Une analyse aussi limpide que lapidaire.

 

Le succès d'Eric Zemmour pour son livre " Le suicide français" (15.000 exemplaires par jour actuellement )

sur TVLibertés.com 

 

 

 

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 Attention, cette émission est un poisson volant du « PAF » : pour la première fois – et la dernière – dans sa tournée des radios et télévisions pour la parution de son dernier livre « Le suicide Français » (Albin Michel, 2014) qui rencontre d’ailleurs un succès phénoménal, Eric Zemmour était accueilli sans haine, sans insultes et sans devoir faire face à des accusation d’antisémitisme (le ridicule ne tue pas) ou de fascisme plus ou moins rampant, j’en passe et des meilleures.
 
Du coup il est parvenu à finir la quasi-totalité de ses phrases, à développer sa pensée, sa vision de l’évolution de la société française, sa tristesse devant son – inéluctable ? – déclin.
 
Un grand moment de radio, de discussion courtoise et d’érudition historique, qui prouve une fois de plus que les « gens du camp du bien » et les « généreux défenseurs de la différence » sont les plus sectaires des censeurs, et les petits flics zélés de la pensée conforme, quand ce que l’on présente dans les médias du système comme étant d’une ringardise haineuse et raciste (Radio Courtoisie) est un lieu de discussion respectueuse où on laisse très généralement parler (longuement) les invités, pour un échange riche et passionnant, au plus grand bénéfice des auditeurs.
 
Marc LEROY – La Plume à Gratter
 
« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie
 
(www.laplumeagratter.fr)
 
 
 

 

 

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Ecoeurant !

 

Cette video date de la période précédent les élections présidentielles de 2012.

Nous y voyons un échantillon de nos différents "politiques" invités par la première secte de France à faire allégeance au "grand orient", incontournable sénandrhin de de la "république" :

Notez les regards qui oscillent entre crainte et vénération puérile…

Voix mielleuses, propos convenus, positions ultra-sectaires : Spectacle affligeant que de voir à quel niveau de bassesse pitoyable notre peuple, jadis debout, fier et frondeur est tombé !

 

Tout simplement vomitif  !

 

 

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Et cela ne s'arrête pas là puisque c'est à présent le parti politique qui se réclamait jusqu'à présent de la France française et souveraine sur son propre sol, qui fait lui aussi peu à peu allégeance à Baphomet :

 

 

 

 

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L « avant-garde de la république » …

 
 
 
 
manuel valls - premier ministre - gouvernement france
 
 
 
Après ses déclarations déclamant aux Juifs qui vivent en France que ceux-ci  sont " l' avant-garde de la République ", voici une nouvelle déclaration du même dangereux xénophile en ce beau mois de Juin :
 
"Le chef du gouvernement s’exprimait à l’issue d’une visite de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à La Mecque » présentée à l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris, devant des responsables des cultes chrétiens, musulman et juif.
 
« Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’islam », a estimé Manuel Valls. « C’est toute une nation qui dit aussi que l’islam a toute sa place en France, parce que l’islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message », a-t-il poursuivi. 
 
(Le Figaro)
 
 
Cette classe politique a vraiment la traitrise de la France charnelle dans la moëlle … 
 
Ils se demandent ensuite pourquoi "ils" sont haïs par les Français !!
 
 
 
 
valls - bilan 2013 - banane sweat ananas quenelle bonnet
 
 
Il y a vraiment besoin d'un sérieux coup de serpillère !
 
 
 
 
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Septembre 2014
 
Un récent sondage publié par Valeurs Actuelles (N°4026) dit :
 
. 75% des Français ne font plus confiance à l’État, ni à la république. 
. 88% rejettent catégoriquement les partis politiques.  
 
 
. 87% jugent que Hollande n’a pas l’étoffe d’un président.  Malgré cela, l’énorme majorité de nos contcitoyens n’a pas encore perçu où était le vrai pouvoir.
 
Les tireurs de ficelle derrière le rideau peuvent donc mener une existence paisible : le mensonge généralisé introduit dans les programmes scolaires a abouti à la fabrication en masse de générations parfaitement incultes et à une armée docile de matérialistes joyeusement athés …
 
 
 
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Ah, c’est donc cela les valeurs de la république ?

 

Depuis que l'on nous bassine avec les "valeurs de la république", sans jamais que l'on nous explique vraiment de quoi il s'agit , peut-être l'impunité dont bénéficie le groupe extrêmiste dit "femen" (En latin "femen" = "cuisse" et non pas "femme" !!) apporte-t-elle une partie de réponse ?

 

 

La république qui protège de telles ridicules horreurs révèle implicitement sa vraie nature qui est  en réalité  historiquement l'anti-Christianisme et la subversion de toutes les bases vitales de notre civilisation.

Dans les périodes de calme historique, elle avance masquée et en général sous couvert d' "humanisme" consubstantiel aux fameux "droits de l'Homme". Dans les périodes agitées où sa vraie nature risque d'être révéleée au grand jour, sa technique est double : 

* Sous-traiter les basses besognes à des officines terroristes stipendiées qui "font le boulot" pour elle.

* Criminaliser les adversaires osant mettre au grand jour leurs manigances occultes.

Il s'agit dans le cas des "femen" de laisser l'impunité à un groupe extrêmiste stipendié afin de diffuser dans l'opinion ce qui doit être considéré comme PROGRES et "avancée sociétale".

 Un timbre-poste, commandé et financé par la-dite république à l'effigie de la femen en chef, a été inauguré par le président Hollande-Normal 1er  lui-même en 2013 !

Lecteur, puisse ceci te mettre sur la piste de ce que peuvent bien être ces fameuses "valeurs de la république".

 

Les "valeurs de la république" ont aussi fait merveille, parmi d'autres haut faits, en Septembre 1792 :

Ecoute, ami lecteur, et tu sauras à présent à quoi t'en tenir lorsque tu entendras Monsieur Valls nous parler doctement de ses valeurs …

 

 

 

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125.500
 
 
C’est le nombre des membres des vingt-deux obédiences maçonnes ayant pignon sur rue en France, selon les données déclarées par celles-ci :
 
En tête le Grand Orient (GODF), 50.000
 
suivi de la Grande Loge (GLDF), 33.000
 
puis de la Grande Loge Nationale (GLNF), 25.500
 
et la Fédération française du Droit Humain (FFDH), 17.000.
 
La proportion de sœurs dans tous ces frères s’élève dans l’ensemble à 18,7 % (32.778), mais elle n’est que de 2,6 % au Grand Orient.
 
A quand la parité ?
 

Comme aux meilleurs temps de l’ URSS !

 

Les media aux ordres se ridiculisent de plus  en plus !

Après les manifestants lttéralement gommés sur les retouches des prises de vue des grandes manifestations de 2012, notre Nomenklatura n'hésite plus devant les trucages les plus grossiers dignes de feu l'Union Soviétique :

Ainsi sur le document suivant, "la foule se masse …." derrière le batteleur franc-maçonique Mélenchon, sponsorisé par les TV du régime !

Regardez, c'est trop drôle !!

 

 

Europe islamico-métissée, puis islamique tout court ?

 

 

Nicolas Sarkösy de Nagy-Bocsa

 

     

 

Les sociétés "multi-culturelles" à l'américaine, que nos dirigeants  imposent à marches forcées à l'Europe en général et à la France en particulier depuis 1945, sont-elles l'horizon indépassable du progrès humain ?

La plupart des Pays du monde actuellement (hors zone UE/USA dominée par les officines mondialistes et métissolâtres) revendiquent fièrement et à juste titre leur identité, leurs racines, leur culture propre !

Il n'est pas sans un jour que Dieu fasse sans que nos "zécologistes altermondialés" ne soutiennent les "Peuples Autochtones" !! 

Tous ??

Que nenni !!!

l'Indien Gayapi, Wayana, Teko etc… Oui, c'est un  heartsmiley heart  !

 Le Français Autochtone qui revendique l'Amour de sa terre et de l'Héritage culturel de ses Ancêtres :

Non,  c'est un  angryangryangry !!

Car ces gens, en bons idéologues ont parfaitement intégré les vaticinations idéologiques de Jean-Jacques Rousseau, père des "Lumières" :

"L'Homme est naturellement bon, c'est la société qui le corrompt "  

Et si donc les "Sauvages" sont les bons, "nous autres civilisés", Français ou autres, sommes évidemment les mauvais, et il est donc fortement recommandé à ce titre, de se haïr soi-même et de disparaitre !

Il s'agit donc d'une défense des Peuples Autochtones à géométrie variable …

Nous autres Peuples premiers de France n'avons droit à aucun égards de la part de ces officines et nous pouvons disparaitre bien gentiment  … L'hypocrisie de ces milieux est  sans égale, pénétrés qu'ils sont par leur idéologie  hémiplégique … En vue de cette éradication programmée et comme le dit si bien Nagy-Bocsa lui-même

" La république utilisera au besoin des moyens plus contraignants encore ! "

Cela a le mérite de la clarté !!!

Mesurons-nous bien aujourd'hui où ces gens ont mené notre Pays ?   

     

   liquidationtotale003

STOP !

 

L'avenir appartiendra aux Peuples riches de leur plus longue mémoire et fiers de leur identité historique.

 

 

    800px-Royal_Standard_of_the_Kingdom_of_France.svg
 

Les autres disparaîtront par absence de volonté de transmettre et par les effets naturels de la Loi physique de l'entropie qui, appliquée aux Civilisations, s'appelle décadence !

 

Mais rien n'est inéluctable.

 

     

 
 

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Sur YOUTUBE les vidéos de "La Blonde" sont censurées :
 
Propos non conformes !
 
 
 
 
     
 
 
 
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15 février 2014 
 
 
Après l’acceptation de l’initiative UDC en Suisse limitant l’immigration, un sondage du Journal Suisse alémanique "Blick " montre que les Allemands, les Français et les Anglais souhaitent également “limiter l’immigration”.
 
Alors que les Suisses ont signifié d’une courte majorité leur volonté de limiter l’immigration, provoquant au passage l’ire de Bruxelles, un sondage du "Blick" révèle samedi que les Européens auraient voté de façon similaire.
 
Interrogé sur une restriction de l’immigration, 61,8% des Allemands, 69,7% des Français et 77,5% des Anglais se montreraient “favorables” ou “plutôt favorables” à un modèle comparable à l’initiative “contre une immigration de masse”, acceptée dimanche en Suisse.
 
Selon le quotidien alémanique, ce résultat montre que le malaise face à l’immigration dépasse largement les frontières helvétiques.
 
Et le journal de conclure que
 
"seul l’influence politique moindre (bel euphémisme !) des citoyens européens évite un vote semblable".
 
 
 
 
immigration sondage blick.ch
 
 
 
 
Mais ce que nos "dirigeants" et valets de l'Empire, cherchent, n'est-il pas justement de mettre à bout de patience leurs peuples, de déclencher des troubles et enfin de pouvoir comme d'habitude venir en sauveur séparer les protagonistes (grâce à l'ONU ?) et imposer leur "ordre" ?!
 
Souvenez-vous : C'est leur technique, toujours … Et c'est à cela qu'on les reconnait :
 
"Ordo ab Chaos" 
 
 
ordo-ab-chaos-1789
 
 
Ces "dirigeants" ne sont autres que des renégats, des traitres à leur peuple historique et des criminels.
 
Ils le savent … mais ont de si bonnes places qu'ils croient éternelles ….
 
Ils se trompent.
 
Un jour ils seront jugés comme tels … lorsque leur soupape leur aura explosée à la figure !
 
 
 
 
 
                                             
 

Une Démocratie totalitaire ?

 
 
 
Extrait du site "Renaissance Catholique"
 
 
 
Au lendemain de la manifestation du 26 mai, le journal "Les 4 vérités" a rencontré Michel De Jaeghere, vice-président de "Renaissance Catholique"
 
 
(Propos recueillis par Guillaume de Thieulloy)
 
 
Vous avez consacré une université d’été, et aujourd’hui un livre à « la Démocratie Totalitaire » (1). Ces deux termes ne sont-ils pas pourtant antinomiques ?
 
 
 
 
 
 "La démocratie peut-elle devenir totalitaire ? " Editions Contretemps 380 Pages 22 € 
 
 
 
 
" L’association peut effectivement sembler paradoxale, tant nos esprits sont habitués à définir la démocratie comme le règne de la liberté, par opposition à la tyrannie, le totalitarisme étant considéré au contraire comme l’absence de démocratie.
 
Mais ces définitions sont en réalité trompeuses. 
 
Le totalitarisme, en effet, ne se caractérise pas essentiellement par la violence, la privation des libertés formelles (celles de parler, d’aller et venir), le rejet des procédures électives. Il y a des élections en Chine. Il y en avait en Union soviétique. Le totalitarisme se définit, comme son nom l’indique, par la prétention de l’État à REGENTER TOUT : la vie sociale, économique, spirituelle tout autant que la vie politique.
 
Il peut le faire par la violence ou par la persuasion, le lavage de cerveau ou la douceur apparente.
 
Ce qui le caractérise, ce n’est pas l’absence d’élections pour la désignation des dirigeants ; ce n’est pas non plus la violence policière.
 
C’est la contestation de toute liberté intérieure, l’idée qu’il n’y a rien au-dessus de l’autorité de l’État – ni autorité supérieure, ni principe transcendant – qui justifierait que la personne, la famille, la communauté professionnelle refusent une soumission inconditionnelle et totale, qu’elles se réclament d’un ordre, d’une autorité, de principes, de traditions sur lesquels l’État n’aurait pas de prise.
 
Le totalitarisme ce n’est pas le règne de la police (qui peut dans tout État commettre des abus).
 
C’est la prétention de l’État à régner sur les âmes elles-mêmes. 
 
Ce totalitarisme s’est montré à nous dans le nazisme et le communisme sous son visage violent, brutal, criminel. Cela a pu conduire à le confondre avec la dictature. Or il y a eu dans l’histoire nombre de régimes de force, qui ne tiraient pas leur origine d’une élection régulière et pratiquaient à l’égard de leurs opposants une répression policière peu soucieuse de la liberté d’expression –
ce qui a conduit à les définir comme des dictatures – sans pour autant qu’on puisse les considérer comme totalitaires, dans la mesure où ils ne visaient en aucune manière à régir les consciences non plus qu’à assujettir les familles, l’Église ou les corps intermédiaires (la cité, la profession, l’entreprise), mais seulement à imposer la suprématie de l’État dans son propre domaine, celui des fonctions régaliennes (la police, la justice, la diplomatie et la guerre).
 
Symétriquement, on observe que les démocraties modernes, dont les dirigeants sont choisis par l’élection, où la liberté de l’individu est, en principe, la règle, et qui sont si peu dictatoriales qu’elles peinent parfois à s’imposer dans l’exercice de ces mêmes fonctions régaliennes
 
au point qu’elles se montrent incapables de maîtriser leurs propres frontières, comme de faire régner l’ordre et la justice dans ce qu’on appelle des zones de non droit, parfois même au cœur des villesqu’elles se trouvent en outre contraintes d'abandonner des pans entiers de leur souveraineté à des institutions internationales dont le contrôle leur échappe
 
– , en viennent dans le même temps à prétendre légiférer dans des domaines qui ne devraient pas relever de l'état : 
 
* l’éducation des enfants, qui appartient, selon le droit naturel, à leurs parents,
 
* la morale (avec la prohibition d’un nombre croissant de « phobies »,
 
* la répression de paroles jugées attentatoires au politiquement correct,
 
* de comportements dénoncés comme discriminatoires alors qu’ils ne sont parfois que l’exercice de libertés essentielles, comme celle par exemple de choisir qui on loge dans un appartement qu’on loue, qui on engage dans son entreprise, ce qu’on accepte de vendre à ses clients, de prescrire à ses patients, d’enseigner à ses élèves),
 
* la définition de la vie (puisque c’est désormais la loi civile qui détermine, à la majorité des voix, et d’une manière d’ailleurs variable d’un pays à un autre, à quel âge un embryon est un être humain, une personne dont l’existence doit être protégée et garantie, ou un amas de cellules qu’on peut utiliser comme matériau de recherche, congeler ou détruire),
 
* la définition de la famille (un homme, une femme et leur descendance ici ; ailleurs deux hommes, deux femmes et les enfants qu’ils auront adoptés, fait concevoir in vitro ou porter par autrui). 
 
 
In fine, cette évolution est en train de conduire un certain nombre d’États démocratiques à usurper le pouvoir de définir, à la majorité et en fonction d’un consensus qu’ils auront contribué à susciter par les médias qu’ils influencent ou qu’ils contrôlent, les frontières du bien et le mal, ce qui me paraît constitutif du totalitarisme.
 
 
 
Il ne s’agit pas, par là, de prétendre que ces régimes sont identiques aux régimes criminels qui ont incarné au XXe siècle, le projet totalitaire (puisqu’il est évident qu’ils n’en partagent pas les pratiques policières, qu’ils maintiennent en principe les libertés formelles). Bien plutôt de montrer le nouveau visage qu’a pris le totalitarisme au XXIe siècle.
 
 
 
 
Alexis De Tocqueville
 
 
 
Comme l’avait pressenti Tocqueville, il est en apparence « prévoyant et doux ». Il n’en partage pas moins avec ses devanciers le projet de démanteler, en les vidant de leur contenu, les institutions liées à l’ordre naturel (au premier rang d’entre elles, la famille traditionnelle), et d’étouffer en nous toute liberté intérieure, toute indépendance d’esprit. 
 
« Je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent leur âme, annonçait il y a près de deux siècles le génial auteur de "La Démocratie en Amérique".
Au-dessus de ceux-là, s’élève un pouvoir immense et tutélaire qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. (…)
Il aime que les citoyens se réjouissent pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir, il travaille volontiers à leur bonheur mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre. Il pourvoit à leur sécurité, assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leur succession, divise leurs héritages.
Que ne peut-il leur retirer le trouble de penser et la peine de vivre ? »
 
Il me semble que nous y sommes !
 
 
Vous affirmez, avec Saint Augustin, que la démocratie n’est acceptable qu’à condition que le peuple soit capable de poursuivre le bien commun. Comment le peuple pourrait-il poursuivre un autre bien ?
 
 
Toute l’histoire des régimes démocratiques nous montre qu’il arrive, et même souvent, que la volonté d’une majorité soit abusée.
 
Elle peut être aveuglée par ses passions, flattée par des démagogues, trompée par des imposteurs, conduite à sa perte par des incapables
 
C’est le sujet même de "l’Histoire de la guerre du Péloponnèse" de Thucydide, qui oppose la démocratie tempérée du temps de Périclès, où l’Assemblée du peuple d’Athènes se laisse guider par un homme supérieur, à celle de ses successeurs, qui excitent après lui les passions les plus basses de la foule, et lui font multiplier les folies, comme le lancement de l’expédition de Sicile, île dont les Athéniens décident la conquête, nous dit l’historien, sans avoir la moindre idée de son éloignement ni de son étendue … ou encore la condamnation à mort des généraux qui venaient de remporter sur les Spartiates la victoire décisive des Arginuses sous prétexte qu’ils avaient manqué de diligence pour récupérer les corps des soldats tombés pendant la bataille.
 
 
 
  
 
Thucydide
 
 
La démocratie moderne donne maints exemples de ces errements.
Elle en donne d’autant plus que les moyens de communication de masse mettent désormais à disposition du pouvoir, des partis, des puissances d’argent et des lobbies, des moyens de manipulation des esprits d’une puissance sans précédent.
 
On les a vus à l’œuvre, avant, pendant et après l’adoption des lois qui ont remodelé, depuis quarante ans, la société contemporaine pour lui faire admettre les bienfaits de la révolution sexuelle, l’avortement, les manipulations génétiques, le mariage homosexuel aujourd'hui, et demain l’euthanasie (ce pourquoi l’appel au référendum que lancent aujourd’hui les adversaires du mariage homosexuel me paraît à haut risque – une campagne médiatique bien menée pouvant toujours, en ces matières, faire basculer une majorité – en même temps qu’il constitue une concession redoutable à l’idée qu’une règle morale ou une institution liée à l’ordre naturel comme le mariage pourraient subir des modifications légitimes pour peu qu’elles bénéficient de l’appui d’une majorité d’électeurs). 
 
Comme le bon fonctionnement de la Monarchie était lié à l’éducation des princes, celui de la démocratie repose en réalité sur l’éducation des foules.
 
Pour que le gouvernement du peuple soit conforme au bien commun, il faut que ce peuple ait grandi dans le respect de ses pères, la volonté de prolonger et de transmettre l’héritage reçu indivis, l’amour des principes qui ont fait sa grandeur et l’éclat de sa civilisation.
 
Nous en sommes loin aujourd’hui.
 
Or, à une éducation purement individualiste, exaltant en chacun la tyrannie de ses désirs comme un absolu, ne peut correspondre qu’un peuple d’égoïstes, auquel sera étrangère l’idée même qu’un bien commun existe, et qui ne verra dans la pratique de la démocratie que le moyen d’exprimer ses revendications catégorielles ou sa haine de classe. 
 
« Lorsqu’une cité démocratique, altérée de liberté, trouve dans ses chefs de mauvais échansons, écrit Platon, elle s’enivre au-delà de toute décence ; alors, si ceux qui la gouvernent ne se montrent pas tout à fait dociles et ne lui font pas large mesure de liberté, elle les châtie, les accusant d’être des criminels et des oligarques. […]
Ceux qui obéissent aux magistrats, elle les traite d’hommes serviles et sans caractère. En revanche, elle loue et honore les gouvernants qui ont l’air de gouvernés et les gouvernés qui prennent l’air de gouvernants.
 
Dès lors, il est inévitable que dans pareille cité l’esprit de liberté s’étende à tout. Qu’il pénètre dans les familles […] que le père s’accoutume à traiter son fils comme un égal et à redouter ses enfants ; que le fils s’égale à son père et n’ait ni respect ni crainte pour ses parents.
Que le métèque devienne l’égal du citoyen, le citoyen du métèque et l’étranger pareillement. […] Le maître craint ses disciples et les flatte, les disciples font peu de cas des maîtres.
Les jeunes gens copient leurs aînés et luttent avec eux en paroles et en actions.
Les vieillards de leur côté s’abaissent aux façons des jeunes gens, imitant la jeunesse de peur de passer pour ennuyeux et despotiques. […]
 
Or vois-tu le résultat de tous ces abus ? Ils rendent l’âme des citoyens tellement ombrageuse qu’à la moindre apparence de contrainte, ceux-ci s’indignent et se révoltent. Et ils en viennent à la fin à ne plus s’inquiéter des lois écrites ou non-écrites, afin de n’avoir absolument aucun maître. Alors, en toute beauté et toute jeunesse, les temps sont mûrs pour la tyrannie. »
 
 
 
 
Aristote
 
 
 
Vous distinguez, à l’école de Jean Madiran, démocratie moderne et démocratie classique. Quelles sont les différences qui justifient cette opposition ?
 
Je me suis effectivement nourri du livre fondamental de Jean Madiran, "Les deux démocraties".
 
Publié en 1977, ce livre n’a pas pris une ride.
 
La démocratie, telle qu’après avoir été inventée à Athènes, a existé ici et là durant l’Antiquité, le Moyen Âge, la Renaissance et l’Âge classique telle qu’elle est décrite par Aristote dans sa classification des régimes politiques, telle qu’elle est évoquée par saint Augustin et analysée par saint Thomas d’Aquin, la démocratie que Madiran appelle classique est, dit-il, un mode de désignation des gouvernants.
Il consiste à « n’avoir dans la cité, aucune autorité politique dont le titulaire ne soit directement ou indirectement désigné, pour un temps limité, par les citoyens, qui sont tous électeurs ».
 
La démocratie classique, c’est cela : un mode de désignation des gouvernants par l’élection. 
 
La démocratie moderne, celle dans laquelle nous vivons, celle qui a été façonnée par les Lumières et par les principes de 1789, fonctionne en apparence comme la démocratie classique.
 
En apparence, c’est la même chose.
 
En réalité, elle est tout autre chose.
 
Sa charte fondatrice est en effet la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789. Or celle-ci contient des dispositions qui changent profondément la nature du régime dont elle a conservé les dehors et le nom.
 
Ces principes sont ceux que proclament d’une part :
 
L’article 3 : « Le principe de toute souveraineté réside dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément »,
 
d’autre part l’article 6 : « La loi est l’expression de la volonté générale. »
 
 
Ces deux dispositions fondent, en dépit des apparences, un régime entièrement nouveau qui se distingue non seulement de la démocratie classique, mais de tous les régimes politiques (monarchiques, aristocratiques) connus auparavant. 
 
 
La première de ces dispositions conduit en effet la démocratie moderne à considérer le mode de désignation par l’élection comme l’unique fondement de toute légitimité. Dès lors que le principe de souveraineté réside dans la nation (entendue ici comme le corps électoral), nul ne pourra légitimement prétendre exercer cette souveraineté sans avoir été choisi par le suffrage de cette nation.
 
Or on n’avait jamais pensé à cela auparavant.
 
Même parmi les partisans de la République.
 
Dans la démocratie moderne, la désignation des gouvernants par les gouvernés cesse d’être considérée comme une technique parmi d’autres, bonne dans certaines situations, pour certains types d’État, mauvaise ou imprudente, inadaptée pour d’autres. Elle est réputée le seul mode de désignation légitime.
 
Les régimes "non démocratiques" deviennent donc "immoraux".
 
L’élection des gouvernants devient un droit imprescriptible qu’on ne saurait remettre en question sans remette en cause les fondements de l’ordre social. C’est un impératif moral.
 
On jugera qu’un gouvernement est bon non plus dans la mesure où il poursuit le bien commun mais dans la mesure où il est démocratique.
 
On estimera qu’un régime s’améliore à proportion qu’il se démocratise !
Et non plus en fonction de la paix et de la prospérité qu’il apporte aux populations, du degré de civilisation qu’il promeut ou des vertus qu’il encourage. Moins encore de la préservation de la morale publique. 
 
La deuxième caractéristique de la démocratie moderne, souligne Jean  Madiran, est que « la loi est l’expression de la volonté générale ».
 
Et seulement cela.
 
Elle doit être approuvée par la majorité.
 
Elle n’a besoin que de cela pour être incontestable.
 
Formidable révolution !
 
« Toujours, dans toutes les civilisations, écrit-il, la loi était l’expression d’une réalité supérieure à l’homme, d’un bien objectif, d’un bien commun que l’homme traduisait, interprétait, codifiait librement, mais non arbitrairement. »
 
La fonction du législateur – roi, dictateur, assemblée d’anciens magistrats, Parlement élu – était de mettre en œuvre une raison, une justice et un ordre supérieurs aux volontés humaines.
 
Qu’il s’agisse de la volonté présumée de Dieu ou de l’ordre du monde tel qu’il avait été transmis par la sagesse des anciens, « La légitimité de la loi, rappelle encore Madiran, celle du pouvoir, celle des gouvernants, résidait dans leur conformité à cet ordre supérieur. »
 
Dans les démocraties classiques, on confiait au corps électoral le soin d’approuver les lois qui lui paraîtraient les plus conformes à l’ordre du monde ou à la volonté de Dieu.
 
Dans la démocratie moderne, on lui demande d’édicter les lois les plus conformes à sa propre volonté, déclarée universellement souveraine.
 
L’apparence peut être identique. La réalité est très différente.
Dans le premier cas, on demandait au peuple ce qu’il pensait correspondre à la justice. Dans le deuxième, on lui demande ce qu’il veut, et qui sera considéré comme juste pour la seule raison d’avoir obtenu une majorité de suffrages.
 
On passe d’un souverain (individuel ou collectif) à qui l’on reconnaît le pouvoir de dire : je le veux, parce que c’est juste, à un souverain (collectif) qui dit : c’est juste parce que je le veux.
 
 
C’est une révolution copernicienne :
 
On a maintenu les termes mais on a renversé la logique !
 
 
La conséquence de ces deux dispositions est que, loin de nous en préserver, la démocratie moderne tend naturellement au totalitarisme, contrairement à ce que l’on croit.
 
Et elle y tend du seul fait de ses principes. 
 
Dire que la légitimité se confond avec le seul mode d’élection (démocratique) des dirigeants ou avec le mode d’adoption (démocratique) des lois, c’est dire en effet qu’en droit le pouvoir d’un gouvernement ou d’un Parlement régulièrement élu est illimité,
qu’ils peuvent adopter n’importe quelle loi contraire à l’ordre naturel ou au bien commun sans rien perdre de leur légitimité du seul fait qu’elle a été démocratiquement adoptée.
 
On dira que s’imposent à cette loi de la majorité des normes supérieures (les dispositions de la Constitution). Mais ces normes supérieures tiennent elles-mêmes leur autorité et leur légitimité de la manière démocratique dont elles ont été adoptées. On pourra donc, démocratiquement, en changer. C’est si vrai que le Conseil constitutionnel a jugé en France qu’il n’avait pas le pouvoir de juger de la conformité avec la Constitution d’un texte approuvé par référendum. Parce que le référendum était le mode d’expression du peuple souverain.
Et qu’il appartenait à ce peuple, d’où la Constitution tenait son autorité, de violer la Constitution si cela lui plaisait.
 
 
À titre de comparaison, le Parlement de Paris cassa le testament de Louis XIV parce que la volonté qu’y avait exprimée le souverain de confier la régence à ses fils naturels n’était pas conforme aux lois fondamentales du Royaume.
 
 
Nous avons changé tout cela : il n’y a plus rien au-dessus de la volonté du souverain, parce que c’est une volonté démocratique.
 
La déclaration des Droits de l’homme a, en France, valeur constitutionnelle. Mais il appartient au corps électoral, si cela lui chante, de la transformer. C’est ce qu’on a fait en 1946 en ajoutant de nouveaux droits (au travail, à la grève). Si le peuple le veut, il pourra dans l’avenir en ajouter d’autres : le droit des femmes à avorter, le droit des homosexuels de se marier.
 
Tout est affaire d’opinion et de majorité. En définitive, de campagne de propagande bien menée.
Il n’y a rien au-dessus de la volonté de la majorité. 
 
Dire en même temps que la loi est l’expression de la volonté générale, c’est dire que l’expression de la volonté générale a force de loi. Qu’il serait illégitime de prétendre lui opposer des lois non écrites, des principes éternels, qui ne peuvent être considérés, fussent-ils issus du Décalogue, que comme des opinions privées.
 
L’adoption de la loi Taubira a montré qu’un usage plurimillénaire, antérieur même à la constitution de la cité antique, était sans autorité face à une loi adoptée par un vote à main levée. À partir du moment où ne s’impose aucune norme objective, extérieure, inchangeable, tout est affaire d’opinion, de manipulation et pour finir de moyens financiers.
 
Les mécanismes qui ont été mis en œuvre pour faire adopter la loi Taubira sont ceux qui avaient été actionnés pour faire adopter les lois Veil, Pelletier, Roudy et Neiertz, qui le seront demain pour légaliser l’euthanasie, les mères porteuses ou la promotion de l’homosexualité dans les écoles.
 
À ces lois de société, il est vain d’opposer la loi naturelle ou le Décalogue ; ils n’ont pas de réalité au regard de la démocratie moderne. La loi du nombre n’y abolit pas seulement la hiérarchie des normes, la supériorité de la Constitution sur la loi, elle ne se contente pas de la toute puissance temporelle.
 
Elle entend, encore une fois, à l’image d’Adam et Ève, déterminer elle-même les limites du Bien et du Mal en une sorte d’institutionnalisation du péché originel.
 
Or le totalitarisme c’est cela.
 
 
 
Comment résister à ce nouveau totalitarisme ?
 
 
 
À vue humaine, il y a longtemps que ce combat paraît perdu.
 
Mais l’expérience de la chute du mur de Berlin l’a montré :
 
il existe une fragilité constitutive du mensonge, une force intrinsèque liée à la vérité.
 
La vague de fond soulevée dans tout le pays par la loi sur le mariage homosexuel n’a pas seulement surpris le gouvernement. Elle nous a stupéfaits nous-mêmes. La force tranquille des manifestants, face au mensonge d’État, à la diffamation, aux violences policières, aux gardes à vue injustifiées et aux poursuites judiciaires, a transformé l’adoption de la loi en défaite pour ses propres partisans.
Sans doute, la contestation du projet de loi n’est-elle pas elle-même exempte de divisions ni d’ambiguïtés, marquée par l’imperfection de toutes les choses humaines ; elle s’est achevée sur un échec, puisque la loi est entrée en vigueur.
 
Reste que l’espoir a changé de camp. La course à la décadence a cessé de paraître irrésistible. 
 
La France catholique (puisque, en dépit des habiletés tactiques et des prudences de langages, c’est bien elle qui manifeste dans la rue) a montré qu’elle n’est pas morte, comme l’établissement médiatico-politique, qui vit en circuit fermé, se l’imaginait.
 
Contre l’idée que cette réforme était irrésistible et constituait un nouveau maillon d’une chaîne continue de progrès, la contestation a réveillé avec elle les forces vives du pays réel.
Elle a ouvert les yeux de ceux qui n’avaient pas su voir vers quelle décadence nous conduisaient l’institutionnalisation des utopies soixante-huitardes et la tyrannie des idées libertaires.
 
Elle a formé au combat politique toute une nouvelle génération à qui il appartient désormais de prendre la relève. Elle a fait découvrir à ces futures élites nées des JMJ et des mouvements traditionnels, nourries par l’enseignement de Benoît XVI, libérées de tout complexe par l’affolement d’un gouvernement qui a véritablement paru, dans cette affaire, perdre ses nerfs, à quel point l’héritage dont nous sommes les dépositaires avait été dilapidé par leurs aînés et comment la modernité nous emmène aux antipodes de la société à laquelle ils aspirent.
 
Il nous reste à prolonger ce magnifique sursaut, cet étrange printemps français, par une reconquête culturelle du terrain qui a été perdu depuis plus de quarante ans. De cette reconquête, bien malin qui pourrait aujourd’hui dessiner précisément les contours. Elle n’obéira à aucun plan préconçu et sera nécessairement multiforme (les efforts sympathiques pour l’organiser me paraissent voués à l’échec : il faut abandonner ce néo-kantisme qui nous conduit trop souvent à vouloir réduire la réaction vitale que nous appelons de nos vœux à un modèle unique, le nôtre autant que possible, pour apprendre à accepter la diversité des talents, des approches et des stratégies).
 
Elle passera, quoi qu’il en soit, me semble-t-il, par un réapprentissage des fondamentaux, par l’amour du Beau, du Bien, du Vrai.
 
Par une réforme intellectuelle et morale visant à nous préparer à un combat où il faudra se battre avec courage dans les tribulations du siècle en gardant au cœur la conviction que
 
"la Vérité, seule, nous rendra libres."
 
 
 
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Rions un peu !
 
 
 
 
 
 
 tribunaltoulon

 

 
UBU CHEZ MME TAUBIRA, LISEZ BIEN C'EST LA DEPECHE LA PLUS FOLLE EN 5 ANS !!!
 
 
 
Juillet 2013 :
 
Mr Vandeweghe,
le chef d'entreprise de 30 ans, attend plus de 20.000 euros de factures du TGI de Toulon, pour enlévement et stockage de voitures à la demande des magistrats. De ce fait, il a dû licencier ses deux employés, revendre un camion pour ne pas avoir à fermer la boîte. 
 
Le comble, c'est que du coup, le Tribunal de commerce de Toulon le place en redressement judiciaire (!!!!) à cause du TGI (dette de 50000 euros et 120.000 pour le Tribunal de toulon)".
 
 
 
 Bravo à Mme Taubira et à l'Etat, la folie furieuse pilote désormais ce pays !
 
 
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« Chemtrails » : La guerre secrète.

claire séverac: Guerre secrète contre les peuples.

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Depuis plusieurs années, des observateurs ont constaté dans de nombreux endroits de la planète un changement d’apparence du ciel. Alors que l’on sait que les avions en vol produisent des trainées de condensation, appelées « contrails » en anglais, des personnalités d’horizons divers font une différence entre ces traces, qui se dissipent peu de temps après le passage de l’avion et des traces persistantes : les « chemtrails » pour « trainées chimiques » en français. En effet, des experts ont constaté que ces traces dans le ciel restent plus longtemps et cela, parce qu’il s’agit d’épandage de produits chimiques visant à influer sur le climat ou sur les populations. C’est sur ce sujet que porte le Zoom de ce soir avec Claire Séverac, auteur d’un ouvrage à succès, la guerre secrète contre les peuples. Dans un entretien sans concession, elle nous livre le résultat de 3 ans de recherches pointues sur les nanotechnologies, et bien sûr, ce phénomène des « chemtrails ».

http://www.tvlibertes.com/

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Carte dynamique des migrations actuelles :

carte dynamique des migrations

Visualisez sur cette carte dynamique les splendides résultats de l’incessant travail de nos « élites » otanifiées, trilatéralisées et bilderbergisées qui prétendent nous gouverner depuis 70 ans !

 

Chaque point représente 25 personnes soit un autocar environ.

Réglez les curseurs pour choisir la plage de temps et la vitesse de visualisation.

Pensez-vous encore que le Grand Remplacement de population en cours dans notre pays soit un fanstasme de complotistes paranoïaques ?

 

Philippe de Villiers : « J’ai vu s’agiter la crapaudaille… »

"Il est temps de dire ce que j'ai vu."

C’est à TVLibertés que Philippe de Villiers a consacré son plus long entretien après la parution de son livre best-seller intitulé « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu ».

Débarrassé de son statut d’homme politique, il parle sans filtre, sans volonté de plaire mais avec la ferme intention de convaincre. Le message qu’il assène avec la force d’un dissident doit être écouté et…entendu.

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Autre entretien paru le 28 Octobre 2015 sur Reinformation.tv :

« Qu’est ce qui va nous rester ? Ils ont défigurés nos paysages, ils ont tué tous les indépendants, les paysans, les artisans, les commerçants, les pêcheurs… Aujourd’hui, nous sommes face à deux menaces simultanées : l’américanisation du monde qui est en même temps la marchandisation du vivant, le corps vénal et l’islamisation du monde. La France va devenir une république islamique… ».

Son dernier livre « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu » sorti chez Albin Michel est en train de devenir un énorme succès littéraire. Il aurait déjà dépassé les 100.000 exemplaires à ce jour et irait sur les brisées du livre d’Eric Zemmour – « Le suicide français » – Eric Zemmour que nous avions interviewé l’année dernière.

Un entretien exceptionnel:

S’il a déjà répondu aux questions des journalistes de la sphère parisienne, c’est dans l’intimité de son bureau au Puy du Fou, en Vendée, que Philippe de Villiers a accordé à Réinformation Tv un entretien exceptionnel. Il se livre à nos questions, sans masque, sans ambiguïté comme il ne l’a sans doute encore jamais fait devant une caméra.

“Le moment est venu de dire ce que j’ai vu”

Dans cet entretien, il nous parle de l’islamisation à venir de la France, de son dégoût pour la politique : « Je les ai vu tricher, je les ai vu mentir » nous a-t-il expliqué. Il nous révèle ce jour où notamment, alors député européen, il se retrouve par hasard dans un salon du Parlement de Strasbourg, assistant à une réunion de la Trilatérale… organisation privée, crée en 1973, à l’initiative des principaux dirigeants du Groupe Bilderberg (dont Rockefeller, le plus « célèbre ») et regroupant des personnalités du monde politique, économique, financier et médiatique et dont le but est d’établir un Nouvel Ordre Mondial, s’appuyant sur la disparition des souverainetés et des Etats.

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Loi Taubira – Suite –

 

 

 Paris, le 22 avril 2015

 

Communiqué de presse:

 

 

2 ans après son adoption :

la loi Taubira est loin d’être entrée dans les mœurs !

 

 

 Malgré les affirmations péremptoires du Président de la République, le mariage et l’adoption pour les personnes de même sexe sont loin d’être rentrés dans les mœurs. La loi Taubira est toujours contestée et une majorité de français s’inquiète de ses violentes conséquences sur la filiation avec la PMA « sans père » et la GPA (mères porteuses).

 

 N’en déplaise à François Hollande, la remise en cause de la loi Taubira est bien présente au cœur de la société française et du paysage politique.Aucun ténor de l’opposition ne milite aujourd’hui en faveur de cette loi. Au contraire, ils souhaitent tous revenir dessus d’une manière ou d’une autre. Seules les modalités de cette remise en cause suscitent aujourd’hui un débat qui oscille entre l’abrogation sans rétroactivité, la réécriture ou bien encore la proposition d’une alternative. Quant à la pression populaire, elle est toujours aussi surprenante que forte comme en témoigne l’enthousiasme, l’audace et la détermination des centaines de milliers de familles qui continuent régulièrement de faire entendre leurs voix comme ce fut le cas à l’automne dernier à Paris et Bordeaux. La Manif Pour Tous reste également toujours mobilisés pour combattre toute forme d’homophobie, c’est à dire tout manque de respect à l’égard d’une personne au motif de son orientation sexuelle.

 

Signe de sa vitalité, le mouvement social initié par La Manif Pour Tous continue également de se développer à l’image d’Europe For Family qui effectue un précieux travail auprès des institutions européennes et de Vigigender qui après avoir contribué avec succès à freiner l’idéologie du genre à l’école poursuit aujourd’hui son action dans les entreprises, l’administration et les services publics. Tout ce dynamisme contribue à maintenir un état d’esprit autour de la défense de la famille et ce mouvement social, de l’aveu même de bon nombre d’observateurs, est parti pour durer. Et pour durer longtemps.

 

 La Manif Pour Tous avait vu juste 

 

Dès la présentation du projet de loi Taubira, La Manif Pour Tous avait expliqué que ce « bouleversement de civilisation » cher à Christiane Taubira ne répondait pas à une attente ni chez les personnes homosexuelles ni au sein de la société française. Avec quelques milliers de mariages célébrés en deux ans, et une tendance à la baisse enregistrée en 2014 (10.000) par rapport à 2013 (7.500 mais uniquement sur 7,5 mois), on se demande bien pourquoi le gouvernement s’est entêté. D’autant que les conséquences de cette loi Taubira ont aussi été dénoncé depuis le début par La Manif Pour Tous. Ce sont en particulier les conséquences en matière de filiation qui sont les plus graves et qui provoquent une vague d’inquiétude dans la société et chez les responsables politiques. Tous les slogans scandés depuis 2 ans et demi par des millions de citoyens n’ont pas pris une ride : « Un père, une mère, c’est élémentaire », « Tous nés d’un homme et d’une femme », « On veut du boulot, pas du mariage homo », « Hollande, tes lois on n'en veut pas ! », « Familles attaquées, société en danger », « Utérus exploité, peuple révolté », « PMA sans papa, on n'en veut pas », « On veut du sexe pas du genre », « Ovule et testicule : la bonne formule »…

 

 Adoption, PMA « sans père », usines à bébés…

 

Avec le mariage, la loi Taubira a ouvert l’adoption pour les couples de personnes de même sexe. Cela revient à priver délibérément et définitivement un enfant de son droit à avoir un père et une mère : c’est d’autant plus cruel pour des enfants ayant connu l’orphelinat. « L’adoption, c’est redonner un père et une mère à un enfant qui en a été privé par un aléa de la vie. La justice doit protéger les enfants et rien ne peut justifier de les rendre adoptables par la seule volonté des adultes. On ne crée pas délibérément un enfant privé de père. C’est une injustice. C’est un acte égoïste » estime Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Car le droit à l’adoption menace aujourd’hui de se transformer en droit à l’enfant, en particulier avec la PMA « sans père » et la GPA (Gestation Pour Autrui). Certes, des verrous demeurent aujourd’hui dans la loi française mais le lobby LGBT ne cache pas sa volonté de légaliser l’accès à la PMA pour les couples de femmes (ce qui revient à concevoir délibérément un enfant en le privant de son père) et  la GPA, c’est à dire le recours aux mères porteuses. « Voulons nous demain des usines à bébés dans notre pays, dans la patrie des droits de l’homme ? Voulons nous demain encourager nos compatriotes à faire tourner les usines à bébés en Inde, en Thaïlande ou au Nigéria ? » interroge Ludovine de La Rochère. « La réponse est non. Or, la loi Taubira est le chemin qui conduit vers cette destruction de la filiation et de la famille. C’est pourquoi elle ne peut être conservée en l’état. C’est aussi la raison pour laquelle elle n’est pas entré dans les mœurs et ne le sera jamais » poursuit-elle.

 

Vers les échéances de 2017 et au-delà

 

La Manif Pour Tous entame le 12 mai prochain un Tour de France qui va se prolonger jusqu’à l’été. Objectifs : informer les Français et sensibiliser les élus, en particulier les parlementaires sur les conséquences de la loi Taubira et les menaces qui pèsent sur la famille et les droits de l’enfant. Une proposition de loi vient d’ailleurs d’être déposée à l’Assemblée nationale par Valérie Boyer, députée des Bouches du Rhône et secrétaire nationale en charge de l’égalité homme-femme à l’UMP. Cette proposition de loi vise notamment créer un délit spécial autour de la GPA et de sa promotion. Elle est d’ores et déjà co-signée par une cinquantaine de députés. « Nous travaillons également à notre prochaine université d’été, à un dispositif en vue des élections régionales et aussi des échéances de 2017. La Manif Pour Tous et ses millions de sympathisants qui ont osé faire entendre leur voix contre la loi Taubira restent plus que jamais mobilisés et déterminés » précise Albéric Dumont, Vice-Président de La Manif Pour Tous. 

 

ONLR :

On Ne Lâche Rien !

 

 

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La CEDH valide la vente d’enfant.

Lu sur http://www.libertepolitique.com/
La Cour européenne des droits de l’homme a condamné cette semaine l’Italie pour avoir retiré à un couple l’enfant qu’il a acheté 49.000 euros, et à lui verser 30.000 euros de dommages.
EN MARS 2011 à Moscou, un couple a acheté un enfant auprès d’une société spécialisée dans la GPA. L’acte de naissance de l’enfant indiquait qu’il était le fils du couple italien. De retour en Italie, la transcription de l’acte de naissance russe dans l’état civil italien a été refusée. Une enquête fut ouverte et un test ADN prouva que l’enfant n’avait aucun lien génétique avec le couple. L’enfant avait été purement et simplement produit sur commande et vendu.
La société explique avoir acheté des gamètes humains puis loué une mère porteuse, ce qui ne serait pas illégal en Russie. Les juges italiens, constatant la violation des normes sur l’adoption internationale et de l’ordre public italien, décidèrent – dans l’intérêt de l’enfant – de le retirer de ses acquéreurs pour le confier à l’adoption.
D’un crime naît un droit
Saisie par le couple, la Cour de Strasbourg a jugé – par cinq voix contre deux — que l’Italie pouvait refuser de reconnaître la filiation établie en Russie, mais que le retrait de l’enfant a porté atteinte à la vie privée et familiale du couple. Les autorités italiennes auraient dû le leur laisser, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant. La Cour n’indique pas quel aurait alors dû être son état civil.
Pour conclure ainsi, la Cour a estimé que la relation créée par les acquéreurs à l’égard de l’enfant constitue une « vie familiale » protégée par les droits de l’homme, car ils se sont comportés « comme des parents » pendant six mois. La Cour a ensuite jugé que l’interdiction d’ordre public de la GPA et de la vente d’enfant ne sont pas des motifs suffisants pour leur retirer l’enfant au regard de l’intérêt de celui-ci de rester avec ses acquéreurs.
L’achat d’un enfant confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant au nom de l’intérêt de l’enfant tel que déterminé par les juges strasbourgeois (qui n’ont consulté aucun expert). D’un crime naît un droit. Ainsi la Cour valide-t-elle la vente d’enfant. Il faut le dire lucidement :
 Le prétendu « intérêt de l’enfant » cache en réalité celui des juges à imposer la libéralisation de la GPA.
La-CEDH-valide-la-vente-d-enfant_visuel
Le droit de l’argent
À aucun moment, la Cour ne s’interroge sur la moralité de la GPA, sur l’origine de l’enfant, sur l’exploitation des vendeurs de gamètes et de la mère porteuse à l’origine de son existence. La vente d’enfant ne la choque pas, elle ne sourcille pas, elle précise que ce n’est pas son affaire. Elle ne s’interroge pas davantage sur la violence irrémédiable infligée aux enfants nés de GPA : condamnés « pour leur bien », selon sa logique, à vivre avec ceux-là même qui les ont privé de leurs vrais parents et les ont achetés.
Pour la Cour, ces circonstances n’entrent pas en compte dans l’appréciation de l’intérêt supérieur de l’enfant. Au contraire, elle fonde son raisonnement sur la supposition qu’il est conforme à l’intérêt d’un enfant-GPA d’être élevé par ses acquéreurs. On peut penser au contraire que les enfants GPA auront de bonnes raisons de se révolter contre leurs acquéreurs pour avoir exploité leurs parents puis les en avoir privés. Il n’est pas équivalant d’être élevé par ceux qui ont fait de vous un orphelin, ou par une famille adoptive qui vous recueille.
Tout cela au nom d’un droit à l’enfant. La Cour, depuis qu’elle traite de PMA et d’adoption homosexuelle, ne veut plus considérer l’origine des enfants ni la structure des familles. Pour elle, tout se vaut car la famille n’est qu’un agrégat temporaire de citoyens.
Incitation au trafic d’enfants
Cet arrêt est dévastateur, et les deux juges dissidents l’ont souligné : il réduit à néant la liberté des États de ne pas reconnaître d’effets juridiques à la gestation pour autrui, et même la légitimité du choix de l’État en ce sens. Plus encore, cet arrêt est une incitation au trafic international d’enfant ; il retire aux États les motifs et les moyens de s’y opposer.
Les « droits de l’homme » qui devraient être un rempart contre l’indignité et l’exploitation de l’homme par l’homme sont dévoyés pour servir d’instrument d’une fausse libération de l’individu en quête de la satisfaction de n’importe quel désir, même celui d’une femme de 55 ans d’avoir un enfant, comme en l’espèce.
Il faut espérer que le gouvernement italien fera appel, et que d’autres gouvernements le soutiendront ; mais la Cour a le pouvoir de rejeter cette demande sans justification. Cependant, peut-être que le gouvernement ne fera pas appel, car la Cour a assorti son jugement d’une mention qui semble réduire à néant sa propre argumentation : il n’est pas nécessaire de « rendre » l’enfant à ses acquéreurs car il vit depuis 2013 dans une famille.
Ainsi, la véritable obligation concrète qui résulte de cet arrêt est celle pour l’Italie et les 46 autres États européens de ne plus s’opposer à l’avenir à la vie de telles « familles ».
Gregor Puppinck Directeur de l’ECLJ
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