Internet = Apocalypsos = Révélation

 

Réunion des "Bilderberg" en 2013 :

 

 

… Ou la destructions des nations par les élites du "Nouvel Ordre Mondial" en direct !

 

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Un ex-"ami" de Rockfeller, Aaron Russo, parle … et meurt peu après  …

 

 

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ATTENTION ! les entretiens avec Pierre HILLARD (Essayiste français. Etudes d'Histoire, de Sciences politiques et d'études stratégiques, Docteur en science politique.) sur Radio-Ici et Maintenant durent 6 heures …. 

A déguster donc en plusieurs fois, mais indispensable à toute personne désireuse de comprendre les rouages du  monde dans lequel nous vivons !

 

 

 

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Petite video très courte ou Hervé Juvin fait une synthèse simple, claire et nette d'une situation dramatique où nous a conduit l'idéologie mondialiste, c'est à dire universaliste, c'est à dire maçonique …

Etrange d'ailleurs sur France Inter/info/culture/musique, bunkers maçoniques et subventionnés.

Peut-être les "Vénérables Frères", sentant le vent du boulet de l'islam retrousser leurs mignons tabliers, finissent-ils par permettre un discours plus sensé en laissant un peu de mou à la corde ?

Quoiqu'il en soit,  très étonnant réalisme politique et bonne claque bien torchée dans la tronche du bobo-collabo confit dans le multiculturalisme bêlant !

 

 

 

 

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Pour  ceux qui croient encore en la "république" et en la "démocratie", voici un aperçu des "Grands Luminaires" maçoniques qui dirigent et décident du sort de 60 millions de personnes en France.

Travaillant dans le secret des "loges", cooptés entre eux, écrivant les textes soumis au Parlement et où les débats ne sont qu'une ridicule mise en scène pour endormir la galerie, comment se fait-il que personne ne remette vraiment en cause leur pouvoir totalitaire ??

Cette véritable maffia a pris le pouvoir en 1789 et a conduit notre Pays à la ruine que l'on sait.

Jusqu'à quel niveau de destruction les laisserons-nous aller ??

 

Ah, pardon, vous préférez continuer à croire au Père Noël ? … 

 

 

 

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10 Octobre 2014

 

Le journaliste allemand Udo Ulfkotte a donné cette semaine une interview fracassante sur la chaîne Russia Today, à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage "Gekaufte Journalisten" (Journalistes achetés).
 
Il y détaille la manipulation des médias et des journalistes par les agences de renseignement étasuniennes et notamment comment le Frankfurter Allgemeine Zeitung sert « comme une prostituée les intérêts de Washington en manipulant ses lecteurs au profit des États-Unis » au travers de multiples organisations pilotées depuis Washington, comme :
 
 
l’Atlantic Bridge
 
la Commission trilatérale
 
le German Marshall Found
 
l’American Council on Germany
 
l’Aspen Institute
 
etc.
 
Ces informations ont été depuis confirmées par Willy Wimmer, ex-secrétaire d’État du ministère allemand de la Défense, qui a accusé le département d’État américain d’ingérence dans le travail de la presse allemande.
 
 
 
 
 
Extrait de :
 
 http://www.egaliteetreconciliation.fr/Propagande-mediatique-les-revelations-d-Udo-Ulfkotte-ancien-grand-reporter-allemand-repenti-28415.html
 
 
 
 
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Philippe Ploncard d’Assac

Philippe Ploncard d'Assac

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Philippe Ploncard d’Assac: Magistrale synthèse historique sur les enchainements maçoniques, bien évidemment fortuits, depuis la révolution dite française … 

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Philippe Ploncard-d’Assac connait son sujet ! Deux heures absolument passionnantes qu’il faut impérativement écouter si l’on veut comprendre les racines calamiteuses de notre « république » …

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Lien vers le site de Philippe Ploncard d’Assac

 

Adolf Hitler: La véritable Histoire.

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Nous pensons bien évidemment savoir tout ce qu’il y a à savoir sur le sujet de la seconde guerre mondiale et l’histoire de l’Allemagne hitlérienne !
En effet, chaque jour ou presque, des officines attitrées nous rappellent à un « devoir de mémoire » sur ce sujet  crucial … sur « ces heures les plus sombres de notre histoire », etc …
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 Les révisionistes sont (en France surtout !!!) baillonnés et désignés à la vindicte populaire. Le débat sur l’Histoire de cette période est interdit hors de la version officielle. 
 
Sommes-nous donc aussi peu curieux pour que cela ne nous semble pas étrange ?
Pourquoi donc cette période de l’Histoire, et aucune autre, est-elle interdite de débat ??
N’y aurait-il pas quelques bonnes raisons à cela, quelque lumière mise sous le boisseau ???
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Depuis notre plus tendre enfance nous sommes supposés avoir intégré tous les archétypes indispensables pour « penser » de façon correcte le sujet ! 
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 En réalité notre ignorance du sujet est VOULUE ET PROPREMENT EFFRAYANTE …

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Cependant, les faits sont têtus et la réalité finit toujours par venir à bout des pires forgeries …

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C’est ainsi qu’aujourd’hui … 
… Malgré toutes les tentatives de supprimer sans faire de vagues ce documentaire …
Censuré par YouTube, censuré par Facebook, censuré par iTunes, censuré par Viméo ….
Cette série en 26 épisodes : « Adolf Hitler, la plus grande histoire jamais racontée », démontre implacablement comment les vainqueurs de la seconde guerre mondiale nous ont en réalité menti de part en part.

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La mafia mondialiste toujours au pouvoir, ainsi que ses vrais responsables, sont enfin révélés dans une épopée de six heures et demie qui va ébranler votre vision du monde ainsi que la suite de l’Histoire.
 
Vous êtes sceptiques ?
Cela se comprend, mais à présent il est urgent d’être curieux ! 
 
Cette série est seulement disponible en anglais à l’heure actuelle mais vue l’étendue de la communauté qui se forme autour de cet évènement à l’échelon mondial, des traductions sont en cours.
De plus, voici ce que vous risquez de voir si vous essayez de regarder cette vidéo sur YT ou les autres :

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youtube censure france

ou encore :

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youtube censure france 2 JPG
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Ou encore mieux (Ce qui est normal, n’est-ce pas, au pays de LA Liberté ahahaha !) :
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youtube censure france 3
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Si c’est le cas, vous devrez alors passer par un « anonymizer »
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« Security KISS  Tunnel » par exemple fonctionne très bien et vous constaterez que la video est alors visible au travers d’un serveur basé aux … USA !
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La version complète de six heures et demie en 26 épisodes pour ceux qui comprennent l’anglais est ici :
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Soyez curieux et … Bonne chance !

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Albert Pike et le complot qui n’existe pas …

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Le « Plan Pike » pour trois guerres mondiales.
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Albert Pike est considéré comme un génie, né en 1809 à Boston, il a étudié à Harvard, et était connu pour parler 16 langues. Tour à tour poète, philosophe, militaire, philanthrope et surtout …Grand manitou des frères tois-points !
Mais pourtant …… Comment ne pas rapprocher les évènements actuels avec le plan Pike pour l’instauration du Nouvel Ordre Mondial en trois guerres planétaires ?

… 33e degré, le plus haut degré de la maçonnerie. Il fut l’un des pères fondateurs et la tête du « Rite Écossais Ancien Accepté » et « Grand Commandeur » de la Franc-Maçonnerie américaine de 1859 jusqu’à sa mort en 1891.

En 1869, il fut haut dirigeant dans les « Chevaliers du Ku Klux Klan ».
Il est recruté par Giuseppe Mazzini, chef des opérations des Illuminatis, pour importer la secte aux USA.
 
Très vite Pike fut emballé par l’idée d’un gouvernement mondial. Il écrivit un plan de réalisation en trois étapes, sous forme de prédictions pour instaurer son projet totalitaire et occulte.
Ce document, écrit par Pike à Mazzini le 15 aout 1871, est toujours nié de nos jours, bien que la « prophétie » se soit jusqu’alors déroulée comme prévu !
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Créer « l’ordre » à partir du chaos, « Ordo ab chaos »: En forgeant au besoin de toutes pièces les évènements qui permettront de manipuler l’avenir.
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 Les Illuminatis se sont appuyés sur les travaux d’Hegel (1770-1831), contemporain d’Adam Weishaupt, fondateur des Illuminés de Bavière.
Selon le philosophe Hegel, les sociétés fonctionnent sur le principe de la thèse et de l’antithèse, le gouvernement et l’opposition. De ce conflit d’idées résulte un compromis qui fait que chaque partie adopte certains aspects de l’autre formant un espèce d’hybride appelé synthèse.
Le but étant de gérer ce conflit permanent et sans vainqueur, car selon Hegel : « Le conflit aboutit au changement et le conflit planifié aboutit au changement planifié »
On peut également observer que la SDN fut crée en réaction à la boucherie de la première guerre mondiale.
L’ONU, son grand frère, à la fin de la seconde guerre mondiale.
Depuis un certain temps, on nous habitue à la notion de gouvernance mondiale ou Nouvel Ordre Mondial, afin de répondre aux crises financières mondialisées, aux pandémies et aux changements climatiques ….
Toutes ces menaces sans frontières nécessitant évidemment, et comme par le plus grand des hasards … l’instauration d’un gourvernement mondial ou d’une autorité mondiale.
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« Ordo Ab Chao » c’est en fin de compte la traduction latine du pompier pyromane : Allumer un feu pour ensuite prétendre être le seul à pouvoir l’éteindre !
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Les peuples vont-ils « marcher dans la combine » une nouvelle fois ? ou bien le niveau des consciences, sous l’effet entre autres facteurs, d’internet, permettra-t-il d’échapper à ce que ces fous furieux décident pour tous  ? 

***

 

Un ancien ministre du Canada parle

 

 

Voici une message que j'ai reçu d'un correspondant.

Je reproduis ici son texte ainsi que la video qui l'accompagne:

 

" Un ancien ministre du Canada expose clairement les conséquences, au niveau mondial, de la volonté impérialiste de quelques familles de financiers. 

Aline de Diéguez  cite leurs noms (en 1961) dans son œuvre :http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/mariali/

Rothschild Banks of London and Berlin
Lazard Brothers Bank of Paris 
Israel Moses Sieff Banks of Italy
Warburg Bank of Hamburg and Amsterdam
Lehman Brothers Bank of New York
Kuhn Loeb Bank of New York
Chase Manhattan Bank of New York 
Goldman Sachs Bank of New York 

Une dernière guerre mondiale est nécessaire à cette mafia (qualifiée à tort de «  élite », pour asseoir définitivement sa domination. 

Leur arme, leur outil, c’est la création monétaire. En faisant assassiner (entre autres) 3 Présidents des U.S.A. qui voulaient s'opposer à leur plan de domination, ces familles ont fait voter des lois leur conférant le privilège de créer de la fausse monnaie à volonté.

 

Comment enrayer leur arme ? En votant quotidiennement avec notre pouvoir d’achat.

Afin de transformer 7 milliards d’humains en vulgaire bétail, les financiers réunis dans le cartel de la FED (soi-disant banque publique des USA) ont besoin de contrôler, entre autres, nos besoins alimentaires, tout comme le fait un éleveur avec ses moutons.

Pour cela, ils ont été amenés à devenir les actionnaires principaux de toutes les multinationales qui contrôlent l’industrie agro-alimentaire.  Les multinationales à viser sont faciles à identifier : elles nous matraquent de publicité à travers tous les médias et à longueur de temps !

Par conséquent, ce sont les consommateurs qui détiennent (pour peu de temps encore) le pouvoir d’enrayer le mécanisme d’asservissement mis au point par les financiers en question.

 

Quelques associations d’indignés et révoltés doivent absolument inviter leurs sympathisants à respecter, pendant quelques jours (sans risque à courir ni effort à faire) une consigne de grève citoyenne des achats très ciblée. Par exemple ne plus acheter, pendant la quinzaine convenue, la marque de yaourt xxx. La quinzaine suivante, ne plus acheter ceux de la marque zzz et ainsi de suite : les dentifrices, les journaux, tout peut y passer ! 

 

 

 

" Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n'hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. "

 

  • La Crise mondiale d’aujourd’hui. Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires., Maurice Allais, éd. Clément Juglar, 1999, page 110

 

NB:  Maurice ALLAIS était le seul prix Nobel français d'Économie. Il vient de mourir à 99 ans et les français n'en ont jamais entendu parler parce qu'il à été mis au placard par tous les médias dont l'existence est tributaire de leur richissime propriétaire (Lagardère, Dassault, etc.) et qui ont besoin de la publicité des multinationales contrôlées par les mêmes banksters, les mêmes faux-monnayeurs.

 

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Sociétés secrètes et pouvoirs en place …

 *
Je soumets à votre sagacité le rapport suivant de Benjamin Fulford. Vous en penserez ce que vous voudrez …
Pour ma part, je n’ai aucune certitude.
J’enquête.
Si les conclusions sur l’action néfaste de la maçonnerie que je résume souvent ici me semblent assez indéniables au vu des nombreux éléments de preuve et du recul dont nous disposons en France depuis 1789, en revanche, pour ce qui concerne d’autres sociétés secrètes citées dans ce rapport par Fulford, qu’en est-il ? Je n’en sais rien …
 *
Il n’est cependant pas interdit  à un esprit curieux et en quête d’une vision globale de notre situation, de se poser des questions …  Tant ce que nous constatons dans la vie de tous les jours semble n’être qu’un tout petit segment dune réalité plus globale …
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Né en 1961, Benjamin Fulford (http://benjaminfulford.net ) est un journaliste et un auteur d’origine canadienne.
 *
Benjamin Fulford descend de la famille Fulford, originaire du Canada, et fait état d’une ascendance juive polonaise du côté de sa mère. Son père ayant été un ambassadeur canadien, son enfance fut partagée entre Ottawa et plusieurs pays d’Amérique latine. Après des études effectuées au Japon, il retourne dans ce pays vers le milieu des années 1980 pour poursuivre sa carrière de journaliste et de correspondant pour « Knight Ridder », « International Financing Review Magazine », « Nihon Keizai Shimbun English Edition » et « South China Morning Post ».
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De 1998 à 2005, il est le rédacteur en chef du magazine « Forbes », section asiatique.
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benjamin ulford
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Il dénonce des détournements d’argent dans l’immobilier au profit des Yakuza. Après avoir quitté Forbes il écrit une série de livres en japonais. Il réalise une interview de David Rockefeller en novembre 2007.
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 Après le Séisme de 2011 de la côte Pacifique du Tōhoku, Fulford a affirmé à la télévision japonaise que le gouvernement américain en collaboration avec la Réserve fédérale, les Rockefeller et d’autres groupes puissants ont planifié l’éruption du Mont Fuji pour le 11 avril 2011.
Il affirme aussi, comme Leuren Moret, spécialiste des sciences de la Terre, (http://leurenmoret.info/currents/fukushima-impact-of-fallout.html ) que le tsunami de Fukushima du 11 mars 2011 a été déclenché par les mêmes, avec deux bombes nucléaires placées dans une faille suite à l’arrêt de l’achat par la banque du Japon des bons du trésor américain.
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Il combat activement le sionisme (ou « Mafia Khazare », comme il dit) et la franc-maçonnerie au Japon. Il va être menacé de mort en 2012.
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Voici donc un de ses rapport récents :
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 » Ce rapport est basé principalement sur mon expérience de première main avec diverses sociétés secrètes ainsi que les structures publiques de la puissance :
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Mon entrée dans le monde des sociétés secrètes a commencé après que j’ai averti publiquement les Asiatiques, que le SRAS était une arme biologique qui leur était destinée. À cause de cela et de mon exposition de la vérité sur le 911 et autres activités journalistiques, un contrat d’assassinat a été mis sur moi par l’administration néo-con Bush (Khazar)
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Le premier groupe secret à me contacter après la prise de ce contrat, a été envoyé par Henry Kissinger, via l’ancien ministre japonais des Finances Heizo Takenaka. L’émissaire qu’ils ont envoyé, un assassin auto-proclamé, a déclaré qu’il représentait « les Sages de Sion. »
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Il m’a dit (et j’ai ceci sur bande) qu’ils avaient besoin de tuer 90% de la population du monde, par maladie et famine, dans le but de « sauver l’environnement » Son groupe m’a offert une grande richesse et la position de ministre des Finances du Japon, si j’acceptais d’aller avec leurs plans génocidaires.
* Ceci est le groupe que j’appelle à présent la mafia Khazare. Leurs Chefs comprennent la famille du crime Bush / Clinton, Sheldon Adelson, Benyamin Netanyahu, les Rockefeller et la majorité du côté américain de la Réserve Fédérale.
* Le deuxième groupe secret à me contacter, a été le «Red and Blue», prétendant représenter la dynastie des Ming, et disant qu’ils avaient 6 millions de membres, y compris « 100.000 assassins. » Ils ont dit que leur société ne pouvait être utilisée que pour le bien, et non à des fins personnelles.
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J’ai choisi de me joindre à eux dans une bataille contre la mafia Khazare.
* Le troisième groupe à me contacter a été le complexe militaro-industriel américain. Ils ont envoyé Paul Laine, un ancien membre de l’unité de guerre psychique du Pentagone. Il a également prétendu être avec la CIA. Laine m’a fourni beaucoup d’informations internes. Il a souligné que le programme spatial des États-Unis avait été stoppé net dans son élan, par une force inconnue…
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Il m’a également fourni des preuves, que cette planète avait déjà été presque totalement détruite auparavant, loin dans l’Histoire. Ce groupe était d’accord avec l’objectif des «RED and Blue» d’empêcher la 3e Guerre Mondiale, parce que tous les jeux de guerre du Pentagone, ont démontré qu’une telle guerre détruirait 90% de l’humanité, et laisserait l’hémisphère Nord de la planète, impropre à l’habitation humaine.
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* Le quatrième groupe à me contacter était «la famille», souvent désignée: « les Rothschild ». Ce groupe, c’est les lignées royales européennes, et comprend la famille de Saxe Gotha, les Rothschild, les Habsbourg et d’autres lignées royales européennes.
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Ce groupe est derrière la campagne dite de «réchauffement planétaire». Cette campagne, bien que sur une base de fraude, a été présentée par eux comme un moyen de sauver l’environnement sans génocide. Le Rite écossais de la franc-maçonnerie est en général pratiqué par ce groupe.
Leur représentant, le Dr Michael Van de Meer, Alias Meiring, a cité les «Juifs», comme étant les gens derrière le génocide planifié. D’autres recherches ont révélé que c’était en fait, la direction non-juive des « Juifs », historiquement connue sous le nom des Hyksos : Autrement dit : la Mafia Khazare.
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* Le cinquième groupe à me contacter a été celui des Illuminatis gnostiques. Leur représentant, auto-proclamé Grandmaster Illuminati, Alexander Romanov (alias Richard Sorge, Sasha Zaric, Gordon Moore, etc.), a déclaré que ce groupe était derrière les révolutions russes, françaises et américaines.
Ils se sont opposés au règne de la lignée. Ce groupe m’a également averti à l’avance au sujet du 311, l’attaque nucléaire terroriste planifiée et tsunami, contre le Japon. Romanov a affirmé qu’il avait été recruté par l’ancien champion d’échecs, Bobby Fischer. C’était Romanov qui a d’abord mentionné ISIS longtemps avant que cela n’apparaisse dans les infos publiques.
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* Le sixième groupe à prendre contact a été la loge P2 franc-maçon, qui a envoyé Leo Zagami me rendre visite au Japon. Ce groupe prétend contrôler le Vatican et la mafia, et est gouverné par les descendants des empereurs romains. Quand je suis allé à la Loge P2 en Italie, on m’a présenté à des généraux, journalistes, responsables politiques, etc.
Le membre au rang le plus élevé du P2 que j’ai rencontré a été Vincenzo Mazzara, un des chevaliers teutoniques. Ce groupe vénère le Soleil Noir et affirme, qu’ils étaient derrière le communisme et d’autres grands mouvements politiques. Ils ont affiché leur puissance, en faisant tomber de leur position, le Premier ministre Silvio Berlusconi et le pape Benoît XVI.
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* Le septième groupe sur lequel je suis tombé, était la famille Dragon. J’ai été introduit à ce groupe après avoir rencontré leur représentant à Singapour. Quand ils ont organisé l’introduction, le représentant Rothschild a déclaré que « si vous voulez parler à la Chine, c’est l’échelon le plus élevé, »
Ce groupe prétend être composé des diverses lignées royales d’Asie, et affirme avoir également des directives d’ordre extra-terrestres … Ils ont des revendications historiques légitimes sur la majorité de l’or du monde.
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* Le huitième groupe qui m’a approché était la Société du Dragon Noir. En outre, plusieurs groupes revendiquent ce titre, à l’heure actuelle, Chodoin Daikaku, chef de sociétés japonaises d’arts martiaux du monde (Karaté, Ninjutsu, Aïkido, etc.), avec plus de 50 millions de praticiens dans le monde entier, semble le mieux les représenter.
 *
* Un neuvième puissant groupe à prendre contact, a été la ligue de la jeunesse communiste du parti chinois, ou la partie méritocratique du gouvernement chinois. Leur agent au Japon, M. K, est ma principale source d’information au gouvernement chinois.
 *
Il y a beaucoup d’autres groupes qui ont également pris contact, y compris:
La grande loge du grand Orient de France
Le groupe Inagawa Yakuza
Le groupe Sumiyoshi Yakuza
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Le groupe Yamaguchi Gumi Yakuza
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Les Assassins (Perse)
La mafia Nigerienne
La Dynastie Moghul des Indes
La Famille Royale de I’Indonésie
La Famille Royale Thai
Les Renseignements Britanique MI5 et MI6
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Les Roses-Croix (BIS/Red Cross)
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Le groupe Bouddhiste Sokka Gakkai
Etc. etc.
Lorsque le «Red and Blue» m’a demandé de trouver des sociétés secrètes occidentales bienveillantes, celles listées ci-dessus, sont quelques-unes de celles que j’ai rencontrées. Un réseau informel contenant les membres de tous les groupes ci-dessus a été formé, et est appelé :
« La Société Dragon Blanc »
 *
Comme le «Red and Blue», la Société Dragon Blanc ne peut être utilisée que pour le plus grand bien, et non à des fins personnelles.
 *
Jusqu’à présent, le WDS (White Dragon Society) et ses alliés ont arrêté toutes les tentatives Khazares de déclencher la 3e Guerre Mondiale ou des pandémies ou une famine généralisée. En d’autres termes, nous avons réussi à sauver le monde de la destruction.
 *
Cependant, il y a encore beaucoup à faire. Le fait d’être en contact avec tous ces groupes, m’a fait comprendre clairement, qu’aucun gouvernement unique secret, ou même d’ailleurs public, ne gouverne le monde. Au lieu de cela, nous avons quelques groupes secrets, liés à certains centres de pouvoir comme le Vatican, l’Empire Britannique, l’UE, l’ONU, le Complexe Militaro-Industriel des États-Unis, Wall Street, la Chine, les Banques Suisses, etc.
 *
Alors que beaucoup de gens craignent à juste titre, la création d’un gouvernement mondial totalitaire (Nouvel Ordre Mondial), il y a certaines règles minimales nécessaires de coopération de base. En ce moment, la puissance mondiale est tellement inexistante, que meurtre crapuleux, gangstérisme, pillages, peuvent être perpétrés sans conséquences, dans des endroits comme l’Ukraine ou le Moyen-Orient.
 *
Nous respirons tous le même air, buvons la même eau, et souhaitons pour nous-mêmes et nos familles, sécurité et bien-être. Il y a aussi des problèmes, comme la surpêche, la déforestation et la guerre, que la structure politique et économique internationale actuelle n’a pas été en mesure de résoudre. Pour résoudre les problèmes de ce genre, nous avons besoin d’un niveau minimum de coopération, au niveau international.
 *
Qui plus est, en raison de l’anarchie dans le système international, cette planète n’a pas de buts cohérents ou de plans d’avenir. Au lieu de cela, nous avons un méli-mélo d’objectifs et d’agendas. Les anciennes élites ont également partiellement raison au sujet de la masse de « bouches inutiles » ou gens oisifs qui, passent leur vie sans faire de véritables contributions à la planète.
 *
Ils ont besoin d’avoir quelque chose d’utile et enrichissant à faire.
Et si nous avions tous un minimum d’objectifs à partager, auxquels nous convenions de travailler ?
 Par exemple, beaucoup de gens seraient d’accord pour essayer de transformer cette planète en paradis pour toutes les créatures vivantes.
 Beaucoup veulent explorer l’univers.
 D’autres souhaitent l’immortalité.
 *
Toutes ces choses peuvent être faites réellement, si nous travaillons tous ensemble pour y arriver.
 *
Les gens qui dirigent le système international actuel prévoient annoncer toutes sortes de réformes cet automne… Bien que leurs intentions soient bonnes, il est possible que ce soit trop peu, trop tard.
La semaine prochaine, dans le dernier numéro de notre série estivale, nous allons montrer en détail à quel point le système politique et économique international actuel, est vraiment rendu dysfonctionnel. Cela devrait donner l’impulsion à une campagne d’automne pour redémarrer complètement la façon dont nous gérons cette planète.
 *
Les personnes non-criminelles au sommet du système actuel, n’ont rien à craindre : Nous voulons juste construire quelque chose de nouveau. »
 *
Benjamin Fullford
 

Un complot, quel complot ???

 
 
 
soros aide les clandestins
 
 
Jonathan Samuels, un journaliste de "Sky News" actuellement à Lesbos, en Grèce, a fait part de la découverte d' un manuel que l’on donne aux immigrés/envahisseurs musulmans avant leur départ pour l’Europe.
 
Au milieu des gilets de sauvetage et des cannots en caoutchouc perforés, Jonathan Samuels  a découvert une copie en lambeau d'un "guide pour réfugiés", sur les plages de l’île grecque de Lesbos.
 
 
Ce « guide sommaire » est imprimé et distribué par une organisation de George Soros, le groupe « W2EU », qui signifie “Welcome to the EU” (bienvenue en Europe) :
 
 
 
Le guide contient des cartes, des conseils pour traverser l’Europe et des numéros de téléphone des organisations et des organismes gouvernementaux de protection sociale qui les aident quand ils arrivent en Europe.
 
Le site Web de "W2eu" dit : 
 
« We welcome all travellers on their difficult trip and wish you all a good journey – because freedom of movement is everybody’s right ».
 
 
Source :
 
 
 

CITATIONS DE COMPLOTISTES CELEBRES.

 

 ATTENTION ! Dernier Avis avant poursuites !

*

1984 C’est maintenant !

*

Dans 1984 de Georges Orwell, c’était l’ INGSOC qui remaniait l’esprit humain suivant les standarts de la Novlangue.
 Il semblerait que l’INSOC donne des idées à la « Fondation Jean Jaurès » 
 Vous ne connaissez pas la « Fondation Jean Jaurès »  ??
 
 La « Fondation Jean Jaurès » est une officine (avant-gardiste) du parti socialiste qui déclare la guerre à tout ce qui n’est pas socialiste  démocratique, pardon !
Vous noterez bien évidemment que la première secte de France n’est pas dans la liste.
 *
Et voilà … Le tour est joué: Tout ce qui n’est pas « démocratique » est CONSPIRATIONISTE !

Et … Ne rigolez pas, voyez plutôt leur site : 

http://www.jean-jaures.org

 

« Notre mission : Première des fondations politiques françaises et proche du Parti socialiste, la Fondation Jean-Jaurès agit depuis vingt ans pour construire un monde plus démocratique, inventer les idées de demain et comprendre l’histoire sociale et ouvrière. « 

 

Comme le relève Thierry Meyssian sur www.voltairenet.org : « Les «conspirationnistes» sont donc des citoyens qui s’opposent à la toute-puissance de l’État et qui souhaitent placer celui-ci sous surveillance.

*

La Fondation Jean-Jaurès les décrit en ces termes:

«[C’est une] mouvance hétéroclite, fortement intriquée avec la mouvance négationniste, et où se côtoient :
 
* admirateurs d’Hugo Chávez et inconditionnels de Vladimir Poutine.
 * Un milieu interlope que composent :
 d’anciens militants de gauche ou d’extrême gauche
 * ex-« Indignés »
 * souverainistes
 * nationaux-révolutionnaires
 * ultra-nationalistes 
 * nostalgiques du IIIe Reich
 * militants anti-vaccination
 * partisans du tirage au sort 
 * révisionnistes du 11-Septembre
 * antisionistes
 * afrocentristes
 * survivalistes 
 * adeptes des « médecines alternatives »(catégorie toute récente, Bienvenue au club !)
   * agents d’influence du régime iranien
 * bacharistes  (lol !)
 * intégristes catholiques ou islamistes » (Et intégristes juifs, non ?)
 
(p. 8).
 
 
Croustillant, non ? 
 *
Cette liste en expansion permanente, n’en doutons pas est vouée à un brillant avenir !
 Vous n’êtes encore dans aucune classification ?? Ne désespérez pas et cherchez bien ….
 Consommeriez-vous des produits bio ?? Remettez-vous en question la thèse officielle du sida ??  Seriez-vous jardinier anti OGM, votre grand-mère ne faisait-elle pas du vélo, ce qui serait le début d’un indice alarmant, voyez-vous ?
 Vous êtes peut-être un suspect qui s’ignore, aussi mieux vaudrait-il déclarer tout de suite votre déviance à la Fondation qui saura être magnanime !
 
Téléphonez sans retard à la « Fondation Jean Jaurès » (http://www.jean-jaures.org/  Tél. : +33 (0)1 40 23 24 00  en précisant bien à quelle catégorie « de cerveaux malades » (sic Patrick Cohen, journaliste) vous appartenez  !
*
 Etienne Chouard (cerveau malade figurant sur la liste ci-dessus) résume en 3 minutes et 48 secondes la prise d’otages actuelle : 

  *

Je dédie donc à la « Fondation Jean Jaurès » ce florilège de citations de complotistes célèbres avec, au tableau d’honneur, une mention d’excellence pour celle-ci en raison de sa superbe concision :
*
edmond de rothschild
*
 *

JE DEMANDE A MES LECTEURS DE ME FAIRE PARVENIR D’AUTRES CITATIONS DU MÊME TONNEAU S’ILS EN CONNAISSENT D’INEDITES, AFIN DE COMPLETER CETTE LISTE…

Par avance Merci.

*
Président Woodrow Wilson:
«Certains des plus grands hommes des États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelque chose: ils savent qu’il existe un pouvoir si organisé, si subtil, si vigilant, si enclavé, si complet, si envahissant, ils feraient mieux de ne pas parler au-dessus de leur souffle quand ils parlent en la condamnant « 
*
Albert Pike, «Souverain Grand Commandeur mondial de la Franc-maçonnerie de rite écossais», c’est à dire initié au-delà du 33 ème grade : 
(Il confia ces propos aux seuls Grands Maîtres et Grandes Inspecteurs de l’ordre, réunis en convent extraordinaire le 14 juillet 1889 pour célébrer le centenaire de la Révolution Française)

*«Ce que nous devons dire au vulgaire, c’est ceci : «Nous adorons Dieu, mais c’est le Dieu que l’on adore sans superstition.» A vous, Souverains Grands Inspecteurs Généraux, nous disons ceci pour que vous le répétiez aux frères des 32ème, 31ème et 30ème degrés : «La religion maçonnique devrait être maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne par nous tous initiés des hauts degrés (…) la véritable et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer.»

 *

John F. Kennedy Pésident des USA, assassiné :

«Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections, l’intimidation plutôt que le libre arbitre, les guérillas de nuit plutôt que les armées en plein jour.
C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable ; elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Ses ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres; on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. »
  *

Honoré de Balzac … (très proche du représentant des Rotschild à Paris) :

« Il y a deux Histoires : l’ Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée et l’ Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des événements, une Histoire honteuse »

*

John Swinton, rédacteur en chef du New York Times, discours d’adieu à ses collègues, au cours d’un banquet en son honneur, à l’American Press Association – 1914 :

« Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais : il n’y a personne parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et, s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 dollars par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille.D’autres, parmi nous, reçoivent la même somme pour un travail semblable. Si j’autorisais la publication d’une opinion sincère dans un numéro quelconque de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, comme Othello. L’homme suffisamment fou pour publier une opinion sincère se retrouverait aussitôt sur une route à la recherche d’un nouvel emploi.
La fonction d’un journaliste est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire.
Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante !
 
Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses.
 
Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes.
Nous sommes des prostituées intellectuelles. »
  *

Helmut Kohl (Chancelier d’Allemagne) :
 

« Je savais que je ne pourrais gagner un referendum en Allemagne. Nous aurions perdu tout plebiscite sur l’introduction de l’Euro en Allemagne. »

*

Lénine :

« Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie. »

 Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988 :

 * »Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. »

Henry Makow :

« Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde. »

 *

in « Mécanique de l’argent moderne », Banque de Réserve Fédérale de Chicago :

« Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques… les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent. »

 *

Woodrow Wilson, ancien président des Etats-Unis :

« Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive… Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement. »

*

Rothschild Brothers of London :

« Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts. »

*

 William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada :

« Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation. »

*

James A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné :

« Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent. »

*

John Adams, père fondateur de la Constitution américaine :

« Il y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation, l’une est par les armes, l’autre par la dette.Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation. »

*

Woodrow Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921 :

« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »

*

Benjamin Franklin :

« L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance. »

*

Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque) :

« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits. »

*

Léon Tolstoï :

« L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave. »

*

Encyclopædia Britannica, 14ème Edition :

« Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté. »

*

Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875 :

« Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques. »

*

Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, 1920 :

« Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez-les continuer à créer de l’argent. »

*

M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939 :

« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire) »

*

Andrew Gause, historien de la monnaie :

« Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants. »

*

Irving Fisher, économiste et auteur :

« Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas. »

*

Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed :

« S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent. »

*

Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis, assassiné :

« Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité. »

*

Mayer Amshel Rothschild (1743-1812) :

« Permettez-moi d’émettre et de contrôler la monnaie d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois »

*

Charles A. Lindbergh :

« Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi.

Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin »

*

American’s Bulletin :

« Nous avons été communisés : La production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou …. la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée »

*
Henry Ford :

« La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire »

*

Louis McFadden :

« Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super-état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde »

Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie :

« Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi »

*

1924 US Bankers Association Magazine :

« Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli. »

*

Wright Patman, membre démocrate du Congrès, 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975 :

« Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué »

*

G.B. Chisholm (ex-directeur de l’O.M.S.) :

« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme et leurs dogmes religieux. »

*

J.E. Hoveer (Directeur F.B.I de 1924 à 1972) :

« L’individu est paralysé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe. »

*

Benjamin Disraëli (Homme politique anglais) :

« Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l’imaginent ceux dont le regard ne plonge pas derrière les coulisses. »

*
Claude Bartolone Parti Socialiste « français »et membre du « grand orient de France »:
 « La République a besoin de rites. La démocratie, c’est une véritable religion, elle a besoin de rites pour être reconnue et acceptée ».

*

Président Franklin D. Roosevelt:

« La liberté d’une démocratie n’est pas sûre si le peuple tolère la croissance du pouvoir privé au point de devenir plus fort que son état démocratique lui-même, ce qui est essentiellement le fascisme – la propriété du gouvernement par un individu, par un groupe « 

*

Tatyana Koryagina, chercheur principal de l’Institut des recherches macroéconomiques, ministère du Développement économique de la Russie (Minekonom):

« L’histoire connue de la civilisation n’est que la partie visible de l’iceberg: il y a une économie souterraine, une politique de l’ombre et aussi une histoire de l’ombre connue des conspirologues: il y a des forces invisibles dans le monde. pays et même continents « 

*

Winston Churchill, Illustrated Sunday Herald, 8 février 1920:

« … Il se pourrait bien que cette même race stupéfiante puisse être en train de produire un autre système de morale et de philosophie aussi malveillant que le Christianisme était bienveillant, qui, s’il n’était pas arrêté, détruirait irrémédiablement tout ce que le christianisme avait rendu. Il semblerait presque que l’Évangile du Christ et l’Évangile de l’Antéchrist devaient provenir des mêmes peuples. »

*

Les sociétés bancaires internationales appartiennent à un réseau de 13 familles. Par exemple, la Réserve fédérale est détenue et exploitée par:

Rothschild Bank of London
Warburg Bank de Hambourg
Banque Rothschild de Berlin
Kuhn Loeb, Lehman Brothers, Inc.
Lazard Frères de Paris
Israël Moses Seif Banques d’Italie
Goldman, Sachs de New York
Warburg Bank d’Amsterdam
Chase Manhattan Banque de New York

*

Livre Jaune Numéro 5  Collectif d’auteurs (Editions Hadès):

La première vérité est que, bien que ces gens pratiquent ce que nous appelons le judaïsme (mais s’appelle plus correctement le talmudisme), ils sont à peu près aussi sémitiques que les musulmans chinois sont arabes.
De nombreux commentateurs prétendent que, à quelques exceptions près, pratiquement tous ceux qui contrôlent le système bancaire international, y compris la Banque des règlements internationaux, sont des descendants du peuple khazar d’Asie centrale dont le roi et l’aristocratie adoptent le talmudisme en 741 après JC . Ils étaient d’origine turco-mongole, et tellement sanguinaires et guerriers qu’ils furent chassés d’Asie vers l’Europe de l’Est où ils établirent le royaume de Khazaria à un moment où la Russie n’existait même pas en tant que nation.

Il y avait deux branches: les Khazars blancs et les Khazars noirs. Les Khazars blancs avaient la peau claire et les yeux bleus avec des cheveux blonds ou roux, et les Khazars noirs avaient la peau foncée et les cheveux noirs.

Après le déclin et la chute de Khazaria, certains des restes des Khazars ont émigré en Allemagne et ont fondé une pléthore de duchés. De là, ils se sont répandus dans les autres pays d’Europe occidentale et septentrionale et ont réussi à gravir les trônes de nombreux pays, notamment la Grèce, la Suède, les Pays-Bas, la Norvège, le Danemark, la Belgique, la Bulgarie et la Grande-Bretagne. le nom de famille original des Windsors est Saxe-Coburg-Gotha).

Pour le faire, ils auraient dû devenir ce qu’on appelle les Juifs Marrano ou Converso. Ce sont des Juifs qui se sont convertis extérieurement au christianisme mais qui ont maintenu secrètement leur identité et leurs rituels juifs. Au cours des siècles, leur identité juive a également changé et la grande majorité est devenue juive réformée. Ceux-ci semblent être des Juifs qui ne se considèrent pas liés par la Torah, seulement par le Talmud (les différences sont discutées ci-dessous).

Les Khazars blancs, à cause de leur peau claire, de leurs yeux bleus et de leurs cheveux blonds / roux, n’auraient eu aucun problème à passer pour des Allemands ou des Nordiques.

Il est important de noter que les Juifs Khazars ne forment qu’une infime proportion de Juifs ashkénazes. Certaines recherches sur l’ADN ont avancé que, tout au plus, seulement 12% des juifs ashkénazes sont d’origine khazare.

Cependant, si vous faites des recherches sur ce sujet sur Wikipédia, vous constaterez que chaque théorie et chaque document de recherche sur ce qui est advenu des Juifs Khazars est contesté et détruit. Celui qui a écrit les articles de Wikipédia voudrait nous faire croire qu’un royaume juif puissant et prospère qui se trouvait juste au seuil commercial et géographique entre l’Est et l’Ouest a simplement disparu en un peu plus de 1000 ans.

La majorité des Khazars qui se sont convertis au Talmudisme sont des partisans du sionisme. Mais contrairement à ce que les médias vous ont laissé croire, tous les Juifs qui suivent rigoureusement les enseignements du livre saint juif original, la Torah, les détestent et détestent le sionisme, l’accusant de collaboration avec les nazis et agissant contre d’autres Juifs pendant l’Holocauste, parmi d’autres crimes odieux. Pour ces Juifs, le sionisme représente une menace très réelle pour les droits de l’homme. »

*

Albert Pike (Franc-maçon américain, grand maître du 33ème degré) :

« Notre complot sera révélé. Les Nations se retourneront contre nous avec esprit de revanche et notre domination sur elles ne sera jamais réalisée. »

 

F.D. Roosevelt :

« Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûrs que ce qui se
passe en politique a été bel et bien programmé ! » 

*

Le directeur général de « Procter & Gamble »pendant le
Wisconsin Report, The Phil TV-Show 1984  »  :

« J’ai conclu un pacte avec Satan. J’ai vendu mon âme en échange d’une expansion
économique. »

G.K. Chesterton, Ecrivain Anglais « L’Utopie des usuriers » :

« La vérité concernant la presse, c’est qu’elle n’est pas telle que son nom la désigne. Elle n’est pas « la presse populaire ». Elle n’est pas la presse publique. Elle n’est pas davantage un organe de l’opinion publique.

Elle est une conspiration ourdie par un petit nombre de millionnaires qui se sont entendus sur ce que cette grande nation (à laquelle nous appartenons) doit savoir sur elle-même, ses amis, ses ennemis.

La boucle n’est pas tout-à-fait complète (pour être exact il existe encore quelques journaux honnêtes défendant courageusement d’anciennes valeurs), mais elle l’est suffisamment pour qu’on puisse considérer ce système de propagation des nouvelles comme un monopole de fait.

Si bien que le lecteur de journal reçoit toutes ses informations et ses mots d’ordre politiques de ce qui, à l’heure qu’il est, constitue plus ou moins consciemment une sorte de société secrète, composée d’un très petit nombre de membres disposant de beaucoup d’argent. »

*

Walter Rathenau (ministre de la Reconstruction puis Ministre des Affaires étrangères d’Allemagne), assassiné le 24 Juin 1922, annonce dans « Die neue Wiener Press » du 24 Décembre 1912 :

«Trois cents hommes, qui se connaissent et qui désignent eux-mêmes leurs successeurs, décident du sort de ce monde. Leur pouvoir existe dans une confidentialité absolue.»

*

Rapport du congrès internationnal maçonnique . Bruxelles 1904 Page 132  :

« Le combat contre la Papauté est une nécessité sociale et fonde le devoir permanent de la franc-maçonnerie. »

*

Pope Benedict XV  :

“The coming of a world state  is longed for by all the worst and most distorted elements.  
 This (Note : the N.W.O.) state, based on the principles of absolute equality of men and a community of possessions, would banish all national loyalties.
  In it no acknowledgment would be made of the authority of a father over his children, or of God over human society. If these (N.W.O.) ideas are put into practice, there will inevitably follow a reign of unheard-of terror.”
 (In Bonum Sane, 1920)

*

From speeches at a B’nai B’rith Convention, Paris: (February 1936
as published in “Le Reveil du Peuple.” a Parisian Weekly) :

“We are the Fathers of all Revolutions-even of those which sometimes happen to turn against us.
 We are the supreme Masters of Peace and War.  
 We can boast of being the creators of the REFORMATION !  
Calvin was one of our Children; he was of Jewish descent, and was trusted by Jewish authority and encouraged with Jewish finance to draft his scheme in the Reformation.”
 Martin Luther yielded to the influence of his Jewish friends, and again, by Jewish authority and with Jewish finance, his plot against the Catholic Church met with success….”
 Thanks to our propaganda, to our theories of Liberalism and to our misrepresentations of Freedom, the minds of many among the Gentiles were ready to welcome the Reformation.They separated from the Church to fall into our snare. And thus the Catholic Church has been very sensibly weakened, and her authority over the Kings of the Gentiles has been reduced almost to naught….”
 We are grateful to Protestants for their loyalty to our wishes-although most of them are, in the sincerity of their faith, unaware of their loyalty to us. We are grateful to them for the wonderful help they are giving in our fight against the stronghold of Christian Civilization, and in our preparations for the advent of our supremacy over the whole world and over the Kingdoms of the Gentiles.”

“But the Catholic Church is still alive…”

“We must destroy her without the least delay and without the slightest mercy. Most of the Press in the world is under our Control;
 Let us therefore encourage in a still more violent way the hatred of world against the Catholic Church.”

*

Théodore Roosevelt, discours de campagne 1912:

« Derrière le gouvernement visible, il y a un gouvernement invisible sur le trône, qui ne doit aucune loyauté au peuple et qui ne reconnaît aucune responsabilité. » 

*

Extrait de la Déclaration de Mission des Juifs de la Torah Vraie contre le Sionisme:

« Nous sommes fermement convaincus que lorsque l’Etat d’Israël sera reconnu pour ce qu’il est, un Etat sioniste qui n’est pas guidé par les enseignements de la foi traditionnelle juive, les Juifs du monde entier pourront vivre en paix »

*

David Rockefeller, Memoires (2002) – page 405:

« Depuis plus d’un siècle, des extrémistes idéologiques de chaque côté du spectre politique se sont emparés d’incidents médiatisés … pour attaquer la famille Rockefeller pour l’influence démesurée qu’ils exercent sur les institutions politiques et économiques américaines d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d ‘«internationalistes» et de conspirer avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée – un monde si vous voulez. c’est la charge, je suis coupable, et j’en suis fier. »

*

Platon:

« Le prix de l’apathie envers les affaires publiques doit être dirigé par des hommes méchants »

*

Apocalypse 18:23:

« Les marchands étaient les puissances de la terre, et leurs sorcelleries ont séduit toutes les nations »

*

David Ben Gourion, ancien Premier ministre d’Israël, Magazine LOOK, 16 janvier 1960, page 20:

« Tous les continents vont s’unir dans un allié mondial, à la disposition duquel sera une force de police internationale, toutes les armées seront abolies et il n’y aura plus de guerre. » A Jérusalem, les Nations Unies (une véritable ONU) vont construire un sanctuaire des prophètes pour servir l’union fédérée de tous les continents: ce sera le siège du conseil suprême de l’humanité, pour régler toutes les controverses entre les continents fédérés, comme prophétisé par Isaïe « 

*

David Rockefeller:

« Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial »

*

Devise du Mossad, agence de renseignement israélienne:

« Par la tromperie tu feras la guerre »

*

Marcus Eli Ravage: dans le « Century Magazine » de Janvier/Février 1928

« Vous faites beaucoup de bruit autour de l’influence des Juifs dans vos théatres et le cinéma.

Très bien.

Votre plainte est fondée, mais qu’est-ce que cela à côté de notre influence pénétrante dans vos églises, dans vos écoles, dans vos lois et dans vos pensées de tous les jours ?

Vous n’avez pas encore apprécié la profondeur réelle de notre culpabilité.

Nous sommes des intrus, nous sommes des subversifs, nous avons pris votre monde naturel, vos idéaux, votre destinée et nous les avons brouillés. « 

*

Simone Weil (Philosophe):
« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. »

*

Chateaubriand:
« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. »

*

 

Mensonge et supercherie du système bancaire :

Louis Even

L’île des naufragés

Récit pour comprendre « le mystère » de l’argent.
Par Louis Even

(http://www.versdemain.org/)

Louis Even et le crédit social

Sauvés du naufrage.

Une explosion a détruit un bateau venant du Canada. Cinq hommes ont survécu en s’accrochant à des débris flottants et le courant marin les fait arriver sur une île déserte.
Il y a François, charpentier, Paul qui est cultivateur, Jacques, éleveur, Henri, agronome et Thomas qui est minéralogiste.

Une île providentielle.

Après avoir repris des forces, ils font le tour de l’île qu’ils conviennent de nommer L’île des Naufragés. Ils s’aperçoivent que l’île a du être habitée parce qu’ils voient des troupeaux à demi sauvages. Jacques, l’éleveur dit qu’il saura les domestiquer à nouveau. Paul, l’agriculteur, dit que les terres sont fertiles. Henri repère des arbres fruitiers qu’il se fait fort d’améliorer. Le charpentier, François, découvre des forêts d’arbres bons pour la construction de maisons et enfin, le géologue Thomas a identifié des gisements métallifères.

Les véritables richesses.

Dès le lendemain, Thomas se met à fabriquer des outils rudimentaires qui permettent au charpentier de construire une maison et fabriquer des meubles. Peu à peu, ils exploitent la terre et récoltent diverses nourritures.
A mesure que les saisons se succèdent, le patrimoine de l’Ile s’enrichit. Il s’enrichit, non pas d’or ou de papier imprimé, mais de véritables richesses : des choses qui nourrissent, qui habillent, qui logent, qui répondent à des besoins.
La vie n’est pas toujours aussi douce qu’ils souhaiteraient. Il leur manque bien des choses auxquelles ils étaient habitués dans la civilisation. Mais leur sort pourrait être bien pire.
D’ailleurs, ils ont déjà connu des temps de crise au Canada. Ils se rappellent les privations subies, alors que des magasins étaient trop pleins à dix pas de leur porte. Au moins, dans l’Ile des Naufragés, personne ne les condamne à voir pourrir sous leurs yeux des choses dont ils ont besoin. Puis les taxes sont inconnues. Les saisies-ventes par le shérif ne sont pas à craindre.
Si le travail est dur parfois, au moins on a le droit de jouir des fruits du travail.
Somme toute, on exploite l’île en bénissant Dieu, espérant qu’un jour on pourra retrouver les parents et les amis, avec deux grands biens conservés : la vie et la santé.

Un grave inconvénient.

Nos hommes se réunissent souvent pour parler de leurs affaires.
Dans le système économique très simplifié qu’ils pratiquent, une chose les gêne de plus en plus : ils n’ont aucune espèce de monnaie. Le troc, l’échange direct de produits contre produits, a ses inconvénients. Les produits à échanger ne sont pas toujours en face l’un de l’autre en même temps. Ainsi, du bois livré au cultivateur en hiver ne pourra être remboursé en légumes que dans six mois.
Parfois aussi, c’est un gros article livré d’un coup par un des hommes, et il voudrait en retour différentes petites choses produites par plusieurs des autres hommes, à des époques différentes.
Tout cela complique la vie. S’il y avait de l’argent en circulation, chacun vendrait ses produits aux autres contre de l’argent, de la monnaie. Avec l’argent reçu, il achèterait aux autres les choses dont il a besoin, quand il les voudrait et qu’elles sont là.
Tous s’accordent pour reconnaître la commodité que serait un système financier. Mais aucun d’eux ne sait comment établir un tel système. Ils ont appris à produire la vraie richesse, les choses. Mais ils ne savent pas fabriquer les signes d’équivalence et d’échange : la monnaie.
Ils ignorent comment naît l’argent, comment le créer quand il n’y en a pas et qu’on décide ensemble d’en avoir… Bien des hommes instruits seraient sans doute aussi embarrassés ; bien des gouvernements l’ont été avant eux. A une époque, seul l’argent manquait au Canada, et le gouvernement restait paralysé devant ce problème.

Arrivée d’un autre naufragé.

Un soir que nos hommes, assis sur le rivage, ressassent ce problème pour la centième fois, ils voient soudain approcher une chaloupe avironnée par un seul homme.
On s’empresse d’aider le nouveau venu. On lui offre les premiers soins et on cause. Il parle français, bien que les traits de son visage indiquent une autre origine.
On apprend que c’est un Européen échappé lui aussi à un naufrage et seul survivant. Son nom : Martin Golden.
Heureux d’avoir un compagnon de plus, nos cinq hommes l’accueillent avec chaleur et lui font visiter la colonie.
– » Quoique perdus loin du reste du monde, lui disent-ils, nous ne sommes pas trop à plaindre. La terre rend bien ; la forêt aussi. Une seule chose nous manque : nous n’avons pas de monnaie pour faciliter les échanges de nos produits « .

– » Bénissez le hasard qui m’amène ici, répond Martin. L’argent n’a pas de mystère pour moi. Je suis un banquier, et je puis vous installer en peu de temps un système monétaire qui vous donnera satisfaction « .
Un banquier !… Un banquier !… Un ange venu tout droit du ciel n’aurait pas inspiré plus de révérence. N’est-on pas habitué, en pays civilisé, à s’incliner devant les banquiers, qui contrôlent les pulsations de la finance ?

Le dieu de la civilisation.

-« Monsieur Martin, puisque vous êtes banquier, vous ne travaillerez pas dans l’île. Vous allez seulement vous occuper de notre argent.
-« Je m’en acquitterai avec la satisfaction, comme tout banquier, de forger la prospérité commune.
-« Monsieur Martin, on vous bâtira une demeure digne de vous. En attendant, peut-on vous installer dans l’édifice qui sert à nos réunions publiques  » ?
-« Très bien, mes amis. Mais commençons par décharger les objets de la chaloupe que j’ai pu sauver dans le naufrage : une petite presse, du papier et accessoires, et surtout un petit baril que vous traiterez avec grand soin. »
On décharge le tout. Le petit baril intrigue la curiosité de nos braves gens.
-« Ce baril, déclare Martin, c’est un trésor sans pareil. Il est plein d’or ! »
Plein d’or ! Cinq âmes faillirent s’échapper de cinq corps. Le dieu de la civilisation entré dans l’Ile des Naufragés. Le dieu jaune, toujours caché, mais puissant, terrible, dont la présence, l’absence ou les moindres caprices peuvent décider de la vie de 100 nations !
-« De l’or ! Monsieur Martin, vrai grand banquier ! Recevez nos hommages et nos serments de fidélité.
-« De l’or pour tout un continent, mes amis. Mais ce n’est pas de l’or qui va circuler. Il faut cacher l’or : l’or est l’âme de tout argent sain. L’âme doit rester invisible. Je vous expliquerai tout cela en vous passant de l’argent. »

Un enterrement sans témoin.

Avant de se séparer pour la nuit, Martin leur pose une dernière question:
-« Combien vous faudrait-il d’argent dans l’île pour commencer, pour que les échanges fonctionnent bien ? »
On se regarde. On consulte humblement Martin lui-même. Avec les suggestions du bienveillant banquier, on convient que 200 dollars pour chacun paraissent suffisants pour commencer. Rendez-vous fixé pour le lendemain soir.
Les hommes se retirent, échangent entre eux des réflexions émues, se couchent tard, ne s’endorment que vers le matin, après avoir longtemps rêvé d’or les yeux ouverts.

Martin, lui, ne perd pas de temps. Il oublie sa fatigue pour ne penser qu’à son avenir de banquier. A la faveur du petit jour, il creuse un trou, y roule son baril, le couvre de terre, le dissimule sous des touffes d’herbe soigneusement placées, y transplante même un petit arbuste pour cacher toute trace et marquer l’emplacement.
Puis, il met en œuvre sa petite presse, pour imprimer mille billets d’un dollar. En voyant les billets sortir, tout neufs, de sa presse, il songe en lui-même :
-« Comme ils sont faciles à faire, ces billets ! Ils tirent leur valeur des produits qu’ils vont servir à acheter. Sans produits, les billets ne vaudraient rien. Mes cinq naïfs de clients ne pensent pas à cela. Ils croient que c’est l’or qui garantit les dollars. Je les tiens par leur ignorance ! »
Le soir venu, les cinq arrivent en courant près de Martin.

A qui l’argent frais ?

Cinq piles de billets étaient là, sur la table.
-« Avant de vous distribuer cet argent, dit le banquier, il faut s’entendre.
« La monnaie est basée sur l’or. L’or, placé dans la voûte de ma banque, est à moi. Donc, l’argent est à moi… Oh! Ne soyez pas tristes. Je vais vous prêter cet argent, et vous l’emploierez à votre gré. En attendant, je ne vous réclamerais que l’intérêt. Vu que l’argent est rare dans l’Ile, puisqu’il n’y en a pas du tout, je crois être raisonnable en demandant un petit intérêt de 8 pour cent seulement.
-« En effet, monsieur Martin, vous êtes très généreux.
-« Un dernier point, mes amis. Les affaires sont les affaires, même entre grands amis. Avant de toucher son argent, chacun de vous va signer ce document : c’est l’engagement par chacun de rembourser capital et intérêts, sous peine de confiscation par moi de ses propriétés. Oh ! Une simple garantie. Je ne tiens pas du tout à jamais avoir vos propriétés, je me contente d’argent. Je suis sûr que vous garderez vos biens et que vous me rendrez l’argent.
-« C’est plein de bons sens, monsieur Martin. Nous allons redoubler d’ardeur au travail et tout rembourser.
-« C’est cela. Et revenez me voir chaque fois que vous avez des problèmes. Le banquier est le meilleur ami de tout le monde… Maintenant, voici à chacun ses deux cents dollars. »
Et nos cinq hommes s’en vont ravis, les dollars plein les mains et plein la tête.

Un problème d’arithmétique. L’argent de Martin a circulé dans l’Ile. Les échanges se sont multipliés en se simplifiant. Tout le monde se réjouit et salue Martin avec respect et gratitude.
Cependant, le prospecteur Thomas est inquiet. Ses produits sont encore sous terre. Il n’a plus que quelques dollars en poche. Comment rembourser le banquier à l’échéance qui vient?
Après s’être longtemps creusé la tête devant son problème individuel, Thomas l’aborde d’un point de vue social :
« Considérant la population entière de l’île, songe-t-il, sommes-nous capables de tenir nos engagements ? Martin a créé une somme totale de $1000. Il nous demande au total $1080. Quand même nous prendrions ensemble tout l’argent de l’île pour le lui porter, cela ferait 1000, pas 1080. Personne n’a fait les $80 de plus. Nous produisons des choses, pas des dollars. Martin pourra donc saisir toute l’île, parce que tous ensemble, nous ne pouvons rembourser le capital plus les intérêts.
« Si ceux qui sont capables remboursent pour eux-mêmes sans se soucier des autres, quelques-uns vont tomber tout de suite, quelques autres vont survivre. Mais le tour des autres viendra et le banquier saisira tout. Il vaut mieux s’unir tout de suite et régler cette affaire socialement. »
Thomas n’a pas de peine à convaincre les autres que Martin les a dupés. On s’entend pour un rendez-vous général chez le banquier.

Bienveillance du banquier.

Martin devine leur état d’âme, mais fait bon visage. L’impulsif François présente le cas:
-« Comment pouvons-nous vous rendre $1080 quand il n’y a que $1000 dans toute l’ile ?
-« C’est l’intérêt, mes bons amis. Est-ce que votre production n’a pas augmenté ?
-« Oui, mais l’argent, lui, n’a pas augmenté. Or, c’est justement de l’argent que vous réclamez, et non pas des produits. Vous seul pouvez faire de l’argent. Or vous ne faites que $1000 et vous demandez $1080. C’est impossible!
-« Attendez, mes amis. Les banquiers s’adaptent toujours aux conditions, pour le plus grand bien du public… Je ne vais vous demander que l’intérêt. Rien que $80. Vous continuerez de garder le capital.
-« Vous nous remettez notre dette ?
-« Non pas. Je le regrette, mais un banquier ne remet jamais une dette. Vous me devrez encore tout l’argent prêté. Mais vous ne me remettrez chaque année que l’intérêt, je ne vous presserai pas pour le remboursement du capital. Quelques-uns parmi vous peuvent devenir incapables de payer même leur intérêt, parce que l’argent va de l’un à l’autre. Mais organisez-vous en nation, et convenez d’un système de collecte. On appelle cela taxer. Vous taxerez davantage ceux qui auront plus d’argent, les autres moins. Pourvu que vous m’apportiez collectivement le total de l’intérêt, je serai satisfait et votre nation se portera bien. »
Nos hommes se retirent, mi calmés, mi-pensifs.

L’extase de Martin Golden.

Martin est seul. Il se recueille. Il conclut:
« Mon affaire est bonne. Bons travailleurs, ces hommes, mais ignorants. Leur ignorance et leur crédulité font ma force. Ils voulaient de l’argent, je leur ai passé des chaînes. Ils m’ont couvert de fleurs pendant que je les roulais.
« Oh! Grand Rothschild, je sens ton génie de banquier s’emparer de mon être. Tu l’as bien dit, illustre maître: « Qu’on m’accorde le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois ». Je suis le maître de l’Ile des Naufragés, parce que je contrôle son système monétaire.
Je pourrais contrôler un univers. Ce que je fais ici, moi, Martin Golden, je puis le faire dans le monde entier. Que je sorte un jour de cet îlot: je sais comment gouverner le monde sans tenir de sceptre.
« Ma délectation souveraine serait de verser ma philosophie dans des têtes de chrétiens: banquiers, chefs d’industrie, politiciens, sauveurs du peuple, professeurs, journalistes, ils seraient mes valets. La masse des chrétiens s’endort mieux dans son esclavage, quand les contremaîtres d’esclaves sont eux-mêmes des chrétiens. »
Et toute la structure du système bancaire rothschildien se dresse dans l’esprit ravi de Martin.

Crise de vie chère.

Cependant, la situation empire dans l’Ile des Naufragés. La productivité a beau augmenter, les échanges ralentissent. Martin pompe régulièrement ses intérêts. Il faut songer à mettre de l’argent de côté pour lui. L’argent colle, il circule mal.
Ceux qui paient le plus de taxes crient contre les autres et haussent leurs prix pour trouver compensation. Les plus pauvres, qui ne paient pas de taxes, crient contre la cherté de la vie et achètent moins.
Le moral baisse, la joie de vivre s’en va. On n’a plus de cœur à l’ouvrage. A quoi bon? Les produits se vendent mal ; et quand ils se vendent, il faut donner des taxes pour Martin. On se prive. C’est la crise. Et chacun accuse son voisin de manquer de vertu et d’être la cause de la vie chère.
Un jour, Henri, réfléchissant au milieu de ses vergers, conclut que le « progrès » apporté par le système monétaire du banquier a tout gâté dans l’île. Assurément, les cinq hommes ont leurs défauts ; mais le système de Martin nourrit tout ce qu’il y a de plus mauvais dans la nature humaine.
Henri décide de convaincre et rallier ses compagnons. Il commence par Jacques. C’est vite fait : « Eh ! dit Jacques, je ne suis pas savant, moi; mais il y a longtemps que je le sens : le système de ce banquier est plus pourri que le fumier de mon étable du printemps dernier ! »
Tous sont gagnés l’un après l’autre, et une nouvelle entrevue avec Martin est décidée.

Chez le forgeur de chaînes.

Ce fut une tempête chez le banquier:
-« L’argent est rare dans l’île, monsieur, parce que vous nous l’ôtez. On vous paie, on vous paie, et on vous doit encore autant qu’au commencement. On travaille, on fait de plus belles terres, et nous voilà plus mal lotis qu’avant votre arrivée. Dette! Dette! Dette par-dessus la tête !
-« Allons, mes amis, raisonnons un peu. Si vos terres sont plus belles, c’est grâce à moi. Un bon système bancaire est le plus bel actif d’un pays. Mais pour en profiter, il faut garder avant tout la confiance dans le banquier. Venez à moi comme à un père… Vous voulez d’autre argent ? Très bien. Mon baril d’or vaut bien des fois mille dollars… Tenez, je vais hypothéquer vos nouvelles propriétés et vous prêter un autre mille dollars tout de suite.
-« Deux fois plus de dette ? Deux fois plus d’intérêt à payer tous les ans, sans jamais finir?
-« Oui, mais je vous en prêterai encore, tant que vous augmenterez votre richesse foncière ; et vous ne me rendrez jamais que l’intérêt. Vous empilerez les emprunts; vous appellerez cela dette consolidée. Dette qui pourra grossir d’année en année. Mais votre revenu aussi. Grâce à mes prêts, vous développerez votre pays.
-« Alors, plus notre travail fera produire l’île, plus notre dette totale augmentera ?
-« Comme dans tous les pays civilisés. La dette publique est un baromètre de la prospérité. »

Le loup mange les agneaux.

« C’est cela que vous appelez monnaie saine, monsieur Martin ? Une dette nationale devenue nécessaire et impossible à rembourser, ce n’est pas sain, c’est malsain.
-« Messieurs, toute monnaie saine doit être basée sur l’or et sortir de la banque à l’état de dette. La dette nationale est une bonne chose: elle place les gouvernements sous la sagesse incarnée dans les banquiers. A titre de banquier, je suis un flambeau de civilisation dans votre île.
-« Monsieur Martin, nous ne sommes que des ignorants, mais nous ne voulons point de cette civilisation-là ici. Nous n’emprunterons plus un seul sou de vous. Monnaie saine ou pas saine, nous ne voulons plus faire affaire avec vous.
-« Je regrette cette décision maladroite, messieurs. Mais si vous rompez avec moi, j’ai vos signatures. Remboursez-moi immédiatement tout, capital et intérêts.
-« Mais c’est impossible, monsieur. Quand même on vous donnerait tout l’argent de l’île, on ne serait pas quitte.
-« Je n’y puis rien. Avez-vous signé, oui ou non? Oui? Eh bien, en vertu de la sainteté des contrats, je saisis toutes vos propriété gagées, tel que convenu entre nous, au temps où vous étiez si contents de m’avoir. Vous ne voulez pas servir de bon gré la puissance suprême de l’argent, vous la servirez de force. Vous continuerez à exploiter l’Ile, mais pour moi et à mes conditions. Allez ! Je vous passerai mes ordres demain.

Le contrôle des journaux.

Comme Rothschild, Martin sait que celui qui contrôle le système monétaire d’une nation contrôle cette nation. Mais il sait aussi que, pour maintenir ce contrôle, il faut entretenir le peuple dans l’ignorance et l’amuser avec autre chose.
Martin a remarqué que, sur les cinq insulaires, deux sont conservateurs et trois sont libéraux. Cela apparaît dans les conversations des cinq, le soir, surtout depuis qu’ils sont devenus ses esclaves. On se chicane entre bleus et rouges.
De temps en temps, Henri, moins partisan, moins endoctriné, suggère une force dans le peuple pour faire pression sur les gouvernants… Force dangereuse pour toute dictature.
Martin va donc s’appliquer à envenimer leurs discordes politiques le plus possible.
Il se sert de sa petite presse et fait paraître deux feuilles hebdomadaires: « Le Soleil », pour les rouges ; « L’Etoile », pour les bleus. « Le Soleil » dit en substance : Si vous n’êtes plus les maîtres chez vous, c’est à cause de ces arriérés de bleus, toujours collés aux gros intérêts.
« L’Etoile » dit en substance: Votre dette nationale est l’œuvre des maudits rouges, toujours prêts aux aventures politiques.
Et nos deux groupements politiques se chamaillent de plus belle, oubliant le véritable forgeur de chaînes, le contrôleur de l’argent : Martin.

Une épave précieuse.

Un jour, Thomas, le prospecteur, découvre, échouée au fond d’une anse, une chaloupe de sauvetage, sans rame, sans autre trace de service qu’une caisse assez bien conservée.
Il ouvre la caisse : outre du linge et quelques menus effets, son attention s’arrête sur un livre-album en assez bon état, intitulé : Première année de « Vers Demain ».
Curieux, notre homme s’assied et ouvre ce volume. Il lit. Il dévore. Il s’illumine :
« Mais, s’écrie-t-il, voilà ce qu’on aurait dû savoir depuis longtemps.
« L’argent ne tire nullement sa valeur de l’or, mais des produits qu’il permet d’acheter. « La monnaie peut être une simple comptabilité, les crédits passant d’un compte à l’autre selon les achats et les ventes. Il faut que le total de l’argent soit en rapport avec le total de la production.
« A toute augmentation de production, doit correspondre une augmentation équivalente d’argent… Jamais d’intérêt à payer sur l’argent créé… Le progrès est représenté, non pas par une dette publique, mais par un dividende égal pour chacun… Les prix, ajustés au pouvoir d’achat par un coefficient des prix. Le Crédit Social… »
Thomas n’y tient plus. Il se lève et court, avec son livre, faire part de sa splendide découverte à ses quatre compagnons.

L’argent, la monnaie, c’est une simple comptabilité.

Et Thomas s’installe professeur:
« Voici, dit-il, ce qu’on aurait pu faire, sans le banquier, sans or, sans signer aucune dette.
« J’ouvre un compte au nom de chacun de vous. A droite, les crédits, ce qui ajoute au compte; à gauche, les débits, ce qui le diminue.
« On voulait chacun $200 pour commencer. D’un commun accord, décidons d’écrire $200 au crédit de chacun. Chacun a tout de suite $200.
« François achète des produits de Paul, pour $10. Je retranche 10 à François, il lui reste 190. J’ajoute 10 à Paul, il a maintenant 210. « Jacques achète à Paul pour $8. Je retranche 8 à Jacques, il garde 192. Paul, lui, monte à 218.

« Paul achète du bois à François, pour $15. Je retranche 15 à Paul, il garde 203; j’ajoute 15 à François, il remonte à 205.
« Et ainsi de suite; d’un compte à l’autre, tout comme des dollars en papier vont d’une poche à l’autre.
« Si l’un de nous a besoin d’argent pour augmenter sa production, on lui ouvre le crédit nécessaire, sans intérêt. Il rembourse le crédit une fois sa production vendue. Même chose pour les travaux publics.
« On augmente aussi, périodiquement, les comptes de chacun d’une somme additionnelle, sans rien ôter à personne, en correspondance au progrès social. C’est le dividende national. L’argent est ainsi un instrument de service, un outil et non pas un maître.

Désespoir du banquier.

Tous ont compris. La petite nation est devenue créditiste. Le lendemain, le banquier Martin reçoit une lettre signée des cinq:
« Monsieur, vous nous avez endettés et exploités sans aucune nécessité. Nous n’avons plus besoin de vous pour régir notre système d’argent. Nous aurons désormais tout l’argent qu’il nous faut, sans or, sans dette, sans voleur. Nous établissons immédiatement dans l’Ile des Naufragés le système du Crédit Social. Le dividende national remplacera la dette nationale.
« Si vous tenez à votre remboursement, nous pouvons vous remettre tout l’argent que vous avez fait pour nous, pas plus. Vous ne pouvez réclamer ce que vous n’avez pas fait.
Martin est au désespoir. C’est son empire qui s’écroule. Les cinq devenus créditistes, plus de mystère d’argent ou de crédit pour eux.
« Que faire? Leur demander pardon, devenir comme l’un d’eux ? Moi, banquier, faire cela ?… Non. Je vais plutôt essayer de me passer d’eux et de vivre à l’écart.

Supercherie mise à jour.

Pour se protéger contre toute réclamation future possible, nos hommes ont décidé de faire signer au banquier un document attestant qu’il possède encore tout ce qu’il avait en arrivant dans l’île.
D’où l’inventaire général : la chaloupe, la petite presse et… le fameux baril d’or.
Il a fallu que Martin indique l’endroit, et l’on déterre le baril. Nos hommes le sortent du trou avec beaucoup moins de respect cette fois. Le Crédit Social leur a appris à mépriser le fétiche or.
Le prospecteur, en soulevant le baril, trouve que pour de l’or, il ne pèse pas beaucoup: « Je doute fort que ce baril soit plein d’or », dit-il.
L’impétueux François n’hésite pas plus longtemps. Un coup de hache et le baril étale son contenu : d’or, pas une once! Des pierres, rien que de vulgaires roches sans valeur!…
Nos hommes n’en reviennent pas:
-« Dire qu’il nous a mystifiés à ce point-là, le misérable ! A-t-il fallu être gogos, aussi, pour tomber en extase devant le seul mot OR !
-« Dire que nous lui avons gagé toutes nos propriétés pour des bouts de papier basés sur quatre pelletées de roche ! Voleur doublé de menteur !
-« Dire que nous nous sommes boudés et haïs les uns les autres pendant des mois et des mois pour une supercherie pareille ! Le démon ».

A peine François avait-il levé sa hache que le banquier partait à toutes jambes vers la forêt.

FIN

 

Le gouvernement profond de l’Europe.

euro-babel

Ce documentaire, assez étonnament sorti sur la RTBF belge, enquête sur les tireurs de ficelle derrière les pantins non-élus de la Komission.

Les lobbies des grands groupes mondialisés (chimie, pétrole, agro-alimentaire,industrie pharmaceutique, transports routier et ferroviaires, etc… ) car ce sont évidemment eux qui régissent à présent notre destin, y sont aussi nombreux qu’à Washington DC …

Le personnel politique, inévitablement arrosé et corrompu des différents états, est désormais sous leur emprise :

S’il existe encore quelques Eurolâtres humanistes et optimistes, ils ne pourront plus dire qu’il ne savaient pas !

 Le vrai visage de notre Union Burokratique des Républiques Mercantilo-Socialistes est là sous nos yeux !

L’unique idéal : « L’ouverture du marché. »

Le seul horizon : la dérégulation mondiale totale au profit du Veau d’Or !!

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Intéressante dissection du NWO :

 

Pierre Hillard est un essayiste français, docteur en science politique.

Spécialisé dans l'observation de l'édification du mondialisme, il dissèque brillamment les processus technocratiques de décomposition des nations et parrallèlement de construction programmée depuis longtemps de grands blocs continentaux permettant l'avancée inexorable du rouleau-compresseur de l'Empire …  

Son analyse parfaitement documentée rejoint in fine la vision chrétienne de la tour de Babel … qui inévitablement à la fin (et une nouvelle fois) s'effondrera !

Cette video est tirée de sa conférence, prévue à l" "Institut de Recherches Internationnales et Stratégiques" (IRIS), mais qui finalement a refusé de l'accueillir.

Cela se passe donc dans la rue…  

 

 

 

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