« Q Anon » : Info inouÏe ou intox ?

 

Les révélations parfois « ésotériques » de Q Anon. sur le réseau 4chan aux Usa sont apparues quelques temps après l’élection du Donald. Elles font un ensemble de révélations progressives qui émaneraient d’un groupe issu de la haute administration militaire, des services secrets et autres officines ayant fait allégeance à Trump et lui ayant ouvert la voie vers le pouvoir.

Véritable plan ourdi depuis très longtemps afin de mettre hors d’état de nuire le réseau occulte et maffieu du « Deep State ».

Ce plan aurait fait suite en grand secret à l’assassinat de Kennedy qui avait fort bien identifié l’ennemi dans son discours à l’université de Columbia, le 12 Novembre 1963.

Peu d’Américains et encore moins de Français connaissent la teneur de ce discours.

Le voici en français.

J’ai surligné les points saillants énormes qui font de lui un évident « conspirationiste », bien placé pour juger de la réelle situation…

Dix jours après, il était assassiné à Dallas dans les circonstances que l’on connait…

 

Discours de JFK 10 jours avant sa mort:

« Je voudrais vous parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des dernières semaines nous ont amené à percevoir cet enjeu. Mais les dimensions du problème sont apparues de manière imminente à l’horizon des prochaines années. Quelles que soient nos espérances pour le futur, s’agissant de réduire une menace ou de vivre avec elle, il est impossible d’éviter l’actuel défi qui concerne notre sécurité et notre survie, un défi qui se présente de manière inhabituelle dans toutes les sphères de l’activité humaine.
Le bureau oval de la Maison Blanche a été utilisé pour mettre sur pied un complot d’anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique.

La question de la survie de notre société font apparaître deux nécessités, qui concernent à la fois le Président et la presse, deux gageures qui peuvent sembler contradictoires mais qui peuvent être conjuguées et remplies si nous nous groupons face à ce péril national. Je me réfère ici à l’importance d’informer largement le public et à la nécessité de refuser la politique officielle du secret.

Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte.

Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. Même aujourd’hui il est peu justifié de résister à la menace d’une société fermée tout en imitant ses restrictions arbitraires.

Même aujourd’hui, il est peu justifié d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu’un besoin annoncé de sécurité accrue soit l’opportunité que saisiront ceux soucieux d’étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et de la censure officielle.

Voilà ce que je n’ai pas l’intention de laisser faire dans la mesure où j’en ai le contrôle. Et aucun officiel de mon administration, quelque soit son rang, civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher nos erreurs ou taire au public et à la presse les faits qu’ils méritent de savoir
.
Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l’autodiscipline, pour empêcher la divulgation d’informations non-autorisées à l’ennemi. En temps de danger « clair et présent », les tribunaux ont maintenu que même les droits privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun de sécurité nationale.

Aujourd’hui, aucune guerre n’a été déclarée, et aussi féroce le combat puisse-t-il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon habituelle.

Notre mode de vie est attaqué.

Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. La survie de nos amis est menacée. Et pourtant, aucune guerre n’a été déclarée, aucune frontière n’a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant d’imposer l’autodiscipline qui s’impose dans ces conditions, alors on peut seulement dire qu’aucune guerre n’a jamais autant menacé notre sécurité. Si vous attendez une situation de « danger clair et actuel », alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais été aussi clair et sa présence plus imminente.

Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d’affaire ou chef d’entreprise et par tout journaliste.

Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence (de l’infiltration plutôt que de l’invasion, de la subversion plutôt que des élections, de l’intimidation plutôt que du choix libre, des guérillas de nuit plutôt que des armées en plein jour).

C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machinerie très efficace et au maillage très serré qui combine opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses plans sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont cachées, non affichées. Ses dissidents sont réduits au silence, relégués en marge.

Aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret révélé. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie ne pourrait jamais espérer ou désirer bien se porter.
Cependant, toute démocratie reconnait les restrictions nécessaires liées à la sécurité nationale (et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous devons faire face à ce genre d’attaque et d’ incontestable invasion.)

A vrai dire c’est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantés d’acquérir dans nos journaux les informations qu’ils auraient du obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l’espionnage; que les détails des plans secrets de cette nation pour contrer les opérations secrètes de l’ennemi ont été mis à la portée de chaque lecteur de journal, ami autant qu’ennemi; que les effectifs , la puissance, l’emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratégie pour leur utilisation ont tous été précisés dans la presse et autres médias à un degré suffisant pour satisfaire n’importe quelle puissance étrangère; Et que dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret par lequel les satellites étaient suivis, a demandé son altération au prix de beaucoup de temps et d’argent.

Les journaux qui ont imprimés ces histoires étaient loyaux, patriotiques, responsables et de bonne volonté. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publiés ces faits. Mais en l’absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrôles du journalisme et non ceux de la sécurité nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.
A vous seuls d’y répondre. Aucun officiel ne devrait le faire à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volonté.

Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilités, si je n’attirais pas votre attention sur ce problème et ne conseillais vivement sa considération réfléchie.

En de nombreuses occasions auparavant, j’ai dit (et vos journaux ont constamment dit) que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et à l’autodiscipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considèrent non concernés par cet appel.

Je n’ai pas l’intention de mettre en place un nouveau bureau de l’information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggère pas de quelconque nouvelles formes de censure ou quelconque nouveau types de classification pour le secret. Je n’ai pas de réponse évidente au dilemme que j’ai soulevé, et ne chercherais pas à l’imposer si j’en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l’industrie dans ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de respecter le devoir d’auto-restriction que ce danger nous impose à tous.

Tout journal maintenant se demande, par rapport à chaque histoire: « S’agit-il de nouvelles informations? ». Tout ce que je suggère est que vous ajoutiez la question: « Est ce dans l’intérêt de la sécurité nationale ». Et j’espère que tout groupe en Amérique (associations et hommes d’affaire et officiels à tous niveaux) poseront la même question des efforts à accomplir, et soumettront leurs actions aux mêmes justes contrôles.
Et si la presse américaine considérait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux éléments spécifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopérerons de tout cœur et prendrons en considération ces recommandations.

Peut être n’y aura t’il pas de recommandations. Peut être n’y a t’il pas de réponse au dilemme auquel se trouve confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en résulte, sont à la fois douloureuses et inédites.

Mais nous vivons un temps de paix et de péril tel qu’on n’en connu pas de précédent dans l’histoire.

C’est la nature sans précédent de ce défi qui aussi exige de vous de répondre à une deuxième obligation, une obligation que je partage. Et c’est celle d’informer et d’alerter le peuple américain, de s’assurer qu’il possède tous les éléments d’information nécessaires et qu’il les comprenne également (les périls, les perspectives, les objectifs, de notre programme et les choix qui se présentent à nous.)
Aucun président ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la compréhension. Et la compréhension autorise le soutien ou l’opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l’administration mais je demande votre aide dans la tâche énorme d’informer et d’alerter le peuple américain. Car j’ai toute confiance en la réponse et au dévouement de nos citoyens dès qu’ils sont pleinement informés.
Non seulement je ne pourrais pas réprimer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu’elle est la bienvenue.

Cette administration a l’intention d’être franche concernant ses erreurs car comme un homme sage a dit un jour: « une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger ». Nous avons l’intention de prendre la pleine responsabilité de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons à cet engagement.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent réussir, et aucune république ne peut survivre.

C’est pourquoi selon le législateur Athénien c’est un crime qu’un citoyen se dérobe à la controverse.

Et c’est pourquoi notre presse fut protégée par le premier amendement (le seul business en Amérique spécifiquement protégé par la constitution) pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement « donner au public ce qu’il veut », mais pour informer, stimuler, réfléchir, faire état des dangers et opportunités, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, éduquer et parfois même provoquer la colère de l’opinion publique.

Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales (car elle n’est plus lointaine et étrangère mais à portée de main et locale). Cela signifie une attention accrue à une compréhension améliorée des actualités autant qu’une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l’information la plus complète possible en dehors des limites les plus étroites de la sécurité nationale (et nous avons l’intention de le faire).

C’est au tout début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois inventions récentes qui étaient déjà en train de transformer le monde: le compas de navigation, la poudre à canon et la machine à imprimer. Maintenant le lien entre les nations qui a été d’abord accompli par le compas de navigation a fait de nous tous des citoyens du monde, les espoirs et les craintes d’un seul devenant les espoirs et les craintes de tous.

Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l’évolution de la poudre à canon jusqu’à ses limites ultimes a mis en garde l’humanité contre les terribles conséquences d’un dérapage.

C’est donc de la machine à imprimer (de la mémoire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagère de leurs nouvelles) que nous attendons la force et l’assistance, qu’elle nous donne confiance et qu’avec votre aide, l’homme sera ce pourquoi il est né: libre et indépendant. »

John F. Kennedy, à l’université de Columbia, le 12 Nov. 1963 – 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.

Le discours de trop…

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Le Plan du groupe derrière « Q Anon. » est ni plus ni moins d’en finir avec la force destructrice de cet Etat profond US, infiltré dans le monde financier, politique, mediatique, économique…

Peut-être une intox de plus ?
Peut-être la vérité…

…Et dans ce cas nous ne devrions pas tarder à le savoir tant la guerre qui fait rage au niveau des élites devient chaque jour plus évidente aux yeux du plus grand nombre: Force mondialiste totalitaire contre les diverses moutures de « populisme » qui surgissent un peu partout parmi les peuples du monde.

Si ce plan est bien réel, c’est une véritable délivrance qui aura lieu, non seulement en Amérique, mais partout où le camp mondialiste imposait sa loi d’airain depuis … la création de l’Ordre des faux monayeurs de la FED !

Ni plus, ni moins …

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Vérité sur le 11 Septembre. Plus de 3000 architectes et ingénieurs américains balancent !

 

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Vérité sur le 11 Septembre !

*Dans l’espoir qu’éclate enfin la vérité sur le 11 Septembre, je viens de signer la pétition de l’association « Architects and engineers for 9.11 Truth » . Celle-ci représente plus de 3000 architectes et ingénieurs, hautement spécialisés dans le domaine des structures d’acier type World Trade Center !

Si, comme moi vous ne croyez pas un instant à cette pitoyable version officielle, alors allez sur leur site et signez également cette pétition pour une ré-ouverture de l’enquête. Ils ne sont pas prêts à lâcher le morceau, et ils ont raison !

Cliquez sur l’image:

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vérité sur le 11 septembre
vérité sur le 11 septembre

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Cette vidéo passe en revue un certain nombre « d’anomalies » intéressantes:

9/11 September Clues – Everything Was a Lie!

 

Autres articles sur le sujet ici

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L’abbaye des Anges: Un trésor qui renaît en Bretagne.

Notre Dame des Anges

L’abbaye des Anges:

Un trésor qui renaît en Bretagne.

 

A l’opposé des cohortes de nuisibles occupés à la destruction tous azimuts de notre mémoire ancestrale, des êtres exceptionnels font oeuvre admirable. A l’opposé, Robert Tretel est de ceux-ci… Il s’ingénie depuis des années à faire revivre cette admirable abbaye de Bretagne.

Bravo Monsieur, au nom de tous ceux qui ont l’amour de notre terre, vous êtes un  véritable héros dans ces heures présentes, certainement les plus sombres de notre Histoire !

 

 

 

 

Marcus Eli ravage, écrivain juif et biographe des Rothschild

 

L’article qui suit a été écrit par Marcus Eli Ravage, écrivain juif et biographe officiel des Rothschild.

Il parut dans « The Century Magazine » de janvier 1928

Vol.115  N°3

pp. 346-350 sous le titre de

« A Real Case Against The Jews » 

(One of Them Points Out the Full Depth of Their Guilt) 

 

 

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« Bien sûr, vous nous en voulez. Il n’est pas bon de me dire le contraire.

Ne perdons pas notre temps en dénis et alibis. Vous savez que vous nous en voulez, et je le sais, et nous nous comprenons les uns les autres. Pour être sûr, certains de vos meilleurs amis sont Juifs, et c’est tout.

J’ai déjà entendu cela une ou deux fois, je pense. Et je sais, aussi, que vous ne m’incluez pas personnellement – «moi» en tant qu’individu particulier Juif – lorsque vous nous flanquez à la porte de manière systématique, parce que je suis, eh bien, si différent, ne le saviez vous pas, presque aussi bon que l’un d’entre vous.

Cette petite dispense ne m’incite pas, d’une manière ou d’une autre, à de la gratitude, mais cela n’a pas d’importance maintenant. C’est l’agressivité, le carriérisme, l’arrivisme, le matérialisme que vous n’aimez pas – ceux, en un mot, qui vous rappellent tant vos propres frères si prometteurs. Nous nous comprenons parfaitement. Je ne vous en tiens pas rigueur.

Bénie soit mon âme, je ne blâme personne de détester quiconque. La chose qui m’intrigue à propos de cet anti-judaïsme auquel vous jouez est votre absence totale de cran.

Vous êtes si indirect si évasif à ce sujet, vous prenez de telles évidentes et incroyables excuses, vous semblez souffrir d’une gêne si horrible, que si la prestation n’était pas grotesque, c’en serait irritant.

Ce n’est pas comme si vous étiez des amateurs: vous y êtes depuis plus de quinze siècles. Pourtant, à vous regarder et à entendre vos prétextes enfantins, on pourrait croire que vous ne savez pas vous-mêmes de quoi il s’agit. Vous nous en voulez, mais vous ne pouvez pas dire clairement pourquoi.
Vous trouvez une nouvelle excuse – que vous appelez raison – chaque nouveau jour. Vous avez accumulé pour vous-mêmes des justifications, ces quelques centaines d’années, et chaque nouvelle invention est plus risible que la précédente et chaque nouveau prétexte contredit et anéantit le précédent.

Il n’y a pas si longtemps, j’avais l’habitude d’entendre que nous étions avides et de sombres matérialistes; maintenant la récrimination est murmurée qu’aucun art, aucune profession n’est protégée de l’invasion juive. Nous sommes, à vous en croire, à la fois fermés, exclusifs et inassimilables, car nous ne voulons pas nous marier avec vous, et nous sommes aussi des carriéristes et arrivistes et une menace pour votre intégrité raciale.

Notre niveau de vie est si bas que nous créons vos taudis et les entreprises qui vous exploitent et si élevé que nous vous jetons hors de vos plus beaux quartiers.
Nous nous dérobons à notre devoir patriotique en temps de guerre parce que nous sommes pacifistes par nature et tradition, et que nous sommes les conspirateurs par excellence des guerres universelles et les grands bénéficiaires de ces guerres…

Nous sommes en même temps les fondateurs et les partisans de premier plan du capitalisme et les principaux auteurs de la rébellion contre le capitalisme.

Assurément, l’histoire ne nous arrive pas à la cheville en termes de polyvalence !

Et oh… j’allais presque oublier la raison des raisons. Nous sommes le peuple opiniâtre qui jamais n’accepta le Christianisme, et nous sommes le peuple criminel qui crucifia son fondateur.
Mais je vais vous dire, vous vous méprenez.

Vous manquez à la fois de connaissance envers vous-même et de courage pour carrément faire face aux faits et vous avouer la vérité.

Vous en voulez au Juif non pas parce comme certains d’entre vous semblent le croire, il a crucifié Jésus mais au contraire parce qu’il lui a donné vie.
Votre vrai désaccord avec nous n’est pas parce que nous avons rejeté le Christianisme mais parce que nous vous l’avons imposé !

Vos accusations décousues et contradictoires sont loin de valoir la noirceur de notre infamie historique avérée. Vous nous accusez d’inciter à la Révolution à Moscou. Admettons que nous acceptions l’accusation. Et alors ? Comparativement à ce que Paul de Tarse, le Juif, accomplit à Rome, le bouleversement en Russie est une simple bagarre de rue.

Vous faites grand bruit de l’influence juive indue dans vos cinémas et théâtres. Très bien; accordé, votre plainte est bien fondée. Mais qu’est-ce comparativement à notre stupéfiante influence dans vos églises, vos écoles, vos lois et vos gouvernements, et dans les moindres pensées que vous avez chaque jour ?

Un Russe maladroit contrefait une série de documents et les publie dans un livre intitulé « Les Protocoles des Sages de Sion » qui montre que nous avons planifié la dernière Guerre Mondiale. Vous croyez ce livre. D’accord. Pour les besoins de l’argumentation, nous en soutiendrons chaque mot. Il est sincère et authentique. Mais qu’est-ce que c’est par rapport à la conspiration historique indéniable que nous avons menée, et que nous n’avons jamais niée parce que vous n’avez jamais eu le courage de nous en accuser et dont le dossier complet subsiste encore pour quiconque veut le lire ?

Si vous êtes vraiment sérieux quand vous parlez de complots juifs, ne puis-je pas attirer votre attention sur l’un d’eux qui mérite qu’on en parle? Quel besoin de gaspiller son temps à parler du prétendu contrôle de votre opinion publique par les financiers, les propriétaires de journaux et les magnats du cinéma juifs, quand vous pourriez aussi bien et à juste titre nous accuser du contrôle avéré de votre civilisation par les Doctrines Juives ?

Vous n’avez pas commencé à apprécier l’ampleur réelle de notre culpabilité. Nous sommes des intrus. Nous sommes des perturbateurs. Nous sommes des destructeurs.

Nous avons pris votre monde originel, vos idéaux, votre destin, et les avons détruits.

Nous avons été à la base non seulement de la dernière Grande Guerre, mais de presque toutes vos guerres, pas seulement en Russie, mais de tout autre révolution majeure dans votre histoire.

Nous avons apporté la discorde et la confusion et la frustration dans votre vie personnelle et publique. Et nous continuons encore.

Personne ne peut dire combien de temps nous allons continuer à le faire.
Regardez un peu en arrière ce qu’il s’est passé. Il y a dix-neuf siècles, vous étiez une race innocente et sans souci, la race païenne. Vous adoriez d’innombrables dieux et déesses, les esprits de l’air, de l’eau vive et de la forêt. Vous aviez une fierté sans vergogne en la gloire de vos corps nus. Vous sculptiez les images de vos dieux et les courbes humaines si séduisantes. Vous preniez plaisir aux combats de terrain, dans l’arène et sur le champ de bataille.

La guerre et l’esclavage étaient des institutions stables dans vos systèmes. Batifolant sur les coteaux et dans les vallées des grands espaces, vous spéculiez sur l’émerveillement et le mystère de la vie et avez jeté les bases des sciences naturelles et de la philosophie. Votre culture était noble et sensuelle, non tourmentée par l’introduction d’une conscience sociale ou par quelque questionnement sentimental sur l’égalité humaine.

Qui sait quelle grande et glorieuse destinée aurait été la vôtre si nous vous avions laissés seuls.

Mais nous ne vous avons pas laissés seuls. Nous vous avons pris en main et avons tiré vers le bas la belle et généreuse organisation que vous aviez élevée, et avons changé complètement le cours de votre histoire. Nous vous avons conquis comme aucun de vos empires n’a jamais dompté l’Afrique ni l’Asie.
Et nous avons fait tout cela sans armées, sans balles, sans effusion de sang ni troubles, sans force d’aucune nature. Nous l’avons fait uniquement par la puissance irrésistible de notre esprit, avec des idées, avec de la propagande.

Nous avons fait de vous les porteurs volontaires et inconscients de notre mission pour le monde entier, pour les races barbares de la terre, pour les innombrables générations à naître. Sans comprendre entièrement ce que nous vous faisions, vous êtes devenus l’ensemble des agents de notre tradition raciale, portant notre doctrine jusqu’aux confins inexplorés de la Terre.

Nos coutumes tribales sont devenues le cœur de votre code moral. Nos lois tribales ont fourni les bases fondamentales de toutes vos constitutions et systèmes juridiques respectables. Nos légendes et nos contes populaires sont les traditions sacrées que vous fredonnez à vos enfants. Nos poètes ont empli vos livres de cantiques et de prières. Notre histoire nationale est devenue un élément incontournable d’érudition de vos pasteurs, prêtres et savants. Nos rois, nos hommes d’Etat, nos prophètes, nos guerriers sont vos héros.

Notre ancien petit pays est votre Terre Sainte.

Notre littérature nationale est votre Sainte Bible.

Ce que notre peuple pensa et enseigna devint inextricablement tissé à votre propre discours et tradition, au point que personne parmi vous ne peut être qualifié d’instruit, de cultivé s’il n’est pas familier avec notre héritage racial.
Les artisans juifs et les pêcheurs juifs sont vos professeurs et vos saints, avec d’innombrables statues sculptées à leur image et un nombre incalculable de cathédrales érigées à leur mémoire.

Une jeune fille juive est votre idéal de maternité et de féminité. Un prophète rebelle juif est le personnage central de votre culte religieux. Nous avons tiré vers le bas vos idoles, rejeté votre héritage racial, et y avons substitué notre Dieu et nos traditions.

Aucune conquête dans l’histoire ne peut même se comparer à cette victoire absolue de notre conquête sur vous.

Comment avons-nous fait ?

Pour ainsi dire par accident. Il y a près de deux mille ans, dans la lointaine Palestine, notre religion était tombée en décadence dans le matérialisme. Les changeurs de monnaie étaient en possession du temple.
Des prêtres égoïstes et dégénérés escroquaient notre peuple et s’enrichissaient. Puis un jeune patriote idéaliste se leva et alla partout appeler à un renouveau de la foi. Il n’avait aucune intention de créer une nouvelle église. Comme tous les prophètes avant lui, son seul but était de purifier et revitaliser l’ancienne croyance.

Il attaqua les prêtres et chassa les changeurs du temple. Ceci l’amena à un conflit avec l’ordre établi et ses soutiens. Les autorités romaines, qui occupaient le pays, craignant que son agitation révolutionnaire soit un effort politique visant à les évincer, l’arrêtèrent, le jugèrent et le condamnèrent à mort par crucifixion, une forme courante d’exécution à cette époque.

Les disciples de Jésus de Nazareth, principalement des esclaves et de pauvres ouvriers, dans le deuil et la déception, se détournèrent du monde et se constituèrent en une confrérie de pacifistes non résistants, partageant la mémoire de leur chef crucifié et vivant ensemble à la manière communiste. Ils étaient simplement une nouvelle secte en Judée, sans pouvoir ni importance, ni la première ni la dernière…

Ce n’est qu’après la destruction de Jérusalem par les Romains que le nouveau credo prit une place de premier plan. Ensuite, un Juif patriote du nom de Paul ou Saul conçut l’idée d’humilier la puissance romaine en détruisant le moral de ses troupes avec les doctrines d’amour et de non-résistance prêchées par la petite secte de Juifs Chrétiens. Il devint l’Apôtre des Gentils, lui qui jusqu’alors avait été l’un des persécuteurs les plus actifs de la bande.

Et Paul fit si bien son travail qu’en l’espace de quatre siècles, le grand empire qui avait conquis la Palestine ainsi que la moitié du monde, était un monceau de ruines. Et la loi qui sortit de Sion devint la religion officielle de Rome.

Ce fut le début de notre position dominante dans votre monde. Mais ce n’était qu’un début.

Depuis ce jour, votre histoire est un peu plus qu’une lutte pour la maîtrise entre votre ancienne mentalité païenne et notre mentalité juive. La moitié de vos guerres, petites et grandes, sont des guerres de religion, combattues pour l’interprétation d’une chose ou d’une autre, selon nos enseignements. Vous vous étiez à peine libérés de votre simplicité religieuse fondamentale et tentiez l’initiation de la pratique de la Rome païenne, que Luther, armé de nos doctrines, surgit pour vous abattre et rétablir notre patrimoine.

Prenez les trois principales révolutions des temps modernes, la Française, l’Américaine et la Russe. Que sont-elles, si ce n’est le triomphe du concept social, politique et de justice économiques juif ?

Et nous ne sommes pas au bout. Nous vous dominons toujours.

En ce moment même, vos églises sont déchirées par une guerre civile entre les Fondamentalistes et les Modernistes, c’est-à-dire entre ceux qui s’accrochent littéralement à nos enseignements et nos traditions, et ceux qui s’efforcent lentement de nous déposséder.

A Dayton, dans le Tennessee, une communauté éduquée par la Bible interdit l’enseignement de votre science, car elle entre en conflit avec notre récit historique de l’origine de la vie, et M. Bryan, le chef de l’anti-juif Ku Klux Klan à la Convention Nationale Démocrate, fait la lutte suprême de sa vie en notre nom, sans remarquer la contradiction. Encore et encore, l’héritage puritain de Judée se répand par vagues, censure du théâtre, Blue laws du dimanche (1), National Prohibition Acts. Et pendant que ces choses se produisent, vous radotez sur l’influence juive dans les films !

Est-il étonnant que vous nous en vouliez ?

Nous avons mis un frein à votre progrès. Nous vous avons imposé un livre étranger et une foi étrangère que vous ne pouvez ni avaler ni digérer, qui est à contre-courant de votre mentalité d’origine, qui vous met éternellement mal à l’aise, et pour lesquels vous manquez de courage, soit pour les rejeter, soit pour les accepter dans leur intégralité.

Bien sûr, vous n’avez jamais accepté nos enseignements chrétiens en totalité. Dans vos cœurs, vous êtes encore païens. Vous aimez toujours la guerre, les images sculptées, et les conflits.
Vous êtes encore fiers de la beauté des courbes humaines nues. Votre conscience sociale, en dépit de toute démocratie et toutes vos révolutions sociales, est toujours une chose pitoyable et imparfaite.

Nous avons simplement divisé votre âme, brouillé vos impulsions, paralysé vos désirs. Au milieu de la bataille, vous êtes obligé de vous agenouiller devant celui qui vous a ordonné de tendre l’autre joue, qui vous a dit « Ne résiste pas au mal» et «Béni soit les artisans de la paix ». Dans votre soif de gain, vous êtes soudain perturbé par une mémoire de vos jours d’école du Dimanche (l’Église) qui vous dit de ne pas vous soucier du lendemain.

Dans vos luttes revendicatrices, quand vous frapperiez par une grève sans le moindre scrupule, vous vous rappelez soudainement que les pauvres sont bienheureux et que tous les hommes sont frères dans la paternité du Seigneur. Et lorsque vous êtes sur le point de céder à la tentation, votre formation juive vous en dissuade et vous retire la coupe pleine des lèvres.

Vous, Chrétiens, n’êtes jamais devenus christianisés. Sur ce point, nous avons échoué avec vous. Mais nous avons détruit pour toujours le plaisir du paganisme en vous.

Alors, pourquoi ne devriez-vous pas nous en vouloir? Si nous étions à votre place, nous vous en voudrions probablement plus que vous ne le faites. Mais nous n’hésiterions pas à vous dire pourquoi. Nous ne recourrerions pas à des subterfuges et à des prétextes évidents.

Avec des millions de petits commerçants juifs douloureusement respectables tout autour de nous, nous ne devrions pas insulter votre intelligence et notre propre honnêteté en parlant de communisme comme d’une philosophie juive. Et avec des millions de colporteurs et ouvriers juifs travaillant dur et besogneux, nous ne devrions pas nous rendre ridicule en parlant du capitalisme international comme d’un monopole juif.

Non, nous devrions aller droit au but. Nous devrions regarder cette pagaille complexe que nous appelons civilisation, ce mélange moitié Chrétien, moitié Païen, et si nos places étaient inversées – nous vous dirions à brûle-pourpoint:

« Merci à vous, à vos prophètes et à votre Bible pour ce chaos. » 

1 – Ben Klassen lui consacre également tout un chapitre dans son livre The White Man’s Bible : chapitre 43 page 231 à 237

2 – Blue laws : lois en vigueur aux Etats-Unis et au Canada (18ème et 19ème siècles) qui imposaient, entre autres, la messe du dimanche à l’église et le repos dominical.

 

 

Discours de Matteo Salvini, Ligue du Nord.

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(Début du discours à 4’08)

 

« Merci, merci vraiment de tout cœur, merci.

Ici c’est ma maison ici c’est votre maison.

Merci…

[ovation]

Ne rendez pas encore plus difficile ce qui déjà est difficile, parce que pour moi c’est une émotion indescriptible [ovation]

Merci.

Je suis désolé pour tous ceux qui n’ont pas pu venir soit parce ils ont dû rester à la maison pour préparer un examen, soit parce qu’ils sont pas bien, soit parce qu’ils travaillent. Faites parvenir dans toute l’Italie, dans le monde entier qui nous suit en direct ce cri d’amour qui arrive de Pontida, car ici, on veut construire, on a envie d’être bien ensemble, car, comme le dit un grand poète contemporain que je salue, qui nous écoute depuis chez lui, « l’amour est le travail de celui qui n’a pas peur»

Ici il y a de l’amour. Il n’y a pas d’envie, pas de jalousie, il n’y a pas de rancœur. La vie est trop courte pour perdre son temps à haïr. Laissons d’autres haïr, menacer, se ronger les sangs. […]

Nous, nous n’avons du temps que pour construire.

Avant de faire un discours, rapide, je remercie les forces de l’ordre, les volontaires des ambulances qui nous donnent un coup de main en cette belle et chaude journée.

Pourtant, puisque que je serai ici pendant une poignée de minutes pour vous expliquer ma position et pour faire un pacte d’honneur et d’amour avec vous au sujet de ce que nous ferons ces prochains mois, il est juste de ne pas le faire seulement avec ceux qui sont encore sur cette terre mais d’être accompagnés dans ce parcours que nous faisons depuis 4 ans, en nous souvenant de ceux qui nous suivent depuis là-haut, en nous souvenant de Gianluca Buonanno, de tous les amis et amies qui ne sont plus là. Pour cela, avec la maman de Gianluca, pour que la bataille de tant de frères et de sœur qui ne sont plus avec nous reste vivante je vais aller vers l’arbre de vie et vous demande de faire une prière pour demander l’aide de ces frères et sœurs dans notre difficile combat.

7’21’’ [là, Matteo Salvini rejoint la mère de Gianluca Buonanno pour rendre hommage à tous les amis de combat décédés]

10’41’’ Tout ça pour se souvenir qu’ici, il n’y a pas de parti mais une communauté, une famille, un peuple qui changera le monde. Nous ne devons jamais limiter nos rêves car, comme le disait Walt Disney, si tu peux l’imaginer, tu peux le faire.

Nous sommes partis avec comme rêve de changer notre ville, de changer Milan, de changer Vicenza, de changer Terni, de changer Viterbo, de changer Trieste, de changer Sienne, de changer Bari. Nous avons maintenant le rêve de changer nos régions au nom de l’autonomie. En 1918, se terminait la grande guerre, où nos grands-pères et nos arrière-grands-pères sont morts pour défendre nos frontières. En l’honneur de ce sacrifice, nous avons [enfin] un nouveau gouvernement qui veut défendre les frontières afin que le sacrifice de tant de jeunes hommes n’ait pas été vain ; eux qui ont donné leur vie pour le bien de leur famille et de leur patrie.

En 1918, naissait aussi ce grand génie, incompris par beaucoup mais compris, parmi les premiers par Umberto Bossi [ndt fondateur de la Lega] et par la Lega ; je pense à Gianfranco Miglio qui voit maintenant se réaliser les fruits d’une vie d’étude, de travail, d’engagement et de sacrifices.

12’14’’ Que c’est beau. Du changement dans les régions au changement du pays ; je vais vous raconter en deux mots ce que nous sommes en train de faire . Pourtant, nous ne devons pas nous en contenter, comme le disait Giancarlo Giorgetti. L’objectif est de changer l’Europe. Notre objectif est de donner la parole à ces peuples qui ont été écrasés par ceux qui avaient uniquement à cœur le sort de la finance et des multinationales et qui leur ont offert (aux peuples) un futur de précarité, de peur, où un travail à temps indéterminé est devenu un rêve , où toucher sa retraite après une vie de travail est devenu un rêve. Je renouvelle mon engagement à annuler la loi Fornero, une loi injuste, inhumaine et profondément erronée ! L’annuler à la face de ces bavards qui n’ont jamais dans leur vie passé de temps dans une fabrique, une fonderie ou un magasin. Ceux qui disent qu’on peut continuer à travailler jusqu’à 65, 67, 78, 70, 80. 90 ans, ceux qui disent encore que grâce à la réforme Fornero, les comptes publiques sont sains. Mais bon Dieu, pouvez-vous approuver une loi disant que vous pourrez toucher votre retraite le jour où on vous mettra sous terre ? De cette façon, les comptes publics seront définitivement en sécurité !

Nous, ce n’est pas ce que nous voulons. Ce n’est pas une telle Italie que nous voulons.

Ils me disent : « Réussirez-vous à faire tout cela en respectant les nombreuses obligations, les règles ? » Nous allons essayer d’annuler la loi Fornero, en la démantelant petits bouts par petits bouts, en réintroduisant tout de suite le quota 100, en abaissant les taxes pour les entreprises et les familles, car il est actuellement impossible de travailler, de créer une (affaire) d’ouvrir un magasin, impossible d’obtenir son diplôme, impossible d’avoir un futur avec un tas de taxations de ce genre. Oui c’est possible. Nous chercherons à le faire en respectant les obligations (règles) imposées. Je vous donne ma parole d’honneur en tant que vice-président du Conseil et comme ministre, mais surtout comme citoyen italien, comme papa, pour donner un futur à nos enfants, pour éviter que ces jeunes doivent partir à l’étranger, car après leurs diplômes, ici il n’y a pas de travail. Pour travailler comme infirmière, il faut aller à l’étranger, et l’architecte, et le maçon et l’ingénieur et l’avocat. Si, pour que les nôtres puissent être mieux lotis j’ignorerai un 0 virgule.. imposé par Bruxelles. Pour moi ce 0 virgule vaut moins que zéro !

15’13’’ Le bonheur d’un peuple prime, en fait, le bonheur DES peuples, DES peuples. Allez demander aux Grecs à quel point ils sont contents, allez le demander aux victimes des folles normes fiscales et bancaires. On me dit : On ne peut pas toucher aux normes de cette union européenne parce qu’elle garantit la paix et l’amitié entre les peuples. Les peuples européens n’ont jamais été autant en conflit qu’aujourd’hui et, par conséquent, la Lega, les idées de la Lega, l’honnêteté de la Lega, le courage de la Lega déteindra aussi sur tous les autres pays européens. C’est le dernier espoir de cette Europe de rester en vie. C’est uniquement si les idées de la Lega s’imposent en France, en Allemagne, en Espagne, en Pologne, en Autriche, en Hongrie, au Danemark, au Portugal, que cette Europe aura l’espoir de continuer à exister. Autrement, ceux pour qui il n’existe pas de frontières, il n’existe pas de règles, ceux pour qui il n’existe que des droits mais aucun devoir [gagneront]

Simone Weil [ndt la philosophe] disait que les devoirs viennent avant les droits. Mettons-nous bien ça dans la tête, dans la tête de ceux qui vivent en Italie depuis un moment, mais surtout dans celle de ceux qui arriveront demain matin : les devoirs viennent avant les droits, le respect d’un peuple, d’une histoire, d’une culture, d’une tradition. Rien n’est gratuit ni offert. Et à propos d’immigration la même Simone Weil – -qu’on ne peut accuser de populisme, de souverainisme, de fascisme, de racisme, de nazisme, de marcionisme, tout ce dont on nous accuse habituellement, écrivait que « tout ce qui est fait pour déraciner un être humain ou de l’empêcher de s’enraciner est criminel. »

17’37’’ Tout cela, Bruxelles, Paris, Berlin ont essayé de le faire ces dernières années. Nous enlever nos racines. Supprimer les hommes et les femmes pour en faire des numéros et des consommateurs au service de ces multinationales comme Coca Cola qui sponsorise des spectacles dans différentes villes pour conquérir de nouveaux consommateurs. Certains prétendent même que le Coca Cola fait plus de bien que l’huile d’olive italienne. Qu’ils le boivent eux si ça leur fait plaisir ! Moi je préfère l’huile d’olive. Je préfère les fruits de ma mer et de ma terre. Nous ne sommes pas des numéros mais des hommes et des femmes, tous avec les mêmes droits.

Nous ne sommes pas ici pour enlever de droits à quiconque. [ Si l’Etat ne s’occupe pas d’entrer dans les salons et les chambres à coucher], chacun fait ce qu’il veut chez lui, avec qui il veut, et où il veut. Tant que je pourrai parler, et tant que du sang coulera dans mes veines, je défendrai jusqu’à la mort les droits des sans voix, le droit des enfants à avoir un papa et une maman, le droit des femmes à ne pas être des utérus à louer. L’idée seule d’utérus à louer, l’idée que la femme soit utilisée comme objet pour vendre des enfants au centre commercial me dégoûte ; ça ce n’est pas le progrès, ça c’est la fin d’une civilisation.

Je demande à nos syndics et à nos gouvernants de mettre au centre une politique de la famille, de remettre au centre la création de crèches, de permettre aux femmes d’être mamans et de pouvoir travailler. On ne doit plus devoir choisir entre devenir maman, ce qui est le plus beau défi au monde, et continuer à travailler.

Pour nous il est clair que notre combat est de tenir les promesses faites maintenant. Nous travaillons depuis 1 mois exactement ; nous, les ministres, avons prêté serment le premier juin et je pense que, non seulement les Italiens, mais aussi toute l’Europe ont réalisé que notre gouvernement a fait plus de choses en 1 mois que les autres en 6 ans.

Nous avons fait plus en 1 mois que les autres en 6 ans de sommeil.

[applaudissements / la foule scande : Matteo, Matteo]

20’53’’

A ce moment, Matteo Salvini demande aux volontaires de la Croix Rouge d’apporter de l’eau à quelques personnes qui semblent se trouver mal dans la foule et leur désigne l’endroit. Il relève également les drapeaux qui montrent à quel point cette Lega est belle, combien cette place est belle et combien cette foule est belle. Il énumère les différents drapeaux qui viennent de tous les coins d’Italie. Il met en évidence les différentes régions d’Italie qui se sont jumelées et déclare qu’on ne pourra plus les diviser.

21’45’’ Avoir des gouverneurs (ndt de la Lega) de régions italiennes si diverses nous montre que nous sommes en train de gagner non seulement en Italie mais nous sommes en train de gagner au niveau européen et au niveau international. Et, évidemment, pour gagner, il faut de la fierté, de la dignité,

A ce moment, Salvini s’arrête de parler et demande aux secouristes de s’occuper d’autres personne qui semblent faire un malaise

22’42’’ Dédions ce succès aux radicaux chics des salons qui, demain, dans les journaux, feront des commentaires sur les vilaines personnes qui était à Pontida !

Ces vilaines gens qui étaient à Pontida sont des gens de cœur, ce sont des enfants et des nonagénaires. C’est un peuple qui a retrouvé sa fierté et, pour moi, défendre les frontières, la culture et le travail de ce pays signifie que quand je me lève le matin, je ne réussirais pas à me regarder dans la glace si je n’employais pas les 24h que le bon Dieu me donne chaque jour pour défendre l’histoire de ce pays. Et je peux vous dire que pendant ces heures, en seulement un mois, c’est le troisième bateau chargé d’esclaves qui n’a pas pu accoster en Italie et qui navigue vers d’autres directions. [applaudissements]

24’06’’ Savez-vous pourquoi beaucoup de gens deviennent nerveux ? Parce qu’ils avaient espéré gagner (de l’argent), grâce au business de l’immigration. Cette année encore, 5 milliards d’euros ! A ces spéculateurs je conseille de changer de métier car cet argent ils ne le verront plus. [applaudissements]

24’45’’ Et je peux vous dire, que même avec tous ses défauts, cela se trouve même dans le catéchisme de l’église catholique d’aujourd’hui.

Aujourd’hui c’est dimanche et jour de repos pour ceux du PD (ndt partito democratico qui a gouverné l’Italie ces derniers 6 ans et qui a été balayé aux élections) Ils auront beaucoup de jours de repos ces prochains mois. Nous, nous aurons très peu de jours de repos. Renzi se repose ; j’ai lu qu’il court les annonces immobilières du centre de Florence. C’est bien pour lui et je le dis sans envie et sans rancœur. Toutefois, je répète, même dans le catéchisme de l’église catholique on trouve ceci au paragraphe 22 – 41: « Les nations les plus riches sont tenues d’accueillir l’étranger dans les limites du possible » Et je pense qu’en Italie, les limites du possible ont été atteintes. [applaudissements]

Donc, si on applique le catéchisme de la sainte église romaine, je pense que les portes de l’Italie ne seront plus ouvertes que pour les femmes et les enfants qui fuient la guerre et qui arriveront en Italie par avion et non sur des bateaux pneumatiques. Pour tous les autres la solution est de les aider, pour pouvoir grandir et travailler chacun dans son pays. Dépenser l’argent en Afrique. Argent bien dépensé. C’est ce que nous nous proposons de faire. Nous avons un objectif très clair.

Mon ministère ne s’occupe pas seulement d’immigration. Une des batailles que plus que tout…. [pause, remerciements aux volontaires de la Croix-rouge qui s’occupent des gens ayant un coup de chaleur] ……..

27’19’’ Un peuple [tel que vous] peut changer l’histoire. Il fut un temps où faire tomber le mur de Berlin, était impensable. Le prochain mur que nous ferons tomber c’est celui de Bruxelles, pour restituer aux peuples européens le droit au travail, le droit à la vie, le droit à la santé, le droit à la sécurité. Le mur de Bruxelles (je ne dis pas (qu’on le fera tomber) à coup de pelle mécanique sinon ils vont à nouveau dire que je suis méchant).

Même si je suis à Rome maintenant, Bruxelles fait partie de mes grandscombats (en plus de l’immigration) un combat que, en tant que ministre, je ferai de tout pour gagner. Changer les choses prendra du temps, ça ne sera pas facile, il faudra du courage. Pourtant les gens qui sont là sur cette estrade [ndt les compagnons de route de Salvini] n’ont peur de rien et de personne. Eradiquer de ce splendide pays les saloperies qui répondent au nom de mafia, Camorra et Ndrangheta (fait partie de notre programme) La mafia, la Camorra, la Ndrangheta nous dégoûtent et nous les combattrons par tous les moyens, du nord au sud, en prenant exemple sur ceux qui ont dédié leur vie à combattre la pègre ; et (nous ne le ferons) pas avec des paroles

[…………….]

29’ 24’’ Je pense à Rosario Livatino, mort à 38 ans, victime de la mafia, un juge intègre, honnête, courageux, qui n’allait pas se montrer à la télévision, qui ne donnait pas d’interview aux journaux, qui n’avait pas gagné des millions d’euros grâce à l’anti-mafia des bla-bla. Il a donné sa vie pour nous et pour nos enfants. C’est cette anti-mafia que nous aiderons, celle des Falcone des Borsellino, celle des Boris Giuliano, […] celle des héros qui ont donné leur vie pour ce pays en combattant la mafia, la Camorra et la Ndrangheta. Depuis Pontida nous envoyons un avertissement également aux trafiquants d’êtres humains. Fini le pique-nique en Italie. Loin de la Sicile comme de la Lombardie. Via, via, via. En l’honneur des héros qui ont donné leur vie pour défendre ce pays, une des première chose que j’ai fait c’est d’aller voir quelques biens séquestrés aux mafieux. Un d’entre eux, entre autres, deviendra une maison pour enfants autistes afin de donner un futur à ces enfants […]

31’23’’ Cette guerre (contre la pègre), j’aurai l’honneur de la mener avec […] toutes les armes que la démocratie met à disposition et c’est une guerre que j’aurai l’honneur de mener avec un des plus beau fleuron de ce pays, ceux que je rencontre tous les jours et que je remercie tous les jours . Eux, ce sont les hommes et les femmes des forces de l’ordre qui, pour 1’200 euros par mois, garantissent notre sécurité. D’ici quelques semaines, ils seront armés de pistolets électriques afin de pouvoir encore mieux faire leur travail, ceci pour être meilleurs et non pas plus méchants. Nous travaillons pour une Italie meilleure, plus souriante, avec des règles, car certaines pseudo réformes ont apporté le drame dans les familles ; je pense à la réforme [….] qui a fermé les structures hospitalières qui soignaient les malades psychiatriques, abandonnant des milliers de familles à leur destin. Et tous les jours [nous attaquerons] un nouveau bulletin de guerre puisque l’Etat fait semblant de rien, puisque l’Etat a tourné le dos. Je veux vivre dans un pays qui fait peu de choses, mais les fait bien. Soigner ceux qui sont malades et garantir un système de santé d’excellence, du nord au sud, sera une de nos priorités. Je ne veux pas que des mamans doivent faire 1000 km de train ou d’avion pour aller faire soigner leurs enfants à l’autre bout du pays. Voilà ce que nous avons à cœur, c’est ça notre grande ambition. Aucune méchanceté, aucun esprit de vengeance, aucune hypocrisie. Je pense que, personnellement, j’ai reçu plus d’insultes et d’infamies en 1 mois de gouvernance que d’autres ministres inutiles ou président du conseil en une entière carrière politique. Pour moi ce sont des médailles de valeur, pour moi ce sont des médailles de valeur [applaudissements]

Matteo, Matteo (ndt Matteo Renzi, chef du gouvernement précédant) je voudrais que vous soyez sur cette estrade….

[là, pause, Salvini fait le coordinateur des secours……….]

35’20 La Croix Rouge et les volontaires du 118 sont les ONG et les associations de bénévoles qui nous plaisent. [applaudissements] L’histoire jugera les autres ONG. Quelques chacals, quelques frustrés, quelques pauvres gens de gauche, quelques journalistes ont réussi à dire que le drame en Méditerranée de l’autre jour est fondamentalement de notre faute ! Cette barque qui s’est renversée n’était qu’à 3 milles des côtes libyennes. Qu’est-ce que je me dis en tant que ministre et comme papa ? Que les passeurs commencent à comprendre que le vent est en train de tourner ; ils ont compris que malheureusement [ils ne peuvent plus profiter du désespoir]. Ils utilisent des bateaux pneumatiques mal gonflés et des barques avec des moteurs en mauvais état parce qu’ils sont habitués depuis des années à s’enrichir en jetant à la mer des milliers d’enfants de femmes et d’hommes qui risquaient une mort quasi certaine, (sachant qu’il y avait toujours [des ONG] qui aidaient ces criminels dans leur métier de passeurs. Maintenant, heureusement, les autorités libyennes ont repris le contrôle de leur territoire. Je remercie les gardes côte libyens, qui, ces dernières heures, dans le silence de la très grande majorité des journaux et des télévisions italiens, ont secouru plus de mille désespérés qui étaient en train de risquer la noyade en les ramenant sur le territoire libyen. Je les remercie d’enlever le pain de la bouche des mafieux du business de l’immigration.

37’35 Et puis il y a aussi ce phénomène de défense de l’environnement. […] La défense de l’environnement signifie aussi prendre soin de nos propres ressources, signifie défendre nos montagnes, nos lacs, nos fleuves, nos mers ; cela signifie qu’il faut arrêter avec cette bureaucratie et parfois cette surintendance qui ne nous permet même pas de bouger un bout de bois, de nettoyer un ruisselet, […]. Laissez donc les montagnards faire ce qu’ils ont toujours fait, laissez-les gens de la mer s’occuper de leur mer sans qu’un bureaucrate de Milan, de Rome ou de Palerme qui n’a jamais vu de montagnes ou de fleuves leur casse les pieds !

[pause pour demander de l’eau…et faire l’inventaire des drapeaux venant de tous les coins d’Italie et un de la Russie]

39’53’’ Nous travaillons pour donner des droits, : droits à la retraite, droits au travail, droit à la vie, droit à la santé.

Pourtant, certains seront punis. Nous parlions avec Luca (Zaïa) des peines incompressibles. Nous mettrons sur pied une loi, j’espère pendant l’été, pour supprimer les remises de peine [pause] Je disais que j’ai pris l’engagement devant beaucoup de familles devant tant de mamans et de papas à qui on a arraché les enfants, de supprimer toute remise de peine pour les assassins et les violeurs. Aucune remise de peine ne devra plus exister, aucune pitié pour les assassins et les violeurs. Il est clair que la prison doit rééduquer ; cependant, celui qui viole un enfant est une chose pour moi impossible à concevoir […]

Toutefois, il n’existe pas seulement de la violence envers les êtres humains. Nous travaillerons pour que soient punis avec toute la sévérité nécessaire ceux qui maltraitent les animaux et je le dis en ce début d’été qui ne devra plus être la saison des abandons. Ce n’est pas possible. La vie n’est pas un jeu. A deux jambes ou à 4 pattes. Et puis nous devrons éclaircir ce phénomène de la gauche qui parle de protection de l’environnement et de bien-être des animaux mais qui permet des horreurs comme l’abattage islamique qui égorge les animaux les faisant souffrir comme ils ne devraient jamais souffrir. Ils (les gauchistes) cassent les pieds aux chasseurs qui protègent l’environnement mais ils permettent aux musulmans de faire comme ils veulent dans les abattoirs abusifs que nous avons partout en Italie. Donc, pas touche à nos traditions, pas touche à notre histoire, à notre culture. Ajoutons que si il n’y avait pas dans nos forêt ceux qui s’en occupent, ceux qui soignent et aiment leur animaux mais font de la régulation, ce serait un problème pour tout le monde.

42’48’’ Nous, nous n’avons de problèmes avec personne.

Je voudrais dire ceci à ceux qui nous regardent depuis chez eux en direct avant de retourner regarder les match du mondial. Hier j’ai regardé une partie mais ça ne s’est pas passé comme je voulais ; ça ira mieux la prochaine fois. Il n’y a plus le Messi d’autrefois . [….] Je disais donc que parfois, on nous accuse de xénophobie. Vous verrez, demain cela vous arrivera aussi, j’en suis sûr. Demain vous retournerez au travail, vous retrouverez votre collègue en pleine forme, bien reposé parce qu’aujourd’hui il est resté sur son canapé. Vous arriverez un peu fatigué, car il y a des gens qui, pour être ici aujourd’hui, ont fait 1000 km en voiture ou en car et je les remercie vraiment de tout mon cœur. Venir depuis Milan ou Bergame, c’est bien, mais venir de plus loin est un peu plus compliqué. Donc je sais que demain vous retrouverez votre collègue bien reposé qui vous verra un peu fatigué, avec des cernes sous les yeux et il vous demandera :

Mais qu’avez-vous fait hier?

Oh, je suis allé à Pontida.

Pourquoi êtes-vous allé à Pontida ?

Pour la Lega.

Ahhh ! Les xénophobes, les racistes….

Toujours les mêmes étiquettes. […]

Xénophobe, du grec, signifie « qui a peur de ce qui est différent », « phobie de ce qui est différent » Ici, y a-t-il quelqu’un qui a peur de ce qui est différent ? Moi je n’ai pas peur, au contraire. Puis-je vous dire une chose ? Les diversités attisent ma curiosité, m’attirent ; je ne ferais pas partie de la Lega depuis 17 ans si je n’aimais pas les diversités, les identités, les langues, les cultures, les dialectes, la nourriture, le théâtre, les différences ; j’adore les diversités, c’est seulement une question de nombre ; l’Italie que je veux diriger, pas pour 5 mois ou pour 5 ans, (que les camarades se résignent)…l’Italie que nous dirigerons ces 30 prochaines années sera une Italie qui n’aura peur de rien et de personne, une Italie fière, une Italie belle car elle est diverse, une Italie fondée sur les autonomies. Je dirais encore plus en citant les paroles d’un autre héros d’une gauche qui désormais n’existe plus et je le cite deux fois plus volontiers parce qu’il avait un concept du travail et des travailleurs que certains aujourd’hui ont oublié. A son époque il était considéré comme un visionnaire. On devrait retourner étudier ses livres et cela également dans les écoles. Je le cite aussi parce que dans sa commune, après 60 ans, grâce à la Lega on a élu il y a quelques jours un syndic de centre droit. Je pense à Adriano Olivetti et à sa communauté de travail et d’entreprise fondée sur le respect et la dignité du travailleur, la participation du travailleur. Je pense à une Italie qu’il avait pensée, fondée sur les communautés, à une réforme constitutionnelle qui pourrait rassembler Olivetti, Miglio et tant de penseurs autonomistes et fédéralistes qui, finalement, grâce à la Lega, grâce à ce gouvernement pourront voir se réaliser leur rêve d’un pays respectueux de toutes ses identités ; et cela, nous ferons en sorte que cela se passe également en Europe : une communauté de peuples et pas une union fondée sur les exigences de trois financiers et de quatre bureaucrates. Grâce à la Lega l’Europe deviendra une communauté de peuples, d’hommes et de femmes qui s’aimeront à nouveau. [pause eau]

48’00 Qui est content d’être ici, levez la main. Vous êtes un vrai spectacle Mesdemoiselles, vous êtes un spectacle. [ovation]

Sans peine, personne ne va nulle part. Certains pensaient que faire de la politique était une promenade. Ceux qui sont ici depuis longtemps mais également ceux qui sont ici pour la première fois…

Levez la main ceux qui sont ici pour la première fois. Oh misère où étiez-vous jusqu’à l’année passée ? [rires] Levez la mains ceux qui viennent ici depuis 20 ans. Un beau « mix ». C’est le passé, le présent et le futur. Je remercie et ne cesserai de remercier ceux qui m’ont donné l’envie, le courage, l’enthousiasme, la passion de commencer (la politique) et cet homme s’appelle Umberto Bossi. Il n’a pas d’autre nom ni d’autre prénom. Il s’appelle Umberto Bossi. Il n’a pas d’autre nom ni d’autre prénom. Il s’appelle aussi Umberto Maroni et tous les secrétaires régionaux provinciaux, de sections qui se sont accrochés pendant les moments difficiles ; je le disais à un journaliste ce matin : ce n’est pas la Lega qui a changé, c’est le monde qui a changé et ceux qui veulent accompagner ce changement du monde ne peuvent se permettre de ne rien faire. Très simplement, j’ai compris, nous avons compris, nous avions compris que tout seuls nous n’irions nulle part. Que pour gagner il fallait s’unir. Il fallait s’unir en Italie, il fallait s’unir en Europe. Et je pense à une Lega des Legas en Europe qui unisse tous les mouvements libres, fiers, souverains, qui veulent défendre leurs propres gens, leurs propres frontières, leurs propres fabriques, leur propre agriculture, le bien-être de leurs propres enfants. C’est cela le futur pacifique et souriant auquel nous travaillons. Donc, les drapeaux qu’il y a sur ce pré [énumération des divers drapeaux…] ces drapeaux disent à 60 millions d’Italiens, nous le disons avec le sourire, nous le disons avec humilité, je le dis en tant que secrétaire de la Lega, de vice-président du conseil, jeunes gens, si vous nous regardez (en direct), sortez des maisons, quittez vos divans, quittez vos fauteuils, sortez des magasins, sortez des tribunaux, sortez des écoles. Si un peuple bouge, ce peuple gagne. Reprenons notre dignité, reprenons notre envie de travailler, de vivre, de gagner et de sourire. Rien ne nous est interdit. A un peuple comme celui-ci rien n’est impossible. Combien d’entre vous qui peut-être m’aviez entendu parler (et ensuite je m’arrête sinon la Croix Rouge devra aussi s’occuper de moi) combien, je le sais et peut-être ne le dites vous pas, mais je le sais parce que je l’aurais aussi pensé moi-même, quand j’ai parlé pour la première fois en tant que secrétaire de la Lega,( ça me semble être il y a une vie entière) (que nous en arriverions là) ; cela fait seulement 4 ans, que sur cette estrade, avec une Lega à entre 5 et 6%, un secrétaire en short et en T-shirt, avec une pelle mécanique (se présentait à vous).

Je me souviens des sourires méprisants de quelques journalistes qui se disaient « La Lega est finie » ! Un bisou à Gad Lerner. Longue vie humaine et professionnelle à lui et aussi au génie Scalfari, à Michele Santoro, à Fabio Fazio, à tous ceux qui nient l’évidence […], longue vie à eux ! C’est un bisou affectueux.

Je m’étais engagé à ce que tous les enfants aient une place en crèche à la rentrée scolaire de septembre et je ferai tout mon possible pour que tous les enfants de ce pays entrent à la garderie en septembre accompagnés de leur maman et de leur papa. [..]

Ces 4 dernières années, combien de choses sont arrivées ! Qui aurait pensé que nous aurions gagné non seulement au Frioul et en Vénétie mais aussi au Val d’Aoste pour la première fois de l’histoire et en Molise et en Sicile ? Qui aurait pensé qu’il y aurait un syndic de la lega à Pise ou à Terni après 60 ans de rouge ? […..]

55’17’’ Je vous demande de ne pas regarder les sondages. Ne regardez pas les sondages. Ils font exprès de les montrer négatifs avant les élections [pour tromper les gens]. […]

55’50 Le pieds bien ancrés dans la terre, 24h sur 24, les syndics, les assesseurs, les conseillers, députés et sénateurs sont au travail plus que les autres car ils ont le privilège d’être députés et sénateurs. On cherche à nous pousser à la dispute avec nos compagnons de route et de gouvernement. Ils n’y réussiront pas Je cherche toujours à être objectif. Je dois dire que ces derniers mois où j’ai fait leur connaissance et ai commencé le travail, j’ai trouvé chez les dirigeants et les ministres des Cinque Stelle des personnes honnêtes, cohérentes qui ont envie de changer ce pays. Et si « ils » pensent pouvoir nous monter les uns contre les autres, ils se trompent.

Mais celui qui décide si on ferme ou on ouvre les portes, c’est le ministre de l’Intérieur, ça marche comme ça [applaudissements]

Ne regardons pas les sondages, ne nous montons pas la tête [là, Salvini s’interrompt pour parler à une personne dans la foule]

57’57’’ J’ai pour ambition de bien faire et pour longtemps le ministre de l’Intérieur. Je suis à disposition, ma vie est à disposition de 60 millions d’Italiens et de 8000 syndics sans aucune distinction de couleur politique. Je suis évidemment le ministre de tous, du premier au dernier et j’essayerai d’écouter chacun et essayerai de donner un coup de main à tous. Pourtant, ni maintenant ni jamais je ne pourrai m’enlever du cœur la fierté et la passion d’être le secrétaire de cette merveilleuse Lega et je compte aussi le rester longtemps. [pause, Salvini parle avec quelqu’un dans la foule]

59’38’’ En tant que secrétaire de la Lega je souhaite que nous gardions cette occasion de nous rencontrer. Amis secrétaires de section, du nord au sud ne perdons pas cette occasion. Ouvrons les portes et faisons rentrer à la Lega de nouvelles personnes. N’ayons pas peur de faire entrer au siège des gens plus braves que nous qui pourra être syndic à notre place. Nous devons chercher des gens meilleurs que nous […] Nous en avons besoin. L’Italie en a besoin, la Lega en a besoin. […] Et j’attends ce moment où il y aura quelqu’un de meilleur que moi

[….]

1h01’58’’ Je termine comme j’ai commencé. Ceci n’est pas une réunion de parti ni un meeting. C’est un dimanche en famille, un dimanche de communion et de communauté où nous avons fait le point sur le peu de ce que nous avons fait. Car je l’ai dit et le répète : ne regardons pas les sondages. Si nous sommes aussi forts alors que nous venons de commencer et que nous avons encore fait peu de choses, imaginons (où nous serons) quand nous aurons fait tout ce que nous voulons faire… nous ferons 99% ? […]

1h03’06 Je considère cette rencontre comme une réunion de famille, un peu élargie, une belle réunion de famille. J’aimerais que vous emportiez chez vous l’engagement que ceci n’est pas la fin d’un parcours mais le commencement. Celui que nous avons réussi à faire dans les communes et dans les régions, nous sommes en train de le faire au niveau national et l’année prochaine nous le ferons au niveau continental. Cette famille devra s’élargir, devra croître; devra s’associer. Sachez que chacun d’entre vous est mon frère, ma sœur et que les enfants de chacun d’entre vous sont mes enfants. Je vous demande votre aide, vos conseils, et je continue à le demander avec humilité comme je l’ai fait il y a quelques mois. Certains en ont été scandalisés. Je pense que nous réussirons en combattant ici-bas mais également avec le soutien de ceux qui sont là-haut. Chacun d’entre nous le porte dans son cœur et je le porte encore plus dans le cœur, ce chapelet (il montre un chapelet) qui m’a été donné par un prêtre de banlieue, un prêtre de rue, un chapelet confectionné par une femme exploitée, par une de ces femmes qui croyait que l’Italie était un pays de cocagne, qu’en Italie il y avait des maisons et du travail pour tous ; et pour cette raison elle s’est déracinée de sa terre, Je ferai tout, pour mériter votre soutien, même le plus petit. Cette femme, comme d’autre femmes était peut-être une femme nigériane mais elle aurait aussi pu être une femme italienne. Je ferai, nous ferons tout pour que chacun puisse naître, grandir, aller à l’école, se soigner, travailler et voir naître ses enfants dans son propre pays, sans être déraciné et envoyé de l’autre côté du monde. Pour que chacun soit heureux et fier de son pays.

Avez-vous envie de jurer de ne rien lâcher jusqu’à ce que nous ayons libéré les peuples de cette Europe ? Jurez : oui ou non [la foule crie oui]. oui, ou non [foule oui], oui ou non ?

Vive la Lega, vive le peuple de Pontida. Tenons bon, allons remporter la victoire.

Merci à tous ! »

 

 

Traduction exclusive pour RL de Danielle Borer

                                                                      delitdimages.org

 

 

« ….Ces théories du complot mettent gravement en danger les valeurs de la république »

 » …Ces théories du complot mettent gravement en danger les valeurs de la république » !

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Dans la France d’après, ce genre d’assertion est notre pain quotidien !

Les troupes d’occupation mentale version US, mettent également en garde les Américains contre les terrifiantes « fake news »…

« C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie. » disent-ils en coeur.

Encore un petit effort pour démasquer tous ces tristes guignols !

 

 

 

Les faussaires de la science

Les faussaires de la science

Ah, quel bonheur qu’internet !

Les pires mensonges sont enfin mis sous la belle lumière du Bon Dieu et les faussaires de la science exposés à la vue de tous !

Suivront bientôt les faussaires de l’Histoire, sans doute les plus nuisibles (voir ici)

Le Docteur Tall Schaller nous dit ici la vérité concernant le « virus du Sida ». Merci à lui.

Il nous faut de nombreux Tall  Schaller de l’Histoire pour continuer à recouvrer notre intégrité spirituelle et intellectuelle d’Européens et guérir du sida mental dans lequel certains lobbies du mensonge historique nous ont fait mijoter !

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http://www.rethinkingaids.com/index.php/other-languages#french

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LES DIX PLUS GROS MENSONGES SUR LE SIDA: Interview du Professeur Etienne de Harven et de Monsieur Jean-Claude Roussez (ainsi que du Professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de science médicale 2008). Une émission proposée et présentée le 5/5/10 sur NoName TV par Bahran depuis le Bureau de la Dissidence.

 

Washington: Ministère de la Justice et FBI dans la tourmente.

Washington: Ministère de la Justice et FBI dans la tourmente.

Excellent article de Charles Gave qui est bien renseigné sur ce qui se passe aux USA.

Voici ce que vous n’entendrez pas sur France-intox ou sur les écrans de l’Eglise Cathodique .

Ce qui se passe là-bas est décidément très intéressant:

Il est en train de se passer des choses proprement inouïes au Etats-Unis et bien entendu la presse française n’est au courant de rien puisque le New York Times n’en parle pas.

Je vais essayer de résumer du mieux que je le peux ce que je crois avoir compris mais comme de nouveaux développements ont lieu tous les jours, rien n’est encore inscrit dans le marbre.
La thèse centrale est la suivante: il y aurait eu un véritable complot unissant les responsables du ministère de la Justice aux dirigeants du FBI pour essayer de faire gagner à tout prix madame Clinton et donc perdre monsieur Trump.
Et ce complot aurait continué une fois l’élection passée, le but étant d’obtenir une procédure de destitution du Président Trump pour collusion avec l’ennemi que serait la Russie de Poutine
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Pour démontrer cette collusion , le parti démocrate aurait fait appel à une firme assez douteuse appelle « Fusion », dont la spécialité est d’aller chercher des trucs dégueulasses sur les candidats républicains.
« Fusion » fit appel à une ex barbouze britannique, ancien chef de poste à Moscou, où il avait gardé de bons amis et un « dossier » fut produit, rempli de saloperies sur les exploits sexuels de monsieur Trump à Moscou.
Et tout le monde de se rendre compte qu’il n’y avait rien de vrai la dedans.
Ça c’est la première version.

La deuxième qui vient se sortir est infiniment plus sinistre
Au ministère de la Justice se trouve un homme très haut placé, monsieur Ohr.
Il semble qu’il ait eu des contacts avec Fusion bien avant que le parti démocrate ne s’y intéresse.
Et l’épouse de ce personnage, spécialiste de la Russie, jusqu’ à l’été 2016 travaillait chez… « Fusion ».
De là à penser que tout ce petit monde, démocrates, Clinton, ministère de la Justice , « Fusion » travaillaient tous ensemble et depuis très longtemps, il n’ y qu’un pas que les élus républicains sont en train de faire avec allégresse.
Et ce genre de relations laissent en générale des traces écrites ou comptables…
Et bien entendu , Monsieur Ohr n’avait prévenu personne de ses contacts avec « Fusion », ce qui est illégal.

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Mais il y a pire:

Le numéro quatre au FBI est un certain Peter Strzok et c’est lui qui était chargé de mener l’enquête sur les irrégularités de madame Clinton ayant utilisé un serveur non protégé quand elle était ministre des affaires étrangères.
Ce remarquable personnage fit preuve de la plus grande indulgence vis à vis de Madame Clinton.
Et de l’interroger sans lui faire prêter serment , et de rédiger des conclusions l’innocentant alors même que l’enquête n’était même pas finie… et cette mansuétude alla jusqu’à changer les conclusions de son équipe à la fin de l’enquête, de « grossly negligent » , qui impliquait la prison pour Madame Clinton à » extrêmement légère » qui n’avait aucune conséquence juridique.
Et Monsieur Comey de se coucher tranquillement et d’accepter ce changement qui blanchissait Madame Clinton, sans rien dire.
Mais il y pire: ce brave Monsieur Strokz avait une maîtresse au service juridique du FBI avec laquellle il a échangé plus de 10000 emails en quelques mois.

Dans plusieurs de ces email , il parle de réunions dans le bureau du numéro deux du FBI , Monsieur McCabe, pendant lesquelles étaient discutés les plans pour dégommer Monsieur Trump, lui même se faisant fort de faire le nécessaire pour « sauver les USA »
Et il il y a des traces écrites de ces discussions, que le Congrès réclame à cors et à cris…
Or ce brave Monsieur McCabe était un ami personnel des Clinton, et le parti démocrate avait du coup remis 650.000 dollars à Madame Mc Cabe pour qu’elle fasse campagne en Virginie…ce qui est gigantesque pour une élection locale.
La corruption et l’abus de pouvoir apparaissent évidents.

Et qui plus est, il se murmure que Monsieur Strzok aurait utilisé le faux dossier fabriqué par l’ancien des services secrets britanniques pour solliciter le droit de faire mettre sur écoutes le candidat Trump et toutes ses équipes.
Si cela est prouvé, cet homme finira sa vie en prison.

Mentir sous serment en produisant des documents que l’on a fabriqué soi même est passible de la prison à perpétuité.

Or Monsieur Trump fut mis sous écoute, tout le monde le sait.
Si ç’est Monsieur Strzok qui a introduit la demande pour les écoutes, il est foutu mais il a beaucoup de choses à raconter.
Et si c’est Monsieur Comey, c’est encore pire.
Si c’est la ministre de la justice d’Obama, nous avons une crise de régime.
Et pourtant c’est encore ce Monsieur Strzok qui a été sélectionné par le procureur spécial Monsieur Mueller, pour prouver les liens entre Trump et Poutine.

On n’ y croit pas tellement cela paraît gros…

Et toute l’opération Mueller du coup apparaît comme une preuve de plus de ce complot du FBI et du ministère de la Justice contre le Président élu puisque Mueller et Comey sont les meilleurs amis du monde.
La question que ces révélations amène à se poser est donc toute simple: avons nous assisté ala première tentative de coup d’etat aux USA depuis les débuts de la République?
Et cette tentative aurait unie le FBI, la CIA , le ministère de la Justice, le parti démocrate, le président Obama et son ministre de la Justice Loretta Lynch et quelques sous-fifres.
Voilà qui est infiniment plus grave que Watergate et qui pourrait amener à une déroute sans pareille des oints du Seigneur américains, car aussi bien le FBI que le ministère de la Justice sont sous le contrôle du congrès, même si les juges ne le sont pas.
Et tout ce joli monde pourrait se retrouver en prison assez rapidement, surtout si l’un ou l’autre se mettent à parler pour éviter d’y finir leurs jours.

Il s’ agit donc d’une affaire immense mettant en danger ce qu’ il est convenu d’appeler « l’ État profond » et la structure même des institutions aux USA.

Et dire que si Madame Clinton avait été élue, nous n’aurions jamais rien su de tout cela.

On l’ a échappé belle…

Mais la bataille ne fait que commencer, elle est loin d’être gagnée et j’aurais sûrement l’occasion d’en reparler.

La bagarre va être féroce et les élections de 2018 porteront la dessus, sans aucun doute.
On est quand même drôlement content de vivre en France ou ce genre d’interventions de la Justice pour faire élire ou battre un candidat est inenvisageable.
Et du coup, nos ODS restent bien en place, et notre État profond impavide.

Ouf.

Charles Gave

http://institutdeslibertes.org

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Franc-maçonnerie: Ils témoignent.

 Franc-maçonnerie: Ils en sont sortis et ils témoignent:

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Il est urgent que le grand nombre prenne conscience du rôle majeur que joue cette secte criminelle omniprésente et drapée dans son inaltérable « humanisme », dans l’effondrement de notre civilisation.

Il est incroyable que si peu de personnes soient encore informées de cette nuisance proteïforme  qu’est la maçonnerie, à l’origine de la majorité de nos troubles et de nos souffrances collectives.

Il paraît inconcevable qu’il n’existe aucun mouvement d’une quelconque importance réclamant la séparation de la maçonnerie et de l’état ! Tout au contraire, les grands corps d’état garants traditionnels de la sécurité, de la Justice et du Bien commun sont contaminés aux plus hauts niveaux de leur hiérarchie.

Ceux qui sont sortis de cette mafia occulte, coeur de leur « république », et qui témoignent ouvertement font preuve d’un grand courage. Leur vie professionnelle et sociale est terminée ! Faisons connaître et circuler leur témoignage.

En effet plutôt que de nous disperser en combats multiples, parfois contradictoires, sans doute serions-nous mieux inspirés de simplement mettre en lumière cette entité qui s’en préserve à tout prix depuis 1723 !

Leur guerre contre les peuples, le nôtre comme les autres, est sans merci.

Les armes de la franc-maçonnerie sont le secret, l’ombre, la forgerie, le mensonge, la manipulation… Ces armes de base leur procurent seulement ensuite argent et pouvoir.

Les exposer à la lumière revient de facto à les priver de toutes.

Qu’attendons-nous ?

 

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Ci-dessous quelques vidéos éloquentes.

 

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