J’ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d’interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.
Quelle mouche vous a donc piqué ?
Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin « Natalis » qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous.
La naissance dont-il est question est celle d’un certain Jésus de Nazareth, né il y a un peu plus de 2000 ans.
Je dis ça parce qu’étant donné que vous n’avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n’est pas l’anniversaire de la naissance du Père Noel ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus.
Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l’andouillette tout en interdisant la consommation d’andouillette le jour de la fête de l’andouillette.
La crèche c’est ce qu’on appelle une tradition.
Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n’est parce qu’il est le fruit d’une tradition.
Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens.
La crèche c’est Noël et Noël c’est la crèche.
La crèche c’est aussi l’histoire d’une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C’est un signe d’espoir pour tous les sans abri.
La crèche c’est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C’est un signe d’espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations, de conflit au Moyen Orient et de crainte de » l’ autre » attisée par des attentats horribles.
La crèche c’est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d’agriculteurs qui rigolent en cette période de crise?
La crèche c’est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l’homme.
Enfin, la crèche, c’est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2014 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes et ne semble pas en être revenu.
Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l’expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël. »
Position traditionnelle des papes au sujet de la maçonnerie.
(Tiré du site :http://www.revue-item.com du Père Aulagnier)
Lettre apostolique « Quo graviora » de Léon XII
sur la Franc-Maçonnerie:
du 13 mars 1826
La lettre apostolique « Quo graviora », publiée par Léon XII, le 13 mars 1826 et qui traite et condamne la FM a ceci de particulier qu’elle redonne le texte complet des documents publiés par les papes précédents, notamment le lettre de Clément XII (1738), celle de Benoît XIV (1751) et celle de Pie VII (1821).
Ainsi voit-on que c’est dès 1738, donc un siècle plus tôt, que les papes dénoncent les sociétés secrètes. Et ils continueront après Léon XII
Le pape Léon XII a donc voulu remettre ces textes sous les yeux des évêques et des fidèles, parce que, malheureusement, on n’avait pas assez tenu compte des avertissements qu’ils contenaient. Aussi ces sociétés se développaient-elles toujours davantage.
« Quo graviora » débute ainsi :
« Plus sont grands les désastres qui menacent le troupeau de Jésus Christ, notre Dieu et Sauveur, plus doit redoubler, pour les détourner, la sollicitude des Pontifes Romains auxquels, dans la personne de saint Pierre, prince des apôtres, ont été conférés le pouvoir et le soin de conduire ce même troupeau. C’est à eux, en effet, comme étant placés au poste le plus élevé de l’Église, qu’il appartient de découvrir de loin les embûches préparées par les ennemis du nom chrétien pour exterminer l’Église de Jésus Christ (ce à quoi ils ne parviendront jamais) : c’est à eux qu’il appartient, tantôt de signaler aux fidèles et de démasquer ces embûches, afin qu’ils s’en gardent, tantôt de les détourner et de les dissiper de leur propre autorité. »
Donc il rappelle la nécessité pour les papes, qui sont chargés du troupeau, de désigner surtout où se trouvent les dangers pour le troupeau.
« Les Pontifes Romains, Nos prédécesseurs, ayant compris qu’ils avaient cette grande tâche à remplir, veillèrent toujours comme de bons pasteurs, et s’efforcèrent, par des exhortations, des enseignements, des décrets, et en exposant même leur vie pour le bien de leurs brebis, de réprimer et de détruire entièrement les sectes qui menaçaient l’Église d’une ruine complète ».
Voilà qui est clairement dit. Le pape n’hésite pas à dire : « ces sectes menacent l’Eglise ». « Elles veulent la ruine complète de l’Eglise ». Elles sont « les ennemis de Jésus-Christ ». Tels sont leurs buts.
« Le souvenir de cette sollicitude pontificale ne se retrouve pas seulement dans les anciennes annales ecclésiastiques, on en retrouve d’éclatantes preuves dans ce qui a été fait de nos jours et du temps de nos pères par les Pontifes Romains, pour s’opposer aux associations secrètes des ennemis de Jésus Christ »
Le pape introduit alors la lettre de Clément XII
*
Clément XII
« …Car Clément XII, Notre prédécesseur, ayant vu que la secte dite des Francs-Maçons, ou appelée d’un autre nom, acquérait chaque jour une nouvelle force, et ayant appris avec certitude, par de nombreuses preuves, que cette secte était non seulement suspecte mais ouvertement ennemie de l’Église catholique, la condamna par une excellente constitution qui commence par ces mots : « In eminenti » publiée le 28 avril 1738, et dont voici la teneur :
« CLÉMENT, ÉVÊQUE, SERVITEUR DES SERVITEURS DE DIEU,
À tous les fidèles de Jésus-Christ, salut et Bénédiction Apostolique.
« Élevé par la divine Providence au plus haut degré de l’apostolat, tout indigne que Nous en sommes, selon le devoir de la surveillance pastorale qui Nous est confiée, Nous avons, constamment secouru par la grâce divine, porté notre attention avec tout le zèle de notre sollicitude, sur ce qui, en fermant l’entrée aux erreurs et aux vices, peut servir à conserver avant tout l’intégrité de la religion orthodoxe, et à bannir du monde catholique, dans ces temps si difficiles, les risques de troubles. »
Comme les papes autrefois savaient être clairs, être simples !
Ils disaient : nous sommes les pasteurs et nous devons protéger le troupeau. Contre quoi ? Contre les erreurs, contre les vices ! Par conséquent nous dénonçons les vices, nous dénonçons les erreurs et nous proclamons la vérité, la vérité de l’Evangile. Rien n’est plus clair.
On se sentait en sécurité avec de tels pasteurs qui n’avaient pas peur de dire : attention, évitez ceci, évitez cela, il y a danger, marchez selon la vérité de l’Eglise.
On ne connaît plus cela maintenant. Les papes ne s’expriment plus avec la même clarté.
« Humani generis » de Pie XII, en 1950, est peut-être le dernier document de ce genre, clair et précis. Est-ce à dire qu’il n’y aurait plus d’erreurs ?…
*
Pie XII
Et même avec Jean XXIII et son fameux discours d’ouverture du Concile Vatican II, s’en prenant avec dureté aux « prophètes de malheur », il faudrait cesser de condamner!
En effet le 1 octobre 1962, Jean XXIII prononçait, dans la Basilique Saint Pierre du Vatican, le solennel discours d’ouverture du Concile Vatican II. Dans cette allocution, le Pape annonçait des « modernisations (aggiornamenti) opportunes à faire adopter par l’Eglise, puis déplorait le pessimisme de ceux qu’il appelait des « prophètes de malheur » : « Nos oreilles sont offensées, affirmait le Pape, en apprenant ce que disent certains qui, bien qu’enflammés de zèle religieux, manquent de justesse de jugement et de pondération dans leur façon de voir les choses. Dans la situation actuelle de la société, ils ne voient que ruines et calamités ; ils ont coutume de dire que notre époque a profondément empiré par rapport aux siècles passés.(…) Il nous semble nécessaire de dire Notre complet désaccord avec ces prophètes de malheur, qui annoncent toujours des catastrophes, comme si le monde était près de sa fin ».
Vraiment ?
Seulement quelques années plus tôt, Pie XII avait décrit la situation de l’Eglise en des termes bien différents : « Le monde d’aujourd’hui court vers sa ruine (…) c’est un monde tout entier qu’il faut refaire depuis ses fondations » (10 février 1952) Et il renchérissait : « Aujourd’hui, l’ennemi de Dieu a saisi tous les leviers du pouvoir et nous avons le devoir de nous lever contre la corruption et les corrupteurs » (14 juillet 1958). Pie XII, lui aussi aurait-il été un « prophète de malheur » « manquant de justesse de jugement et de pondération » ?
En conséquence de quoi, à la fin de son discours, Jean XXIII annonçait une nouvelle attitude du Magistère à l
’égard des hérésies et des erreurs dans le domaine dogmatique et moral : « L’Eglise, proclamait-il, n’a jamais cessé de s’opposer à ces erreurs. Elle les a même souvent condamnées et très sévèrement. Mais aujourd’hui, l’épouse du Christ préfère recourir au remède de la miséricorde, plutôt que de brandir les armes de la sévérité. Elle estime que plutôt que de condamner, elle répond mieux aux besoins de notre époque en mettant davantage en valeur les richesses de sa doctrine ».
Et pourtant l’Eglise avait toujours dit le contraire : la sévérité, en effet, est elle aussi une œuvre de miséricorde. Elle l’est tant envers celui qui est dans l’erreur qu’envers les fidèles qui ont le droit d’être protégés de l’erreur et du mal. Etrange « miséricorde », en vérité que celle de Jean XXIII qui abandonnait les âmes en proie aux loups.
Tout aussi incroyable était la raison avancée pour justifier cette renonciation illégitime à l’exercice du pouvoir coercitif : « Certes, il ne manque pas de doctrines et d’opinions fausses, de dangers dont il faut se mettre en garde et que l’on doit écarter ; mais tout cela est si manifestement opposé aux principes d’honnêteté et porte des fruits si amers, qu’aujourd’hui les hommes semblent commencer à les condamner d’eux-mêmes. C’est le cas particulièrement pour ces manières de vivre au mépris de Dieu et de ses lois, en mettant une confiance exagérée dans le progrès technique, en faisant consister la prospérité uniquement dans le confort de l’existence »
Divagations utopiques ou irresponsables légèretés ?
Vous devez bien réfléchir à ces jugements, ceux de Pie XII et ceux de Jean XXIII. Ils décrivent toute une attitude face au monde….
Tout cela est de grande importance.
Revenons à Clément XII:
« Nous avons appris, par la rumeur publique, qu’il se répand à l’étranger, faisant chaque jour de nouveaux progrès, certaines sociétés, assemblées, réunions, agrégations ou conventicules, appelés communément du nom de Francs-Maçons ou d’autres noms selon la variété des langues, dans lesquels des hommes de toute religion et de toute secte, affectant une apparence d’honnêteté naturelle, se lient entre eux par un pacte aussi étroit qu’impénétrable, d’après des lois et des statuts qu’ils se sont faits, et s’engagent par serment prêté sur la Bible, et sous les peines les plus graves, à couvrir d’un silence inviolable tout ce qu’ils font dans l’obscurité du secret. »
La définition de la FM est admirable:
Qui la compose ?
« Des hommes de « toutes religions et de toute secte », qui affectent « une apparence d’honnêteté naturelle », i.e. revêtant une apparence de philanthropie, se faisant passer pour des amis du peuple, amis du progrès, amis de la société…
Cela n’a pas changé aujourd’hui.
«Des hommes de toutes religions et de toute secte » … ce qui veut dire qu’une des marques essentielle de la FM c’est l’indifférentisme religieux et donc le relativisme philosophique ou du moins, tout au début, l’affirmation du « libre examen » qui exclut, de par sa nature, l’existence d’une Vérité objective. Si chacun peut s’enorgueillir d’une vérité qui lui est propre, l’unique erreur est de soutenir qu’il existe une vérité unique. Il s’ensuit l’introduction d’un relativisme personnel sur ce qui est Bien et sur ce qui est Juste. Il en résulte l’invalidation du principe d’autorité par l’orgueil de qui estime posséder sa propre vérité et entend la faire valoir. Les hiérarchies naturelles devaient donc être balayées, en tant qu’obstacle à l’affirmation de son moi et de sa vérité. La plus grande haine et aversion sera logiquement réservée à l’Eglise catholique , maitresse dans le spirituel et guide dans le temporel, dépositaire en son chef visible, le Pape, du message du divin Maître qui nie toute autre voie de salut hors Lui, appelant voleurs et brigands ceux qui s’étaient jusqu’alors annoncés en son nom.
Le pacte du secret : Ils sont unis par un pacte secret qui les engage, sous des peines graves (jusqu’à la mort) à un silence inviolable. Dès lors il est difficile de savoir exactement ce qui se trame dans ces sociétés. C’est le secret absolu.
Condamnation par l’Eglise de ce secret : L’Eglise condamne absolument ce secret. Les choses réalisées de cette manière ne peuvent qu’être mauvaises. S’ils accomplissaient de bonnes choses, il n’y aurait pas de raison pour que cela ne se fasse pas au grand jour.
Clément XII énonce ensuite les griefs de l’Eglise contre ces sociétés:
« Mais comme telle est la nature du crime qu’il se trahit lui-même en poussant des cris qui le font découvrir et le dénoncent, les sociétés ou conventicules susdits ont fait naître de si forts soupçons dans l’esprit des fidèles, que s’enrôler dans ces sociétés c’est, auprès des personnes de probité et de prudence, s’entacher de la marque de perversion et de méchanceté »;
Le pape s’appuie sur une certaine opinion publique. Les fidèles prudents, les personnes de probités jugent qu’il se passe quelque chose de mauvais dans ces sociétés.
« car s’ils ne faisaient point de mal, ils ne haïraient pas ainsi la lumière; et ce soupçon s’est tellement accru que, dans plusieurs États, ces dites sociétés ont été, depuis longtemps déjà, proscrites et bannies comme contraires à la sûreté des royaumes ».
Le pape, on le voit, fonde son jugement sur ce qu’il a appris des personnes qui sont au contact avec ces sociétés. Alors il proclame la condamnation et interdit tout fidèle catholique d’y donner son adhésion:
« C’est pourquoi, Nous, réfléchissant sur les grands maux qui résultent ordinairement de ces sortes de sociétés ou conventicules, non seulement pour la tranquillité des États temporels, mais encore pour le salut des âmes, et voyant que par là elles ne peuvent nullement s’accorder avec les lois civiles et canoniques; et comme les oracles divins Nous font un devoir de veiller nuit et jour en fidèle et prudent serviteur de la famille du Seigneur pour que ce genre d’hommes, tels des voleurs, ne percent la maison, et tels des renards, ne travaillent à démolir la vigne, ne pervertissent le cœur des simples et ne le transpercent dans le secret de leurs dards envenimés; pour fermer la voie très large qui de là pourrait s’ouvrir aux iniquités qui se commettraient impunément, et pour d’autres causes justes et raisonnables de Nous connues, de l’avis de plusieurs de nos vénérables frères Cardinaux de la Sainte Église Romaine, et de Notre propre mouvement, de science certaine, après mûre délibération et de Notre plein pouvoir apostolique, Nous avons conclu et décrété de condamner et d’interdire ces dites sociétés, assemblées, réunions, agrégations ou conventicules appelés du nom de Francs-Maçons, ou connus sous toute autre dénomination, comme Nous les condamnons et les défendons par Notre présente constitution, valable à perpétuité ».
C’est pourquoi Nous défendons sévèrement et en vertu de la sainte obéissance, à tous et à chacun des fidèles de Jésus-Christ, de quelque état, grade, condition, rang, dignité et prééminence qu’ils soient, laïcs ou clercs, séculiers ou réguliers méritant même une mention particulière, d’oser ou de présumer, sous quelque prétexte, sous quelque couleur que ce soit, d’entrer dans les dites sociétés de Francs-Maçons ou autrement appelées, ni de les propager, les entretenir, les recevoir chez soi; ni de leur donner asile ou protection, y être inscrits, affiliés, y assister ni leur donner le pouvoir ou les moyens de s’assembler, leur fournir quelque chose, leur donner conseil, secours ou faveur ouvertement ou secrètement, directement ou indirectement, par soi ou par d’autres, de quelque manière que ce soit, comme aussi d’exhorter les autres, les provoquer, les engager à se faire inscrire à ces sortes de sociétés, à s’en faire membres, à y assister, à les aider et entretenir de quelque manière que ce soit, ou les conseiller: et Nous leur ordonnons absolument de se tenir strictement à l’écart de ces sociétés, assemblées, réunions, agrégations ou conventicules, et cela sous peine d’excommunication à encourir par tous les contrevenants désignés ci-dessus, ipso facto et sans autre déclaration, excommunication de laquelle nul ne peut recevoir le bienfait de l’absolution par nul autre que Nous, ou le Pontife Romain qui nous succèdera, si ce n’est à l’article de la mort.
Nous voulons de plus et mandons que les Évêques comme les Prélats supérieurs et autres Ordinaires des lieux, que tous les Inquisiteurs de l’hérésie fassent information et procèdent contre les transgresseurs, de quelque état, grade, condition, rang, dignité ou prééminence qu’ils soient, les répriment et les punissent des peines méritées, comme fortement suspects d’hérésie; car Nous leur donnons, et à chacun d’eux, la libre faculté d’instruire et de procéder contre lesdits transgresseurs, de les réprimer et punir des peines qu’ils méritent, en invoquant même à cet effet, s’il le faut, le secours du bras séculier. Nous voulons aussi qu’on ajoute aux copies des présentes, même imprimées, signées de la main d’un notaire public, et scellées du sceau d’une personne constituée en dignité ecclésiastique, la même foi que l’on ajouterait aux présentes, si elles étaient représentées ou montrées en original.
Qu’il ne soit permis à aucun homme d’enfreindre ou de contrarier, par une entreprise téméraire, cette Bulle de notre déclaration, condamnation, mandement, prohibition et interdiction. Si quelqu’un ose y attenter, qu’il sache qu’il encourra l’indignation du Dieu Tout-Puissant, et des bienheureux apôtres S.Pierre et S.Paul.
Donné à Rome, près Sainte-Marie Majeure, l’an de l’Incarnation de Notre Seigneur MDCCXXXVIII, le IV des Calendes de Mai (28 avril), la VIIIe année de Notre Pontificat. »
Clement XII, Pape.
Tel est le premier document de l’Eglise définissant la FM et la condamnant fortement interdisant à tout clerc ou laïc d’y participer..
C’était clair.
Et pourtant cette lettre de 1738 n’a pas suffi. Des bruits se répandirent après la mort de Clément XII, selon lesquels la condamnation édictée de son vivant ne valait plus rien tant qu’elle ne serait pas expressément confirmée par son successeur.
C’est ce qui fait dire à Léon XII :
*
Léon XII
« Cette Bulle ne parut pas suffisante à Notre prédécesseur d’heureuse mémoire, Benoît XIV, car le bruit s’était répandu que Clément XII étant mort, la peine d’excommunication portée par sa Bulle était sans effet, puisque cette Bulle n’avait pas été expressément confirmée par son successeur. Sans doute il était absurde de prétendre que les Bulles des anciens Pontifes dussent tomber en désuétude si elles n’étaient pas approuvées expressément par leurs successeurs, et il était évident que Benoît XIV avait ratifié la Bulle publiée par Clément XII.
Cependant, pour ôter aux sectaires jusqu’au moindre prétexte, Benoît XIV publia une nouvelle Bulle commençant ainsi : Providas, et datée du 18 mars 1751 »
Benoît XIV et sa bulle « Providas » du 18 mars 1751, contre l’indifférentisme:
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Benoît XIV
« Des raisons justes et graves Nous engagent à fortifier de nouveau de Notre autorité, et à confirmer les sages lois et sanctions des Pontifes Romains Nos prédécesseurs, non seulement celles que Nous craignons pouvoir être affaiblies ou anéanties par le laps de temps ou la négligence des hommes, mais encore celles qui ont été récemment mises en vigueur et sont en pleine force ».
Benoît XIV explique pourquoi il juge bon de confirmer l’acte de son prédécesseur :
« Clément XII, d’heureuse mémoire, Notre prédécesseur, par sa Lettre Apostolique, datée du IV des calendes de mai, l’an de l’Incarnation de Notre Seigneur M. DCC. XXXVIII, de son Pontificat le VIIIe, et adressée à tous les fidèles de Jésus Christ, qui commence par ces mots « In eminenti », a condamné et défendu à perpétuité certaines sociétés, assemblées, réunions, conventicules ou agrégations appelées vulgairement de Francs-Maçons ou autrement, répandues alors dans certains pays, et s’établissant de jour en jour avec plus d’étendue ; défendant à tous les fidèles de Jésus Christ, et à chacun en particulier sous peine d’excommunication à encourir par le fait et sans autre déclaration, de laquelle personne ne peut être absous par autre que par le Souverain Pontife existant pour lors, excepté à l’article de la mort, d’oser ou présumer entrer dans ces sociétés, ou les propager, les entretenir, les recevoir chez soi, les cacher, y être inscrit, agrégé, ou y assister, et autrement, comme il est exprimé plus au long dans ladite Lettre.
Mais comme il s’en est trouvé, ainsi que Nous l’apprenons, qui n’ont pas craint d’assurer et de publier que ladite peine d’excommunication portée par Notre prédécesseur comme dessus, ne frappe plus, parce que la constitution précitée n’a pas été confirmée par Nous, comme si la confirmation expresse du Pape successeur était requise pour que des constitutions apostoliques données par un Pape prédécesseur subsistent ;
Et comme aussi quelques hommes pieux et craignant Dieu Nous ont insinué que, pour ôter tous les subterfuges des calomniateurs et pour déclarer l’uniformité de Notre intention avec la volonté de Notre prédécesseur, il serait fort expédient d’ajouter le suffrage de Notre confirmation à la constitution de Notre susdit prédécesseur :
Nous, quoique jusqu’à présent, lorsque Nous avons, surtout pendant l’année du jubilé, et souvent auparavant, accordé bénignement l’absolution de l’excommunication encourue, à plusieurs fidèles de Jésus Christ, vraiment repentants et contrits d’avoir violé les lois de la susdite constitution, et promettant de tout leur cœur de se retirer entièrement de ces sociétés ou conventicules condamnés, et de ne jamais y retourner dans la suite ; et lorsque Nous avons communiqué aux pénitenciers par Nous députés, la faculté de pouvoir donner en Notre nom et autorité la même absolution à ces sortes de pénitents qui recourraient à eux ; lorsque aussi Nous n’avons pas négligé de presser avec sollicitude et vigilance les juges et tribunaux compétents à procéder contre les violateurs de ladite constitution, selon la mesure du délit, ce qu’ils ont fait en effet souvent, Nous ayons donné par là des arguments non seulement probables, mais entièrement évidents et indubitables, d’où on devait assez clairement conclure Nos sentiments et Notre ferme et délibérée volonté à l’égard de la force et vigueur de la censure portée par Notre dit prédécesseur Clément, comme il est rapporté ci-dessus ; et que, si l’on publiait une opinion contraire sur Notre compte, Nous pourrions la mépriser avec sécurité, et abandonner Notre cause au juste jugement du Dieu Tout Puissant, Nous servant de ces mots dont il est constant qu’on s’est servi autrefois dans les saints mystères : » Faites, nous vous en prions, Seigneur, que nous ne nous souciions pas des contradictions des esprits méchants ; mais méprisant cette méchanceté, nous vous prions de ne pas permettre que nous soyons épouvantés par les critiques injustes, ou enlacés par des adulations insidieuses, mais plutôt que nous aimions ce que vous commandez, » comme il se trouve dans un ancien Missel, attribué à Saint Gélase Notre prédécesseur et publié par le vénérable serviteur de Dieu Joseph-Marie Thomasius, Cardinal, dans la messe intitulée « Contra obloquentes ».
Cependant, pour qu’on ne puisse pas dire que Nous ayons omis imprudemment quelque chose, qui pût facilement ôter toute ressource et fermer la bouche au mensonge et à la calomnie, Nous, de l’avis de plusieurs de Nos Vénérables Frères les Cardinaux de la Sainte Église Romaine, avons décrété de confirmer par les présentes, la susdite constitution de Notre prédécesseur, insérée mot à mot, dans la forme spécifique, qui est la plus ample et la plus efficace de toutes, comme Nous la confirmons, corroborons, renouvelons de science certaine et de la plénitude de Notre autorité apostolique, par la teneur des présentes, en tout et pour tout, comme si elle était publiée de Notre propre mouvement, de Notre propre autorité, en Notre propre nom, pour la première fois ; voulons et statuons qu’elle ait force et efficacité à toujours ».
Ainsi Benoît XIV confirme solennellement le jugement de son prédécesseur.
Mais il ajoute des raisons supplémentaires à cette condamnation. Il faut les étudier:
« Or, parmi les causes très graves de la susdite prohibition et condamnation, exprimées dans la constitution rapportée ci-dessus, la première est que, dans ces sortes de sociétés ou conventicules, il se réunit des hommes de toute religion et de toute secte ; d’où l’on voit assez quel mal peut en résulter pour la pureté de la religion catholique.
Il faut rappeler ici que les papes ont toujours lutté contre l’indifférentisme, cette erreur qui consiste à dire que toutes les religions sont bonnes, que chacun peut avoir la sienne et qu’il ne faut pas mettre la religion catholique au dessus des autres.
*
Pie VII
Cela est contraire à la vérité catholique ; un catholique ne peut l’accepter. C’est pourquoi les papes ont toujours lutté contre ces réunions que l’ont dit « interconfessionnelles, syndicats ou congrès » : on y donne l’impression que toutes les religions sont identiques, qu’aucune n’est plus estimables que les autres.
C’est absolument contraire à notre foi.
Mgr Lefebvre continua à enseigner cela en 1980, date à laquelle il donnait lui-même ce cours sur les Actes du Magistère.
Que l’Archange Saint Michel, chef des armées célestes, remplisse nos coeurs de force et nous vienne en aide pour écraser la tête du « Serpent » qui étouffe notre France et notre monde !
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Ce « Serpent » ne serait-il pas en définitive le symbole de ce que certains appelle le corps mystique de l’Antéchrist ?
Ce n’est certes pas le faux « Pape François » qui nous édifiera sur cette question !
Seuls les Papes et les Chrétiens « traditionnels » semblent avoir conscience de l’identité réelle de ce « Serpent », de ce « corps mystique » du Mal incarné dans certaines organisations humaines…
Le Père Régimbal dont les vidéos, datent de 1983 (repiquages de mauvaise qualité de cassettes VHS), sont particulièrement éclairantes.
La mauvaise qualité et la rareté de ces vidéos de Jean Paul Régimbal ne doivent pas pour autant nous dissuader d’écouter ses mises en garde.
Bien sûr les athés nous diront toujours: « simples hasards que tout celà ! »
J’ai trouvé ce texte relatif à Paul Bedel sur internet sans avoir noté hélas où… Le trouvant beau et aimant beaucoup les vaches, qui ruminent selon moi un peu de l’âme de la France, je le reproduis in extenso sans vergogne, que son auteur veuille bien me pardonner !
*
LES VACHES SONT JOLIES PARCE QU’ELLES MANGENT DES FLEURS…
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Grâce au documentaire “Paul dans sa vie”, diffusé en 2006, Paul Bedel est passé d’une vie discrète à une incroyable célébrité.
À presque 90 ans, il continue de parler de sa terre… et de Dieu.
Un paysage magnifique, dur aussi, battu par les vents, parfois caché par les nuages, bienvenue à La Hague.
Pas celle du nucléaire, non, celle des prairies, des murs de pierres sèches, des bruyères et des toits d’ardoises. C’est à Auderville que Paul Bedel a déroulé le long fil de sa vie. Au rythme lent de ses pas, insoumis à l’accélération permanente de l’époque. Jusqu’à ce qu’il n’en ait plus la force, Paul Bedel a trait ses vaches et semé son grain comme Saint-Exupéry pilotait son avion — c’était une prière.
Une vie à l’image des aphorismes qui jonchent ses livres de témoignage comme autant de pierres milliaires. « On est riche en ne possédant rien de trop, en étant modeste dans le bonheur ».
Plus vrai et plus beau que Giono:
Qui est Paul Bedel ? Il suffit de regarder Paul dans sa vie pour l’apprendre. Ce visage souvent fermé, tourné vers l’intérieur ou vers l’infini, alternativement, et qu’un sourire peut d’un coup embraser. Cette casquette de tweed vissée sur la tête, ce bleu de travail qui ne le quitte pas et ce regard à la fois rieur et profond.
*
*Paul est têtu. Il n’a pas voulu suivre bêtement l’air du temps. Quand ses semblables se sont mécanisés, ont accepté les règles de l’agro-industrie et ont cédé à l’endettement, Paul est resté impassible. Bien entendu, ce paysan plus vrai et plus beau encore que ceux de Giono était condamné par l’époque, et c’est seulement grâce à son ascétisme qu’il a pu cultiver ses champs et élever ses bêtes à sa façon durant toute sa vie d’homme. Dans sa radicalité, Paul Bedel peinerait donc à faire école mais il transmet pourtant un riche témoignage qu’il serait bien sot d’ignorer.
Cheminer côte à côte avec Dieu:
Dans l’un de ses ouvrages, co-écrit avec Catherine Ecole-Boivin, on peut lire cette épigraphe :
« J’ai enlevé beaucoup de choses inutiles de ma vie et Dieu s’est approché pour voir ce qui se passait »…
Ces mots de Christian Bobin nous parlent bien de la vie de Paul. Paul Bedel n’est pas du genre prosélyte. Sa foi, il l’a portée dans son cœur toute sa vie, et au bout de ses mains, lui, le sonneur de cloches et le sacristain toujours dévoué. Mais son témoignage a touché au cœur des milliers de personnes, ce dont il s’étonne lui-même : « Juste avant le film, avant ma retraite, je pensais que ma vie n’avait servi à rien, qu’elle n’avait pas de sens. Puis vint le film, Paul dans sa vie.
« À partir de ce moment, un flot quasi-ininterrompu de personnes est venu me voir chez moi. 11 000 personnes jusqu’à ce jour. Parmi eux, un jeune. On a discuté de tout et de rien « . Avant de poursuivre : « Il m’a ensuite écrit une lettre me disant qu’il était revenu à l’Église grâce à notre rencontre et qu’il allait recevoir le sacrement de confirmation. Je me dis que c’est peut-être pour lui que j’ai sacrifié ma vie pour ce travail. Je suis drôle, non ? ».
Une lettre de 1918 évoque un complot de la franc-maçonnerie en vue de détruire les monarchies et l’Eglise.
Un historien allemand, le Dr Michael Hesemann, a exhumé des Archives secrètes du Vatican sur lesquelles il travaille depuis 2009 une lettre datée du 8 novembre 1918 et portant la signature de l’archevêque de Cologne d’alors, le cardinal Felix von Hartmann, et destinée au nonce apostolique en Allemagne, Mgr Eugenio Pacelli – le futur pape Pie XII.
Elle évoque un complot de la franc-maçonnerie en vue de détruire les monarchies et l’Eglise.
Ecrite à la main, la lettre est partiellement reproduite sur le site OnePeterFive, la reproduction complète n’ayant pas été autorisée. Mais la journaliste Maike Hickson affirme avoir eu la permission de voir la lettre dans son ensemble.
Le Dr Hesemann déclare à « Inside the Vatican » à propos du centième anniversaire des apparitions de Fatima :
«Egalement en 1917, la franc-maçonnerie célébrait le 200e anniversaire de la fondation de la première grande loge à Londres en 1717. L’idéologie maçonnique n’est pas uniquement fondée sur le déisme, mais également sur l’hérésie gnostique de l’auto-rédemption et des “Lumières” ; elle poursuit un objectif clairement anticatholique. Précisément en 1917, Maximilien Kolbe, l’un des plus grands saints du XXe siècle, a été témoin d’une procession maçonnique à Rome, où se déployaient des bannières portant ce slogan : “ Satan doit régner au Vatican. Le pape sera son esclave.”
« Un an plus tard, l’empereur allemand Guillaume II a été averti par des maçons allemands du fait que le Grand Orient avait l’intention d’obliger tous les monarques souverains en Europe à abdiquer – ce qui s’est en effet produit en 1918 – ainsi que de détruire l’Eglise catholique et d’amener l’Europe sous le contrôle du “Big Business” américain, selon un document que j’ai trouvé dans les archives secrètes du Vatican. Le bolchevisme serait l’instrument de la franc-maçonnerie en vue d’atteindre ce but.
« Et de fait, 1917 a été l’année de la Révolution russe qui s’est soldée par une persécution massive de l’Eglise.
« L’année 1917 a également été marquée par l’entrée des Etats-Unis dans la Première Guerre mondiale, l’année de naissance des deux superpuissances qui façonneraient l’histoire du XXe siècle au cours des 74 années suivantes ».
Maike Hickson a traduit les passages les plus importants de la lettre que le Dr Hesemann a lui-même présentés et commentés dans la revue allemande Der Fels. Voici ces extraits :
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« Excellence,
« Sa Majesté l’Empereur vient de me faire savoir que, “selon des informations qu’il a reçues hier, le Grand Orient vient de décider en premier lieu de déposer tous les souverains – à commencer par lui, l’empereur – puis de détruire l’Eglise catholique, d’emprisonner le pape, etc., et, pour finir, d’établir sur les ruines de l’ancienne société bourgeoise une république mondiale sous la conduite du Grand capital américain. Les francs-maçons allemands sont supposément loyaux à l’empereur (ce qui peut être mis en doute !) et ils l’en ont informé. En outre l’Angleterre veut préserver l’ordre bourgeois en cours. La France et l’Amérique, cependant, sont présentées comme étant sous l’entière influence du Grand Orient. Il est dit que le bolchevisme est l’outil externe servant à établir les conditions souhaitées. Face à un danger aussi grand qui outre la monarchie, menace également l’Eglise catholique, il est donc important que l’épiscopat allemand soit informé et que le pape lui aussi soit mis en garde.” Telle est la teneur du message de Sa Majesté.
Je me suis cru tenu de le transmettre à votre excellence, et je dois laisser à votre jugement de savoir si vous souhaitez le transmettre à Rome. La demande tumultueuse de la part des sociaux-démocrates allemands de voir l’empereur abdiquer donne une certaine confirmation à ce message. Que Dieu nous protège ainsi que sa sainte Eglise dans cette terrible tourmente ! (…)
Dans le plus grand dévouement, restant à la disposition de Son Excellence,
Cardinal Felix von Hartmann ».
Cette lettre, archivée sous la cote A.S.V., Arch. Nunz. Monaco d.B. 342, fasc. 13, p. 95-96, a été écrite trois jours avant l’Armistice.
Et c’est justement sur cette naïveté qu’ils ont bâti leur programme depuis presque trois-cents-ans.
Pourquoi pensez-vous donc que leurs sociétés secrètes soient secrètes ?
Jetez un oeil ici. Vous allez sans doute apprendre quelque-chose.
Dans la mesure où ils pensent être aujourd’hui quasiment arrivés à leurs fins, ils ne se cachent plus guère (Voir les rituels pédo-sataniques mis à jour actuellement aux USA avec arrestation de plusieurs milliers de pédophiles depuis l’élection de Trump, semble-t-il.
Voir le « spirit cooking » de Marina Abramowicz, grande prêtresse de ces bandes de dégénérés, tous issus de la haute « élite » d’Etat, ou encore les dessous du Pizza-gate, où John Podesta, conseiller de Clinton est impliqué d’horrifique façon :
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Et chez nous ?
Et bien, nous venons d’avoir un magnifique signe ! Il suffit de regarder cette capture d’écran que tout le monde peut faire en regardant le discours du nouvel élu des forces de Progrès, Emmanuel Macron.
Vous pensez vraiment que c’est « le hasard », Ahahahahah !
Laissez-moi rire !
« Eux » aussi doivent vraiment se marrer en contemplant cette foule de possédés agitant le drapeau de leur république maçonnique, en l’honneur du Sauveur…
Allons donc, il est plus que temps que nous réalisions quelles sont les forces sombres qui sont à l’oeuvre !
LE CANDIDAT FABRIQUÉ PAR LES MÉDIAS ET LA FINANCE SEMBLE EN PASSE D’ACCÉDER À LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, RÉVÉLANT, AU MOMENT OÙ LE POUVOIR MÉDIATIQUE APPARAÎT PLUS DÉLÉGITIMÉ QUE JAMAIS, SON COUP DE FORCE SUPRÊME QUI, À DÉFAUT D’UNE QUELCONQUE ALTERNANCE, EST AU CONTRAIRE EN TRAIN DE FAIRE ENTRER LA FRANCE DANS UNE ÈRE POST-DÉMOCRATIQUE.
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Galvanisation des masses, propagande, hystérie, manipulation, fuite en avant… Derrière le micro un pantin gesticule, il profite de la crise et de la crainte qu’inspire à la bourgeoisie le parti des ouvriers… Tout cela ne nous rappelle-t-il pas des heures où il était impossible de se déplacer sans une lampe de poche ? Ne voit-on pas les mêmes gigantesques mises en scène, à l’aube d’une élection capitale, au service d’un candidat offrant à chacun son couplet sans la moindre cohérence, celle-ci éludée au profit d’une pure exaltation de l’énergie, comme on le voit faire Hitler dans Le Triomphe de la Volonté de Leni Riefenstahl, lors de la campagne de 1933 ? Puisque les jours qui nous attendent mettront à la pensée politique le joug du Point Godwin, allons-y, prenons honnêtement ce chemin par pur exercice intellectuel et voyons… Le fascisme n’a jamais été une anti-démocratie où on couperait le micro, il est une perversion démocratique par saturation univoque du micro.
Qui a tous les médias avec lui ? Le Pen, ou Macron ?
En ce sens, évidemment que s’il est une campagne électorale que l’on pourrait rapprocher aujourd’hui de celle d’Hitler et ses sbires, c’est bien celle de Macron et des siens
– Jacques Attali, Pierre Bergé, Thierry Pech (le fondateur de « Terra Nova »), Xavier Niel, Alain Minc, qui portent tous, d’ailleurs, à défaut d’un « programme », du moins un projet utopiste, lequel, s’il ne cherche pas à réaliser le « surhumain », vise néanmoins le « transhumain ».
APOGÉE DU ZOMBIE
Si durant toute la campagne le candidat du vide – ni droite ni gauche, ou de gauche comme de droite, mais aussi d’en-haut et d’en bas, ou tout au contraire – a bénéficié non du fond, mais de la forme en trompe-l’œil qui fait passer pour neuf un membre du gouvernement sortant le plus détesté de la Ve République, cet avatar-caméléon-du-même qui carbure au pouvoir financier et est exalté par une coalition médiatique inédite, s’est vu couronné par les journalistes dès sa sélection au second tour, dimanche 23 avril dernier, avec une jubilation consanguine étonnante. On se réjouissait en famille au moment de hisser, de manière un peu précipitée, au-dessus de la garde-robe politique française, le porte-manteau du programme d’Attali. L’analyste des médias Daniel Schneidermann l’énoncerait clairement : « S’il reste quelques citoyens qui n’ont pas compris comment les médias ont imposé Macron comme une évidence, alors qu’ils se précipitent sur le replay de la soirée électorale de France 2. Toute la mécanique s’y dévoile. Évidemment, il y a la collection complète des couvertures de l’Obs, les éditos à répétition des snipers de Challenges, les opportunes pétitions d’économistes. Tout ceci constitue un bloc de propagande visible. Mais le plus efficace, sans doute fut-ce la propagande invisible. « On a l’impression de voir un président élu, et c’est assez impressionnant » , s’émerveilla le journaliste Jeff Wittenberg, sans réaliser que ces « images d’un président élu », il en était lui-même le fabricant, lui et sa chaîne, et tous les autres. Dans l’écriture télévisuelle française, ce type de course-poursuite motorisée est habituellement réservé à la berline du vainqueur du second tour.
Si on pistait ainsi Macron, pourquoi ne pistait-on pas pareillement Marine Le Pen à Hénin-Beaumont ? »
DUCE 2.0
Le joker du conglomérat médiatico-financier, c’est lui, et dans une ère post-démocratique, il a cet atout d’avoir compris les nouveaux rapports de forces et de jouer à fond la post-démocratie, la post-nation, le post-humain pour le plus grand bénéfice des tenants du libéralisme mondialisé. Passer de la finance aux médias et des médias à la finance, du pognon à la pub et de la pub au pognon, en ayant largué toute tradition, toute idéologie, tout concept et tout peuple historique, est un choix franc et dynamique. L’archétype du nouvel homme d’État n’a plus qu’à se confondre avec le yuppie sous coke hurlant des slogans vides devant des caméras multipliées. Duce 2.0. Même Aude Lancelin, journaliste périmée et trahie par sa caste, qui, après avoir joui toute sa carrière dans les jupes du pouvoir, s’invente rebelle une fois au chômage et se met à vouloir jouer à l’OJIM, même Aude Lancelin, donc, ne peut que compléter nos diagrammes en évoquant un « putsch du CAC 40 » : « Il y a des années que Macron plaçait ses pions auprès des géants des médias. Déjà lorsqu’il était banquier d’affaires chez Rothschild, le protégé d’Alain Minc avait conseillé le groupe Lagardère pour la vente de ses journaux à l’international. Excellentes aussi, les relations entretenues par Macron avec le sulfureux patron de Canal+, Vincent Bolloré (…). Très étroites également, celles qu’il a avec le fils de ce dernier, Yannick Bolloré, PDG d’Havas, géant de la communication mondiale. Avec le groupe de Patrick Drahi, c’est carrément la love story à ciel ouvert, même si en période électorale les pudeurs de carmélite s’imposent.
Ainsi le Directeur général de BFM TV est-il régulièrement obligé de se défendre de faire une « Télé Macron », sans convaincre grand monde (…). Lorsque Martin Bouygues et Patrick Drahi s’affronteront pour le rachat du groupe SFR, c’est Macron lui-même, alors secrétaire général de l’Elysée, qui jouera un rôle décisif en faveur de ce dernier. » Quant aux relations de connivence entre Xavier Niel et Emmanuel Macron : « Difficile en effet d’admettre publiquement pour l’homme fort du groupe « Le Monde » son degré de proximité avec le candidat d’En Marche!, alors même que beaucoup accusent déjà le quotidien du soir d’être devenu le bulletin paroissial du macronisme. Lui aussi actionnaire du groupe « Le Monde », le milliardaire du luxe Pierre Bergé, n’aura pas réussi à s’abstenir de tweeter sa fougue macronienne pendant la campagne. »
ÉPIPHANIE DU SYSTÈME
Nous y sommes. Le système, dont l’OJIM dénonce depuis des années l’œuvre de confiscation d’un véritable pouvoir médiatique indépendant, le système qui d’après ce même système n’existe pas, d’après qui le nommer de la sorte serait une extrapolation de complotiste, une outrance populiste, une simplification douteuse, ce système a enfin un visage clair, limpide, définitivement synthétique – indiscutable, et c’est celui d’un quadragénaire BCBG au sourire de télévangéliste : Emmanuel Macron.
De François Ruffin, le réalisateur de « Merci Patron ! », inspirateur des bobos nuitdeboutistes de centre-ville gentrifés à Laurence Parisot, l’ancienne patronne du MEDEF s’imaginant déjà premier ministre, de José Bové à Nicolas Sarkozy, toute la cohérence libérale-libertaire se révèle d’un bout à l’autre du spectre, toutes les composantes les plus variées de l’oligarchie, toutes les articulations du pouvoir, des banques aux chaines de télévision, des grands patrons aux ligues morales, les voilà toutes réunies, révélées, amalgamées enfin derrière un seul homme. « Pas de doute donc, comme je l’ai un jour relevé, Emmanuel Macron est bel et bien le candidat de l’oligarchie.», assène Laurent Maudui, co-fondateur du site Médiapart. Et il ajoute : « Avec l’aide de mon confrère Adrien de Tricornot, j’ai par exemple apporté la preuve qu’Emmanuel Macron avait, en 2010, trahi la Société des rédacteurs du Monde, dont il était le banquier conseil, lors du rachat du journal par Niel, Pigasse et Bergé, en étant lors de cette opération financière l’agent double du camp adverse, et notamment de l’un de ses organisateurs, Alain Minc. (…) Oligarque jusqu’au bout des ongles, enfant adultérin et monstrueux de l’Inspection des finances et de l’agence Havas… » Voilà ce qu’affirme Maudui avant d’appeler à voter pour… Emmanuel Macron.
TRIOMPHALISME
Si les médias font les élections, encenser le vainqueur revient à rendre hommage à leur propre pouvoir, et c’est sans doute de cette manière qu’il faut interpréter les invraisemblables couvertures de Paris Match, de L’Obs ou de L’Express au lendemain du premier tour. Mais également les éloges dithyrambiques du Point : « On aime le décrire comme un météore, un Rastignac des temps modernes, un jeune loup à la gueule d’ange, un Petit Prince de la politique… L’homme qui sera peut-être, à 39 ans, président de la République française, est un personnage hors norme. Il a connu une ascension éclair comme jamais l’histoire politique française n’en avait écrite, soulignait récemment une journaliste de la BBC. » Le candidat d’ « En Marche » se contredit en permanence, ne sait pas ce qu’il raconte, se ridiculise dès qu’il monte sur scène, il ne tient son succès que d’avoir été fabriqué, mais on nous le vend en Bonaparte de la démocratie spectaculaire… Alors qu’il n’est que le fils chéri de l’oligarchie, l’héritier de François Hollande, lequel est le plus mauvais président de la République que la France ait connu. « Ah oui, mais le règne du fils est formidable en soi ! », nous rétorque Sylvain Courage, dans L’Obs, se livrant à une acrobatie sophistique totalement invraisemblable pour honorer son maître : « Cette élection ouvre aussi une nouvelle ère car elle met peut-être définitivement fin à une règle immémoriale et implicite : le patriarcat. Dans l’incapacité de briguer un nouveau mandat,François Hollande, le président sortant le plus impopulaire de la Ve République, a ouvert un espace inédit à l’un de ses héritiers. Il ne l’a pas fait de bonne grâce, certes. Mais sa renonciation a permis l’émancipation de son plus proche disciple. La loi du père, castrateur du fils, ne s’est pas appliquée. Et c’est donc la loi du fils qui s’impose. A la perpétuation du pouvoir établi se substitue une nouvelle légitimité : le renouvellement naturel. Cette transmission libre qui s’apparente à une réincarnation… Plus démocratique que la loi du père, la loi du fils comporte un droit d’inventaire. Ce n’est plus le patriarche qui s’efforce de durer mais sa descendance qui dispose de son legs et agit pour son propre avenir. »
On atteint là des sommets de n’importe quoi !
Tout héritier est un fils qui deviendra lui-même un père. Du point de vue de Louis XIII, le règne de Louis XIV était tout autant le règne du fils ! Qui profitait d’une « nouvelle légitimité », d’un « renouvellement naturel », certes, mais qui n’était pas spécialement plus « démocratique » ! Hériter revient à tuer le patriarcat, d’après Sylvain Courage… C’est merveilleux. Et prostituer sa fille revient sans doute à l’émanciper, si on regarde ça sous l’angle adéquat.
MANU LE VISIONNAIRE, MACRON LE DISRUPTIF
Il n’est pas encore élu que Macron donne lieu à un concours d’éloge qui nous rappelle les heures les plus rouges du journalisme sous Staline. Au Point, on trouve cela : « Emmanuel Macron a eu trois intuitions qui ont créé les conditions d’un destin d’ores et déjà exceptionnel. Tout commence très tôt, le 27 août 2015, aux universités d’été du Pôle des réformateurs, à Pessac-Léognan. Le ministre de l’Économie est longuement ovationné. Ce jour-là, le sénateur François Patriat, qui fait partie de ses premiers soutiens, reçoit, en aparté, cette prémonition incroyable de Macron : « Il me dit :Je fais l’analyse que le chef de l’État ne sera pas en mesure de se représenter. Il faut qu’on prépare quelque chose. On doit se revoir pour préparer quelque chose ». » Le fait que Hollande ne pourrait pas se représenter et qu’il allait falloir trouver autre chose, tout le monde le savait, depuis au moins novembre 2014, date à laquelle Les Inrocks offraient à Juppé une invraisemblable couverture, trahissant par là leur conviction de l’impossibilité pour Hollande de rempiler. Mais quand c’est Macron qui formule dix mois plus tard cette évidence, cela devient une « prémonition incroyable ». Pour France Inter, Macron réalise « le hold-up du siècle », comme titré en référence à la phrase d’un élu socialiste recyclée sans recul. Dans Paris Match, le messie est décrit parée de toutes les qualités : « A la lumière des ralliements de droite comme de gauche, et des sondages qui le placent largement en tête au second tour, la dernière marche vers le perron de l’Elysée pourrait sembler la plus facile. Mais l’élève des jésuites, diplômé de philosophie, sait que l’orgueil est un péché et la présomption un écueil redoutable. » Pourtant, il a démontré précisément le contraire, et c’est d’ailleurs ce qui a été relevé en général, même parmi ses soutiens. Ce renversement du réel témoigne simplement du degré d’aveuglement idéologique que certains journalistes peuvent atteindre face à leur candidat officiel.
MÉDIAS EN CAMPAGNE
Après la séquence Whirlpool, BFM et France Inter ont même tenté de réécrire ce à quoi tout le monde avait pu assister, comme le montrait Eric Verhaeghe sur Contrepoints : « (…) de longues minutes de direct ont permis de montrer comment le candidat sorti premier au premier tour s’est retrouvé en difficulté dans un mouvement populaire qui bafouait son prestige. Immédiatement après ces images désastreuses, BFM a repris la situation en main en produisant des commentaires qui disaient exactement le contraire de la réalité qui venait de s’étaler aux yeux des Français. S’est alors construit un roman grotesque où Marine Le Pen serait venue 15 minutes sur place pour faire des selfies avec des militants du Front National, quand Emmanuel Macron aurait courageusement affronté la tempête et ramené le calme auprès d’ouvriers déboussolés par la mondialisation. Le plus ahurissant fut d’entendre ce matin les commentaires et chroniques sur France Inter (première matinale de France, rappelons-le) où une opération de propagande à la Potemkine fut clairement menée. Tout le monde connaît la proximité entre Emmanuel Macron et le directeur général de Radio France. Mais trop, c’est trop. » Jour après jour, on assiste à des pratiques de propagande que l’OJIM a déjà dénoncées à de très nombreuses reprises, mais qui, dans un tel contexte, deviennent outrageusement manifestes et carrément permanentes.
MISE EN LUMIÈRE
Pris de panique, le système médiatique tombe tous les masques, et c’est du moins l’avantage de ce second tour qu’une pareille mise en lumière. « Nan, pas fa ! Pas fa ! Pas fa ! » Qui exprime ainsi son dégoût pathétique ? Un enfant refusant de boire de l’huile de morue ? Non, d’après les médias, le futur chef de la République française faisant front au fascisme ressuscité.
Que ces gens-là ont-ils donc dans le cerveau ? Quand on parie sur un tel cheval, abandonner toute distance critique pour mener à bien son œuvre de manipulation des masses exige une imperméabilité totale à la honte.
Visiblement, cette imperméabilité existe. France Inter en arrive a censurer un humoriste, non parce qu’ils appelle à voter Marine Le Pen, mais parce qu’il ose seulement s’abstenir et ne pas voter Macron ! On censure, on érige des murs infranchissables, on aboie, même, pour lutter prétendument contre un fascisme hypothétique, essentiellement légendaire, contre la possibilité d’une dérive autoritaire d’une présidente potentielle pour l’heure dans une situation de seule contre tous, et on cimente, par là, un fascisme bien concret, bien omniprésent, bien palpable : celui de la Pensée unique acclamant par ses médias, aujourd’hui, le candidat unique d’un parti unique.
Fin de l’article de l’OJIM
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Ceci est une capture d’écran tiré du discours de Macron sans aucune retouche. (Allez vérifier vous même.)
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La lueur rouge dans la partie sommitale de la pyramide est certainement dûe au plus grand des hasards !
Lucidité de Monseigneur Williamson au sujet de la crise de l’Eglise et du monde occidental.
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Série de deux vidéos en français, où Monseigneur Williamson analyse et résume de façon chirurgicale, les grandes étapes de l’Histoire de l’Eglise Catholique: Age d’or jusqu’au XIIème Siècle, puis déclin de plus en plus accéléré par les menées des Forces anti-Christiques: Protestantisme, Franc-Maçonnerie, Vatican II, puis compromission de la Fraternité Saint Pie X avec la Néo-Rome depuis le rappel à Dieu de Monseigneur Lefèbvre…
Ces étapes s’enchaînent avec complète logique pour aboutir à l’effondrement civilisationnel que nous connaissons aujourd’hui.
Un raccourci passionnant autant pour le Chrétien épouvanté par les invraissemblables dérives « conciliaires » de l’Eglise Catholique, que pour le non-Chrétien qui cherche la Vérité en toute honnêteté intellectuelle sur l’origine de la supercherie géante dans laquelle ses nouveaux Maîtres l’ont plongé…
Cette contre-religion, initiée par la Synagogue, qui débuta avec Luther et Calvin **, et « dont les noms sont Légions », ainsi que le dit le Christ lui-même: Protestantisme, Laïcisme, Modernisme, Libéralisme, Communisme, (et même aujourd’hui …Satanisme ouvertement revendiqué ), a éclipsé au travers des temps qui lui ont été impartis et avec une infinie patience, la simple et lumineuse religion du Christ qui avait modelé l’Occident pour le meilleur pendant mille ans.
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« Nous autres hommes modernes, nous sommes des corrompus par la « soupe » moderne qui est très attirante ! Nous ne sommes plus des Paysans. Nous n’avons plus ce bon sens du réel. Nous n’avons plus cette santé mentale et morale d’antan… «
Monseigneur Williamson
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** : Dans son ouvrage « Des pions sur l’Echiquier », l’amiral William Guy Carr mentionne :
« Contrairement à l’opinion répandue, le Calvinisme est d’origine juive. Il fut délibérément conçu pour diviser les fidèles des religions chrétiennes et le peuple. Le véritable nom de Calvin était Cohen ! Lorsqu’il vint de Genève en France pour commencer à prècher sa doctrine, il se fit appeler Cauin et il devint ensuite « Calvin » en Angleterre. »
Enfin des voix semblent s’élever face à la contre-Eglise maçonique !
Je reproduis ci-dessous l’article de François Billot de Lochner: http://www.libertepolitique.com/Actualite/Editorial/Hollande-les-Macons-et-la-Mort
Eh bien, ça fait plaisir ! Et cela a la vertu d’être clair, net et sans bavure.
Ohé !! les évêques de France, on se bouge quand ??? Vous trouvez sans doute que le Christ n’est pas encore assez outragé, la France pas assez défigurée ?
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Hollande, les Maçons et la Mort
Article rédigé par François Billot de Lochner, le 10 mars 2017
Le premier personnage de l’État vient d’être reçu en grande pompe par l’Église Maçonne, à savoir le Grand Orient de France, église qui possède son clergé, ses fidèles, ses textes « sacrés », ses moyens d’action et qui, en outre, reste une société secrète. Au nom de quoi le Président de la République honore-t-il une telle secte, par sa présence et par son discours ?
A l’évidence, cette présence de François Hollande est aberrante. Les maçons ont développé une « religion sans Dieu » dont l’objectif affiché est la destruction de l’Église catholique, et donc de la France et de ses quinze siècles de catholicisme, puisque chacun sait, mis à part Jacques Chirac, que la France ne serait ce qu’elle est sans ses racines chrétiennes.
Le chef de l’État, par sa présence, valide cet objectif final, ce qui ne peut qu’effrayer.
Dans son discours, Hollande indique que les maçons ont été et sont de grands défenseurs de la dignité humaine. Ah bon ? La loi sur l’avortement de 1974 a été voulue, préparée et mise en œuvre par les maçons : les huit millions de bébés tués dans le ventre de leur mère remercieront François pour ses mots magnifiques sur la « dignité humaine ». Quant au transhumanisme, que le président évoque avec des trémolos dans la voix, il a pour objectif affiché de détruire la personne naturelle, remplacée peu à peu par un individu artificiel créé de toute pièce.
Vous avez dit « dignité humaine » ?
Enfin, lorsque François Hollande parle des maçons comme des boussoles et des lumières pour notre pays, il peut nous prendre des envies de nous enfermer définitivement entre les murs de la sublime Grande Chartreuse, enrobée du non moins sublime silence musical de la Création.
Enfin, comment peut-on mentir à ce point ?
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La révolution de 1789 a été initiée par les maçons, et a produit la dictature, la Terreur, et plusieurs centaines de milliers de morts. Si lumière il y a, elle est rouge sang.
Pardon, mais c’est bien sûr : l’extermination des vendéens, hommes, femmes et enfants, dans des conditions de sauvagerie peu imaginables, fut évidemment une boussole et une lumière !
Hollande conclut désastreusement un quinquennat désastreux : la République soutient donc officiellement et publiquement les Puissances de Mort que représentent les très déconstructeurs maçons.
La Conférence des évêques de France ne peut que s’insurger, par une action très attendue, contre un tel état de fait, qui met une lumière crue sur la lutte toujours recommencée des maçons contre l’Église. Lutte plus que jamais frontale, qui pourrait devenir finale.
François Billot de Lochner,
président de la Fondation de Service politique.
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(Ahahah ! il peut toujours se brosser, ce brave FBDL, vu que beaucoup des-dits « évêques sont maçons aussi ! )
Pizzagate: La révélation d’un immense réseau pédo-criminel d’obédience satanique et lié aux élites de Washington DC va-t-elle enfin s’étaler à la vue de tous ?
Avec cette diffusion sur la chaîne américaine CBS, le Pizzagate sort de l’internet.
Des têtes vont-elles finir par tomber ? Des bruits courent. Nous serons bientôt fixés… ou pas.
La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est célèbre dans le Moyen-Orient, région dans laquelle les États-Unis œuvrent pour le bénéfice exclusif de leur golem israélien [*].
Pour comprendre certaines des questions les plus profondes et des conflits actuels au Moyen-Orient et d’une grande partie de l’Ouest, nous devons revenir à Daniel Pipes, qui, perversement et diaboliquement, a déclaré en 2013 que les États-Unis et une grande partie de l’Occident doivent soutenir à la fois et en même temps les terroristes syriens et le gouvernement Assad.
Voici le meilleur de Pipes:
«L’Occident doit empêcher chaque côté dans la guerre civile de sortir victorieux en aidant celui qui perd, de manière à prolonger leur conflit [NdT. sous-entendu : jusqu’à mort totale des deux].» [1]
Pipes savait que cela était une entreprise diabolique. Il savait que cela n’est pas conforme avec l’ordre moral et politique. Il savait qu’un conflit prolongé dans la région créerait plus de sang, plus de misère et plus de destruction. Il savait que les guerres perpétuelles signifient la haine perpétuelle envers les pays qui ont provoqué et encouragé ces guerres, à savoir, Israël et l’État sioniste d’Amérique. Il n’a pas demandé une résolution pacifique. Il voulait des morts massives, un génocide. Il voulait évidemment des terroristes syriens pour couper les cœurs de leurs victimes et les manger devant les acclamations de la foule fanatisée. [2] De plus, il sait très bien qu’aucune personne raisonnable ne serait d’accord avec sa perversion. En fait, il a ajouté:
« Cette recommandation de politique d’aider « le côté qui perd » semble étrange, je l’avoue, mais elle est stratégique. » [3]
Stratégique? Plus de chaos est stratégique? Eh bien, selon les mœurs talmudiques, la réponse est oui.
Comme l’écrivain juif Sidney Blumenthal l’a montré, le mouvement néo-conservateur a son idéologie politique et intellectuelle « dans le patrimoine agressif du Talmud.» [4]
Ce qui nous amène à un point important ici.
Pipes et ses semblables, comme saint Paul l’a fait remarquer il y a près de deux mille ans, sont en guerre avec le Logos métaphysique et avec toute la race humaine. Pipes et d’autres tentent désespérément de remuer ciel et terre pour appliquer leur plan diabolique. Ils continueront d’opposer les honnêtes gens les uns contre les autres afin qu’ils puissent établir leur Royaume Khazar sur la terre. Leur fidélité à l’Amérique n’est ni «libérale» ni «conservatrice», sinon ils n’auraient jamais manipulé les deux parties [NdT. Elle est pour « Israël d’abord »].
En fait, l’établissement- soi-disant républicain « dont beaucoup sont des cadres ou des membres du cabinet du président George W. Bush » – ont déjà mis leur sceau d’approbation sur Hillary Clinton. [5]
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Du point de vue politique, cela est totalement inexplicable. Et si vous êtes enfermé dans la rhétorique la-gauche-contre-la-droite, vous vous trouvez dans un dilemme sans espoir. Vous ne savez plus ce qui se passe réellement.Mais si vous comprenez que la Mafia Khazare peut truquer le jeu politique et lancer les dés idéologiques pour des raisons politiques, alors vous comprendrez qu’il y a beaucoup plus ici que ce que vous voyez ou entendez.
Le point central est que, depuis que la Mafia Khazare a catégoriquement et métaphysiquement rejeté l’ordre moral et politique, les khazariens et les néocons ont inexorablement embrassé le chaos et la destruction.
Ceci est une raison pour laquelle Pipes et ses semblables ne se soucient pas de savoir si les musulmans et les chrétiens vivent ou meurent au Moyen-Orient. Ils ne se soucient pas de savoir si les mères pleurent et gémissent pour leurs enfants dans des endroits comme l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie et ailleurs. Ils ne se soucient pas de savoir si les gens se blessent ou des pays entiers sont vaporisés en une seconde. Ils ne se soucient pas si leur plan a versé trop de sang d’un pays à l’autre. Ils ne se soucient que de remplir leur plan diabolique. Bien sûr, cela est une déclaration forte. Mais écoutez très attentivement à nouveau le Néocon juif Jonah Goldberg:
« Tous les dix ans ou plus, les États-Unis ont besoin de ramasser dans leurs filets un petit pays de merde pour le jeter contre le mur, juste pour montrer au monde que nous ne plaisantons pas. » [6]
Goldberg avait encore de plus belles choses à dire:
«Il n’y a rien que nous voulons voir se produire au Moyen-Orient qui peut être accompli en parlant autour de longues tables ornées de bouteilles d’eau et de fruits frais dans les hôtels suisses qui ne peut être accompli plus rapidement et de façon plus permanente par la guerre. Et il y a beaucoup de choses qui ne peuvent pas être réalisées par ces conférences et qui ne peuvent être atteintes que par la guerre ». [7]
Quant aux débâcles néocons comme le désordre complet en Irak, Goldberg dit ailleurs, c’était «une notable erreur.» [8]
Gardez à l’esprit que Goldberg est l’auteur de livres tels que « La tyrannie des clichés: comment les libéraux trichent dans les guerres des idées » Goldberg a de nouveau écrit:
« Est-ce que l’invasion de l’Irak a provoqué une instabilité dans la région? Oui. Mais dans ce contexte, l’instabilité est bien plus profitable pour nous (sous-entendu : les sionistes) ». [9]
Si cela n’est pas diabolique, alors rien ne l’est.
Si Goldberg n’est pas un ennemi de la race humaine, alors personne ne l’est.
Cet homme et ses semblables doivent être jugés pour les crimes qu’ils ont commis contre les honnêtes gens au Moyen-Orient. Si J. O’Rourke a raison {que le gouvernement américain est «un parlement de putains» et que les trois branches du gouvernement sont « l’argent, la télévision, et la connerie»}, alors l’esprit révolutionnaire juif, comme E. Michael Jones aurait dit,
C’est «la synagogue de Satan. »
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Cette synagogue a créé un environnement où «l’argent, la télévision, et les conneries » deviennent la norme.O’Rourke a un chapitre entier dans son livre intitulé: «Nos gouvernants : Qu’est ce qu’ils branlent tout le long de la journée ? Et pourquoi ça nous coûte tout ce putain de fric? »
Ne devrait-il pas maintenant poser cette question aux néoconservateurs qui nous ont donné une guerre de six milliards de dollars? [10]
En tout état de cause, la stratégie de diviser pour régner a été utilisée et est utilisée par la Mafia Khazare pour détruire les pays et les gens qu’ils n’aiment pas. Michael Hoffman va nous dire une autre facette de cette question d’une importance vitale ici.
Hoffman: Comme les Saoudiens utilisent la théologie salafiste/wahhabite pour salir les sunnites en les recrutant dans ISIS, et tandis que leurs victimes musulmanes chiites sont méprisées, le sionisme israélien et le judaïsme orthodoxe ont le vent en poupe et gagnent en prestige dans l’Ouest. Ce récit correspond au « choc des civilisations » Néocon, scénario parfaitement bien rodé …
*Mais le véritable affrontement, il est né sur le Calvaire il y a plus de 2000 ans.Pourquoi continuons-nous de l’oublier?
Goldwin Smith, professeur royal d’histoire à Oxford à l’époque victorienne, a écrit:
« La partie noble de la nation juive, les véritables héritiers de David et des prophètes, a entendu l’Évangile, et sont devenus les fondateurs d’une religion humaine; la partie la moins noble, dirigée par l’orgueil national et le cérémonialisme, incarnés dans le Pharisien, a rejeté l’humanité, et retomba dansun tribalisme plus dur et plus étroit qu’auparavant. Excitant la haine des autres nations et les craintes de l’Empire, ils ont perdu leur pays, et ont erré dans le monde en intensifiant leur sentiment tribal, et leur religion plus que jamais identifiée avec lui … Ils ne pouvaient pas être cosmopolites, car ils sont encore sous l’emprise du tribalisme: ils sont devenus, par nécessité, plutopolitains « (Revisionist History newsletter 85, p. 12.).
« … l’humanité rejetée … »
Qu’est-ce que ce rejet implique, sinon opposer les races, les religions et les régions les unes contre les autres pour le bien de la tribu à laquelle le professeur Smith fait allusion? La collusion entre l’Arabie Saoudite et l’État d’Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d’Assad et l’Irak de Saddam Hussein, reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est justement célèbre dans le Moyen-Orient, où les États-Unis sont perçus comme le serviteur du golem israélien.
Les Saoudiens, les gardiens de la Mecque et de Médine, qui contiennent les deux sanctuaires les plus saints de l’Islam, ont vendu les Palestiniens aux Israéliens il y a des décennies, et maintenant Netanyahu peut en faire ce qu’il veut. Ceci est plus qu’une trahison dans le monde islamique, c’est une espèce de trahison presque inimaginable, car les Saoudiens concèdent aussi al-Qods (Jérusalem) aux sionistes, qui abrite le troisième lieu du centre de l’Islam.
Les chiites, qui ont perdu, à cause du terrorisme d’ISIS, plus de civils que toutes les nations occidentales réunies, n’ont jamais abandonné les Palestiniens et n’ont jamais conspiré avec les Israéliens. Par conséquent, c’est l’Iran chiite et non pas l’Arabie Saoudite qui reste dans le collimateur de « notre » Congrès, « notre » Pentagone et « nos » médias. Aussi bien le Congrès, que le Pentagone ou les médias sont aux mains des sionistes.
L’Iran va probablement sentir la colère du golem américain si la tordue Hillary gagne la Maison Blanche en Novembre. Les Saoudiens quant à eux, ne souffrent d’aucune sanction américaine en dépit du fait qu’ils ont beaucoup de liens secrets avec ISIS, et qu’ils sont les promoteurs de la théologie hérétique salafiste wahhabite qui alimente la barbarie dans le monde, et qui est soutenue par le gouvernement des États-Unis.
Le Wall Street Journal du 13 Mars 2015, écrit en page A6: « … la branche syrienne d’Al-Qaïda … le Front al-Nosra, … n’a pas « dérangé Israël depuis qu’il a saisi la zone frontalière l’été dernier et certains de ses combattants gravement blessés sont régulièrement pris à travers la frontière pour recevoir des soins dans les hôpitaux israéliens « .
En Europe, cela est mieux compris. Marine Le Pen, chef du Front national en France, à la suite de l’assassinat du Père catholique Jacques Hamel, a appelé à la fermeture des «mosquées salafistes. Elle a distingué les Salafistes et, à juste titre, ne se réfère pas aux chiites, alors qu’aux États-Unis, nous ne parvenons pas à faire ces distinctions importantes.
Le judaïsme utilise la « judeo-Churchianity » dans le Sud de l’Amérique en tant que bras de son appareil de propagande, même si le judaïsme exècre le véritable Évangile de Jésus-Christ. Le judaïsme a utilisé dans le passé et continue d’utiliser maintenant des éléments traîtres de l’islam sunnite, malgré que, comme exposé par le rabbin Maïmonide au Moyen Age, ils maudissent Mahomet et sa religion coranique.
ISIS est utilisé pour provoquer des états policiers en Europe, au Canada et aux États-Unis, tout en noircissant la réputation des musulmans et en contribuant à l’assujettissement des Palestiniens par Israël. Plus il y a de terreur ISIS, et plus les libertés civiles sont réduites, et plus la «manière israélienne de traiter » les Palestiniens et les Libanais devient le modèle pour rétablir l’ordre dans l’Ouest. Après le meurtre du prêtre catholique en Normandie, Hervé Morin, président de la région Normandie et ministre de la Défense sous l’ancien président Nicolas Sarkozy, a déclaré: «Nous devons israéliser nos conditions de sécurité. »
Les Israéliens apparaissent ainsi comme les gagnants des relations publiques et les meilleurs amis supposés de la civilisation occidentale. Il est tragique que les personnes concernées par cette question vitale ne paient pas plus d’attention aux textes rabbiniques fondamentaux du judaïsme. Dans la Mishna et la Guemara ( «Talmud») et des livres saints successifs tels que Choul’han Aroukh de Rabbi Joseph Karo, il existe une hostilité indéracinable sauvage envers la civilisation des Gentils, des Goys.
Nous trouvons cela dans le festival Tisha B’Av (Neuvième Av) et dans le Talmud babylonien lui-même où tuer, voler, violer et les Gentils sont autorisés. Même une brève lecture d’un seul passage du Talmud, Baba Kama, présente de nombreux exemples d’hostilité à l’égard des non-juifs. Dans Baba Kama 113a, nous découvrons que «Il est permis de tromper un Gentil. » Dans cette même page, un exemple d’une affaire judiciaire est donné qui oppose un Juif contre un Gentil. Voici l’approche juridique conseillé: « On aborde le cas de manière détournée afin de faire gagner le Juif. »
Tournez la page et on rencontre Baba Kama 113b, dans laquelle les affaires perdues par un Gentil ne doivent pas lui être rendues, bien qu’elles lui appartiennent, après quoi suivent les instructions sur la façon d’arnaquer les non-Juifs dans les affaires:
« Il est permis de profiter financièrement d’une erreur d’affaires d’un Gentil. » Des cas sont donnés à titre d’illustration. Un de mes favoris personnels est l’exemple de l’arbre de palme qui doit être coupé vers le haut et le bois partagé entre un marchand juif et un marchand Gentil. Dans le Talmud, le Juif intelligent se montre plus malin que son partenaire non juif, ordonnant à son serviteur:
« Dépêchez-vous et précédez le gentil de sorte que vous pouvez prendre pour moi les troncs les plus épais que ceux de la partie supérieure de l’arbre, car le gentil ne connaît que le nombre de troncs qu’il doit recevoir et ne réalisera pas que vous prenez des morceaux plus épais. « (Baba Kama 113b).
Cette mentalité d’arnaquer les non-juifs est institutionnalisée chez les adeptes du judaïsme orthodoxe. » Les Rabbins sont susceptibles de modifier leurs mots, et l’exactitude de leurs déclarations ne doit pas être invoquée.» -Le Talmud: (Vol. II, pp 48-49.) Steinsaltz édition.
Assassinat, viol, pédophilie, sodomie, misogynie, magie, idolâtrie: le Talmud recommande tout cela sous une forme ou une autre. Les 1100 pages dans le livre de cet écrivain, le judaïsme découvert ne suffisent pas à contenir plus d’un fragment. En prévision des objections: non, aucun des textes cités n’est « pris hors contexte, » non, le Talmud est non seulement une «série de débats », c’est la source sacrée de la halakha (lois du judaïsme) de Chazal (les auteurs collectifs vénérés [les «sages»] du Talmud).
L’Islam étant dérivé du christianisme et du judaïsme talmudique, contient quelques uns des mauvais traitements et de la tromperie des non-croyants que l’on trouve dans le Talmud babylonien, mais rien de comparable ou à la même échelle, et rien n’est justifié par un des critères raciaux. Pourtant, aux États-Unis et en Occident, la crainte de la loi de la charia est beaucoup plus notoire que celle de la loi halakhique rabbinique.
Nous ne devons pas seulement procéder par les livres contenant les règles saintes du judaïsme pour racketteurs. Nous avons aussi le témoignage du passé. Dans bulletin Histoire Révisionniste no. 70 (qui est principalement destiné à documenter l’existence de beaucoup de rituels de malédictions du judaïsme sur les chrétiens Birkat Haminim) dans un excursus nous avons sondé les alliances judéo-islamiques en Espagne médiévale, où les malédictions rabbiniques ont grimpé à leurs paroxysmes extrêmes de haine contre les chrétiens, d’une manière qui n’a pas été dirigée contre les musulmans. [11]. De plus, les malédictions rabbiniques officielles sur meshummadim (juifs convertis à d’autres religions, en particulier le christianisme), ne comprennent aucun dénigrement de juifs convertis à l’islam.
A l’époque médiévale, le judaïsme a pu prospérer sous l’islam alors qu’il était sévèrement restreint en Europe catholique.
Pour cette raison, entre autres, le « Ne jamais pardonner/ Ne jamais oublier » sera toujours vivace jusqu’à ce que l’Europe soit ruinée et que les populations européennes soient sévèrement diminuées.
Cela ne se fait pas seulement par le pion du judaïsme qu’est ISIS. Les médias sionistes influencent et promeuvent l’avortement, la contraception, [NdT. l’homosexualité,] l’euthanasie et la haine de soi, qui sont tous des cas de pandémie en Europe et dans les pays occidentaux en général.
Les idéologies modernistes de provenance rabbinique ou sioniste qui ont pour principe le rejet de l’Évangile authentique de Jésus et la mise en place des contrefaçons:
Elles tuent psychologiquement et spirituellement.
Dans le numéro actuel de Revisionist History newsletter (no. 85) nous étudions comment la banque Rothschild a gagné sa domination sur l’Angleterre à l’époque victorienne. Nous documentons que lorsque les nations balkaniques chrétiennes captives de l’Empire ottoman se révoltèrent avec l’aide de la Russie tsariste, ce sont les Rothschilds, avec l’aide du Premier ministre britannique Benjamin Disraeli, qui a soutenu le califat contre les chrétiens, en dépit des (ou peut-être dans l’approbation des) massacres de chrétiens bulgares et serbes par les milices ottomanes.
Dans notre 21ème siècle, la nation israélienne a été à l’abri des attaques d’ISIS, [NdT : d’al-Qaïda et des autres djihadosionistes, qu’on désigne globalement par « Frères Musulmans »]. Le dossier montre que les hôpitaux israéliens ont rafistolé les terroristes d’al-Qaïda et d’ISIS, puis les ont ramené en Syrie pour aider à renverser le régime d’Assad, ami et protecteur des chrétiens. Le Ministre de la Défense de Netanyahu, Moshe Ya’alon a déclaré publiquement qu’il préférait la victoire d’ISIS en Syrie.
Peut-être un jour bientôt, nos informations obtiendront une publicité suffisante pour rendre ces vérités radicales manifestes à beaucoup d’Américains et partout dans le monde …
Pendant ce temps, les rabbins continuent à parader haut comme des paladins oints par les médias de la civilisation occidentale, en contraste avec leurs « faux drapeau » clandestins , ISIS et tous les autres Islamistes (salafistes, wahhabites, al-Qaïda, Frères Musulmans, …).
Jonas E. Alexis & Michael A. Hoffman
(Traduction : Hannibal GENSERIC)
NOTES:
[*] Le golem est cette créature d’apparence humaine créée par des procédés magiques dans l’antichambre d’un kabbaliste. Du moins est-ce la perception la plus courante de ce puissant monstre anthropoïde qui a la fâcheuse habitude d’échapper au contrôle de son créateur, non seulement cela, mais il arrive que le golem parvient à contrôler son créateur, comme Israël qui contrôle l’Empire américain.
On trouve les traces de la fameuse créature dans le Talmud, dans le Sefer Yetzirah.
Au fil des jours, il croît en taille et en pouvoir de destruction. Notons que Golem signifie également « idiot, abruti », ce qui laisse présager un esprit peu brillant…
On peut s’interroger sur l’utilité d’une telle création. Pour certains, il s’agit de construire une sorte de messie vengeur et destructeur.
[1] Daniel Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.
[2] Paul Wood, “Face-to-face with Abu Sakkar, Syria’s ‘heart-eating cannibal,’” BBC, July 5, 2013.
[3] Pipes, “Support the Syrian Rebels?,” National Review, May 12, 2013.
[4] Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-Establishment: From Conservative ideology to Political Power (New York: HarperCollins, 1998), 124.
[5] David E. Sanger and Maggie Haberman, “50 G.O.P. Officials Warn Donald Trump Would Put Nation’s Security ‘at Risk,’” NY Times, August 8, 2016.
[6] Quoted in Conor Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.
[7] Ibid.
[8] Jonah Goldberg, “Iraq Was a Worthy Mistake,” LA Times, October 19, 2006.
[9] Friedersdorf, “The Real Radicals of the Iraq War: Its Proponents,” Atlantic, March 6, 2013.
[10] Ernesto Londono, “Study: Iraq, Afghan war costs to top $4 trillion,” Washington Post, March 28, 2013; Bob Dreyfuss, The $6 Trillion Wars,” The Nation, March 29, 2013; “Iraq War Cost U.S. More Than $2 Trillion, Could Grow to $6 Trillion, Says Watson Institute Study,” Huffington Post, May 14, 2013; Mark Thompson, “The $5 Trillion War on Terror,” Time, June 29, 2011; “Iraq war cost: $6 trillion. What else could have been done?,” LA Times, March 18, 2013.
[11] For other scholarly studies, see Ruth Langer, Cursing the Christians?: A History of the Birkat HaMinim (New York: Oxford University Press, 2011); for similar studies, see Jacob Yuval, Two Nations in Your Womb: Perceptions of Jews and Christians in Late Antiquity and the Middle Ages (Berkeley and Los Angeles: University of California Press, 2006); Elliott Horowitz, Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence (Princeton: Princeton University Press, 2006); Rodney Stark, The Rise of Christianity: How the Obscure, Marginal Jesus Movement Became the Dominant Religious Force in the Western World in a Few Centuries (Princeton: Princeton University Press, 1996).
« Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel ont été étudiées et mûries dans les loges avant d’être votées par les députés »,
confirme Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon.
Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le raconter.
C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé aujourd’hui de 60 ans, et qui en a passé 24 au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France).
Son livre « J’ai frappé à la porte du temple » (Éd. Pierre Téqui) est un témoignage passionnant sur les années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie.
Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir. Le processus de son retour à la foi a été très long.
La Porte Latine publie cet article dans sa rubrique « Les Insolites de LPL » pour démontrer à tous les libéraux « consensualistes » que les ennemis de l’Eglise sont forts de nos faiblesses et de notre manque de formation.
Dieu merci, le Malin se fait souvent prendre au piège de la Providence divine et ses plus fidèles suppôts peuvent devenir des serviteurs de la Vérité.
Daigne Notre-Dame éclairer les prêtres, les évêques et les cardinaux qui ne dénoncent plus le danger mortifère de la franc-maçonnerie.
(Entretien accordé à Aleteia)
Pour quelle raison êtes-vous entré dans la franc-maçonnerie?
Serge Abad-Gallardo : J’avais l’âge et la situation sociale idéales pour être franc-maçon : à 33 ans, j’étais haut-fonctionnaire municipal, en tant que directeur de l’urbanisme. À cette époque, je m’étais éloigné de l’Église et ma foi était bien tiède. Un ami que je ne savais pas franc-maçon m’a proposé d’y entrer. J’étais curieux de découvrir les prétendus secrets de cette organisation.
Quand avez-vous commencé à prendre conscience de ses aspects dérangeants ?
S.A.-G. : Au début, certaines paroles du rituel maçonnique (rite écossais ancien et accepté) m’ont fait reconnaître des liens entre la franc-maçonnerie et l’Église. À titre d’exemple, dans le rituel d’initiation on retrouve des phrases comme : « Cherchez et vous trouverez » ou « Frappez, et l’on vous ouvrira » qui sont dans les Évangiles. Petit à petit, je me suis rendu compte que le sens n’était pas le même. J’ai entendu aussi des expressions très anticléricales. Cela ne m’a pas plu, mais je me suis adapté car j’étais éloigné de la foi, et surtout de l’Église. En outre, dans la franc-maçonnerie on parlait beaucoup de fraternité, mais j’ai pris conscience que derrière cette fraternité apparente il y avait quelques arrangements et des luttes pour le pouvoir au sein même de la franc-maçonnerie. Enfin, quand je suis revenu à la foi, j’ai compris que le catholicisme et la franc-maçonnerie étaient incompatibles.
Comment s’est déroulé ce processus de conversion ?
S.A.-G. : Il a duré près de neuf ans ! Je crois que Dieu m’a laissé si longtemps dans l’erreur de la franc-maçonnerie (24 ans, jusqu’à être Vénérable Maître et accéder aux plus hauts grades) afin qu’aujourd’hui aucun maçon ne puisse me dire – comme certains ont tenté de le faire, en toute mauvaise foi – que je n’ai rien compris. Je suis passé par divers stades. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, j’ai pris conscience de la présence du Christ à mes côtés. Cela a débuté en 2002, quand j’ai rencontré un prêtre franciscain près d’Aix-en-Provence. Ses paroles m’ont paru maçonniques et m’ont plu parce que je pensais qu’il existait des liens entre la franc-maçonnerie et le catholicisme, mais j’ai compris au fur et à mesure que le sens de ses paroles était fondamentalement différent.
Par exemple ?
S.A.-G. : Lorsque la franc-maçonnerie parle de « Lumière », elle parle d’une « Connaissance », d’un savoir ésotérique, hermétique et occulte. Alors que ce Franciscain me parlait de « Lumière » comme étant l’Amour de Dieu pour nous. Un autre exemple : quand la franc-maçonnerie dit : « Cherchez et vous trouverez », il s’agit d’aller chercher et de trouver au fond de soi-même, c’est la parole hermétique maçonnique « V.I.T.R.I.O.L. » (Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem : Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée).
Mais les paroles de l’Évangile ne signifient rien de tout cela : elles disent que Dieu nous cherche avant même que nous pensions à Le chercher. C’est Dieu qui donne l’Amour à l’homme, non le contraire. L’amour de l’homme est une image de l’Amour de Dieu. Dieu nous a faits à son image. Tout ceci n’a rien à voir avec la magie, l’occultisme ou des formules symboliques ! Je suis sorti de cette rencontre avec le Franciscain complètement bouleversé, et j’ai senti la présence du Christ à mes côtés. Je ne pouvais imaginer qu’Il m’aimait de cet Amour immense que maintenant je ressentais. Il n’y a pas de mots pour le dire.
Mais ce n’était pas encore la conversion complète …
S.A.-G. : J’ai recommencé à prier, sans pour autant retourner à la messe. Un jour de 2005, à une mauvaise époque de ma vie, je me trouvais dans une chapelle quand le Christ m’a répondu. Une expérience incroyable, je suis quasiment tombé de mon banc. Mais même ainsi, je résistais et je ne comprenais pas ce que le Christ attendait de moi.
Que s’est-il passé ensuite ?
S.A.-G. : En 2012, j’ai expérimenté ce que l’on pourrait appeler « le Mal ». Je me suis trouvé face à la noirceur de l’âme humaine et face à la présence du diable dans nos vies avec la sorcellerie et magie. Cela peut paraître incroyable, mais je n’ai pas d’autre choix que de raconter les choses telles qu’elles se sont passées. Le monde s’est fermé pour moi. En quelques mois, j’ai perdu mon emploi, mon bon salaire, la maison où nous habitions, mon voilier de 12 mètres, ma voiture de sport, mes amis… Je me sentais totalement perdu et ne trouvais pas de réponses dans la franc-maçonnerie, qui ne pouvait pas répondre à la question de l’existence du mal dans le monde. L’idée m’est venue de faire une retraite quelques jours dans l’abbaye de Lagrasse ; et là, devant le Christ en croix, je me suis mis à pleurer et me suis rendu compte que ce Christ pleurait avec moi. Cet Amour fut comme une lumière. J’ai passé une semaine avec les moines, et mon cœur s’est ouvert totalement à l’Amour du Christ.
Et c’est à ce moment que vous êtes sorti définitivement de la franc-maçonnerie…
S.A.-G. : Tout ce que j’y vivais m’a paru faux, ou du moins tiède. Je n’ai pas pu y rester, d’autant que j’ai compris que la franc-maçonnerie était totalement incompatible avec la foi catholique.
A-t-elle réellement le pouvoir que lui prête sa légende ?
S.A.-G. : Oui, ce pouvoir, elle l’a ! En France, depuis 2012, de nombreux ministres sont maçons. Et les grands maîtres du Grand Orient, du Droit Humain ou de la Grande Loge veulent changer la société. Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel sont des idées maçonniques. Un grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a avoué que toutes ces lois étaient déjà pensées et mûries en loges avant d’être votées par les députés.
Et elle conspire ?
S.A.-G. : La franc-maçonnerie croit en l’« utopie » : autrement dit, tout ce qui est possible à un être humain, il doit et peut se le permettre. Il n’y a pas de limite dans une loi naturelle qui vienne de Dieu ; la morale provient du pacte social. Il n’y a donc pas d’autre mode de vie que l’hédonisme : le plaisir et le bonheur sont l’unique but, le Salut éternel n’existe pas, il faut jouir de la vie.
La franc-maçonnerie conspire, alors, contre toute façon de penser qui n’est pas la sienne.
(Source : Aleteia du 5 mai 2015. Adapté de l’espagnol par Élisabeth de Lavigne)