Les identitaires, le Front National, les intellectuels prenant « la défense de la France contre l’Islam », se font manipuler les uns après les autres par l’idéologie sioniste. Non seulement cela est parfaitement insupportable et parfaitement odieux, mais de plus contre-productif à mon sens.
En effet, ce soutien fait de ceux qui le partagent les alliés consentants des exactions sionistes en Palestine, des guerres d’extermination US au Moyen-Orient, et des plans de domination mondiale du N.W.O partout où il sème le chaos et que vomissent la plupart des peuples de la terre actuellement !
Notre culture est faite de racines celtes, gréco-romaines, et chrétiennes (« judéo-chrétiennes », ne voulant strictement rien dire puisque les juifs n’ont, justement pas reconnu le Christ comme messie !);
L’article de Pierre Vial, reproduit ci-dessous, me parait donc de la plus grande importance dans ce contexte déprimant !
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« Grandes manoeuvres juives de séduction à l’égard de l’extrême droite européenne (Terre & Peuple Magazine n°44- Eté 2010)
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Au sein de la communauté juive, beaucoup s’inquiètent des sombres perspectives qui s’offrent à elle. En Israël, où l’évolution démographique, compte-tenu des différences de taux de natalité chez les Juifs et chez les Arabes, va donner arithmétiquement à ces derniers, à plus ou moins long terme (en fait, dans quelques années), une position majoritaire.
Qu’adviendra-t-il le jour où cette masse se révoltera violemment ? La situation est tout aussi inquiétante en ce qui concerne la diaspora : en France et dans bien d’autres pays où l’immigration arabo-musulmane progresse sans cesse, les Juifs ressentent un sentiment d’insécurité. A juste titre car ils peuvent s’attendre à courir de graves dangers si l’impact du conflit du Proche-Orient met le feu aux poudres à l’échelle de la planète, la communauté juive devenant alors la cible de règlements de compte sanglants.
Face à ces menaces, qui ne relèvent en rien de la science-fiction, certains milieux juifs ont le souci, pour renforcer leur potentiel “militaire” d’autodéfense, de faire flèche de tout bois, y compris en essayant de trouver des alliés – ou plutôt des troupes supplétives, de style “harkis” – au sein de l’extrême droite européenne. En utilisant un argument simple mais efficace auprès des naïfs : tous ceux qui ont à faire face à la menace arabo-musulmane doivent s’unir à travers le monde, en oubliant d’éventuels griefs qui sont désormais d’importance secondaire.
La stratégie est ancienne. Ceux qui ont vécu l’époque de la guerre d’Algérie peuvent se souvenir de certains faits révélateurs : le soutien apporté par Jean-Marie Le Pen à l’expédition de Suez à laquelle il participa et qui fut montée pour aider Israël contre l’Egypte ; le rôle, dans le camp “Algérie française”, de Jacques Soustelle, par ailleurs président de l’Alliance France-Israël ; la participation active (et efficace) à l’OAS de Juifs pieds-noirs.
Aujourd’hui, avec la présence massive d’immigrés d’Afrique du Nord et d’Afrique noire, l’argument de “l’union sacrée” entre Juifs et Européens a pris un poids nouveau (d’autant plus nécessaire qu’après la “grosse bavure” contre les navires cherchant à gagner Gaza, Israël bat le rappel de ses fidèles). Cet argument est mis en avant par des gens dont certains sont déjà bien connus au sein de l’extrême droite européenne et dont d’autres méritent de l’être. Car leurs éventuelles dupes doivent être mises en garde.
Passons rapidement sur les plumitifs. Après les ouvrages (par ailleurs bien documentés) d’Alexandre del Valle (pseudonyme), qui lui permirent d’être bien accueilli dans divers cercles d’extrême droite (jusqu’au jour où l’on apprit qu’il était invité à prendre la parole aux réunions du B’naï B’rith…), après La nouvelle question juive de Guillaume Faye (2007), qui sema la consternation chez ses plus vieux amis, après le soutien constant apporté à Israël par une presse dite “de droite” – dont le fleuron est sans doute Valeurs actuelles, sous la houlette d’un François d’Orcival qui cherche depuis si longtemps à faire oublier ses engagements de jeunesse – une offensive d’une toute autre ampleur est désormais engagée. Il s’agit de l’opération Zemmour.
Ce journaliste, qui a participé le 13 février 2002, avec Michel Gurfinkiel (de Valeurs actuelles), à une réunion de la loge “France” du B’naï B’rith, est une plume vedette du Figaro et un chroniqueur quotidien très écouté de RTL. Il a le grand mérite d’énoncer sans complexe quelques vérités simples concernant l’immigration-invasion. Par exemple, dans Petit frère (un roman axé sur l’assassinat d’un jeune juif par un jeune arabe, ami d’enfance), il décrit ainsi la France : “Un pays d’Arabes et de Noirs. Des millions et des millions. Ils tirent la France vers le bas. Avec eux, on devient un pays du tiers-monde. Les Français ont peur d’eux. Ils n’osent plus rien leur dire”. Ce qu’il résume par une formule-choc : “Nous vivons la fin de l’empire romain” (Actualité juive, 9 novembre 2006). Tout cela est évidemment bien vu et il est utile de le dire.
Mais… La bonne question est : pour qui, pour quoi roule Zemmour ?
Il rappelle volontiers ses origines : “Mes ancêtres étaient des Juifs berbères” (RMC, 7 janvier 2008). Sa famille séfarade installée en France lors de la guerre d’Algérie, il a vécu son enfance et sa jeunesse à Drancy au coeur de la communauté juive locale, en faisant toutes ses études dans des établissements confessionnels donnant une éducation juive traditionnelle.
Il a appliqué le principe d’endogamie, vital pour toute communauté, en épousant une séfarade, Mylène Chichportich. Il ne cache pas ses liens sentimentaux forts avec sa communauté d’origine (ce qui est bien normal). Lorsqu’a couru le bruit que ses déclarations fracassantes allaient provoquer sa déchéance professionnelle, on a vu se mobiliser beaucoup de gens, en particulier sur le net, pour signer des pétitions de soutien en sa faveur.
Est-ce pour cette raison que Zemmour n’a subi finalement aucun ennui ?
Nous n’aurons pas la naïveté de le croire. Nous pensons qu’il y a une « opération Zemmour » destinée à susciter au sein de la droite de la droite une sympathie pour le message qu’incarne Zemmour : face à l’immigration-invasion, union sacrée des Européens, des Américains et des Juifs (Israël étant “le bastion de l’Occident” face à l’islam, qu’il faut donc soutenir inconditionnellement).
Ficelle assez grosse, qu’a raison de pointer du doigt Henry de Lesquen : “Zemmour est la sucrette qui fait passer le poison de l’idéologie dominante. (…) Il est devenu une « icône » pour la droite de la droite, pour une foule de braves gens qui s’imaginent sans doute que le salut vient encore aujourd’hui des juifs, comme il y a 2 000 ans”.
Qui en profite ?
“Le système » dans son ensemble, qui a missionné le berger Zemmour pour conduire les brebis de la droite dans les filets du politiquement correct” (La voix des Français, mai 2010).
Sur le plan purement politique, l’opération de séduction fonctionne bien. Assurée par des relais au sein de mouvements d’extrême droite. Ainsi Fernand Cortès, tête de liste dans l’Aude d’une Ligue cache sexe du Bloc Identitaire aux dernières élections régionales a signé la pétition “Raison-garder” lancée par des sionistes “de droite”.
Il explique ainsi la position du Bloc Identitaire : “Ses relations avec la communauté juive sont bonnes (je suis bien placé pour en parler car je suis à l’origine de leur développement) et elles deviennent excellentes car de très nombreux Juifs deviennent sympathisants du BI et le soutiennent résolument”.
Interrogée par des militants au sujet de cette déclaration, la direction du Bloc est restée muette. Qui ne dit mot consent…
Au Front National, Marine Le Pen, elle, a annoncé la couleur : elle est membre du groupe Europe-Israël au Parlement européen, a souhaité (en vain jusqu’à présent) faire pèlerinage en Israël et, si l’on en croit Marc George, ex-secrétaire général d’Egalité et Réconciliation, le mouvement d’Alain Soral, celui-ci a mis en contact Marine avec Gilles-William Goldnadel, ultra-sioniste et “agent israélien notoire” (Rivarol, 14 mai 2010). Quant à Bernard Antony – brouillé avec le FN en raison de certaines prises de position de Marine – il n’a jamais caché qu’en tant que chrétien il était fondamentalement attaché aux sources juives du christianisme – ce qui est parfaitement logique.
Le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans le travail d’influence mené par certains agents d’Israël dont le prototype est un certain Patrick Brinkmann. Celui-ci, officiellement citoyen germano-suédois, dispose de fonds très importants censés provenir de sa (grosse) fortune personnelle…
Il a commencé par bien cacher son jeu. Après avoir assisté à la Table Ronde de Terre & Peuple en 2006 et s’être déclaré très favorablement impressionné par cette réunion, Brinkmann avait manifesté la volonté de créer une structure de liaison et de coordination entre le plus grand nombre possible de mouvements identitaires européens, baptisée Kontinent Europa Stiftung (“Fondation Continent Europe”), qui devait prendre l’initiative d’activités internationales axées sur l’identité européenne (voir Terre & Peuple Magazine, n° 32, été 2007). Cette initiative parut tout à fait sympathique et fut donc approuvée par Terre et Peuple, en France, le Thule-Seminar en Allemagne, Tierray Pueblo en Espagne. Mais lorsque les dirigeants de ces mouvements proposèrent d’organiser une première rencontre européenne destinée à faire connaître la KES, Brinkmann tergiversa longuement. Tout en manifestant progressivement, en contradiction avec ses premières déclarations, des prises de position tellement ambiguës qu’on pouvait se poser des questions sur ses véritables motivations.
Si bien que Pierre Vial (Terre et Peuple) et Pierre Krebs (Thule-Seminar) décidèrent de rompre leurs relations avec lui. Tout s’éclaira récemment lorsque Brinkmann annonça son intention de financer largement, en Allemagne, certaines campagnes électorales de mouvements “de droite” très hostiles à l’islam, à condition que les organisations profitant de ses largesses affichent leur soutien à Israël. Il a explicité son point de vue en déclarant à une agence de presse : “Notre culture européenne est judéo-chrétienne (…) C’est une chance que le destin des juifs et des chrétiens soit entrelacé (…) J’ai visité Israël, je suis allé à Yad Vashem non comme un touriste mais pour pleurer. (…) Le judaïsme va de pair avec la culture européenne”.
Dans la foulée, il a annoncé qu’il organisait pour 2011 un “pèlerinage européen” à Jérusalem, car il faut “une entente entre l’Europe et Israël pour leur survie”.
Brinkmann a noué des rapports suivis avec les animateurs de mouvements d’extrême droite dans divers pays (entre autres, en Autriche et en Espagne, comme cela vient d’être révélé dans ce pays par une revue à grand tirage qui est l’équivalent de Playboy…), en annonçant vouloir financer leurs campagnes électorales (il a la réputation d’être riche, mais on peut se demander quelle est la véritable origine de ces fonds…). Quel sera, pour ces mouvements, le prix politique à payer ?
Car certains mouvements dits “populistes”, dont les succès électoraux révèlent – et c’est une très bonne chose en soi – une volonté populaire de résister à l’invasion immigrée, se révèlent par ailleurs très perméables à l’influence sioniste. Aux Pays-Bas, le Parti pour la Liberté est en constante progression aux élections. Son chef, Geert Wilders, est allé prêcher aux États-Unis en faveur d’une “alliance des patriotes face à la montée du péril islamiste”. Il a déclaré à New-York en novembre 2009 : “Je viens en Amérique avec une mission. (…) Je soutiens Israël (…) parce que c’est notre première ligne de défense (…) J’ai vécu dans ce pays et je l’ai visité des douzaines de fois (…) Israël est un phare, une lumière dans l’obscurité de l’Orient, la seule démocratie. La guerre contre Israël est une guerre contre l’Occident”.
Bien entendu ce message a été abondamment relayé en France, sur internet, par les sites sionistes, qui font le forcing pour convaincre les identitaires européens de faire “l’union sacrée”. Parfois en des termes inouïs, qui devraient normalement tomber sous le coup de la loi (mais…). Ainsi, un fou furieux utilisant le pseudo (transparent pour un séfarade) de Charles Dalger appelle au massacre de ceux qu’il appelle les “nazislamistes” (un terme, repris par d’autres agitateurs, dont le caractère obsessionnel est révélateur).
Par ailleurs il y aurait beaucoup à dire sur les relations de chefs de mouvements d’extrême droite, en Autriche, en Italie, au Danemark avec des agents d’influence sioniste. Soyons bien clairs: est évidente, indiscutable, impérative la nécessité de lutter par tous les moyens contre l’invasion-immigration et nous mettons toute notre énergie dans ce combat pour l’identité et la survie des peuples européens.
Mais en étant lucides.
Et donc en refusant de nous laisser piéger et manipuler pour servir de troupes d’appoint pour la défense des intérêts juifs, c’est-à-dire une cause qui, légitimement, est celle des Juifs mais qui n’est donc pas la nôtre. »
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CETTE EXTRÊME DROITE EUROPÉENNE, PRO ISRAÉLIENNE…
Publié le 29 juin 2011. Publié dans COLLABOS ET RENEGATS
Spécial investigation La déferlante anti-islam : Enquête sur la nouvelle extrême droite.
Qui manipule une partie de l’extrême droite en Europe, tout en veillant à ce que la plupart restent libéraux et conservateurs ?
Qui fait élire des politiciens en France et partout en Europe ? Qui facilite leur accession dans les médias ?
Pourquoi Marine Le Pen passe t’elle en boucle à la TV ?
A faire voir à tous, adhérents, sympathisants etc… pour bien comprendre comment certains se laissent instrumentaliser, et comment ils deviennent des objets dans les mains de certains, mais pour aller vers quoi ?
Pour ceux qui veulent télécharger ce reportage incroyable, pour ensuite le montrer à d’autres, voici un lien de téléchargement :
http://www.megaupload.com/?d=BJR59LC1
Quiconque veut rester Libre et Indépendant doit regarder ce résumé de 15 minutes : voici un résumé des points marquants du reportage : Extrême droite européenne, pro israélienne par Resistance_Identitaire :
A faire voir à tous, et notamment aux nationaux et identitaires, pour bien comprendre comment certains se laissent manipuler.
Il est dit très clairement par Hillel Weiss, que l’Islam serait antisémite, et qu’à partir de ce constat, l’extrême droite Israélienne, se cherche des compagnons de combat, des « Harkis »…
Pour défendre qui ? Le sang des peuples blancs d’Europe, ou le sang d’israel ?
Extrait d’un article de Pierre Vial parut dans le numéro 48 de Terre et Peuple Magazine:
« Un reportage diffusé par Canal + le 30 mai était intitulé La déferlante anti-islam : enquête sur la nouvelle extrême droite. Ce film confirme, de façon spectaculaire, la dérive pro-sioniste d’une partie de l’extrême droite européenne, instrumentalisée, au nom de la lutte contre l’islam, par la droite dure israélienne. Dont un des idéologues de pointe, Hillel Weiss, explique très tranquillement que l’extrême droite peut être « utile » (c’est le mot qu’il utilise) à Israël.
C’est la vieille histoire des « idiots utiles » que les communistes, en leur temps, appréciaient tant. Le même Weiss précisant: « Nous demandons aux Français de soutenir Marine Le Pen ». Celle-ci, comme il est rappelé dans l’émission, n’ a-t-elle pas déclaré à un grand quotidien israélien:
« Le Front National a toujours été sioniste ».
Ce qui est une façon bien à elle de réécrire l’Histoire …
Mais elle n’est pas la seule à entrer dans le jeu d’Israël pour se faire accepter par les maîtres du pouvoir politico-médiatique. En Angleterre, lors d’une manifestation de « l’English Defence League », on voit des militants agiter le drapeau israélien, tandis que prennent la parole côte à côte le rabbin Nachum Schifren, venu de Californie, et le représentant du Bloc identitaire Mickael Prima, venu de France. Aux Pays-Bas, Geert Wilders est doublement fréquentable: homosexuel, il déclare que le judaïsme est une des bases de la culture européenne …
Le choc des images: on voit Strache, le leader du FPO autrichien, Dewinter, du Vlaams Belang et quelques autres, la kippa sur la tête, reçus à bras ouverts en Israël par les chefs de la droite dure israélienne. Tout ce petit monde s’embrasse, tandis qu’Hillel Weiss, déjà cité, explique qu’Israël représente la culture occidentale. Cette manip a été organisée par l’un des principaux agents d’Israël en Europe, le « germano-suédois » (?) Brinkmann, qu’on voit guider l’un des plus activistes des colons israéliens pour lui faire visiter Berlin …
Nous l’avons déjà dit mais il faut le répéter sans cesse: les populistes européens qui se laissent ainsi manipuler sont soit des naïfs (c’est peu probable) soit des complices, bien conscients, d’Israël, qui espèrent tirer profit de leur ralliement, en surfant sur le rejet, légitime, de l’islamisation qui habite de plus en plus d’Européens.
Nous, nous maintenons le cap: les Européens n’ont rien à gagner en se faisant enrôler du côté musulman ou du côté juif.
Ce n’est pas notre combat. Nous nous battons pour les nôtres, seulement pour les nôtres. »
P.V.
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Une réponse sur “Ni burqa, ni kippa !”