAF*, etc. Elles ont en commun, outre le contrôle de la finance mondiale, l’application du Plan Kalergi pour l’Europe.
Quand on connait ce plan, toute la politique sociétale, misérabiliphore (délibérément porteuse de misère) et immigrationniste des deux gouvernements Hollande s’explique. La presse européenne ne vous en parlera pas, c’est un secret d’États européo-germano-français dont Angela Merkel est le maître d’œuvre en Europe, avec ses secrétaires l’ex-président de la Commission européenne Van Rompuy et son successeur Jean-Claude Juncker. D’ailleurs, en 2010, c’est à Mme Merkel qu’est revenu le premier prix de la Société Européenne Coudenhove-Kalergi, puis en 2012 à Von Rompuy et en 2014 à Juncker. Un prix très recherché par la super-élite mondialisée.
Mais de quoi s’agit-il ?
La vérité sur le « Plan Kalergi »
Le comte Richard Nikolaus Enjiro von Coudenhove-Kalergi est un métis de père autrichien et de mère japonaise, né à Tokyo en 1894, qui a fait de brillantes études et conçu, dès les années 1920, l’idée de l’Europe des Nations. C’est le véritable père fondateur de l’Europe, bien avant Jean Monnet, Robert Schumann et leurs successeurs. Ils ont repris quasiment in extenso les idées qu’il a publiées dans ses livres : marché commun, politique agricole commune, monnaie unique… promettant mais oubliant celles qui les gênaient : fiscalité commune, harmonisation sociale, Communauté Européenne de Défense, entre autres, dont ils craignaient qu’elles leur fassent perdre une partie de leur pouvoir sur les peuples et freinent leur enrichissement personnel.
Oublié aujourd’hui, Coudenhove-Kalergi fut autrefois très célèbre et écouté de nombreux Chefs d’État. Il fut même proposé à plusieurs reprises pour le Prix Nobel de la Paix.
En 1939 il proposa un projet d’Europe dont les grandes lignes sont : une Europe où les peuples seraient à égalité ; suffisamment soudés pour pouvoir tenir tête aux trois autres blocs, USA, URSS et Chine ; allant au-delà de la simple union économique et monétaire ; avec une forte armée commune qui aurait facilité la mixité culturelle des peuples européens blancs, chrétiens de culture gréco-romaine ; garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États associés (Europe des Nations) ; développant une mystique européenne fondée sur : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux. « De même que dans tout être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen ».
Et il insiste :
l’Europe doit être une Europe majoritairement blanche, chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne, foi chrétienne portée par un esprit héroïque et chevaleresque, afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète
(L’Europe de demain, Conférence du 17 mai 1939 à l’hôtel Ambassadeur à Paris).
Cette définition d’une Europe des Nations, réunissant les peuples européens, blancs, de civilisation chrétienne, excluant les pays communistes et musulmans, a mis les gauches européennes en fureur. Elles ont haï Coudenhove-Kalergi jusqu’au moment ou elles ont trouvé le moyen de récupérer son projet pour une faire un plan totalement détourné de l’original, un plan effroyablement raciste que l’on attribue à tort à Kalergi. Elles l’ont même accusé de nazisme, alors qu’il était marié à une juive, détesté de Hitler, et qu’il a fui le régime hitlérien en fin d’année 1939 en se réfugiant aux États-Unis jusqu’à son retour en France en fin d’année 1945.
En 1966, au Xème Congrès paneuropéen à Vienne, il se déclare déçu par l’orientation prise par l’Europe naissante, la fonctionnarisation du Conseil de l’Europe et du Parlement européen, demande une politique étrangère commune afin de tenir tête aux États-Unis pour pouvoir arrêter d’être toujours à la remorque des États-Unis et de l’OTAN dont il demande la restructuration, et un renforcement de la coopération technologique intra-européenne afin de faire de l’Europe la première puissance économique du monde. Il meurt peu de temps après en 1972.
*
La vérité sur le « Plan Kalergi »
Souvenons-nous que c’est l’époque de “l’Europe des Six” à laquelle les peuples étaient très favorables dans cette version proposée par Coudenhove-Kalergi qui avait eu pour résultat la prospérité inégalée des Trente Glorieuses (1946-1976) et la paix, ou l’absence de guerres, dans cette Europe non-communiste (pas d’Europe de l’Est) et non-musulmane (pas de Macédoine, Albanie, Croatie, Kosovo). De plus, Coudenhove-Kalergi avoue douter de la volonté des dirigeants de l’époque d’aller vers l’Europe des Nations.
À peine Kalergi mort (en 1972), la Commission Européenne entreprit, dès 1973, d’élargir l’Europe des Six (qui fonctionnait si bien), en recrutant de nouveaux pays, jusqu’à arriver aux 28 d’aujourd’hui, et cette Europe qui fonctionne si mal qu’une majorité d’Européens n’en veut plus.
C’est peu après, en 1978, six ans après la mort de Coudenhove-Kalergi, qu’apparaît le « Plan Kalergi » que certains tentent de faire remonter à 1922, alors que le premier livre de Coudenhove-Kalergi, Paneuropa a été publié en 1923.
On lui attribue le Plan Kalergi.
Il porte son nom, mais il est permis de penser qu’il s’agit d’un faux et que les auteurs ont cherché à utiliser sa notoriété pour dissimuler leur projet néo-nazi. En effet, les rédacteurs du Plan s’appuient surtout sur son livre Praktisher idealismus, mais quand on a lu ce livre, on s’aperçoit vite que l’on ne retrouve dans le Plan Kalergi que des bouts de citations tronquées, sorties de leur contexte, sans références directes et qu’il va totalement à l’encontre de la philosophie du père de l’Europe des Nations.
En effet, selon le prétendu « Plan Kalergi », l’Europe ne serait que le premier pas vers un gouvernement mondial sous autorité américaine,
…exactement l’inverse de ce que voulait Kalergi.
Pour réaliser ce “Nouvel Ordre Mondial”, il faut une super-élite et des peuples-bétails soumis par la pauvreté et disciplinés par la contrainte (du pur Orwell)
…encore exactement le contraire de ce qu’a enseigné toute sa vieKalergi qui vantait le modèle démocratique et économique suisse.
Et c’est là, dans ce projet de nouvel ordre mondial, que l’on retrouve le modèle d’Europe que veut construire avec obstination Angela Merkel, avec le renfort de la Commission européenne présidée par Juncker, et la collaboration de Hollande.
Les dernières moutures du « Plan Kalergi » en font carrément le Plan du Nouvel Ordre Mondial qui veut la disparition des races jusqu’à effacer le mot même (c’est fait, au moins dans le Larousse !) pour arriver à une espèce unique, monochrome, métisse et abâtardie, dominée par la super-élite, celle-ci étant réduite aux socialistes et aux juifs qui auraient seuls la nationalité de la Nouvelle République Mondiale, le peuple restant apatride pour qu’il oublie à la longue le mot « Patrie ».
*
La vérité sur le « Plan Kalergi »
Dans le Plan Kalergi dernière version, il faudrait, pour soumettre les peuples européens, un binôme germano-français qui imposerait sa volonté aux autres pays. Il faudrait remplacer les peuples originaires du Vieux Continent par une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux en croisant les peuples européens avec des Asiatiques, des Arabes et des Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour l’élite au pouvoir.
« L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Égyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ».
Et encore : « abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes et l’immigration allogène de masse <…> favoriser les sexualités déviantes, homosexualité (mariage pour tous) et pédophilie (via les enseignants), et détruire la famille traditionnelle (nuire à la Manif Pour Tous) <…> prendre le contrôle et acheter la docilité de la presse en rachetant les titres (Bergé, Niel, Pigasse, etc.) et en les subventionnant <…> jouer sur la fibre humanitaire pour augmenter les impôts, ruiner les classes conservatrices et justifier les restrictions des libertés (Loi sur le Renseignement) », etc.
Aujourd’hui on pourrait ajouter « jouer sur la fibre écolo pour augmenter les impôts » !
Ne cherchez pas d’autres explications aux déclarations de JC Juncker, nouveau président de la Commission européenne qui se dit « déçu » de ce que les peuples refusent d’accueillir et de financer le torrent des “réfugiés”…
« Il ne faut pas se laisser aveugler par la pensée populiste <…> C’est notre devoir de les accueillir » (Hollande)
« Nous avons le défi du métissage à relever et nous le relèverons » (Sarkozy)
« Nous pouvons accueillir 800 000 réfugiés dès cette année » (Merkel)
« Je suis déterminé à trouver des solutions collectives pour relever cet immense défi » (Valls)
« J’ai décidé d’en accueillir 30.000 de plus » (Hollande) ;
« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question » (Juppé)
« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » (G.Brock Chisholm, ex-directeur de lOMS, Islamic Organization for Medical Sciences).
Maintenant, qui a eu l’idée de ce « Plan Kalergi » dont Coudenhove-Kalergi n’est pas l’auteur et qu’il aurait rejeté avec horreur ?
Au départ, il y a Sigrid Hunke, militante néo-nazie, ex-maîtresse de Himmler et amie du grand mufti nazi de Jéusalem. Elle épousa Walter Hallstein. Le professeur de droit W. Hallstein était membre de plusieurs organisations nazies du Reich, mais pas membre du parti nazi, ce qui lui permit de s’en tirer sans trop de dommages après la guerre. Il deviendra le premier président de la Commission européenne en 1958. En 1960, Sigrid Hunke-Hallstein écrit un livre Le soleil d’Allah illumine l’Occident, qui sert de référence à tous les gogos, comme Jack Lang, qui soutiennent que l’Europe doit énormément à la civilisation arabo-musulmane. Dans ce livre, elle suggère de réintroduire en Europe un maximum d’Arabes musulmans pour métisser les peuples européens.
Ce n’est pas encore le « Plan Kalergi », mais on y vient.
Sigrid et son mari font dans les milieux européens une intense promotion des idées qui deviendront plus tard le Plan Kalergi que l’on trouve déjà esquissé dans le Plan Hallstein pour une Europe Fédérale (1965) que Kalergi, partisan de l’Europe des Nations chrétiennes, dénonça, et qui fit bondir Charles De Gaulle.
Les politiciens socialistes européens acquis au Plan attendirent la mort de Kalergi en 1972 pour recruter parmi l’élite européenne, récupérant en la noyautant la Société européenne Coudenhove-Kalergi et créant en 1978 le fameux Prix Coudenhove-Kalergi que Raymond Barre a été le premier à recevoir, puis des gens comme Helmut Kohl l’ami de Mitterrand, Ronald Reagan, et finalement Angela Merkel, van Rompuy et Jean-Claude Juncker. Ils ont fait appel aux compétences rédactionnelles de plusieurs énarques pour finaliser les modalités d’action.
François Hollande est un farouche partisan du « Plan », ainsi que Valls et Macron qui ont reçu à Bilderberg instruction de le soutenir. Si Sarkozy le soutien aussi, c’est que le club Le Siècle dont il est membre, ainsi que beaucoup de personnes de son entourage à l’UMP-LR, l’ont convaincu que c’était son intérêt.
Il est dit sur de nombreux sites Internet tellement semblables les uns aux autres (même celui de Dieudonné !) que l’on dirait que les copiés-collés ont fonctionné à tours de bras, que le « Plan Kalergi » visant au déclin de l’Europe par le remplacement et par le métissage de sa population, a été préparé par des think-tanks (réservoirs de réflexion) basés aux États-Unis.
C’est complètement faux.
Il s’agit d’une une simple manœuvre de dissimulation, c’est en réalité une co-production de l’élite franco-germanique séduite à l’idée de conserver héréditairement le pouvoir par la soumission à la manière musulmane des peuples d’Europe, masse métissée de travailleurs**.
Le plan américain est plutôt de profiter des effets secondaires de ce plan, car il aide, par la migration massive de populations arabes qu’il provoque vers l’Europe, à déstabiliser les États du monde arabo-musulman, déstabilisation sur laquelle les États-Unis comptent pour prendre le contrôle direct ou indirect, via l’Iran et l’Arabie Saoudite, de ses richesses énergétiques.
Les Américains sont peu favorables à un métissage forcé des peuples européens qui, pensent-ils affaiblira leur capacité productive et d’échanges économiques, échanges dont ils espèrent être les gagnants. De plus, comme ils ne sont pas certains du succès du « Plan Kalergi » porté par Merkel-Hollande, dont ils sentent qu’il est quelque peu néo-nazi et pourrait provoquer une révolte des peuples, ils préfèrent en cas d’échec les laisser en porter la responsabilité.
* François Hollande est young leader de la French American Foundation. ** Lire 2084 de Boualem Sansal
Fort de ses premiers succès, l’Institut Iliade a décidé de célébrer son premier anniversaire par l’action, en produisant et en diffusant une vidéo originale : « L’Europe: Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être européen ». Court, didactique, facile de compréhension et d’accès via notre chaîne YouTube, ce film propose une définition de l’identité européenne et illustre la réalité historique, culturelle, charnelle, de notre « récit civilisationnel ».
*
*
L’Europe, ce n’est pas Lampedusa, c’est notre civilisation.
L’Europe ce n’est pas l’organisation de Bruxelles, pas davantage une monnaie ou une banque centrale.
L’Europe, ce n’est pas un espace mondialisé et sans frontière.
L’Europe, ce n’est pas le monde africain, ce n’est pas non plus une terre d’Islam.
L’Europe ce n’est ni la laideur ni le non-art.
L’Europe, c’est le continent des Européens.
L’Europe, ce sont des millénaires d’histoire, 700 millions d’Européens.
L’Europe c’est une identité : la civilisation européenne et chrétienne.
L’Europe, ce sont les temples grecs, les aqueducs et les théâtres romains, les chapelles romanes, les cathédrales gothiques, les palais Renaissance, les grandes places, les béguinages, les églises baroques, les châteaux classiques, les édifices Art nouveau.
L’Europe ce sont des rivages sauvages, des montagnes majestueuses, des fleuves paisibles. L’Europe, c’est le sentiment de la nature. L’Europe, ce sont des paysages jardinés par l’homme : des bocages aux polders, des prairies aux cultures en terrasses. L’Europe c’est le terroir du pommier et de l’olivier, de la vigne et du houblon.
L’Europe, ce n’est pas l’univers de la bouffe industrielle, c’est la gastronomie de l’huile et du beurre, du vin et de la bière, du pain et du fromage, du saucisson et du jambon.
L’Europe, ce n’est pas le monde de l’abstraction, c’est l’art de la représentation, de Praxitèle à Rodin, des fresques de Pompéi à la Sécession de Vienne. L’Europe, c’est l’imaginaire celte et le mystère chrétien. L’Europe, c’est la civilisation qui change la pierre en dentelle.
L’Europe, c’est le refus de l’ahurissement, c’est la culture qui a inventé le chant polyphonique et l’orchestre symphonique.
L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. L’Europe, c’est la culture de la chevalerie et de l’amour courtois.
L’Europe, ce n’est pas le monde de la surveillance, c’est la patrie de la liberté : la citoyenneté grecque, le forum romain, la grande charte anglaise de 1215, les villes et les universités libres du Moyen Âge, le réveil des peuples au XIXe siècle.
L’Europe, c’est un patrimoine littéraire et mythologique : Homère, Virgile, Hésiode, les Eddas, le chant des Nibelungen et le cycle arthurien. C’est aussi Shakespeare, Perrault et Grimm.
L’Europe, c’est l’esprit d’invention et de conquête : c’est Léonard de Vinci et Gutenberg ; ce sont les caravelles, les montgolfières, les débuts de l’aviation et Ariane, ce sont les ponts jetés sur les mers.
L’Europe, ce sont les héros qui l’ont défendue au cours des siècles : c’est Léonidas et ses 300 Spartiates sauvant la Grèce de l’Asie ; c’est Scipion l’Africain préservant Rome de Carthage, c’est Charles Martel repoussant l’invasion arabe, c’est Godefroy de Bouillon délivrant les lieux saints et fondant le royaume franc de Jérusalem, c’est Ferdinand d’Aragon et Isabelle la Catholique libérant Grenade, c’est Ivan le Terrible éloignant les Mongols de la sainte Russie, c’est don Juan d’Autriche victorieux des Turcs à Lépante.
L’Europe, ce sont des hauts lieux : c’est le Parthénon, la place Saint Marc, Saint-Pierre de Rome, la tour de Belém, Saint-Jacques de Compostelle, le mont Saint-Michel, la tour de Londres, la porte de Brandebourg, les tours du Kremlin.
Tel est notre récit civilisationnel !
Aujourd’hui, l’Europe est l’homme malade du monde. Elle est culpabilisée, colonisée, affaiblie. Ce n’est ni fatal, ni durable. Arrêtons la repentance ! Retrouvons le fil de la longue mémoire.
Écoutons le message d’espoir de Dominique Venner :
« Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore mais de ce réveil je ne doute pas. »
Excellent reportage de TV libertés sur la route des »migrants ».
L’ Allemagne est en émoi après les agressions sexuelles de Cologne. De son côté, l’Autriche vient d’annoncer un rétablissement du contrôle aux frontières. Toutefois, cela ne signifie pas le blocage à la frontière autrichienne du flux de migrants qui continue d’arriver à raison de plusieurs milliers de personnes par jour.
En amont, malgré la fermeture de la frontière hongroise, malgré l’hiver et malgré le silence médiatique, le flux migratoire continue de transiter par les Balkans avant d’arriver en Autriche et en Allemagne.
Une équipe de TV Libertés, conduite par Nicolas de Lamberterie, s’est rendue sur place pour étudier la façon dont les pays des Balkans s’organisent pour gérer ce phénomène. Un document exclusif que nous vous invitons à découvrir et à faire connaitre.
Nos gouvernements sont complices d’une invasion sans précédent.
C’est la fin de l’Europe historique qui est planifiée: Allons nous enfin comprendre ?
Pour l’instant seul le groupe de Visegrad (aussi appelé Visegrád 4 ou V4 ou Triangle de Visegrád), groupe informel réunissant quatre pays d’Europe centrale : la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, et la Slovaquie.) s’oppose à cette folie collective de l’Europe, bientôt islamique, de l’ouest …
Ce documentaire, assez étonnament sorti sur la RTBF belge, enquête sur les tireurs de ficelle derrière les pantins non-élus de la Komission.
Les lobbies des grands groupes mondialisés (chimie, pétrole, agro-alimentaire,industrie pharmaceutique, transports routier et ferroviaires, etc… ) car ce sont évidemment eux qui régissent à présent notre destin, y sont aussi nombreux qu’à Washington DC …
Le personnel politique, inévitablement arrosé et corrompu des différents états, est désormais sous leur emprise :
S’il existe encore quelques Eurolâtres humanistes et optimistes, ils ne pourront plus dire qu’il ne savaient pas !
Le vrai visage de notre Union Burokratique des Républiques Mercantilo-Socialistes est là sous nos yeux !
L’unique idéal : « L’ouverture du marché. »
Le seul horizon : la dérégulation mondiale totale au profit du Veau d’Or !!
Pierre Hillard est un essayiste français, docteur en science politique.
Spécialisé dans l'observation de l'édification du mondialisme, il dissèque brillamment les processus technocratiques de décomposition des nations et parrallèlement de construction programmée depuis longtemps de grands blocs continentaux permettant l'avancée inexorable du rouleau-compresseur de l'Empire …
Son analyse parfaitement documentée rejoint in fine la vision chrétienne de la tour de Babel … qui inévitablement à la fin (et une nouvelle fois) s'effondrera !
Cette video est tirée de sa conférence, prévue à l" "Institut de Recherches Internationnales et Stratégiques" (IRIS), mais qui finalement a refusé de l'accueillir.
A part les forcenés « politiques » stipendiés et corrompus qui prétendent nous diriger (pas moins de 12 enquêtes ouvertes pour Nicolas Sarkösy de Nagy-Bocsa !!), qui aujourd’hui peut encore croire une seconde que l’immigration est « une chance pour la France » (Olivier Stirn)
En dehors du fait qu’il serait évidemment intéressant de comprendre pourquoi ces « responsables » laissent entrer tous les ans 200.000 personnes environ d’origine sub-saharienne pour la plupart, en toute illégalité dans l’espace Schengen, et donc chez nous, ce qui saute aujourd’hui au yeux pour l’observateur non hypnotisé, c’est que ce mouvement d’envahissement massif ne peut que se terminer par un chaos complet et sanglant si rien est fait pour reprendre les choses en mains !
Comment en effet justifier sérieusement l’importation de toute cette population dans une situation de crise économique aigüe et de chômage sans précédent ?
Mais laissons les crédules béats incurables croire encore quelques temps à cette remarquable « Chance pour la France » et occupons-nous de choses un peu plus consistantes c’est à dire la gestion REELLE de cette situation inédite qu’il faudra bien envisager tôt ou tard, que cela nous plaise ou non !
A ce sujet, des voies de sortie telle que celle proposée par Laurent Ozondevraient retenir toute notre attention.
Cette vidéo envisage avec lucidité la re-migration sous différents angles et avec beaucoup de pragmatisme.
Son propos, rationnel et dépassionné mais réaliste, devrait retenir toute notre attention.
N’oublions pas qu’à terme c’est de l’identité de tous les Peuples (aussi bien de ceux qui émmigrent que de leurs hôtes envahis) dont il s’agit et que la machine mondialiste à broyer(Nouvel Ordre Mondial) ne s’arrêtera que si le grand nombre d’entre nous se sent concernés et s’y oppose.
D’autres voies deviendront alors possible, et le plus tôt sera la mieux dans la mesure où comme le disaitJohn Kennedy (assassiné par le Nouvel Ordre Mondial):
» A force d’empêcher les révolutions pacifiques, on aboutit inévitablement à des révolutions violentes. »
Article de la Voix de la Russie publié le 14 mai 2013 :
*
» Récemment des nouvelles passées relativement inaperçues ont été publiées malgré l’interdiction des statistiques « ethniques » en Europe : Londres est désormais peuplé de 45 % d’autochtones ( anglais « dit de souche » ), Bruxelles comprend 76 % de sa population issue directement ou indirectement de l’immigration, et en île-de-France 60 % de naissances seraient le fait de populations extra-européennes.
Cette politique qui va aboutir à la mise en minorité de la population chrétienne ou traditionnelle de l’Europe a été décidée à New York (ONU) et à Bruxelles (UE).
La démographie européenne s’avère une cause perdue, les populations européennes « d’origine » ne font plus suffisamment d’enfants. A l’inverse, les populations africaines et asiatiques connaissent un boom démographique…
A cette double fatalité, l’ONU avait trouvé la solution, expliquée abondamment dans son « rapport sur les migrations de remplacement publié par la Division de la population des Nations Unies ».
Les élites onusiennes ont élaboré une planification de l’immigration vers l’Europe
(et vers d’autres pays dit développés) qui solutionnera d’une part la (presque) disparition de la population européenne et d’autre part soulagera les pays du tiers-monde de la surpopulation qui deviendrait aussi grave que le déclin démographique du « vieux continent ».
Curieusement, pour les experts, les USA sont une exception « démographique ». Sans fournir d’explications, ils nous disent que l’Amérique connaîtra avec sa démographie interne, une légère hausse de sa population. Tous les « occidentaux» ne sont pas égaux sur le plan démographique, c’est du moins le point de vue de l’ONU. Les USA n’ont par conséquent aucun besoin d’immigrés.
En revanche, pour l’Europe, les chiffres sont pour le moins édifiants :
En 2100, la population européenne autochtone constituera moins d’un tiers des habitants (170 millions) contre une majorité écrasante d’immigrés ou de personnes d’origine immigrée (pour un total de 520 millions d’habitants, soit quasiment le maintien de la population actuelle),
L’ONU décide alors de « recommander » des quotas d’immigration visant le remplacement des Européens d’origine qui disparaissent suite à leur démographie ; c’est le concept de « remplacement de population » qui est mis en œuvre.
« Tous les pays et régions étudiés dans ce rapport auront besoin d’un flux d’immigration pour éviter que leur population ne diminue. Pour l’Union européenne, la poursuite des taux d’immigration observés dans les années 1990 suffirait à peu près à éviter une baisse de la population totale, tandis que pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le taux d’immigration observé dans les années 1990. » (Extrait du rapport de l’ONU)
A la fin de la décennie 1990-2000, l’ONU recommandait une « importation » d’immigrés à hauteur de 4,5 millions d’individus par an, sachant que les populations déjà présentes d’origine immigrée aidaient les « européens de souche » à améliorer leur fécondité.
Curieusement ce chiffre est passé au cours de cette décennie à 13,5 millions par an !!
A ce rythme, les mêmes experts prévoient en 2050 que certains pays passeront le cap de la moitié (ou presque) de la population d’origine immigrée.
Ce qui signifie que les grandes métropoles européennes n’auront bientôt plus de chrétiens que leurs monuments et leurs cimetières. Ces derniers étant les seuls endroits où les « blancs » seront majoritaires. (…)
La question se pose de savoir qui tire un avantage de l’immigration de remplacement (…)
L’ONU et l’UE sont des institutions supranationales qui prennent des décisions collégiales après avoir soumis leurs projets à d’innombrables lobbies.
Les principales organisations soutenant cette politique ont été les multinationales, les lobbies pétroliers, miniers, agro-alimentaires… soit une oligarchie agissant pour satisfaire ses propres intérêts financiers ; peu importe que l’Afrique devienne un désert intellectuel et que l’Europe chrétienne disparaisse.
*
*
D’un côté, un marché de 520 millions de consommateurs sera toujours mieux qu’un petit marché de 170 millions d’Européens, de l’autre, l’immigration pourra faire pression sur les salaires et combler le manque de main-d’œuvre qualifiée … quand l’économie redémarrera.
Nous devons aussi nous interroger sur la déification de la démographie qui, à long terme, constitue une menace pour l’humanité. Toujours plus d’êtres humains, toujours moins de ressources et quand la situation est localement ingérable, nos élites décident de transférer la population mondiale au détriment des uns et des autres. «
Communisme et Nazisme se sont imposés par la force, la Nomenklatura euro-atlantique, elle, batit son empire par la ruse en circonvenant les peuples d’Europe :
François ASSELINEAU (UPR)
décortique les mécanismes de cette mise en place à marche forcée :
Nous ne pourrons pas dire que nous n’avions pas été prévenu !!!
***
Vincent Reynouard (Révisioniste)
Propager la vérité historique en attendant que les Français sortent de leur torpeur et comprennent enfin les mensonges avec lesquels ils sont en permanence anesthésiés …
***
Août 2015 :
L’économiste Charles Gave nous en sort une bien bonne sur BFM-WC !!