Il n’y a pas qu’en Histoire que le « révisionisme » sévit !
Le docteur Alain Scohy, récapitule dans cette vidéo passionnante sa prise de conscience par rapport au dogme vaccinaliste obligatoire, imposé à tous dans notre belle république maçonique !
En 1996, il est radié à vie de l’Ordre des Médecins pour délit d’opinion : il a osé demander à ses « pairs » l’application du principe de précaution et du Code de Déontologie Médicale (qui interdit l’utilisation de produits ou procédés dont l’intérêt et l’efficacité ne sont pas certains ou qui ne sont pas suffisamment éprouvés) lors de la campagne de vaccination contre l’hépatite B de 1994 dans les collèges et lycées : un vaccin nouveau, révolutionnaire, préparé sur des cellules OGM et testé à grands frais sur nos enfants.
Dans cette affaire, le Conseil de l’Ordre des médecins était à la fois le plaignant et le juge !
Il édite depuis 1994 une revue pour diffuser ses découvertes en matière de santé :
* sur le plan pharmaceutique ou vaccinal,
* sur le plan de la Biologie avec en particulier les découvertes fondamentales – beaucoup trop méconnues – du Pr. Antoine Béchamp,
* sur la Médecine Psychosomatique (Médecine Nouvelle du Dr Ryke Geerd Hamer),
* sur les problèmes de terrain avec la Bioélectronique de Louis Claude Vincent,
* sur l’hygiène de vie et en particulier le problème du scorbut,
* sur la dimension spirituelle incontournable propre à l’être humain.
Là, comme ailleurs, lisez les ouvrages du Docteur Scohy et faites-vous votre propre ideé !
Qui a eu l'occasion de lire quelques passages de Robert Faurisson ?
(désigné par les bien-pensants auto-proclamés à la vindicte publique comme méchant révisionniste)
" Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie. Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affirmer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes»; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
Le révisionnisme peut s’exercer en cent activités de la vie courante et en cent domaines de la recherche historique, scientifique ou littéraire. Il ne remet pas forcément en cause des idées acquises mais souvent amène à les nuancer. Il cherche à démêler le vrai d’avec le faux. L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie. Comme l’idéologie n’est jamais aussi forte qu’en temps de guerre ou de conflit, et comme elle fabrique alors du faux à profusion pour les nécessités de sa propagande, l’historien sera, en la circonstance, conduit à redoubler de vigilance: passant au crible de l’examen ce qu’on a pu lui assener de «vérités», il s’apercevra sans doute que, là où une guerre a provoqué des dizaines de millions de victimes, la première des victimes aura été la vérité vérifiable : une vérité qu’il s’agira de rechercher et de rétablir.
L’histoire officielle de la seconde guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Il est exact que l’Allemagne nationale-socialiste a créé des camps de concentration; elle l’a fait après – et avec – bien d’autres pays, tous convaincus que ces camps seraient plus humains que la prison mais n'a jamais créé des «camps d’extermination» (expression forgée par les Alliés).
Il est exact que les Allemands ont fabriqué des camions fonctionnant au gaz (Gaswagen). Mais il est faux qu’ils aient jamais fabriqué des camions à gaz homicides (si un seul de ces camions avait existé, il figurerait au Musée de l’automobile ou dans les musées de l’«Holocauste», ne fût-ce que sous la forme d’un croquis de valeur scientifique).
Il est exact que les Allemands employaient le Zyklon (produit à base d’acide cyanhydrique utilisé dès 1922) pour protéger par la désinsectisation la santé des civils, des troupes, des prisonniers ou des internés. Mais ils n’ont jamais employé le Zyklon pour tuer qui que ce fût et surtout pas des foules d’êtres humains; en raison des précautions draconiennes d’emploi du gaz cyanhydrique, les prétendus gazages homicides d’Auschwitz ou d’autres camps auraient été, d’ailleurs, radicalement impossibles ; je m’étends longuement sur ce point dans le corps du présent ouvrage.
Il est exact que les Allemands envisageaient une «solution finale de la question juive» (Endlösung der Judenfrage). Mais cette solution était territoriale (territoriale Endlösung der Judenfrage) et non pas homicide; il s’agissait de pousser ou, si nécessaire, de forcer les juifs à quitter l’Allemagne et sa sphère d’influence en Europe pour établir, en accord avec les sionistes, un foyer national juif, à Madagascar ou ailleurs. Beaucoup de sionistes ont collaboré avec l’Allemagne nationale-socialiste en vue de cette solution.
Il est exact que des Allemands se sont réunis, le 20 janvier 1942, dans une villa d’une banlieue de Berlin (Berlin-Wannsee) pour traiter de la question juive. Mais ils y ont envisagé l’émigration forcée ou la déportation des juifs ainsi que la création future d’une entité juive spécifique et non pas un programme d’extermination physique.
Il est exact que des camps de concentration possédaient des fours crématoires pour l’incinération des cadavres. Mais c’était pour mieux combattre les épidémies et non pour y incinérer, comme on a parfois osé le dire, des êtres vivants en plus des cadavres.
Il est exact que les juifs ont connu les souffrances de la guerre, de l’internement, de la déportation, des camps de rétention, des camps de concentration, des camps de travail forcé, des ghettos, des épidémies, des exécutions sommaires pour toutes sortes de raisons; ils ont aussi souffert de représailles ou même de massacres car il n’est pas de guerre sans massacres.
Mais il est également vrai que toutes ces souffrances ont été aussi le lot de bien d’autres nations ou communautés pendant la guerre et, en particulier, des Allemands et de leurs alliés (les souffrances des ghettos mises à part, car le ghetto est d’abord et avant tout une création spécifique des juifs eux-mêmes ; il est surtout vraisemblable, pour qui n’est pas affligé d’une mémoire hémiplégique et pour qui s’efforce de connaître les deux faces de l’histoire de la seconde guerre mondiale (la face toujours montrée et la face presque toujours cachée), que les souffrances des vaincus pendant la guerre et après la guerre ont été, en nombre et en qualité, pires que celles des juifs et des vainqueurs, surtout pour ce qui est des déportations.
Il est faux que, comme on a longtemps osé le prétendre, il ait existé un ordre quelconque de Hitler ou de l’un de ses proches d’exterminer les juifs. Pendant la guerre, des soldats et des officiers allemands ont été condamnés par leurs propres cours martiales, et parfois fusillés, pour avoir tué des juifs.
Il est bon que les exterminationnistes (c’est-à-dire ceux qui croient à l’extermination des juifs) aient fini, de guerre lasse, par reconnaître qu’on ne trouve trace d’aucun plan, d’aucune instruction, d’aucun document relatif à une politique d’extermination physique des juifs et que, de la même façon, ils aient enfin admis qu’on ne trouve trace d’aucun budget pour une pareille entreprise ni d’aucun organisme chargé de mener à bien une telle politique.
Il est bon que les exterminationnistes aient enfin concédé aux révisionnistes que les juges du procès de Nuremberg (1945-1946) ont accepté pour vrais des faits de pure invention comme l’histoire du savon fabriqué à partir de la graisse des juifs, l’histoire des abat-jour faits de peau humaine, celle des «têtes réduites», l’histoire des gazages homicides de Dachau; et surtout il est bon que les exterminationnistes aient enfin reconnu que l’élément le plus spectaculaire, le plus terrifiant, le plus significatif de ce procès, c’est-à-dire l’audience du 15 avril 1946 au cours de laquelle on a vu et entendu un ex-commandant du camp d’Auschwitz (Rudolf Höss) confesser publiquement que, dans son camp, on avait gazé des millions de juifs, n’était que le résultat de tortures infligées à ce dernier. Cette confession, présentée durant tant d’années et en tant d’ouvrages historiques comme la «preuve» n° 1 du génocide des juifs, est maintenant reléguée aux oubliettes, du moins par les historiens.
Il est heureux que des historiens exterminationnistes aient enfin reconnu que le fameux témoignage du SS Kurt Gerstein, élément essentiel de leur thèse, est dénué de valeur; il est détestable que l’Université française ait retiré au révisionniste Henri Roques son titre de docteur pour l’avoir démontré en 1985.
Il est pitoyable que Raul Hilberg, le pape de l’exterminationnisme, ait osé écrire, en 1961, dans la première édition de The Destruction of the EuropeanJews, qu’il avait existé deux ordres de Hitler d’exterminer les juifs, pour ensuite déclarer, à partir de 1983, que cette extermination s’était faite d’elle-même, sans aucun ordre ni plan mais par «une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle» au sein de la vaste bureaucratie allemande. R. Hilberg a ainsi remplacé l’assertion gratuite par l’explication magique (la télépathie).
Il est bon que les exterminationnistes aient enfin, dans la pratique, à peu près abandonné l’accusation, appuyée de «témoignages», selon laquelle il existait des chambres à gaz homicides à Ravensbrück, à Oranienburg-Sachsenhausen, à Mauthausen, à Hartheim, au Struthof-Natzweiler, au Stutthof-Danzig, à Bergen-Belsen…
Il est bon que la chambre à gaz nazie la plus visitée du monde – celle d’Auschwitz-I –ait été enfin reconnue, en 1995, pour ce qu’elle était, c’est-à-dire une fabrication.
Il est heureux qu’on ait enfin admis que «TOUT Y EST FAUX» et, personnellement, je me réjouis de ce qu’un historien appartenant à l’Établissement officiel ait pu écrire: «A la fin des années 70, Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée rechignaient alors à les reconnaître. » Je m’en réjouis d’autant plus qu’au fond la justice française m’avait, de façon inique, condamné pour l’avoir dit.
Il est bon que, dans le même article, le même historien ait révélé qu’une sommité du monde juif comme Théo Klein ne voit dans cette «chambre à gaz» qu’un «artifice».
Il est également bon que, dans le même article, le même historien ait révélé d’abord que les autorités du musée d’Auschwitz ont conscience d’avoir trompé des millions de visiteurs (cinq cent mille par an au début des années quatre vingt-dix), puis qu’elles continueront néanmoins à l’avenir de tromper les visiteurs car, selon la sous-directrice du musée: «Dire la vérité sur cette «chambre à gaz», c’est trop compliqué. On verra plus tard !»
Il est heureux qu’en 1996 deux historiens d’origine juive, le Canadien Robert Jan van Pelt et l’Américaine Debórah Dwork, aient, enfin, dénoncé quelques-unes des énormes supercheries du camp-musée d’Auschwitz et le cynisme avec lequel on y trompe les visiteurs.
Il est, en revanche, inadmissible que l’UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation) maintienne depuis 1979 son patronage à un site comme celui d’Auschwitz dont le centre recèle, avec cette fausse « chambre à gaz » (sans compter d’autres énormes falsifications), une imposture maintenant avérée. l’UNESCO (dont le siège est à Paris et qui est dirigée par Federico Mayor) n’a pas le droit d’utiliser les cotisations des pays adhérents pour cautionner une vaste escroquerie aussi contraire à «l’éducation», à « la science» et à « la culture».
Il est heureux que Jean-Claude Pressac, après avoir été porté aux nues, soit tombé dans le discrédit. Lancé par le couple Klarsfeld, ce pharmacien a cru intelligent de rechercher une position médiane entre ceux qui croient aux chambres à gaz et ceux qui n’y croient pas. Pour lui, en quelque sorte, la femme à examiner n’était ni enceinte ni non enceinte mais à demi-enceinte et même, le temps passant, de moins en moins enceinte. Auteur d’écrits censés porter sur les chambres à gaz nazies mais où l’on ne pouvait trouver ni une photographie d’ensemble, ni un dessin d’ensemble d’un seul de ces abattoirs chimiques, le pitoyable gribouille devait faire la démonstration, le 9 mai 1995, à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, de sa totale impuissance à répondre aux questions de la présidente du tribunal sur ce qu’aurait bien pu être l’un de ces abattoirs. Trois ans plus tard, il en est réduit à écrire: « Ainsi, d’après les dires d’anciens membres du Sonderkommando, on estime avec une forte certitude qu’un film sur les gazages homicides fut tourné par les SS à Birkenau. Pourquoi ne serait-il pas retrouvé par hasard dans le grenier ou la cave d’un ancien SS ? »
Il est heureux que «la chambre à gaz» à l’état de ruines, appartenant au Krematorium-II de Birkenau (Auschwitz-II), puisse surtout servir à démontrer «in vivo» et «de visu » qu’il n’y a jamais eu d’«Holocauste», ni dans ce camp ni ailleurs. En effet, d’après les interrogatoires d’un accusé allemand et d’après des photographies aériennes «retouchées» par les Alliés, le toit de cette chambre à gaz aurait possédé quatre ouvertures spéciales (de 25 cm x 25 cm, précisait-on) pour le déversement du Zyklon. Or, tout le monde peut constater sur place qu’aucune de ces ouvertures n’existe ni n’a jamais existé. Auschwitz étant la capitale de l’«Holocauste» et ce crématoire en ruines étant au cœur de l’extermination des juifs à Auschwitz, j’ai pu dire en 1994 – et la formule semble avoir fait son chemin dans les esprits: «No holes, no “Holocaust”» (Pas d’orifices, pas d’«Holocauste»).
Il est également heureux qu’on ait ainsi finalement invalidé une pléthore de «témoignages» selon lesquels ces gazages-là avaient existé et il est, du même coup, extrêmement déplorable que tant d’Allemands, jugés par leurs vainqueurs, aient été condamnés et parfois même exécutés pour des crimes qu’ils n’avaient pas pu commettre.
Il est bon qu’à la lumière de procès qui ressemblent à des mascarades judiciaires les exterminationnistes eux-mêmes émettent des doutes sur la validité de maints témoignages; ces témoignages apparaîtraient encore plus clairement erronés si l’on se donnait enfin la peine d’ordonner des expertises judiciaires de l’arme supposée du crime supposé puisque, à l’occasion de mille procès concernant Auschwitz ou d’autres camps, aucun tribunal n’a ordonné une telle expertise (la seule exception, très peu connue, étant celle du Struthof-Natzweiler, dont les résultats ont été tenus cachés jusqu’à ce que je les révèle). On savait pourtant bien que des témoignages ou des aveux doivent être circonstanciés et vérifiés et que, faute de ces deux conditions, ils sont dépourvus de valeur probatoire.
Il est heureux que l’histoire officielle ait révisé à la baisse – souvent dans de considérables proportions – le nombre supposé des victimes. Il a fallu plus de quarante années de pressions révisionnistes pour que les autorités juives et celles du musée d’Auschwitz retirent les dix-neuf plaques qui, en dix-neuf langues différentes, annonçaient que le nombre des victimes du camp s’élevait à quatre millions. Il a ensuite fallu cinq années de disputes internes pour qu’on s’accorde sur le nouveau chiffre d’un million et demi, chiffre qui, ensuite, à son tour, a été très vite contesté par des auteurs exterminationnistes; J.-C. Pressac, le protégé de S. Klarsfeld, ne propose plus, pour sa part, que le chiffre de 600.000 à 800.000 victimes juives et non juives pour toute la durée de l’existence du complexe d’Auschwitz. Il est dommage que cette quête du vrai chiffre ne se poursuive pas pour atteindre le chiffre probable de 150.000 personnes, victimes, principalement, d’épidémies en près de quarante camps du complexe d’Auschwitz.
Il est déplorable que, dans les écoles de France, on continue de projeter "Nuit et Brouillard" où le chiffre des morts d’Auschwitz est fixé à neuf millions; en outre, dans ce film on perpétue le mythe du «savon fabriqué avec les corps », celui des abat-jour en peau humaine et celui des traces d’ongles des victimes dans le béton des chambres à gaz ; on y entend dire que «rien ne distinguait la chambre à gaz d’un block ordinaire» !
Il est bon qu’en 1988 Arno Mayer, professeur d’origine juive, enseignant à l’université de Princeton, ait soudainement écrit: «Les sources pour l’étude des chambres à gaz sont à la fois rares et douteuses»; mais pourquoi avoir si longtemps affirmé que les sources étaient innombrables et dignes de confiance, et pourquoi avoir vilipendé les révisionnistes qui écrivaient dès 1950 ce qu’Arno Mayer découvrait en 1988 ?
Il est surtout bon qu’en 1996 un historien, Jacques Baynac, qui s’était fait une spécialité, y compris dans le journal Le Monde, de traiter les révisionnistes de faussaires, ait enfin reconnu qu’il n’y a, en définitive, aucune preuve de l’existence des chambres à gaz. C’est, précise-t-il, «pénible à dire comme à entendre ». Peut-être, dans certaines circonstances, la vérité est-elle, pour certains, «pénible à dire comme à entendre» mais, pour les révisionnistes, la vérité est agréable à dire comme à entendre.
Il est enfin heureux que les exterminationnistes se soient permis de porter atteinte au troisième et dernier élément de la trinité de la Shoah: le chiffre de six millions de morts juives. Il semble que ce chiffre ait été lancé pour la première fois (un an avant la fin de la guerre en Europe !) par le rabbin Michael Dov Weissmandel (1903-1956); établi en Slovaquie, ce rabbin a été l’artisan principal du mensonge d’Auschwitz à partir des prétendus témoignages de Slovaques comme Rudolf Vrba et Alfred Wetzler; il organisait d’intenses «campagnes d’information» en direction des Alliés, de la Suisse et du Vatican. Dans une lettre du 31 mai 1944, il n’hésitait pas à écrire: «Jusqu’à ce jour, six fois un million de juifs d’Europe et de Russie ont été détruits. »
Robert Faurisson – "Ecrits révisionnistes"
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Videos :
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A noter : Davis COLE, l'auteur de cette video est juif ET révisioniste.
Il publiera une répudiation forcée de son travail à la suite d'une agression physique de la LDJ et de menaces de mort a l'encontre de lui-meme et de sa famille.
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Quand Robert Badinter et Vincent Reynouard explose la loi Gayssot :
Un des meilleurs argumentaires d'un homme debout !
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Juin 2015 :
Une historienne allemande de 86 ans Ursula Haverbeck dénonce à la télévision allemande ARD ( budget 6.2 milliards d'euro et 23.000 employés), la seconde en impotance dans le monde après la BBC, le mensonge de la "Shoah"devant des millions de téléspectateurs allemands médusés !!
La nuit suivante une équipe de choc de la police antiterroriste allemande défonce sa porte et prends d'assaut sa maison !!
Tout fut saccagé dans leur recherche de documents supposés pouvoir mettre en doute la version officielle de l'Holocauste.
Trois autres de ses collègues historiens ont aussi vu leurs maisons investies par la police et leurs livres et documents divers saisis.
Ursula Haverbeck tombe donc sous le coup des lois anti-négationnistes et anti-discours de haine antisémite.
Approcherions-nous de la chute du mur de mensonges des mythes fondateurs de "l'Europe moderne" depuis 1945 ?
Les fissures seraient-elles en train de s'élargir ??
La video qui suit est sous-titrée en anglais (penser à faire le réglage dans la partie paramètres).
Ce qu'est réellement devenue l'école de la République :
Il est temps de se réveiller et de virer cette "élite" en putréfaction et devenue ouvertement nuisible et perverse, pour nos enfants, notre pays, notre humanité si celà doit encore avoir un sens …
Ecole du vice, de l'ignorance et de la violence : les "valeurs de la république" sans doute.
Le message implicite contenu dans la plupart des productions (« musique », cinema, BD, media, etc …) destinées à la jeunesse, déjà déculturée par les programmes scolaires directement issus des loges, est :
» Sois cool ! «
En décodé : » C’est bien ! Tu es, à peu chose près inculte, bête et vulgaire ! Reste dans cette médiocrité, rejoins la grande fraternité de la « cool attitude » !
Et ça tombe bien, comme par hasard, puisque « le marché » a justement besoin d’un flot de consommateurs « cools », sans aucune facultés de discernement, sans aucune substance spirituelle ou même seulement culturelle qui pourrait élever leur esprit …
Voila le produit parfaitement abouti de la « pensée de gauche », autrement dit des loges et de la finance apatride réunies !
Merci aux soixante-huitards, à « Libé », aux « inrocks », et autres instruments Jeunistes et stipendiés des Maîtres du monde.
Héé les jeunes ! Réveillez-vous !
Cultivez-vous !
Démasquez ceux qui ont délibérément planifié l’abêtissement de générations entières
avec leur tragique « rebellitude cool » à 1€50
Renvoyez les donc au diable ! … D’où ils viennent d’ailleurs.
Tournez vos esprits vers ce qui BEAU, ce qui est LUMINEUX, ce qui est VRAI !!!
De plus en plus fort , les "stars" et autres faux rebelles DEMASQUES par leur propre public ! ! !
Le texte et les illustrations ci-dessous sont issus d'un blog pour jeunes dont j'ai omis de conserver les références et je m'en excuse ….
(les fautes d'orthographe sont d'origine…) :
"Illunimati" mais savez c'est quoi leurs symbole ?
C'est un triangle avec un œil dedans .
Comme on peut voir sur la Robe de Katy .
Oui , Katy est comme une "marionette" pour le "groupe des illuminés" . Comme a peu près toute les stars : Selena gomez , Taylor Swift , 1D , Justin Bieber , Béyoncé et bien sûr Lady Gaga . (Il y a aussi des présidant.)
Marquez sur Google : *Nom du stars cité* illuminati .
On peut voir ainsi que beaucoup de petite chose , font référence au symbole .
Comme ce qu'ont fait souvent avec une main , qui symbolise pour nous "Le Rock" , c'est aussi un geste "Illuminés" .
Pour en revenir à Katy Perry .
Le triangle pour "Prism" , ce n'est pas confirmée mais sa ferait aussi partie "du groupe" .
Comme dans certain de c'est clip , des petit geste , des bijoux ( apparemment c'est boucle d'oreilles rose et jaune dans Last Friday Night qui sont en forme de triangle .) …
Voici une réponse à :
Katy Perry serait vraiment une illuminati ?
S'il ya bien quelque chose de vrai à la conspiration des Illuminati , les Illuminati ne sont que des pions dans les mains de Satan, des outils pour être manipulées dans son conflit avec Dieu.
Et comme elle a dit elle même dans une de c'est interview :
"J'ai vendue mon âme au diable."
On pense alors qu'elle fait référence au groupe des "Iluminati" .
Brève description :
Les théories du complot Illuminati sont des théories conspirationnistes qui prétendent que la « société de pensée » allemande des Illuminati de Bavière, historiquement dissoute en 1785, aurait perduré dans la clandestinité et poursuivrait un plan secret de domination du monde. Ces théories, dont la première mention remonte à l'ouvrage de John Robison, Proof of a conspiracy, publié en 1797, se confondent avec les théories du complot maçonnique en avançant que les Illuminati réalisent leur plan en infiltrant les différents gouvernements, en particulier ceux issus de révolutions, et les autres sociétés initiatiques dont la franc-maçonnerie.
La "Domination" .
Des Iluminati ( Les président , reine , rois … ) imposent au stars de faire des choses pour du coup les recopier et ainsi de suite . Les stars sont donc des "marionettes" .
J'espère que vous avez un peu compris , que tout cela va nous menez a ( certainement ) une guerre mondiale .
Vous pouvez aussi aller visionnez les vidéos des "Anonymous"
Qui expliquent eux aussi que nous sommes manipulés .
Mais on ne va pas arrêter d'être Katycat , ce n'est pas sa faute .
FIN DE L'ARTICLE
***
En fait l'auteur de ces lignes a presque tout compris …
« Régime Social des Indépendants » : qui sont les « libérés » de la Sécu ?
(Lu sur le site : www.pourquoidocteur.com)
par
Audrey Vaugrente
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Publié le 26 Octobre 2014
Twitter, blogosphère, sites Internet. Il souffle sur le web un vent de rébellion. Sa cible : l’affiliation obligatoire à la Sécurité sociale française, et le renforcement des sanctions pour les contrevenants.
« Déserter la Sécu pourrait conduire en prison »
(normal au pays de la « Liberté » ! note perso …)
Quitter la Sécurité sociale. Une telle action ou incitation sera plus durement punie par la loi. Ce 23 octobre, l’Assemblée nationale a voté, dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS 2015), un amendement qui durcit les sanctions à l’encontre des personnes qui se désaffilient d’un régime de sécurité sociale.
L’amendement voté par les députés français prévoit deux types de sanctions.
D’un côté, 6 mois d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende à l’encontre de ceux qui se désaffilient d’un régime de sécurité sociale. De l’autre, 2 ans de prison assortis 30 000 euros d’amende contre ceux qui incitent à quitter ce régime.
En effet, le Code de la Sécurité sociale est clair : il est obligatoire de s’affilier à un organisme de sécurité sociale. En France, il existe trois régimes légaux, selon le statut : la Mutuelle Sociale Agricole (MSA), le régime général de la Sécurité sociale (la CNAMTS), et le Régime Social des Indépendants (RSI). Le durcissement des sanctions à l’encontre des contrevenants se veut avant tout « dissuasive » selon les députés signataires de l’amendement, qui actent le nombre croissant des « Libérés de la sécu »
Les travailleurs indépendants sont les plus nombreux à quitter la Sécurité sociale. Et pour cause : ils doivent intégrer le Régime social des indépendants (RSI), et n’ont pas les mêmes droits. Le délai de carence pour maladie est par exemple plus long. Nombreux sont ceux qui protestent contre ce « régime autoritaire », évoquent un « trop-plein fiscal » et critiquent les nombreux dysfonctionnements. Ce dernier argument est d’ailleurs soutenu par la Cour des Comptes qui a conclu que « le RSI est aujourd’hui moins efficace et plus coûteux que les anciens régimes qu’il a remplacés. »
Fin du monopole de la SS: Une blogosphère active :
Sur Internet, les voix se libèrent contre l’affiliation obligatoire et particulièrement contre le RSI. Le mouvement « Liberté sociale » dénonce une charge fiscale trop lourde qui étouffe l’investissement, le développement et la relance économique… et ne permet pas de garantir de bonnes prestations en santé, puisqu’une assurance complémentaire est nécessaire.
Le Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale (MLPS) , lui, milite pour la « libre concurrence » dans ce domaine. « Toutes les caisses de sécurité sociale sont des mutuelles », peut-on lire sur ce site. Une affirmation confirmée par la Cour d’appel de Limoges, mais que conteste le RSI.
Les « libérés de la sécu » ont aussi pris d’assaut la blogosphère. L’un d’entre eux, qui se décrit comme un libéral, chronique sa lutte pour « sortir du monopole de la sécurité sociale », relatant ses échanges de courrier avec le RSI, les visites d’huissiers…
Un autre libéré, Jacques Clouteau se décrit même comme « un futur condamné » dans une lettre ouverte à sa députée, Dominique Orliac (Lot).
Fin du monopole de la SS :
Hashtag Twitter :
#JeQuitteLaSécuParceQue
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Le Docteur Claude Reichman fondateur du MLPS vient de faire condamner le RSI
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Depuis 2013 les organismes de Sécurité sociale (RSI, URSSAF, CIPAV, MSA, CARMF, CARPIMKO, etc.) font face à une vague massive de désaffiliations au profit d’autres assureurs maladie et retraite européens.
Peut-on légalement quitter la Sécu ou non pour s’assurer librement auprès de l’assureur de son choix ?
Est-ce une révolte fiscale ou une rupture du pacte de la solidarité nationale ?
Les réponses varient et, à la lecture de ce livre, chacun se forgera son intime conviction.
En tout cas c’est le choix de Laurent C., qui, dans ce livre choc et rythmé, raconte son parcours de « libéré de la Sécu » sans en masquer la difficulté et explique pourquoi c est possible.
Commentaires des lecteurs :
Par Carole le 9 avril 2015
Partie 1: le journal de bord du libéré de la sécu où l’auteur décrit, non sans ironie, son quotidien, avec les bons jours et les mauvais jours.
Partie 2 : pour tout savoir sur l’historique du déficit la sécu et de ses recettes, les derniers chiffres et les comparaisons entre les différents régimes professionnels ainsi qu’avec les systèmes d’assurances maladies privés de nos voisins européens.
Ajoutez y le recensement exhaustif de tous les textes européens et français en vigueur sur la liberté d’assurance sociale.
Et pour finir le guide du libéré de la sécu qui explique concrètement les démarches à suivre.
Bref, la bible de votre liberté sociale !
Par Superchon le 1 mai 2015
Livre très intéressant même si vous ne partagez pas les convictions de l’auteur sur la faisabilité de quitter la sécu. Le livre est très bien documenté et montre comment les lois, décrets, jurisprudences, ordonnances, traités européens, etc. du fait de leurs nombres et complexités rentrent en contradiction les uns avec les autres. De plus, les incohérences du système de sécurité sociale français entre le discours et la réalité sont bien illustrées.
Même si ce n’est pas pour sortir de la sécu, ce livre se révèle intéressant pour comprendre la machine à broyer qu’elle est devenu.
Par Syl le 15 avril 2015
Merci à l’auteur de ce journal intime de sa libération et du véritable guide pour quitter la sécu et pouvoir s’assurer auprès de compagnies privées. Je trouve ceci encore plus intéressant pour la retraite car il ne faut pas se leurrer, les personnes de ma génération n’en toucheront pas.
Faisons comme nos chers élus, gérons la par capitalisation.
Nous en avons le droit – dicté par l’Europe – prenons le !
Par Di Mercurio le 25 avril 2015
Vous ne pourrez rester indifférent. Incroyable, fascinant et effrayant……………..une bombe atomique !
Mais comment est-t-il possible de rester passifs face à de telles révélations ???
Salariés, indépendants, avocats, médecins etc….TOUT LE MONDE DOIT LIRE CE LIVRE……ET AGIR.
Par Rapetti le 16 mai 2015
Un livre qui nous ouvre les yeux sur un mensonge d’état. Nos droit européens sont bafoués depuis trop longtemps, brisons nos chaînes !
» Hier le Puy du Fou a décroché « l’Applause Award » en Floride, parmi 700 concurrents, devant les 5000 invités de la cérémonie d’ouverture de l’IAAPA Attractions Expo, le grand salon mondial des parcs qui réunit 4.500 parcs dans le monde.
Ce prix est décerné tous les deux ans par l’IAAPA. C’est la première fois depuis 22 ans que cette distinction va à un acteur européen. Seuls le parc allemand Europa Park et le néerlandais Efteling avait auparavant remporté ce prix, respectivement en 1990 et 1992.
L’Applause Award est censé récompenser les parcs selon des critères qui mettent en avant leur capacité à faire preuve d’originalité et d’avant-gardisme. Le jury s’appuie aussi également sur la faculté du parc à générer de la croissance et de la fréquentation.
En 2012, le Puy du Fou avait reçu le Thea Classic Award du meilleur parc à Los Angeles.
Ce nouveau prix conforte son dynamisme. En 2014, le Parc a accueilli 1 912 000 visiteurs, soit près de 10% de visiteurs supplémentaires par rapport à la saison 2013. Il est le 2ème parc en France. »
Ah, ah ! Amusant ! Les racines de notre Histoire deviennent d’avant-garde 😉
Camel Bechikh, fondateur de l’association » Fils de France »(www.filsdefrance.fr) sort du discours victimaire de sos-racisme et consorts, pour proposer une autre vision des choses, plus honnête, respectueuse et positive.
Reconnaissant que » la France estontologiquement Catholique et Européenne », il ouvre la voie à un avenir possible où une immigration musulmanne très fortement jugulée sera avant tout respectueuse de l’âme immémoriale et de l’identité de son pays d’accueil.
Il nous donne sa position ici au micro de TV-Libertés :
Le Vendredi 17 avril dernier, les Royalistes sur France Culture
Présentation de l’émission :
Ils sont Orléanistes ou Légitimistes, soutiennent Jean de France ou de Louis-Alphonse de Bourbon, pro ou anti Maurras, de droite ou – plus rarement – de gauche… Si les royalistes de France sont encore divisés par d’historiques querelles …
…ils s’entendent par contre sur un diagnostic (la République ne peut marcher telle qu’elle a été conçue) et sur une prescription (c’est une monarchie qu’il nous faut !)
Rencontre avec des fidèles au Roy, dans la cité des sacres et ailleurs…
En plateau :
– Yoann Cardot, jeune recrue d’Action française.
– Pascal Beaucher, secrétaire général de la Nouvelle Action Royaliste (mouvement attaché à la monarchie constitutionnelle et marqué à gauche) .
– Jean-Paul Gautier, professeur d’histoire, auteur de La Restauration nationale, un mouvement royaliste sous la Ve République (ed. Syllepse)
TV Libertés, première télévision libre de France !
TV Libertés commencera à émettre début 2014 depuis nos studios du Val-de-Marne. Notre chaîne est une télévision connectée : elle émettra donc sur Internet et vous pourrez la recevoir aussi bien sur votre ordinateur, tablette ou smartphone.
TV Libertés se distingue de la concurrence en étant ouvertement pour la défense et la promotion de la culture et de l’esprit français au cœur des nations européennes.
Il n’est pas excessif de dire qu’il s’agit d’une véritable révolution dans le paysage médiatique français, jusqu’à présent dominé par des chaînes de télévision interchangeables, se faisant les relais de l’idéologie dominante.
Au cours de la phase de lancement, TV Libertés assurera en soirée deux programmes quotidiens sur Internet. Chaque jour, notre chaîne vous donnera rendez-vous à 19 heures pour un journal d’une heure, qui comportera la présentation des nouvelles de l’actualité, des reportages de terrain et des interviews de personnalités. Ce sera l’occasion d’évoquer la situation politique nationale, avec les grand rendez-vous des élections municipales et européennes.
Au journal succèdera à 20 heures une émission thématique, consacrée selon le jour à l’histoire, à la culture, à l’économie, à la vie des médias, à la vie religieuse ou aux faits de société.
TV Libertés comptera également dans son équipe Robert Ménard, fondateur et ancien président de Reporters sans frontières, qui animera l’émission « Ménard sans Interdit », où il recevra des personnalités des mondes politique, médiatique et culturel dans des entretiens sans concession.
Pourquoi une nouvelle chaîne de télévision ?
Lors des manifestations contre l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe, nous avons constaté un décalage grandissant entre les attentes des Français et le traitement de l’information par les médias classiques, particulièrement pour le premier d’entre eux : la télévision.
En dépit du succès historique de ces manifestations, qui ont rassemblé par trois fois plus d’un million de Français de toutes conditions dans les rues de Paris, toutes les grandes chaînes de télévision se sont obstinées à dépeindre cet authentique mouvement populaire comme une réaction marginale, sous-évaluant systématiquement le nombre des manifestants et caricaturant leurs revendications.
Après un mouvement d’une telle ampleur, nous ne pouvions pas ne pas redonner la parole à ces Français jusqu’alors silencieux, majoritaires dans le pays et qui n’étaient montrés à la télévision que pour les ridiculiser.
C’est aussi pour pallier ce manque que nous créons TV Libertés, qui montera progressivement en puissance à partir du début de l’année prochaine, avec une augmentation progressive des temps de diffusion et du nombre de téléspectateurs.
Pour produire nos émissions, nous avons réuni une équipe de journalistes et de professionnels experts des médias, ainsi que plusieurs personnalités reconnues du grand public pour leur qualité.
Cette nécessité d’être en phase avec les attentes des Français nous oblige à répondre à leur demande d’une meilleure information et d’un média qui leur parle et les représente. Cette contrainte apparente est en réalité la force de TV Libertés.
C’est elle qui assurera que nous produirons une chaîne de qualité, tant sur le plan de la rigueur de l’information que de la richesse des émissions.
Voici la présentation de cette association dynamique qui donne un espoir aux jeunes générations qui redécouvrent de façon croissante toute la richesse de leur Civilisation que la mondialisation financière et apatride voudrait bien éradiquer ! N’hésitez pas à participer : Le chantier est colossal !
PRÉSERVER LES FONDATIONS DE NOTRE CIVILISATION
Aujourd’hui, les fondements même de notre civilisation sont attaqués de toutes parts. Les effets mortifères d’une mondialisation mal maîtrisée, le matérialisme débridé de nos compatriotes, l’individualisme poussé à son paroxysme sapent peu à peu les fondations d’un édifice que nos ancêtres ont mis des millénaires à bâtir. Nous ne pouvons pas demeurer sans réaction face à un phénomène de cette ampleur et de cette gravité. Certains s’en accommodent tant bien que mal, d’autres l’encouragent, c’est leur choix. Nous avons choisi d’y faire face par respect pour nos aînés et pour l’avenir de nos enfants.
RENDRE LEUR FIERTÉ ET LEUR DYNAMISME AUX EUROPÉENS
Pour sauvegarder notre passé commun, transmettre nos valeurs et préparer notre avenir, encore faut-il que nous ayons conscience de former un peuple. Il nous semble aujourd’hui nécessaire d’effectuer un travail de réveil et de réenracinement de nos compatriotes qui, pour beaucoup, ne savent plus qui ils sont, d’où ils viennent et comment retrouver l’élan vital qui leur fait défaut pour envisager à nouveau un futur prospère et serein.
BÂTIR UN AVENIR SOLIDAIRE ET PRÉSERVER LE BIEN COMMUN
Pour reprendre en main notre destin il nous semble préférable d’agir au bas de l’échelle plutôt que de tabler sur l’illusoire espoir d’un changement au sommet. Mettre en oeuvre une véritable fraternité européenne et protéger le bien commun des Européens sont les meilleurs moyens de tisser à nouveau des liens sociaux distendus par le triomphe de la société de consommation, de compétition généralisée et d’assistanat dans laquelle nous sommes plongés. C’est la voie que nous avons choisie pour reconstruire une communauté plus volontaire, plus responsable et, in fine, redevenue maîtresse de sa destinée.
COMMENT TRAVAILLONS-NOUS ?
NOUS SOMMES INDÉPENDANTS ET ACCUEILLANTS
Notre action est associative. Nous ne dépendons d’aucune organisation politique, philosophique ou religieuse. Nous agissons de façon autonome et nous acceptons bien volontiers le soutien de quiconque partage nos préoccupations. C’est au prix de cette indépendance totale que nous pouvons rassembler autour de nos projets des personnes aux profils variés mais qu’unissent le souci du bien commun et la volonté d’offrir à leurs enfants un avenir apaisé dans une Europe dynamique et fière de ses racines.
NOUS MENONS DES PROJETS CONSTRUCTIFS
Dans de nombreux domaines, il nous paraît souhaitable de mener des actions alternatives à celles qui sont conduites habituellement. L’environnement, l’éducation, la culture par exemple méritent d’être abordés avec une vision éthiquement responsable qui privilégie le respect et la transmission de notre identité de Français et d’Européens.
Au-delà de la simple réflexion, nous mettons en oeuvre concrètement des solutions qui vont dans le sens de nos objectifs. Les théoriciens ne manquent pas qui nous livrent les éléments conceptuels sur lesquels nous appuyer mais nous sommes aujourd’hui arrivés à un moment de notre histoire où il est nécessaire d’agir si l’on ne veut plus subir.
Pour toutes ces raisons, nous refusons de manier la polémique ou l’invective. Plutôt que d’attaquer frontalement ceux qui se satisfont de la marche du monde, nous préférons démontrer par l’exemple qu’une autre voie est possible et construisons progressivement le modèle alternatif qui doit s’imposer si nous voulons assurer la pérennité de notre civilisation.
NOS OBJECTIFS REPONDENT AUX PRÉOCCUPATIONS DE MILLIONS D’EUROPÉENS.
» Nostalgie certes,mais aussi et surtout défense et promotion des valeurs et attitudes « vieille France »: la foi, la famille, les traditions, l’honneur, la terre et le terroir, le savoir-vivre, l’élégance, l’esprit chevaleresque, la morale…
« Vieille France » est en général un terme dépréciatif ( * * * : Voir note en bas de page)
Il désigne ceux qui vivent dans le passé, qui n’ont pas évolué avec leur temps, qui ont gardé des habitudes anciennes, dépassées, surannées.
Il est nécessaire aujourd’hui, et la publicité nous le serine à longueur de journée, d’être « moderne », « dynamique », « in », « dans le coup » ou « dans le vent », aurait-on dit dans les années 60. Car cette manie de modernisme date peu ou prou de l’après seconde guerre mondiale, d’une époque où l’on a voulu tourner la page du passé, d’une France vieillissante, fatiguée, détruite aussi par la guerre, d’une France à reconstruire. Le modernisme à l’américaine devenait alors la référence, le nec plus ultra.
Aujourd’hui, cinquante ou soixante ans après, quand on fait le bilan, on s’aperçoit que la technologie a révolutionné notre vie quotidienne, certes, mais que les valeurs sur lesquelles reposaient notre « vieille France » sont bel et bien derrière nous.
On a privilégié le matériel sur le spirituel, notre société matérialiste a relégué les valeurs morales au vestiaire de l’histoire.
Le résultat ?
Une société sans repères, une école qui ne sait pas où elle va, des inégalités croissantes, une misère inadmissible, le cynisme érigé en dogme télévisuel, une violence omniprésente, des familles désunies, l’amour piétiné par la pornographie, l’irrespect généralisé, le refus de toute autorité, le culte de l’argent dans toutes les classes sociales, l’abandon des religions basées sur l’amour, le mépris de la femme et de la mère, l’égoïsme et l’individualisme dominant la société.
Est-on plus heureux pour autant ?
Comment l’être dans un tel contexte ? Le nombre de suicides n’a jamais été aussi élevé, le stress au travail se généralise, les enfants souffrent de voir leurs parents séparés, le nombre de SDF augmente régulièrement, les vieux sont abandonnés dans des mouroirs baptisés « maisons de retraite ».
Le jeu en valait-il la chandelle ?
On ne peut pas revenir en arrière et il ne sert à rien de se lamenter.
Il est possible par contre de retrouver, de pratiquer individuellement et de promouvoir les valeurs qui ont fait notre « vieille France », et qui sont les mêmes valeurs d’ailleurs qui ont fait la « vieille Angleterre » ou la « vieille Europe », ces valeurs sûres qui, au fil du temps, se sont révélées, et dans toute l’histoire humaine, les plus propres à faire le bonheur des individus :
– Le respect des autres, riches ou pauvres, hommes ou femmes, qui entraîne dans son sillage la politesse, la courtoisie, la galanterie, le savoir-vivre .
– Le respect de sa famille, le respect du père et de l’époux, celui de la mère et de l’épouse, celui des grands-parents, respect qui évite à l’enfant, puis à l’adulte qu’il devient, de se croire le centre du monde et de penser qu’il a tous les droits ou qu’il n’a que des droits .
– Le respect de la femme, qui ne doit pas être réduit à un objet sexuel, et, par conséquence, la promotion de l’amour conjugal, de la fidélité, voire de la chasteté.
– Le respect de soi, le refus du laisser-aller, qu’il soit physique ou moral.
– Le respect des croyances, quelles qu’elles soient, à condition qu’elles ne versent pas dans le fanatisme. Se moquer d’une religion, c’est manquer de respect envers ceux qui la pratiquent.
– Le respect et la connaissance du passé, des objets du passé, des lieux du passé, du patrimoine, des traditions.
– Le respect de la nature, des animaux, de la terre, des terroirs, face à une urbanisation croissante.
– La tolérance : pas cette caricature de tolérance qui n’est rien d’autre que de la lâcheté et qui consiste à croire que « tout se vaut », car tout ne se vaut pas, mais celle de Montaigne qui déclarait que « seuls les fols sont certains et résolus ».
– La distinction entre le bien et le mal. Ces concepts ne sont qu’en partie relatifs, puisque cette distinction se retrouve pratiquement la même dans toutes les sociétés humaines et dans tous les temps, alors que le nôtre a tendance à la nier.
Est-ce là un programme réactionnaire ?
Ce le serait si l’on voulait nier le présent, alors qu’il ne s’agit que de rétablir un équilibre rompu.
Retrouver les valeurs anciennes, celles de la famille, de la foi, du respect de l’autre, c’est redonner du ciment à notre société, lui apporter ce qui lui manque le plus : la matière humaine.
Alors oui, « vieille France » nous sommes, et « vieille France » nous resterons ! «
Merci pour ces mots forts qui se passent de commentaires…
Que ce groupe croîsse et que tous ses amis unissent leurs talents pour éveiller les coeurs de nos compatriotes encore sous hypnose de la » Matrice » !
Vive la France éternelle !
( NOTE * * * : Souvenons-nous toujours que « ringardiser » l’adversaire est l’ arme de prédilection qu’ont utilisé les loges pour parvenir à leur fin !
Désolé, « Vénérables Frères » : Ca ne marche plus !! )