Vous avez dit guerre civile ??

guerre civile

Guerre civile ?

Lucien Cerise résume ici fort bien la position que je tiens sur ce blog depuis son origine. A savoir que TOUS les acteurs doivent être mis en évidence pour une guerre civile « saine », si tant est que celle-ci dût avoir lieu.

Comme toujours, les zélites éclairées ont placé leurs pions en douce…

…et les principaux criminels et instigateurs du trouble n’apparaissent pas. Il est si facile de se servir du prêt à penser fourni à cet effet :

« On les aura ! », « mort aux Boches! », etc…

Pas besoin de beaucoup d’imagination pour remplacer le terme « Boches », par celui de peuples ou religions importés à domicile. Ainsi donc une fois de plus dans l’Histoire moderne « quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt ». Les Goyim sont vraiment irrécupérables et peut-être méritent-ils leur triste sort !

Les habituels criminels agissant en bande organisée ont leur nouveau Golem: Le Natio-sionisme. Grâce à celui-ci, ils entendent à présent récolter les fruits de leurs importations exotiques depuis 1945!

Artisans infatigables des coups tordus à échelle planétaire, ils ont prévu de jouir à présent de l’exaspération des peuples européens de souche envers l’Islam et autres « diversités », par eux aimablement fournies, pour engendrer le chaos et la « guerre civile » à leur sauce, of course:

Sauce dont les Desouches (comme les autres peuples d’ailleurs !) dans leur incurable somnambulisme, semblent raffoler, bien qu’ en en faisant immanquablement les frais…

Réveil des peuples ou suicide collectif ?

guerre civile

Ces Nationaux-sionistes sont donc les nouvelles marionnettes du Pouvoir Sans Nom, sous peine de complotisme ou d’anti-sémitisme.

Liberté d’expression, oui, mais faut pas déconner tout de même ! Pas au delà de la myopie du troupeau, oh !

Depuis 1789, « guerres mondiales » et « révolutions » ont donc fait s’affronter les peuples européens hypnotisés, entre eux d’abord, puis avec d’autres peuples, dans de sanglantes boucheries (en réalité autant de sacrifices humains à leur dieu, sciemment planifiés).

Que les choses soient claires: Ce sont d’évidence nos dirigeants qui sont nos premiers ennemis, et non des populations prises en otages par ces malades. Après avoir dévasté toute une partie de la planète sous les bombes à uranium appauvri made in USA, ces tarés organisent gentiment les flots de « réfugiés » avec lesquels nous sommes aujourd’hui priés d’en découdre!

Vous la sentez pas la quenelle, là ?

Bien sûr, le fait d’avoir établi la traçabilité cachée de cette évidente configuration, n’empêche aucunement de constater que ces populations rapportées posent évidemment des problèmes insolubles.

A la fois pour nous, mais aussi pour eux: Spirituellement, culturellement et matériellement.

Cependant ces questions peuvent à l’évidence se régler d’une façon intelligente par un Etat fort (Ce qui n’est pas synonyme de violence généralisée, tout au contraire !).

Re-migration importante, voire totale suivant les cas, de façon humaine et planifiée avec les Etats des ressortissants respectifs, suppression immédiate de la double nationalité, et progressive de toutes allocations sociales, droit du sang et non du sol évidemment, peine de mort et peines sérieuses de travaux d’intérêt collectif appliquées à bon escient, etc…

Bref réhabilitation du bon sens à tous les étage !

Dans l’autre cas, tout au contraire d’être solutionnées, ces questions prendront la pente la plus stupide qui soit, comme d’hab: Marcher une fois de plus, comme un seul homme dans leur combine, et participer au déroulement de leur plan en bons petits soldats disciplinés et la fleur au fusil, comme en 14 !

Résultat quand la poussière retombe:

Magnifique tas de cadavres, pays détruit, Un pas de plus dans la dégénérescence programmée pour tous, par ces Maîtres abjects déroulant leur agenda et affinant sans cesse leur impitoyable domination sur le monde.

Enthousiasmante perspective en effet où, une fois de plus, les Goyims auront été priés de mettre en scène le joli décor moderne de leur propre suicide.

En attendant écoutons Lucien Cerise !

Salut et que Dieu vous garde.

 

Journal d’Anne France.

Article tiré du site : Riposte laïque

L’écrivain-poète Romain Guérin m’a accordé un entretien autour de son roman Le Journal d’Anne-France, paru aux éditions Altitude. Ce récit constitue une histoire française puisant dans les entrailles de notre passé collectif tourmenté, tout en pointant notre descente aux enfers contemporains que trop peu de plumes, à mon goût, ont le courage de dénoncer…

Riposte laïque : Un tel titre – évoquant immanquablement un autre journal fameux – ne fait-il pas de votre personnage principal, Anne-France, une sorte de symbole du martyre subi par le peuple français depuis plusieurs décennies de trahisons de la part de ses élites ?

Romain Guérin : C’est tout à fait ça. Si on se réfère à la déclaration des droits des peuples autochtones, la France subit un génocide ethnique et culturel. Suicides, avortements, expatriations, addiction à la drogue et aux médicaments, immigration délirante, etc. : physiquement, les Français disparaissent. Génocide à petit feu, ce qui est moins spectaculaire que d’autres grands massacres ; et pourtant, il suffit de prendre un train à la gare du Nord et d’allumer la télévision pour voir que notre pays n’est plus celui d’Audiard ou de Brel. En quarante ans, la France s’est défigurée à une vitesse inédite dans son histoire.

 

Journal d'Anne-France

 

Le spectacle ubuesque de cette lente agonie est une torture pour toutes les âmes françaises. Cette agonie n’a même pas la solennité de la mort pour nous consoler, Drumont dit cela mieux que moi, alors je lui laisse la parole:

« La France, au lieu de se résigner ou, mieux encore, de se recueillir, de rentrer en elle-même, d’essayer de guérir puisque Dieu, disent les Écritures, a fait les nations guérissables, semble vouloir finir en apothéose théâtrale ; elle magnifie sa décadence avec une ostentation vaniteuse, une outrecuidance charlatanesque et délirante qu’elle n’avait point aux jours heureux de sa force et de sa splendeur. »

Au-delà d’un symbole, c’est une prosopopée, c’est-à-dire qu’Anne-France c’est la France elle-même. Compris comme cela, le moindre détail de la vie d’Anne-France est effectivement un symbole et renvoie à ce que la France subit.

Riposte laïque : Dans le roman, Anne-France, à la suite d’une rumeur infondée – le père de son bébé serait allemand –, est sauvagement lynchée. Ce lynchage est l’occasion de régler des comptes, comme ailleurs dans le récit, avec l’Histoire remaquillée par la bien-pensance. Je vous cite : « À la Libération […], les communistes s’agitaient dans tous les sens pour faire oublier le traité de non-agression que Staline avait signé avec Hitler. » Anne-France reviendra sur son lynchage en l’évoquant auprès de son fils, lié quant à lui à une autre guerre, celle d’Algérie. Pour enfoncer le clou, l’unique amour d’Anne-France – et vrai père de son enfant – est un résistant de Combat, mouvement fondé par Marie Reynoard et Henri Frenay, deux figures non communistes de la Résistance, comme le colonel de La Rocque. Rappelons que ce dernier, libéré de déportation et revenu en France, sera interné administrativement pour l’écarter de la politique et du Conseil national de la Résistance, puis ensuite assigné à résidence, décédant peu de temps après. Et puisque que vous écrivez que « tous les résistants, je dis bien tous, sans exception, se battent pour des souvenirs », peut-on dire qu’Anne-France est elle aussi une résistante ?

Romain Guérin : Un résistant français en 1941 voulait en somme revenir en arrière ; revenir à l’époque d’avant l’occupation allemande, ce qui ferait de lui, aujourd’hui, un passéiste, un réactionnaire, bref un activiste de la fachosphère. Ce que nos maîtres appellent « progrès » n’est que la feuille de route de leur projet totalitaire. Anne-France n’est pas une résistante active mais, par le fait même qu’elle existe, elle est un ennemi du système, un ennemi à abattre, à remplacer, ou à laisser pourrir bien gentiment. Elle est – comme tous les Français qui existent un tant soit peu – ce que le paysan était pour le communisme : un être arriéré, un animal avec de vieilles idées, obstacle de la révolution et qu’il faut physiquement éliminer pour qu’advienne sur terre le paradis du socialisme scientifique. Le nationaliste, l’enraciné, le provincial sont les martyrs de la révolution mondialiste.
De nos jours, on devient vite un rebelle malgré soi. Vous dites « Papa et Maman » au lieu de « parent 1 et parent 2 », vous voilà homophobe. Vous préférez que votre enfant suive les enseignements de Jean de La Fontaine plutôt que ceux d’un travesti à plume grimé en poulet de Bresse, vous êtes transphobe. Vous voyez d’un mauvaise œil la prolifération de mosquées dans lesquelles des prédicateurs traitent les Français de chiens et de mécréants, vous voilà islamophobe. Vous pensez qu’accueillir 200 000 immigrés par an n’est pas très sérieux, vous voilà raciste. Vous êtes curieux de votre histoire, vous ne gobez pas la propagande médiatique, vous voilà antisémite.
Anne-France est donc une résistante, mais simplement par le fait qu’elle est bel et bien française et qu’elle commet, pour certains, le crime d’encore exister.

Riposte laïque : Votre roman est, à bien des égards, une déclaration d’amour à la France. Je vous cite à nouveau : « Cette terre est jonchée de lieux qui provoquent en vous un sentiment étrange d’appartenance à quelque chose de flou, qui vous dépasse et qui ressemble à ce que l’on appelle la Nation. Dans une même ville, l’œil observateur peut y croiser des Celtes, des Romains, des Grecs, des chevaliers. Il peut déceler sur les murs la marque des empereurs et des rois et suivre sur son sol la trace des génies, des artistes et des savants qui ont foulé ses pavés millénaires. » Et Anne-France d’affirmer, comme une maxime applicable à tous les amoureux de notre pays : « Je ne suis pas née en France, la France est née en moi. »
Est-ce la France, c’est-à-dire l’idée que vous vous en faites, qui vous a incité à écrire ce roman ?

Romain Guérin : Oui, c’est bien la France, mais pas l’idée que je m’en fais : plutôt les sensations qu’elle me procure. La France est pour moi beaucoup plus une volupté qu’une idée. Quand je déambule dans les ruelles pavées d’un de ses petits villages, que mes yeux caressent les pierres des maisons sculptées, qu’au loin sonnent les cloches d’une chapelle nichée sur une colline, mon âme se remplit d’une paix joyeuse et d’une sérénité heureuse difficilement descriptibles. La France est le résultat miraculeux d’une sédimentation millénaire faite avec la poussière de squelettes laborieux, pieux et talentueux. Quand on commence à parler d’idée, on dérive vite sur les valeurs et là on glisse carrément dans la niaiserie adolescente, le baratin de colporteur et l’antiphrase : liberté, égalité, fraternité ; droits de l’homme, etc. Personnellement, je n’ai jamais entendu un touriste chinois dire qu’il venait en France visiter les « droits de l’homme » , se prendre en photo aux côtés de l’égalité et goûter à la fraternité sauce gribiche !

Riposte laïque : Tout au long du récit, la France d’hier se frotte à celle d’aujourd’hui et, vue par le prisme de la narratrice, cette dernière laisse un goût amer. Votre héroïne le confesse : « Amoureuse éperdue du vrai, du juste et du beau, la vie dans ce monde faux, corrompu et laid fut un long calvaire. »
De ce point de vue, Le Journal d’Anne-France n’est-il pas un roman du désenchantement ? Pire, Anne-France ne serait-elle pas une apatride qui, tel Alfred de Musset, est « venu(e) trop tard dans un siècle trop vieux », songeant avec un certain désespoir à « L’esprit des temps passés, errant sur leurs décombres » ?

Romain Guérin : C’est d’avantage un roman de la dépossession que du désenchantement. Tempus fugit (le temps s’écoule) et rien ne le rattrape, pas même la mélancolie. Je n’ai pas le fétichisme d’un passé dont on ne se fait la plupart du temps que de fausses idées, idées édulcorées par nos propres phantasmes. Nul besoin d’être un royaliste légitimiste pour déplorer la vente d’un énième château à des énièmes Chinois. Nul besoin d’être un catholique intégriste pour pleurer la destruction d’une église. Le canal de Bourgogne, les cathédrales et le Palais des Papes ne sont pas des spectres du passé : ils sont actuels, et c’est cette France-là qui est dépecée, livrée aux hyènes du haut et aux rongeurs du bas. La France n’est pas une vieille dame qu’il s’agirait je ne sais comment de rajeunir. C’est une femme malade qu’il faut guérir, quitte à amputer si nécessaire.
Si Anne-France est une apatride, elle l’est au sens d’Edgar Quinet : « Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays ; c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. »

Riposte laïque : Le roman insiste sur les racines chrétiennes de la France, que des jardiniers idéologiques malintentionnés s’ingénient de nos jours à arracher de sa terre. Ces racines s’expriment ici dans un mouvement de ferveur spontanée et non moins douloureuse. Nous sommes loin du dogme froid, dont Anne-France ne se soucie pas. « La religion m’a donné un supplément d’âme quand des drames me l’ont dévorée », dit-elle avec une humilité toute chrétienne. Alors qu’elle vient de perdre le dernier être cher, elle confesse ceci : « Quand j’allais à la cathédrale Saint-Jean, j’avais de plus en plus de choses à lui dire, au Bon Dieu. » Et d’énumérer les drames ayant émaillé son existence et dont elle Le rend tacitement responsable. Mais Anne-France a été écoutée par un prêtre, qui lui livrera une confession – quelle humilité de la part de celui censé les recevoir ! Une confession à la fois implacable au sujet de l’Église contemporaine et émue par son « immense et invincible Foi », résumée dans cette phrase : « Vous ne semblez pas versée dans la théologie et c’est peut-être pour ça que la véritable foi vous habite. Vous vous en tenez à des choses simples… mais vous tenez ! Moi j’ai tout laissé filer entre mes doigts boudinés par les bagues, sous couvert de controverses idéologiques. » Et ensuite d’invectiver certains prélats qui se vautrent dans le confort matériel et sont prêts à des compromissions telles que l’appartenance à une loge maçonnique.
À la lumière de cette confession du prêtre et de la vie d’Anne-France, peut-on dire que cette dernière est plus du côté de saint François que du pape François ?

Romain Guérin : Au-delà d’une controverse théologique dont je ne maîtrise pas toutes les ficelles (j’ai néanmoins mon petit avis là-dessus), avec Anne-France j’ai voulu mettre sous le feu des projecteurs les invisibles, les sans-voix, les sans-grades, les sans-dents, qui sont pourtant le socle de toute société possible. J’ai l’intime conviction que la vocation sociale de l’art est de réenchanter un quotidien souvent répétitif et difficile.
Bien sûr, l’artiste en marge de son œuvre peut explorer les limites vertigineuses de son corps et son esprit, aller voir les égouts du monde ou se baigner dans les sanies de l’univers, mais s’il en fait l’éloge et la publicité, il se rend coupable de corruption des mœurs. La vie, ce n’est pas les excès de la drogue, du sexe, de l’alcool ; la vie ce n’est pas plonger dans son petit nombril mal lavé et méditer sur ses petites originalités, souvent aussi crasses qu’insignifiantes, et vouloir en faire une loi universelle. Non, la vie, c’est le travail, c’est la famille, les amis et son pays. Ça peut paraître banal comme ça, mais depuis l’origine de l’homme on n’a pas trouvé mieux pour donner du sens à l’existence. L’artiste, c’est Pagnol qui fait d’un boulanger un héros, et non je ne sais quel guignol qui noircit une toile avec ses propres fientes ; c’est Vincenot qui, à chacune de ses lignes, rend hommage à la simplicité, à la vertu et à l’amour et non un plumitif hystérique qui raconte la fabuleuse aventure de ses organes génitaux en milieu interlope.

Riposte laïque : Parlons à présent de poésie, laquelle traverse le récit comme une invitation à la contemplation. Citons ces quelques vers « écrits de la main » de Jules, l’amant sacrifié à l’autel de l’Histoire : « Mêlée au nord des cieux, cette fille fascine / En l’ignorant mes yeux, qui dans ses longs cheveux / Ondulés et soyeux, séditieux se confinent, / Là-bas, mon rêve, enfin, est conforme à mes vœux. »
Dans Destinées de la poésie, Alphonse de Lamartine écrit que la poésie c’est : « De la raison chantée, voilà sa destinée pour longtemps ; elle sera philosophique, religieuse, politique, sociale comme les époques que le genre humain va traverser ; elle sera intime surtout, personnelle, méditative et grave ; non plus un jeu de l’esprit, un caprice mélodieux de la pensée légère et superficielle, mais l’écho profond, réel, sincère des plus hautes conceptions de l’intelligence, des plus mystérieuses impressions de l’âme. »
La poésie serait-elle pour vous un recours au mouvement déraisonnable et effréné du monde ? Je parle autant à l’auteur du Journal d’Anne-France qu’à celui du recueil de poèmes La Chorale des Cadavres.

Romain Guérin : Vaste question qui pourrait faire l’objet d’un ouvrage à elle seule. D’abord, la poésie s’est imposée à moi comme une intuition profonde. Elle fut la réponse au « connais-toi toi-même ». Réponse terrible. Ensuite, évidemment, elle est un refuge pour les âmes raffinées : « Là tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté », pour voler les mots de Baudelaire, quand dehors règne le chaos, la laideur, la grossièreté, le bruit et la tyrannie de la machine.
La poésie est aussi une hygiène spirituelle, c’est mettre en ordre une surabondance d’émotions et de pensées et les ranger hors de soi dans une sorte d’annexe matérielle d’un corps trop exigu que sont les créations artistiques, comme pour en être soulagé. Enfin, je l’ai conçue aussi comme un témoignage anthropologique, une arme culturelle, une sorte d’évangile français au sens de « bonne nouvelle », qui dirait aux jeunes générations: « Hosanna ! Nous revoilà ! »

Riposte laïque : Votre roman est émaillé de citations (Baudelaire, Verlaine, Nietzsche, etc.). Il s’agit là de marquer son ancrage dans une culture – européenne en l’occurrence – afin de s’inscrire littérairement dans sa continuité, n’est-ce pas ?

Romain Guérin : Je plaide pour une « nouvelle renaissance ». Toute la production intellectuelle et artistique de ces cinquante dernières années devrait être déclarée nulle et non avenue. Instinctivement c’est comme cela que je me suis formé : j’ai rejeté comme par écœurement naturel les productions contemporaines pour aller me nourrir au sein des maîtres de l’Antiquité et ceux des XVIIe, XVIIIe et XIXesiècles.
Alors que le mot de « progrès » est sur toutes les lèvres, manifestement, il n’a pas pénétré le domaine des arts. Personnellement, je ne me suis pas résigné à la médiocrité ambiante, et surtout je n’ai pas cherché à légitimé ma nullité littéraire par une quelconque mode ou courant et en me choisissant des nains pour modèles.

Riposte laïque : Puisqu’il en est question dans le récit, évoquons la question de l’IVG. Mais avant, et afin que les lecteurs ne se méprennent pas, Anne-France ne se reconnaît pas comme un modèle de mère irréprochable. Au contraire. Et, tandis qu’elle vient de découvrir sa grossesse, elle avoue même : « Je vous mentirais si je disais que je n’ai pas pensé cette chose horrible qui est aujourd’hui monnaie courante. »
Puis elle pose peut-être la bonne question : « Est-ce que vraiment les femmes qui avortent le choisissent librement ou est-ce que, par manque d’argent et/ou de structures adéquates pour les accueillir et les accompagner, elles le font en désespoir de cause ? » La fiction est ici au service de la conviction. Je me trompe ?

Romain Guérin : Conviction non, mais plutôt un constat et des doutes. Un constat politique simple d’abord : si les femmes françaises avortent, il n’y a pas de renouvellement de population. D’autres femmes, venues d’autres cieux, elles, s’en chargent. Il ne faut donc pas venir pleurer après que des peuples vivaces et féconds remplacent un agrégat dépressif et stérile. Des doutes moraux ensuite : à quel moment le fœtus peut-il être considéré comme un être humain et non pas comme un vulgaire amas de cellules ? Je n’ai pas la réponse, et je suis sûr que personne ne l’a cette réponse. Alors la prudence me semble être de mise.

Riposte laïque : Il faut bien admettre que la promesse suivante n’incite pas à l’optimisme. En effet, vous écrivez : « l’avènement d’un monde enfin pacifié par l’uniformité de la bêtise et la sinistre concorde de l’apathie. » C’est Anne-France qui parle, évoquant les résistants à ce nouvel ordre mondial comme des « restes qui gémissent ». Deux questions : Dans quelle mesure Romain Guérin est-il Anne-France ? Au-delà d’un personnage de papier, conserve-t-il quelque espoir de rédemption pour notre civilisation en péril ?

Romain Guérin : J’ai la même pudeur et le même sens moral qu’Anne-France. Mais elle est bien trop pieuse, trop sage, pour me ressembler complètement. Voyons les immenses batailles qui nous attendent comme une bonne nouvelle. Alors qu’à l’approche des années 2000 les penseurs de pacotille – ces voyants qui ont troqué leur boule de cristal contre la sociologie – nous annonçaient la fin de l’Histoire, il se pourrait bien que l’Histoire se manifeste comme jamais. À l’heure où je finis de répondre à cet entretien, Notre-Dame de Paris a été incendiée, ce qui n’était jamais arrivé dans l’Histoire, justement.
Notre avenir, ce qui devrait finalement nous réjouir, nous, Gaulois, ressemblera beaucoup plus aux croisades qu’à un épisode de « Plus belle la vie ». Le tragique fait son grand retour. Espérons que la France aussi…

Propos recueillis par Charles Demassieux pour Riposte laïque

 

L’autochtonisme, seule stratégie possible face au Grand Remplacement

autochtonisme

 

*

Je reproduis ci-dessous in extenso le dernier article d’Antonin Campana sur son excellent blog: « Terre autochtone »

 

L’autochtonisme, seule stratégie possible face au Grand Remplacement
Ce blog a voulu présenter, tout au long de ses quatre années d’existence, une conception qui pose en principe que tous les peuples jouissent également d’un droit à l’existence, d’un droit à l’autodétermination et d’un droit naturel à la prééminence politique, religieuse et culturelle sur leurs terres ancestrales. Cet ensemble de droits fondamentaux non discriminant et d’application universelle concerne tous les peuples, c’est-à-dire aussi les peuples autochtones européens. Nous considérons comme admis que les peuples autochtones européens ne sont ni des sous-peuples, ni des non-peuples et que prétendre le contraire procède d’une pensée discriminatoire et raciste.

Les droits fondamentaux dont nous parlons charpentent notamment la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones (2007). Ce corpus juridique onusien est donc une référence importante de la dynamique politique que nous avons nommée « autochtonisme ». Car dans notre esprit, l’autochtonisme européen n’est pas seulement une « pensée » ou une idéologie : c’est aussi, et peut-être surtout, une dynamique fondée sur notre droit à l’existence, une stratégie dont l’objectif est d’assurer la résilience en même temps que la libération des peuples autochtones européens. En voici un exposé succinct.

Reconnaître l’ennemi principal
Nous posons comme un fait le processus toujours en cours d’effacement et de remplacement de notre peuple sur ses terres ancestrales. Ce processus conditionne notre « état présent », celui que l’on subit et qu’il s’agit de modifier. A partir de ce constat sur l’état présent, nous devons fixer une stratégie qui nous mènera de l’état présent à l’état désiré. Cependant, avant d’élaborer une planification stratégique, il convient de bien identifier les causes du processus et surtout, au risque de servir les intérêts de l’ennemi, de ne pas les confondre avec ses conséquences : toute erreur de ce type ferait courir le risque de stratégies inefficaces, voire néfastes. Par exemple, certains considèrent que l’islam est l’ennemi principal. En bonne logique, semble-t-il, ils invoquent pour le contrer les « valeurs républicaines », telle la laïcité. Or précisément, la laïcité est conçue par les républicains comme un moyen ou une “méthode“ (Manuel Valls) permettant de faire vivre ensemble musulmans, juifs et chrétiens (entre autres). Autrement dit, la laïcité conditionne la viabilité d’un modèle de société ouvert aux courants migratoires, donc à l’islam. Elle garantit que tout se passera bien et lève les objections quant à l’installation de masses extra-Européennes dans le corps politique. La laïcité, et d’une manière générale les valeurs « universelles » de la République, sont la légitimité d’une ingénierie sociale qui réinitialise la société afin que plus rien dans celle-ci ne s’oppose à l’intégration de populations étrangères. Si l’immigration de peuplement est un fait, le régime construit sur les valeurs dont nous parlons est une cause et l’islamisation une conséquence.

Or, l’ennemi principal se niche dans les causes, jamais dans les conséquences. Qui est responsable du Grand Remplacement ? Le régime qui est à la manœuvre et le nie, ou l’immigré qui bénéficie des politiques d’immigration que ce régime a mis en place ? La République qui est à l’origine de notre situation présente et qui la verrouille, obérant ainsi notre destin, ou l’étranger qui n’est qu’un pion dans un jeu destiné à nous effacer ? Le marionnettiste ou la marionnette ?

On devrait connaître la réponse, tant elle paraît évidente. La République qui a volontairement configurer l’organisation et le fonctionnement de la société de manière à la rendre compatible avec des hommes venus de toute la planète, la République qui a provoqué et laissé faire l’immigration de masse, la République qui a installé, intégré et naturalisé des millions d’immigrés, est la seule responsable. Voici dans les grandes lignes (ce texte est un texte de synthèse, le lecteur peu accoutumé à notre propos se reportera utilement aux autres articles de ce blog), voici donc rapidement pourquoi le Grand Remplacement participe de la nature du régime en place et n’est en aucun cas un phénomène accidentel :

La République est fondée sur le « pacte républicain » et le pacte républicain est fondé sur le principe d’universalité : celuici est ouvert à tous les hommes « sans distinction d’origine, de race ou de religion ».
La République considère que le « peuple français » est un agrégat d’individus individuellement associés par un contrat. Ainsi les Français de souche se seraient contractuellement associés le 14 juillet 1790 durant la fête de la Fédération. Ce jour là, selon la mythologie républicaine, le pacte républicain aurait transféré un à un (individuellement) chaque Français d’une nation ethnique, organisée selon des valeurs identitaires, à une nation civique, organisée selon des valeurs universelles (nous avons appelé ce processus à la fois mythologique et juridique, le « Grand Transfert »). A ce « corps d’associés » dont l’organisation et le fonctionnement reposent sur des valeurs universelles, c’est-à-dire des valeurs acceptables par tous les hommes, se seraient « individuellement » joints les Juifs, puis des immigrés de toute provenance. Ces multiples transferts donneront le corps politique métissé que l’on connaît aujourd’hui.
Le républicanisme postule l’universalité de la République : le modèle républicain de société est applicable en tous lieux (d’où l’entreprise coloniale républicaine), et permet de faire « vivre ensemble » tous les hommes, sans distinction. Dès lors, puisque le vivre tous ensemble est possible, rien ne justifie le « repli sur soi » et la fermeture des frontières, si ce n’est un « racisme » et une xénophobie irrationnels, d’autant plus, on le sait, que l’immigration est un enrichissement. Evidemment, on peut s’interroger sur le caractère véritablement universel des valeurs de la République et sur leur capacité à faire « vivre tous ensemble » juifs, chrétiens et musulmans. Mais cela revient à remettre ouvertement en cause le pacte républicain qui prétend cimenter l’agrégat artificiel sur la base de ces valeurs. C’est une règle : en République, toute contestation des politiques d’immigration exposera mécaniquement au soupçon d’être raciste et de n’être pas républicain. Cette règle tient à la nature même du régime, à ses fondamentaux, à sa cohérence interne… et non à ses représentants du moment !
La République est une entreprise d’ingénierie sociale chargée d’installer un modèle de société qui soit conforme aux intérêts de la classe dominante. Cette entreprise progresse en imposant de nouvelles lois. Celles-ci disloquent systématiquement l’ordre social ancien (la famille, les corporations, les communautés, les religions, les nations, les peuples, les sexes…) et instaurent un nouvel ordre fondé sur un désordre sociétal facile à contrôler et à exploiter (individus dissociés, mélangés et opposés ; populations hétérogènes ; individus standardisés ; matérialisme ; relativisme identitaire ; destruction des boussoles culturelles, généalogiques, religieuses, sexuelles…). La République a été conçue par une classe sociale apatride. Elle n’est qu’un outil dont la fonction est de « régénérer » la société à l’avantage de cette classe. La République se confond aujourd’hui avec le Système (mondialiste). Elle en est un aspect en même temps que la matrice.

Comprendre la force et les moyens de l’ennemi principal
Aucune action ne sera couronnée de succès si l’on n’a pas compris les bases mythologiques qui structurent le régime en place et légitiment le modèle de société qu’il entend imposer (foi dans l’idéologie du contrat, croyances en des « valeurs » et en des fonctionnements sociaux qui seraient acceptables par tous les hommes, croyance en l’unité du genre humain, foi en l’Homme standardisé par la citoyenneté juridique, etc.). Cependant, désigner la République comme l’ennemi principal et surtout comprendre en quoi la République (ou le Système) est l’ennemi principal ne suffit pas pour engager une action efficace, voire qui ne soit pas carrément suicidaire. Car il faut encore et préalablement mesurer les rapports de forces et avoir notamment une juste idée de la puissance, des méthodes d’action et des moyens de rétorsion de l’ennemi.

Tout d’abord, celui qui estime que la République-Système est un régime politique démocratique et loyal commet une grave erreur. La République est un système représentatif qui assure automatiquement le pouvoir à la classe dominante. Nous l’avons déjà expliqué, nous ne reviendrons pas sur ce point. Ensuite, la République est un système totalitaire qui occupe officiellement tout l’espace social : l’Etat est républicain, la police est républicaine, les armées sont de la République, l’Ecole est républicaine, les médias sont républicains, la Justice est républicaine, l’espace social est contrôlé par des lois républicaines, etc. Enfin, trait typique des systèmes totalitaires, il est formellement défendu de contester le régime en place. La Constitution, le code pénal et diverses autres lois interdisent ainsi que l’on remettent en cause la forme républicaine de gouvernement.

Concrètement, cela veut dire quoi ? Concrètement, cela veut dire que la classe dominante a mis à son service les forces armées, la police, la magistrature, l’Enseignement, les médias et tout l’arsenal législatif nécessaire pour défendre ses intérêts de classe. Concrètement, cela veut dire que l’Etat a fait sécession du peuple, qu’il s’est tourné contre la nation autochtone et qu’il lui est devenu étranger, bref, qu’il doit être considéré comme un Etat plus « colonial » que « national ».

L’Etat est l’outil de la classe dominante. C’est lui qui met en œuvre les politiques d’immigration et qui construit la société métissée. C’est lui qui réprime la contestation et qui protège la classe dominante. Sans lui, rien ne serait possible. L’Etat républicain n’est pas notre ami, nous sommes ses indigènes colonisés et nous devons agir en tant que tels, en ayant une claire conscience de notre statut subordonné.

Un peuple autochtone emprisonné dans un corps d’associés
La république-Système a engendré un « corps d’associés » (Sieyès) multiethnique. Ce corps d’associés improprement appelé « peuple français » ou « France » enferme comme une gangue le peuple autochtone. Si en 1790 tous les « associés » étaient des Autochtones, aujourd’hui les Autochtones deviennent minoritaires dans le corps d’associés. Cela signifie que, « démocratiquement » et selon la loi du nombre, le destin des Autochtones dépendra de plus en plus largement des choix, des préjugés, des ressentiments et de la puissance des populations allochtones installées au milieu d’eux.

Cela signifie aussi que le peuple autochtone de ce pays ne dispose pas de lui-même. Le peuple autochtone est un peuple dominé et nié : la République ne le reconnaît pas en tant que tel, ne lui accorde aucun droit en tant que tel, ne le distingue pas. Le peuple autochtone, emprisonné dans le corps d’associés multiethnique, perd quant à lui la conscience de ses intérêts, de sa spécificité et de son identité. Il se livre au régime qui a construit la gangue carcérale qui l’étouffe. Pour le moment, manipulé sans avoir connaissance de cette manipulation, il est « sous contrôle ». Le destin qui lui est promis par le régime-Système, et que l’Etat colonial est chargé de mettre en œuvre, est tout tracé : avant peu, il sera totalement dissous dans le corps d’associés et n’existera plus qu’à travers quelques individus faisant figure de bêtes de foire. Alors que faire ?

Que faire ?
Nous venons de décrire la situation présente et de déterminer l’ennemi principal, celui qui est en l’occurrence à l’origine de notre condition et qui s’efforce de la maintenir, dussions-nous disparaître. Cette situation est épouvantable, tant le rapport de force nous est défavorable. Cependant, d’autres peuples en ont connu de similaires. Certains ont disparus (voyez les Hawaïens, les Pieds-noirs ou les Gorani), d’autres au contraire ont su prospérer. En observant ces derniers (les Juifs, les Roms, les Albanais du Kosovo, les Druzes, les Amish…), il nous est possible de reconnaitre un certain nombre de points communs qui les distingue des peuples moins résilients. Ces « règles de résilience » sont :

Une forte endogamie
La pratique de l’entre-soi et le refus du « prosélytisme »
Le refus de l’assimilation
L’affirmation d’une conscience ethnique
Une double règle de moralité (une règle qui s’applique aux Prochains, une règle qui s’applique aux Lointains)
La capacité à se défendre
Et surtout, la mise en place d’institutions parallèles à celles du groupe dominant
Considérons que le corps d’associés allochtones, la gangue, soit un « peuple étranger » et que le système politique qui nie l’existence du peuple autochtone et garantit la présence étrangère dans notre pays soit un régime de domination. Il y a encore face au corps d’associés englobant une part significative du peuple autochtone qui ne renonce pas aux pratiques endogames et à l’entre-soi, qui refuse de perdre son identité, qui a une claire conscience de sa lignée, qui pratique au besoin une solidarité discriminante (les « Français d’abord ») et qui est même capable de se défendre. Cette fraction (toujours importante selon nous) du peuple autochtone ressemble donc sur de nombreux points au peuple pied-noir en Algérie. Pourtant, nous savons que ce peuple pied-noir a disparu. Que lui manquait-il pour continuer à exister ? En fait, les Pieds-noirs ont confié leur destin à la République et ont renoncé à s’organiser « en parallèle ». Avoir plusieurs millions d’individus dissociés qui pratiquent isolément les six premières règles de résilience est très bien mais à terme ne sert à rien. La cause est perdue si ces individus ne s’associent pas, ne s’organisent pas, ne créent pas des institutions parallèles susceptibles de leur donner une unité, donc une force, bref, s’ils ne s’émancipent pas du régime de domination.

Donc, à la question « Que faire ? », l’Histoire nous apporte cette réponse : il faut rassembler les Autochtones qui pratiquent spontanément les six premières règles de résilience, puis appliquer la septième règle, c’est-à-dire créer un Etat parallèle autochtone qui résistera au régime de domination et combattra pour les droits autochtones, y compris, in fine, le droit du peuple autochtone à disposer de lui-même.

Comment faire ce Grand Rassemblement et cet Etat parallèle ?
Nous proposons une double stratégie.

D’un part, une stratégie de conservation qui assurera la résilience du peuple autochtone.

D’autre part, une stratégie de libération qui assurera l’autonomie du peuple autochtone par la conquête de droits collectifs toujours plus importants.

La stratégie de conservation et la stratégie de libération composent deux stratégies intermédiaires qui s’inscrivent dans une stratégie globale dont l’objectif final est la libération du peuple autochtone, c’est-à-dire son émancipation du corps d’associés multiethnique dissolvant. La stratégie de conservation est la première stratégie à mettre en œuvre. L’urgence est d’abord de conserver tout ce qui peut l’être (notre peuple bien sûr, mais aussi sa culture, sa spiritualité ou sa manière de vivre). Ensuite seulement, peuvent être envisagées des actions de reconquêtes libératrices. Nous disons « ensuite », car il nous faut d’abord forger l’outil avant de pouvoir l’employer. Mais, nous ajouterons aussi « parallèlement », car la stratégie de conservation, c’est-à-dire la fabrication et l’entretien des outils de résilience, ne doit pas cesser sous prétexte que la conquête des droits collectifs a commencé.

La stratégie de conservation
La stratégie de conservation consiste essentiellement à rassembler les Autochtones conscients (« Grand Rassemblement ») et à les organiser. Plusieurs étapes sont nécessaires pour mettre en place les premières structures de résilience.

Nous proposons tout simplement de nous inspirer des stratégies élaborées par les minorités ayant fait la preuve de leur durabilité (Juifs, Roms, Kosovars…) :

Réunir une Assemblée qui proclame notre existence nationale en tant que peuple autochtone.
Cette première Assemblée, sorte d’assises autochtones, pourrait être réunie suite à l’appel de 8 ou 10 personnalités autochtones, toutes sensibilités confondues, rassemblées dans une sorte de CNR transitoire. Elle pourrait être provoquée aussi à l’initiative d’organisations et d’associations autochtones, voire de communautés locales autochtones fédérées.

La première Assemblée nomme pour un an un Gouvernement provisoire autochtone
La mission de ce Gouvernement est d’organiser les premières élections autochtones et de mettre en place l’ébauche d’un Etat parallèle autochtone.

Le premier Parlement autochtone élu se réunit :
Formation d’un Gouvernement autochtone
Détermination des missions du Gouvernement
Définition d’une stratégie de conservation et de libération
Le Gouvernement autochtone commence ses travaux :
Mise en place d’un Etat parallèle autochtone
Formation de Communautés locales autochtones
Mise en synergie des différentes organisations autochtones (partis politiques, mouvements culturels, associations diverses…) dans le respect de leur autonomie
Les Communautés locales autochtones se fédèrent tout en gardant leur autonomie et forment une société parallèle autochtone.
A ce stade, si tant est qu’un nombre suffisant d’Autochtones accepte l’existence d’un Etat autochtone apolitique (l’Etat est purement autochtoniste. C’est un Etat national autochtone qui représente la nation autochtone en son entier et non tel ou tel courant politique, culturel ou religieux), à ce stade donc, nous pouvons considérer que les structures de résilience sont mises en place. Les engagements tactiques d’une stratégie de libération peuvent désormais être considérés.

La stratégie de libération
Revendiquer des droits pour le peuple autochtone de ce pays, mais aussi dénoncer son avilissement, sa marginalisation ou le racisme structurel qui l’accable (antijaphétisme), a deux objectifs principaux. D’une part conscientiser le plus grand nombre possible d’Autochtones afin que ceux-ci intègrent la nation autochtone en sécession. D’autre part, obliger le régime-Système à reconnaître, soit qu’il a commis un crime de génocide au sens de la Convention des Nations unies pour la prévention et la répression du crime de génocide (1948), soit que le peuple français d’avant 1790 existe toujours en tant que « groupe national, ethnique, racial et religieux » (Cf. Convention de 1948)

La reconnaissance du droit à l’existence du peuple autochtone entraînera tous les autres droits collectifs, jusqu’au droit de ce peuple à disposer de lui-même. Le droit à l’existence est donc la clé de voûte de la libération autochtone. La lutte pour imposer ce droit (que tout peuple possède par nature), doit emprunter tous les chemins qui se présentent à nous et prendre la forme d’un harcèlement constant du régime. Tout peut-être prétexte à contestation, à revendication, à querelle, à discussion, à blocages. Il faut obliger le régime à négocier avec le Gouvernement autochtone. Cette négociation vaudra implicitement reconnaissance.

Le peuple autochtone emprisonné, aliéné et remplacé a le Droit pour lui. Son droit à l’existence est acquis du fait même qu’il existe. La contestation de ce droit fondamental est non seulement discriminatoire : c’est d’abord un crime contre l’humanité ! Notre peuple a le droit d’écrire sa propre histoire, indépendamment de l’histoire désirée par le régime politique en place ou le corps politique artificiel, multiethnique et de plus en plus antijaphite, qui a été construit par ce régime. D’autre part, le peuple autochtone, peut, en raison de son autochtonie qui plonge dans la nuit des temps et au nom de l’égalité entre tous les peuples, bénéficier de toutes les dispositions contenues dans la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones : droit à l’existence ; droit à l’autodétermination politique, économique, sociale, culturelle ; droit de contrôler son propre système scolaire ; droit d’être protégé en tant que peuple distinct, ; droit de filtrer les lois pouvant le concerner ; etc. Ajoutons que nous pouvons faire valoir aussi la loi organique sur la Nouvelle-Calédonie (99-209). Tous les droits octroyés par cette loi aux autochtones mélanésiens de Nouvelle-Calédonie, doivent être accordés, au nom du principe d’égalité proclamé par le régime et du droit international, aux autochtones européens de France. Ceux-ci doivent pouvoir bénéficier, par exemple, d’un statut civil particulier, de registres d’état civil à eux seuls dédiés, de programmes scolaires qui reflètent la dignité de leur histoire, d’un droit civil qu’ils pourront librement déterminer, d’une langue française dont ils seront les seuls décideurs, d’une citoyenneté spécifique, etc.

La cause du peuple autochtone est juste, morale, égalitaire, conforme au droit international et à l’esprit des lois organiques de la République. L’indépendance du peuple autochtone mettra un point final au processus de décolonisation commencé après la seconde guerre mondiale.

C. Les méthodes

La stratégie de conservation (Grand Rassemblement, constitution d’un Etat parallèle autochtone, mise en place de communautés locales autochtones maillant le territoire, etc.) doit se faire à faible bruit et sans avoir recours aux dispositifs administratifs mis en place par le régime. Autrement dit, il ne doit pas y avoir de déclarations en Préfecture !

C’est la stratégie de libération qui pose véritablement le problème des méthodes de lutte. Nous excluons a priori toute forme de violence : le rapport de forces nous est trop défavorable. Notre méthode de lutte doit donc être non-violente et reprendre à son compte les recettes éprouvées de Gene Sharp : succession d’engagements tactiques non-violents permettant d’atteindre un objectif limité dans le cadre d’une stratégie plus large. Prenons un exemple :

Le patrimoine culturel autochtone (églises, châteaux, œuvres d’art, musées, bibliothèques, monuments, etc.) est actuellement géré par des fonctionnaires républicains de la culture, au nom du corps d’associés global. Or, au regard de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones et même de la loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie, ce patrimoine culturel autochtone doit être restitué au peuple autochtone. Nous pouvons donc revendiquer cette restitution, par exemple en perturbant, selon nos ressources disponibles, des journées du patrimoine (obstruction d’entrée, distribution de tracts, nuisance sonore, etc.), en refusant d’évacuer un site après sa fermeture, en faisant entrer les visiteurs gratuitement, etc. L’essentiel est de faire débat, d’inciter les Autochtones à réfléchir sur leur dépossession et sur leur sujétion, et de forcer le régime à réagir. Un engagement tactique de cette nature va dans le sens des objectifs de la stratégie globale de libération car il révèle, avec tout ce que cela suppose, un patrimoine autochtone confisqué et surtout l’existence d’un peuple autochtone jusque là nié.

En guise de conclusion….

Nous n’avons pas été colonisés par un Etat étranger, mais par une classe sociale apatride qui a pris les commandes de l’Etat national et en a fait un Etat à sa main, c’est-à-dire, de fait, un Etat étranger. Cet Etat étranger est conduit par un régime qui a engendré un « corps d’associés » multiethnique. L’un et l’autre sont responsables du Grand Remplacement et de notre incapacité à disposer de nous-mêmes. Il ne faut donc plus raisonner de l’intérieur de ce régime mortifère. Il faut au contraire raisonner dans une logique de sécession, ou plus exactement de décolonisation.

Cette logique n’est plus « politique » : elle doit être « nationale ». C’est de la nation autochtone en son entier qu’il s’agit. Peu importe les options idéologiques, religieuses ou philosophiques faites par les uns ou les autres. Tout cela doit s’effacer au nom de la défense de l’appartenance commune : l’appartenance à une nation autochtone prisonnière de la gangue multiethnique républicaine.

La construction que nous proposons n’est donc pas une construction de politique politicienne : c’est une construction nationale apolitique, areligieuse, mais autochtone. Nous ne parlons pas des futures élections mais de la continuité historique de notre peuple.

Si le peuple autochtone de ce pays ne remet pas en question le régime en place, s’imaginant pouvoir l’infléchir ou l’amadouer, alors le destin de ce peuple est tout tracé : il disparaîtra ! Mais si ce peuple se rassemble et s’organise en société parallèle, alors des droits collectifs lui seront forcément reconnus et sa résilience sera assurée : avant peu il pourra à nouveau écrire sa propre histoire ! Les temps ont changé et il n’y a désormais que deux choix possibles : le soulèvement autochtoniste ou le consentement à notre propre génocide. Le reste ne compte pas.

Antonin Campana

 

 

Le cauchemar du Président Macron

Le cauchemar du Président Macron

*

*

Le cauchemar du Président Macron et la Magie des Gilets jaunes Acte VIII

 

Le secret d’une Révolution en panne d’essence politique !

1) Nous assistons à une pièce de théâtre entre deux langages magiques : celui des Gilets jaunes et celui du Président Macron. 1:00

C’est le cauchemar du Président Macron qui voit soudain de réaliser en vrai le scénario qu’il a joué en faux.

2) Ce qui ce joue aujourd’hui ? 3:50

C’est la fin d’un système d’élection truquée, de Représentation truquée, de débat truqué : en un mot de langage truqué, de Verlangue issue de la Révolution.

3) Qui va gagner ? 19:00

Le secret de cette Révolution est à rechercher dans l’histoire, dans la psychanalyse, le « trauma » de la Révolution de 1789

Les langages des Gilets jaunes et du Président Macron se réclament, tous deux, du même langage d’inversion de la Révolution. Tous deux rejouent la Révolution de 1789.

4) L’histoire du Grand débat de 1789 :  » En même temps » Peuple et Souverain ! 25:54

La mise en cause de l’Article 3 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, par les Gilets Jaunes 32:48

5) Gilets jaunes : Comment prendre le Pouvoir ? 51:56

Il n’y a pas d’autre solution que la prise du pouvoir à la Macron,
par l’aboutissement de cette Révolution de la Vérité, initiée par les Gilets jaunes et qui passe par le dé-trucage du langage d’inversion de 1789 .

L’instauration d’un nouveau langage politique – réaliste – s’impose pour la jonction des élites avec  » les gilets jaunes « , en marche vers la conquête du Pouvoir pour 2022, au plus tard.

Vive la Révolution de la Vérité, guidant les Gilets jaunes !
Vive les Gilets jaunes, en marche vers la prise du Pouvoir !
Vive la France, libérée des chaînes du Mensonge d’Etat : du langage truqué de 1789 !

Vive l’élection d’une authentique tête politique française, retrouvée sur le corps national français.

Arnaud Upinsky est le nom de plume de Bertrand Hedde d’Entremont: épistémologue, linguiste et mathématicien.

 

 

 

Gilets jaunes la révolution qui vient

gilets jaunes la révolution qui vient

Gilets jaunes la révolution qui vient

Le samedi 19 janvier 2019 a eu lieu à Rungis, devant plus de 500 personnes, une grande réunion publique sur le thème : « Gilets jaunes ou la révolution qui vient ! ». Les intervenants étaient Hervé Ryssen, Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon et Alain Soral (Élie Hatem était représenté par Cyriaque de Vulpillières).

 

 

Les « Illuminati », quelle ridicule superstition !

 

Les « Zilluminatis »: Amusement pour gros débiles paranoïaques ? … Bien sûr c’est le meilleur cliché renvoyé par le Système pour ne pas être tenté d’aller y regarder de trop près … Et pourtant, juste quelques pistes:

 

La conspiration des « Illuminés » (« Illuminati« ) date de l’expulsion des Marranes d’Espagne:

Le livre à paraître de David Livingstone retrace les origines modernes de la conspiration des « Illuminati » à partir de l’expulsion des Marranes d’Espagne.Les Marranes étaient des Juifs qui prétendaient être convertis au Christianisme:

« Marranos Everywhere! Christian Kabbalists & the Conquest of the New World »

(Des Marranes Partout! Les kabbalistes chrétiens et la conquête du nouveau monde)

Par David Livingstone

Voici le synopsis du document (original en anglais):

« L’expulsion des Juifs Marranes d’Espagne en 1492 a créé une ferveur messianique qui a inspiré la Kabbale d’Isaac Luria. Colomb, Cortès, Pizarro étaient tous des Marranes, cherchant à conquérir un nouveau territoire comme refuge contre l’expulsion.

Les Marranes se sont introduits chez les Franciscains, les Dominicains et les Carmélites, et Sainte Thérèse d’Avila était aussi une Marrane.

Les Marranes ont également créé les Jésuites. Les Marranes sont allés en Italie et ont favorisé la Renaissance, qui n’était autre que la Kabbale chrétienne. Reuchlin qui était le grand-oncle du partenaire de Luther, en était l’un de ses principaux représentants. Luther était également intéressé par la Kabbale et a été salué comme un possible Messie par les Juifs.

En Angleterre, la Kabbale chrétienne a été exprimée par Spenser, Marlowe et John Dee qui ont inspiré les Rosicruciens, basés sur la Kabbale d’Isaac Luria.
Les Rosicruciens fuyant en Angleterre étaient responsables de l’attente des espoirs millénaristes concernant l’arrivée d’un messie en 1666.

L’épicentre était alors Menasseh Ben Israël, grand rabbin d’Amsterdam, qui avait financé Cromwell pour mener à bien sa sanguinaire révolution et son génocide des Irlandais catholiques. Le résultat en fut la réadmission des juifs en Angleterre.

Le cercle de Menasseh, connu sous le nom de Hartlib Circle ou l’Invisible Collège, a évolué pour devenir la Royal Society et tous étaient liés à Sabbetai Zevi et à sa mission. (Voir aussi « Atlas du mondialisme » de Pierre Hillard).

Il comprenait également John Milton, William Penn, fondateur de la Pennsylvanie et John Winthrop, le fondateur de la Colonie Massachusetts Bay. Les soi-disant « pèlerins » (« Pilgrims » en américain) étaient des Rose-Croix, échappant à la « persécution » pour fonder une colonie judéo-chrétienne dans le Nouveau Monde, inspirée du modèle Rosicrucien de Francis Bacon, la Nouvelle Atlantis. »

 

La conversion secrète des Juifs à une autre religion pendant l’Inquisition espagnole est l’exemple le plus connu, mais, comme l’a expliqué Rabbi Joachim Prinz dans « The Secret Jewish »: « l’existence juive déguisée est antérieure à l’Inquisition de plus de mille ans ».

 

 

L’Inquisition espagnole et l’expulsion d’Espagne en 1492 ont été parmi les événements les plus cruciaux des temps modernes.

Les convertis juifs ont pénétré dans le christianisme, où ils ont pu, et continuent à se venger.

Les kabbalistes juifs sont devenus des kabbalistes chrétiens. Quand ils sont entrés en Italie, ils ont favorisé la Renaissance et à Amsterdam, la Renaissance du Nord. Luther a établi le protestantisme, créant un schisme qui a soustrait, de manière permanente, de grandes parties de l’Europe chrétienne au contrôle catholique. Les Rose-Croix ont cultivé la carrière du faux prophète et apostat juif: Sabbatai Zevi.

Partis des Pays-Bas, ces rosicruciens secrets, connus dans l’histoire américaine sous le nom de « pèlerins », ont mis le cap sur le Nouveau Monde via l’Angleterre, où ils espéraient fonder une nouvelle expérience maçonnique connue sous le nom de la Nouvelle Atlantis.

En 1290, le roi Édouard émit un décret demandant l’expulsion de tous les Juifs d’Angleterre. Toutes les têtes couronnées d’Europe ont ensuite suivi son exemple: La France expulsa les Juifs en 1306.
En 1348, la Saxe fit de même.
En 1360 la Hongrie, en 1370 la Belgique, en 1380 la Slovaquie, en 1420 l’Autriche, en 1444 les Pays-Bas.

Comme dans d’autres régions d’Europe, les persécutions violentes se sont multipliées en Espagne et au Portugal où, en 1391, des centaines de milliers de Juifs ont été forcés de se convertir au catholicisme. Publiquement, les Juifs convertis étaient connus sous le nom de Marranes et, en tant que Convertis, ils étaient également Chrétiens, mais secrètement ils continuaient à pratiquer le Judaïsme.

Comme l’a montré Louis I. Newman dans « Jewish Influences on Christian Reform Groups » (Influences juives sur les groupes de la Réforme chrétienne), une tendance similaire peut être attribuée à l’avènement du Catharisme et, finalement, au protestantisme et à d’autres hérésies chrétiennes.

Les Cathares, également connus sous le nom des Albigeois, étaient une secte gnostique du XIIIe siècle qui adorait Lucifer. Leur influence s’étendait aux légendes du Saint Graal, par le biais des Templiers, et par là même aux Rose-Croix et à la franc-maçonnerie.
Dans sa dénonciation de l’hérésie dans son ouvrage « Contre les Albigeois » (Adversus Albigenses), Lucas de Tuy, un moine espagnol, note à l’époque:

« Les chefs séculiers et les juges des villes entendent les doctrines de l’hérésie des juifs qu’ils comptent parmi leurs familiers et amis … Ils enseignent aux autres juifs à proposer leurs blasphèmes contre les chrétiens, afin qu’ils puissent ainsi pervertir la foi catholique. Toutes les synagogues des Juifs roués ont des mécènes, et elles endorment les dirigeants avec d’innombrables cadeaux et séduisent par l’or les juges à leur propre culture … »

Les Marranes ont rejoint des ordres comme les Franciscains, les Dominicains et les Carmes déchaux, et leur eschatologie prophétique, souvent qualifiée d’hérésie. Les Carmes Déchaux ont été établis en 1593 par deux Saints espagnols, Sainte Thérèse d’Avila et Saint Jean de la Croix.

Jean de la Croix est né Juan de Yepes y Alvarez, dans une famille Marrane. La théologie mystique de Jean de la Croix est influencée par la tradition néoplatonicienne du pseudo-Dionysos, théologien et philosophe chrétien de la fin du cinquième au début du sixième siècle.

L’auteur s’identifie en pseudonyme comme étant la figure de Dionysius l’Aréopagite, le converti athénien de l’apôtre Paul. Les enseignements mystiques dionysiaques ont été universellement acceptés dans tout l’Orient, tant chez les Chalcédoniens que chez les non-Chalcédoniens, et ont également eu un fort impact dans le mysticisme occidental médiéval, notamment chez Maître Eckhart.

Les Mandéens d’Irak sont appelés «Chrétiens de Saint Jean» en raison de leurs enseignements établis par la mission des Carmes Déchaux à Bassorah au XVIe siècle. Souvent identifiés avec les Sabians, dépositaires des enseignements occultes qui auraient été transmis aux Templiers.

Pour cette raison, les Mandéens étaient les « mystiques orientaux » de la légende rosicrucienne, qui devint plus tard la base de la secte Sabbatéenne (Sabataï Zevi) des Frères asiatiques.

Le grand-père paternel de Thérèse d’Avila, Juan Sánchez de Toledo, était un Marrane. Au cours d’une maladie grave Thérèse a connu des périodes d’extase religieuse. Vers 1556, lorsque divers amis suggèrent que celles-ci sont diaboliques, son confesseur, le jésuite Saint François Borgia, la rassure au sujet de leur inspiration réellement divine…

La maison de Borgia, une famille noble Italo-Espagnole, qui a pris de l’importance lors de la Renaissance italienne, a été largement connue comme étant d’origine Marrane. Les Borgia occupèrent une place importante dans les affaires ecclésiastiques et politiques aux XVe et XVIe siècles, produisant deux papes: le pape Callixtus III en 1455-1458 et le pape Alexandre VI en 1492-1503.

C’est surtout pendant le règne d’Alexandre VI, qu’ils ont été soupçonnés de nombreux crimes, y compris l’adultère, l’inceste, la simonie, le vol, la corruption et le meurtre, notamment par empoisonnement à l’arsenic.

Les Marranes ont également participé à la création de l’ordre des Jésuites.

Ignace de Loyola, qui fonda les Jésuites en 1534, était membre d’une secte hérétique connue sous le nom « d’Alumbrados », qui signifie « Illuminés », composée principalement de juifs Conversos. ( A noter au passage qu’au XVIIIème siècle Adam Weisshaupt, lié également aux Jésuites, et se revendiquant des Illuminés de Bavière, va  jeter les bases du plan de destruction des monarchies en Europe…)

Bien qu’il n’y ait aucune preuve directe que Loyola lui-même était un Marrane, selon les Convertis juifs en Espagne et en Amérique, Loyola est un nom typique de Convertis.

 

 

De plus comme l’a révélé Robert Maryks, dans son ouvrage « L’Ordre des Jésuites est une synagogue de Juifs », le successeur de Loyola, Diego Laynez, était un Marrane, de même que beaucoup de dirigeants Jésuites qui l’ont suivi. En fait, le nombre de Marranes a augmenté dans les ordres chrétiens au point où la papauté dût bientôt imposer des lois de «pureté de sang», imposant des restrictions à l’entrée de nouveaux chrétiens dans des institutions comme les Jésuites en particulier…

 

D’après le blog « La cause du peuple »

Plus en anglais sur le blog de David Livingstone

 

 

La « société ouverte »

société ouverte

Voici un article d’Antonin Campana sur son excellent site: autochtonisme.com

Je rajouterai cependant que si la « société ouverte » a bien été initiée dans les faits par la dite « révolution française », celle-ci a été soigneusement préparée par des minorités agissantes sur le plan intellectuel, au premier rang desquelles la maçonnerie.

Par ailleurs les liens entre maçonnerie et judaïsme ne sont plus à démontrer (Noachisme sous-jacent et revendiqué, perpétuelles références hébraïques: Légende d’Hiram, le temple de Salomon, les sefiroth de la kabbale, les grades et les mots de passes en hébreux, etc…). Il s’agit en fait comme l’écrit le fort documenté Pierre Hillard « d’un projet issu directement du judaïsme talmudique. »

Apparaît donc ainsi clairement la filiation profonde (idéologiquement et historiquement) de cette merveilleuse « société ouverte » … Ouverte, mais à l’usage de certains seulement, car cette belle ouverture ne saurait en aucun cas concerner ni la secte maçonnique, ni le petit groupe messianique auquel en revient la géniale et discrète conception.

 

Voici l’article:

L’idée de «société ouverte » dont parle Georges Soros n’est pas sortie spontanément de l’esprit nauséeux de ce spéculateur. Cette idée n’est pas davantage une invention du groupe de Bilderberg, de la Trilatérale, du Forum de Davos ou même de Karl Popper (et quoi qu’en dise Georges Soros). Popper a peut-être forgé l’expression « société ouverte » mais n’est à l’origine ni de l’idée qui la sous-tend, ni de sa mise en application concrète.

La paternité de la « société ouverte » revient sans aucun doute à la révolution “française“. Non que cette révolution bourgeoise ait inventé stricto sensu cette idée stupide d’ouvrir la société aux quatre vents. Celle-ci courait chez les philosophes des lumières depuis un certain temps. Bien plutôt, la révolution “française“ a pour la première fois appliqué cette idée concrètement, lui donnant ainsi chair et vie. Les suivants et les suiveurs, les Popper, les Soros, n’ont fait que reprendre et étendre la recette républicaine.

On le sait, la bourgeoisie d’affaire qui prend le pouvoir à la fin du XVIIIe siècle est essentiellement représentée dans les assemblées révolutionnaires par des hommes de loi. Cette bourgeoisie d’affaire et ces hommes de loi (avocats, greffiers, conseillers d’Etats…) évoluent dans un monde où la notion de « contrat » est centrale : contrats de négoce, contrat de change, contrat de bail, contrat de prestation de service, contrat de mariage…. Dans ce monde, le contrat organise la vie des hommes et assure le bon fonctionnement de la vie en société. Naturellement, cette bourgeoisie d’affaire sera donc très sensible aux idées d’un Rousseau qui fera du « contrat social » le moyen de fonder une société libre et harmonieuse, voire de « régénérer » les sociétés traditionnelles fondées sur une identité culturelle.

Que dit en substance Rousseau ? Rousseau prétend qu’une juste société est une société produite par le rassemblement d’individus autour d’un contrat social préservant leurs droits naturels : la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l’oppression. Pour Rousseau, tout autre type de socialisation corrompt la bonté originelle de l’homme.

Rousseau ne parle ni des Français, ni des Chinois, ni des Lapons en particulier. Rousseau parle de l’Homme en général. Ce qu’énonce le philosophe est valable pour tous les hommes. La société fondée sur le contrat et sur la loi, et non sur une quelconque identité, ne discrimine pas selon l’origine, la religion ou la couleur de peau. Elle distingue ceux qui adhèrent au pacte social de ceux qui n’y adhèrent pas. Le corps politique est un club dont il suffit d’accepter le règlement intérieur pour devenir un de ses membres. Notons que ce règlement est acceptable par tous les hommes, puisque traduisant leur nature universelle, et non leurs cultures particulières.

Par définition, la juste société est donc une société ouverte. Le contrat social est l’image philosophique du « pacte républicain » et le pacte républicain est la traduction politique du contrat social. La république est fondée sur le pacte républicain, et le pacte républicain, fondé sur le principe d’universalité, est ouvert à tous les hommes sans distinction d’origine, de race ou de religion. C’est pourquoi la république ouverte peut se dire « universelle ». Tous ceux qui souscrivent au pacte républicain « appartiennent » au corps politique qui en est l’émanation. C’est ainsi que, dès 1790, les Français deviennent, individuellement par le Grand Transfert, des « associés » dissociés de leur identité, et que peu après les Juifs deviennent des « Français ». Autrement dit, l’appartenance ne dépend plus de l’identité mais d’un acte juridico-administratif ouvert à tous ceux qui l’acceptent. L’appartenance est ouverte et ne nécessite plus une assimilation identitaire préalable.

Notons au passage que la francité perd sa dimension culturelle et devient une catégorie juridique. Etre Français a désormais une signification au niveau du Droit (l’appartenance à un Etat), mais ne veut plus rien dire du point de vue de l’identité ou de la lignée. La doctrine du Pacte républicain a donc bien détruit la francité.

La capacité à intégrer librement un corps politique s’organisant selon des valeurs universelles relevant de la nature de l’Homme, et non des valeurs particulières relevant d’une identité spécifique, est la marque des « sociétés ouvertes ». La révolution française a créé le premier modèle de société ouverte. Elle a expérimenté son principe d’universalité avec les populations juives, puis avec certains habitants des colonies, avant de le systématiser à travers le processus immigration-inclusion-naturalisation-changement ethnique du corps électoral.

En 1791, Adrien Duport (un des rédacteurs de la déclaration des droits de l’homme) dira, devant l’Assemblée, que le principe de citoyenneté n’autorise « aucune distinction ». En conséquence de quoi, ajoutait-il : « les Turcs, les Musulmans, les hommes de toutes les sectes sont admis à jouir en France des droits politiques ». Ce principe de citoyenneté, dissocié de l’identité, associé au principe d’universalité, n’annonce-t-il pas le destin funeste de notre pays et le Grand Remplacement qui vient ?

Antonin Campana

 

Le destin français.

destin français

 

Voici une fascinante et longue conférence d’Eric Zemmour le 25 septembre 2018 au Théâtre du Montansier de Versailles, pour la sortie de son livre-phénomène « Le Destin Français ».
Probablement l’un de ses meilleurs entretiens:

 

 

Le commentaire ci-dessous n’est pas de mon fait, mais d’Hortensia de Gonzagues.  J’aurais tendance à le trouver assez juste car s’il est une chose difficilement niable c’est l’immense culture d’Eric Zemmour:

« Une journée sans Zemmour : c’est une journée sans amour ! »
Hortensia de Gonzague, Septembre 2018.

« Eric Zemmour est de très loin aujourd’hui en France l’analyste politique le plus instruit et cultivé, dont tout le discours est parfaitement argumenté au moyen de références historiques nombreuses et très riches…
Ce qui fait d’Eric Zemmour l’intellectuel probablement le plus clairvoyant et le plus courageux de notre époque, où l’ignorance et l’immaturité érigées en institutions règnent sans partage et plus que jamais dans les « grands médias dominants ».
En tout cas « Le Zemmour » est de très loin le plus suivi, et incarne tout un courant de pensée français qui devient tout doucement majoritaire chez les Français de souche.
Petit message aux nationalistes de tous poils :
Oui, Zemmour est berbère juif et il ne l’a jamais caché et de toute façon ça change quoi ? Eric Zemmour se fout royalement d’Israël et d’ailleurs il n’en parle jamais, le mec s’époumone depuis 30 ans à ne parler que de la France. Il vous faut quoi de plus bordel ???… « Zemmour est sioniste », « Zemmour est juif », « Zemmour est national-sioniste » et gnagnagna et gnagnagna… Pitié !… Prenez ce qui est bien chez Soral, ne prenez pas le seul truc où il est relativement à côté de la plaque enfin !
Merci. »

 

Vous avez dit « antisémitisme » ?

 

Cet article n’a pas pour but de s’en prendre à des personnes, ayant chacune droit au respect en tant que Créature de Dieu.

Que l’on ne déforme pas les propos de cet article.

C’est à un réveil et à un réarmement spirituel qu’il convient d’appeler les Gaulois. « Ils » sont forts parce que nous sommes faibles… ou plus exactement nous sommes faibles parce que bernés en permanence: Il est facile de bâtir une domination sur des gens trépanés d’une grande partie de leur esprit critique !

Je renvois également à l’article sur l’origine khazare de la plupart des Juifs aujourd’hui.

Par conséquent:

Aucun appel à la violence ici, mais un appel au réveil des intelligences et de l’esprit critique:

Simple !

Il est aujourd’hui devenu monnaie courante de se faire joyeusement traiter d’antisémite lorsque vous évoquez par exemple le rôle des cartels financiers apatrides Rotschild par exemple. Ainsi mettre en accusation les groupes responsables historiques du système d’esclavage par l’argent-dette inventé par ces gens est « antisémite » ! Fort bien.

34.000 milliards de dollars pour la fortune des Rotschild et 2000 milliards de dette pour la France: vous saisissez ?

Vous êtes également traité d’antisémite si vous suggérez qu’il est tout de même abusif que le personnel-cadre de « France-Inter » par exemple soit constitué à 90% de personnes d’extraction juive, alors que cette population ne représente environ que 1% de la population totale de notre pays ! Une simple constatation d’ordre statistique, est donc également antisémite ! Diable !

Dernier exemple évidemment avec la Palestine: De quel droit les Israëliens ont-ils exproprié, chassé et parqué dans des réserves les habitants originels de ce pays ? Ces Israëliens qui demandent le respect pour eux-même…D’où tirent-ils ce droit de persécution et d’impunité ? La question se pose, bien qu’aucune réponse rationnelle ne soit avancée. Simplement la poser relèverait donc de l’antisémitisme encore une fois ?

Pour la personne ne connaissant pas les arrière-plans de ces simples questionnements dictés par le plus élémentaire bon sens, mieux vaut sans doute, pense-t-elle, rester dans le flou artistique, sous peine de se voir immédiatement couverte d’infâmie au plus léger début de réflexion… Certes, se dit-elle, mais après tout c’est ainsi …

Ce que cette personne ne sait pas par contre c’est qu’il existe des éléments de réponse rationnels se situant dans les traditions religieuses et donc culturelles. Ne se nomment-t-ils pas eux-même « le peuple élu » ?

Il n’est donc pas étonnant s’estimant élus de Dieu lui-même, qu’ils aient codifié leurs rapports avec les autres peuples dans un écrit comme le Talmud. Dès lors leur attitude tend à s’éclaircir quelque peu.

 Il n’est plus possible de ne pas pouvoir examiner librement les effets des présupposés religieux et culturels d’un groupe humain parmi d’autres sur les autres groupes humains à la surface de cette terre !

(Texte trouvé sur : https://fr.osdn.net/projects/bexlib/lists/archive/devel/2009-January/002950.html)

 

« Dans la vision du monde des Juifs, le goy (goyim au pluriel) est le non-juif. Il est considéré comme une bête. D’après le Talmud, de loin le plus influant des textes sacrés du judaïsme, il vaut moins qu’un chien. Sa seule vocation est donc de servir son maître Juif sans jamais pouvoir se plaindre. Autrement, il passe pour “raciste”, “antisémite” et les Juifs feront tout pour lui en faire subir les conséquences.

En démocratie, l’information est censée être libre et plurielle. En réalité, les médias importants sont entièrement entre les mains des Juifs, et ce dans pratiquement tous les domaines.

Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades, au pire des monstres incarnant le diable. L’antisémitisme serait le mal absolu et, désormais, l’antisémite c’est celui que les Juifs n’aiment pas.

L’antisémitisme, condition de notre survie:

Avant la Première guerre mondiale, il y avait moins de 100.000 Juifs en France pour 42 millions d’habitants. De nos jours, ce nombre est passé à environ 600.000, soit moins de 1 % de la population totale du pays. Au départ, il s’agissait surtout de Juifs ashkénazes, originaires de différents pays européens. Mais depuis les années soixante, la grande majorité d’entre eux est représentée par les Séfarades ou “Juifarabes”, venus d’Afrique du nord.

Autant dire qu’ils ne représentent en rien une quelconque communauté homogène. En leur sein, les individus au type européen côtoient ceux à l’aspect négroïde, révélant les véritables origines de chacun. Et pourtant, leur seule référence identitaire commune est de nature généalogique, pour ne pas dire génétique. Serait vraiment “juif ” celui qui a du “sang juif”, en principe celui transmis par voie maternelle mais, de facto, une telle distinction est maintenant devenue caduque. Bien des Juifs à l’affirmation identitaire péremptoire doivent leur judéité à un grand-père qui n’avait d’autres soucis que de faire oublier ses encombrantes “racines hébraïques”.

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs “décisifs” de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une “race supérieure” spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.

Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout “réussi” avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet.

Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de “racisme” ou d’”antisémitisme”, en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse “maladie criminelle” passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste.

Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Donc davantage de pouvoir aux Juifs.

Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger.

Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires.

Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.

D’ailleurs, les Juifs eux-mêmes tiennent jalousement à préserver leur particularisme, une des conditions de leur solidarité communautaire, garantissant leur réussite. Ne se targuent-ils pas de descendre d’Abraham, un bédouin arabe ayant vécu il y a près de 4000 ans dont ils s’efforcent de préserver l’héritage génétique en recommandant une stricte endogamie !

Les Juifs ont beau ainsi nous faire croire qu’ils sont comme nous, en réalité, ils sont surtout contre nous. Ceux qui se prétendent “français” ne sont que des hypocrites et de vils imposteurs, espérant profiter de la naïveté ou de la démission de leurs victimes.

D’où leur volonté de nous dénaturer, de nous déraciner, sur le sol de notre propre patrie. Il faut pour eux que nous cessions de nous réclamer de nos racines européennes pour ne plus être que de simples résidents de France, comme eux-mêmes, comme n’importe quel immigré.

Leur litanie : la France, terre d’immigration ! Terre de brassage ! Terre des Droits de l’Homme.

Ce qui pour eux se comprend : de l’Homme juif, avec son regard rivé sur Israël et la défense de ses intérêts impériaux…

Mais ce qui est légitime pour les autres peuples ne pourrait que l’être pour nous-mêmes. Partout, on se réclame avec raison du terroir. Partout, on s’efforce de préserver les traditions, de valoriser les patrimoines collectifs, de réhabiliter les héritages du passé menacés par l’aliénation planétaire de la globalisation.

Il est donc pour nous parfaitement justifiable de chercher à défendre notre identité de peuple européen, de race blanche, sur nos terres. Si c’est cela le “racisme”, nous devons avoir le courage de l’assumer sans complexe.

D’ailleurs, quel peuple au monde ne serait pas alors “raciste” ? En tout cas, certainement pas les Juifs !

Résister à la domination juive qui promet de nous être fatale à brève échéance est pour nous plus qu’un droit, un devoir sacré. Les Juifs sont véritablement nos ennemis mortels, comme ils sont aussi en définitive les ennemis de toutes les nations du monde qu’ils vouent à la corruption de leur identité, à l’avilissement de leur culture, ou même pour les plus vulnérables, à la misère et à une servitude perpétuelle, jusqu’à leur disparition.

Déjà au premier siècle, comme le rapporte l’écrivain romain Tacite, on les accusait volontiers de “haïr le genre humain”!

Depuis, cela n’a fait qu’empirer.

Ils sont en effet les premiers responsables et les principaux bénéficiaires des idéologies les plus malfaisantes ayant sévi au cours des deux derniers siècles: le capitalisme, le socialo-communisme, l’antiracisme, l’individualisme asocial, le mondialisme néo-libéral…

Plusieurs dizaines de millions d’innocents ont péri par les guerres et les révolutions qu’ils ont fomentées et des milliards de gens qui ne leur ont jamais fait le moindre mal vivent maintenant dans l’humiliation et le désespoir. Même la survie de l’humanité se retrouve gravement menacée par la dégradation de la planète dans laquelle ils ont davantage contribué que tout autre groupe, étant donné leur exceptionnelle “réussite”…

Avec la globalisation que personne, en dehors des multinationales et de leurs profiteurs, n’a réellement souhaité, le voisinage des Juifs devient aussi mondial. Les mêmes causes provoquant les mêmes effets, comme fatalement, les sentiments de rejet à leur endroit ne cessent de se développer jusqu’aux recoins de la planète. A croire que ce que l’on qualifie d’”antisémitisme” est véritablement une réaction allergique qui se manifeste au seul contact des Juifs triomphants. Il n’y aurait alors que les abrutis par le discours antiraciste pour s’imaginer que la responsabilité en incombe au “préjugé raciste” qu’il conviendrait de combattre avec davantage d’endoctrinements et de répression. Si l’on veut enrayer le mal, ce n’est pas aux victimes de l’infection qu’il convient de pointer le doigt mais aux agents propagateurs de la maladie. Les Juifs sont porteurs d’antisémitisme, comme le vent du désert est porteur de sable. Tout esprit encore sain ne pourra qu’exprimer une réaction de rejet face aux manifestations intolérables de sémitisme dont ils font continuellement preuve. C’est donc ce dernier qu’il faut combattre si l’on cherche réellement à faire disparaître l’antisémitisme.

Depuis les origines du monothéisme hébraïque, par le biais de la doctrine de l’”élection divine” au profit exclusif de leur tribu, les Juifs se sont d’eux-mêmes exclus de la communauté des nations, rejetées avec mépris comme “goyim”.

Aujourd’hui, les membres de ces nations qui se sentent réellement exclus des affaires qui les concernent commencent à s’interroger à leur tour sur la place des Juifs dans le monde.

On ne saurait alors douter qu’ils ne tarderont à leur demander des comptes.

Ce ne sera jamais que justice. Un ultime espoir pour les opprimés et les vaincus sans défense que l’on a accablé des pires crimes qu’ils n’ont jamais commis.

« La seule chose grave à l’heure actuelle, pour un grand homme, savant écrivain, cinéaste, financier, industriel, politicien (mais alors la chose gravissime) c’est de se mettre mal avec les Juifs. – Les Juifs sont nos maîtres – ici là-bas, en Russie, en Angleterre, en Amérique, partout !… Faites le clown, l’insurgé, l’intrépide, l’antibourgeois, l’enragé redresseur de torts… le Juif s’en fout ! Divertissements… Babillages ! Mais ne touchez pas à la question juive, ou bien il va vous en cuire… Raide comme une balle, on vous fera calancher d’une manière ou d’une autre… Le Juif est le roi de l’or de la Banque et de la Justice… Par homme de paille ou carrément. II possède tout… Presse… Théâtre… Radio… Chambre… Sénat… Police… ici ou là-bas…” L.-F. Céline, Bagatelles pour un Massacre (1937)

“Son but immédiat (de la communauté juive organisée, ndlr), ne pourra être que de détruire l’état de choses existant ( je veux dire les traditions nationales du pays qui lui a donné l’hospitalité ) pour y instaurer un ordre nouveau selon lequel il ne sera plus tenu à l’écart mais complètement et définitivement agrégé , car c’est là le seul espoir , la seule évolution victorieuse d’un peuple qui est le seul au monde à n’avoir pas de patrie , détruire systématiquement toutes les patries des autres où il demeure en étranger pour qu’il n’y ait plus qu’une seule humanité où on ne le distinguera plus du reste des hommes.”

Marcel Jouhandeau, Le Peril juif (1972)

Voici un petit exemple des représentants de cette communauté organisée en France:

– ABECASSIS, Eliette. Écrivaine féministe engagée. Fille d’Armand ABECASSIS, spécialiste du judaïsme issu d’une famille juive du Maroc.

– ABEHSERA, Charles. Industriel du textile (Morgan) né dans une famille juive du Maroc.

– ABERGEL, Jacques. (ancien PDG de BFM et de la régie d’Europe 1 Le Nouvel Économiste)

– ADDA, Serge. Juif de Tunisie. PDG de Canal + puis TV5. Fils de Georges ADDA, leader du Parti communiste tunisien durant la période coloniale.

– ADJANI, Isabelle. Actrice juive originaire de Kabylie.

– ADLER, Alexandre. Journaliste et documenteur de télévision. Après avoir été militant socialiste puis communiste, il est devenu l’un des principaux propagandistes de la domination américano-sioniste, soutien de Bush, puis soutien de Sarkozy et Obama. Fervent partisan d’Israel, administrateur de l’Union libérale israélite de France et monte de diverses officines pro-juives. Il est également dignitaire franc-maçon. Son épouse, Blandine Kriegel (conseillère à l’Elysée), est la fille du juif bolchevique Maurice Kriegel-Valrimont, résistant communiste durant la guerre, puis député, décédé en 2006.

– AFFLELOU, Alain. Industriel, né dans une famille juive d’Algérie. Fortune estimée à 100 millions d’euros, l’une des plus grosses de France.

– AÏDENBAUM, Pierre. Maire PS du IIIe arrdt de Paris, président de la LICRA de 1992 à 1999 et président de la régie immobilière de Paris.

– ALIOT Louis : cadre du Front National, d’origine juive sépharade par sa mère. Secrétaire général du Front National, qu’il a contribué à aseptiser et shabbat-goyiser, avec l’aide de Marine Le Pen…

– ALPHANDERY, Edmond : député UDF, ministre de l’économie sous Balladur, en bon juif libéral il privatisa plusieurs banques (Banque nationale de Paris), Elf, Rhone-Poulenc…

– AMAR, Paul : juif d’Algérie, journaliste pédant pro-sioniste.

– Ammar Zvi (Sylvain) – Président du Consistoire Israélite de Marseille

– ANCONINA, Richard. Comédien, issu d’une famille juive de Tunisie.

– ANTHONY, Richard (né BETSCH) : chanteur, juif d’Egypte

– ARDITI, Pierre. Comédien, né d’un père juif. Marié à la comédienne juiveEvelyne BOUIX. Défenseur de l’immigration.

– ARON, Raymond : l’un des sociologues, philisophe et politologues les plus influents de France de l’après guerre. Défenseur du libéralisme à tout va. Décédé en 1983.

– ARTHUR (ESSEBAG Jacques, dit). L’animateur reconnu pour être “le plus con de la radio et ensuite, de la télé” (et aussi le plus vulgaire et le plus avide de tout, en particulier d’argent !) est né au Maroc dans une famille juive. Vulgaire, obsédé par le fric et les femmes (blanches de préférence), prosioniste. Sans doute l’un des pires responsables de l’abêtissement des émissions télé ces 20 dernières années. Vice-président d’Endemol.

– ASSAYAS, Olivier. Cinéaste, fils de Jacques Rémy. Frère du journaliste Michka ASSAYAS.

– ASSOULINE Pierre : journaliste de renom

– ATTALI, Jacques. Banquier et écrivain, d’une famille juive d’Algérie. Il est le fils d’un riche parfumeur algérois qui aurait voulu être rabbin. La famille s’est installée en France en 1956. Jacques Attali devient le conseiller spécial de Mitterrand dès le 11 mai 1981, puis, le président de la Banque européenne de développement où ses “largesses” pour lui-même et ses amis font scandale. Il a fait l’apologie de la puissance financière juive et milite pour l’entrée de la Turquie en Europe, mais également pour l’immigration venant du tiers-monde, et de la marchandisation de l’humain (du blanc de préférence). Son frère Bernard ATTALI était PDG d’Air France et cadre de diverses groupes financiers ou d ‘assurances, avant de se mettre au service des entreprises américaines opérant dans les rachats d’entreprises stratégiques en France.

– ATTIAS Cecilia : première femme de Nicolas Sarkozy, juive-tsigane de Moldavie par son père (nom de famille « Ciganer »), et juive espagnole par sa mère (« Albenitz »). Se déclara fière de n’avoir aucune goutte de sang français. A peine son mari élu, ils s’empressèrent de divorcer, et parti se marier avec le juif new-yorkais Richard ATTIAS.

– AYACHE, Alain. Patron de presse dans le genre “people”, issu d’une famille juive d’Algérie.

–AYACHE Jennifer : chanteuse de Superbus, juive par son père, fille deChantal LAUBY, du groupe comique « Les Nuls », elle même en partie juive hongroise.

– AZOULAY, Jean-Luc. Juif originaire d’Algérie. Co-fondateur avec son compatriote Claude BERDA du groupe AB, produisant des films et animations télévisuelles destinées à la jeunesse.

– BACRI, Jean-Pierre. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.

– BADINTER, Robert. Alors qu’il était avocat de la LICRA contre Robert Faurisson, Mitterrand en fit son ministre de la justice en 1981. Président du Conseil Constitutionnel en 1986. Il siège toujours au Conseil représentatif des institutions juives et du Fond social juif unifié. Sa seconde épouse, la féministeElisabeth Badinter, est la fille du publiciste milliardaire Marcel Bleustein-Blanchet (fondateur de Publicis Groupe SA) et la petite-fille du communard Edouard Vaillant (1840-1915). Les principales actions politiques à mettre au crédit de Badinter sont l’interdiction de la peine de mort, et la dépénalisation des relations sexuelles homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans…

– BALASKO, Josiane (BALASCOVIC, dite). Actrice et cinéaste, née dans une famille juive venue de Yougoslavie. Belle-sœur de Richard BERRI et mère de la comédienne Marilou BERRI. Sioniste, et militante pro-immigration, pro-clandestin.

– BALKANY Patrick : membre fondateur du RPR, député-maire ripoux plusieurs fois condamné (ce n’est pas que les autres soient irréprochables, mais lui s’est au moins fait attrapé).

– BARBELIVIEN, Didier : auteur-compositeur, pape de la variété dégoulinante

– BARNEY, Phil (né Philippe Baranès) : chanteur, juif d’Algérie

– BARZACH, Michèle. Ancien ministre de la Santé de Chirac (198-61988, elle jugea que que le nuage de Tchernobyl n’aurait aucune incidence sur la santé publique…). Née le 11 juillet 1943 au Maroc dans une famille juive ashkénaze, elle a été compromise dans le scandale du sang contaminé par le sida.

– BAUER, Axel : chanteur

– BEART, Emmanuelle : actrice, père juif d’Egypte (Guy BEHAR, chanteur)

– BEIGBEDER, Frédéric : écrivain

– BEIGBEDER, Charles. Son frère, multimillionnaire, fondateur de Selftrade (courtage en ligne) et Poweo.

– BEDOS, Guy : juif d’Algérie, humoriste gauchiste et antifasciste.

– BELLAHSEN, Fabien – Directeur de la plus grande edition de cuisine internationale

– BENAYOUN, Michaël (dit YOUN) : « humoriste » et acteur vulgaire, auteur de films potaches et débiles.

– BENAZERAF, José. Issu d’une famille juive du Maroc, il est devenu le principal promoteur du cinéma pornographique en France dans les années 1970.

– BENGUIGUI, Jean. Comédien, juif d’Algérie.

– BENMAKHLOUF, Alexandre. Ancien conseiller de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Ancien directeur de cabinet de l’ancien Garde des Sceaux Jacques Toubon, magistrat influent.

– BEREGOVOY Pierre. Il était le fils d’Adrïan Beregovoy. Né le 23 décembre 1925 à Isum (Russie) dans une famille juive d’Ukraine. Plusieurs fois ministre puis premier ministre. Son frère Michel Beregovoy est député socialiste.

– BENAMOU Georges : journaliste, fondateur de Globe (avec l’aide de Pierre Bergé, pdg d’Yves Saint-Laurent, prohomosexuel, gauchiste), torchon gaucho-bobo, pro-Mitterrand, antiraciste. Soutien de Sarkozy dans les années 2000.

– BERRI, Claude (LANGMANN, dit). Acteur-producteur de cinéma. Père de l’acteur-producteur Thomas Langmann et de l’acteur Julien RASSAM.

– BERRY, Richard (BENGUIGUI, dit). Comédien, né d’une famille juive d’Algérie.

– BIRNBAUM, Michel : magnat de presse, patron de presse, dirigeant de Play Boy, BHM, Newlook et Rolling Stone

– BESNAINOU, Pierre : Fondateur et PDG de Liberty-Surf

– BESSON, Eric : juif par sa mère (Marie-Thérère MUSA). Homme politique de l’UMP, ministre, ultra-sioniste.

– BISMUTH, Gerard : Avocat au barreau de Marseille- premier Adjoint au maire d’Allauch- Ex président du PACUEJ

– BLOCH-LAINE François : Né le 25 mars 1912 à Paris, mort le 25 février 2002 à Paris); haut fonctionnaire; militant associatif (éducation populaire, logement, tourisme social, etc.). Père de Jean-Michel Bloch-Lainé.

– BLUM, Roland : né en 1945 dans les Bouches-du-Rhône en est depuis plus de 20 ans le Député. C’est le 1er député à avoir interpellé le gouvernement sur l’Affaire Al-Durah, ce reportage pouvant être une mise en scène au détriment de l’image d’Israël dans le monde

– BOCCARA, Bruno : L’un des plus grands avocats parisiens, spécialiste incontesté des baux commerciaux, auteur de plusieursouvrage et d’innombrables articles.

– BOOBA, nom de scène du « chanteur » de rap Elie YAFFA, idole de la génération racaille. sénégalais par son père, juif du Maroc par sa mère. Se dit « musulman » pour mieux vendre sa soupe à ses compatriotes des banlieurs.

– BOON, Dany (née Daniel HAMIDOU) : arabe par son père, chtimi par sa mère. Converti au judaisme. Marié à Judith Godrèche (juive) puis Yaël Harris (juive)

– BORLOO, Jean-Louis. Député et plusieurs fois Ministre sous Chirac puis Sarkozy, sioniste, affairiste et franc-maçon. Marié à Béatrice Schönberg (née SZABO), présentatrice à France 2.

– BOUBLIL, Alain : Directeur de cabinet de Pierre Beregovoy

– BOUJENAH, Michel : acteur juif sépharade.

– BOUSSEL-GRINBERG, Pierre : juif de Russie. Communiste puis trotskyste influent, modèle de Mélenchon et Besancenot, tout un programme…

– BOUVARD Philippe : présentateur tv, obsedé sexuel. N’a révélé sa judaité que récemment.

– BRANT, Mike: Son vrai nom Moshé Michaël Brand chanteur crooner israélien, né le 1er février 1947 à Famagouste (Chypre) et décédé le 25 avril 1975 à Paris.

– BRAUMAN, Rony. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières. Ses prises de positions en faveur des Palestiniens lui ont valu des critiques virulentes de la part des autres juifs.

– BREDIN, Jean-Denis. Né HIRSCH-BREDIN, devenu Bredin par décret du 16 mars 1950, ancien associé de Robert Badinter et académicien antiraciste.

– BREITMAN, Zabou. Actrice et réalisatrice de cinéma. Fille de lfacteur-réalisateur Jean-Claude Deret.

– BRUEL, Patrick (né BENGUIGUI). Chanteur, acteur et joueur de poker professionnel issu d’une famille juive d’Algérie.

– BRUNI Carla (née BRUNI-TEDESCHI) : pute d’envergure mondiale d’origine juive italienne, mariée à Sarkozy.

– BUFFET, Marie-Georges. Ministre communiste de la jeunesse. Son nom de jeune fille est KOSELLEK. Son directeur de cabinet est Gilles SMADJA, militant communiste, ancien chef du service société du journal lfHumanité.

– CAMBADELIS, Jean-Christophe. Fils de diamantaire originaire de Grèce. Spécialiste de la lutte contre glfextrême-droiteh. Membre du PS.

– CAMUS, Jean-Yves. Journaliste goy converti au judaïsme et qui, dans lfespoir de se faire accepter, fait de la surenchère de sionisme en se montrant enragé contre glfextrême-droiteh.

– CARLOS (DOLTOVITCH, Jean-Christophe, dit). Chanteur, issu d’une famille juive venue de Russie. Sa mère était Françoise DOLTO, médecin psychanalyste réputée.

– CAROLIS, Patrick De : journaliste et chef du groupe France Television.

– CASSEL, Vincent : acteur, juif par sa mère, Sabine Litique.

– CASTALDI, Benjamin. (Loft Story) : semi-juif, présentateur télé, petit-fils de Simone Signoret (née Kaminker).

– CHABAT, Alain. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CHAIN, Emmanuel : présentateur télé et producteur

– CHARVET, David (GUEZ, dit). Acteur et chanteur, issu dfune famille juive de Tunisie.

– CHATELAIN Jérémy : chanteur

– CHEMLA, Elisabeth. Journaliste au Nouvel Observateur et à Proche-Orient Info, originaire dfAlgérie. Elle sfest fait remarquer par son ultra-sionisme hystérique.

– CHEVENEMENT, Jean-Pierre. Ancien ministre socialiste, issu dfune famille (de lointaine origine juive suisse). Son épouse, la sculpteuse Nisa GRUNBERGest née en Egypte dans une famille juive et ses enfants sont juifs pratiquants.

– CHOURAQUI, Elie. Cinéaste, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CITROEN, André : fondateur de l’empire industriel Citroën (en 1919). Juif hollandais par son père, juif polonais par sa mère.

– CIXOUS, Hélène. Universitaire et militante féministe. Sa mère était juive dfAllemagne et son père juif algérien.

– CLERC, Julien (né Leclerc) : juif par son père, haut fonctionnaire à l’UNESCO. Chanteur

– COHEN, David. (dit Dany BRILLANT) : chanteur, sans talent particulier

– COHN-BENDIT, Daniel : leader de mai 68, devenu leader « ecologiste » et nesioniste. Apologiste de la pédophilie, antiraciste fanatique…

– COLLARO, Stéphane : journaliste et prodcteur animateur de télévision

– COPÉ, Jean-François. Homme politique, juif roumain par son père (Copelevici) et mère juive d’Algérie.

– CORDY, Annie (née COOREMAN) : chanteuse, juive de Bruwelles

– CUKIERMAN Roger : président du CRIF de 2001 à 2007.

– DAENINCKX, Didier. Romancier médiocre et mouchard professionnel pour le compte du Mossad. On lui a attribué comme nom de code glfahuri des poubellesh.

– DAHAN , Etienne. (dit DAHO) : chanteur

– DANIEL, Jean (BENSAÏD, dit). Essayiste et journaliste, responsable du Nouvel Observateur. Il est le 11e et dernier enfant dfune famille juive pieuse. Confident de François Mitterrand.

– DARMON, Gérard. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– DASSAULT, Serge. Fils de Marcel DASSAULT (né BLOCH). Industriel multicarte. 3e fortune de France. Marchant d’armes, patron de presse (Le Figaro), maire de Corbeil-Essone, sénateur. Ultracapitaliste et sioniste, il se déclare malgré tout admiratif du système social et de l’emploi chinois, se désolant de l’existence des grèves et des syndicats.

– DASSIN, Joe (né Joseph Ira DASSIM) : juif américain de New York, chanteur à succès en français

– DAVE : Son vrai nom Wouter Otto LEVENBACH, est un chanteur juif néerlandais populaire en France, francophone et quasiment inconnu aux Pays-Bas.

– DAYAN, Josée. Réalisatrice de cinéma, née en Algérie.

– DEBRE, Michel. L’ancien Premier ministre (décédé) du général de Gaulle a renoué avec ses racines juives au crépuscule de sa vie. Il était petit-fils du grand rabbin Simon Debré, originaire d’Alsace. Parmi ses enfants, on peut citer Jean-Louis DEBRE, Président de l’Assemblée nationale très proche de Chirac etBernard DEBRE, urologue, ancien député et ministre de la Coopération.

– DECHANNE, Christophe (né Dechavanne-Binot) : juif par sa mère

– DELANOE Bertrand : juif de Tunisie par son père. Elu socialiste, mai de Paris, militant homosexuel fanatique, prosioniste, pro-immigration. Sous son règne, Paris a réussi l’exploit d’être encore plus dégénérée.

– DELON, Anthony: acteur, son père est Alain Delon, sa mère est la juive Francine Canovas, fille de la famille Juive Marrane du même nom ayant vécu sous le protectorat français au Maroc, dans la ville d’Oujda.

– DERAI, Yves. Directeur des programmes de la radio BFM (dirigée par Alain Weil), la radio du big business qui n’hésite pas à inviter ses auditeurs à aller à la fête de Lutte ouvrière. Ancien directeur de Tribune juive (1993-1998).

– DERRIDA, Jacques. Ecrivain (décédé en 2004), issu d’une famille juive d’Algérie.

– DESIR, Harlem. Premier leader de SOS-Racisme, devenu ensuite député h européen h du groupe socialiste. Son père est dforigine martiniquaise et sa mère juive dfAlsace.

– DIEFENTHAL Frédéric : acteur et producteur

– DISTEL, Sacha : chanteur, juif de Russie

– DRAI, Pierre. Lfancien Président de la cour de cassation est également président de lfAssociation des Amis de lfuniversité de Jérusalem.

– DRAY, Julien. Politicien né dans une famille juive dfAlgérie. Il milite à la Ligue communiste révolutionnaire jusqufen 1982. Devenu agitateur professionnel pour le compte du parti socialiste, il est avec Harlem Désir à lforigine de la création de SOS-Racisme. Il avait défrayé la chronique en achetant en liquide une montre de 250.000 francs (plus de 38.000 euros). Antiraciste obsessionnel.

– DREYFUS, Tony. Député-maire PS du Xe arrondissement de Paris.

– DRUCKER, Michel. Animateur de télé, juif de Roumanie par son père Abraham Drucker. Son frère Jean Drucker (décédé en 2003) était PDG de télévision (Société Française de Production, Antenne 2 et ensuite M6). Ce dernier laisse deux filles, Marie Drucker, présentatrice à France 3 et Léa Drucker, comédienne.

– DRUON, Maurice. « résistant » des ondes de la BBC à Londres, il écrit le chant bolchévique « le chant des partisans ». Secrétaire perpétuel de lfAcadémie Française. Neveu de lfécrivain Joseph Kessel dont la famille juive est originaire de Lithuanie.

– DUTEIL, Yves : chanteur, petit neveu du capitaine Dreyfus.

– ELBAZ, Vincent : acteur

– ELBE, Pascal : acteur

– ELKRIEF, Ruth : journaliste

– ELMALEH Gad : humoriste et acteur juif du Maroc.

–EMMANUELLI Henri : financier, député et ministre socialiste

– ENDERLIN, Charles : journaliste à la double nationalité française-israelienne. Fut notamment correspondant de France 2 en Israel.

– ESSEL, André. Militant trotskyste. Fondateur de la FNAC avec le milliardaire franc-maçon Max Théret.

– ESTIER, Claude. Ex-président du groupe socialiste au Sénat. Né ClaudeHASDAY EZRATTY dans une famille juive dfAlgérie. Comme bon nombre de juifs en France, il a obtenu de changer son nom, en ESTIER en 1983. Ami personnel de Mitterrand, député et sénateur.

– FABIUS, Laurent. Ancien Premier ministre et Président de lfAssemblée nationale socialiste, compromis dans le scandale du sang contaminé par le virus du sida. Son père, André FABIUS, était un richissime marchand de tableau. Sa mère, née STRASBURGER, est issue dfune famille de bijoutiers juifs de Francfort. Il est le principal promoteur de la loi Fabius-Gayssot de 1990 qui a mis fin à la liberté dfexpression en France, et ensuite celle de 1996, qui institue la délation pour permettre aux associations gantiracistesh sous domination juive dfimposer la terreur de la pensée unique. Sans conteste l’un des juifs les plus néfastes de France.

– FARRUGIA, Dominique : acteur, humoriste . D’origine maltaise (donc sémite), mais converti au judaisme

– FERRAT Jean (TENENBAUM, dit). Chanteur et communiste militant, pro-invasion de la France.

– FERRO, Marc. Historien médiatique. Juif par sa mère, née Nelly FRIEDMANN.

– FERRY, Luc. Ancien ministre de lféducation nationale et essayiste médiatiquement réputé.

– FIELD, Michel. Animateur télé. Ancien leader communiste.

– FINEL, Lucien. Né FINKELSTEIN. Maire du IVe arrdt. de Paris

– FINKELKRAUT, Alain. Essayiste médiatique et sioniste intransigeant, catalogué « extrême-droite » pour ses prises de position antiislam et parfois antiimmigration, qui ne doivent pas faire illusion sur son principal objectif, qui est bel et bien la défense de la république sioniste jacobine.

– FITERMAN, Charles (CHILEK, dit). Ancien ministre communiste. Fils dfimmigrés juifs polonais naturalisés en 1934.

– FOGIEL, Marc-Olivier : présentateur detestable.

– FONTENAY Genevieve De (née MULMANN) : juive d’Alsace, prit le pseudonyme de De Fontenay durant la guerre, pour une supposée appartenance à la Résistance, qui n’a jamais été prouvée.

– FORRESTER, Viviane (née Drefus) : romancière

– FOUCAULT Jean-Pierre : juif de Pologne par sa mère. A avoué sa judaité récemment.

– FRIEDMANN, Jacques. Inspecteur général des finances. Il est depuis quarante ans le plus proche confident de Jacques Chirac. En 1986, il a réussi à convaincre le Premier ministre de renoncer à la réforme du code de la nationalité destinée à freiner lfimmigration. Cette eminence grise-parasite est décédé en 2009.

– Serge GAINSBOURG, juif dont la famille est venue de Russie (Ginsburg), chanteur alcoolique et dépravé, sans voix, plagiaire de classiques, obsédé sexuel (femme blanche de préférence) et pro-inceste. Sa fille, Charlotte GAINSBOURG, est l’épouse de lfacteur-réalisateur juif Yvan ATTAL.

– GALES Sydney : Directeur de recherches au cnrs, responsable du plus grand laboratoire francais de physique nucleaire et president du comite europeen de cette discipline

– GAUBERT, Patrick. (son nom de famille est à la base Goldenberg) : Député européen et président de la LICRA depuis 1999, association ultra-sioniste comptant parmi ses membres dfhonneur Jacques Chirac (et auparavant, François Mitterrand).

– GEISMAR Alain. Principal leader de mai 1968 avec Daniel COHN-BENDIT, autre juif. Devient par la suite Inspecteur général de lfEducation nationale. Il se définit (Passages, octobre 1990), comme gissu dfune famille de Juifs alsaciens, des deux côtés, paternel comme maternelh. Son père, inspecteur de la Banque de France, fut permanent du Consistoire israélite.

– GIROUD, Françoise. (Léa Françoise GOURDJI, devenue Giroud par décret du 12 juillet 1964). Son père Salih Gourdji était originaire de Turquie. Sa mère sfappelait Elda Farragi. Journaliste et ministre, née dans une famille juive de Turquie.

– GLUCKSMANN, André. Essayiste dfextrême-gauche devenu sioniste enragé.

– GLUCKSTEIN, Daniel. Secrétaire général du Parti des gTravailleursh (trotskyste).

– GODRECHE, Judith (Godrèche est la version francisée de « Goldreich »): actrice, de parents émigrés juifs de Russie

– GOLDANEL, Gilles-William. Avocat sulfureux, président de l’Association France-Israël dont la devise est : “A son attitude à l’égard d’Israël, on peut juger de la valeur spirituelle d’un peuple”. Cette association sioniste fut fondée en 1929 sous l’égide des plus hautes autorités de l’Etat français (Président de la République, Président du Conseil des ministres).

– GOLDMAN, Jean-Jacques. Chanteur-compositeur, né des parents juifs, d’Allemagne pour sa mère et de Pologne pour son père. Ses chansons sont souvent pro-immigrés et crypto-antiraciste. Son demi-frère, un terroriste d’extrême-gauche, fut tué en 1979.

– GOSCINNY, René : juif de Pologne, écrivain et scénariste de bande dessinée(Asterix, Lucky Luke Iznogoud…), dans lesquelles il se moque de tous les clichés raciaux, sauf juifs bien sûr.

– GROSSER, Alfred. Universitaire, né dans une famille juive de Francfort. Apologiste de lfAllemagne national-masoschiste pour le public français.

– GUEDJ, Nicole. Avocate et ministre UMP née en Algérie. Membre du CRIF, de la LICRA et autres organisations communautaires juives.

– GUETTA, David. Animateur de boîte de nuit fréquentée par le gTout Parish. Né dans une famille juive originaire du Maroc.

– GUNZBURG, Alain de. Principal actionnaire du Monde, gendre du milliardaire Edgar B RONFMAN, n°1 mondial de l’alcool et Pdt du Congrès juif mondial.

– HABIB, Elie (Lolo) – Proprietaire des Vins Habib Freres et un des leaders de la communaute Juive Tunisienne

– HADDAD, Georges : Ancien president de la Sorbonne. President des presidents des universites. President de l’enseignement superieur a l’UNESCO.

– HADJENBERG Henri : avocat, président du CRIF de 1995 à 2001.

– HAIAT, Robert: Chef de service cardiologie, hopital saint-germain-en-Laye, actuel présde la société française de cardiologie

– HALIMI, Gisèle. Leader féministe devenue ensuite ambassadeur de France à l’Unesco. Née le 27 juillet 1927 à Goulette en Tunisie. Son vrai nom est Zeiza, Giselle, Elise Taïeb. Elle reçut l’autorisation de changer son nom par le décret paru au Journal officiel du 7 mars 1996. Son fils, Serge HALIMI est essayiste, spécialisé dans la critique des médiats et de la mondialisation mais évitant soigneusement de s’attaquer à la mainmise juive. Il est aussi diurecteur du « Monde diplomatique » depuis 2008

– HANIN, Roger (LEVY, dit). Comédien, né en Algérie. Il a adopté comme pseudonyme le nom de jeune fille de sa mère. gMon vrai nom, cfest Lévy. Mon père sfappelle Joseph Lévy. Ma mère Victorine Hanin. A lforigine, cfétait Ben Hanine. Cfest une fille Azoulay. Je suis 100 % casher sur le plan génétique. Je suis fils de communiste et petit-fils de rabbin. Je me sens très juif.h (Actualité juive, 4 décembre 1987). Ayant épousé la productrice de cinéma Christine Gouze-Rénal, il a eu pour beau-frère François Mitterrand.

– HANOUNA Cyril : juif sépharade, présentateur

– HALPHEN, Eric. Magistrat ripoux et politicien, fils de André Halphen, fondateur de Tele-poche.

– HALTER, Marek. Romancier juif originaire de Pologne. Chantre larmoyant de la préservation multi-séculaire de lfidentité biologico-ethnique judéo-khazar.

– HAZAN, Adeline. Ancienne présidente du très gauchiste syndicat de la Magistrature. Née dfun père juif égyptien, elle fait partie du gpremier cercleh de Jospin, qui lfa chargée des problème de la gVilleh.

– HERZOG, Philippe. Il est le fils dfEugène Herzog, ingénieur chimiste juif yougoslave immigré en France en 1927. Il était le principal économiste du Parti communiste gfrançaish.

– HOLLANDE, François : leader du Parti Socialiste, député, sioniste, antiraciste…

– HOSSEIN, Robert (HOSSEINHOFF, dit). Acteur et cinéaste, juif d’Ukraine

– JACOB, Catherine : actrice

– JAOUI, Agnes. Actrice.

– JEAMBAR, Denis. Directeur de la rédaction de L’Express. Comme il l’a expliqué à Tribune juive (14 mars 1996), il descend d’une famille juive du Comtat Venaissin : “Je suis d’origine juive par ma mère, bien que baptisé. Je me sens très attaché à Israël.” Ancien directeur général d’Europe 1, il fait du combat contre l’extrême-droite une de ses priorités.

– JENNIFER (née Jennifer YAEL DADOUCHE-BARTOLI) : chanteuse

– JONASZ, Michel : chanteur

– JOSPIN, Lionel. Lfancien premier ministre socialiste (ancien militant et taupe trotskyste) est issu dfune famille protestante mais ses deux épouses, successivement Elisabeth Dannenmuller et Sylvianne Agacinski sont juives et donc aussi ses trois enfants.

– JOUFFA, Yves. Ancien responsable socialiste. Enfermé au camp de Drancy en 1941-42, il en devient lfun des auxiliaires du gardiennage. Pour échapper à la déportation, il adhère ensuite à lfUGIF (organisation juive pro-Vichy) où son père était trésorier. De 1984 à 1991, il préside la Ligue des Droits de lfHomme.

– JOXE, Pierre. Petit fils de l’écrivain Daniel Halévy et fils de l’ancien ministre gaulliste Louis Joxe qui s’était converti au protestantisme. Pierre Joxe, militant marxiste, était inscrit à la CGT en 1981. Longtemps ministre socialiste.

– JULY Serge : militant communiste puis socialiste, fondateur de « Libération », qu’il dirigea de 1973 à 2006. Carrière oblige, ce juif reste malgré tout un proche de Sarkozy et consorts.

– KABLA, Gabriel : juif tunisien, medecin et President de la Fédération des Associations Juives de Tunisie F.A.J.T et de l’Amicale des Juifs de Jerba A.J.J

– KAHN, Jean-François. Journaliste né dfun père juif. Bien que se déclarant catholique etc agnostique, il a toujours milité aux côtés des Juifs. Il a pour frère Axel KAHN, biologiste.

– KAKOU Elie : humoriste juif de Tunisie, décédé

– KALFON, Laurie, epouse Maillard – Le top des 20 femmes d’affaires d’après l’Expansion

– KAREL, William. Cinéaste documenteur franco-américain né en Tunisie. Il a vécu une dizaine dfannées en Israël.

– KARMITZ, Marin. Président du MK2 Group (premier distributeur indépendant français) et président de la Fédération national des distributeurs de films, il a été à la pointe du boycott français du film La Passion de Mel Gibson.

– KASSOVITZ, Mathieu. Acteur et cinéaste. Né dans une famille juive originaire de Hongrie. Il est marié avec lfactrice antillaise Julie Mauduech, héroïne de gMétisseh.

– KAZAN, Alexandra : présentatrice

– KEPEL, Gilles. Universitaire, spécialiste médiatiquement réputé de lfislam.

– KIBERLAIN Sandrine (née KIBERLAJN) : issue d’une famille juive de Pologne. actrice, épouse de Vincent Lindon

– KIEJMAN, Georges. Avocat, ministre de la justice sous Mitterrand dont il était très proche. Il figure parmi les h 100 Juifs qui comptent h (numéro spécial de Passages, février 1989. Il est membre du Conseil de surveillance du Monde et était un proche de Mitterrand.

– KLARSFELD, Serge. Avocat devenu célèbre comme gchasseur de Nazish (en fait, quelques vieillards impotents, abandonnés de tous!). Son fils, Arno KLARSFELD est aussi avocat, célèbre, lui, pour son arrogance et sa médiocrité.

– KNOEBEL, Marc. Ancien vice-président de la LICRA. Militant sioniste fanatique payé par le Centre Simon Wiesenthal (USA), il ambitionne de devenir grand inquisiteur sur internet, par lfintermédiaire notamment de son officine gJfaccuse !h. Il cherche à faire interdire tous les sites critiquant Israël et les Juifs.

– KONOPNICKI, Guy. Activiste communiste devenu ensuite sioniste enragé. Issu dfune famille dfimmigrés juifs originaires de Pologne. Membre fondateur de SOS Racisme, il en démissionne le 18 janvier 1991 pour protester contre les positions pacifistes du mouvement pendant la guerre du Golfe. gCette fois, je le dis sans honte, jfai applaudi lorsqufun déluge de feu est tombé sur lfIrakh. Le soutien au Tiers-monde passe après lfintérêt dfIsraël.

– KOUCHNER, Bernard. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières, devenu ensuite ministre du gouvernement socialiste. En 1981, il a apporté son soutien au Renouveau juif pour faire battre Valéry Giscard dfEstaing. Nommé administrateur du Kossovo par Kofi Annan (Secrétaire général ghanéen de lfONU), il a des responsabilités directes dans lfexpulsion (parfois accompagnée de massacres) de plus de 150.000 serbes de leur pays dforigine. Étroitement lié au réseau de lfextrême gauche Marié à la journaliste juive Christine OCKRENT.

– KOXIE (née Laure COHEN) : chanteuse de varieté et r’n’b

– KRASUCKI, Henri (HENOCH, dit). Il a succédé à Georges Séguy comme secrétaire général de la CGT le 13 juin 1982. Sa mère, Léa Krasucki, née en 1903, a été une responsable du parti communiste polonais naissant dès 1920. Henri Krasucki a été envoyé a Auschwitz où il est indiqué comme ayant été gazé dans le Mémorial de la Déportation des Juifs de France de Serge KLARSFELD au titre du convoi n‹55 du 23 juin 1943c

– KRAWCZYK, Gérard. Acteur et réalisateur de cinéma.

– KAROUTCHI Roger : juif du Maroc, député, secrétaire national, cadre de l’UMP.

– KRIVINE, Alain. Leader de mai 1968, trotskyste, né dans une famille juive venue dfUkraine.

– LACAN, Philippe : psychanalyste de renom

– LAFORET, marie (née Maitene DOUMENACH) : chanteuse

– LALANNE, Francis : chanteur, juif libanais par sa mère

– LALONDE, Brice. h Ma mère est dfascendance écossaisec tandis que mon père venait dfune famille parisienne, dforigine alsacienne, aux racines juives h (Sur la vague verte). Son grand-père, Roger-Raphaël Lévy, et son père, Alain-Gauthier Lévy, ont changé leur nom en LALONDE après la Seconde Guerre mondiale (décret du 16 février 1950). Sa mère, née Forbes, a été naturalisée française. Le milliardaire Malcolm S. Forbes, ainsi que John Kerry, candidat à la présidence américaine contre G.W.Bush comptent parmi ses cousins. Elevé dans un milieu bourgeois (père gros industriel du textile), il a longtemps milité à lfextrême-gauche, notamment à lfUNEF, dont il était le président.

– LANCAR Benjamin : dirigeant de l’organisation des jeunes de l’UMP.

– LANG, Jack. Ministre socialiste né dans les Vosges dans une famille juive. Son épouse, née Buczynsky est issue dfune famille juive de Pologne. Il se considère comme h juif par sédimentation : mon père était un juif laïc, et ma femme, dforigine polonaise, vient dfun milieu beaucoup plus religieux. Nos enfants ont reçu une véritable éducation juive et ont été très actifs au sein de la communauté juive de Nancy h (Tribune juive, 21 janvier 1983). Lang est l’un des promoteurs de l’antiracisme et de la médiocrité culturelle en générale.

– LANZMANN, Claude. Directeur des Temps Modernes (avec Jean-Paul Sartre) et faiseur de films documenteurs (dont l’interminable et infecte « Shoah ») au profit du sionisme.

– LARUSSO (née Laetitia Serero) : chanteuse

– LAVILLIERS, Bernard (née OULION) : chanteur communiste

– LEHMANN, Clément : PDG de Arte

– LELOUCH, Claude. Cinéaste, né dfun père juif originaire dfAlgérie.

– LELLOUCHE, Pierre (ALLOUCHE, dit). Né le 3 mai 1951 à Tunis, h issu dfune famille juive traditionaliste h (Actualité juive, 1er mars 1989). Proche conseiller de Chirac, il est Président de lfAssemblée Parlementaire de lfOTAN depuis 2004.

– LEPAGE, Corinne. Avocate, devenue ministre de lfenvironnement du gouvernement Juppé. Elle est la fille de Jacqueline Schulman et de Philippe Lévy, autorisé à changer son nom en LEPAGE par décret du 18 février 1950.

– LEVI, Daniel : chanteur compositeur, auteur notamment de la BO du film Disney Aladdin et « l’envie d’aimer » (comedie musicale « les 10 commandements »

– LEVI-STRAUSS, Claude. Anthropologue et membre de lfAcadémie française. Longtemps porte-parole de lfantiracisme officiel avant dfêtre débordé par lfantiracisme extrémiste au point dfêtre accusé maintenant de tendancesc racistes.

– LEVY Daniel : Engagé a 100% dans le soutien à la cause israélienne, et également à celle de la paix au Proche-Orient. A ce titre, il a notamment été conseillé du ministre Yossi Beilin et un des principaux négociateurs israéliens lors de l’initiative de Genève (officialisée le 1er décembre 2003 après des mois de négociations).

– LEVITTE Jean-David. Conseiller diplomatique de Jacques Chirac de 1995 à 2000. Il est depuis lors le représentant de la France auprès de lfONU.

– LEVY, Bernard-Henri. Écrivain médiocre passant pour “philosophe” par la grâce des médiats. Né en Algérie d’un père juif, devenu millionnaire grâce notamment à l’exploitation du bois en Afrique et en Amazonie. C’est aussi un des proches de Nicolas SARKOZY, après avoir été proche de Mitterrand. Il se targue volontiers d’avoir beaucoup contribué à l’imposition de la terreur antiraciste en France. Sa fille, Justine LEVY est romancière. Sans conteste l’un des juifs les plus arrogants et néfastes de France.

– LEVY, Maitre Lionel : Ancien Président National de la Confédération des Avocats. Historien des livournais.

– LEVY Jean-Bernard : président du groupe Vivendi-SA. Fortune de France.

– LEVY, Laurent . Avocat du MRAP, marié à une musulmane. En septembre 2003, ses deux filles défraient la chronique en sfaffichant voilées à lfécole, avec son appui.

– LEVY, Maurice. Il est lfhéritier spirituel de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis, première agence de publicité en France. Sa famille est originaire du Maroc.

– LEVY, Raymond. Ancien président de Renault, aujourdfhui président du conseil de surveillance de Lagardère. Il entretient des relations privilégiées avec Dominique STRAUSS-KAHN.

– LINDON, Vincent. Acteur et réalisateur de cinéma. Appartient à une famille juive originaire de Pologne (LINDENBAUM) et des Pays-Bas (Citroën). Son oncle, Jerôme Lindon était le directeur des Editions de Minuit.

-LIPIETZ, Alain (LIPIEC, dit). Député européen des Verts. Issu d’une famille juive originaire de Pologne.

-LUMBROSO Daniela : présentatrice tv

– LUSTIGER, Mgr. (Aaron et ensuite Jean-Marie) Ce cardinal et archevêque de Paris sfest lui-même défini comme étant gà la fois juif et Chrétienh. Et se croyant drôle : gVous savez, il y a en France deux grands rabbins, un séfarade, Joseph SITRUK, et un ashkénaze, moi !h. Et pour finir : gOn ne peut pas, [on] ne doit pas convertir les juifsh, gJe suis juif et je le resteraih, gJe me sais juifh. (Documentation Catholique, 1 mars 1981, n‹ 1803, p. 139-140). Membre également de lfAcadémie française.

– MACIAS, Enrico (Gaston GHRENASSIA, dit). Chanteur juif originaire dfAlgérie.

– MAMOU, Dr. Jacky – Pediatre – Paris, president Medecins du Monde

– MANUKIAN, Hervé: auteur-compositeur indigeste

– MARCEAU, Marcel (MANGEL, dit). Mime comédien.

– MARCUS, Gérard. Richissime propriétaire dfune des plus importantes galeries de tableaux à Paris. Membre du bureau politique du RPR depuis 1985. Président du groupe dfamitié parlementaire France-Israël.

– MAROUANI, David : juif de Tunisie, chanteur du duo David et Jonathan

– MAROUANI, Felix & Daniel, fondateurs de la « showbusiness Dynasty », tous deux décédés.

– MASLIAH, Leon : Directeur du Consistoire Israelite de France

– MAY, Mathilda (HAIM, dite). Comédienne née d’un père juif de Turquie.

– MEDINA, Jean Luc: juif de Tunisie, avocat, Pr駸ident du CRIF Grenoble Is鑽e,Vice Pr駸ident de la F馘駻ation Nationale des Unions de Jeunes Avocats

– MEGRET Catherine (née RASCOVSKY): femme de Bruno Megret, née Rascovsky, de parents juifs de Russie.

– MELENCHON, Jean-Luc. Ancien ministre et sénateur socialiste, ripoublicain franc-maçon ultra jacobin, fanatique de la lutte contre le FN… Il a constitué un cabinet très axé à gauche . Attachée de presse : Valérie ATLAN, ancienne présidente de lfUnion des Etudiants juifs de France à Montpellier, ancienne responsable de la communication à SOS Racisme. Conseiller aux conditions et aux cadres de vie des élèves : Eric BENZEKRI, ancien cadre trotskyste. Conseiller technique pour les relations sociales : Daniel ASSOULINE, qui dirigea avec son frère David la Ligue ouvrière révolutionnaire, une chapelle troskyste.

– MENDES FRANCE, Pierre: issu d’une vieille famille juive du Portugal ayant émigré en France. Homme politique de la IIIème et IVème république, présidentdu conseil dans les années 1950. Politique parmi les plus nuisibles qu’ait connue la France Seul à s’opposer jusqu’au bout la participation de la France aux JO de 1936, bradeur de l’Empire colonial,etc- MONTAGNE Gilbert; chanteur de variété juif par sa mèree

– MEZRAI, Raphaël : humoriste juif sépharade

– MEMMI, Albert. Ecrivain juif originaire de Tunisie. Imposé par les médiats comme spécialiste du racisme et porte-parole dec lfanti-colonialisme.

– MILLER, Claude. Réalisateur de cinéma.

– MILLER, Gérard. Psychanalyste communiste et homme de télévision, issu dfune famille juive originaire de Pologne. Il est devenu médiatiquement célèbre pour son arrogance typiquement juive.

– MINC, Alain (MINKOVSKI, dit). Technocrate mondialiste proche du parti socialiste. Il est le fils dfun dentiste polonais ashkénaze, naturalisé français en 1947. Il occupe le poste stratégique de président de la Société des lecteurs du journal Le Monde.

– MOATI, Serge. Cinéaste documenteur et animateur télé né dans une famille juive originaire de Tunisie. Dans gLa haine antisémiteh (1991), il étale sans retenue sa haine envers tous ceux qufil accuse dfantisémitisme. Il anime également des « débats », où il cache à peine sa haine contre ceux qu’il n’aime pas (« l’extrême-droite » en tête…)

– MOCKY, Jean-Pierre (MOKIEJWSKI, dit). Cinéaste, né dans une famille juive originaire de Russie.

– MOÏSE, Alex. Secrétaire Général de la Fédération Sioniste et membre du Collectif citoyen antiraciste. Condamné pour gincitation à la haineh après sfêtre envoyé lui-même des menaces antisémites afin ensuite de pouvoir porter plainte contre lfantisémitisme. Un petit gdérapageh révélateur, constituant le sommet de lficebergc

– MORIN, Edgar. Sociologue. Issu dfune famille juive de Grèce. Il a été longtemps militant antiraciste. A partir de 2003 cependant, il a été violemment attaqué par les autres juifs qui lui reprochent de critiquer Israël et lfont ensuite fait condamner pourc racisme !

– MOSCOVICI, Pierre. Juif de Roumanie par son père, juif d’Allemagne par sa mère, ncien militant trotskyste, devenu ensuite ministre socialiste des affaires européennes. Vice-président du Parlement européen.

– MOUSTAKI, Georges. Chanteur juif d’Egypte.

– NAKAD, Naïda. Journaliste.

– NATTAF, Mallaury (née Mallory Nataf) : chanteuse et actrice juive sépharade

– NEÏERTZ, Patrick. Directeur général de Christian Dior. Epoux de lfex-ministre socialiste.

– NEÏERTZ, Véronique. Ex-ministre socialiste. Mariée à Patrick NEÏERTZ, Directeur général de Christian Dior.

– NOIR, Michel. Juif par sa mère, Rose Dreyer. Ancien ministre de Chirac et maire de Lyon. Sa carrière politique fut ensuite compromise par une affaire de corruption. . Il est lfun des rares hommes politiques français a avoir été coopté au sein du Bilderberg Group, une des plus puissantes associations mondialistes internationales.

– OCKRENT, Christine. Journaliste.

– OLIVENNES Denis. Président de Canal Plus France (juin 2000) après en avoir été le directeur général. Il sfappelait OLIVENSZTEIN avant 1960 (encore un changement de nom intempestif…)

– OUAKNINE, Martine : conseillère régionale à Nice sur la liste de Christian Estrosi. La soixantaine, cette ancienne présidente régionale du CRIF (6 ans) vient de recevoir la Médaille dfHonneur du Diocèse de Nice pour sa « constante présence républicaine dans le domaine religieux des amitiés judéo-chrétiennes»

– OURY, Gerard (TANNENBAUM, Max-Gérard, dit). Cinéaste, marié à lfactrice Jacqueline ROMAN, née YACOWLEW. Père de Danièle THOMPSON et grand-père de Christopher THOMPSON.

– PARIENTE, Patrick. Industriel du textile (fondateur de Naf Naf), issu dfune famille juive de Tunisie.

– PIETRI, Julie : chanteuse, juive d’Algérie par sa mère

– POLAC, Michel. Journaliste et cinéaste de télévision, né à Paris (XVIe) au sein dfune famille très fortunée de Juifs polonais. Il sfest toujours affiché comme un militant dfextrême gauche.

– POLANSKI, Roman. Cinéaste, de père juif polonais. Pédophile et violeur notoire, quasi assuré de l’impunité en France, soutenu par toute l’intelligentsia judeo-socialo-libérale, Cohn-Bendit et Mitterrand en tête.

– POLNAREFF, Michel : chanteur, juif d’Ukraine par son père

– PONCELET, Christian. Le président RPR du Sénat sfest confié à Tribune juive (17 février 1999) pour sfinquiéter de gla montée de lfantisémitisme en France et en Europeh. Il a précisé : gJe nfoublie pas qufil y a des gKahnh dans ma familleh.

– POPECK (née Judka HERPSTU) : humoriste issu de familles juives de Pologne et Roumanie.

– PULLICINO, Gérard. Producteur et Réalisateur (films, télévision, clips) né dans une famille juive de Tunisie.

– PESCHANSKI, Marc. Membre du bureau politique de Lutte ouvrière (trotskyste). Il est originaire de Moldavie.

– POHER, Alain. Ancien président du Sénat. Médaille dfor du Bfnai Bfrith (franc-maçonnerie hébraïque) en 1979.

– PUJADAS David : présentateur et journaliste, juif par sa mère

– RAFFARIN, Jean-Pierre. Son directeur de cabinet est Pierre STEINMETZ.(mai 2002). Dans sa première déclaration de Premier ministre (2002), il déclarait ceci : h La France est un pays métisse et elle le restera g. Raffarin, par un juif certes, mais une ordure de shabbat goy de la pire espèce, oui !

– RAEL (VORILLON Claude, dit). Gourou des raëliens, une des sectes les plus importantes du monde. Juif par son père.

– REGINE (née Régine, Zylberberg). Chanteuse et tenancière de cabaret. Mariée au juif Choukroun.

– RENO, Jean : Son vrai nom Don Juan Moreno y Herrera Jiménez ou Don Juan Moreno y Jederique Jiménez, Jean Reno (né le 30 juillet 1948 à Casablanca) est un acteur Juif français né de parents juifs espagnols.

– REZA, Yasmina. Ecrivaine, né dfun père juif de Russie et dfune mère hongroise.

– RINGER, Catherine : chanteuse juive des Rita Mitsouko, et pornocrate

– ROBIN, Jean : les militants juifs tentent depuis 2001 de pénétrer la mouvance nationaliste en Europe afin dfencourager une orientation exclusivement anti-islamique, conformément à la doctrine mise au point par les néo-conservateurs juifs américains. Cfest ainsi que les anciens défenseurs des gsans papiersh comme Enrico Macias ou Bernard-Henri Lévy se retrouvent désormais aux avant postes de la lutte contre le gfascislamismeh.Récemment le Juif Jean Robin a baissé le masque en profitant de la générosité de quelques patriotes égarés pour utiliser les tribunes qui lui sont offertes afin de diffuser lfagenda politique juif dans nos milieux. On a pu relever récemment un article extrêmement virulent contre lfIslam dont la finalité sfexplique par les desseins et calculs précités.

– ROSELMACK Harry : présentateur TV, noir de peau, juif de coeur. Même quand il s’agit de caser un noir à la télévision pour les quotas ethniques, les juifs se débrouillent pour placer l’un d’entre eux.

– ROSENFELD, Alexandra : Miss France 2006

– ROTMAN, Patrick. Romancier et cinéaste documenteur, professionnel de lfincitation permanente à la haine a lfégard des Allemands.

– ROUSSO, Henri. Universitaire, grand inquisiteur anti-révisionniste à Lyon.

– SAADA, Julien : Ancien élève de la Grande École des Ponts et Chaussées et actuel PDG de la jeune et non moins célèbre société Parfum D’image

– RYKIEL, Sonia : couturière et militante féministe

– SALOMONE Bruno : humoriste, acteur

– SANSON, Véronique : chanteuse, juive par son père (René Sanson, parmi les premiers gaullistes)

– SARKOZY, Nicolas. Juif de Salonique (juifs expulsés d’Espagne en 1492) par sa mère (Andrée Mallah) et hongrois par son père, bien qu’il se pourrait que ce dernier ait de lointaines origines roms, car Sarkozy est semble t-il un patronyme très usité chez les roms d’Autriche-Hongrie…). Baptisé catholique, Nicolas Sarkozy fut élevé par la famille de sa mère, juive. Les Juifs le considèrent toujours comme l’un des leurs et il se garde bien de les démentir. Son frère,Guillaume SARKOZYa été vice-président du MEDEF, syndicat des patrons français.

– SARRAUTE, Claude. Journaliste et vieille fille sénile, fille de la romancière Nathalie SARRAUTE (née TCHERNIAK), issue d’une famille juive de Russie. ” Les années passant, ma judaïté compte de plus en plus pour moi, et pourtant, je n’ai aucune croyance, aucune culture religieuse. Ce qui ne m’empêche pas de porter à mon cou une étoile de David. ” (Tribune juive, 13.01.2000).

– SCHAPIRA, Pierre. Conseiller PS de Paris et vice-président du Conseil économique et social (janvier 2001).

– SEBAOUN-DARTY, Jessica : héritière juive de la famille Darty, femme de Jean Sarkozy (fils des juifs Nicolas Sarkozy et Cecilia Ciganer). Ils ont un garçon, Solal, circoncis rabbiniquement il y a quelques mois. Jessica n’est autre que la nièce de la brillante romancière Amanda Sthers, précédente épouse juive de Patrick Bruel.

– SEBAG, Ari: directeur général du groupe « Partouche », membre dirigeant de la LICRA

– SEGUIN Philippe : Ancien Ministre & Président de la Cour des Comptes, figure de lfUMP, Philippe Séguin, catholique par ses parents légaux, a souffert dfun état dépressif latent qui lfaura empêché dfaccéder aux plus hauts niveaux de lfEtat, que ses qualités morales et intellectuelles lui promettaient. Cet état dépressif était lié à sa ressemblance extrême, proche du double parfait, découverte lorsqufil avait la trentaine et rendue publique, avec unc ami c de son père, responsable communautaire juif important de Tunis.

– SEKSIG, Alain : inspecteur général de l’Education nationale et cadre (branche « éducation ») de la LICRA

– SHIREL (née Jennifer Jeane DJAOUI) : chanteuse juive sépharade

– SCHNEIDERMANN, Daniel. Ancien journaliste au Monde et présentateur sur France-5 de l’émission “Arrêts sur images”. Bien que prétendant avant tout décrypter les images, à plusieurs reprises, il a été surpris en flagrant délit de désinformation, en particulier lorsqu’il s’agit de défendre Israël ou son instrument américain.

– SCHRAMEK, Olivier. Directeur de cabinet de Lionel Jospin (1999). “Athée quoique d’origine juive” (VSD, 28 avril 1989). Il est le petit neveu d’Abraham SCHRAMEK qui fut ministre de l’Intérieur du Cartel des Gauches.

– SCHWARTZENBERG, Roger-Gérard. Ministre de la recherche du gouvernement Jospin. Cousin de Léon Schwartzenberg, autre ministre, décédé en 2003.

– SEGUELA, Jacques. Publicitaire.

– SEMOUN Elie : humoriste et acteur juif sépharade

– SERVAN-SCHREIBER, Jean-Jacques. Journaliste et homme politique, appartenant à une puissante famille juive d’Alsace. Fondateur de l’Express avec Françoise Giroud. Parmi les membres influents de sa famille, on peut citer Jean-Louis SERVAN-SCHREIBER, fondateur de L’Expansion et directeur de Psychologies magazines, Brigitte Gros, journaliste et politicienne (décédée en 1985) et Christine COLLANGE, journaliste.

– SIEGEL, Maurice : journaliste et cadre d’Europe 1, créateur du magazine VSD.

– SILLAM, Bernard – Actuel pdg de la clinique de chirurgie esthetique du rond-point des champs elysees

– SINCLAIR, Anne (née SCHWARTZ, épouse LEVAÏ, puis STRAUSS-KAHN). Journaliste, née à New-York en 1948. Elle est la fille de Robert SCHWARTZ, puissant homme d’affaires, autorisé par décret du 3 août 1949 à prendre le patronyme de Sinclair. D’après ses dires, elle n’aurait jamais pu épouser un non-juif.

– SISLEY Tomer : humoriste, acteur, de parents juifs russes et yemenites

– SITRUK, Joseph. Grand rabbin de France, né en Algérie. Le 13 octobre 2000, il a été surpris en flagrant délit de mensonge public en annonçant à la radio l’assassinat à Paris de 6 jeunes juifs, pour essayer de détourner l’attention sur l’assassinant par la soldatesque israélienne d’un enfant palestinien. Ceci confirme bien l’adage : menteur comme un rabbin !

– SORMAN, Guy. Journaliste et essayiste, chantre du néo-libéralisme. Ses prises de positions critiques vis-à-vis d’une certaine juiverie lui ont valu bien des “incompréhensions”.

– SOUCHON, Alain (née Kienast) : chanteur

– STHERS, Samantha, écrivaine juive, ex-femme de Patrick Benguigui (dit Bruel).

– STOLERU, Lionel. Juif de Roumanie, ancien ministre socialiste. Membre du Bilderberg Group, proche du milliardaire escroc Robert MAXWELL qui était également juif. Il est le fils de Fernande BLUM et d’Elie STOLERU, né à Vaslui, en Roumanie.

– STORA, Benjamin. Ecrivain, issu d’une famille juive d’Algérie.

– STRAUSS-KAHN, Dominique. Ancien ministre socialiste de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Son père est juif ashkénaze, et sa mère, Jacqueline FELLUS, juive de Tunisie. Voici comment il a composé son cabinet, en 1997 : Responsable des entreprises publiques : Stéphane-Paul FRYDMANN. Responsable des affaires politiques: Gilles FINCKELSTEIN (aussi responsable de la cellule arguments de Lionel Jospin). Attachée parlementaire :Michèle SABBAN (chargée des déplacements de Lionel Jospin). Riche, sans doute l’un des juifs les plus influents (et donc néfaste) de France et d’Europe.

– SULITZER, Paul-Loup. Signataire de romans à succès écrits par des nègres. Fils de Jules SULITZER, immigré juif de Roumanie. Il s’est retrouvé mêlé à plusieurs affaires louches, sanctionnées pénalement.

– SUSSFELD, Alain. Directeur général d’UGC. Proche ami de Michel DRUCKER.

– TAGUIEFF, Pierre-André. Essayiste pompeux aux travaux passablement confus par souci de les faire passer pour “savants”. Né d’une mère d’origine polonaise et d’un père juif de Russie. Cela lui permet de se prétendre “non-juif”, comme J.F.KAHN. Mais de par tous ses engagements, il est entièrement au service du sionisme le plus radical, sous prétexte d’”antiracisme”, cette “forme de régression mentale” qu’il avait lui-même dénoncé. Beaucoup de ses ouvrages, commandités par les responsables juifs, sont en fait des produits collectifs. Souvent illisibles, ils ne sont pas destinés à convaincre mais à intimider, afin de faire taire.

– TAIEB, Alain – Réalisateur télé, Paris

– TAIEB, Gil – President de l’association de soutien a Israel et de l’association pour le bien-etre des soldats Israeliens, Paris

– TAIEB, Willy, dit Lewis – ancien chef des musiciens de Claude François, Batteur et co-fondateur des Chats Sauvages

– TALAR, Charles. Producteur (musique, comédie, etc.), né dans une famille juive de Tunisie.

– TCHERNIA, Pierre : née Tcherniakowski. Acteur, vedette de la tv au coté de son compatriote Arthur.

– TEISSIER, Élizabeth (HANSELMANN, Germaine, dite). Actrice de film érotique et astrologue mondaine (consultée notamment par Mitterrand), née dans une famille juive d’Algérie.

– TIBI, Gladys – Presidente du fonds LIBI France, consacre a Tsahal

– TIMSIT, Patrick. Cinéaste, comédien et amuseur public, issu d’une famille juive d’Algérie.

– TODD, Emmanuel. Essayiste, fils du journaliste Olivier TODD, petit-fils de Paul NIZAN.

– TOVATI Elisa : actrice

– TRIGANO, Gilbert. Fondateur du Club Méditerranée. Issu d’une famille juive d’Algérie.

– TRUFFAUT, François. Cinéaste. Né d’un père juif qu’il n’aurait jamais connu.

– TRISTAN, Anne. Directeur de publication de « Ras l’front », l’un des principaux journaux qui font leur beurre en traînant dans la boue les militants nationalistes. Son vrai nom est Anne ZELANSKY.

– TUBIANA, Michel. Président de la Ligue des Droits de l’Homme (2000-2005).

– UZAN, Michèle née Cohen – Actuellement la seule femme en France Professeur à la Faculté de Medecine et Chef de Service en Chirugie Gynecologique et Obstetrique, Chevalier de La Legion d’Honneur

– VALENSI, Dr Georges, membre fondateur du PC Tunisien, accoucheur de l’autre moitié des Tunes

– VEIL, Simone. Ancienne ministre UDF et Présidente de l’Assemblée européenne. Longtemps tenue pour morte à Auschwitz par la propagande juive. Surnom : l’Avorteuse, ce dont elle semble très fière. Sans conteste la juive la plus néfaste et influente de ces 40 dernières années.

– VICTOR, Pierre (Benny LEVY, dit). Agitateur maoïste des années 60-70, devenu secrétaire de Jean-Paul Sartre qu’il convertit plus ou moins au judaïsme. Décédé en 2003 en Israël où il s’était replié avec la caisse des organisations “prolétariennes” qu’il contrôlait.

– VIDAL-NAQUET, Pierre. Médiocre historien helléniste, devenu champion de l’inquisition juive contre le révisionnisme historique. Il a déclaré haïr Robert Faurisson et aurait aimé l’assassiner mais il lui manque le courage de passer aux actes.

– WERTHEIMER, Gerard et Alain. Principaux actionnaires de Chanel. 4e fortune de France.

– WIEVIORKA, Michel. Sociologue, gourou de l’antiracisme médiatique avec sa femme, l’historienne de salon Annette WIEVIORKA. Juifs originaires de Pologne.

– WINTER Ophélie : juive de Hollande par son père, chanteuse

– WIZMAN Ariel : juif du Maroc, présentateur tv, animateur tv, acteur médiocre

– WOLINSKY, Georges. Dessinateur humoriste. Sa mère, née BEMBARON était juive tunisienne et son père juif polonais.

– YADE Rama (née Mame Ravatoulaye) : sénégalaise, mais marié au juif Joseph Zimet.

– ZAKINE, Ivan – Membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, Prérhonorairedela Cour de Cassation

– ZANA, Sion – President de la Communaute Juive de Tunisie

– ZARAI, Rika. Chanteuse et gourou médiatisé de “médecine douce”.

– ZARDI, Dominique. Ecrivain et acteur, ayant joué dans plus de 300 films.

– ZARKA Pierre. Numéro 2 du Parti communiste “français”. Il est issu d’une famille d’origine juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Ariel. Producteur de films, né dans une famille juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Tita – Présidente d’Action de Femme (association pour l’insertion des femmes au sein des conseils d’administration) et PDG du plus gros cabinet d’expertise comptable dirigé par une femme en France

– ZEMMOUR, Eric : chroniqueur et écrivain, juif sépharade. Réactionnaire et politiquement incorrect.

 

Et les Gaulois, ils sont passés où dans le « paysage médiatique » ??