Comment et pourquoi DLF a rejoint le FN:

(Extrait de Riposte Laïque)

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Comment et pourquoi Debout la France a rejoint le FN!

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Il ne me semble pas inutile de revenir sur la réunion du Conseil National de Debout la France qui a contribué à la décision historique de Nicolas Dupont-Aignan ; en effet ceci détermine l’avenir du mouvement mais aussi la nature de l’opposition future à E. Macron si l’incontestable basculement de l’opinion publique ne s’opère pas assez rapidement.

Nous étions quatre-vingt, qui donnaient le coeur avant le temps dans une trop petite salle, certains assis par terre, beaucoup venus précipitamment, la nuit, de provinces lointaines ; par les hautesfenêtres ceintes de boiseries centenaires, témoins parlant de l’art français, nous apercevions, droits et majestueux, les portails de L’Assemblée nationale pavoisés de notre bannière tricolore ; tous pénétrés de l’amour de France, conscients que nous participions à une parcelle de l’Histoire.

Les discussions furent parfois vives, mais la flamme patriotique de tous permit d’éviter les mots brisants ou exclusifs. Nicolas Dupont-Aignan parla peu, en homme d’État responsable, froid et tenace, mais à chacune de ses interventions l’homme sensible, droit, empreint d’un humanisme serein, perçait, entraînant les indécis. Certes la tourmente avait atténué un peu son extraordinaire énergie, la fatigue des dernières semaines et la douleur digne, montraient leurs crocs mais la détermination demeurait
entière ; l’aquilin triompha : main de fer dans un gant de velours, cet homme révéla l’étoffe d’un chef.

Cinq options se présentaient à lui : la première, un ralliement à Macron ne fut même pas exposé, restaient le ni-ni, l’exposition d’un choix personnel et non partagé par DLF d’appel à voter pour Marine Le Pen, le ralliement avec armes et bagages à cette dernière et l’accord de parti à parti, de responsable à responsable, d’égal à égal.
On dissipa en quelques mots la tentation de la fusion : aucun sens intellectuel, aucun intérêt mutuel, aucun poids politique nouveau. Nous étions une poignée identifiés comme ceux qui croyaient à l’aventure, au moment historique,à la croisée des chemins ; notre premier objectif fut d’éliminer l’option d’un appel personnel de
NDA n’engageant pas le mouvement, l’argument de l’ambiguïté, du flou d’une décision qui à la fois avait les désavantages du ni-ni et aucun des avantages du rapprochement fut déterminant; l’heure était à la clarté, ce fut déterminant par la suite.

Bruno Dienot, du Gers, entama les débats, il parla d’un train qui passe, du dernier, celui qu’il ne faut pas louper ; cette métaphore fut souvent reprise, parfois avec l’idée que nous allions monter dans un train dont nous n’étions ni les conducteurs, ni les navigateurs. Premier à parler, il donna le ton des quatre heures de discussion ; il indiqua avoir consulté sa fédération, base et cadres, puis, sans ambages il prononçales mots impensables : je voterai et appellerai à voter pour Marine Le Pen.

Lors la réunion changea de nature ; il ne s’agissait plus seulement de donner un avis sur la décision à prendre par NDA mais bien que le mouvement, représenté par ses délégués, se détermine par lui-même.
En salve les partisans du ni-ni, parfois dépassés par une sorte d’archéo-gaullisme, exprimèrent essentiellement des arguments péri-politiques : le qu’en-dira-t-on y était en bonne place, montrant, ce qui fut relevé, une sociologie bourgeoise ; Debout la France rêvé comme un MDC de droite sorte de club de réflexion… d’illusions.

Souvent des tensions familiales furent évoquées en cas de rapprochement avec le Front National, les déchirements de l’époque de l’affaire Dreyfus furent cités, cela en dit long sur la responsabilité des médias dans le climat d’extrême violence du débat actuel ; NDA rappela que l’accord se faisait avec Marine Le Pen, candidate fidèle aux institutions voulues par De Gaulle, en allant à la rencontre du Peuple français.

Puis vînt une séquence où beaucoup de partisans du ni-ni avouèrent que, comme nombre d’adhérents de leur fédération, ils préféraient une expression neutre alors même qu’ils mettraient un bulletin « Marine Le Pen » dans l’urne ; cette schizophrénie fut dénoncé bruyamment. Les habituels optimistes invétérés, aveugles aux réalités des rapports de forces politiques, se dirent persuadés que les législatives allaient consacrer la première place de DLF au sein de la droite et qu’un soutien à Marine Le Pen détruirait à jamais cette chance unique pour la France ; exaltés par leur propre discours certains ne juraient que par la certitude de « NDA président » en
2022.

La parole fut donnée à Dominique Jamet ; à l’évidence il comptait sur son éloquence tranquille pour engluer les hésitants, mais son verbe fut morne, il rappela sans brio les efforts fait pour construire un parti indépendant et libre, lequel allait perdre son superbe isolement protecteur en se jetant dans une mêlée perdue d’avance.
C’est à ce moment que je suis intervenu. Répondant au dernier argument des chevaliers blancs de la pureté confortable et inefficace, j’indiquai que « si quelques-uns s’en vont, combien arriveront ? Et ceux qui nous quitteront où iront-ils, combien de temps mettront-ils à comprendre que le choix du combat pour la France indépendante est forcement Gaulliste ; en cette heure cruciale un bulletin blanc, un défilement, c’est une voix de moins pour les souverainistes ».

Rappelant mon engagement plus que décennal avec Nicolas, j’affirmais avoir toujours trouvé en lui une constante humanité apaisée et prolixe ; je suis certain que s’il avait le moindre doute moral concernant la personne ou la pensée de Marine Le Pen, jamais il n’aurait tenté le moindre rapprochement : ne pas avoir confiance en son jugement aujourd’hui c’est renier notre engagement depuis que nous soutenons son combat.

Cet argument fut ensuite repris par plusieurs opposants inversant leur position et rejoignant le camp favorable à un accord. Je poursuivis en soulignant que nous apportions à l’attelage la qualité de nos adhérents, de nos cadres, notre capacité à mettre en oeuvre un programme auquel notre intelligence collective avait apporté toute sa cohérence ; enfin, je terminais par ces mots « Nicolas Premier ministre (*) sera aussi le garant du respect absolu de la morale publique, de l’intégrité des valeurs républicaines, de l’honneur de la France, sa démission signerait la mort politique de Marine Le Pen, il sera n’en doutons pas l’épée de Damoclès.»
Une tentative fut faite en mettant en exergue que deux vice-présidents, peut être trois avec François Morvan, quitteraient le mouvement, mais la salle avait basculé, notamment après l’exceptionnelle qualité de la prise de parole de Patrick Mignon.

Dans une seconde intervention, Dominique Jamet pensant prendre l’avantage parla de l’héritage de la fille, personne n’eu l’indélicatesse de lui rappeler son propre passé.
Nicolas Dupont-Aignan résuma sobrement le dilemme : Marine Le Pen ne peut gagner sans ce que nous représentons, je préfère perdre avec elle à 48% que de la voir, sans nous, échouer à quelques pour cents près.

Dans un dernier sursaut, presque trotskiste, Dominique Jamet évoqua un vote, seules trois mains, et rapidement deux seulement, se levèrent contre le choix majoritaire.
Dès lors, ce sont les conditions de l’accord et la nature de notre participation aux législatives qui furent les sujets des autres interventions. Mais, sur le fil, un nouvel enjeu se fit jour : le calendrier ; certains ni-ni essayèrent de faire différer l’annonce du bouleversement, afin, bien sûr, d’en atténuer le sens et l’effet.
Dans un discours vibrant, politique et chaleureux, bien loin de sa retenue habituelle, Jean-Philippe Tanguy conclut les prises de paroles, en faveur d’un vote avec et pour le Peuple de France manipulé sans cesse par un système, une clique, utilisant jusque la nausée la peur comme argument.

La séance fut levée, quelques groupes continuant d’échanger ; à la fin nous restâmes quelques uns, NDA toujours à l’écoute de ses soutiens eut encore la force de dire quelques mots de remerciement, de préciser, d’évoquer l’avenir puis, il se retira pour préparer son intervention historique.

Un peu plus tard, en direct sur BFMTV Bruno Dienot, respectant les consignes, répéta que le choix de Nicolas Dupont-Aignan, était historique, courageux et sage ; refusant de parler des législatives et de sa candidature, il rappela que le second tour de l’élection présidentielle sera celui opposant le mondialisme extrême et systémique contre la France.

Gérard Couvert – Riposte laïque

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Les journalistes n’ont plus le pouvoir ?

macron

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Macron tes journalistes n’ont plus le pouvoir !

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Excellent, cher Monsieur !

Félicitations pour votre esprit de synthèse. En un mot comme en cent, vous leur avez dit l’essentiel.

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 Macron …. Ultime avatar de leur République ?

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 Leur « Raie-publique » des coquins et des copains n’est plus vendable même par leurs meilleurs journalopes d’élite !

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Beaucoup découvrent peu à peu aujourd’hui, derrière la façade passablement décrépite depuis leur putsch de 1789 …la pitoyable et criminelle entreprise, alliance de la finance transnationale, des sophismes maçonniques, et de la crédulité sans borne, hélas, du brave peuple chrétien de France…

… Des centaines de millions de morts grâce à leurs guerres mondiales et « révolutions » en tous genres, le plus brillant pays d’Europe au XVIIIème siècle, ravalé au rang d’un abysse de déréliction…

C’est pour votre complicité sans faille avec cette épouvantable machine d’ingénierie sociale travaillant avec notre argent, que vous devrez rendre des comptes, Messieurs les faux journalistes mais vrais criminels par omission et désertion de votre vraie mission !

Réveillons-nous !

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macron

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http://passager120.chez.com

http://passager120.chez.com/

http://passager120.chez.com

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Voici un excellent article de Mathias Demain qui fait paraître un nouveau journal papier (oui, papier. Quel culot !) « Passager120 »  sur abonnement. Je trouve ce texte remarquable de justesse. Si c’est aussi votre cas, n’hésitez pas à la faire circuler.

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« Les écrans portent bien leur nom. Ils font écran à la conscience pleine de l’existence et nous font perdre la notion du temps.

Les écrans absorbent jusqu’à la presque totalité de notre existence, ils nous attirent sans cesse car ils répondent à nos désirs immédiatement.

Répondre à nos désirs immédiats, n’est-ce pas se révéler enfant à jamais ? Les écrans seraient donc le vecteur d’une forme d’immaturité collective.

Mais les écrans sont ambivalents : d’un côté, ils se révèlent être des outils d’une efficacité redoutable; de l’autre, une source intarissable de divertissements. L’ampleur considérable du divertissement se cache derrière sa petite fonction d’outil, ainsi l’honneur est sauf donc.

Pourtant, la culture véritable, bien souvent, s’en est allée.

L’immaturité et l’impulsivité du « no limit » vont pouvoir donc régner à échelle civilisationnelle, comme un nouvel art de vivre.

Nous ne parlerons pas des adultes dans cet article mais juste des enfants.

Pourquoi réduire le temps qu’ils passent devant les écrans ?

Parce que sans la culture et la connaissance historique, l’homme est dépourvu du sens de l’histoire. Nos enfants suréquipés se détournent de la culture véritable et de la concentration profonde, ils retournent à une forme d’impulsivité et d’animalité redoutable. La société consumériste organise actuellement une terrible régression collective, une véritable violence en devenir.

Lorsque les têtes sont vides de l’essentiel, il ne reste ni conscience, ni compassion, ni empathie. Il reste essentiellement un ego vide, instable, insatisfait et tyrannique.

Il semble que notre progrès technologique s’accompagne d’un retour au néant existentiel, au vide sidéral. La crise économique actuelle risque de mettre en évidence cet avènement de l’ignorance produite par l’ère des écrans multiples, de la connexion continue, des notifications directes au système nerveux. Trop de stimuli virtuels tuant finalement la capacité à ressentir le réel ainsi les enfants ne sont plus ni disponibles ni ouverts au monde véritable.

Réduisons donc la quantité de stimuli pour reprendre la main sur le réel, son histoire, son sens profond et donc son avenir.

Oser donner des limites aux désirs des enfants semble être considéré comme une forme de violence dans notre société consumériste hédoniste, ultrapermissive.

Poser des limites, il y a quelques années encore on appelait cela “éduquer”.

Beaucoup de parents renoncent simplement à éduquer leurs enfants, laissant à l’école le soin de “gérer” la situation (bon courage). Je rencontre de plus en plus d’adolescents qui ne savent même plus tenir une simple fourchette, ou mangent un pied sur la chaise, le genou au niveau du visage. Le plaisir avant tout, l’enfant peut donc se comporter comme il l’entend et consommer ce qu’il souhaite quand il le veut. Inutile donc de se dire bonjour ou même un merci reconnaissant à ceux qui prennent soin de lui.

Soit. Et le commun alors ? Le repas à table, le jeu, l’échange véritable, la culture commune ?

Toutes ces choses simples partent en poussière sous la puissance attractive de la sous-culture de masse orchestrée par les écrans. Les divertissements et les stimulations nerveuses en guise de culture feront donc l’affaire.
Les choses sont ainsi, et se dessine rapidement le monde bien cruel de demain. Voyez l’état de la planète et chacun saura l’état de l’humanité dans sa conscience et dans ce qu’elle produit.

S’il y a erreur aujourd’hui, c’est de laisser les enfants face aux médias, publicités, technologies, alors qu’au fond, tout est question de liens, d’attention, de temps réellement passé ensemble, de culture véritable, d’échanges et par-dessus tout de réalité. Encore faut-il se rendre « réellement » disponible à ses enfants.

Beaucoup de grands-parents ne s’intéressent plus actuellement à leurs petits-enfants et d’une façon terrible, la réciproque est tout aussi vraie. La transmission s’arrête dans les cœurs et dans les faits. Mais faute de culture, et de liens intergénérationnels, qu’y a-t-il encore à transmettre finalement ?

Allumons donc les écrans faute de ne plus savoir quoi faire d’autre.

L’enjeu de notre temps est le lien humain et la transmission : les écrans, sous prétexte de les renforcer, les font disparaître rapidement sous de simples apparences de réalités.

Nous sommes tous reliés technologiquement, certes, mais où sont donc passés l’amour et l’amitié véritables ? Où est le temps, ce temps du commun en-dehors des écrans qui nous fait connaître l’expérience commune du réel, de l’amitié et de l’amour.

Nos enfants auront bientôt exclusivement des relations d’objets entre eux. Tout cela est de notre faute, nous, les parents, qui ne mettons pas de limites aux plaisirs de pacotilles orchestrés par notre monde techno-industriel.

Entre les enfants d’aujourd’hui par exemple, existe-t-il encore cette notion de “la parole donnée”, notion qui structurait nos sociétés à l’époque encore récente de nos grands-parents ?

L’instantanéité semble devenir la règle de vie, et les plaisirs comme les désirs désorganisent des liens sociaux et les font disparaître dans la grande soupe du virtuel. Nos relations deviennent conditionnelles et mécaniques, filtrées par nos écrans de smartphones.

Sous couvert de nous rapprocher, les écrans nous ont éloignés les uns des autres, et plus encore de nous-même ainsi que du monde réel de la vie. »

Mathias Demain

 Article en page 9 de Passager 120 – N°1 – février 2017
Abonnement http://passager120.chez.com

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Lecourtcircuit.fr : Partout en France ??

Leourtcircuit.fr

Lecourtcircuit.fr

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(Extrait de « 20 Minutes » : 24.04.2016)

Dans les campagnes nordistes, l’union fait la force. Les 150 producteurs agricoles inscrits sur le site lecourtcircuit.fr en font l’expérience, puisque le portail annonce une croissance du chiffre de 30 % par mois depuis six mois.
Lecourtcircuit.fr fonctionne comme un « drive », mais de producteurs : à l’instar des supermarchés en ligne, on y choisit et on y paie des produits (fruits et légumes, viande, tout est local) que l’on passe ensuite chercher en point de retrait. Mais, sur le modèle de la vente directe, ce sont les producteurs eux-mêmes qui assurent la distribution et fixent les prix.

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Meilleure alimentation, beaux paysages…

L’idée vient de trois jeunes entrepreneurs. Des trentenaires, jadis employés dans l’informatique et la vente à distance.

« On a démarré il y a trois ans, raconte Maxence Messiant, avec l’envie de trouver une solution pour améliorer les choses dans la région. Avec ce système, on pense pourvoir aller vers une meilleure alimentation, une meilleure agriculture, de plus beaux paysages et une meilleure santé ».

Et il n’est pas le seul à le penser. Philippe Lallau a rejoint Lecourtcircuit.fr en octobre, avec l’ouverture d’un point de retrait en gare de Bailleul. Il revendique une soixantaine de clients par semaine qui viennent, tous les vendredi, retirer leurs produits dans la gare de Bailleul. Seize producteurs y livrent fruits, légumes, viande, et champignons.

« Cela permet de se faire connaître », explique Philippe Lallau, maraîcher bio, qui assure en outre la gestion du point de retrait (moyennant une commission de 6 %). « Le contact avec les clients est enrichissant. L’autre jour l’une de nos clientes a tenu à expliquer elle-même le fonctionnement à une personne qui se renseignait. »

Lecourtcircuit.fr:

Un point de retrait à Roubaix, bientôt un autre à Lille:

Le principe est simple : une fois par semaine, le client choisit un point de retrait, et commande les produits avant le jour de retrait. Sur chaque point de retrait, un collectif s’est monté pour assurer une gamme de produits la plus large possible.
Le site internet se finance en prélevant 11 % du prix de vente. « Mais il n’y a pas de droit d’entrée, précise Maxence Messiant, qui veut des producteurs « libres ». Nous mettons seulement à disposition la solution technique. » Et cela séduit aussi les producteurs déjà habitués au contact direct du client : « Nous touchons une nouvelle clientèle, cela représente une centaine de clients en plus », témoigne Arnaud Delmotte, coexploitant d’un élevage de bœufs « blanc-bleu », qui fait de la vente directe depuis plus de 20 ans à Laventie.

La métropole lilloise n’est pas négligée : un point de retrait vient juste d’ouvrir à la Condition Publique, à Roubaix, avec douze producteurs.

Et l’ouverture à Lille n’est plus, selon Lecourtcircuit.fr, qu’une question de semaines.

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A quand massivement et partout en France pour bouter les gros chancres producteurs de chômage Leclerc, Carrefour et consorts hors du royaume de France ?????

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L’Histoire de France: une thérapie ?

Georges Bossuet

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Extraits du témoignage de Malik Bezouh, passé des Frères musulmans à l’amour de la France chrétienne.

(extrait de Famille chrétienne )

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C’est lorsque j’étais étudiant, à Saint-Étienne, que j’ai rencontré l’islamisme. J’ai lu cette phrase d’un penseur des Frères musulmans, Sayyid Qutub : “La nationalité du musulman, c’est sa foi.” J’ai alors cru tout résoudre : je ne suis ni algérien, ni français, je suis musulman ! Je pensais avoir enfin trouvé les réponses à mes questions. J’ai embrassé l’islam porté par les Frères musulmans. Engagés, prosélytes, mais foncièrement légalistes, nous utilisions tous les moyens législatifs et associatifs pour faire passer le message islamique. […]

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J’aurais pu continuer au sein de la confrérie, comme certains de mes amis, qui sont aujourd’hui cadres de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). Pourtant, j’étais malheureux chez les Frères musulmans. Je ne partageais pas leur sentiment de surpuissance envers les “Français”, ces mécréants qui pataugent dans l’ignorance et l’idolâtrie de la nouvelle Babylone. Ce sentiment de surpuissance n’était pas de l’amour, cela ne correspondait pas à mon désir profond. Je suis devenu dépressif, j’ai émis des doutes sur le Coran. J’ai fini par quitter la confrérie. Cela a été une vraie souffrance pendant plusieurs années.

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Je suis alors tombé sur un texte de Bossuet : ce fut un véritable choc ! Je lisais un français magnifique, alors que je ne connaissais jusqu’à présent que des traductions islamistes de l’arabe. Ce fut mon premier véritable contact avec la littérature française. Je suis devenu amoureux des textes sublimes de l’évêque de Meaux, où il explique la nature humaine. Comme cette phrase tellement profonde, sur la fièvre de paraître :

“Ô quand sera-ce que je songerai à être en effet, sans me mettre en peine de paraître ni à moi, ni aux autres ?”

J’ai été bouleversé par cette pensée, qui s’inscrit en faux contre la société hédoniste et narcissique actuelle. C’était une véritable révolution pour moi de rencontrer ce grand personnage français, chrétien, éclairé par la transcendance divine, et appartenant à une époque inconnue. Pour comprendre Bossuet et l’Ancien Régime, j’ai plongé dans l’Histoire de France. Et là, ce fut le salut, la renaissance !

J’avais un bijou, un trésor à ma portée, et je ne le savais pas !

Bossuet m’a ouvert la porte sur l’univers splendide de la culture française, et donc la culture chrétienne.

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Georges Bossuet

Bossuet

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L’Histoire de France fut ma thérapie.

J’ai découvert cet aspect charnel de mon pays, que je ne connaissais pas. J’avais également besoin de comprendre le rapport de la France à l’islam, à travers l’Histoire.

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Pierre le Vénérable

Pierre le Vénérable

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J’ai rencontré la figure de Pierre le Vénérable, un abbé de Cluny du XIIe siècle, qui avait étudié l’islam et traduit le Coran. Il avait une véritable curiosité envers les “Sarrasins” : je me suis reconnu dans cet effort de l’intelligence. J’ai aussi aimé le contre-révolutionnaire Joseph de Maistre, cette plume extraordinaire, à la fois pleine de sagesse et de désespoir. L’Histoire de France m’a donné des figures d’identification, et même une fraternité traversant les âges : Pierre le Vénérable, Bossuet sont devenus mes frères ! […]

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Joseph de Maistre

Joseph de Maistre

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Rien à rajouter si ce n’est que cette thérapie ne s’adresse pas seulement aux Musulmans ! Tous les déracinés de l’histoire « moderne », les trépanés de la non-pensée gratuite, laïque et obligatoire, les amputés d’identité, les déséquilibrés du nombrilisme-roi, ou les talibans de la consommation, pourraient eux aussi en tirer grand bénéfice … 

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Fin du monopole de la SS ! OUF !!

Je quitte la Sécu !

Fin du monopole de la SS :

 
Indépendants, libéraux, bloggeurs…
 
« Régime Social des Indépendants » : qui sont les « libérés » de la Sécu ?
 
 (Lu sur le site : www.pourquoidocteur.com)
 
 
par
Audrey Vaugrente
|
Publié le 26 Octobre 2014
 
Twitter, blogosphère, sites Internet. Il souffle sur le web un vent de rébellion. Sa cible : l’affiliation obligatoire à la Sécurité sociale française, et le renforcement des sanctions pour les contrevenants.
« Déserter la Sécu pourrait conduire en prison »
(normal au pays de la « Liberté » ! note perso …)
Quitter la Sécurité sociale. Une telle action ou incitation sera plus durement punie par la loi. Ce 23 octobre, l’Assemblée nationale a voté, dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS 2015), un amendement qui durcit les sanctions à l’encontre des personnes qui se désaffilient d’un régime de sécurité sociale.
Un vote qui suscite l’indignation chez ceux qui se décrivent comme « Les libérés de la sécu »
Un système « autoritaire » et dysfonctionnel :
L’amendement voté par les députés français prévoit deux types de sanctions.
D’un côté, 6 mois d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende à l’encontre de ceux qui se désaffilient d’un régime de sécurité sociale. De l’autre, 2 ans de prison assortis 30 000 euros d’amende contre ceux qui incitent à quitter ce régime.
 
En effet, le Code de la Sécurité sociale est clair : il est obligatoire de s’affilier à un organisme de sécurité sociale. En France, il existe trois régimes légaux, selon le statut : la Mutuelle Sociale Agricole (MSA), le régime général de la Sécurité sociale (la CNAMTS), et le Régime Social des Indépendants (RSI). Le durcissement des sanctions à l’encontre des contrevenants se veut avant tout « dissuasive » selon les députés signataires de l’amendement, qui actent le nombre croissant des « Libérés de la sécu » 
Les travailleurs indépendants sont les plus nombreux à quitter la Sécurité sociale. Et pour cause : ils doivent intégrer le Régime social des indépendants (RSI), et n’ont pas les mêmes droits. Le délai de carence pour maladie est par exemple plus long. Nombreux sont ceux qui protestent contre ce « régime autoritaire », évoquent un « trop-plein fiscal » et critiquent les nombreux dysfonctionnements. Ce dernier argument est d’ailleurs soutenu par la Cour des Comptes qui a conclu que « le RSI est aujourd’hui moins efficace et plus coûteux que les anciens régimes qu’il a remplacés. »
Fin du monopole de la SS: Une blogosphère active :
Sur Internet, les voix se libèrent contre l’affiliation obligatoire et particulièrement contre le RSI. Le mouvement « Liberté sociale » dénonce une charge fiscale trop lourde qui étouffe l’investissement, le développement et la relance économique… et ne permet pas de garantir de bonnes prestations en santé, puisqu’une assurance complémentaire est nécessaire.
Le Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale (MLPS) , lui, milite pour la « libre concurrence » dans ce domaine. « Toutes les caisses de sécurité sociale sont des mutuelles », peut-on lire sur ce site. Une affirmation confirmée par la Cour d’appel de Limoges, mais que conteste le RSI. 
 
Les « libérés de la sécu » ont aussi pris d’assaut la blogosphère. L’un d’entre eux, qui se décrit comme un libéral, chronique sa lutte pour « sortir du monopole de la sécurité sociale », relatant ses échanges de courrier avec le RSI, les visites d’huissiers…
Un autre libéré, Jacques Clouteau se décrit même comme « un futur condamné » dans une lettre ouverte à sa députée, Dominique Orliac (Lot).
 
Fin du monopole de la SS :  
Hashtag Twitter :
 #JeQuitteLaSécuParceQue
 
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Le Docteur Claude Reichman fondateur du MLPS vient de faire condamner le RSI 

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Depuis 2013 les organismes de Sécurité sociale (RSI, URSSAF, CIPAV, MSA, CARMF, CARPIMKO, etc.) font face à une vague massive de désaffiliations au profit d’autres assureurs maladie et retraite européens.

Peut-on légalement quitter la Sécu ou non pour s’assurer librement auprès de l’assureur de son choix ?

Est-ce une révolte fiscale ou une rupture du pacte de la solidarité nationale ?

Les réponses varient et, à la lecture de ce livre, chacun se forgera son intime conviction.

En tout cas c’est le choix de Laurent C., qui, dans ce livre choc et rythmé, raconte son parcours de « libéré de la Sécu » sans en masquer la difficulté et explique pourquoi c est possible.

Commentaires des lecteurs :

 Par Carole le 9 avril 2015
Partie 1: le journal de bord du libéré de la sécu où l’auteur décrit, non sans ironie, son quotidien, avec les bons jours et les mauvais jours.
Partie 2 : pour tout savoir sur l’historique du déficit la sécu et de ses recettes, les derniers chiffres et les comparaisons entre les différents régimes professionnels ainsi qu’avec les systèmes d’assurances maladies privés de nos voisins européens.
Ajoutez y le recensement exhaustif de tous les textes européens et français en vigueur sur la liberté d’assurance sociale.
Et pour finir le guide du libéré de la sécu qui explique concrètement les démarches à suivre.
Bref, la bible de votre liberté sociale !
Par Superchon le 1 mai 2015
Livre très intéressant même si vous ne partagez pas les convictions de l’auteur sur la faisabilité de quitter la sécu. Le livre est très bien documenté et montre comment les lois, décrets, jurisprudences, ordonnances, traités européens, etc. du fait de leurs nombres et complexités rentrent en contradiction les uns avec les autres. De plus, les incohérences du système de sécurité sociale français entre le discours et la réalité sont bien illustrées.
Même si ce n’est pas pour sortir de la sécu, ce livre se révèle intéressant pour comprendre la machine à broyer qu’elle est devenu.
Par Syl le 15 avril 2015
Merci à l’auteur de ce journal intime de sa libération et du véritable guide pour quitter la sécu et pouvoir s’assurer auprès de compagnies privées. Je trouve ceci encore plus intéressant pour la retraite car il ne faut pas se leurrer, les personnes de ma génération n’en toucheront pas.
Faisons comme nos chers élus, gérons la par capitalisation.
Nous en avons le droit – dicté par l’Europe – prenons le !
Par Di Mercurio le 25 avril 2015
Vous ne pourrez rester indifférent. Incroyable, fascinant et effrayant……………..une bombe atomique !
Mais comment est-t-il possible de rester passifs face à de telles révélations ???
Salariés, indépendants, avocats, médecins etc….TOUT LE MONDE DOIT LIRE CE LIVRE……ET AGIR.
  
Par Rapetti le 16 mai 2015
Un livre qui nous ouvre les yeux sur un mensonge d’état. Nos droit européens sont bafoués depuis trop longtemps, brisons nos chaînes !
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Hier pour Demain: Le Puy du Fou

 
http://la-nouvelle-gazette.fr/le-puy-du-fou-une-nouvelle-fois-recompense/11238
 
« Le Puy du Fou une nouvelle fois récompensé ! »
 
19 novembre 2014 par Marie-Madeleine Courtial
 
 
 » Hier le Puy du Fou a décroché « l’Applause Award » en Floride, parmi 700 concurrents, devant les 5000 invités de la cérémonie d’ouverture de l’IAAPA Attractions Expo, le grand salon mondial des parcs qui réunit 4.500 parcs dans le monde.
 
Ce prix est décerné tous les deux ans par l’IAAPA. C’est la première fois depuis 22 ans que cette distinction va à un acteur européen. Seuls le parc allemand Europa Park et le néerlandais Efteling avait auparavant remporté ce prix, respectivement en 1990 et 1992.
 
L’Applause Award est censé récompenser les parcs selon des critères qui mettent en avant leur capacité à faire preuve d’originalité et d’avant-gardisme. Le jury s’appuie aussi également sur la faculté du parc à générer de la croissance et de la fréquentation.
 
En 2012, le Puy du Fou avait reçu le Thea Classic Award du meilleur parc à Los Angeles.
 
Ce nouveau prix conforte son dynamisme. En 2014, le Parc a accueilli 1 912 000 visiteurs, soit près de 10% de visiteurs supplémentaires par rapport à la saison 2013. Il est le 2ème parc en France. »
 
Ah, ah ! Amusant ! Les racines de notre Histoire deviennent d’avant-garde 😉
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Patriotes et Musulmans ?

 

Camel Bechikh, fondateur de l’association  » Fils de France » (www.filsdefrance.fr) sort du discours victimaire de sos-racisme et consorts,  pour proposer une autre vision des choses, plus honnête, respectueuse et positive. 

Reconnaissant que  » la France est ontologiquement Catholique et Européenne », il ouvre la voie à un avenir possible où une immigration musulmanne très fortement jugulée sera avant tout respectueuse de l’âme immémoriale et de l’identité de son pays d’accueil.

Il nous donne sa position ici au micro de  TV-Libertés :

 

                   

 

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Le Roi ! … Et le plus tôt sera le mieux !!

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Les Royalistes sur France Culture
 
Le Vendredi 17 avril dernier, les Royalistes sur France Culture
 
Présentation de l’émission :
 
Ils sont Orléanistes ou Légitimistes, soutiennent Jean de France ou de Louis-Alphonse de Bourbon, pro ou anti Maurras, de droite ou – plus rarement – de gauche… Si les royalistes de France sont encore divisés par d’historiques querelles …
 
…ils s’entendent par contre sur un diagnostic (la République ne peut marcher telle qu’elle a été conçue) et sur une prescription (c’est une monarchie qu’il nous faut !)
 
Rencontre avec des fidèles au Roy, dans la cité des sacres et ailleurs…
 
En plateau :
 
Yoann Cardot, jeune recrue d’Action française.
 
Pascal Beaucher, secrétaire général de la Nouvelle Action Royaliste (mouvement attaché à la monarchie constitutionnelle et marqué à gauche) .
 
Jean-Paul Gautier, professeur d’histoire, auteur de La Restauration nationale, un mouvement royaliste sous la Ve République (ed. Syllepse)

 

 

 

(http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Royalistes-sur-France-Culture)

 

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TV Libertés : Promotion de la Culture et de l’Esprit Français: Un bol dair frais !

tv libertés
TV Libertés, première télévision libre de France !
 
TV Libertés commencera à émettre début 2014 depuis nos studios du Val-de-Marne. Notre chaîne est une télévision connectée : elle émettra donc sur Internet et vous pourrez la recevoir aussi bien sur votre ordinateur, tablette ou smartphone.
 
TV Libertés se distingue de la concurrence en étant ouvertement pour la défense et la promotion de la culture et de l’esprit français au cœur des nations européennes.
 
Il n’est pas excessif de dire qu’il s’agit d’une véritable révolution dans le paysage médiatique français, jusqu’à présent dominé par des chaînes de télévision interchangeables, se faisant les relais de l’idéologie dominante.
 
Au cours de la phase de lancement, TV Libertés assurera en soirée deux programmes quotidiens sur Internet. Chaque jour, notre chaîne vous donnera rendez-vous à 19 heures pour un journal d’une heure, qui comportera la présentation des nouvelles de l’actualité, des reportages de terrain et des interviews de personnalités. Ce sera l’occasion d’évoquer la situation politique nationale, avec les grand rendez-vous des élections municipales et européennes.
 
Au journal succèdera à 20 heures une émission thématique, consacrée selon le jour à l’histoire, à la culture, à l’économie, à la vie des médias, à la vie religieuse ou aux faits de société.
 
TV Libertés comptera également dans son équipe Robert Ménard, fondateur et ancien président de Reporters sans frontières, qui animera l’émission « Ménard sans Interdit », où il recevra des personnalités des mondes politique, médiatique et culturel dans des entretiens sans concession.
 
 Pourquoi une nouvelle chaîne de télévision ?
 
Lors des manifestations contre l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe, nous avons constaté un décalage grandissant entre les attentes des Français et le traitement de l’information par les médias classiques, particulièrement pour le premier d’entre eux : la télévision.
 
En dépit du succès historique de ces manifestations, qui ont rassemblé par trois fois plus d’un million de Français de toutes conditions dans les rues de Paris, toutes les grandes chaînes de télévision se sont obstinées à dépeindre cet authentique mouvement populaire comme une réaction marginale, sous-évaluant systématiquement le nombre des manifestants et caricaturant leurs revendications.
 
Après un mouvement d’une telle ampleur, nous ne pouvions pas ne pas redonner la parole à ces Français jusqu’alors silencieux, majoritaires dans le pays et qui n’étaient montrés à la télévision que pour les ridiculiser.
 
C’est aussi pour pallier ce manque que nous créons TV Libertés, qui montera progressivement en puissance à partir du début de l’année prochaine, avec une augmentation progressive des temps de diffusion et du nombre de téléspectateurs.
 
Pour produire nos émissions, nous avons réuni une équipe de journalistes et de professionnels experts des médias, ainsi que plusieurs personnalités reconnues du grand public pour leur qualité.
 
Cette nécessité d’être en phase avec les attentes des Français nous oblige à répondre à leur demande d’une meilleure information et d’un média qui leur parle et les représente. Cette contrainte apparente est en réalité la force de TV Libertés.
 
C’est elle qui assurera que nous produirons une chaîne de qualité, tant sur le plan de la rigueur de l’information que de la richesse des émissions.
 
 

 

Première émission du 31 Janvier 2014

 

 

 

 

Des Racines et des Elfes

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Voici la présentation de cette association dynamique qui donne un espoir aux jeunes générations qui redécouvrent de façon croissante toute la richesse de leur Civilisation que la mondialisation financière et apatride voudrait bien éradiquer ! N’hésitez pas à participer : Le chantier est colossal !
 
PRÉSERVER LES FONDATIONS DE NOTRE CIVILISATION
 
Aujourd’hui, les fondements même de notre civilisation sont attaqués de toutes parts. Les effets mortifères d’une mondialisation mal maîtrisée, le matérialisme débridé de nos compatriotes, l’individualisme poussé à son paroxysme sapent peu à peu les fondations d’un édifice que nos ancêtres ont mis des millénaires à bâtir. Nous ne pouvons pas demeurer sans réaction face à un phénomène de cette ampleur et de cette gravité. Certains s’en accommodent tant bien que mal, d’autres l’encouragent, c’est leur choix. Nous avons choisi d’y faire face par respect pour nos aînés et pour l’avenir de nos enfants.
 
RENDRE LEUR FIERTÉ ET LEUR DYNAMISME AUX EUROPÉENS
 
 
Pour sauvegarder notre passé commun, transmettre nos valeurs et préparer notre avenir, encore faut-il que nous ayons conscience de former un peuple. Il nous semble aujourd’hui nécessaire d’effectuer un travail de réveil et de réenracinement de nos compatriotes qui, pour beaucoup, ne savent plus qui ils sont, d’où ils viennent et comment retrouver l’élan vital qui leur fait défaut pour envisager à nouveau un futur prospère et serein.
 
BÂTIR UN AVENIR SOLIDAIRE ET PRÉSERVER LE BIEN COMMUN
 
 
Pour reprendre en main notre destin il nous semble préférable d’agir au bas de l’échelle plutôt que de tabler sur l’illusoire espoir d’un changement au sommet. Mettre en oeuvre une véritable fraternité européenne et protéger le bien commun des Européens sont les meilleurs moyens de tisser à nouveau des liens sociaux distendus par le triomphe de la société de consommation, de compétition généralisée et d’assistanat dans laquelle nous sommes plongés. C’est la voie que nous avons choisie pour  reconstruire une communauté plus volontaire, plus responsable et, in fine, redevenue maîtresse de sa destinée.
 
COMMENT TRAVAILLONS-NOUS ?
NOUS SOMMES INDÉPENDANTS ET ACCUEILLANTS
Notre action est associative. Nous ne dépendons d’aucune organisation politique, philosophique ou religieuse. Nous agissons de façon autonome et nous acceptons bien volontiers le soutien de quiconque partage nos préoccupations. C’est au prix de cette indépendance totale que nous pouvons rassembler autour de nos projets des personnes aux profils variés mais qu’unissent le souci du bien commun et la volonté d’offrir à leurs enfants un avenir apaisé dans une Europe dynamique et fière de ses racines.
 
NOUS MENONS DES PROJETS CONSTRUCTIFS
Dans de nombreux domaines, il nous paraît souhaitable de mener des actions alternatives à celles qui sont conduites habituellement. L’environnement, l’éducation, la culture par exemple méritent d’être abordés avec une vision éthiquement responsable qui privilégie le respect et la transmission de notre identité de Français et d’Européens.
 
Au-delà de la simple réflexion, nous mettons en oeuvre concrètement des solutions qui vont dans le sens de nos objectifs. Les théoriciens ne manquent pas qui nous livrent les éléments conceptuels sur lesquels nous appuyer mais nous sommes aujourd’hui arrivés à un moment de notre histoire où il est nécessaire d’agir si l’on ne veut plus subir.
 
Pour toutes ces raisons, nous refusons de manier la polémique ou l’invective. Plutôt que d’attaquer frontalement ceux qui se satisfont de la marche du monde, nous préférons démontrer par l’exemple qu’une autre voie est possible et construisons progressivement le modèle alternatif qui doit s’imposer si nous voulons assurer la pérennité de notre civilisation.
 
NOS OBJECTIFS REPONDENT AUX PRÉOCCUPATIONS DE MILLIONS D’EUROPÉENS.
VOUS EN FAITES PARTIE ? SOUTENEZ NOS ACTIONS !
 
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