Affaire Kennedy : Passionnante enquête.

affaire kennedy

Extaordinaire enquête sur l’affaire Kennedy.

 

Enquête très fouillée et passionnante sur l’assassinat du président américain J.F Kennedy à Dallas. Plus de deux heures à écouter d’urgence pour essayer de comprendre les dessous des cartes de cette fameuse affaire Kennedy.

Comment l’Empire écrase tout ce qu’il trouve sur son chemin.

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l'affaire Kennedy

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Voici le discours où il désigne très explicitement les choses en 1961 :

 

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Bilderberg 2016 : Le huis-clos.

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Bilderberg 2016

Voici la liste des participants du « Club des Bilderberg »
pour la session 2016 qui s’est tenue du 9 au 12 Juin à Dresde  :

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ou: Le gratin de la Nomenklatura mondialiste…

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(Cliquez sur les tableaux pour aggrandir.)

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Bilderberg 2016

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Ces immenses démocrates se réunissent comme tous les ans à huis clos pour décider de l’avenir du Vulgum Pecus. (Source :http://www.voltairenet.org/fr)

Rien ne filtrera. La presse est muette. Occupez-vous du foot, braves gens !

Du directeur du magazine « Le Point » en passant par Laurent Fabius et Alain Juppé,  jusqu’à Christine Lagarde, pour les « Français », nous sommes entre bonnes mains.

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Franc-maçonnerie: révélations fracassantes.

(Lu sur:  laportelatine.org)

« Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel ont été étudiées et mûries dans les loges avant d’être votées par les députés »,

confirme Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon.

Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le raconter.

C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé aujourd’hui de 60 ans, et qui en a passé 24 au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France).

Son livre « J’ai frappé à la porte du temple » (Éd. Pierre Téqui) est un témoignage passionnant sur les années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie.

Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir. Le processus de son retour à la foi a été très long.

La Porte Latine publie cet article dans sa rubrique « Les Insolites de LPL » pour démontrer à tous les libéraux « consensualistes » que les ennemis de l’Eglise sont forts de nos faiblesses et de notre manque de formation.

Dieu merci, le Malin se fait souvent prendre au piège de la Providence divine et ses plus fidèles suppôts peuvent devenir des serviteurs de la Vérité.

Daigne Notre-Dame éclairer les prêtres, les évêques et les cardinaux qui ne dénoncent plus le danger mortifère de la franc-maçonnerie.

(Entretien accordé à Aleteia)

Pour quelle raison êtes-vous entré dans la franc-maçonnerie?

Serge Abad-Gallardo : J’avais l’âge et la situation sociale idéales pour être franc-maçon : à 33 ans, j’étais haut-fonctionnaire municipal, en tant que directeur de l’urbanisme. À cette époque, je m’étais éloigné de l’Église et ma foi était bien tiède. Un ami que je ne savais pas franc-maçon m’a proposé d’y entrer. J’étais curieux de découvrir les prétendus secrets de cette organisation.

Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ?

S.A.-G. : Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m’ont fait reconnaître des liens entre la franc-maçonnerie et l’Église. À titre d’exemple, dans le rituel d’initiation on retrouve des phrases comme : « Cherchez et vous trouverez » ou « Frappez, et l’on vous ouvrira » qui sont dans les Évangiles. Petit à petit, je me suis rendu compte que le sens n’était pas le même. J’ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m’a pas plu, mais je me suis adapté car j’étais éloigné de la foi, et surtout de l’Église. En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j’ai pris conscience que derrière cette fraternité apparente il y avait quelques arrangements et des luttes pour le pouvoir au sein même de la franc-maçonnerie. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j’ai compris que le catholicisme et la franc-maçonnerie étaient incompatibles.

Comment s’est déroulé ce processus de conversion ?

S.A.-G. : Il a duré près de neuf ans ! Je crois que Dieu m’a laissé si longtemps dans l’erreur de la franc-maçonnerie (24 ans, jusqu’à être Vénérable Maître et accéder aux plus hauts grades) afin qu’aujourd’hui aucun maçon ne puisse me dire – comme certains ont tenté de le faire, en toute mauvaise foi – que je n’ai rien compris. Je suis passé par divers stades. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, j’ai pris conscience de la présence du Christ à mes côtés. Cela a débuté en 2002, quand j’ai rencontré un prêtre franciscain près d’Aix-en-Provence. Ses paroles m’ont paru maçonniques et m’ont plu parce que je pensais qu’il existait des liens entre la franc-maçonnerie et le catholicisme, mais j’ai compris au fur et à mesure que le sens de ses paroles était fondamentalement différent.

Par exemple ?

S.A.-G. : Lorsque la franc-maçonnerie parle de « Lumière », elle parle d’une « Connaissance », d’un savoir ésotérique, hermétique et occulte. Alors que ce Franciscain me parlait de « Lumière » comme étant l’Amour de Dieu pour nous. Un autre exemple : quand la franc-maçonnerie dit : « Cherchez et vous trouverez », il s’agit d’aller chercher et de trouver au fond de soi-même, c’est la parole hermétique maçonnique « V.I.T.R.I.O.L. » (Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem : Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée).

anti-macons

Mais les paroles de l’Évangile ne signifient rien de tout cela : elles disent que Dieu nous cherche avant même que nous pensions à Le chercher. C’est Dieu qui donne l’Amour à l’homme, non le contraire. L’amour de l’homme est une image de l’Amour de Dieu. Dieu nous a faits à son image. Tout ceci n’a rien à voir avec la magie, l’occultisme ou des formules symboliques ! Je suis sorti de cette rencontre avec le Franciscain complètement bouleversé, et j’ai senti la présence du Christ à mes côtés. Je ne pouvais imaginer qu’Il m’aimait de cet Amour immense que maintenant je ressentais. Il n’y a pas de mots pour le dire.

Mais ce n’était pas encore la conversion complète …

S.A.-G. : J’ai recommencé à prier, sans pour autant retourner à la messe. Un jour de 2005, à une mauvaise époque de ma vie, je me trouvais dans une chapelle quand le Christ m’a répondu. Une expérience incroyable, je suis quasiment tombé de mon banc. Mais même ainsi, je résistais et je ne comprenais pas ce que le Christ attendait de moi.

Que s’est-il passé ensuite ?

S.A.-G. : En 2012, j’ai expérimenté ce que l’on pourrait appeler « le Mal ». Je me suis trouvé face à la noirceur de l’âme humaine et face à la présence du diable dans nos vies avec la sorcellerie et magie. Cela peut paraître incroyable, mais je n’ai pas d’autre choix que de raconter les choses telles qu’elles se sont passées. Le monde s’est fermé pour moi. En quelques mois, j’ai perdu mon emploi, mon bon salaire, la maison où nous habitions, mon voilier de 12 mètres, ma voiture de sport, mes amis… Je me sentais totalement perdu et ne trouvais pas de réponses dans la franc-maçonnerie, qui ne pouvait pas répondre à la question de l’existence du mal dans le monde. L’idée m’est venue de faire une retraite quelques jours dans l’abbaye de Lagrasse ; et là, devant le Christ en croix, je me suis mis à pleurer et me suis rendu compte que ce Christ pleurait avec moi. Cet Amour fut comme une lumière. J’ai passé une semaine avec les moines, et mon cœur s’est ouvert totalement à l’Amour du Christ.

Et c’est à ce moment que vous êtes sorti définitivement de la franc-maçonnerie…

S.A.-G. : Tout ce que j’y vivais m’a paru faux, ou du moins tiède. Je n’ai pas pu y rester, d’autant que j’ai compris que la franc-maçonnerie était totalement incompatible avec la foi catholique.

A-t-elle réellement le pouvoir que lui prête sa légende ?

S.A.-G. : Oui, ce pouvoir, elle l’a ! En France, depuis 2012, de nombreux ministres sont maçons. Et les grands maîtres du Grand Orient, du Droit Humain ou de la Grande Loge veulent changer la société. Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel sont des idées maçonniques. Un grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a avoué que toutes ces lois étaient déjà pensées et mûries en loges avant d’être votées par les députés.

Et elle conspire ?

S.A.-G. : La franc-maçonnerie croit en l’« utopie » : autrement dit, tout ce qui est possible à un être humain, il doit et peut se le permettre. Il n’y a pas de limite dans une loi naturelle qui vienne de Dieu ; la morale provient du pacte social. Il n’y a donc pas d’autre mode de vie que l’hédonisme : le plaisir et le bonheur sont l’unique but, le Salut éternel n’existe pas, il faut jouir de la vie.

La franc-maçonnerie conspire, alors, contre toute façon de penser qui n’est pas la sienne.

(Source : Aleteia du 5 mai 2015. Adapté de l’espagnol par Élisabeth de Lavigne)

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Lecourtcircuit.fr : Partout en France ??

Leourtcircuit.fr

Lecourtcircuit.fr

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(Extrait de « 20 Minutes » : 24.04.2016)

Dans les campagnes nordistes, l’union fait la force. Les 150 producteurs agricoles inscrits sur le site lecourtcircuit.fr en font l’expérience, puisque le portail annonce une croissance du chiffre de 30 % par mois depuis six mois.
Lecourtcircuit.fr fonctionne comme un « drive », mais de producteurs : à l’instar des supermarchés en ligne, on y choisit et on y paie des produits (fruits et légumes, viande, tout est local) que l’on passe ensuite chercher en point de retrait. Mais, sur le modèle de la vente directe, ce sont les producteurs eux-mêmes qui assurent la distribution et fixent les prix.

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Meilleure alimentation, beaux paysages…

L’idée vient de trois jeunes entrepreneurs. Des trentenaires, jadis employés dans l’informatique et la vente à distance.

« On a démarré il y a trois ans, raconte Maxence Messiant, avec l’envie de trouver une solution pour améliorer les choses dans la région. Avec ce système, on pense pourvoir aller vers une meilleure alimentation, une meilleure agriculture, de plus beaux paysages et une meilleure santé ».

Et il n’est pas le seul à le penser. Philippe Lallau a rejoint Lecourtcircuit.fr en octobre, avec l’ouverture d’un point de retrait en gare de Bailleul. Il revendique une soixantaine de clients par semaine qui viennent, tous les vendredi, retirer leurs produits dans la gare de Bailleul. Seize producteurs y livrent fruits, légumes, viande, et champignons.

« Cela permet de se faire connaître », explique Philippe Lallau, maraîcher bio, qui assure en outre la gestion du point de retrait (moyennant une commission de 6 %). « Le contact avec les clients est enrichissant. L’autre jour l’une de nos clientes a tenu à expliquer elle-même le fonctionnement à une personne qui se renseignait. »

Lecourtcircuit.fr:

Un point de retrait à Roubaix, bientôt un autre à Lille:

Le principe est simple : une fois par semaine, le client choisit un point de retrait, et commande les produits avant le jour de retrait. Sur chaque point de retrait, un collectif s’est monté pour assurer une gamme de produits la plus large possible.
Le site internet se finance en prélevant 11 % du prix de vente. « Mais il n’y a pas de droit d’entrée, précise Maxence Messiant, qui veut des producteurs « libres ». Nous mettons seulement à disposition la solution technique. » Et cela séduit aussi les producteurs déjà habitués au contact direct du client : « Nous touchons une nouvelle clientèle, cela représente une centaine de clients en plus », témoigne Arnaud Delmotte, coexploitant d’un élevage de bœufs « blanc-bleu », qui fait de la vente directe depuis plus de 20 ans à Laventie.

La métropole lilloise n’est pas négligée : un point de retrait vient juste d’ouvrir à la Condition Publique, à Roubaix, avec douze producteurs.

Et l’ouverture à Lille n’est plus, selon Lecourtcircuit.fr, qu’une question de semaines.

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A quand massivement et partout en France pour bouter les gros chancres producteurs de chômage Leclerc, Carrefour et consorts hors du royaume de France ?????

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L’Europe: Mais qu’est-ce donc en réalité ?

conscience européenne

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Fort de ses premiers succès, l’Institut Iliade a décidé de célébrer son premier anniversaire par l’action, en produisant et en diffusant une vidéo originale : « L’Europe:  Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être européen ». Court, didactique, facile de compréhension et d’accès via notre chaîne YouTube, ce film propose une définition de l’identité européenne et illustre la réalité historique, culturelle, charnelle, de notre « récit civilisationnel ».

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L’Europe, ce n’est pas Lampedusa, c’est notre civilisation.

L’Europe ce n’est pas l’organisation de Bruxelles, pas davantage une monnaie ou une banque centrale.
L’Europe, ce n’est pas un espace mondialisé et sans frontière.
L’Europe, ce n’est pas le monde africain, ce n’est pas non plus une terre d’Islam.
L’Europe ce n’est ni la laideur ni le non-art.
L’Europe, c’est le continent des Européens.
L’Europe, ce sont des millénaires d’histoire, 700 millions d’Européens.
L’Europe c’est une identité : la civilisation européenne et chrétienne.
L’Europe, ce sont les temples grecs, les aqueducs et les théâtres romains, les chapelles romanes, les cathédrales gothiques, les palais Renaissance, les grandes places, les béguinages, les églises baroques, les châteaux classiques, les édifices Art nouveau.
L’Europe ce sont des rivages sauvages, des montagnes majestueuses, des fleuves paisibles. L’Europe, c’est le sentiment de la nature. L’Europe, ce sont des paysages jardinés par l’homme : des bocages aux polders, des prairies aux cultures en terrasses. L’Europe c’est le terroir du pommier et de l’olivier, de la vigne et du houblon.
L’Europe, ce n’est pas l’univers de la bouffe industrielle, c’est la gastronomie de l’huile et du beurre, du vin et de la bière, du pain et du fromage, du saucisson et du jambon.
L’Europe, ce n’est pas le monde de l’abstraction, c’est l’art de la représentation, de Praxitèle à Rodin, des fresques de Pompéi à la Sécession de Vienne. L’Europe, c’est l’imaginaire celte et le mystère chrétien. L’Europe, c’est la civilisation qui change la pierre en dentelle.
L’Europe, c’est le refus de l’ahurissement, c’est la culture qui a inventé le chant polyphonique et l’orchestre symphonique.
L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. L’Europe, c’est la culture de la chevalerie et de l’amour courtois.
L’Europe, ce n’est pas le monde de la surveillance, c’est la patrie de la liberté : la citoyenneté grecque, le forum romain, la grande charte anglaise de 1215, les villes et les universités libres du Moyen Âge, le réveil des peuples au XIXe siècle.
L’Europe, c’est un patrimoine littéraire et mythologique : Homère, Virgile, Hésiode, les Eddas, le chant des Nibelungen et le cycle arthurien. C’est aussi Shakespeare, Perrault et Grimm.
L’Europe, c’est l’esprit d’invention et de conquête : c’est Léonard de Vinci et Gutenberg ; ce sont les caravelles, les montgolfières, les débuts de l’aviation et Ariane, ce sont les ponts jetés sur les mers.
L’Europe, ce sont les héros qui l’ont défendue au cours des siècles : c’est Léonidas et ses 300 Spartiates sauvant la Grèce de l’Asie ; c’est Scipion l’Africain préservant Rome de Carthage, c’est Charles Martel repoussant l’invasion arabe, c’est Godefroy de Bouillon délivrant les lieux saints et fondant le royaume franc de Jérusalem, c’est Ferdinand d’Aragon et Isabelle la Catholique libérant Grenade, c’est Ivan le Terrible éloignant les Mongols de la sainte Russie, c’est don Juan d’Autriche victorieux des Turcs à Lépante.
L’Europe, ce sont des hauts lieux : c’est le Parthénon, la place Saint Marc, Saint-Pierre de Rome, la tour de Belém, Saint-Jacques de Compostelle, le mont Saint-Michel, la tour de Londres, la porte de Brandebourg, les tours du Kremlin.

Tel est notre récit civilisationnel !

Aujourd’hui, l’Europe est l’homme malade du monde. Elle est culpabilisée, colonisée, affaiblie. Ce n’est ni fatal, ni durable. Arrêtons la repentance ! Retrouvons le fil de la longue mémoire.

Écoutons le message d’espoir de Dominique Venner :

« Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore mais de ce réveil je ne doute pas. »

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Matrice globaliste : Le contrôle total.

matrice globaliste

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Contrôle de la matrice globaliste :

Cette video (sous-titres anglais simple) révèle comment  le pouvoir mondial contrôle les média, les politiques et les banquiers et comment chacune des parties de cette matrice tribale se soutient mutuellement.

Le documentaire montre comment les média biaisent l’information dans le sens des intérêts sionistes en Palestine et partout dans le monde.

Une partie intéressante de la vidéo présente les chefs de CNN, comme par exemple l’agent sioniste de longue date Wolf Blitzer, agent de l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) qui est habituellement présenté comme un simple « journaliste » !

Il y est révélé pour la première fois qu’au sein de cette matrice globaliste, le plus gros actionnaire du méga-groupe d’intox sioniste Time Warner est aussi le plus gros actionaire de Goldman-Sachs !

On comprend comment le plus grand vol économique de l’Histoire fut réalisé par Goldman Sachs et a été dissimulé par des régulateurs gouvernementaux US-sionistes, un Procureur de justice sioniste, un Juge Fédéral US et d’une manière générale par la toute puissance des sionistes dans les média et le gouvernement US: Tous se tiennent par la barbichette dans la matrice globaliste !

On peut donc constater clairement comment une certaine élite juive pratique le racisme et le tribalisme pour avancer son agenda suprémaciste et globaliste.

Plus d’informatons sur www.DavidDuke.com

 

Trucage U.S.de l’opération anti-Daesh

operation anti daesh

Article du 15 Mars 2016 tiré de : http://www.voltairenet.org/article190723.html

 

Opération anti-Daesh :

Les enquêtes se poursuivent sur le trucage de l’opération anti-Daesh:

 

opération anti-Daesh

 

Alors que le général Joseph Votel s’apprête à prendre le commandement du CentCom avec la mission de libérer Rakka (Syrie) des jihadistes de l’ÉI [1], la presse US revient sur le climat de peur qui règne dans cette unité.

En août 2015, alors que le général John Allen (un « faucon libéral » comme David Petraeus, Hillary Clinton et Jeffrey Feltman) était responsable de la Coalition internationale anti-Daesh, le New York Times révélait que des rapports de renseignement du CentCom avaient été falsifiés pour faire accroire que la Coalition combattait effectivement Daesh [2].

Opération anti-Daesh ?

Au Proche-Orient, de nombreux responsables politiques et journalistes rapportaient qu’au lieu de lutter contre Daesh, la Coalition internationale lui fournissait des armes et un soutien aérien.

En septembre 2015, lors du 2015 Intelligence & National Security Summit, de hauts responsables du Renseignement —dont les directeurs de la DIA, de la CIA et de la NGA— avaient dénoncé, sans le nommer, le général John Allen, l’accusant de falsifier les rapports du CentCom de manière à masquer son action réelle en faveur de Daesh [3]. The Daily Beast révélait que 50 analystes du CentCom auraient été victimes de censure et avaient porté plainte devant l’Inspecteur général du Pentagone [4].

Le président de la Commission de surveillance et de réforme du gouvernement à la Chambre des représentants, Jason Chaffetz, lançait alors une enquête parlementaire, parallèlement à l’enquête interne du Pentagone [5].

L’actuel patron du CentCom, le général Lloyd Austin avait alors tenté de minimiser l’affaire, tandis que le général John Allen présentait sa démission [6].

Toujours selon The Daily Beast, les parlementaires auraient établi que le général Steven Grove et Gregory Ryckman exerçaient des pressions sur le personnel, mais ils auraient les plus grandes difficultés à mesurer l’étendue des dégâts. En effet, un officier du CentCom est silencieusement présent dans la pièce des enquêteurs durant chaque interrogatoire [7].

Le rapport de l’Inspection générale, quant à lui, devrait être terminé ce mois-ci, mais il ne sera peut-être pas rendu public dans son intégralité.

Ce n’est que depuis la nomination de Brett McGurk comme « Tsar anti-Daesh », en février 2016, que les forces états-uniennes combattent effectivement Daesh.
[1] « Le général Joseph Votel, nouveau patron du CentCom », Réseau Voltaire, 15 janvier 2016.

[2] “Inquiry Weighs Whether ISIS Analysis Was Distorted”, Mark Mazzetti & Matt Apuzzo, The New York Times, August 25, 2015.

[3] « Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone », Réseau Voltaire, 12 septembre 2015.

[4] “Exclusive : 50 Spies Say ISIS Intelligence Was Cooked”, Shane Harris & Nancy A. Youssef, The Daily Beast, September 9, 2015.

[5] « Le Congrès se saisit du trucage du Renseignement US », Réseau Voltaire, 14 septembre 2015.

[6] « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 23 septembre 2015.

[7] “CENTCOM Embroiled in Climate of Fear”, Shane Harris & Nancy A. Youssef, The Daily Beast, March 14, 2016.

 

Ni burqa, ni kippa !

David Ducke

Les identitaires, le Front National, les intellectuels prenant « la défense de la France contre l’Islam », se font manipuler les uns après les autres par l’idéologie sioniste. Non seulement cela est parfaitement insupportable et parfaitement odieux, mais de plus contre-productif à mon sens.

En effet, ce soutien fait de ceux qui le partagent les alliés consentants des exactions sionistes en Palestine, des guerres d’extermination US au Moyen-Orient, et des plans de domination mondiale du N.W.O partout où il sème le chaos et que vomissent la plupart des peuples de la terre actuellement !

Notre culture est faite de racines celtes, gréco-romaines, et chrétiennes (« judéo-chrétiennes », ne voulant strictement rien dire puisque les juifs n’ont, justement pas reconnu le Christ comme messie !);

L’article de Pierre Vial, reproduit ci-dessous, me parait donc de la plus grande importance dans ce contexte déprimant !

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« Grandes manoeuvres juives de séduction à l’égard de l’extrême droite européenne (Terre & Peuple Magazine n°44- Eté 2010)

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Au sein de la communauté juive, beaucoup s’inquiètent des sombres perspectives qui s’offrent à elle. En Israël, où l’évolution démographique, compte-tenu des différences de taux de natalité chez les Juifs et chez les Arabes, va donner arithmétiquement à ces derniers, à plus ou moins long terme (en fait, dans quelques années), une position majoritaire.

Qu’adviendra-t-il le jour où cette masse se révoltera violemment ? La situation est tout aussi inquiétante en ce qui concerne la diaspora : en France et dans bien d’autres pays où l’immigration arabo-musulmane progresse sans cesse, les Juifs ressentent un sentiment d’insécurité. A juste titre car ils peuvent s’attendre à courir de graves dangers si l’impact du conflit du Proche-Orient met le feu aux poudres à l’échelle de la planète, la communauté juive devenant alors la cible de règlements de compte sanglants.

Face à ces menaces, qui ne relèvent en rien de la science-fiction, certains milieux juifs ont le souci, pour renforcer leur potentiel “militaire” d’autodéfense, de faire flèche de tout bois, y compris en essayant de trouver des alliés – ou plutôt des troupes supplétives, de style “harkis” – au sein de l’extrême droite européenne. En utilisant un argument simple mais efficace auprès des naïfs : tous ceux qui ont à faire face à la menace arabo-musulmane doivent s’unir à travers le monde, en oubliant d’éventuels griefs qui sont désormais d’importance secondaire.

La stratégie est ancienne. Ceux qui ont vécu l’époque de la guerre d’Algérie peuvent se souvenir de certains faits révélateurs : le soutien apporté par Jean-Marie Le Pen à l’expédition de Suez à laquelle il participa et qui fut montée pour aider Israël contre l’Egypte ; le rôle, dans le camp “Algérie française”, de Jacques Soustelle, par ailleurs président de l’Alliance France-Israël ; la participation active (et efficace) à l’OAS de Juifs pieds-noirs.
Aujourd’hui, avec la présence massive d’immigrés d’Afrique du Nord et d’Afrique noire, l’argument de “l’union sacrée” entre Juifs et Européens a pris un poids nouveau (d’autant plus nécessaire qu’après la “grosse bavure” contre les navires cherchant à gagner Gaza, Israël bat le rappel de ses fidèles). Cet argument est mis en avant par des gens dont certains sont déjà bien connus au sein de l’extrême droite européenne et dont d’autres méritent de l’être. Car leurs éventuelles dupes doivent être mises en garde.

Passons rapidement sur les plumitifs. Après les ouvrages (par ailleurs bien documentés) d’Alexandre del Valle (pseudonyme), qui lui permirent d’être bien accueilli dans divers cercles d’extrême droite (jusqu’au jour où l’on apprit qu’il était invité à prendre la parole aux réunions du B’naï B’rith…), après La nouvelle question juive de Guillaume Faye (2007), qui sema la consternation chez ses plus vieux amis, après le soutien constant apporté à Israël par une presse dite “de droite” – dont le fleuron est sans doute Valeurs actuelles, sous la houlette d’un François d’Orcival qui cherche depuis si longtemps à faire oublier ses engagements de jeunesse – une offensive d’une toute autre ampleur est désormais engagée. Il s’agit de l’opération Zemmour.

Ce journaliste, qui a participé le 13 février 2002, avec Michel Gurfinkiel (de Valeurs actuelles), à une réunion de la loge “France” du B’naï B’rith, est une plume vedette du Figaro et un chroniqueur quotidien très écouté de RTL. Il a le grand mérite d’énoncer sans complexe quelques vérités simples concernant l’immigration-invasion. Par exemple, dans Petit frère (un roman axé sur l’assassinat d’un jeune juif par un jeune arabe, ami d’enfance), il décrit ainsi la France : “Un pays d’Arabes et de Noirs. Des millions et des millions. Ils tirent la France vers le bas. Avec eux, on devient un pays du tiers-monde. Les Français ont peur d’eux. Ils n’osent plus rien leur dire”. Ce qu’il résume par une formule-choc : “Nous vivons la fin de l’empire romain” (Actualité juive, 9 novembre 2006). Tout cela est évidemment bien vu et il est utile de le dire.

Mais… La bonne question est : pour qui, pour quoi roule Zemmour ?

Il rappelle volontiers ses origines : “Mes ancêtres étaient des Juifs berbères” (RMC, 7 janvier 2008). Sa famille séfarade installée en France lors de la guerre d’Algérie, il a vécu son enfance et sa jeunesse à Drancy au coeur de la communauté juive locale, en faisant toutes ses études dans des établissements confessionnels donnant une éducation juive traditionnelle.

Il a appliqué le principe d’endogamie, vital pour toute communauté, en épousant une séfarade, Mylène Chichportich. Il ne cache pas ses liens sentimentaux forts avec sa communauté d’origine (ce qui est bien normal). Lorsqu’a couru le bruit que ses déclarations fracassantes allaient provoquer sa déchéance professionnelle, on a vu se mobiliser beaucoup de gens, en particulier sur le net, pour signer des pétitions de soutien en sa faveur.

Est-ce pour cette raison que Zemmour n’a subi finalement aucun ennui ?

Nous n’aurons pas la naïveté de le croire. Nous pensons qu’il y a une « opération Zemmour » destinée à susciter au sein de la droite de la droite une sympathie pour le message qu’incarne Zemmour : face à l’immigration-invasion, union sacrée des Européens, des Américains et des Juifs (Israël étant “le bastion de l’Occident” face à l’islam, qu’il faut donc soutenir inconditionnellement).

Ficelle assez grosse, qu’a raison de pointer du doigt Henry de Lesquen : “Zemmour est la sucrette qui fait passer le poison de l’idéologie dominante. (…) Il est devenu une « icône » pour la droite de la droite, pour une foule de braves gens qui s’imaginent sans doute que le salut vient encore aujourd’hui des juifs, comme il y a 2 000 ans”.

Qui en profite ?

“Le système » dans son ensemble, qui a missionné le berger Zemmour pour conduire les brebis de la droite dans les filets du politiquement correct” (La voix des Français, mai 2010).

Sur le plan purement politique, l’opération de séduction fonctionne bien. Assurée par des relais au sein de mouvements d’extrême droite. Ainsi Fernand Cortès, tête de liste dans l’Aude d’une Ligue cache sexe du Bloc Identitaire aux dernières élections régionales a signé la pétition “Raison-garder” lancée par des sionistes “de droite”.

Il explique ainsi la position du Bloc Identitaire : “Ses relations avec la communauté juive sont bonnes (je suis bien placé pour en parler car je suis à l’origine de leur développement) et elles deviennent excellentes car de très nombreux Juifs deviennent sympathisants du BI et le soutiennent résolument”.

Interrogée par des militants au sujet de cette déclaration, la direction du Bloc est restée muette. Qui ne dit mot consent…

Au Front National, Marine Le Pen, elle, a annoncé la couleur : elle est membre du groupe Europe-Israël au Parlement européen, a souhaité (en vain jusqu’à présent) faire pèlerinage en Israël et, si l’on en croit Marc George, ex-secrétaire général d’Egalité et Réconciliation, le mouvement d’Alain Soral, celui-ci a mis en contact Marine avec Gilles-William Goldnadel, ultra-sioniste et “agent israélien notoire” (Rivarol, 14 mai 2010). Quant à Bernard Antony – brouillé avec le FN en raison de certaines prises de position de Marine – il n’a jamais caché qu’en tant que chrétien il était fondamentalement attaché aux sources juives du christianisme – ce qui est parfaitement logique.

Le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans le travail d’influence mené par certains agents d’Israël dont le prototype est un certain Patrick Brinkmann. Celui-ci, officiellement citoyen germano-suédois, dispose de fonds très importants censés provenir de sa (grosse) fortune personnelle…

Il a commencé par bien cacher son jeu. Après avoir assisté à la Table Ronde de Terre & Peuple en 2006 et s’être déclaré très favorablement impressionné par cette réunion, Brinkmann avait manifesté la volonté de créer une structure de liaison et de coordination entre le plus grand nombre possible de mouvements identitaires européens, baptisée Kontinent Europa Stiftung (“Fondation Continent Europe”), qui devait prendre l’initiative d’activités internationales axées sur l’identité européenne (voir Terre & Peuple Magazine, n° 32, été 2007). Cette initiative parut tout à fait sympathique et fut donc approuvée par Terre et Peuple, en France, le Thule-Seminar en Allemagne, Tierray Pueblo en Espagne. Mais lorsque les dirigeants de ces mouvements proposèrent d’organiser une première rencontre européenne destinée à faire connaître la KES, Brinkmann tergiversa longuement. Tout en manifestant progressivement, en contradiction avec ses premières déclarations, des prises de position tellement ambiguës qu’on pouvait se poser des questions sur ses véritables motivations.

Si bien que Pierre Vial (Terre et Peuple) et Pierre Krebs (Thule-Seminar) décidèrent de rompre leurs relations avec lui. Tout s’éclaira récemment lorsque Brinkmann annonça son intention de financer largement, en Allemagne, certaines campagnes électorales de mouvements “de droite” très hostiles à l’islam, à condition que les organisations profitant de ses largesses affichent leur soutien à Israël. Il a explicité son point de vue en déclarant à une agence de presse : “Notre culture européenne est judéo-chrétienne (…) C’est une chance que le destin des juifs et des chrétiens soit entrelacé (…) J’ai visité Israël, je suis allé à Yad Vashem non comme un touriste mais pour pleurer. (…) Le judaïsme va de pair avec la culture européenne”.

Dans la foulée, il a annoncé qu’il organisait pour 2011 un “pèlerinage européen” à Jérusalem, car il faut “une entente entre l’Europe et Israël pour leur survie”.

Brinkmann a noué des rapports suivis avec les animateurs de mouvements d’extrême droite dans divers pays (entre autres, en Autriche et en Espagne, comme cela vient d’être révélé dans ce pays par une revue à grand tirage qui est l’équivalent de Playboy…), en annonçant vouloir financer leurs campagnes électorales (il a la réputation d’être riche, mais on peut se demander quelle est la véritable origine de ces fonds…). Quel sera, pour ces mouvements, le prix politique à payer ?

Car certains mouvements dits “populistes”, dont les succès électoraux révèlent – et c’est une très bonne chose en soi – une volonté populaire de résister à l’invasion immigrée, se révèlent par ailleurs très perméables à l’influence sioniste. Aux Pays-Bas, le Parti pour la Liberté est en constante progression aux élections. Son chef, Geert Wilders, est allé prêcher aux États-Unis en faveur d’une “alliance des patriotes face à la montée du péril islamiste”. Il a déclaré à New-York en novembre 2009 : “Je viens en Amérique avec une mission. (…) Je soutiens Israël (…) parce que c’est notre première ligne de défense (…) J’ai vécu dans ce pays et je l’ai visité des douzaines de fois (…) Israël est un phare, une lumière dans l’obscurité de l’Orient, la seule démocratie. La guerre contre Israël est une guerre contre l’Occident”.

Bien entendu ce message a été abondamment relayé en France, sur internet, par les sites sionistes, qui font le forcing pour convaincre les identitaires européens de faire “l’union sacrée”. Parfois en des termes inouïs, qui devraient normalement tomber sous le coup de la loi (mais…). Ainsi, un fou furieux utilisant le pseudo (transparent pour un séfarade) de Charles Dalger appelle au massacre de ceux qu’il appelle les “nazislamistes” (un terme, repris par d’autres agitateurs, dont le caractère obsessionnel est révélateur).

Par ailleurs il y aurait beaucoup à dire sur les relations de chefs de mouvements d’extrême droite, en Autriche, en Italie, au Danemark avec des agents d’influence sioniste. Soyons bien clairs: est évidente, indiscutable, impérative la nécessité de lutter par tous les moyens contre l’invasion-immigration et nous mettons toute notre énergie dans ce combat pour l’identité et la survie des peuples européens.

Mais en étant lucides.

Et donc en refusant de nous laisser piéger et manipuler pour servir de troupes d’appoint pour la défense des intérêts juifs, c’est-à-dire une cause qui, légitimement, est celle des Juifs mais qui n’est donc pas la nôtre. »

PIERRE VIAL

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CETTE EXTRÊME DROITE EUROPÉENNE, PRO ISRAÉLIENNE…
Publié le 29 juin 2011. Publié dans COLLABOS ET RENEGATS

Spécial investigation La déferlante anti-islam : Enquête sur la nouvelle extrême droite.

Qui manipule une partie de l’extrême droite en Europe, tout en veillant à ce que la plupart restent libéraux et conservateurs ?

Qui fait élire des politiciens en France et partout en Europe ? Qui facilite leur accession dans les médias ?

Pourquoi Marine Le Pen passe t’elle en boucle à la TV ?

A faire voir à tous, adhérents, sympathisants etc… pour bien comprendre comment certains se laissent instrumentaliser, et comment ils deviennent des objets dans les mains de certains, mais pour aller vers quoi ?

Pour ceux qui veulent télécharger ce reportage incroyable, pour ensuite le montrer à d’autres, voici un lien de téléchargement :

http://www.megaupload.com/?d=BJR59LC1

Quiconque veut rester Libre et Indépendant doit regarder ce résumé de 15 minutes : voici un résumé des points marquants du reportage : Extrême droite européenne, pro israélienne par Resistance_Identitaire :

A faire voir à tous, et notamment aux nationaux et identitaires, pour bien comprendre comment certains se laissent manipuler.

Il est dit très clairement par Hillel Weiss, que l’Islam serait antisémite, et qu’à partir de ce constat, l’extrême droite Israélienne, se cherche des compagnons de combat, des « Harkis »…

Pour défendre qui ? Le sang des peuples blancs d’Europe, ou le sang d’israel ?
Extrait d’un article de Pierre Vial parut dans le numéro 48 de Terre et Peuple Magazine:

« Un reportage diffusé par Canal + le 30 mai était intitulé La déferlante anti-islam : enquête sur la nouvelle extrême droite. Ce film confirme, de façon spectaculaire, la dérive pro-sioniste d’une partie de l’extrême droite européenne, instrumentalisée, au nom de la lutte contre l’islam, par la droite dure israélienne. Dont un des idéologues de pointe, Hillel Weiss, explique très tranquillement que l’extrême droite peut être « utile » (c’est le mot qu’il utilise) à Israël.

C’est la vieille histoire des « idiots utiles » que les communistes, en leur temps, appréciaient tant. Le même Weiss précisant: « Nous demandons aux Français de soutenir Marine Le Pen ». Celle-ci, comme il est rappelé dans l’émission, n’ a-t-elle pas déclaré à un grand quotidien israélien:

« Le Front National a toujours été sioniste ».
Ce qui est une façon bien à elle de réécrire l’Histoire …

Mais elle n’est pas la seule à entrer dans le jeu d’Israël pour se faire accepter par les maîtres du pouvoir politico-médiatique. En Angleterre, lors d’une manifestation de « l’English Defence League », on voit des militants agiter le drapeau israélien, tandis que prennent la parole côte à côte le rabbin Nachum Schifren, venu de Californie, et le représentant du Bloc identitaire Mickael Prima, venu de France. Aux Pays-Bas, Geert Wilders est doublement fréquentable: homosexuel, il déclare que le judaïsme est une des bases de la culture européenne …

Le choc des images: on voit Strache, le leader du FPO autrichien, Dewinter, du Vlaams Belang et quelques autres, la kippa sur la tête, reçus à bras ouverts en Israël par les chefs de la droite dure israélienne. Tout ce petit monde s’embrasse, tandis qu’Hillel Weiss, déjà cité, explique qu’Israël représente la culture occidentale. Cette manip a été organisée par l’un des principaux agents d’Israël en Europe, le « germano-suédois » (?) Brinkmann, qu’on voit guider l’un des plus activistes des colons israéliens pour lui faire visiter Berlin …

Nous l’avons déjà dit mais il faut le répéter sans cesse: les populistes européens qui se laissent ainsi manipuler sont soit des naïfs (c’est peu probable) soit des complices, bien conscients, d’Israël, qui espèrent tirer profit de leur ralliement, en surfant sur le rejet, légitime, de l’islamisation qui habite de plus en plus d’Européens.

Nous, nous maintenons le cap: les Européens n’ont rien à gagner en se faisant enrôler du côté musulman ou du côté juif.

Ce n’est pas notre combat. Nous nous battons pour les nôtres, seulement pour les nôtres. »

P.V.

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Des idiots utiles.

Excellent article du blog d’Alain Benajam, président du Réseau-Voltaire :

Des idiots utiles.

Les USA et leurs multiples « think tank » auxquels participent des intellectuels de renom sont passés maîtres dans la conduite de l’opinion publique, exactement la ou ils le veulent, c’est à dire dans son acceptation des guerres impérialistes qu’ils conduisent ou ont l’intention de conduire. Des scénarios, prévus de longue date sont soigneusement mis en œuvre dans une société du spectacle comme l’appelait Guy Debord, ce théâtre fait jouer des « idiot utiles » c’est à dire des gens, des groupes allant inexorablement dans le sens voulu par l’impérialisme sans qu’ils le désirent et tout en s’en défendant. La pièce actuellement jouée est celle « du clash des civilisations » et de la « guerre au terrorisme » dit islamiste. Musulmans radicalisés et identitaires occidentaux tout autant radicalisés par d’habiles manœuvres de l’impérialisme en seront les acteurs dit « idiots utiles ».

Une société du spectacle dont l’oligarchie mondialiste tire les ficelles

Fomenter des guerres, des émeutes raciales ou religieuses est une très vielle technique de pouvoir. Les USA n’ont apporté qu’une science améliorée déjà décrite par Machiavel au début du16 ème siècle mais utilisée par les puissants depuis toujours.

Pendant très longtemps et dans la plus grande parti de son existence, l’humanité n’a pas connu de séparation en classes sociales. Les femmes cueillaient, les hommes chassaient, seul un chaman était à part dans un rôle qui consistait surtout à soigner malades et blessés, mais aussi à expliquer les mystères de la vie. Les hommes étaient pour la plus part nomades, suivant le gibier dans sa migration.
Quand les humains découvrirent l’agriculture ils devinrent évidemment sédentaires, construisirent des villages permanents dont certains par coalitions devinrent des cités. Il subsista encore longtemps des chasseurs cueilleurs notamment dans les forêts tropicales isolées, jusqu’à une date récente ce qui à fait que leur mode d’organisation social est connu.

Quand un grand nombre d’humains se coalisèrent en cités ils séparèrent les fonctions des uns et des autres. Les conflits entre cités ou l’extension de la cité sur le plat pays fit des prisonniers qui utilement se transformèrent en esclaves qui prirent en charges par contrainte les différents travaux particulièrement ceux de l’agriculture.
Les guerres devenant quasi permanentes une classe de guerrier se forma avec des chefs de guerre qui prirent le pouvoir dans les cités car possédant les moyens de coercition.

Partout ou des cités s’érigèrent des état se formèrent et des classes sociales différencièrent les humains, en hommes libres, en esclaves, en guerrier, en paysan, en riches propriétaires de la terre et en pauvres. Le chamanisme primaire se transforma en religion d’état, les légendes racontant les fondations de ces cités se transformèrent en théologie ou il fut admis que l’ordre social était divin et que le chef guerrier, roi, ou empereur était désigné par les dieux et ce en dehors de toutes volontés terrestres. Les religions naquirent de cette façon, chacune n’étant plus là pour seulement expliquer la nature mais pour imposer un pouvoir acceptable par la masse des soumis.

Les religions marquèrent l’appartenance vis à vis des autres qui étaient le plus souvent des ennemis ainsi la désignation d’un ennemi devint le corollaire de toutes religions d’état.

En Europe, jusque la guerre de cent ans et principalement dans sa deuxième phase au 15 ème siècle, le sentiment national n’existait pas, seule la religion et la guerre pour la religion réglait l’appartenance fondamentale. L’apparition en France de Jeanne la Pucelle fit émerger autant du côté français que du côté anglais un sentiment d’appartenance nationale. On voit que la guerre, par la désignation d’un ennemi fut la source d’un sentiment d’appartenance autre que religieuse.

On comprend que le sentiment d’appartenance incite à se battre, en se défendant ou en attaquant et que la guerre est une motivation particulière de se classer dans cette appartenance. En outre l’appartenance nationale a supplanté avec le temps l’appartenance religieuse, cependant quand les deux sont réunies contre un ennemi pratiquant une religion différente, la cohésion sociale s’en trouve considérablement renforcée.

La cohésion sociale fondée sur une appartenance permet aux soumis d’accepter leur état car ces soumis se sentiraient particulièrement déchus s’ils se trouvaient, en plus devenir exclus de leur communauté. Les pouvoirs ont souvent usé de la désignation de l’autre, le différent, comme fauteur de problèmes pour endiguer des émeutes. Ainsi le roi de France Philippe le Bel s’en prit aux juifs après des émeutes protestant contre des dévaluations de monnaies, puis s’en prit ensuite aux Lombards, italiens, étrangers pour continuer à calmer le peuple en colère et enfin aux templiers mystérieux.

Cette longue introduction sur l’intérêt que possède un pouvoir d’état à désigner un ennemi me permet d’évoquer le cas particulier des USA.

Les USA, ne possèdent pas de traditions nationales, ses citoyens se nomment eux-même américains, mais c’est le nom d’un vaste continent et tous les citoyens des états qui le compose sont en droit de s’appeler également américains, du nord, comme du sud. Il y a dans ce pays éclaté un déficit de sentiment d’appartenance, déficit qui s’aggrave dans le sud des USA dont les habitants ont souvent encore à l’esprit la guerre de sécession. Les USA se sont construits par la guerre plus que tous autres états, en 239 ans d’existence les USA connurent 222 ans de guerres. Les USA, dont les habitants furent composés d’immigrés européens de différentes nations mais soumis aux WASP (White Anglo Saxon Protestant) ont toujours eu la nécessité de se trouver une cohérence dans la désignation d’un ennemi commun. Cet ennemi commun fut d’abord trouvé naturellement dans des guerres de colonisation d’un territoire d’abord restreint et qui devint au fil du temps les territoires étasuniens actuels. Ces guerres très meurtrières durèrent tout le 19 ème siècle contre les natifs amérindiens, les espagnols, les mexicains. A la vision du cinéma étasunien on observe bien l’idéologie de diabolisation de leurs ennemis précités, présentés comme cruels et fourbes. N’oublions pas que ce territoire fut pris aux peuples autochtones dans une guerre génocidaire permanente.

Les USA ont toujours eu un besoin vital d’avoir des ennemis : espagnols, allemands, japonais, communistes soviétiques. A la fin de la seconde guerre mondiale les USA possédaient une importante industrie d’armement qui composa ce qu’Eisenhower appela le complexe militaro-industriel et avec une importante économie de guerre. Devenue première puissance mondiale les USA tournaient à plein avec comme ennemi l’URSS communiste, ils s’engagèrent dans de multiples guerres en Corée et au Vietnam ce qui alimenta au mieux le fameux complexe.
Qui a connu cette période se souvient de la perpétuelle propagande de guerre diffusée par les médias diabolisant les rouges et faisant de l’URSS l’empire du mal contre lequel il fallait se serrer les coudes et s’armer.

 

Un ennemi comode pour faire peur.

La fin de l’URSS en 1991, organisée par des traîtres russes comme Gorbachev et Elsine déconcerta les USA qui se trouvèrent soudainement sans ennemi c’est à dire sans moteur pour faire tourner son économie de guerre avec son complexe militaro-industriel hypertrophié. Mais les USA se voyaient les maîtres incontestés du monde et surtout avaient maintenant la possibilité de mettre la main sur les richesse du cœur de l’Île du Monde, la Russie, de Boris Elsine, bonne à piller.

Il fallait impérativement trouver un autre ennemi afin de maintenir à la fois la cohésion nationale et faire tourner l’économie de guerre, la réflexion était lancée d’autant plus qu’un think tank organisé par des « néo-conservateurs » devint très populaire dans l’administration Bush le « Project for a New American Century » (projet pour un nouveau siècle « américain » PNAC).

«…Fondé au printemps 1997, le PNAC se définit comme une organisation bénévole d’éducation dont l’objectif est la promotion d’un American Global Leadership (Leadership global américain). Le PNAC se place ainsi comme groupe de réflexion et d’influence, œuvrant à trouver et engager des moyens de prolonger au XXIe siècle le leadership mondial des États-Unis acquis depuis la Seconde Guerre mondiale, que ce soit dans les domaines politique, économique, culturel ou militaire. Son siège social de Washington, D.C. se trouve d’ailleurs dans le même immeuble qu’une autre organisation défendant les intérêts des États-Unis, l’American Enterprise Institute. » ( Wikipedia)

La même année, paru un ouvrage d’un intellectuel étasuniens Samuel Huntington, professeur à Harvard, : « The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order » (Le choc des civilisations et la refonte de l’ordre du monde).

D’après lui les causes des conflits mondiaux ne seraient plus dues à des volontés de pouvoir d’état sur d’autres, ni à des causes idéologiques après la fin de l’URSS mais à des causes religieuses et civilisationnelles. Il divise ainsi le monde en « civilisations » qui pourraient devenir antagonistes.

Carte de Samuel Huntigton en vert le monde islamique et en indigo le monde chrétien occidental.

Évidemment ce monsieur occulte soigneusement la principale cause de conflit qui est la volonté impérialiste et l’économie de prédation dont les USA se sont faits une spécialité.

Il publie une carte ou il expose ces différentes « civilisations » ou l’on voit les deux plus importante ; la civilisation chrétienne occidentale et la civilisation islamique.

Le décor est ainsi construit il ne suffit plus en cette fin du 20 ème siècle que de jouer la pièce de théâtre prévu pour tromper les peuples en détournant leur attention des réalités impérialistes du monde.

Un nouvel ennemi déclaré, l’islam.

Les « attentats » du 11 septembre 2001 seront le premier acte retentissant de ce clash de civilisations afin de désigner l’islam comme responsable du terrorisme. Auparavant quelques prémices avaient été organisées pour crédibiliser cette manipulation de l’opinion.

Ce que nous en dit Wikipedia :

« Des organisations terroristes commencèrent à cibler les États-Unis et leurs alliés dès les années 1990. L’attentat du World Trade Center de 1993, probablement organisé par Al-Qaïda, a été le premier d’une série d’attaques ciblant les Américains, suivi par l’attentat des tours de Khobar en Arabie saoudite et, en 1998, par les attentats des ambassades américaines en Afrique, en Tanzanie et au Kenya (qui auraient également été perpétrés par Al-Qaida). Le « Front mondial islamiste » déclare le 23 février 1998 que « tuer les Américains et leurs alliés –civils ou militaires– est un devoir pour chaque musulman qui peut le faire dans tout pays dans lequel il est possible de le faire ». Dès ces années, l’administration Clinton promulgue des lois anti-terroristes, dont le Antiterrorism and Effective Death Penalty Act of 1996 et le Illegal Immigration and Migrant’s Responsibility Act  qui durcit les conditions d’immigration aux États-Unis.

Après les attentats en Tanzanie et au Kenya, le Président Bill Clinton lança l’opération Infinite Reach, une campagne de bombardements au Soudan et en Afghanistan contre des cibles associés à al-Qaeda. Les frappes échouèrent à neutraliser les principaux chefs terroristes. Peu après vinrent les complots terroristes du passage à l’an 2000 qui ciblaient entre autres l’aéroport international de Los Angeles. En octobre 2000, ce fut l’attentat de l’USS Cole, un navire américain, au Yémen, suivi un an plus tard par les attentats du 11 septembre 2001. »

Al-Qaïda avec son chef supposé, Oussama Ben Laden seront perpétuellement désignés comme les organisateurs des attentats dits islamistes.

L’instrumentation de l’islam au profit de l’impérialisme va se faire en deux phases.
Une première phase sera la fabrication d’un ennemi et une deuxième phase sera le travail de radicalisation des musulmans menés par les alliés wahhabites saoudiens et les Frères Musulmans réfugiés au Qatar.

Phase 1, fabrication du nouvel ennemi islamiste.

D’où vient Al-Qaïda ? Toujours ce que nous en dit Wikipedia.

«…Al-Qaïda (arabe : القاعدة al-qāʿida, « la Base ») est un mouvement salafiste djihadiste fondé par le cheikh Abdullah Yusuf Azzam et son élève Oussama ben Laden en 1987. D’inspiration sunnite fondamentaliste, il puise ses racines chez des penseurs musulmans radicaux comme Abou Qatada, Abou Moussab al-Souri ou Abou Mohammed al-Maqdissi. Il considère que les gouvernements « croisés » (occidentaux), avec à leur tête celui des États-Unis, interfèrent dans les affaires intérieures des nations islamiques et ce dans l’intérêt unique des sociétés occidentales. Il a recours au terrorisme pour faire entendre ses revendications ».

Ici Wikipédia donne du crédit à la thèse US, c’est normal pour un média sous contrôle, mais il est obligé d’un peu se dévoiler.

« …À l’origine, Al-Qaïda est fortement lié à la Première Guerre d’Afghanistan. Le Maktab al-Khadamāt (MAK), créé par Abdallah Azzam en 1980, organise et entraîne les moudjahidines avant de les envoyer en Afghanistan. Le MAK est soutenu par d’autres organisations islamistes, des organisations caritatives et par la CIA qui déploie dans cette période une politique interventionniste dans le souci d’enrayer et d’abattre la puissance de l’URSS, désignée comme « Empire du Mal » par l’administration Reagan, notamment par le soutien aux groupes de toute nature qui peuvent déstabiliser les régimes supposés proches de Moscou. En 1986, Oussama ben Laden, ancien étudiant d’Abdallah Azzam, qui finançait depuis 1982 l’activité du groupe, rejoint le front. »

Cette explication reflète toutes les contradictions et schizophrénies qui seront perpétuellement servies contre toutes logiques.
L’origine dite salafiste d’Al-Qaïda ne dit pas que le salafisme est lié au wahhabisme vision particulière de l’islam de la royauté saoudienne et religion officielle de l’Arabie Saoudite elle même fortement et indéfectiblement alliée et soumise aux USA.

Continuons avec Wikipedia au sujet de l’Arabie Saoudite.

« …Après la disparition du Califat en 1924, la conquête du pouvoir en 1932 et l’exploitation des gisements pétrolifères d’Arabie à partir de mars 1938, la famille des Saoud et le wahhabisme prennent leur essor à la suite du pacte « pétrole contre protection » qui est conclu sur le croiseur USS Quincy le 14 février 1945 entre le roi Abdelaziz ben Abderrahman ben Fayçal Al Saoud et le président des États-Unis, Franklin Delano Roosevelt. Ce pacte permet la protection militaire du régime wahhabite des Saoud par les États-Unis en échange du pétrole. Ainsi, le wahhabisme se développe avec l’apport des pétrodollars et la protection militaire des États-Unis. Ce mouvement se propage alors à l’extérieur du royaume via les médias (télévision, ouvrages, radio-cassettes et sites internet). »

Ce pacte entre Saoud wahhabites et USA est toujours en vigueur et font des USA les protecteurs du wahhabisme inspirateur d’ Al-Qaïda. L’Arabie Saoudite protégée par les USA va contribuer à étendre son idéologie salafiste et à radicaliser l’Islam partout dans le monde. Radicalisation absolument nécessaire pour donner corps au « clash des civilisations » de Samuel Hungtington et de l’impérialisme.

Un autre acteur cher aux anglo-saxons va prendre part à la lutte contre les régimes nationalistes, laïcs et anti-impérialistes arabes : les « Frères Musulmans ».

Puisons encore dans les explications données par Wikipédia au sujet des Frères Musulmans.

«… Son opposition fondamentale et parfois violente aux États laïcs arabes a amené son interdiction ou la limitation de ses activités dans certains pays comme la Syrie ou encore l’Égypte. La lutte contre l’État d’Israël est au cœur du mouvement, et le théoricien du jihad armé, Sayyid Qutb, fut l’un de ses membres égyptiens les plus en vue. Néanmoins, ses différentes branches ont depuis condamné le recours à la violence en dehors de la Palestine. Le mouvement entretient avec les institutions promouvant le wahhabisme saoudien des relations alternant entre coopération et rivalité.

La nébuleuse des Frères musulmans serait coordonnée par la Muslim Association of Britain  de Londres, s’appuyant sur la banque Al-Taqwa. »

On voit ici les liens entre Frères Musulmans, proches de Londres et utilisés par le colonialisme britannique contre Nasser avec le wahhabisme saoudien proche des USA.

Mais ce n’est pas tout, une nouvelle idéologie encore plus radicale va naître des Frères Musulmans et du salafisme wahhabite le takfirisme.

Toujours Wikipedia :

« …Le mouvement Takfir wal Hijra est fondé, à sa sortie de prison en 1971, par Moustafa Choukri (1942–1978), un ingénieur agronome égyptien originaire d’Assiout, emprisonné par Nasser à la suite de la grande répression des islamistes de 1965. Initialement, le nom de Takfir wal Hijra a été donné ironiquement par la police et la presse égyptienne, ses membres se désignant sous le nom de Jama’a al-muslimun (« association des musulmans »). Il s’agit d’une scission des Frères musulmans. »

Le grand intérêt pour l’impérialisme de l’idéologie salafo-wahhabite et celle des Frères Musulmans qui sont identiques est leurs rejets de toutes nations légales et leurs volontés de construire un califat mondial. L’impérialisme anglo-saxon a toujours aimé se rapprocher de toutes les idéologies anti-nationales d’où également leurs liens avec la mouvance trotskyste et la nombreuse présence d’anciens trotskystes dans les milieux néo-conservateurs aux USA.

Al-Qaïda, créé par la CIA pour lutter contre les soviétiques et par la suite utilisé contre les serbes de Bosnie aurait échappé au contrôle des USA ? Les inepties de la version officielle des « attentats » du 11 septembre 2001 attribués à cette organisation nous conduisent à en douter.

Pendant des années, suite au 11 septembre 2001, les musulmans seront taxés de potentiellement terroristes avec l’image omniprésente d’un Ben Laden multiforme sur tous les médias. L’image de ce « terroriste » barbu et musulman va durablement se graver dans les esprits occidentaux.

Fort de ce nouvel ennemi l’impérialisme va pouvoir se lancer dans de nouvelles guerres sous couvert de « guerre au terrorisme ».

Puisons toujours dans Wikipedia (version officielle ) ce qui nous est expliqué de cette « guerre ».

« …La guerre contre le terrorisme consiste en plusieurs actions policières, politiques et militaires du gouvernement des États-Unis, appuyé par différents alliés dont l’OTAN, contre différentes organisations liées au terrorisme islamiste, en premier lieu desquelles Al-Qaïda. Ces opérations antiterroristes sont appuyés par une coordination au niveau de l’ONU de divers comités créés par le Conseil de sécurité des Nations unies, qui par la résolution 1373 du 28 septembre 2001 oblige tous les États membres de l’ONU à prendre des mesures législatives contre le terrorisme.

Cette campagne se démarque de la lutte antiterroriste traditionnelle par des actions militaires de grande ampleur à l’étranger, un interventionnisme actif, le fait qu’elle s’oppose non à un État (définition d’une guerre en droit international public) mais à des groupes non étatiques (Al-Qaïda en premier lieu), et qu’elle n’ait pas de terme défini, ce qui a conduit un certain nombre de commentateurs à critiquer la mise en place d’un « état d’exception permanent ». Elle débouche sur la théorisation du concept de « guerres préventives » contre les États accusés d’abriter des groupes terroristes ou susceptibles de leur fournir des « armes de destruction massive », cause de l’invasion de l’Irak en 2003 qui s’est juxtaposée à la guerre d’Afghanistan entamée dès octobre 2001. Outre une lutte directe (démantèlement des cellules terroristes, la destruction des camps d’entraînement, etc.), la guerre contre le terrorisme signifie aussi des enquêtes et les pressions sur les gouvernements, organisations et personnes soutenant les organisations terroristes, et le gel des avoirs soupçonnés d’appartenir ou de servir à des groupes terroristes. »

On comprend aisément tout l’intérêt saisi dans la désignation de ce nouvel ennemi nébuleux qu’est « l’islamisme » dans la prise de contrôle du monde par l’impérialisme et la relance de ce qui avait été formulé par le « Project for a New American Century ».

Phase 2, radicalisation de l’islam et recrutement de mercenaires.

Les wahhabites saoudiens incités par les USA avaient déjà servi, avant 2001 à recruter des mercenaires contre les soviétiques puis contre les serbes. Ils serviront de nouveau de sergents recruteurs non seulement dans tous le monde arabo-musulman mais également dans les pays occidentaux ou la présence de musulmans est nombreuse. Aux wahhabites vont s’associer l’organisation des Frères Musulmans qui a trouvé une base confortable et riche en subsides au Qatar.

Frères Musulmans qataris et wahhabites saoudiens vont financer un très grand nombre de mosquées et d’imams qui diffuseront une image radicale et sectaire de l’islam qui était auparavant minoritaire, allant alors à l’encontre de ce qu’était la religion musulmane.

Les discours vont s’orienter contre l’occident qualifié de moderniste, puis se puiser dans des traditions plus moyen-orientales que musulmanes pour imposer des tenues vestimentaires différentes jamais utilisées ailleurs qu’au moyen-orient comme le niqab et même le hijab (foulard) dont le port, en rien obligatoire par la pratique de l’islam se perdait. Ils vont à la foi influencer les milieux pauvres et plutôt traditionalistes mais également parmi les racailles déboussolées des cités ghettos de l’occident. Ils vont contribuer à renforcer la communautarisation des musulmans et les différencier des pays d’accueils par des pratiques visibles différentes comme le vêtement et alimentation.

En recrutant des mercenaires ils vont également contribuer à déstabiliser des populations en leur désignant un adversaire bouc émissaire épargnant ainsi toutes prises de conscience contre l’impérialisme, évidemment l’impérialisme anglo-saxon manipulant tout ça via ses alliés qataris et saoudiens.

Le « printemps arabe ».

On ne sait pas si le fameux « printemps arabe » fut initialisé spontanément par les tunisiens puis ensuite exploité par les USA ou si ce mouvement fut entièrement organisé. Les USA en profitèrent pour se débarrasser de dictateurs à leur solde comme en Tunisie et en Égypte mais défendant une certaine laïcité de l’état ce qui ne pouvait que déplaire à leurs alliés wahhabites et Frères Musulmans. Partout ils remplacèrent ces militaires plus ou moins nationalistes par des politiciens membres des Frères Musulmans comme déjà ils avaient tenté de le faire contre Nasser en Égypte.

Mais l’affaire tourna mal en Libye et en Syrie, les peuples ne se firent pas manipuler aisément, il fallut utiliser une manière plus radicale et violente. L’impérialisme eut alors recours à la même méthode qui leur réussit si bien en Afghanistan pour chasser les soviétiques, l’utilisation de mercenaires islamistes radicaux.

On en revint à Al-Qaïda qui fut très rapidement remis en ordre de marche en 2011, cette rapidité dans son utilisation contre la Libye de Khadafi démontre que les USA n’avaient mis cette organisation que dans un sommeil vigilent. Les quelques étudiants de bonnes familles qui participaient aux premières manifestations furent rapidement remplacés par des barbus armés et entraînés au combat. Mais le fanatisme religieux lancé contre l’état anti impérialiste libyen ne suffit pas, on trouva une nouvelle motivation dans la drogue, la prise de drogue Captagon tout de suite dénoncée par Khadafi et évidemment démentie par les USA et affidés, qui ne voulaient voir dans ces mouvements particulièrement violents que l’action de merveilleux révolutionnaires attachés à la démocratie. (la consommation de drogue est un puissant interdit musulman)

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/20151116.OBS9569/qu-est-ce-que-le-captagon-la-drogue-des-djihadistes.html

Religion sectaire, drogue, bombardements massifs et action des hélicoptères de combats eurent raison de la résistance héroïque des Libyens.

Le scénario libyen qui fonctionna, bien qu’avec difficulté, voulut se répéter en Syrie selon le même protocole mais le peuple syrien résista. La Russie et la Chine bloquèrent à l’ONU un projet similaire à celui qui réussit en Libye celui d’utiliser la force aérienne massive occidentale pour mettre à la raison le peuple syrien et se dirigeants.

Le recrutement de jihadistes devait s’accélérer pour essayer de vaincre l’héroïque Armée Arabe Syrienne composée de conscrits.
Certains mouvements jihadistes comme Al-Nosra ne cachèrent plus leur appartenance à Al-Qaïda ce qui n’empêcha pas le ministre français des affaires étrangères d’affirmer qu’ils faisaient « du bon boulot » en massacrant sous l’emprise du Captagon et de la manière la plus horrible hommes femmes et enfants.

Al-Nosra, qui s’affirme affilié à Al-Qaïda mis sur une liste d’organisation terroriste par les USA et l’ONU est néanmoins considérée maintenant comme une organisation modérée pouvant bénéficier de l’aide militaire étasunienne.

L’Etat Islamique (Daesh).

L’utilisation de la violence paroxystique, dans les massacres de masse et le nettoyage ethnique, était une nécessité pour l’impérialisme dans son projet de remodelage du Moyen Orient et qui ne pouvait néanmoins se livrer à de telles crimes de guerres directement.

Aider des combattants contre l’état syrien, posait des problèmes à l’impérialisme qui était en train de dévoiler sa duplicité dans sa pseudo guerre au terrorisme. Il fut alors décidé de séparer les jihadistes en bons et en mauvais. On soutiendrait ouvertement des massacreurs appelés « modérés » et des massacreurs appelés radicaux. L’État Islamique (Daesh) fut ainsi créé pour montrer au monde que les USA combattaient bien le terrorisme.

L’intervention russe du début novembre 2015 jeta le trouble et même la panique au sein de l’impérialisme qui voyait ses protégés, terroristes modérés détruits par l’aviation russe. Tout s’éclairait enfin, l’action de la Turquie membre de l’OTAN avec au gouvernement des Frères Musulmans soutenant Al-Qaïda pourtant désignés encore comme organisation terroriste devenait visible.

Les USA et leurs affidés de l’OTAN du Qatar et de l’Arabie Saoudite apparurent bien comme les parrains d’organisations désignées par les USA eux mêmes et la communauté internationale comme terroristes.

Les attentats en Europe particulièrement en France.

Les attentats récents en France et en Belgique attribués bruyamment à des islamistes ne sont plus curieusement revendiqués par Al-Qaïda comme précédemment mais maintenant par l’Etat Islamique, (Daesh). Al-Qaïda accusée depuis 14 ans de tous les mots deviendrait soudainement sage et modérée. Comme avec Al-Qaïda ces attentats revendiqués maintenant par Daesh comportent de multiples zones d’ombres et d’impossibilités techniques qui font immédiatement penser à des opérations sous faux drapeaux. Daesh comme Al-Qaïda serait une organisation fabriquée par les USA ?

Les pick-up Toyota flambant neufs provenant des USA, le trafic de pétrole volé avec une noria de camion citernes vers la Turquie et Israël, trafic démontré par la Russie par images satellitaires, les USA ne possèdent ils pas de satellites espions ?

Les convois de Daesh protégés par des hélicoptères Apache, le parachutage soit disant par erreur de munitions par les USA à Daesh, les bombardements meurtriers par les USA de l’armée irakienne et maintenant l’exfiltration vers les USA de dirigeants de Daesh en déroute vers les USA après la reprise de Ramadi par l’armée irakienne.

Convoi de Daesh protégé par un hélicoptère qui ne peut être que US (à 1mn40)

Les éléments de preuves n’en finissent pas montrant l’implication des USA directement au côté de l’Etat Islamique et de la fiction de la « guerre au terrorisme ».

Faire revendiquer des attentats meurtriers en France par Daesh c’est y mettre évidemment la signature des USA.

L’état socialiste a largement utilisé ces attentats sous faux drapeau d’abord pour exacerber la prévention des français contre les musulmans en faisant ainsi monter l’islamophobie, en érigeant un état d’urgence comme si la France était attaquée par l’Etat Islamique dont on sait qu’il est une fabrication US. Ils ont beau dire : « pas d’amalgame » mais ce mot d’ordre sonne aux oreilles des français pour son exacte contraire. Ici on voit nettement que ce gouvernement en déchéance comme celui des USA essaye de se trouver un bouc émissaire commode à coup d’attentats.

Le flux migratoire, la dernière touche du complot impérialiste.

Depuis l’intervention russe en Syrie nous assistons à un flux migratoire extrêmement important notamment de la Turquie vers la Grèce dont il apparaît qu’il est organisé par la Turquie de l’OTAN mais également de la Libye sous tutelle étasunienne.

http://www.medias-presse.info/limmigration-est-une-invasion-organisee-declare-le-president-tcheque-dans-son-discours-de-noel/46361

C’est ce qu’affirme ici le chef de l’état tchèque pays membre de l’UE et de l’OTAN que l’on peut difficilement accuser de « complotisme ».

Alors pourquoi ?

N’oublions pas que les USA ont établi leur stratégie impérialiste sur l’existence d’un soit disant « clash des civilisations » notamment entre le monde chrétien occidental et le monde islamique et que tout doit aller dans ce sens. Faire envahir l’Europe par des migrants essentiellement musulmans contribue à précipiter mécaniquement et efficacement le monde vers ce clash.

Sans attentats sous faux drapeaux et sans flux migratoire supposés nous emporter nombre de « terroristes », alors ce clash n’aurait aucune chance de fonctionner.

Comme exposé au début de cet article, l’impérialisme et ses affidés politico-médiatiques conduisent les peuples, malgré eux exactement là ou ils le veulent : les musulmans vers une radicalisation sectaire et les européens vers une islamophobie qui deviendra vite paroxystique car celle-ci possède deux sources politiques croyant également au « terrorisme islamique » : une de gauche, les « je suis Charlie » et une de droite avec le Front National et les identitaires, nous voyons cette conjonction à chaque attentat sous faux drapeaux revendiqué par Al-Qaïda dont sommes certains aujourd’hui qu’il s’agit d’une antenne de la CIA et maintenant par Daesh dont les dirigeants sont actuellement évacués vers les USA par des hélicoptères US. Ces deux entités politiques de droite et de gauche s’alimentant sur le thème : « musulmans terroristes » sont objectivement des alliés voir des complices de l’impérialisme et ceux qui les suivent leurs idiots utiles.

Caricature anti musulmane de gauche (Charlie Hebdo)

Les peuples européens sont ainsi coincés et ne peuvent plus, en s’opposant par la violence aux flux migratoires et aux musulmans, que satisfaire le plan impérialiste.

La solution ne peut résider que dans une prise de conscience conjointe des musulmans et des européens face au danger, en rejetant les projets de radicalisation introduits par les wahhabites saoudiens et les Frères Musulmans, en s’opposant aux immenses flux migratoires et en mettant sans cesse en lumière l’organisation des attentats sous faux drapeaux attribués à des musulmans, enfin en dévoilant le projet impérialiste de l’oligarchie US et mondialiste.

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« Une impitoyable conspiration … » J.F.K.

conspiration

Conspiration ?

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Même si un nombre croissant d’entre nous a saisi à présent les arrière-plans des évènements de surface auxquels nous assistons, la très grande majorité de nos semblables ne croit pas encore à une conspiration, mais adhère sans broncher au caractère parfaitement fortuit de tous ces évènements, pourtant convergents …

Nos véritables adversaires ne s’y trompent pas: Le niveau de conscience montant, lentement certes, mais inéxorablement, le « roi » étant nu ! …Il fallait donc trouver une parade.

Ils ont donc forgé cette entité: Une catégorie de citoyens parfaitement débiles et malfaisants: les « conspirationistes » !

Les tourner en ridicule, ça ne mange pas de pain …

Cependant cette posture aura vite ses limites, tant nous disposons aujourd’hui d’un nombre considérable de pièces de puzzle dévoilant, comme disent les Anglais, « the big picture » !

J.F. Kennedy l’avait bien compris, lui, qui a payé le prix fort :

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« Nous sommes opposés dans le monde à une impitoyable conspiration monolithique qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence, sur l’infiltration plutôt que sur l’invasion, sur la subversion plutôt que sur les élections, sur l’intimidation plutôt que sur le libre arbitre. »  

J.F. KENNEDY

La vidéo présentée ci-dessous est une de ces pièces de puzzle, et non des moindres:

Partie 1 : Les assassinats de Kennedy et d’Oswald

Partie 2 : Les causes du meurtre : le Vietnam et Lyndon B. Johnson

Partie 3 : LBJ, Hoover et les autres : ce que beaucoup ignorent encore aujourd’hui

Partie 4 : L’assassinat de Robert F. Kennedy tel que vous ne l’avez jamais vu

Partie 5 : L’assassinat de RFK, MK-ULTRA et le massacre de Jonestown

Partie 6 : L’assassinat de Martin Luther King

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              (Voir Paramètres/sous-titres/Français)

« Evidence of Revision » (Preuves de Falsification) est un documentaire en six parties qui dévoile des archives originales et historiques dont le contenu prouve que les événements les plus déterminants de l’Histoire moderne de l’Amérique ont été délibérément présentés au public sous un faux jour.

Les images d’archives et les interviews dévoilées dans cette série de DVDs vous feront plonger au cœur d’événements qui ont marqué l’Histoire américaine et qui ont eu des répercussions mondiales – des assassinats du président Kennedy et de son frère Robert Kennedy au meurtre de Martin Luther King, en passant par le massacre de JonestownCes documents d’archives portent l’empreinte de mains occultes qui, dans un effort coordonné, ont contribué à façonner l’Amérique que nous connaissons aujourd’hui. « Evidence of Revision » démontre sans l’ombre d’un doute que l’Histoire a été revue et corrigée alors même qu’elle s’écrivait !

DVD avec sous-titres en français à commander ICI (aucune commission !)

Sinon on le trouve sur YT … sans sous-titrage français…

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Dessous de l’affaire Charlie-Hebdo ? Hum…

Trouvé cela sur economiematin.fr :

« Il y a à peine plus d’un an, un courrier émanant de l’Élysée charge des médias du Maghreb de publier « Chienly Hebdo : Le Pompier-Pyromane de la Maghrébophobie » un brûlot qui dénonce les prétendus « islamophobie » et « racisme » de Charlie Hebdo, le désormais célèbre journal satirique français ultra gauche. C’est ainsi que des conseillers de Hollande se sont livrés à une véritable incitation à la haine, voire pire quand on connait la barbarie de l’islam radical. La suite, on la connait?

Tout commence le 4 décembre 2013 : le journaliste d’investigation et grand reporter Laurent Léger de Charlie-Hebdo publie « Les gros caprices du conseiller de Hollande » une enquête sur Faouzi Lamdaoui, éminence grise de Hollande, son « couteau suisse, celui sans qui rien ne se fait » dit-on alors au Palais.
Il y dévoile son goût immodéré pour « les joujoux de la République » ainsi que l’affaire Mohamed Belaïd, ce jeune socialiste exploité comme chauffeur à plein temps et non rémunéré de Hollande. (Une plainte avec constitution de partie civile contre Hollande et Lamdaoui pour « travail dissimulé » et « menaces et intimidations visant une victime » avait été déposée en mars 2013) Outre son intimité avec le Président socialiste, Lamdaoui, ce Raspoutine franco-algérien du PS qui a « dressé » Hollande (Hollande à l’école de la « falotcratie ») et provoquait tant d’admiration de la part des médias algériens comme El Watan, occupe alors la fonction de « conseiller à l’égalité et à la diversité » avant d’être poursuivi par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) et contraint de se mettre au vert le 3 décembre 2014.

A mi-mandat, Faouzi Lamdaoui est donc le cinquième du cercle rapproché de François Hollande à démissionner, après Jérôme Cahuzac pour fraude fiscale, Kader Arif pour favoritisme, Aquilino Morelle pour conflit d’intérêt et Thomas Thévenoud pour « phobie administrative » !

Faouzi Lamdaoui

Dans le même temps, à la rubrique « Les Unes auxquelles vous avez échappé » du n°1115 du 30 octobre 2013 Charlie parodiait un trac du FN avec une Taubira en singe et au cas où on n’aurait pas compris le message, Charb ajoutait « À force d’associer le nom de Mme Taubira aux mots ‘banane’ et ‘singe’, l’extrême droite raciste espère faire passer un slogan raciste, une insulte colonialiste pour une blague populaire. »
Il n’empêche, Charlie poursuivra innocemment sa croisade anti-religion, anti-raciste et anti-droite, destinée aux happy few du boboland parisien. Alors que de très lourdes sanctions pénales seront infligées aux auteurs d’autres allusions simiesques, étrangement Taubira ne manifestera pas le moindre agacement vis-à-vis de Charb. Charlie Hebdo soutenant Hollande, rongeait-elle son frein ?

Et c’est ainsi qu’un mois plus tard, le 27 novembre 2013 une riposte cinglante de l’Élysée parvient aux journaux d’Algérie, de Tunisie, du Maroc, et en France aux sites destinés au maghrébins tel Maglor.fr. dont le siège est à Nancy.

Mustapha Saha « sociologue poète » selon l’Huma, ce collaborateur attentionné de l’éminence grise Faouzi Lamdaoui, publie sous le pseudo « Arlette Colin » un brûlot haineux et mensonger contre le journal satirique intitulé « CHIENLY HEBDO : Le Pompier Pyromane de la Maghrébophobie » et dont on ne retrouve qu’une copie d’écran datant 29 novembre 2013 qui a miraculeusement échappé au grand nettoyage de la scène du crime.

Le harcèlement est à son comble et le 5 décembre 2013, Laurent Léger se fâche. Tout en essayant de disculper Hollande « ce zélé personnage ne perd pas son temps à monter à l’assaut des contempteurs du chef de l’Etat, qui pourtant n’en manque pas », il accuse vertement la Présidence de la République dans son article « Les attaques contre Charlie Hebdo venaient de l’Élysée » :
« Après la publication d’une enquète sur Faouzi Lamdaoui, un conseiller de Hollande, Charlie a été la cible d’articles dans les medias algériens, accusant notre journal des maux les plus délirants. Des articles téléguidés depuis… la présidence de la République ! Révélations… » écrit-il et il démontre.

D’après le LabEurope1, Faouzi Lamdaoui sera convoqué par Pierre-René Lemas secrétaire général de la présidence de la République française (et accessoirement énarque de la célèbre promo Voltaire). Évidemment, Lamdaoui jurera « les yeux dans les yeux » n’être au courant de rien. Or on sait pertinemment dans ce microcosme, que jamais Saha n’aurait pris une quelconque initiative sans son patron !

Que faut-il retenir ?

Charlie a été trahi par son propre camp, livré à la vindicte musulmane et par voie de conséquence au sabre islamiste : pour régler leurs comptes, ces mafieux qui gravitent autour de la Présidence ont exploité l’idéologie islamiste au détriment de leur solidarité socialo-marxiste.
Le contenu haineux de ce billet émane de l’entourage direct de Hollande, comme l’expliquait par le détail Laurent Léger dans « Les attaques contre Charlie Hebdo venaient de l’Elysée  » avant que la rédaction du journal ne soit décimée: la semaine dernière, la preuve est donc arrivée à la rédaction de Charlie. Mustapha Saha, si fier de sa prose, l’avait balancée par mail à un tas de copains, et nous avons fini par récupérer ce texte, finement titré « Charlie Hebdo persiste dans son dénigrement raciste’. »
Le choix machiavélique des supports de diffusion exclusivement maghrébins en Algérie, Tunisie, au Maroc mais également à Nancy sur le site MAGLOR.FR « Média des magrébins du monde, il permet aussi aux Français d’avoir une porte ouverte sur l’actualité maghrébine. », la lâcheté du mail de l’Élysée commençant par la mention: « Confidentiel. A paraître sous un autre nom », et surtout les moyens redoutables dans le soin apporté à la disparition de ces documents témoignent de la nécessité politique de dissimuler la volonté de nuire des collaborateurs élyséens.
Pour démultiplier l’impact auprès des musulmans qui ignorent tout de Charlie Hebdo (petit journal qui tire habituellement à 45.000 exemplaires avec 10.000 abonnés), on tait la cathophobie autrement plus présente et virulente de Charlie et sa judéophobie. Surtout ne minimisons pas le « blasphème » Après tout, Charlie n’est qu’un nid de kafirs* ! Mieux encore pour l’amalgame dont ils savent si bien user et abuser, une couche de « racisme anti-Taubira » fera merveille.
Quant à Taubira justement, est-ce à son insu qu’elle figure aux côtés de Lamdaoui dans l’article incendiaire de l’Élysée ? Aurait-t-elle, elle aussi, trouvé dans cette propagande délétère anti-Charlie à destination des islamistes, l’occasion d’exercer sans en avoir l’air, sa vengeance qu’on sait implacable ? Innombrables sont les questions sur les intentions réelles de cette indépendantiste guyanaise et son maintien à la tête de la Chancellerie malgré les scandales répétitifs. Il faut savoir que dans cette mafia rose et verte, Sihem Souid est une intime à la fois de Taubira et de Lamdaoui. Elle qui critiquait Valls et sa « cohorte d’islamophobes », s’est distinguée en s’acharnant sur la compagne de Charb, le patron assassiné de Charlie Hebdo, déversant son fiel sur une Jeannette Bougrab terrassée par la douleur.
Avec la complicité passive de nombreux juges rouges et la complaisance irresponsable de Taubira, la terreur islamiste est bien armée. Il faut en effet souligner le point commun entre les terroristes Chérif Kouachi (12 victimes), Amedy Coulibaly (6 victimes), Mehdi Nemmouche (4 victimes) ainsi que Mohamed Merah (6 victimes): outre leur parcours islamiste, ce sont « des criminels multirécidivistes qui ont bénéficié pendant toute leur vie du laxisme et des failles béantes de notre justice pénale. Tous les quatre auraient dû être en prison au moment de leurs attentats. Si notre système pénal fonctionnait normalement, toutes les victimes de ces terroristes seraient encore en vie aujourd’hui. »comme le démontre ICI Laurence Havel, directrice de l’Institut pour la Justice.

Concernant la « marche républicaine » du dimanche 11 janvier, si l’émotion populaire était sincère… on comprend mieux l’amertume de Laurent Léger rescapé du carnage qui, bien que socialiste, laissait éclater son dégoût : « C’est le bal des faux culs. Je pensais que c’était mieux de ne pas y aller.(…) Je n’avais pas envie de serrer la main des ministres. Je n’en veux pas à Pelloux mais moi je ne l’aurais pas embrassé [Hollande] ».

Cahuzac, Arif, Morelle, Thévenoud, et là Lamdaoui avec Saha, Taubira avec Sihem… Hollande démontre une fois de plus son incompétence crasse en s’entourant de gens peu recommandables (c’est un euphémisme).

En désignant ce petit hebdomadaire satirique aux médias musulmans, l’Élysée a sciemment attisé la haine vis-à-vis Charlie Hebdo et préparé le terrain aux assassins. Et le plus incroyable dans ce drame, c’est que ses services de relations publiques ont retourné l’horreur à l’avantage du locataire de l’Élysée : Hollande décroche 21 points au grattage de Charlie Hebdo, la farce continue ! »

*Le terme arabe « kafir » désigne le non-musulman « mécréant, incroyant, ingrat, infidèle »

*L’ensemble des sources, documents et copies-d’écran accessibles par liens sur l’enquête, est également rassemblé ICI »

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…… Personnellement, j’ai tendance à penser que ce récit fait l’impasse sur certains faits avérés et par conséquent ne cerne pas toute la problématique des forces en présence…Il apparait en effet de plus en plus clair que les assassins sont des « islamistes » fabriqués de toutes pièces par les services secrets occidentaux et sous fausse-bannière de l’Islam radical. Chose curieuse tout de même, il s’est avéré que la plupart de ces fameux « islamistes », ne sont pas le moins du monde pratiquants et boivent de l’alcool, par exemple, qui est formellement interdit par le coran !

Alors… ? Une version pour noyer le mougeon, et cacher un tout autre jeu ??

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