La Butte de Montenoison en Nivernais.

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À dix kilomètres au Nord-Est de Prémery, dans l’actuel département de la Nièvre, la Butte de Montenoison est l’un des points culminants du Nivernais du haut de ses 417 mètres d’altitude. Il est vrai qu’elle est bien visible jusqu’à une trentaine de kilomètres environ, au milieu du faible relief qui l’environne…

Le site est aujourd’hui inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques.

Le lieu porte des traces d’occupation humaine datant du Néolithique. Elle dut également avoir quelque importance dans le monde Gallo-Romain puisqu’un Oppidum situé à l’intersection de deux voies romaines y fut établi à cette époque.

Sur son côté Nord se dresse aujourd’hui la grande croix blanche d’un calvaire. Une petite table d’orientation est installée non loin, avec un beau coup d’oeil sur le Morvan tout proche. Lorsque le ciel est bien dégagé, il est même possible d’apercevoir la flèche du clocher de Lormes.

Au bout de sa solennelle allée de platanes centenaires, la petite église Notre Dame de l’Assomption, daterait du XIIème siècle pour sa partie la plus ancienne. Son solide clocher carré à toiture d’ardoises du XVIème siècle semble veiller à la quiétude du petit cimetière qui la jouxte, bien protégé par son mur de pierres sèches où farnientent quelques lézards…

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Non loin de l’église subsistent dans les ronces peuplées de geais, quelques amas de pierrailles, ultimes traces d’un château dont les pierres, au XVIIIème siècle, ont servi à l’edification du hameau actuel. Celui-ci possède quelques belles demeures anciennes rappelant la prospérité passée du lieu.

Ce château, dominant toute la riche contrée du Val de Montenoison, fut construit en 1217 par Mahaut de Courtenay qui choisit la Butte de Montenoison pour l’ériger. Mahaut était la fille de Pierre de Courtenay, cousin germain du roi Philippe Auguste.

La forteresse était alors cernée de deux fossés concentriques.

Mahaut de Courtenay, qui naquit en 1188, fut comtesse de Nevers, d’Auxerre et de Tonnerre. Avec son premier époux, Hervé IV, baron de Donzy, il forment le couple mythique de l’histoire locale.

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Sceau de Mahaut de Courtenay

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Leur union, en 1199, posait les bases géographiques du futur Duché de Nevers puis du département actuel de la Nièvre.

Pour se faire pardonner un certain degré de consanguinité prohibée, les deux époux fondèrent trois abbayes : L’Epeau, Bellary et Coche.
Hervé, disparu en 1222, fut inhumé à Pontigny près d’Auxerre, haut-lieu Cistercien, aux côtés de nombreux seigneurs Bourguignons et Champenois.

Mahaut quand à elle, resta fidèle à son pays Nivernais qu’elle administrera encore trente-cinq ans, après la mort d’Hervé.

La Butte de Montenoison est aujourd’hui un lieu paisible où il fait bon randonner. Le petit bourg qui est à ses pieds compte encore cent-vingt habitants et quelques gîtes ruraux où faire étape.

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Varsovie 11 Novembre 2016

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11 Novembre 2016: Marche contre l’islamisation de l’Europe:

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Le 11 novembre 1918, la Pologne récupéra son indépendance après 123 années d’occupation.

Chaque année, le 11 novembre, des centaines de milliers de patriotes polonais célèbrent le Jour de l’Indépendance. Cette année notre manifestation sera dédiée à l’Europe. Il est temps que les patriotes de tout le continent s’unissent et s’entraident. Nous devons défendre nos nations, nos traditions et nos cultures.

Nous devons dire non au multiculturalisme et autres expérimentations dangereuses pour les peuples d’Europe. Nous voyons tous ce que représente réellement l’Islam radical. Les politiciens corrompus et les médias influencés essayent de nous faire accroire que l’Europe doit accepter des millions de réfugiés.

Il est tout simplement impossible d’assimiler un tel nombre de personnes, qui ne comprennent ni ne respectent notre culture et nos lois, et parmi lesquels se cachent de nombreux terroristes.

C’est une invasion.

Rejoignez-nous à Varsovie le 11 novembre pour la plus importante marche patriotique d’Europe. Nous vous attendons. Nous vous invitons à la plus grande manifestation de liberté en Europe.

Demain doit nous appartenir.

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Zapraszam do obejrzenia video: https://youtu.be/mabkY02IFGE

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Gerbert d’Aurillac et les crêtes du Cantal.

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Gerbert d’Aurillac et les crêtes du Cantal.

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En marchant longuement sur l’humus souple ou le rocher osseux de ces crêtes rudes de Haute Auvergne, l’esprit prend son envol au delà de ses propres horizons. Le rythme léger du pas, allié à l’air vif lui permet d’embrasser d’un seul coup d’aile la géologie fantasmagorique de ces antiques volcans émaciés, mille fois burinés et érodés par le gouffre effrayant des siècles.

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Gerbert d'Aurillac

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Il me plaît ainsi souvent de remonter le temps … Ce même temps, qui sculpte d’aussi inexorable façon le rocher et la pâte de l’Histoire humaine…

Nous sommes en 945 de notre ère: Ici même…

En bas, dans la vallée de la Jordanne qui s’écoule paisible, est en train de naître un petit d’homme au sein d’une chaumière… à Belliac très exactement et à quelques enjambées d’Aurillac, que l’on devine à l’horizon Sud-Ouest…

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Gerbert d'Aurillac  *

Ce petit d’homme sera un pâtre, gardant le troupeau familial de ces si belles vaches de Salers aux longues cornes en lyre et aux yeux maquillés, identiques à celles dont nous entendons les cloches devant nous …

… En ces temps donc, le pouvoir Carolingien s’écroule, les Normands vers l’an 900, après les Vandales et les Wisigoths, envahissent à leur tour l’Auvergne, en pillant et détruisant furieusement villes et monastères.

Ce petit pastouriau que nous voyons naître se nomme Gerbert, dont l’Histoire a gardé le souvenir sous le nom de Gerbert d’Aurillac. Dès son plus jeune âge, il fréquente l’abbaye voisine d’Aurillac, fondée par Saint Géraud, et dans le scriptorium duquel les moines copistes transcrivent dans le silence l’antique héritage gréco-romain.

Il y sera remarqué par ses éducateurs pour son inhabituelle agilité intellectuelle et bientôt envoyé dans les plus prestigieux centres d’études, loin de sa vallée natale… Esprit universel, mais aussi pratique, il construit des mécanismes d’horloges ou se penche sur la musique, par exemple (où il établit certaines règles permettant dès lors la naissance de la musique symphonique et non plus polyphonique…)

Sa sagesse et sa renommée devinrent telles dans l’Europe médiévale, qu’il jouera un grand rôle en coulisse dans de nombreux milieux, rôle qui aboutira en 987, au sacre d’Hugues Capet, comme Roi des Francs, après la mort du dernier roi Carolingien Louis V.

Gerbert d’Aurillac fera également l’éducation du fils d’Hugues Capet, le futur roi de France Robert le Pieux.

Gerbert fut le créateur de « la Paix de Dieu » qui fondera les bases morales de la société médiévale en imposant des lois à la guerre: trèves, neutralité des civils et des ecclésiastique, respect des ambassadeurs et des prisonniers, etc…

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Sur ces crêtes aux odeurs de genêts, dont le moutonnement fascinant entraîne mon esprit, j’imagine enfin Gerbert ultimement accéder au siège papal sous le nom de Sylvestre II lors de la mort du pape Grégoire V en janvier 999.

C’est le 12 mai 1003 qu’il fut rappelé au Père, laissant derrière lui le souvenir d’un homme simple et accompli suivant les critères de l’Ordre chrétien d’alors: Homme de foi, intellectuel et homme d’action …

Du haut de ces crêtes battues par les vents, on se prend alors à espérer la naissance de nombreux nouveaux petits Gerbert dans le creuset si malmené de notre vieux pays…

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Les fermes du Moyen-âge.

Les fermes du Moyen-âge

Les fermes du Moyen-âge en Xaintrie:

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L’historien médiéviste Charles H. Haskins, et d’autres à sa suite nous parlent en ces termes de la renaissance que connut l’Occident chrétien au XIIème siècle :

« Le XII ème siècle en Europe fut sur bien des plans une période fraîche et vigoureuse. »

Le village « médiéval » du lieu-dit Le Puy d’Arrel se situe sur la commune de Saint-Julien-aux-Bois en Corrèze, ancienne région de la Xaintrie, aux confins de l’Auvergne et du Limousin.

Un jeune homme du pays, Pierre Gire, à la fraîche et vigoureuse énergie, aidé par son père et son frère, reconstitue intégralement depuis 2006 un village entier de chaumières aux murs de pierre, aux toits de chaume ou de tuiles de chataîgner, blotti au milieu de ses jardins et de ses vergers et parcourus par un réseau de chemins bordés d’antiques murets : « Les fermes du moyen-âge » ainsi dénommées sur les dépliants touristiques.

Le hameau s’étend sur un petit domaine de 7 hectares à 600 mètres d’altitude environ, avec, pour toile de fonds, le somptueux panorama des montagnes d’Auvergne.

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Les fermes du Moyen-âge

C’est après plus de quinze ans de recherches documentaires, archéologiques et ethnographiques de terrain sur la vie rurale au Moyen-Age en Xaintrie, que Pierre, aidé de sa famille, se lance dans cette entreprise peu commune.

Car avant 2006, il n’y avait absolument rien au Puy d’Arrel que prairies et forêts de chataîgners, omniprésents en Xaintrie.

Aujourd’hui, un village médiéval, a surgi de terre. Tout y est authentiquement juste et à sa place, comme créé par la main de l’homme de ces temps reculés: Murs de pierres sèches, charpentes grossièrement équarries, chaume ou tuiles de bois, parquets, meubles, etc …

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Quelle passion et quelle ténacité il a fallu à cet homme, pour réaliser sans aucun financement ou moyens techniques particuliers, un rêve d’enfance: celui de vivre dans un village médiéval, avec ses maisons et ses granges, ses plantes et ses animaux !

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Cet extraordinaire témoignage rescussite ici notre lointain passé, où le Génie paysan de ce Moyen-Age des humbles savait alors tirer partie de toutes les ressources de leur terre et où le « développement durable » n’était pas encore une farce.

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Géoingénierie

Géoingénierie

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Géoingénierie

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Géoingénierie…  Qu’est-ce que c’est ?

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Dans aucun des milieux que je côtoie tous les jours, mes semblables ne semblent jamais lever les yeux vers le ciel pour se rendre compte de cette terrifiante réalité…

Il est vrai que les « zécolos » bobos et bien-pensants, avec leur défense hystérique et ridicule des « avancées sociétales » ahahahah!, ont en grande partie disqualifié la problématique écologique auprès de « l’honnête homme » qui utilise sa faculté de raisonnement et de logique déductive pour comprendre ce qui l’entoure. Si ces zozos sont en première ligne pour défendre « le mariage pour tous », sur le sujet des épandages chimiques aériens, là ils ne pipent mot : C’est étrange, non ??

Il est a remarquer également que les officines écologiques, financées par l’institut Rockfeller, comme Greenpeace par exemple, sont parfaitement silencieuses sur le sujet ! Ce qui devrait, pour le moins, nous mettre la puce à l’oreille …

En parler, c’est passer pour complotiste, même si personne n’a réellement étudié le sujet !

Un site en anglais très documenté.

La page Wikipedia … désopilante dans sa façon de faire évidemment passer la chose pour pure imagination de cerveaux détraqués !

Un site en français bien documenté :

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Le 6 septembre 2007, ça fait donc déjà quelques années…  L’intervention de Rosalind Peterson, présidente de l’Agriculture Defence Coalition (USA), à l’ONU sur les épandages aériens de produits chimiques en cours, et leur impact sur le climat et l’agriculture est une pièce à conviction qui ressort des cartons. 

Cela fait donc des années que des indépendants tirent désespérément la sonnette d’alarme, pour l’instant en pure perte, semble-t-il …

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D’autres personnes, comme Dane Wigington du site américain http://www.geoengineeringwatch.org/ a également procédé a des mesures d’émission des UV solaires.

La proportion d’U.V. de type A est en progression constante, ce qui est loin d’être naturel et très dangereux.

Vous trouverez pas mal de données sur le site en français : http://www.acseipica.fr/ que j’ai déjà mentionné dans d’autres articles.

A vous de vous faire votre propre opinion, mais s’il vous plaît, n’allez pas croire que tout cela n’est qu’affabulation, car des faits concrets s’accumulent de jours en jours, comme vous pourriez le constater si vous vous documentiez de la façon dont je le fais réguilèrement. 

S’il est acquis que l’immigration massive menace l’identité-même de notre peuple, il est non moins certain que ces épandages aériens menacent, eux, notre santé et notre intégrité, ainsi que celles de notre terre ancestrale et de notre descendance !

J’espère qu’un plus grand nombre va devenir conscient de ce truc de fous, car il est plus que temps de s’y intéresser !

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Professeur Faurisson: Courage et ténacité !

Professeur Faurisson

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Le Professeur Faurisson a toujours bon pieds, bon oeil !

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La passion de cet homme pour la vérité et la dénonciation du mensonge est exemplaire. Le Professeur Faurisson, né en 1929, est un exemple pour tous.

Une heure de conférence, debout, à 87 ans : Respect !

Voici un des derniers développements de cette affaire « des chambres à gaz », que l’on peut lire sur son « blog inofficiel »:

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Un document scientifique de plus qui, à lui seul, met à mal le mythe des chambres à gaz hitlériennes :

Depuis le début des années 1960, d’abord dans mes recherches, puis dans mes articles, études ou livres j’ai abondamment traité des raisons scientifiques pour lesquelles les prétendues chambres à gaz hitlériennes n’ont pas existé ni même pu exister.

Je ne rappellerai pas ces raisons.

Pour une fois, je me contenterai de ne présenter ici qu’un document et un seul à l’appui de la conclusion de mes recherches.

Il s’agit d’une fiche toxicologique de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (30, rue Olivier-Noyer, 75680, Paris Cedex, 01 40 44 30 00 ; site internet : www.inrs.fr ; courriel : info@inrs.fr).

Forte de huit pages, cette fiche, qui a été mise à jour en 2011, porte le numéro 4 d’une collection de 311 fiches à ce jour. « Cyanure d’hydrogène » désigne le gaz (HCN) tandis que son synonyme, « acide cyanhydrique », est utilisé pour la solution. On se souviendra que le pesticide appelé Zyklon B, inventé dans les années 1920 et censé avoir été employé pour tuer en masse des détenus à Auschwitz et ailleurs, est de l’acide cyanhydrique sur base poreuse inerte (par exemple, de la terre d’infusoires).

Pour sa production par la Société DEGESCH et pour sa description ainsi que sur les conditions (drastiques) d’emploi, on se reportera aux documents NI-9098 et NI-9912, tels que reproduits dans mon Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire, Paris, La Vieille Taupe, 1980, XXIV-280 p. ; p. 161-178.
« Numéro CAS » désigne la référence américaine du gaz (Chemical Abstract Service) tandis que « Numéro CE » désigne la référence de la Communauté européenne.

En vue de faciliter et de résumer la lecture des sept premières pages de cette fiche (la huitième et dernière page ne contenant qu’une partie de la bibliographie), j’en reproduis ci-dessous les principaux fragments.

On constatera que le HCN est a) hautement inflammable, b) hautement explosif et c) hautement dangereux pour l’environnement, à tel point qu’on ne saurait en concevoir l’emploi dans un crématoire.

Ce que cette fiche nous rapporte dans sa précision scientifique et dans sa candeur devrait conduire tout honnête homme à en déduire qu’un emploi de ce gaz à proximité d’une salle de plusieurs fours crématoires, qui doivent être laborieusement portés à la température de 900 degrés, relève d’une impossibilité radicale.

L’explosion serait inévitable surtout si, sous un même toit, la pièce supposée être une chambre à gaz d’exécution était contiguë à une salle de crémation (cas du Crématoire I à Auschwitz-I).

Il en irait de même si la salle de crémation était située à l’étage supérieur (cas des Crématoires II et III à Birkenau) : rien n’aurait pu empêcher le gaz de s’élever naturellement vers cet étage par la voie du monte-charge, lui-même plein de cadavres saturés de gaz.

Le 19 mars 1976, j’ai découvert les plans des cinq bâtiments d’Auschwitz-Birkenau conçus pour abriter, nous dit-on, essentiellement une chambre à gaz et une salle de crémation.

Ces plans étaient jusque-là cachés par le Musée d’Etat d’Auschwitz. On le comprend !

Pour ce qu’étaient en réalité les prétendues chambres de déshabillage et les prétendues chambres à gaz d’exécution, on pourra consulter, de Serge Thion, Vérité historique ou Vérité politique ? Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz, Paris, La Vieille Taupe, 1980, 352 p. ; p. 310-322. L’ouvrage rapporte ou reproduit les éléments essentiels de mes propres découvertes.

Suite de l’article

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O.N.G : Instuments du N.O.M !

O.N.G

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Les O.N.G missionnaires de la démocratie se révèlent comme des anges de la mort.

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Il est question ici du rôle ambigu des ONG (Organisations Non Gouvernementales). Il y est montré que sous couvert d’actions humanitaires, elles sont en fait les mains blanches de groupes n’ayant rien à voir avec le bien de l’humanité. Beaucoup, pour ne pas dire toutes, sont des instruments au service d’une cause inavouable.

On peut en dire autant de certaines Fondations…

Greenpeace et la Fondation Rockefeller:
La maison mère de Greenpeace aux USA, celle qui donne les consignes, est financée par la Fondation Rockefeller. Cela signifie que le financier a aussi son mot à dire sur les choix des campagnes d’action de Greenpeace. Nous comprenons mieux son silence sur certains évènements mondiaux pourtant essentiels…

Le WWF est un des autres organismes créés et gérés pour appuyer le Plan pour un Nouvel Ordre Mondial ! Lire l’Histoire du « Nouvel ordre mondial » par Pierre Hillard du Réseau Voltaire :
http://www.voltairenet.org/article164…
Extrait : « Est-ce un hasard d’apprendre que le premier président du WWF fut le dirigeant du Bilderberg, le prince Bernhard (président de 1962 à 1976) ? D’autres présidents se sont succédés à la tête du WWF, comme John Loudon qui fut, comme John Kerr, président de la compagnie pétrolière, la Royal Dutch Shell. Ce conglomérat pétrolier anglo-hollandais est une des pépinières du Nouvel Ordre Mondial. Précisons aussi que le Prince Philippe, époux de la reine d’Angleterre Elisabeth II, dirigea le WWF de 1981 à 1996 ».

Avaaz et Change.org même combat:

Ce sont des écrans de fumée ! Ces sites pétitionnaires et autres O.N.G sont une gigantesque farce.
Change.org, une organisation basée à San Francisco, emploie plus de 100 salariés et met en ligne 500 nouvelles pétitions tous les jours. La première question fondamentale que l’on doit se poser : quels sont les gentils financiers qui rémunèrent plus de 100 salariés chez Change.org ?

Change.org partage avec Avaaz la même opacité quant à leurs finalités intrinsèques.

D’ailleurs, Ben Wikler, le directeur de campagne d’Avaaz est de devenu le vice-président et directeur exécutif de Change.org.

Quel est l’objectif réel de toutes ces pétitions ?

On retrouve toujours les mêmes derrière les coups tordus et attentats…
Disons-le, beaucoup de membres de ces O.N.G, Fondations et autres organisations, sont sincères.
Ils ne connaissent pas le véritable but.

C’est ainsi que la Franc-maçonnerie, qui comporte 33 degrés plus 13 niveaux, comprend de nombreuses personnes honnêtes. Abusées, manipulées, mais honnêtes et… un peu naïves, disons-le.

Dans chaque mouvement, ce sont ceux qui sont dans le saint des saints, ceux qui tirent les ficelles, qui sont responsables des détournements d’objectifs.

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Le système comme contre-Civilisation.

Le système

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Le système comme contre-Civilisation :

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C’est exactement cela le fond de notre « époque sans égale », comme le souligne Philippe Grasset… Je tire ces quelques lignes de De defensa.org ,que je vous encourage à visiter car ses analyses sont tout simplement excellentes…

C’est très exactement une contre-Civilisation chrétienne que ce système nous impose par ses innombrables relais, y compris au sein de l’Eglise de Vatican II :

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Voici les lignes en question :

« Dans cette époque sans égale, où un système (le Système) contrôle l’entièreté d’une civilisation globale évoluée en contre-civilisation, une puissance sans égale sous forme de technologisme s’est développée et interdit toute forme d’insurrection au sens classique du terme et dans tous les sens. Le Système et son bras armé du technologisme, ont besoin pour leur promotion permanente, d’un très puissant système de communication, sans aucun doute à la puissance inégalée.

Ce système de communication s’est développé en mode-Janus, fournissant ainsi aux forces contraintes à l’impuissance insurrectionnelle une arme inattendue, une arme qui peut se retourner contre celui qui la manie, qui se retourne avec aisance sinon délice, permettant d’exercer une pression décuplée sur les choses qu’il est censé protéger et dont il est censé faire la promotion unilatérale.

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Le système

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Ainsi cette puissance sans égale du Système/Contre-Civilisation, se trouve-t-elle confrontée à la production d’une impuissance d’emploi de la même mesure.

Dans cette situation de blocage qui ne fait que se resserrer depuis le début du siècle, un seul compartiment est touché, chaque jour de plus en plus fortement : la psychologie, individuelle, collective, systémique, etc., sur laquelle nous avons toujours porté notre attention. »

Philippe Grasset

Dedefensa.org

 

Mafia Khazare et chaos fabriqué.

Mafia Khazare

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La Mafia Khazare a rejeté l’humanité et pousse les musulmans et les chrétiens à s’exterminer mutuellement

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(Article Réseau International)

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La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est célèbre dans le Moyen-Orient, région dans laquelle les États-Unis œuvrent pour le bénéfice exclusif de leur golem israélien [*].

Pour comprendre certaines des questions les plus profondes et des conflits actuels au Moyen-Orient et d’une grande partie de l’Ouest, nous devons revenir à Daniel Pipes, qui, perversement et diaboliquement, a déclaré en 2013 que les États-Unis et une grande partie de l’Occident doivent soutenir à la fois et en même temps les terroristes syriens et le gouvernement Assad.

Voici le meilleur de Pipes:

«L’Occident doit empêcher chaque côté dans la guerre civile de sortir victorieux en aidant celui qui perd, de manière à prolonger leur conflit [NdT. sous-entendu : jusqu’à mort totale des deux].» [1]

Pipes savait que cela était une entreprise diabolique. Il savait que cela n’est pas conforme avec l’ordre moral et politique. Il savait qu’un conflit prolongé dans la région créerait plus de sang, plus de misère et plus de destruction. Il savait que les guerres perpétuelles signifient la haine perpétuelle envers les pays qui ont provoqué et encouragé ces guerres, à savoir, Israël et l’État sioniste d’Amérique. Il n’a pas demandé une résolution pacifique. Il voulait des morts massives, un génocide. Il voulait évidemment des terroristes syriens pour couper les cœurs de leurs victimes et les manger devant les acclamations de la foule fanatisée. [2] De plus, il sait très bien qu’aucune personne raisonnable ne serait d’accord avec sa perversion. En fait, il a ajouté:

« Cette recommandation de politique d’aider « le côté qui perd » semble étrange, je l’avoue, mais elle est stratégique. » [3]

Stratégique? Plus de chaos est stratégique? Eh bien, selon les mœurs talmudiques, la réponse est oui.

Comme l’écrivain juif Sidney Blumenthal l’a montré, le mouvement néo-conservateur a son idéologie politique et intellectuelle « dans le patrimoine agressif du Talmud.» [4]

Ce qui nous amène à un point important ici.

Pipes et ses semblables, comme saint Paul l’a fait remarquer il y a près de deux mille ans, sont en guerre avec le Logos métaphysique et avec toute la race humaine. Pipes et d’autres tentent désespérément de remuer ciel et terre pour appliquer leur plan diabolique. Ils continueront d’opposer les honnêtes gens les uns contre les autres afin qu’ils puissent établir leur Royaume Khazar sur la terre. Leur fidélité à l’Amérique n’est ni «libérale» ni «conservatrice», sinon ils n’auraient jamais manipulé les deux parties [NdT. Elle est pour « Israël d’abord »].

En fait, l’établissement- soi-disant républicain « dont beaucoup sont des cadres ou des membres du cabinet du président George W. Bush » – ont déjà mis leur sceau d’approbation sur Hillary Clinton. [5]

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Mafia Khazare

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Du point de vue politique, cela est totalement inexplicable. Et si vous êtes enfermé dans la rhétorique la-gauche-contre-la-droite, vous vous trouvez dans un dilemme sans espoir. Vous ne savez plus ce qui se passe réellement. Mais si vous comprenez que la Mafia Khazare peut truquer le jeu politique et lancer les dés idéologiques pour des raisons politiques, alors vous comprendrez qu’il y a beaucoup plus ici que ce que vous voyez ou entendez.

Le point central est que, depuis que la Mafia Khazare a catégoriquement et métaphysiquement rejeté l’ordre moral et politique, les khazariens et les néocons ont inexorablement embrassé le chaos et la destruction.

Ceci est une raison pour laquelle Pipes et ses semblables ne se soucient pas de savoir si les musulmans et les chrétiens vivent ou meurent au Moyen-Orient. Ils ne se soucient pas de savoir si les mères pleurent et gémissent pour leurs enfants dans des endroits comme l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie et ailleurs. Ils ne se soucient pas de savoir si les gens se blessent ou des pays entiers sont vaporisés en une seconde. Ils ne se soucient pas si leur plan a versé trop de sang d’un pays à l’autre. Ils ne se soucient que de remplir leur plan diabolique. Bien sûr, cela est une déclaration forte. Mais écoutez très attentivement à nouveau le Néocon juif Jonah Goldberg:

« Tous les dix ans ou plus, les États-Unis ont besoin de ramasser dans leurs filets un petit pays de merde pour le jeter contre le mur, juste pour montrer au monde que nous ne plaisantons pas. » [6]

Goldberg avait encore de plus belles choses à dire:

«Il n’y a rien que nous voulons voir se produire au Moyen-Orient qui peut être accompli en parlant autour de longues tables ornées de bouteilles d’eau et de fruits frais dans les hôtels suisses qui ne peut être accompli plus rapidement et de façon plus permanente par la guerre. Et il y a beaucoup de choses qui ne peuvent pas être réalisées par ces conférences et qui ne peuvent être atteintes que par la guerre ». [7]

Quant aux débâcles néocons comme le désordre complet en Irak, Goldberg dit ailleurs, c’était «une notable erreur.» [8]

Gardez à l’esprit que Goldberg est l’auteur de livres tels que « La tyrannie des clichés: comment les libéraux trichent dans les guerres des idées » Goldberg a de nouveau écrit:

« Est-ce que l’invasion de l’Irak a provoqué une instabilité dans la région? Oui. Mais dans ce contexte, l’instabilité est bien plus profitable pour nous (sous-entendu : les sionistes) ». [9]

Si cela n’est pas diabolique, alors rien ne l’est.

Si Goldberg n’est pas un ennemi de la race humaine, alors personne ne l’est.

Cet homme et ses semblables doivent être jugés pour les crimes qu’ils ont commis contre les honnêtes gens au Moyen-Orient. Si J. O’Rourke a raison {que le gouvernement américain est «un parlement de putains» et que les trois branches du gouvernement sont « l’argent, la télévision, et la connerie»}, alors l’esprit révolutionnaire juif, comme E. Michael Jones aurait dit,

C’est «la synagogue de Satan. »

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Mafia Khazare

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Cette synagogue a créé un environnement où «l’argent, la télévision, et les conneries » deviennent la norme. O’Rourke a un chapitre entier dans son livre intitulé: «Nos gouvernants : Qu’est ce qu’ils branlent tout le long de la journée ? Et pourquoi ça nous coûte tout ce putain de fric? »

Ne devrait-il pas maintenant poser cette question aux néoconservateurs qui nous ont donné une guerre de six milliards de dollars? [10]

En tout état de cause, la stratégie de diviser pour régner a été utilisée et est utilisée par la Mafia Khazare pour détruire les pays et les gens qu’ils n’aiment pas. Michael Hoffman va nous dire une autre facette de cette question d’une importance vitale ici.

Hoffman: Comme les Saoudiens utilisent la théologie salafiste/wahhabite pour salir les sunnites en les recrutant dans ISIS, et tandis que leurs victimes musulmanes chiites sont méprisées, le sionisme israélien et le judaïsme orthodoxe ont le vent en poupe et gagnent en prestige dans l’Ouest. Ce récit correspond au « choc des civilisations » Néocon, scénario parfaitement bien rodé …

*Mais le véritable affrontement, il est né sur le Calvaire il y a plus de 2000 ans. Pourquoi continuons-nous de l’oublier?

Goldwin Smith, professeur royal d’histoire à Oxford à l’époque victorienne, a écrit:

« La partie noble de la nation juive, les véritables héritiers de David et des prophètes, a entendu l’Évangile, et sont devenus les fondateurs d’une religion humaine; la partie la moins noble, dirigée par l’orgueil national et le cérémonialisme, incarnés dans le Pharisien, a rejeté l’humanité, et retomba dans un tribalisme plus dur et plus étroit qu’auparavant. Excitant la haine des autres nations et les craintes de l’Empire, ils ont perdu leur pays, et ont erré dans le monde en intensifiant leur sentiment tribal, et leur religion plus que jamais identifiée avec lui … Ils ne pouvaient pas être cosmopolites, car ils sont encore sous l’emprise du tribalisme: ils sont devenus, par nécessité, plutopolitains « (Revisionist History newsletter 85, p. 12.).

« … l’humanité rejetée … »

Qu’est-ce que ce rejet implique, sinon opposer les races, les religions et les régions les unes contre les autres pour le bien de la tribu à laquelle le professeur Smith fait allusion? La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein, reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est justement célèbre dans le Moyen-Orient, où les États-Unis sont perçus comme le serviteur du golem israélien.

Les Saoudiens, les gardiens de la Mecque et de Médine, qui contiennent les deux sanctuaires les plus saints de l’Islam, ont vendu les Palestiniens aux Israéliens il y a des décennies, et maintenant Netanyahu peut en faire ce qu’il veut. Ceci est plus qu’une trahison dans le monde islamique, c’est une espèce de trahison presque inimaginable, car les Saoudiens concèdent aussi al-Qods (Jérusalem) aux sionistes, qui abrite le troisième lieu du centre de l’Islam.

Les chiites, qui ont perdu, à cause du terrorisme d’ISIS, plus de civils que toutes les nations occidentales réunies, n’ont jamais abandonné les Palestiniens et n’ont jamais conspiré avec les Israéliens. Par conséquent, c’est l’Iran chiite et non pas l’Arabie Saoudite qui reste dans le collimateur de « notre » Congrès, « notre » Pentagone et « nos » médias. Aussi bien le Congrès, que le Pentagone ou les médias sont aux mains des sionistes.

L’Iran va probablement sentir la colère du golem américain si la tordue Hillary gagne la Maison Blanche en Novembre. Les Saoudiens quant à eux, ne souffrent d’aucune sanction américaine en dépit du fait qu’ils ont beaucoup de liens secrets avec ISIS, et qu’ils sont les promoteurs de la théologie hérétique salafiste wahhabite qui alimente la barbarie dans le monde, et qui est soutenue par le gouvernement des États-Unis.

Le Wall Street Journal du 13 Mars 2015, écrit en page A6: « … la branche syrienne d’Al-Qaïda … le Front al-Nosra, … n’a pas « dérangé Israël depuis qu’il a saisi la zone frontalière l’été dernier et certains de ses combattants gravement blessés sont régulièrement pris à travers la frontière pour recevoir des soins dans les hôpitaux israéliens « .

En Europe, cela est mieux compris. Marine Le Pen, chef du Front national en France, à la suite de l’assassinat du Père catholique Jacques Hamel, a appelé à la fermeture des «mosquées salafistes. Elle a distingué les Salafistes et, à juste titre, ne se réfère pas aux chiites, alors qu’aux États-Unis, nous ne parvenons pas à faire ces distinctions importantes.

Le judaïsme utilise la « judeo-Churchianity » dans le Sud de l’Amérique en tant que bras de son appareil de propagande, même si le judaïsme exècre le véritable Évangile de Jésus-Christ. Le judaïsme a utilisé dans le passé et continue d’utiliser maintenant des éléments traîtres de l’islam sunnite, malgré que, comme exposé par le rabbin Maïmonide au Moyen Age, ils maudissent Mahomet et sa religion coranique.

ISIS est utilisé pour provoquer des états policiers en Europe, au Canada et aux États-Unis, tout en noircissant la réputation des musulmans et en contribuant à l’assujettissement des Palestiniens par Israël. Plus il y a de terreur ISIS, et plus les libertés civiles sont réduites, et plus la «manière israélienne de traiter » les Palestiniens et les Libanais devient le modèle pour rétablir l’ordre dans l’Ouest. Après le meurtre du prêtre catholique en Normandie, Hervé Morin, président de la région Normandie et ministre de la Défense sous l’ancien président Nicolas Sarkozy, a déclaré: «Nous devons israéliser nos conditions de sécurité. »

Les Israéliens apparaissent ainsi comme les gagnants des relations publiques et les meilleurs amis supposés de la civilisation occidentale. Il est tragique que les personnes concernées par cette question vitale ne paient pas plus d’attention aux textes rabbiniques fondamentaux du judaïsme. Dans la Mishna et la Guemara ( «Talmud») et des livres saints successifs tels que Choul’han Aroukh de Rabbi Joseph Karo, il existe une hostilité indéracinable sauvage envers la civilisation des Gentils, des Goys.

Nous trouvons cela dans le festival Tisha B’Av (Neuvième Av) et dans le Talmud babylonien lui-même où tuer, voler, violer et les Gentils sont autorisés. Même une brève lecture d’un seul passage du Talmud, Baba Kama, présente de nombreux exemples d’hostilité à l’égard des non-juifs. Dans Baba Kama 113a, nous découvrons que «Il est permis de tromper un Gentil. » Dans cette même page, un exemple d’une affaire judiciaire est donné qui oppose un Juif contre un Gentil. Voici l’approche juridique conseillé: « On aborde le cas de manière détournée afin de faire gagner le Juif. »

Tournez la page et on rencontre Baba Kama 113b, dans laquelle les affaires perdues par un Gentil ne doivent pas lui être rendues, bien qu’elles lui appartiennent, après quoi suivent les instructions sur la façon d’arnaquer les non-Juifs dans les affaires:

« Il est permis de profiter financièrement d’une erreur d’affaires d’un Gentil. » Des cas sont donnés à titre d’illustration. Un de mes favoris personnels est l’exemple de l’arbre de palme qui doit être coupé vers le haut et le bois partagé entre un marchand juif et un marchand Gentil. Dans le Talmud, le Juif intelligent se montre plus malin que son partenaire non juif, ordonnant à son serviteur:

« Dépêchez-vous et précédez le gentil de sorte que vous pouvez prendre pour moi les troncs les plus épais que ceux de la partie supérieure de l’arbre, car le gentil ne connaît que le nombre de troncs qu’il doit recevoir et ne réalisera pas que vous prenez des morceaux plus épais. « (Baba Kama 113b).

Cette mentalité d’arnaquer les non-juifs est institutionnalisée chez les adeptes du judaïsme orthodoxe. » Les Rabbins sont susceptibles de modifier leurs mots, et l’exactitude de leurs déclarations ne doit pas être invoquée.» -Le Talmud: (Vol. II, pp 48-49.) Steinsaltz édition.

Assassinat, viol, pédophilie, sodomie, misogynie, magie, idolâtrie: le Talmud recommande tout cela sous une forme ou une autre. Les 1100 pages dans le livre de cet écrivain, le judaïsme découvert ne suffisent pas à contenir plus d’un fragment. En prévision des objections: non, aucun des textes cités n’est « pris hors contexte, » non, le Talmud est non seulement une «série de débats », c’est la source sacrée de la halakha (lois du judaïsme) de Chazal (les auteurs collectifs vénérés [les «sages»] du Talmud).

L’Islam étant dérivé du christianisme et du judaïsme talmudique, contient quelques uns des mauvais traitements et de la tromperie des non-croyants que l’on trouve dans le Talmud babylonien, mais rien de comparable ou à la même échelle, et rien n’est justifié par un des critères raciaux. Pourtant, aux États-Unis et en Occident, la crainte de la loi de la charia est beaucoup plus notoire que celle de la loi halakhique rabbinique.

Nous ne devons pas seulement procéder par les livres contenant les règles saintes du judaïsme pour racketteurs. Nous avons aussi le témoignage du passé. Dans bulletin Histoire Révisionniste no. 70 (qui est principalement destiné à documenter l’existence de beaucoup de rituels de malédictions du judaïsme sur les chrétiens Birkat Haminim) dans un excursus nous avons sondé les alliances judéo-islamiques en Espagne médiévale, où les malédictions rabbiniques ont grimpé à leurs paroxysmes extrêmes de haine contre les chrétiens, d’une manière qui n’a pas été dirigée contre les musulmans. [11]. De plus, les malédictions rabbiniques officielles sur meshummadim (juifs convertis à d’autres religions, en particulier le christianisme), ne comprennent aucun dénigrement de juifs convertis à l’islam.

A l’époque médiévale, le judaïsme a pu prospérer sous l’islam alors qu’il était sévèrement restreint en Europe catholique.

Pour cette raison, entre autres, le « Ne jamais pardonner/ Ne jamais oublier » sera toujours vivace jusqu’à ce que l’Europe soit ruinée et que les populations européennes soient sévèrement diminuées.

Cela ne se fait pas seulement par le pion du judaïsme qu’est ISIS. Les médias sionistes influencent et promeuvent l’avortement, la contraception, [NdT. l’homosexualité,] l’euthanasie et la haine de soi, qui sont tous des cas de pandémie en Europe et dans les pays occidentaux en général.

Les idéologies modernistes de provenance rabbinique ou sioniste qui ont pour principe le rejet de l’Évangile authentique de Jésus et la mise en place des contrefaçons:

Elles tuent psychologiquement et spirituellement.

Dans le numéro actuel de Revisionist History newsletter (no. 85) nous étudions comment la banque Rothschild a gagné sa domination sur l’Angleterre à l’époque victorienne. Nous documentons que lorsque les nations balkaniques chrétiennes captives de l’Empire ottoman se révoltèrent avec l’aide de la Russie tsariste, ce sont les Rothschilds, avec l’aide du Premier ministre britannique Benjamin Disraeli, qui a soutenu le califat contre les chrétiens, en dépit des (ou peut-être dans l’approbation des) massacres de chrétiens bulgares et serbes par les milices ottomanes.

Dans notre 21ème siècle, la nation israélienne a été à l’abri des attaques d’ISIS, [NdT : d’al-Qaïda et des autres djihadosionistes, qu’on désigne globalement par « Frères Musulmans »]. Le dossier montre que les hôpitaux israéliens ont rafistolé les terroristes d’al-Qaïda et d’ISIS, puis les ont ramené en Syrie pour aider à renverser le régime d’Assad, ami et protecteur des chrétiens. Le Ministre de la Défense de Netanyahu, Moshe Ya’alon a déclaré publiquement qu’il préférait la victoire d’ISIS en Syrie.

Peut-être un jour bientôt, nos informations obtiendront une publicité suffisante pour rendre ces vérités radicales manifestes à beaucoup d’Américains et partout dans le monde …

Pendant ce temps, les rabbins continuent à parader haut comme des paladins oints par les médias de la civilisation occidentale, en contraste avec leurs « faux drapeau » clandestins , ISIS et tous les autres Islamistes (salafistes, wahhabites, al-Qaïda, Frères Musulmans, …).

Jonas E. Alexis & Michael A. Hoffman

(Traduction : Hannibal GENSERIC)

NOTES:

[*] Le golem est cette créature d’apparence humaine créée par des procédés magiques dans l’antichambre d’un kabbaliste. Du moins est-ce la perception la plus courante de ce puissant monstre anthropoïde qui a la fâcheuse habitude d’échapper au contrôle de son créateur, non seulement cela, mais il arrive que le golem parvient à contrôler son créateur, comme Israël qui contrôle l’Empire américain.

On trouve les traces de la fameuse créature dans le Talmud, dans le Sefer Yetzirah.

Au fil des jours, il croît en taille et en pouvoir de destruction. Notons que Golem signifie également « idiot, abruti », ce qui laisse présager un esprit peu brillant…

On peut s’interroger sur l’utilité d’une telle création. Pour certains, il s’agit de construire une sorte de messie vengeur et destructeur.

[1] Daniel Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.

[2] Paul Wood, “Face-to-face with Abu Sakkar, Syria’s ‘heart-eating cannibal,’” BBC, July 5, 2013.

[3] Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.

[4] Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-Establishment: From Conservative ideology to Political Power (New York: HarperCollins, 1998), 124.

[5] David E. Sanger and Maggie Haberman, “50 G.O.P. Officials Warn Donald Trump Would Put Nation’s Security ‘at Risk,’” NY Times, August 8, 2016.

[6] Quoted in Conor Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.

[7] Ibid.

[8] Jonah Goldberg, “Iraq Was a Worthy Mistake,” LA Times, October 19, 2006.

[9] Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.

[10] Ernesto Londono, “Study: Iraq, Afghan war costs to top $4 trillion,” Washington Post, March 28, 2013; Bob Dreyfuss, The $6 Trillion Wars,” The Nation, March 29, 2013; “Iraq War Cost U.S. More Than $2 Trillion, Could Grow to $6 Trillion, Says Watson Institute Study,” Huffington Post, May 14, 2013; Mark Thompson, “The $5 Trillion War on Terror,” Time, June 29, 2011; “Iraq war cost: $6 trillion. What else could have been done?,” LA Times, March 18, 2013.

[11] For other scholarly studies, see Ruth Langer, Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim (New York: Oxford University Press, 2011); for similar studies, see Jacob Yuval, Two Nations in Your Womb: Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages (Berkeley and Los Angeles: University of California Press, 2006); Elliott Horowitz, Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence (Princeton: Princeton University Press, 2006); Rodney Stark, The Rise of Christianity: How the Obscure, Marginal Jesus Movement Became the Dominant Religious Force in the Western World in a Few Centuries (Princeton: Princeton University Press, 1996).

source: http://numidia-liberum.blogspot.fr/2016/08/la-mafia-khazare-rejete-lhumanite-et.html

 

Cahiers de doléances de 1789 (2)

cahiers de doléances 1789

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Dans un article précédent emprunté à Démocratie Royale, nous avions vu combien ces fameux cahiers avaient été largement instrumentalisés par « la première secte de France » pour parvenir à ses fins criminelles.

Un autre éclairage, qui reprend les travaux quasi-inconnus du grand public et pourtant passionnants d’Edmé Champion, nous est donné dans l’article qui va suivre.

*

*

L’auteur, à la différence de l’analyse faite dans l’article de Démocratie Royale, conclut que c’est la misère et la forte demande de réformes profondes d’une majeure partie de la population qui ressort en tout premier lieu de ces Cahiers, sans évoquer, semble-t-il, le rôle de la Secte qui n’existe pas …

Edmé Champion a fouillé une quantité invraissemblable de cahiers de doléances pour arriver à cette conclusion, bien qu’il n’y ai trouvé nulle part :

* D’hostilité envers le Roi et la monarchie !

* De volonté d’établir une république et un régime parlementaire.

* Un quelconque anti-cléricalisme anti-catholique (bien souvent au contraire la demande de protection de la religion contre la « philosophie nouvelle » !)

*

Il est donc parfaitement passionnant de relever que ces deux constats sont  parfaitement complémentaires et mettent en lumière la façon habituelle de « La Secte » d’instrumentaliser les difficultés du pays à son profit exclusif ainsi qu’à l’avancement de son agenda mortifère, mais jamais, au grand jamais, en vue du  véritable Bien Commun !!

 Leur but en 1789 n’a donc jamais été de résoudre les différents problèmes qui se posaient au pays pour le bien de tous, mais d’établir définitivement le système qui leur permettrait de grenouiller et de prospérer sans entrave, au prix de n’importe quel crime et en n’importe quelle quantité:

C’est là leur signature !

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L’article suivant est donc tiré de :

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article5095

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Travail destiné à brosser le portrait sans fard de la France à la veille de la Révolution, « La France d’après les Cahiers de 1789 », publié en 1897, révèle que le Tiers-Etat, qui supplie alors « le roi de défendre la foi contre les atteintes de la nouvelle philosophie », ne réclame pas l’ « égalité », ne songeant à l’abolition ni de la noblesse ni du clergé ; ne suggère jamais l’idée d’une guerre de classes, qui lui est étrangère ; que le désir de « liberté » n’a à l’époque jamais été assimilé au souhait d’instauration d’un système parlementaire.

En revanche, les Français de 1789, affamés par des disettes successives, aspirent à de profondes réformes gouvernementales et administratives qui tardent à être menées, ainsi qu’à une plus grande unité législative préservant néanmoins une décentralisation propre à favoriser le développement de la vie intellectuelle, commerciale et industrielle des provinces.

« Tout le monde a parlé de l’esprit de la Révolution française, les uns parce qu’ils avaient lu le Moniteur, les autres parce qu’ils avaient lu les comptes rendus du club des Jacobins » écrit en 1899 et quelques mois avant de devenir académicien, le titulaire de la chaire de poésie française à la Sorbonne Emile Faguet, dans Questions politiques:

« Ce que la France voulait en 1789, l’a-t-elle dit ? Oui, elle l’a dit dans les Cahiers de 1789. »

« Lisons les Cahiers. C’est probablement le moyen de savoir ce qu’elle voulait « , écrit quant à lui Edmé Champion en 1897, dans « La France d’après les cahiers de 1789 », ouvrage à partir duquel Faguet se propose de décrire la France de 1789.

Or les Cahiers, qui, à la vérité, sont d’une lecture difficile, personne ne les a jamais lus, explique Emile Faguet.

Tocqueville y a jeté les yeux ; mais il s’est arrêté beaucoup plus sur les papiers administratifs de la Touraine et du Languedoc.

Taine a promené ses regards sur les Cahiers ; mais, comme Edmé Champion l’a irréfutablement prouvé, il ne s’y est pas appesanti beaucoup il faut l’avouer.

Edmé Champion a lu tout ce qu’on en peut lire en France ; avec sa conscience et sa diligence infinie, il les a dépouillés complètement ; avec sa modestie bien connue il déclare encore que le travail auquel il s’est livré ne suffit pas, qu’il faut déterrer, et réunir et compulser d’autres cahiers encore, qui existent et qu’il n’a point vus ; mais enfin il a fait, en 1897, sur les véritables vœux de la France en 1789 l’enquête la plus sérieuse qui puisse être faite, et l’enquête qui n’avait été faite par personne.

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Edmé Champion

*

Ce travail, mené à bien par l’homme le plus impartial du monde, est de tout premier intérêt ; cette « leçon de choses » est la plus solide leçon qui ait jamais été donnée sur la Révolution française. Les hommes du Tiers-État n’avaient pas lu la Révolution d’Edgar Quinet (républicain convaincu qui publia La Révolution en 1865).

Ils étaient aussi loin que possible de l’avoir lue et de l’écrire. Tout simplement ils mouraient de faim et désiraient cesser de mourir. Il n’y a pas autre chose dans les Cahiers de 1789.

Ont-ils désiré, comme on l’a beaucoup dit, l’Égalité, ce rêve de tous les Français ? Presque point. Les cahiers du Tiers ne la réclament jamais. Ils reconnaissent souvent qu’il ne faut point songer à abolir les distinctions et privilèges anciens qui font partie de la constitution du royaume et qui la consolident. Les beaux esprits, là-bas, à Paris, disent que le Tiers-État c’est toute la nation ; mais le Tiers-État ne le dit pas. Il ne songe à l’abolition ni de la noblesse ni du clergé comme ordres à part dans l’Etat. L’idée d’une Révolution politique ou l’idée d’une guerre de classes lui est totalement étrangère. Il ne songe qu’à vivre en bonne harmonie avec les autres ordres, mais il veut vivre ; il demande les moyens de vivre. Il ne demande pas davantage.

Ont-ils désiré la Liberté ? Le mot liberté est si vague qu’ici il faut préciser. La liberté politique c’est le self-gorvernment. Un peuple est libre quand le gouvernement est son délégué. Il est libre encore quand le gouvernement, sans être son délégué, est son subordonné. Il est libre donc quand il peut contrôler et ne pas ratifier les actes de son gouvernement ; il est libre quand le gouvernement ne peut pas lever sur le peuple un impôt non consenti par le peuple. Et en dernier analyse, ce dernier point suffit. Dès que le peuple a la clef de la caisse, le gouvernement par cela seul sera contrôle, donc subordonné, et ce sera à peu près la même chose que s’il était délégué. Un peuple libre est un peuple qui vote son budget. Un conseil des finances, nommé par le peuple et votant le budget, ce conseil ne fût-il pas législatif, voilà l’organe de liberté nécessaire à un peuple. Un peuple est libre quand il nomme une Chambre qui vote le budget.

Or le peuple de 1789 a-t-il demandé cela ? Pas le moins du monde, reprend notre académicien. Et ceci est tout à fait curieux:

« Je n’ai pas vu, dans tout ce que Edmé Champion a cité des Cahiers, une seule allusion au système parlementaire.

La Révolution a créé le système parlementaire en France ; mais la France de 1789 ne l’avait pas demandé.

On me dira qu’il était contenu implicitement dans les vœux exprimés par la France en 1789. C’est mon avis. Quand les cahiers demandent qu’il ne soit pas permis « à qui que ce soit, s’autorisât-il du nom du roi et même d’un ordre surpris à Sa Majesté, de percevoir aucun impôt qui n’aurait pas été accordé par les états généraux, ou de prolonger la perception d’iceux au delà du temps pour lequel il l’aurait accordé », il est clair que cela mène à tout. Il est clair que si ce vœu est réalisé, il ne pourra l’être que par la perpétuité, au moins par la périodicité des états généraux votant l’impôt, et c’est le système parlementaire à bref délai, « dans toute sa beauté comme disait Beulé.

D’accord, mais enfin ce système parlementaire, même à l’état rudimentaire, les cahiers ne le demandent pas ; ils n’y songent pas ; ils ne semblent pas en avoir la moindre idée. Disons la vérité : ils n’en ont pas la moindre idée.

Leur pensée, c’est d’avoir une loi fixe, en finances comme en autre chose, obligeant le roi, lui traçant une limite, et que cette loi soit établie par les états généraux qu’ils sont en train de nommer. Et ensuite ? Eh bien, ils ne songent pas à ensuite. Ensuite, beaucoup plus tard, s’il y a de nouvelles infortunes, on réclamera des états généraux, comme on le fait aujourd’hui, on les nommera, et ils remédieront. La périodicité des états faisant la loi des finances et en contrôlant l’exécution, c’est-à-dire le système parlementaire, c’est-à-dire la liberté politique, est une idée qui n’existe pas dans les Cahiers. Les hommes de 89 n’ont pas plus songé à la liberté qu’à l’égalité.

Cela veut dire qu’ils étaient des monarchistes.

L’idée qu’un Français de l’Ancien Régime se faisait de la monarchie était celle-ci : « Le roi gouverne. Il gouverne conformément à la loi ; car nous ne sommes pas des Turcs, nous avons des lois. Quand il ne gouverne pas conformément à la loi, c’est que la loi est mal faite ou qu’il n’y a pas de loi. Dans ce cas-là, il faut en faire une. Les états généraux sont institués pour faire ou suggérer une loi précise et conforme aux nécessités nouvelles que le temps apporte. Quand ils ont rempli cet office, ils s’en vont ; et le roi gouverne conformément à la loi nouvelle. »

Et ne faut-il pas qu’il soit surveillé et contrôlé dans l’exercice de son pouvoir, dans la manière dont il exécute la loi ? Mais alors il ne gouvernerait pas ! Mais alors, vous n’avez donc pas confiance en lui ? Vous n’êtes donc pas monarchistes ?

Tout le monde en 1789 était monarchiste et personne ne voulait du pouvoir arbitraire ; et tout le monde, plus ou moins confusément, croyait qu’il suffisait d’une loi précise pour que le pouvoir ne fût pas arbitraire. Quant au gouvernement du pays par le pays, quant au système parlementaire continu, personne, presque, ne me semble y avoir songé, parce que cela, c’est, au fond, le républicanisme, et qu’il n’y avait pas de républicains en 1789.

Les Cahiers n’ont donc, en vérité, demandé ni l’égalité ni la liberté.

Ont-ils songé, d’autre part, à une grande régénération morale de la nation, s’interroge ensuite Faguet ; se sont-ils dit que toute révolution profonde est une révolution religieuse ou ayant le caractère d’une révolution religieuse ? Encore moins.

C’est la grande faute de la Révolution française, selon Quinet, de n’avoir pas voulu, osé ou daigné être une révolution religieuse.

Quinet raisonne ainsi :

« Si la Révolution française était une révolution purement économique et administrative, elle était finie le 4 août 1789. La preuve qu’elle était autre chose, dans les voeux, dans les désirs, dans les volontés, dans la conscience de la nation, c’est qu’elle n’a nullement été finie le 4 août. Elle a continué ; parce que la révolution économique n’était rien du tout, et que, à travers les tempêtes révolutionnaires, c’était la révolution religieuse que les Français poursuivaient. Seulement, mal servis par leurs commettants, ils n’ont pas réussi à la faire. Et elle n’est pas faite encore. Le progrès matériel, qu’est-ce que cela ? La révolution était autrement idéaliste. Une grande révolution religieuse qui voulait se faire, qui ne s’est pas faite, et qu’il faut accomplir, voilà la Révolution française. »

Il est possible, assène Emile Faguet ; mais les Cahiers de 1789 n’éclairent pas sur ce point, ou s’ils éclairent, ce n’est nullement pour nous diriger vers l’idée chère à Edgar Quinet.

Il n’y a pas un mot de révolution religieuse, de révolution morale, de révolution de conscience dans les Cahiers de 89. Les Cahiers de 89 ne sont nullement philosophiques.

La plupart veulent que la religion catholique demeure religion d’État.

« La France, dit Edmé Champion, demeure si foncièrement catholique qu’elle a beaucoup de peine à se défaire de sa vieille intolérance. Ce n’est pas seulement l’Église ; qui, plus de dix ans après la mort de Voltaire, se résigne difficilement à l’édit en faveur des protestants et veut que la religion nationale conserve tous les privilèges d’une religion d’État ; c’est aussi une grande partie du Tiers. En général, quand il admet l’état civil des non catholiques et leur participation à certains emplois, il leur refuse toute place dans l’administration judiciaire, dans l’enseignement, dans la police ; ils n’auront ni temples, ni assemblées, ni cérémonies publiques ; ils seront tenus de garder le silence sur les questions religieuses. »

A Auxerre, le Tiers supplie le roi de défendre la foi contre les atteintes de la nouvelle philosophie à Paris, il sait que « tout citoyen doit jouir de sa liberté de conscience ; mais l’ordre public ne souffre qu’une religion dominante, etc. »

Lisez Edmé Champion. Au point de vue de la « révolution religieuse » les Cahiers de 1789 sont tout simplement réactionnaires.

Ainsi, affirme l’académicien, le peuple de 1789 est religieux et fidèle à l’Eglise catholique en immense majorité.

Il la veut moins riche, oui ; il veut l’appauvrir, oui ; il veut l’abolition de la mainmorte et autres abus inouïs dont vous trouverez le détail dans l’étude d’Edmé Champion ; il veut que des richesses colossales qui ont été données au clergé pour servir au bien public, et qui, depuis longtemps, n’y servent plus du tout, soient enlevées à l’Église. Mais ici nous rentrons dans ce que j’appelle la révolution économique ; et il ne s’agit plus de révolution religieuse.

Liberté, égalité, transformation religieuse et morale voilà ce que les Cahiers de 1789 n’ont pas demandé du tout. Voilà quels n’étaient pas les vœux de la France en 1789.

Mais quels étaient, donc ces vœux ? Voici:

Ce peuple mourait de faim. Les Cahiers sont une longue doléance d’un peuple qui voudrait manger un peu. « La misère extrême du peuple », voilà le refrain des Cahiers de la noblesse et du clergé. Quant au peuple il ne dit pas autre chose, et pour cause : « Je ne sais quoi demander, dit naïvement quelqu’un de Rocquencourt, la misère est si grande qu’on ne peut pas avoir de pain. » Les gens de Pontcarré : « Réduits à la plus affreuse indigence nous n’entendons que les cris d’une famille affamée à laquelle nous regrettons presque d’avoir donné le jour. » A Suresnes, où il y a cinq cents familles, cent cinq ont besoin de secours. A Châtellerault les paysans n’ont jamais mangé que du pain noir ; et maintenant, ils n’en ont plus. En Touraine « la moitié des ménages font réponse qu’ils n’ont pas de pain, versant des larmes, se désirant hors de ce monde ».

La mendicité, à cette époque, c’est purement le brigandage en permanence. Les hordes de mendiants campent dans les paroisses et prélèvent leur impôt, après tant d’autres, par la terreur. « Nous, pauvres laboureurs, disaient les paysans du Boulonnais, sommes bien exposés à bien des peines, de faire l’aumône le jour et même la nuit, aussi bien ceux qui ne le peuvent pas que ceux qui le peuvent, crainte de mauvaises suites, à cause de la grande misère et autres choses. »

Il faudrait des hôpitaux, des asiles, des refuges pour canaliser toute cette misère onéreuse et redoutable. Encore (voici la note pessimiste et désespérée, qui est bien curieuse), encore on ne sait trop s’il le faut bien désirer, « ces établissements multipliant les débauches et les excès ; et l’on entend dire là où il y en a : Nous ne risquons rien de boire et de nous divertir nous irons à l’hôpital. » Quand un peuple en est là !… Voilà le tableau vrai. Savez-vous qui a fait le résumé le plus précis des Cahiers de 1789 ? C’est La Fontaine dans « le Paysan du Danube ».

Quelles sont pour les rédacteurs des Cahiers de 89 les causes de tant de maux affreux ?

1° L’absence de constitution fixe

 2° L’absence de lois précises et les mêmes pour tous

 3° Une administration déplorable

 4° L’existence et le maintien des droits féodaux.

Voilà les maux que les Cahiers de 1789 ont dénoncés.

Ils ont voulu une révolution administrative et une révolution économique,

et rien d’autre.

Ils ont voulu que le domaine national eût son règlement, sa loi précise et fixe, une exploitation intelligente et sans gaspillage, et qu’ainsi tout le monde pût y trouver à peu près sa subsistance. Ils ont voulu exterminer du patrimoine le caprice, l’arbitraire, le temps perdu, l’argent perdu, le travail perdu, pour qu’il rendît au profit de tous et de chacun tout ce qu’il pouvait rendre.

C’étaient des paysans qui trouvaient que la grande ferme n’avait ni bon règlement de travail, ni bons régisseurs, et qui voulaient qu’on leur accordât ces deux biens très précieux. Les vœux n’allaient pas au delà.

Premier point, sur lequel ils sont tous d’accord : donner une constitution à la France ; ne pas voter un sou de subsides avant d’avoir donné une constitution à la France. Ils se sont parfaitement aperçus que la France n’en avait pas. Elle en avait une, mais si ancienne, si surannée et si oubliée que c’était comme si elle n’eût pas existé. La faire revivre eût été lui en donner une vraiment nouvelle. Comme disait très bien M. de Staël un peu plus tard, c’eût été faire une constitution que de « faire marcher une constitution qui n’avait jamais été qu’enfreinte ». Ils avaient parfaitement raison. Ce qui manquait le plus à la France, c’était de savoir comment elle vivait. Elle n’en savait rien du tout. Le roi ne le savait pas ; les ministres ne le savaient pas ; les parlementaires n’en savaient rien, et les sociologues en ignoraient comme les autres.

On allait absolument au hasard, c’est-à-dire en plein arbitraire, mais dans un arbitraire qui sentait qu’il n’était pas légitime, et qu’il aurait dû ne pas être. C’est la pire des situations. Le roi savait qu’il devait obéir à quelque chose, et ne savait pas à quoi obéir ; de sorte qu’il y avait dans ce gouvernement un mélange de témérité et de timidité, qui aboutissait à une perpétuelle inquiétude. L’inquiétude est le mal de la France depuis le XVIe siècle jusqu’au XIXe. C’est un état qui n’a pas de base.

Savoir ce qu’on est, pour savoir un peu ce qu’on devient, c’est le souhait modeste des Cahiers de 1789, dans l’ordre sociologique.

Car, remarquez, tous demandent que l’on fasse une constitution, aucun ne dit laquelle il faut faire. Nulle indication là-dessus. Sont-ils pour l’ancienne constitution redevenue une vérité, comme la Charte de 1830 ? Sont-ils pour un essai du système anglais ? Sont-ils américains, et veulent-ils cette « démocratie royale » qui fut une idée à la mode parmi les beaux esprits de Paris, de 1789 à 1791 environ ? Ils ne le disent pas. Ils ne disent ni ceci ni cela. Le mot le plus net que je trouve sur ce point dans différents cahiers, entre autres dans celui du clergé de Provins, est celui-ci, ajoute Faguet : « Les abus contre lesquels la nation réclame ont une source commune, le pouvoir arbitraire. Ce n’est qu’en le resserrant dans de justes limites qu’on peut espérer de rétablir l’ordre dans diverses parties de l’administration. »

Resserrer les limites de l’arbitraire, soit ; mais cela, encore, est dire seulement qu’il faut une constitution. Il y a l’arbitraire, c’est-à-dire le chaos ; il faut sortir du chaos ; il faut qu’il y ait quelque chose. C’est tout ce qu’ils demandent. Une constitution, rien de plus. Ils semblent dire : « N’importe laquelle, mais une constitution. » Au fond c’est bien leur état d’esprit.

En 1789, on veut que le gouvernement gouverne d’une façon régulière. Voilà tout. Il est vrai que c’est quelque chose.

Le second vœu des hommes de 89, voeu presque aussi unanime, est l’établissement de lois nettes et qui soient les mêmes pour toute l’étendue du royaume. Un peu moins d’unanimité ici. Certaine attache à des franchises ou privilèges locaux dans quelques cahiers. On souhaite bien l’immense avantage d’une législation unique mais on voudrait quelquefois le combiner avec les profits d’une situation privilégiée. C’est très humain. Reconnaissons cependant qu’en général, l’unité et la netteté de législation sont le souhait ardent des hommes de 1789.

J’en suis enchanté, poursuit l’académicien. Mon décentralisationnisme (pardon !) n’en gémit nullement. La pire décentralisation, c’est la décentralisation législative. La décentralisation, c’est une série de mesures, individuelles, locales, provinciales, nationales, pour favoriser le développement, ailleurs qu’au centre, de la vie intellectuelle, commerciale, industrielle. Cela n’a presque aucun rapport avec l’unité de législation. Sous une loi unique, mais bien faite, une immense activité locale peut être permise, encouragée, protégée, et même provoquée.

Du reste nos vénérables pères de 1789 n’entraient point dans ces considérations de haute sociologie. Comme en tous leurs voeux, ici comme ailleurs, leur idée politique était une forme de l’honnête désir de ne pas mourir de faim. Ils désirent la refonte des lois et l’unification de la loi parce que la Picardie n’a pas le droit de faire de l’eau-de-vie avec son cidre, tandis que la Normandie a le droit d’en faire avec le sien ; parce que tel parlement permet de couper le blé comme on l’entendra, ce qui paraît naturel, tandis que tel autre interdit de le couper avec une faux ; parce que le royaume est zébré de douanes intérieures qui rendent tout commerce presque impossible, font la pléthore ici et la famine quatre lieues plus loin ; parce qu’une marchandise expédiée de Guyenne en Provence acquitte sept droits ; parce que sur la route de Paris en Normandie par Pontoise, dans un certain espace de quatre lieues, il y a droit de barrage à Saint-Denis, droit de passage à Épinay, droit de travers à Franconville ; et cela peut s’appeler les droits réunis ; parce que les gens de Toul ne peuvent littéralement pas sortir de chez eux sans rencontrer toutes les lieues des gardes, bureaux, etc. ; parce que l’Alsace et la Lorraine, « provinces à l’instar de l’étranger commercent librement partout, excepté avec la France et la Franche-Comté ; parce qu’on ne peut avoir dans les petites villes avoisinant Paris ni un marché ni un marchand ambulant, crainte qu’ainsi Paris ne soit affamé, et que, pour cette cause, on doit vivre sans manger quand on habite Nanterre ; parce que les routes, sauf quelques-unes, ne sont pas entretenues du tout, les fonds perçus pour leur entretien étant employés à toute autre chose ; parce que tout semble concerté pour rendre impossible la communication entre eux des différents membres du corps territorial.

Si la législation est absurde, l’administration est déplorable. Que voulez-vous que nous fassions de nos enfants ? Des commerçants ? On vient de voir comme le commerce est facile et rémunérateur. Des agriculteurs ? L’agriculture, sans un commerce facile, prompt et libre, est stérilisée, quand il n’y aurait pas dans la mauvaise répartition des impôts et dans les droits féodaux d’autres causes de stérilité que nous verrons ci-après. Des soldats ? Grâce aux nouvelles mesures (car ici le gouvernement de Louis XVI est moins libéral que celui de Louis XIV) ils ne pourront jamais, sinon par des procédés qui sont des fraudes et qui sont dangereux, devenir officiers. Ici la noblesse elle-même est presque aussi desservie que le Tiers. La carrière militaire devient financière tout comme la carrière judiciaire. Un noble pauvre peut tout au plus devenir lieutenant-colonel. Un enfant dont le père est noble, mais surtout riche, « à peine échappé du collège vient avec un étalage de luxe humiliant pour les autres apprendre à un capitaine de grenadiers ce que ce dernier avait enseigné à son père. Les larmes aux yeux, la noblesse supplie Sa Majesté de laisser les grades supérieurs ouverts au mérite. »

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Plan Kalergi: La vérité.

métissage obligatoire

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Article rétablissant l’intégralité de l’histoire du fameux « Plan Kalergi » (http://www.minurne.org/?p=5094)

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La vérité sur le « Plan Kalergi »

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François Hollande déclare que nous sommes en guerre au cœur même de la France (depuis longtemps, mais il ne s’en était pas encore aperçu). Il décide de fermer les frontières, annonce des ripostes implacables, réunit le Congrès à Versailles pour lui dire que sa riposte implacable consiste en une révision de la Constitution que tous les juristes en droit constitutionnel estiment inutile et irréaliste (une idée de l’un des énarques qui conseillent l’Élysée, sans doute).

On se dit qu’il a enfin compris qu’en ouvrant grand les portes de l’immigration il a aussi ouvert la France aux terroristes islamistes, on se réjouit de le voir en général des Armées. C’était mal le connaître. À peine sorti du Congrès, il annonce que la France accueillera 30.000 « réfugiés » de plus d’ici la fin de son quinquennat ! Comme le disait le général Dourakine, « Un âne à deux pieds peut devenir général et demeurer un âne ».

Il est faux de croire que cette persévérance de François Hollande dans l’erreur est gratuite ou le résultat de l’auto-adoration de son intelligence qu’il croit très grande. En fait, il n’est que le grouillot d’institutions supranationales peu voyantes, souvent partiellement noyautées par la Franc-maçonnerie, comme Nouvel Ordre Mondial, Trilatérale, Bilderberg, FAF*, etc. Elles ont en commun, outre le contrôle de la finance mondiale, l’application du Plan Kalergi pour l’Europe.

La vérité sur le "Plan Kalergi"

Quand on connait ce plan, toute la politique sociétale, misérabiliphore (délibérément porteuse de misère) et immigrationniste des deux gouvernements Hollande s’explique. La presse européenne ne vous en parlera pas, c’est un secret d’États européo-germano-français dont Angela Merkel est le maître d’œuvre en Europe, avec ses secrétaires l’ex-président de la Commission européenne Van Rompuy et son successeur Jean-Claude Juncker. D’ailleurs, en 2010, c’est à Mme Merkel qu’est revenu le premier prix de la Société Européenne Coudenhove-Kalergi, puis en 2012 à Von Rompuy et en 2014 à Juncker.
Un prix très recherché par la super-élite mondialisée.

Mais de quoi s’agit-il ?

La vérité sur le « Plan Kalergi »

Le comte Richard Nikolaus Enjiro von Coudenhove-Kalergi est un métis de père autrichien et de mère japonaise, né à Tokyo en 1894, qui a fait de brillantes études et conçu, dès les années 1920, l’idée de l’Europe des Nations. C’est le véritable père fondateur de l’Europe, bien avant Jean Monnet, Robert Schumann et leurs successeurs. Ils ont repris quasiment in extenso les idées qu’il a publiées dans ses livres : marché commun, politique agricole commune, monnaie unique… promettant mais oubliant celles qui les gênaient : fiscalité commune, harmonisation sociale, Communauté Européenne de Défense, entre autres, dont ils craignaient qu’elles leur fassent perdre une partie de leur pouvoir sur les peuples et freinent leur enrichissement personnel.

Oublié aujourd’hui, Coudenhove-Kalergi fut autrefois très célèbre et écouté de nombreux Chefs d’État. Il fut même proposé à plusieurs reprises pour le Prix Nobel de la Paix.

En 1939 il proposa un projet d’Europe dont les grandes lignes sont : une Europe où les peuples seraient à égalité ; suffisamment soudés pour pouvoir tenir tête aux trois autres blocs, USA, URSS et Chine ; allant au-delà de la simple union économique et monétaire ; avec une forte armée commune qui aurait facilité la mixité culturelle des peuples européens blancs, chrétiens de culture gréco-romaine ; garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États associés (Europe des Nations) ; développant une mystique européenne fondée sur : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux. « De même que dans tout être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen ».

Et il insiste :

l’Europe doit être une Europe majoritairement blanche, chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne, foi chrétienne portée par un esprit héroïque et chevaleresque, afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète

(L’Europe de demain, Conférence du 17 mai 1939 à l’hôtel Ambassadeur à Paris).

Cette définition d’une Europe des Nations, réunissant les peuples européens, blancs, de civilisation chrétienne, excluant les pays communistes et musulmans, a mis les gauches européennes en fureur. Elles ont haï Coudenhove-Kalergi jusqu’au moment ou elles ont trouvé le moyen de récupérer son projet pour une faire un plan totalement détourné de l’original, un plan effroyablement raciste que l’on attribue à tort à Kalergi. Elles l’ont même accusé de nazisme, alors qu’il était marié à une juive, détesté de Hitler, et qu’il a fui le régime hitlérien en fin d’année 1939 en se réfugiant aux États-Unis jusqu’à son retour en France en fin d’année 1945.

En 1966, au Xème Congrès paneuropéen à Vienne, il se déclare déçu par l’orientation prise par l’Europe naissante, la fonctionnarisation du Conseil de l’Europe et du Parlement européen, demande une politique étrangère commune afin de tenir tête aux États-Unis pour pouvoir arrêter d’être toujours à la remorque des États-Unis et de l’OTAN dont il demande la restructuration, et un renforcement de la coopération technologique intra-européenne afin de faire de l’Europe la première puissance économique du monde. Il meurt peu de temps après en 1972.

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La vérité sur le "Plan Kalergi"

La vérité sur le « Plan Kalergi »

Souvenons-nous que c’est l’époque de “l’Europe des Six” à laquelle les peuples étaient très favorables dans cette version proposée par Coudenhove-Kalergi qui avait eu pour résultat la prospérité inégalée des Trente Glorieuses (1946-1976) et la paix, ou l’absence de guerres, dans cette Europe non-communiste (pas d’Europe de l’Est) et non-musulmane (pas de Macédoine, Albanie, Croatie, Kosovo). De plus, Coudenhove-Kalergi avoue douter de la volonté des dirigeants de l’époque d’aller vers l’Europe des Nations.

À peine Kalergi mort (en 1972), la Commission Européenne entreprit, dès 1973, d’élargir l’Europe des Six (qui fonctionnait si bien), en recrutant de nouveaux pays, jusqu’à arriver aux 28 d’aujourd’hui, et cette Europe qui fonctionne si mal qu’une majorité d’Européens n’en veut plus.

C’est peu après, en 1978, six ans après la mort de Coudenhove-Kalergi, qu’apparaît le « Plan Kalergi » que certains tentent de faire remonter à 1922, alors que le premier livre de Coudenhove-Kalergi, Paneuropa a été publié en 1923.

On lui attribue le Plan Kalergi.

Il porte son nom, mais il est permis de penser qu’il s’agit d’un faux et que les auteurs ont cherché à utiliser sa notoriété pour dissimuler leur projet néo-nazi. En effet, les rédacteurs du Plan s’appuient surtout sur son livre Praktisher idealismus, mais quand on a lu ce livre, on s’aperçoit vite que l’on ne retrouve dans le Plan Kalergi que des bouts de citations tronquées, sorties de leur contexte, sans références directes et qu’il va totalement à l’encontre de la philosophie du père de l’Europe des Nations.

En effet, selon le prétendu « Plan Kalergi », l’Europe ne serait que le premier pas vers un gouvernement mondial sous autorité américaine,

…exactement l’inverse de ce que voulait Kalergi .

Pour réaliser ce “Nouvel Ordre Mondial”, il faut une super-élite et des peuples-bétails soumis par la pauvreté et disciplinés par la contrainte (du pur Orwell)

…encore exactement le contraire de ce qu’a enseigné toute sa vie Kalergi qui vantait le modèle démocratique et économique suisse.

Et c’est là, dans ce projet de nouvel ordre mondial, que l’on retrouve le modèle d’Europe que veut construire avec obstination Angela Merkel, avec le renfort de la Commission européenne présidée par Juncker, et la collaboration de Hollande.

Les dernières moutures du « Plan Kalergi » en font carrément le Plan du Nouvel Ordre Mondial qui veut la disparition des races jusqu’à effacer le mot même (c’est fait, au moins dans le Larousse !) pour arriver à une espèce unique, monochrome, métisse et abâtardie, dominée par la super-élite, celle-ci étant réduite aux socialistes et aux juifs qui auraient seuls la nationalité de la Nouvelle République Mondiale, le peuple restant apatride pour qu’il oublie à la longue le mot « Patrie ».

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métissage obligatoire

La vérité sur le « Plan Kalergi »

Dans le Plan Kalergi dernière version, il faudrait, pour soumettre les peuples européens, un binôme germano-français qui imposerait sa volonté aux autres pays. Il faudrait remplacer les peuples originaires du Vieux Continent par une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux en croisant les peuples européens avec des Asiatiques, des Arabes et des Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour l’élite au pouvoir.

« L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Égyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ».

Et encore : « abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes et l’immigration allogène de masse <…> favoriser les sexualités déviantes, homosexualité (mariage pour tous) et pédophilie (via les enseignants), et détruire la famille traditionnelle (nuire à la Manif Pour Tous) <…> prendre le contrôle et acheter la docilité de la presse en rachetant les titres (Bergé, Niel, Pigasse, etc.) et en les subventionnant <…> jouer sur la fibre humanitaire pour augmenter les impôts, ruiner les classes conservatrices et justifier les restrictions des libertés (Loi sur le Renseignement) », etc.

Aujourd’hui on pourrait ajouter « jouer sur la fibre écolo pour augmenter les impôts » !

Ne cherchez pas d’autres explications aux déclarations de JC Juncker, nouveau président de la Commission européenne qui se dit « déçu » de ce que les peuples refusent d’accueillir et de financer le torrent des “réfugiés”…

« Il ne faut pas se laisser aveugler par la pensée populiste <…> C’est notre devoir de les accueillir » (Hollande)

« Nous avons le défi du métissage à relever et nous le relèverons » (Sarkozy)

« Nous pouvons accueillir 800 000 réfugiés dès cette année » (Merkel)

« Je suis déterminé à trouver des solutions collectives pour relever cet immense défi » (Valls)

« J’ai décidé d’en accueillir 30.000 de plus » (Hollande) ;

« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question » (Juppé)

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » (G.Brock Chisholm, ex-directeur de lOMS, Islamic Organization for Medical Sciences).

Maintenant, qui a eu l’idée de ce « Plan Kalergi » dont Coudenhove-Kalergi n’est pas l’auteur et qu’il aurait rejeté avec horreur ?

Au départ, il y a Sigrid Hunke, militante néo-nazie, ex-maîtresse de Himmler et amie du grand mufti nazi de Jéusalem. Elle épousa Walter Hallstein. Le professeur de droit W. Hallstein était membre de plusieurs organisations nazies du Reich, mais pas membre du parti nazi, ce qui lui permit de s’en tirer sans trop de dommages après la guerre. Il deviendra le premier président de la Commission européenne en 1958. En 1960, Sigrid Hunke-Hallstein écrit un livre Le soleil d’Allah illumine l’Occident, qui sert de référence à tous les gogos, comme Jack Lang, qui soutiennent que l’Europe doit énormément à la civilisation arabo-musulmane. Dans ce livre, elle suggère de réintroduire en Europe un maximum d’Arabes musulmans pour métisser les peuples européens.

Ce n’est pas encore le « Plan Kalergi », mais on y vient.

Sigrid et son mari font dans les milieux européens une intense promotion des idées qui deviendront plus tard le Plan Kalergi que l’on trouve déjà esquissé dans le Plan Hallstein pour une Europe Fédérale (1965) que Kalergi, partisan de l’Europe des Nations chrétiennes, dénonça, et qui fit bondir Charles De Gaulle.

Les politiciens socialistes européens acquis au Plan attendirent la mort de Kalergi en 1972 pour recruter parmi l’élite européenne, récupérant en la noyautant la Société européenne Coudenhove-Kalergi et créant en 1978 le fameux Prix Coudenhove-Kalergi que Raymond Barre a été le premier à recevoir, puis des gens comme Helmut Kohl l’ami de Mitterrand, Ronald Reagan, et finalement Angela Merkel, van Rompuy et Jean-Claude Juncker. Ils ont fait appel aux compétences rédactionnelles de plusieurs énarques pour finaliser les modalités d’action.

François Hollande est un farouche partisan du « Plan », ainsi que Valls et Macron qui ont reçu à Bilderberg instruction de le soutenir. Si Sarkozy le soutien aussi, c’est que le club Le Siècle dont il est membre, ainsi que beaucoup de personnes de son entourage à l’UMP-LR, l’ont convaincu que c’était son intérêt.

Il est dit sur de nombreux sites Internet tellement semblables les uns aux autres (même celui de Dieudonné !) que l’on dirait que les copiés-collés ont fonctionné à tours de bras, que le « Plan Kalergi » visant au déclin de l’Europe par le remplacement et par le métissage de sa population, a été préparé par des think-tanks (réservoirs de réflexion) basés aux États-Unis.

C’est complètement faux.

Il s’agit d’une une simple manœuvre de dissimulation, c’est en réalité une co-production de l’élite franco-germanique séduite à l’idée de conserver héréditairement le pouvoir par la soumission à la manière musulmane des peuples d’Europe, masse métissée de travailleurs**.

Le plan américain est plutôt de profiter des effets secondaires de ce plan, car il aide, par la migration massive de populations arabes qu’il provoque vers l’Europe, à déstabiliser les États du monde arabo-musulman, déstabilisation sur laquelle les États-Unis comptent pour prendre le contrôle direct ou indirect, via l’Iran et l’Arabie Saoudite, de ses richesses énergétiques.

Les Américains sont peu favorables à un métissage forcé des peuples européens qui, pensent-ils affaiblira leur capacité productive et d’échanges économiques, échanges dont ils espèrent être les gagnants. De plus, comme ils ne sont pas certains du succès du « Plan Kalergi » porté par Merkel-Hollande, dont ils sentent qu’il est quelque peu néo-nazi et pourrait provoquer une révolte des peuples, ils préfèrent en cas d’échec les laisser en porter la responsabilité.

* François Hollande est young leader de la French American Foundation.
** Lire 2084 de Boualem Sansal

L’Imprécateur

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Le terrorisme comme stratégie militaire.

terrorisme

Il est aujourd’hui parfaitement documenté que le 9.11 est une superbe oeuvre de l’Etat profond US avec l’aimable concours de l’Arabie Saoudite et du Mossad. Ce terrorisme fait donc partie d’une startégie bien rôdée à présent (Attentats sous faux drapeau.)

Malgré la connaissance de ces faits que nous avons à présent sur ce sujet, beaucoup de personnes légitimement révoltées et excédées par ces séries d’attentats épouvantables chez nous, ne le sont pas, semble-t-il, pas par les millions de morts dûs aux pilonnages insensés en Irak, Lybie sur des populations civiles !

Et, ne parlons même pas des bouchers de femmes et d’enfants de Gaza !

On nous parle ad nauseam de terrorisme « islamique ». Y compris sur de nombreux sites dit de ré-information… C’est ahurissant ! On veut bien désigner les terroristes chez nous, mais très peu les super-terroristes otanifiés, commandités par NOS gouvernants pour écrabouiller des MILLIONS de civils arabo-musulmans au Moyen-Orient.

Le peuple français va-t-il encore tomber dans le panneau et se ruer, « comme en 14 », sus à l’ennemi qui n’est plus « le Boche », mais le terroriste « musulman » ?

Qui en 1914/1918 a retiré les marrons du feu ?

Qui en 1939/ 1945 a retiré les marrons du feu ?

Qui, avec cette nouvelle guerre préfabriquée, les retirera une fois de plus ?

Fort heureusement au niveau mondial, certains dirigeants semblent prendre en compte ce petit jeu de dupe. La Russie vient d’éviter à plusieurs reprises les provocations de cette minable et méprisable élite qui est de très loin la première à répandre le sang partout où elle le peut. La Chine veut reconaitre un Etat Palestinien et D. Trump est peut-être sur le point de mettre en cabane ces malades mentaux aux USA (gangs Bush et Clinton entre autres, compromis dans le 9.11).Retrait du Canada de la « Coalition » sévissant en Syrie, etc …

Un peu partout il semble que les yeux se déssillent. Tant mieux.

Le colonel Jacques Baud est un expert suisse en sécurité. Voici son avis qui me semble digne d’intérêt :

(Article de http://www.voltairenet.org/) :

Il donne ici un entretien à TV5 Monde (Suisse) à l’occasion de la sortie de son livreTerrorisme, mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident.

Issu d’un État neutre, il s’autorise à dire quelques éléments de vérité, malgré la doxa atlantiste.

TV5 Monde : Et si le terrorisme mondial était, d’une certaine manière, une réponse aux interventions militaires occidentales ? Dans un livre sans concessions, Jacques Baud, ancien analyste des services de renseignements suisses, souligne l’hypocrisie occidentale.

Qui est intervenu en Libye ? Qui a armé les djihadistes en Syrie ? Et qui a déstabilisé le fragile équilibre iranien ? … pardon, iraquien. « 64 minutes » appuie donc là où ça fait mal.

Jacques Baud, merci d’être avec nous. Vous êtes l’auteur de Terrorisme, mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident, c’est aux Edition du Rocher.

Alors, commençons par les attentats survenus en France ces deux dernières années. Il y a quelque chose d’assez frappant. Plusieurs décisions ont été prises, notamment sur le plan intérieur avec l’état d’urgence. Aucun changement, en revanche, sur la politique étrangère du gouvernement français. Comment l’expliquez-vous ?

Jacques Baud : Alors, évidemment, c’est un peu le constat du livre. C’est que, en réalité, on n’a pas vraiment compris les mécanismes qui conduisent aux jeunes de se radicaliser [sic]. On a beaucoup parlé de « radicalisation », on a beaucoup parlé de la manière dont la radicalisation s’exerce, que ce soit à travers d’internet ou des réseaux sociaux, etc.

Mais on s’est pas beaucoup penché sur les raisons, les motivations. Et, quand on lit la littérature islamiste – Daesh mais pas seulement – on constate que l’explication, qui est constante depuis d’ailleurs la fin des années 90, ce sont nos interventions au Moyen-Orient.

C’est une réponse, c’est une manière… en fait, le terrorisme est une manière d’essayer de suggérer à nos gouvernements de cesser de frapper, de cesser de bombarder et de cesser d’intervenir militairement.

En réalité, on pourrait dire… alors, toute comparaison n’est pas raison, mais on pourrait comparer les attentats terroristes aux « bombardements stratégiques » que les Américains menaient contre la population civile allemande dans les années 40 pour forcer la population à se retourner contre ses dirigeants. Et c’est un peu ça qu’on a avec l’Etat islamique aujourd’hui.

Et, d’ailleurs, une vidéo qui a été publiée hier par l’Etat islamique l’explique très clairement, disant… interpellant en fait les citoyens occidentaux et leur disant : « Dites à vos gouvernements d’arrêter de nous bombarder. » En substance, d’ailleurs, ils citent l’exemple de l’Espagne en 2004. Car je vous rappelle que c’était exactement la même stratégie qui avait été utilisée à cette époque par les djihadistes associés à la situation en Irak, c’était de forcer les Espagnols à se retirer de l’Irak. Et, de fait, après les attentats du 11 mars 2004, vous avez eu des élections – qui étaient prévues, d’ailleurs – mais dont les résultats ont été clairement influencés par les attentats et qui ont poussé le gouvernement espagnol à se retirer de la coalition en Irak. A partir de ce moment-là, les forces espagnoles qui étaient déployées en Irak ont été protégées par les milices en Irak jusqu’à leur départ de l’Irak. Et depuis, l’Espagne a été épargnée par ce terrorisme djihadiste.

Donc, c’est ce modèle-là qui, en fait, alimente, en réalité, le terrorisme qu’on a aujourd’hui. Et c’est…

TV5 Monde : Alors, Jacques Baud, que vous inspire le débat sur la radicalisation, sur cette grille de lecture essentiellement religieuse – en France, en Belgique notamment ? Pourquoi cette grille de lecture, selon vous ?

Jacques Baud : Et bien, on a, un peu… on a de la difficulté, en Occident, à remettre en question nos politiques. D’abord, pour des raisons évidentes : c’est que vous avez des échéances électorales et, si on commençait à remettre en question les choix politiques, évidemment… on aura des résultats qui vont sans doute, au final, qui se retrouveront dans les urnes.

Mais, d’une manière générale, on une sorte d’ethnocentrisme en Europe qui, en fait, nous empêche de réfléchir de manière critique à ce que nous avons fait… de voir de manière critique les résultats de ce que nous avons fait.

Regardez ce qu’on a obtenu en Libye, par exemple : On a éliminé Kadhafi, qui n’était certes pas un individu très recommandable. Mais, je vous rappelle qu’en 2010, quelque ait été la nature du régime de Kadhafi, la Libye était le pays d’Afrique qui avait le plus haut niveau d’indice de développement humain, selon les Nations Unies.

Donc, on a ramené, en fait, la Libye au niveau de combat entre factions djihadistes sans fournir aucune alternative. Donc, on a bombardé, on a détruit et on est parti. Et on a fait à peu près la même chose en Irak et on a fait à peu près la même chose en Afghanistan. Et on a beaucoup de peine à revenir en arrière là-dessus. Et on a tendance à faire passer le djihadisme… ou le terrorisme, plus exactement, comme étant une fatalité… une fatalité qui est mue par l’envie de nous imposer la sharia et d’autres choses.

Or, ce discours-là, naturellement, rencontre une certaine opinion favorable, notamment parmi ceux qui sont contre la politique d’immigration. Alors, il est vrai que, par ailleurs, on a eu des politiques d’immigration – en France, en Belgique et ailleurs, pas seulement dans ces pays – qui étaient assez pauvres. En définitive, on a mal géré ces immigrations et aujourd’hui on a une sorte de société à l’intérieur de la société, et on s’en aperçoit aujourd’hui.

Mais, il est commode, aujourd’hui, de faire cette jonction entre le terrorisme et cette immigration. C’est pour que beaucoup de…

TV5 Monde : …alors, Jacques Baud, on va juste essayer d’avancer ! Il y a des paragraphes très pertinents, notamment des citations.

Vous citez, par exemple, le mollah Omar – l’ancien chef des talibans – qui déclare ceci : « Vraiment, nous sommes bénis ! Jamais, dans nos vœux les plus fous, nous n’avons espéré un cadeau aussi précieux que Bush. Il est la tête d’affiche de notre mouvement international. »

Jacques Baud : Tout à fait ! Parce que, en réalité, et c’est un phénomène que j’avais décrit dans un livre précédent qui s’intitulait La guerre asymétrique, le djihad est fondamentalement une réponse. Et cette réponse, elle ne peut s’alimenter que par des actions offensives de notre part. Il n’y a pas de réponse s’il n’y a pas d’action initiale. Enfin, par nos actions, nous alimentons constamment le djiha et c’est ce que nous dit le mollah Omar.

Mais, on pourrait prendre des citations de bien d’autres djihadistes, y compris, plus récemment, d’al-Baghdadi et les écrits d’Abou Moussad al-Soury, par exemple, qui confirment cette posture stratégique, qui fait qu’en réalité nous alimentons, d’une manière ou d’une autre, le terrorisme.

TV5 Monde : Alors, il y a aussi cette citation de Voltaire : « Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités. »

Vous nous amenez donc à réfléchir sur les manipulations possibles, en termes de politique internationale. Mais, comment changer d’optique en sachant que celles et ceux qui essaient d’interroger les faits prennent le risque d’être taxés de conspirationnistes et de complotisme ?

Jacques Baud : Alors, il y a une nuance avec le conspirationnisme. Le conspirationnisme a comme élément de base, si vous voulez, l’idée d’une intelligence supérieure, cachée, clandestine, qui tirerait les ficelles de complots – au pluriel – de façon à obtenir des avantages stratégiques. Je ne suis pas du tout dans cette optique-là.

Bien au contraire, je pense que c’est non pas des calculs machiavéliques et soigneusement orchestrés mais des suites de sottises, d’opportunismes politiques de court terme…

TV5 Monde : …mais, Jacques Baud, pardonnez-moi de vous couper. Prenons précisément l’exemple des attentats du 11-Septembre. Vous rappelez dans ce livre, contrairement à ce que pense une grande majorité des opinions publiques dans le monde, il n’y a pas de preuve avérée de la responsabilité de Ben Laden. Et vous citez, d’ailleurs, Dick Cheney, l’ancien vice-président américain lui-même, qui a dit à une télévision américaine, en direct : « Nous n’avons jamais déclaré que nous en avions la preuve. »

Quand vous tenez ce genre de propos, ils tombent sous le bon sens, mais vous vous exposez aussi à ce genre de critiques. Comment faire concrètement pour amener à réfléchir sur la véracité même des faits qui nous entourent chaque jour ?

Jacques Baud : Et bien, regardez, tout simplement, la fiche de recherche du FBI, pour la recherche de Ben Laden. Elle n’a jamais mentionné le 11-Septembre ! Et, de fait, c’est un phénomène qui était répercuté dans les médias mais, en réalité, il n’y a aucun élément de renseignement qui permette d’incriminer Ben Laden dans ces attentats en particulier.

Mais, c’était commode, à cette époque-là, de trouver une personnalité… un individu qui était emblématique et qui permettait, si vous voulez, de focaliser les recherches et de montrer que, malgré le fait qu’on ait laissé passer ces terroristes… malgré le fait que ces terroristes sont passés à travers les mailles du filet, on avait quand même une idée de qui l’avait fait et ça permettait de sauver la face d’une certaine manière.

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TV5 Monde : Alors, Jacques Baud, j’ai trouvé un exemple peut-être qui peut vous contredire. Il s’agit du Canada, pays occidental qui a décidé, lui, de revoir sa copie. Je vais vous citer ce qu’a déclaré au mois de février dernier Justin Trudeau, le nouveau premier ministre : « Les populations terrorisées par l’Etat islamique n’ont pas besoin de notre vengeance. Elles ont besoin de notre aide. » Et il a décidé de retirer son pays, le Canada, de la coalition que bombarde en Irak et en Syrie.

Jacques Baud : Tout à fait. Et je pense que c’est une très sage décision, qui est en fait logique. Je pense que c’est le résultat d’une analyse et j’imagine qu’il a des services de renseignement qui l’ont poussé dans cette direction. Je pense que c’est une réflexion sage.

Il nous faut maintenant réfléchir.

Le terrorisme n’a fait qu’augmenter ces 25 dernières années. Nous étions à 400 attentats par année en 1999. Nous en avons aujourd’hui près de 15 000 et nous ne sommes jamais posés la question du pourquoi de cette augmentation. Il faut aujourd’hui, si on ne veut pas aller vers une société qui d’’ailleurs devient de plus en plus sécurisée – regardez aujourd’hui dans quelle ambiance se déroule l’Euro [de football], par exemple – si on ne veut pas aller dans cette direction, il nous faut réfléchir très sérieusement à la portée de nos actions, d’autant plus qu’aucune intervention occidentale au Moyen-Orient, ces 25 dernières années, n’était vraiment légitime.

On a chaque fois triché un petit peu. Les événements de 2003, ce qui a précédé l’attaque américaine en 2003 contre l’Irak a été documenté très largement. Mais, en réalité, tous les autres conflits qu’on a eus étaient eux aussi entachés de tricheries et d’une désinformation.

TV5 Monde : Attentat dans un village de la plaine de la Bekaa, le Liban, lui, n’intervient pas à l’étranger. La Tunisie, qui a été victime du terrorisme, n’intervient pas à l’étranger. Pourquoi ces pays sont-ils visés ?

Jacques Baud : Alors, ça n’est pas tout à fait exact parce que vous avez le Hezbollah, qui est aux côtés du gouvernement syrien. Le Hezbollah a des unités combattantes. D’ailleurs, le Hezbollah est une des forces qui a perdu le plus d’hommes contre l’Etat islamique et les islamistes. Il y a eu un effort considérable fait par le Hezbollah pour lutter contre l’Etat islamique et ça, on a tendance à l’oublier.

Mais, ça a comme contrepartie le fait que, effectivement, les islamistes frappent aussi le Liban. Et particulièrement les zones du sud-Liban où les chrétiens et les chiites sont très forts.

TV5 Monde : Quelques mots pour finir. Vous êtes un expert, si vous aviez un conseil à donner à des dirigeants, aujourd’hui, en Occident, quel serait-il, dans l’urgence, pour éviter d’être frappés à nouveau sur leur sol ?

Jacques Baud : Je pense que la solution la plus sage ce serait de profiter des changements, par exemple, profiter d’échéances électorales pour dire qu’on fait une analyse nouvelle de la situation et qu’il est peut-être plus sage de se retirer et d’arrêter de bombarder. Il ne faut pas montrer qu’on a peur, parce qu’il ne s’agit pas de cela. Il s’agit d’un changement de stratégie.

Je vous rappelle qu’en 2014 l’Etat islamique était considéré par les Américains comme n’étant pas du tout une menace pour l’Occident. Et de nombreux services de renseignement occidentaux, à cette époque, avaient soutenu cette idée. C’est en 2014 que, pour des raisons de politique intérieure – soit en France, soit aux Etats-Unis – on a finalement à bombarder l’Etat islamique, qui ne représentait aucune menace à cette époque-là.

TV5 Monde : Merci beaucoup, Jacques Baud, d’avoir répondu à nos questions.

Je rappelle le titre de votre livre : Terrorisme, mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident, Editions du Rocher.

Merci à vous d’avoir été avec nous en direct de Bruxelles.

Jacques Baud : Je vous en prie, bonne soirée

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Veuillez noter qu’en relayant cet article, je ne souhaite aucunement pour autant légitimer :

Les actes des cinglés préfabriqués et téléguidés, auteurs de ces attentats, ni ceux quotidiens des petites racailles profitant du laxisme complet de l’Etat .

L’installation de populations musulmanes en Occident, encouragée par nos « responsables » corrompus et criminels.