Secte satanique et mafia khazare

mafia khazare

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Le monde est géré par une secte satanique, la mafia khazare.

 

Secte satanique… mafia khazare…

Ces mots vous choquent ? Ils vous semblent incongrus ?

Vous imaginez que Secte satanique, ça date du Moyen-Age et de l’Inquisition ? Une mafia Khazare, ça ne vous dit rien ?? Oui, c’est vrai, ça ne fait pas les Unes comme la « mafia russe » ou autres petits amateurs sans envergure…

Si ces termes ne vous disent rien, si vous pensez à du complotisme de bas étage, je vous invite à y réfléchir à deux fois… et surtout à vous documenter de façon un peu complémentaire à côté des connaissances que vous pouvez avoir par ailleurs…

Le gars qui a fait cette vidéo nomme un chat, un chat. Ainsi Youtube a fait disparaître sa chaîne. D’autres l’ont remis en ligne. Aussi vous pouvez encore la visionner. Si elle disparaît à nouveau, recherchez sur VK: Michael Koestler.

Bonne réflexions !

 

 

 

Final relocation report for refugees !

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« Final relocation report for refugees » est le titre d’un document de 144 pages réalisé par deux « cabinets spécialisés » à la demande de l’EU en 2010…

 

Asseyez-vous avant de commencer la lecture de cet article !

Nous savions déjà que les grands psychopathes qui nous gouvernent ou le prétendent, veulent noyer les peuples d’Europe sous une immigration tous azimuts. Ce n’est certes pas un scoop. Ce document (en anglais of course) tend à le démontrer d’inquiétante façon.

Il comporte de nombreux tableaux de statistiques comparatives des 27 Etats de l’Union, avec surface des pays, nombre d’habitants, donc densité actuelle, revenu par tête,etc… Et puis, et c’est là où ça devient « intéressant » on trouve des projections de différents cas de figures.

La page 112 nous offre ce tableau où l’on voit une France dotée à terme de 486.376.791 habitants ! Presque 500 Millions d’habitants !!!

 

« EU Final relocation report for refugees » page 112

 

Alors… Soit je n’ai pas pigé un truc ???, et dans ce cas, laissez moi vos commentaires éclairés, soit …Ils sont encore plus fous dangereux qu’on ne peut même en concevoir le degré !

Bon il est vrai que l’Allemagne vient tout juste de créer un salaire « spécial migrant » à 0.80 €/heure (Source Europe 1) !

 

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Génial, non !

 

500 millions de larves grouillantes et entassées se bagarrant pour manger du « Soleil Vert« : Voilà donc l’avenir de notre peuple si les disciples d’Attali et de Sorros ont vraiment cela dans les cartons.

 

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Le film « Soleil Vert » en 1973

 

 

Arnaque du système bancaire

Système bancaire:

« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
Henry Ford

 

Article d’Alain Pilote, paru dans « Vers Demain » de juillet-août 1985:

 

La dictature des banquiers et leur système bancaire d’argent-dette ne se limite pas seulement au Canada, mais s’étend dans tous les pays du monde. En effet, il suffirait qu’un seul pays se libère de cette dictature et donne l’exemple de ce que pourrait être un système d’argent honnête, émis sans intérêt et sans dette par le gouvernement souverain de la nation, pour que le système d’argent-dette des banquiers s’écroule dans le monde entier.

Cette lutte des Financiers internationaux pour installer leur système bancaire frauduleux d’argent-dette a été particulièrement virulente aux Etats-Unis depuis le tout début de leur existence, où les faits montrent que plusieurs hommes d’Etat américains étaient bien au courant du système d’argent malhonnête que les Financiers voulaient imposer et de tous les malheurs qu’il entraînerait pour l’Amérique. Ces hommes d’Etat étaient de véritables patriotes, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour conserver aux Etats-Unis un système d’argent honnête, libre du contrôle des Financiers. Les Financiers font tout pour tenir cachée cette facette de l’histoire des Etats-Unis, de peur que l’exemple de ces patriotes ne soit suivi encore aujourd’hui. Voici ces faits que les Financiers voudraient que la population ignore :

Benjamin Franklin

 

La population la plus heureuse

Nous sommes en 1750. Les Etats-Unis d’Amérique n’existent pas encore ; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la « Nouvelle-Angleterre », possession de la mère-patrie, l’Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps : « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe. » Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie :

« C’est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l’appelons Colonial Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d’achat et nous n’avons aucun intérêt à payer à personne. »

Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d’or et d’argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié.

« En un an, dit Franklin, les conditions changèrent tellement que l’ère de prospérité se termina, et une dépression s’installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs. »

Alors advint la guerre contre l’Angleterre et la déclaration d’indépendance des Etats-Unis, en 1776. Les manuels d’histoire enseignent faussement que la Révolution Américaine était due à la taxe sur le thé. Mais Franklin déclara : « Les colonies auraient volontiers supporté l’insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement : ce qui a créé dans les colonies la haine de l’Angleterre et causé la guerre de la Révolution. »

Les Pères Fondateurs des Etats-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l’exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américaine, signée à Philadelphie en 1787, dans l’article 1, section 8, paragraphe 5 : « C’est au Congrès qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur. »

 

Le système bancaire des banquiers

Mais les banquiers ne lâchèrent pas le morceau. Leur représentant, Alexander Hamilton, fut nommé Secrétaire du Trésor (l’équivalent de notre ministre des Finances) dans le cabinet de George Washington, et se fit l’avocat d’une banque nationale privée et de la création d’un argent-dette avec de faux arguments, tels que : « Une dette nationale, pourvu qu’elle ne soit pas excessive, est une bénédiction nationale… Le gouvernement se montrera sage en renonçant à l’usage d’un expédient aussi séduisant et dangereux, soit d’émettre son propre papier-monnaie. » Hamilton leur fit aussi accroire que seul l’argent-dette des banques privées était valable pour les transactions avec les pays étrangers.

Thomas Jefferson, le Secrétaire d’Etat, était fortement opposé à ce projet, mais le président Washington se laissa finalement convaincre par les arguments d’Hamilton. Une banque nationale fut donc créée en 1791, la « Bank of the United States », avec une charte d’une durée de 20 ans. Quoique nommée « Banque des Etats-Unis », elle était plus véritablement la « banque des banquiers », puisqu’elle n’appartenait pas du tout à la nation, au gouvernement américain, mais aux individus détenteurs des actions de la banque, les banquiers privés. Le nom de « banque des Etats-Unis » fut délibérément choisi dans le but de laisser croire à la population américaine qu’elle était propriétaire de la banque, ce qui n’était pas du tout le cas. La charte expira en 1811 et le Congrès vota contre son renouvellement, grâce à l’influence de Jefferson et d’Andrew Jackson :

« Si le Congrès, dit Jackson, a le droit d’après la Constitution d’émettre du papier-monnaie, ce droit leur a été donné pour être utilisé par eux seuls, non pas pour être délégué à des individus ou des compagnies privées. »

Ainsi se terminait l’histoire de la première Banque des Etats-Unis, mais les banquiers n’avaient pas dit leur dernier mot.

 

Les banquiers déclenchent la guerre

Nathan Rothschild, de la Banque d’Angleterre, lança un ultimatum : « Ou bien le renouvellement de la charte est accordé, ou bien les Etats-Unis sont impliqués dans une guerre très désastreuse. »

Jackson et les patriotes américains ne se doutaient pas que le pouvoir des banquiers pouvait s’étendre jusque-là.

« Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur dit le président Jackson. J’ai l’intention de vous déloger, et par le Dieu Eternel, je le ferai ! »

Nathan Rothschild émit des ordres : « Donnez une leçon à ces impudents Américains. Ramenez-les au statut de colonie. »

Le gouvernement anglais déclencha la guerre de 1812 contre les Etats-Unis. Le plan de Rothschild était d’appauvrir les Américains par la guerre à un tel point qu’ils seraient obligés de demander de l’aide financière… qui bien sûr ne serait accordée qu’en retour du renouvellement de la charte de la « Bank of the United States ».

Il y eut des milliers de morts, mais qu’importe à Rothschild ? Il avait atteint son but : la charte fut renouvelée en 1816.

 

On assassine Abraham Lincoln

Abraham Lincoln

Abraham Lincoln fut élu Président des Etats-Unis en 1860 avec la promesse d’abolir l’esclavage des Noirs. 11 Etats du Sud, favorables à l’esclavage des Noirs, décidèrent donc de quitter l’Union, de se séparer des Etats-Unis : ce fut le début de la Guerre de Sécession, ou Guerre Civile Américaine (1861-65). Lincoln, étant à court d’argent pour financer les armées du Nord, partit voir les banquiers de New-York, qui lui offrirent de l’argent à des taux allant de 24 à 36%. Lincoln refusa, sachant parfaitement que c’était de l’usure et que cela mènerait les Etats-Unis à la ruine. Mais son problème d’argent n’était pas réglé pour autant.

Son ami de Chicago, le Colonel Dick Taylor, vint à la rescousse et lui suggéra la solution : « Que le Congrès passe une loi autorisant l’émission de billets du Trésor ayant plein cours légal, payez vos soldats avec ces billets, allez de l’avant et gagnez votre guerre. »

C’est ce que Lincoln fit, et il gagna la guerre : de 1862 à 1863, Lincoln fit émettre 450 millions $ de « Greenbacks » (appelés ainsi par la population parce qu’ils étaient imprimés avec de l’encre verte au verso).

Lincoln appela ces greenbacks « la plus grande bénédiction que le peuple américain ait jamais eue. » Bénédiction pour tous, sauf pour les banquiers, puisque cela mettait fin à leur « racket » du vol du crédit de la nation et de création d’argent avec intérêt. Ils mirent donc tout en oeuvre pour saboter l’oeuvre de Lincoln. Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times (citation tirée de « Who Rules America », par C. K. Howe, et reproduite dans « Lincoln Money Martyred », par R. E. Search) :

« Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe. »(La « monarchie » des contrôleurs du crédit, les Banksters.)

Tout d’abord, dans le but de discréditer les Greenbacks, les banquiers persuadèrent le Congrès de voter , en février 1862, la « Clause d’Exception », qui stipulait que les Greenbacks ne pouvaient être utilisés pour payer l’intérêt sur la dette nationale. Ensuite, ayant financé l’élection d’assez de sénateurs et de députés, les banquiers firent voter par le Congrès en 1863 le retrait de la loi des Greenbacks et son remplacement par le National Banking Act (Loi des Banques Nationales, où l’argent serait créé avec intérêt par des compagnies privées).

Cette loi stipulait aussi que les Greenbacks seraient immédiatement retirés de la circulation aussitôt leur retour au Trésor pour paiement des taxes. Lincoln protesta énergiquement, mais son objectif le plus pressant était de gagner la guerre et de sauver l’Union, ce qui l’obligea à remettre après la guerre le veto qu’il projetait contre cette loi et l’action qu’il entendait prendre contre les banquiers. Lincoln déclara tout de même :

« J’ai deux grands ennemis : l’armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis. »

Lincoln fut réélu Président en 1864 et fit clairement savoir qu’il s’attaquerait au pouvoir des banquiers une fois la guerre terminée. La guerre se termina le 9 avril 1865, mais Lincoln fut assassiné cinq jours plus tard, le 14 avril 1865. Une formidable restriction du crédit s’ensuivit, organisée par les banques. L’argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions $ en 1866, soit 50,46 $ pour chaque Américain, tomba à 605 millions $ en 1876, soit 14,60 $ par Américain. Résultat : en dix ans, 54 446 faillites, pertes de 2 milliards $. Cela ne suffisant pas, on alla jusqu’à réduire la circulation d’argent à 6,67 $ par tête en 1867 !

 

William Jennings Bryan : « Les banques doivent se retirer »

William Jennings Bryan

L’exemple de Lincoln demeurait néanmoins dans plusieurs esprits, même jusqu’en 1896. Cette année-là, le candidat démocrate à la présidence était William Jennings Bryan, et encore une fois, les livres d’histoire nous disent que ce fut une bonne chose qu’il ne fut pas élu président, car il était contre la monnaie « saine » des banquiers, l’argent créé sous forme de dette, et contre l’étalon-or :

« Nous disons dans notre programme et nous croyons que le droit de frapper et d’émettre la monnaie est une fonction du gouvernement. Nous le croyons. Et ceux qui y sont opposés nous disent que l’émission de papier-monnaie est une fonction de la banque, et que le gouvernement doit se retirer des affaires de la banque. Eh bien ! moi je leur dis que l’émission de l’argent est une fonction du gouvernement, et que les banques doivent se retirer des affaires du gouvernement… Lorsque nous aurons rétabli la monnaie de la Constitution, toutes les autres réformes nécessaires seront possibles, mais avant que cela ne soit fait, aucune autre réforme ne peut être accomplie. »

 

Le plus gigantesque trust

Charles A. Lindbergh

Et finalement…

Le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l’argent, et remettait ce pouvoir à la « Federal Reserve Corporation ».

Un des rares membres du Congrès qui avait compris tout l’enjeu de cette loi, Charles A. Lindbergh (le père du célèbre aviateur), déclara :

« Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président (Wilson) signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire. »

 

L’éducation du peuple

Qu’est-ce qui a permis aux banquiers d’obtenir finalement le monopole complet du contrôle du crédit aux Etats-Unis ?

L’ignorance de la population sur la question monétaire !

 

John Adams écrivait à Thomas Jefferson, en 1787 :

« Toutes les perplexités, désordres et misères ne proviennent pas tant de défauts de la Constitution, du manque d’honneur ou de vertu, que d’une ignorance complète de la nature de la monnaie, du crédit et de la circulation. »

Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi des Banques Nationales :

« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d’un côté, et les banques de l’autre, dans une lutte telle que nous n’avons jamais vue dans ce pays. »

Et l’industriel Henry Ford a dit :

« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »

 

L’éducation du peuple, voilà donc la solution.

Et c’est justement la formule de « Vers Demain ». Ah ! si tous les créditistes comprenaient leur responsabilité de répandre « Vers Demain » ! Le Crédit Social, qui établirait une économie où tout est ordonné au service de la personne humaine, a justement pour but de développer la responsabilité personnelle, de créer des hommes responsables. Chaque conquête d’un esprit au « Crédit Social » est une avance. Chaque personne formée par le « Crédit Social » est une force, et chaque acquisition de force est un pas de plus vers la victoire. Et depuis 69 ans, que de forces acquises !… Et si elles étaient toutes actives, le Crédit Social, c’est réellement avant demain matin qu’on l’aurait !

Comme l’écrivait Louis Even en 1960 : « L’obstacle n’est ni le financier, ni le politicien, ni aucun adversaire déclaré. L’obstacle est seulement dans la passivité d’un trop grand nombre de créditistes qui souhaitent bien voir venir le triomphe de la cause, mais qui laissent à d’autres le soin de la promouvoir. »

Louis Even

Louis Even

En somme, c’est le refus d’endosser notre responsabilité. « A ceux qui ont beaucoup reçu, il sera beaucoup demandé. » (Luc 12, 48.) Examen de conscience, chers créditistes ! Conversion personnelle, un petit coup de coeur et endossons nos responsabilités ! Nous n’avons jamais été aussi près de la victoire !

Notre responsabilité, c’est de faire connaître le Crédit Social aux autres, en les faisant s’abonner à Vers Demain, le seul journal qui fait connaître cette brillante solution. »

Aujourd’hui, quatre-vingts-ans après le début des prédications de Louis Even, si le mouvement des gilets jaunes arrive à maîtriser la violence et à sensibiliser le grand nombre à l’imposture bancaire, nous toucherons peut-être au but: La fin de cette mafia sinistre, génératrice de tant de guerres et de révolutions meurtrières.

Cette vidéo est intéressante en ce qu’elle décortique de façon simple et avec humour le fonctionnement crapuleux à la base, de l’argent-dette de cette gigantesque escroquerie appelée « système bancaire » !

 

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L’Anti-Defamation League dans la société américaine

L’Anti-Defamation League dans la société américaine

American Pravda.

 

À notre époque, il existe sûrement peu d’organisations qui terrorisent autant les Américains influents que la Ligue anti-diffamation (Anti-Defamation League, ADL) du B’nai B’rith, un organe central de la communauté juive organisée.

Mel Gibson était l’une des stars les plus populaires à Hollywood et son film de 2004, La Passion du Christ, l’un des plus rentables, quand l’ADL et ses alliés ont détruit sa carrière. Il a par la suite fait don de millions de dollars à des groupes juifs pour retrouver une partie de son statut public. Rupert Murdoch est un titan de l’industrie médiatique, mais lorsque l’ADL a critiqué une caricature parue dans l’un de ses journaux, il a présenté ses excuses personnelles à cette organisation.

 

 

Les rédacteurs en chef de The Economist ont dû retirer une caricature analogue lorsqu’elle tomba sous le feu de l’ADL. Le milliardaire Tom Perkins, célèbre capital-risqueur de la Silicon Valley, a été forcé de s’excuser du fond du cœur après avoir été critiqué par l’ADL pour son vocabulaire dans une chronique du Wall Street Journal. Tous ces individus fiers de leur puissance ont dû être profondément mécontents d’avoir été forcés de demander un pardon aussi humiliant, mais ils l’ont fait. La liste des pénitents de l’ADL est très longue.

Compte tenu de la réputation effrayante de l’ADL et de ses activistes toujours sur le pied de guerre, beaucoup de mes lecteurs s’attendaient à ce que mon petit webzine soit complètement anéanti lorsque j’ai lancé ma série d’articles controversés au début du mois de juin de cette année, en commençant par un éloge de l’historien David Irving, depuis longtemps diabolisé par l’ADL. Pourtant, absolument rien ne s’est passé.

Au cours des trois mois suivants, mes articles se sont attaqués à presque tous les sujets défendus avec acharnement par l’ADL et ses laquais, à tel point qu’un journaliste sympathique m’a rapidement surnommé le « Kamikaze de Californie ». Pourtant, malgré mes 90 000 mots et les 13 000 commentaires qu’ils ont suscités, le silence persistant de l’ADL restait assourdissant. Entre-temps, mes articles furent lus plus d’un demi million de fois. Voici une liste des articles les plus provocants :

Lorsque la colère divine oublie de frapper un hérétique et que les terribles gardiens de la bien-pensance semblent avoir soudain perdu le goût de la bataille, d’autres hérétiques ne tardent pas à en s’en apercevoir et à s’enhardir. Les principaux sites pro-russes et libertariens tels que Russia Insider et LewRockwell ont republié certains des articles les plus controversés de ma série « American Pravda », attirant ainsi l’attention d’un public plus large sur mes affirmations factuelles. Après la conclusion de ma série, j’ai commencé à ridiculiser la pusillanimité de l’ADL, en publiant une courte rubrique intitulée « L’ADL se cache-t-elle ? », qui a conduit l’intrépide Paul Craig Roberts à me qualifier de « l’homme le plus courageux que je connaisse ».

Apparemment, la combinaison de tous ces facteurs a fini par devenir trop inquiétante pour l’ADL et, sortant de leur cachette secrète, ses militants ont enfin publié une condamnation courte et plutôt molle de mes écrits, qui ne m’impressionne guère. Il y a quelques jours, ils ont tweeté leur déclaration, avec une photo de leur nouvel ennemi :

L’homme d’affaires californien Ron Unz finance depuis longtemps des militants anti-israéliens. Il embrasse maintenant le #antiSemitism hardcore, nie l’Holocauste et prétend que des Juifs dirigent les médias et vénèrent Satan. En savoir plus auprès de nos experts:https://t.co/KnngID3YCh

— ADL (@ADL_National) October 8, 2018

L’ADL peut s’enorgueillir d’un budget annuel de 60 millions de dollars et de plusieurs centaines d’employés à plein temps, mais ses compétences en matière de recherche semblent faire cruellement défaut. Ils entament leur réprimande en me dénonçant comme un « militant anti-immigrés » notoire. Voilà qui est étrange, puisque j’ai publié environ un quart de million de mots sur ce sujet controversé au cours des vingt-cinq dernières années − tout cela entièrement consultable en ligne − et que mon point de vue n’a jamais été caractérisé de cette façon.

Pour ne citer qu’un exemple, mon article intitulé « La Californie et la fin de l’Amérique blanche » a été publié en 1999 dans Commentary, la publication phare de l’American Jewish Committee, et quiconque le lira sera extrêmement étonné par la description de l’ADL. Quelques années auparavant, en octobre 1994, j’étais l’un desprincipaux orateurs de la manifestation pro-immigrants au centre-ville de Los Angeles, un rassemblement politique de 70 000 personnes qui reste à ce jour le plus important de ce genre dans l’histoire américaine.

Au cours de ces années, mes activités politiques ont fait l’objet de plusieurs milliers d’articles dans les médias grand public, dont une demi-douzaine d’articles en première page du New York Times. Ces articles fourniraient un tableau similaire, à l’instar de celui du New Republicchroniquant mes succès en Californie. De plus, mes points de vue sur les immigrés n’ont pas beaucoup changé au fil des ans, comme le montrent mes articles plus récents tels que « Le mythe du crime hispanique », « L’immigration, les Républicains et la fin de l’Amérique blanche » et « Une grande entente sur l’immigration ? ». Les intrépides enquêteurs de l’ADL devraient peut-être se familiariser avec un nouvel outil technologique puissant appelé « Google ».

Je ne suis pas davantage impressionné lorsqu’ils me reprochent de m’être appuyé sur les écrits d’Israël Shahak, qu’ils qualifient vicieusement « d’antisémite ». Comme je l’ai souvent souligné, mon incompétence totale en araméen et en hébreu me contraint à m’appuyer sur la recherche des spécialistes, et le regretté professeur Shahak, un universitaire israélien primé, est une excellente source. Le célèbre linguiste Noam Chomsky avait loué ses travaux pour leur « érudition exceptionnelle », et nombre d’autres intellectuels très en vue, comme Christopher Hitchens, Edward Saïd et Gore Vidal, avaient été tout aussi généreux dans leurs éloges. De plus, l’un des coauteurs de Shahak étaitNorton Mezvinsky, un universitaire américain spécialisé dans l’histoire du Moyen-Orient, dont le frère et la belle-sœur ont servi au Congrès et dont le neveu a épousé plus tard Chelsea Clinton. Et autant que je sache, presque aucune des affirmations de Shahak sur le Talmud ou le judaïsme traditionnel n’a été directement contestée, alors que la disponibilité en lignede son premier livre permet à ceux qui sont intéressés de le lire facilement et de décider par eux-mêmes.

L’ADL m’a également dénoncé pour avoir pris au sérieux les théories d’Ariel Toaff, un autre universitaire israélien. Mais le professeur Toaff, fils du grand rabbin de Rome, figure parmi les plus grandes autorités scientifiques au monde dans le domaine de la communauté juive médiévale. Avec ses étudiants doctorants et d’autres collègues, il a consacré de nombreuses années à étudier ces questions, en s’appuyant sur une grande quantité de sources primaires et secondaires produites dans huit langues différentes. J’ai trouvé son livre de 500 pages tout à fait convaincant, à l’instar du journaliste israélien Israel Shamir, et je n’ai vu aucune réfutation crédible.

Il se peut que les conclusions de tous ces éminents universitaires et intellectuels ne soit pas intégralement correctes, et que je me trompe en les acceptant. Mais pour m’en convaincre, il me faudrait quelque chose de beaucoup plus substantiel qu’une condamnation de principe en quelques paragraphes dans un article anonyme de l’ADL, dont l’auteur, pour autant que je sache, n’est peut-être qu’un jeune stagiaire ignorant.

Cela mis à part, le reste du catalogue de mes nombreuses positions hérétiques dénoncées par l’ADL m’a semblé relativement exact, bien que présenté de manière plutôt hostile et péjorative et sans renvois hypertextes à mes écrits. Mais même cette énumération décousue de mes transgressions mortelles était incomplète, car l’ADL a curieusement omis d’inclure la mention de certaines de mes affirmations les plus controversées.

Par exemple, les auteurs ont exclu toute référence à ma discussion sur le partenariat économique parfaitement documenté entre nazis et sionistesdans les années 1930, qui a joué un rôle crucial pour jeter les bases de l’État d’Israël. De même, l’ADL a évité de mentionner les près de 20 000 mots que j’ai consacrés aux preuves que le Mossad israélien avait joué un rôle central dans l’assassinat de JFK et dans les attentats du 11 septembre. C’est bien l’une des rares fois où l’ADL a oublié de lancer l’accusation de « théoricien du complot » à l’encontre d’un adversaire qu’il aurait pu si facilement dénigrer de cette façon. Il a peut-être estimé que les preuves que j’avais fournies étaient trop solides pour pouvoir être contestées efficacement.

L’inquiétante incompétence des chercheurs de l’ADL devient particulièrement alarmante lorsque l’on considère qu’au cours des deux dernières années, cette organisation a été élevée au rang de censeur des plus grandes sociétés Internet américaines, avec pouvoir de déterminer ce qui peut ou ne peut pas être dit sur Facebook, YouTube ou Twitter.

Mon journal local, le San Jose Mercury News, a publié il y a quelques semaines un entretien avec Brittan Heller, chargée à l’ADL de la surveillance des « discours de haine » dans la zone américaine d’Internet. Cette jeune femme d’une trentaine d’années, diplômée de Stanford et de Yale, vit dans la Silicon Valley avec son mari et ses deux chats, Luna et Stella. Elle souligne sa propre expérience en tant que victime de cyber-harcèlement de la part d’un autre étudiant dont elle a rejeté les avances, ainsi que l’expertise qu’elle a acquise plus tard en tant que chasseuse de nazis pour le compte du gouvernement américain. Mais ce curriculum vitae lui donne-t-il vraiment la connaissance infuse lui permettant de déroger à notre Premier Amendement en déterminant quels points de vue et quelles personnes devraient être autorisés à avoir accès à quelque deux milliards de lecteurs dans le monde ?

La situation présente également un aspect beaucoup plus grave. Le choix de l’ADL comme principal responsable de la surveillance idéologique de l’Internet américain peut sembler naturel et approprié aux Américains ignorants sur le plan politique, catégorie qui regroupe malheureusement les cadres supérieurs qui dirigent les entreprises concernées. Mais cela reflète la lâcheté et la malhonnêteté des médias américains dont tous ces individus tirent leur connaissance de notre monde. La véritable histoire de l’ADL est remarquablement sordide et peu recommandable.

En janvier 1993, le département de police de San Francisco (SFPD) a annoncé qu’il avait effectué une descente au siège de l’ADL en Californie du Nord, sur la base d’informations fournies par le FBI. Le SFPD a découvert que l’organisation conservait des fichiers de renseignements sur plus de 600 organisations civiques et 10 000 personnes, majoritairement de gauche. L’inspecteur du SFPD estimait que 75% du matériel avait été obtenu de manière illégale, essentiellement par des pots de vin à des fonctionnaires de police. Il ne s’agissait que de la partie visible de l’iceberg de ce qui constituait clairement la plus grande opération d’espionnage domestique menée par une organisation privée dans l’histoire des États-Unis. Selon certaines sources, des agents de l’ADL auraient pris pour cibles plus de 1 000 organisations politiques, religieuses, syndicales et sociales, tandis que le siège de l’ADL à New York conserve des dossiers actifs sur plus d’un million d’Américains.

Peu de temps après, un responsable de l’ACLU (American Civil Liberties Union), qui occupait auparavant un poste de haut niveau au sein de l’ADL, a révélé que cette organisation avait été à l’origine de la surveillance très controversée de Martin Luther King, Jr. dans années 1960, et en avait fourni les enregistrements au directeur du FBI, J. Edgar Hoover. Pendant des années, Hoover a été furieusement dénoncé dans les médias nationaux pour son utilisation de bandes magnétiques et d’autres informations secrètes sur les activités de King, mais lorsqu’un journal de San Francisco révèle que ces matériaux sordides provenaient des opérations d’espionnage illégales de l’ADL, la nouvelle a été totalement ignorée par les médias nationaux et n’a été rapportée que par des organisations marginales, de sorte qu’aujourd’hui presque aucun Américain n’est au courant.

À ma connaissance, aucune autre organisation, dans l’histoire américaine, n’a été impliquée à une telle échelle dans l’espionnage domestique des groupes et des personnalités − de gauche comme de droite − soupçonnés d’être insuffisamment alignés sur les intérêts juifs et israéliens. Certaines des données trouvées en possession illégale de l’ADL ont même fait naître le soupçon qu’elle a pu jouer un rôle dans certaines attaques terroristes et des assassinats politiques contre des dirigeants étrangers. Je ne suis pas un expert juridique, mais compte tenu de l’ampleur des activités illégales de l’ADL, je me demande si l’organisation n’aurait pas dû être poursuivie aux termes de la loi fédérale du Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act, et tous ses dirigeants condamnés à de longues peines de prison.

Au lieu de cela, les charges pesant contre l’ADL furent rapidement abandonnées et elle s’en tira avec une simple amende et une réprimande de principe, ce qui démontre parfaitement l’impunité quasi totale dont bénéficie le pouvoir politique juif dans la société américaine moderne.

En réalité, l’ADL fonctionne depuis longtemps comme la police politique secrète privatisée de notre pays, surveillant et imposant ses doctrines idéologiques pour le compte de groupes juifs, un peu comme le faisait la Stasi pour le compte des dirigeants communistes de l’Allemagne de l’Est. Compte tenu de la longue histoire de ses activités criminelles, permettre à l’ADL d’étendre son contrôle à nos plus grandes plate-formes de médias sociaux pourrait se comparer à l’idée de confier à la mafia le soin de superviser le FBI et la NSA. C’est faire un très grand pas dans la direction du « Ministère de la Vérité » de George Orwell, au profit des intérêts juifs.

Dans ses mémoires publiées en 1981, le très conservateur professeur Revilo P. Oliver a décrit l’ADL comme « la formidable organisation de cow-boys juifs qui conduit le troupeau du bétail américain ». Cela me semble une description assez juste.

Bien que je connaisse depuis longtemps le pouvoir et l’influence de l’ADL, une organisation militante juive de premier plan dont les dirigeants sont régulièrement cités dans mes journaux, je n’avais jusqu’à récemment qu’une notion assez vague de son origine. Je suis sûr de l’avoir entendu mentionner quelque part, mais le récit n’était pas resté dans ma mémoire.

Mais il y a peut-être un an ou deux, je suis tombé sur un article concernant la célébration du centenaire de l’ADL en 2013, au cours de laquelle les dirigeants ont réaffirmé les principes de sa fondation en 1913. L’impulsion initiale, ai-je alors appris, avait été l’effort national visant à sauver la vie de Leo Frank, un jeune Juif de l’État de Géorgie injustement accusé de meurtre et finalement lynché par une foule antisémite. Peu de temps auparavant, le nom de Leo Frank n’aurait évoqué qu’une vague idée dans mon esprit : je me souvenais simplement que les manuels d’histoire le présentaient comme l’une des victimes les plus remarquables des débuts du Ku Klux Klan dans le Sud profond des États-Unis au début du vingtième siècle. Cependant, peu de temps avant de lire cet article sur l’ADL, j’avais lu l’étude très respectée d’Albert Lindemann, The Jew Accused, et son court chapitre sur l’affaire tristement célèbre de Frank avait commencé à ébranler mes idées préconçues.

Tout d’abord, Lindemann a démontré qu’il n’existait aucune indication que l’arrestation et la condamnation de Frank étaient liées à un quelconque antisémitisme. Les juifs formaient à l’époque une part très appréciée de la riche société d’Atlanta, et aucune référence aux origines juives de Frank n’était apparue dans les médias avant le procès, que ce soit négativement ou positivement. Cinq des grands jurés qui ont voté pour déclarer Frank coupable de meurtre étaient eux-mêmes juifs, et aucun d’entre eux n’a jamais regretté sa décision. Ce sont surtout des juifs de New York et d’autres régions éloignées d’Atlanta qui se sont mobilisés pour soutenir Frank, tandis que son soutien parmi les juifs d’Atlanta, qui connaissaient la situation locale, était très faible.

En outre, bien que Lindemann s’accorde avec ses sources secondaires pour conclure que Frank était innocent des accusations de viol et de meurtre, les faits qu’il relate m’ont conduit à la conclusion opposée ; ils concourent selon moi à prouver la culpabilité de Frank. Lorsque j’ai lu beaucoup plus récemment l’étude historique plus longue et plus complète de Lindemann sur l’antisémitisme, Esau’s Tears, j’ai remarqué que son traitement abrégé de l’affaire Frank ne contenait plus aucune affirmation de l’innocence de Frank, ce qui suggère que l’auteur s’est mis à douter de son interprétation antérieure du dossier.

Sur la base de ces informations, j’ai exprimé mes doutes sur ce cas célèbre dans mon récent article sur l’antisémitisme historique, mais mes conclusions étaient encore incertaines et prudentes, car elles reposaient sur le résumé que Lindermann faisait des éléments fournis dans les sources secondaires qu’il avait utilisées, et j’avais l’impression que pratiquement tous ceux qui avaient enquêté de près sur l’affaire Frank avaient conclu à l’innocence de l’inculpé. Mais après la parution de mon article, quelqu’un m’a signalé un livre de 2016 qui plaidait pour la culpabilité de Frank. Maintenant que j’ai commandé et lu ce volume, ma compréhension de l’affaire Frank et de sa signification historique a été entièrement transformée.

Les éditeurs traditionnels rejettent souvent des manuscrits trop en contradiction avec les dogmes en vigueur, et les faibles ventes qu’on peut attendre d’un tel livre sont souvent insuffisantes pour encourager des recherches approfondies. En outre, les auteurs et les éditeurs peuvent craindre de subir une campagne de diffamation pour leurs positions. Pour ces raisons, ceux qui publient de tels documents controversés sont généralement motivés par des convictions idéologiques profondes plutôt que par la recherche d’un profit professionnel ou d’un enrichissement personnel. À titre d’exemple, il a fallu un gauchiste trotskyste zélé tel que Lenni Brunner pour affronter le risque d’attaques féroces et investir le temps et les efforts nécessaires à la réalisation de son étude remarquable sur le crucial partenariat nazi-sioniste des années 1930. Pour des raisons similaires, il n’est pas surprenant que le livre qui plaide pour la culpabilité de Leo Frank soit paru dans une série consacrée aux aspects pernicieux des relations historiques entre juifs et noirs, produite par la Nation of Islam (NOI) de Louis Farrakhan, et que ce volume, comme les autres de la série, ne comportait pas d’auteur identifié.

La lecture d’œuvres anonymes publiées par des mouvements politico-religieux fortement diabolisés exige naturellement beaucoup de prudence, mais lorsque j’ai commencé à lire les 500 pages de The Leo Frank Case : The Lynching of a Guilty Man  (« L’affaire Leo Frank. Le lynchage d’un homme coupable »), j’ai été très impressionné par la qualité de l’analyse historique. Je pense n’avoir que très rarement rencontré une monographie sur un événement historique controversé qui fournissait une telle richesse d’analyses si soigneusement argumentées, étayées par des preuves aussi nombreuses. Les auteurs maîtrisent parfaitement la littérature secondaire majeure des cent dernières années, tout en puisant abondamment dans les différentes sources primaires, notamment les archives judiciaires, les correspondances personnelles et les publications contemporaines de l’affaire. L’immense majorité des 1200 notes de bas de page fait référence à des articles de journaux et magazines de cette époque. Les preuves qu’apportent les auteurs de la culpabilité de Frank m’ont semblé absolument écrasantes.

Le déroulement des événements n’est pas sujet à débat. En 1913, Mary Phagan, âgée de 13 ans, ouvrière dans une compagnie de crayons de couleur, a été vue vivante pour la dernière fois lorsqu’elle se rendait au bureau du directeur de l’usine, Leo Frank, un samedi matin, afin de récupérer son salaire hebdomadaire. Son corps a été retrouvé tôt le lendemain matin dans le sous-sol de l’usine, avec des traces de viol, et Frank a rapidement été arrêté pour le crime. Homme fortuné, et jeune président de la loge du B’nai B’rith d’Atlanta, Frank était l’un des hommes juifs les plus en vue de l’État de Géorgie. De grandes ressources ont été déployées pour sa défense légale, mais après le procès le plus long et le plus coûteux de histoire de l’État, il a été reconnu coupable et condamné à mort.

Les faits relatifs à l’affaire Frank forment un enchevêtrement complexe d’éléments de preuve et de témoignages souvent contradictoires, des déclarations sous serment étant régulièrement rétractées puis contre-rétractées. Mais pour démêler le vrai du faux, les auteurs de la Nation of Islam (NOI) insistent à juste titre sur l’ampleur des ressources financières déployées pour la défense de Frank, avant et après le procès, la quasi-totalité des fonds provenant de sources juives. Le total des dépenses des partisans de Frank pourrait atteindre l’équivalent actuel de 25 millions de dollars, ce qui est certainement un record pour une affaire d’homicide, et qui est presque inimaginable dans l’état de pauvreté du Sud des États-Unis à l’époque. Des années plus tard, un important donateur a avoué en privé qu’une grande partie de cet argent avait été consacrée à acheter des faux témoignages et autres falsifications, ce qui est tout à fait évident pour quiconque étudie l’affaire de près. Lorsque nous considérons cet océan de financement pro-Frank et les moyens sordides pour lesquels il a été déployé, les convolutions de l’affaire deviennent beaucoup moins mystérieuses.

On peut aisément identifier de très nombreux faux témoignages et de fausses preuves fabriquées en faveur de Frank, tandis qu’on ne distingue aucun signe de pratiques similaires dans l’autre camp.

La police a tout d’abord soupçonné le gardien de nuit noir qui avait retrouvé le corps de la jeune fille. Il a été rapidement arrêté et interrogé avec brutalité. Peu de temps après, une chemise ensanglantée a été trouvée à son domicile et Frank a fait plusieurs déclarations qui jetaient les soupçons sur son employé. Il s’en fallut de peu que ce suspect noir soit lynché sommairement par une foule, ce qui aurait clos le dossier. Mais il a défendu son innocence avec un calme remarquable, contrastant nettement avec le comportement extrêmement nerveux de Frank, et la police se tourna bientôt vers celui-ci. Tous les chercheurs reconnaissent maintenant que le veilleur de nuit était totalement innocent et que les indices l’incriminant avait été plantés.

Les preuves contre Frank s’accumulèrent. Il était le dernier homme à avoir vu la jeune victime et il a changé à plusieurs reprises sa version des faits sur des points importants. De nombreuses anciennes employées ont signalé sa longue histoire de harcèlement sexuel à leur égard, et envers la fille assassinée elle-même. Frank a déclaré qu’au moment du meurtre, il travaillait seul dans son bureau, mais un témoin qui s’y est rendu a rapporté ne pas l’y avoir trouvé. Une foule de preuves indirectes se retournaient contre Frank.

Un domestique noir de la famille Frank a témoigné sous serment que Frank avait avoué le meurtre à sa femme le lendemain matin de son acte. Cette affirmation semblait confortée par le refus étrange de cette dernière de rendre visite à son mari en prison durant les deux semaines suivant son arrestation.
Les partisans de Frank, qui semblaient bénéficier de fonds illimités, ont loué les services de deux cabinets de détectives privés expérimentés, dont les agents, malgré tous leurs efforts pour prouver le contraire, ont finalement conclu que Frank était coupable des faits reprochés.

Tandis que l’enquête avançait, un tournant majeur s’est produit lorsqu’un certain Jim Conley, le concierge noir de Frank, a avoué l’avoir aidé à dissimuler le crime. Lors du procès, il a déclaré que Frank l’avait souvent recruté comme surveillant lors de ses nombreuses relations sexuelles avec ses employées. Après l’assassinat de Phagan, Frank lui avait offert une énorme somme d’argent pour l’aider à cacher le corps dans le sous-sol, afin que le crime puisse être imputé à quelqu’un d’autre. Mais tandis que la corde semblait se resserrer autour de Frank, Conley se mit à craindre que celui-ci fasse de lui son nouveau bouc émissaire, et confessa sa complicité aux autorités pour sauver sa peau. Malgré les accusations accablantes de Conley, Frank refusa à plusieurs reprises de le confronter en présence de la police, ce qui fut considéré comme une indication supplémentaire de la culpabilité de Frank.

Lors du procès, toutes les parties furent d’accord pour dire que le meurtrier était soit Frank, le riche homme d’affaires juif, soit Conley, le concierge noir à moitié analphabète et au passé d’ivresse publique et de petite délinquance. Les avocats de Frank ont ​​exploité au maximum le contraste entre les deux hommes, soulignant les origines juives de Frank comme présomption de son innocence et se livrant à la plus grossière invective raciale contre son accusateur noir, qu’ils affirmaient être à l’évidence le violeur et meurtrier sur la base de sa nature bestiale.

Les avocats de Frank étaient les meilleurs que l’argent puisse acheter et l’avocat général était reconnu comme l’un des interrogateurs les plus qualifiés dans les salles d’audience du Sud. Cependant, bien qu’il ait soumis Conley à seize heures de contre-interrogatoires intenses pendant trois jours, ce dernier n’a jamais varié sur les détails de son récit, ce qui a beaucoup impressionné les médias locaux et le jury. Pendant ce temps, Frank a refusé d’assister à son propre procès, évitant ainsi d’être questionné publiquement sur son propre récit changeant.

Deux notes rédigées dans un jargon typiquement noir avaient été découvertes à côté du corps de Phagan, et tout le monde s’accorda pour dire qu’elles avaient été écrites par le meurtrier dans le but de détourner les soupçons vers un autre. Elles avaient été écrites, soit par un Noir peu instruit tel que Conley, soit par un Blanc instruit cherchant à imiter ce style. L’orthographe et le choix des mots suggèrent plutôt cette seconde hypothèse, à mon avis.

À partir d’une connaissance globale du dossier, il est impossible d’adhérer à la théorie avancée par la légion des défenseurs posthumes de Frank. Ces journalistes et historiens soutiennent le récit suivant : Conley, un noir subalterne sans éducation, a violé et assassiné une jeune fille blanche, mais les autorités judiciaires ont conspiré pour l’innocenter et inculper à sa place un homme d’affaires blanc respectable. Pouvons-nous vraiment croire que les fonctionnaires de police et les procureurs d’une ville du Vieux Sud auraient trahi leur serment de magistrat pour protéger sciemment un violeur et un meurtrier noir et le relâcher dans les rues de leur ville, où il pourrait ainsi récidiver sur d’autres jeunes filles blanches ? Cette reconstruction invraisemblable est d’autant plus étrange que presque tous ceux qui l’ont défendue ont été parmi les plus fervents défenseurs des Noirs et n’ont eu de cesse de dénoncer le racisme des autorités du Sud de cette époque. Sur le cas de Frank, ces Juifs libéraux vont mystérieusement à contre-courant de leur propre théorie. Est-ce parce que Frank était juif ?

À bien des égards, l’épisode le plus important de l’affaire Frank a commencé après sa condamnation à mort, lorsqu’un grand nombre de dirigeants juifs parmi les plus riches et les plus influents d’Amérique ont commencé à se mobiliser pour le sauver de la corde. C’est alors qu’ils ont fondé l’Anti-Defamation League, qui contribua à faire de l’affaire Frank l’une des plus célèbres de l’histoire américaine.

Le nouveau soutien le plus important de Frank était Albert Lasker de Chicago, le roi incontesté de la publicité destinée aux consommateurs américains, qui faisait vivre tous les journaux et magazines grand public. Son rôle fût en grande partie dissimulé à l’époque, mais il n’a pas seulement fourni la part la plus importante des fonds pour la défense de Frank ; il a également joué de tout son poids pour influencer la couverture médiatique de l’affaire. Étant donné son influence commerciale dominante dans ce secteur, il n’est pas étonnant qu’une gigantesque vague de propagande en faveur de Frank ait déferlé à travers le pays dans des publications locales et nationales, entraînant la plupart des médias les plus populaires et les plus réputés d’Amérique, où l’on avait peine à trouver un mot sur les preuves accablantes contre Frank. Cette vague retourna même tous les principaux journaux d’Atlanta, qui inversèrent soudainement leurs positions pour se montrer maintenant convaincus de l’innocence de Frank.

Lasker a également enrôlé d’autres personnalités juives influentes dans la cause de Frank, notamment Adolph Ochs, propriétaire du New York Times,Louis Marshall, président du Comité juif américain, et Jacob Schiff, l’un des plus influents financiers de Wall Street. Le New York Times a commencé à consacrer une énorme couverture à cette affaire de meurtre jusqu’alors peu connue sur le plan national, et plusieurs de ses articles furent republiés par d’autres journaux. Les auteurs du livre publié par la Nation of Islam soulignent cette extraordinaire attention médiatique nationale : « Le concierge noir, dont le témoignage est devenu essentiel à la condamnation de Leo Frank, est devenu le Noir le plus mentionné de l’histoire des États-Unis. Ses paroles ont été davantage citées dans le New York Times que celles de W.E.B. Du Bois, Marcus Garvey et Booker T. Washington réunis. »

Il y a un siècle, tout comme aujourd’hui, les médias créaient notre réalité. L’innocence de Frank étant proclamée dans le pays presque à l’unanimité, une longue liste de personnalités publiques se sont laissées convaincre d’exiger un nouveau procès pour le meurtrier désigné, incluant Thomas Edison, Henry Ford et Jane Addams.

Ironiquement, Lasker s’est engagé dans cette croisade malgré des sentiments personnels apparemment très mitigés au sujet de l’homme dont il défendait la cause. Sa biographie révèle que lors de sa première rencontre personnelle avec Frank, il l’avait perçu comme un « pervers » et un « dégoûtant », à tel point qu’il espérait qu’après avoir été libéré grâce à ses efforts, Frank périrait rapidement dans un accident. En outre, dans sa correspondance privée, il a admis qu’une grande partie des fonds massifs versés par lui-même et de nombreux autres Juifs américains fortunés avait servi à acheter des faux témoignages. Il existe même des indications qu’il envisagea de corrompre des juges. Cela signifie que Lasker et d’autres soutiens importants de Frank auraient pu être condamnés à de lourdes peines de prison pour, au minimum, entraves à la justice.

Avec le New York Times et le reste de la presse libérale du Nord maintenant engagés dans l’affaire, les avocats de la défense de Frank ont ​​été obligés d’abandonner leur rhétorique raciste contre son accusateur noir, qui était auparavant au centre de leur stratégie. À la place, ils ont inventé une histoire d’anti-sémitisme local généralisé, un phénomène jusque-là passé inaperçu de tous les observateurs. Ils ont voulu faire de l’affaire Frank une nouvelle affaire Dreyfus, avec comme objectif de faire annuler le verdict.

Les méthodes juridiques des défenseurs de Frank sont bien illustrées par l’exemple suivant. La loi de l’État de Géorgie exige normalement que l’accusé soit présent au tribunal pour entendre la lecture du verdict, mais compte tenu de l’hostilité populaire à son encontre, le juge avait suggéré que cette disposition soit levée ; le procureur accepta sous la condition que les avocats de la défense promettent de ne pas se servir de cette petite irrégularité comme motif d’appel. Mais après la condamnation de Frank, le président de l’American Jewish Committee, Louis Marshall, et d’autres partisans de Frank orchestrèrent de nombreux appels infructueux portant précisément sur ce petit détail technique, engageant simplement d’autres avocats pour déposer la requête.

Pendant près de deux ans, les fonds pratiquement illimités déployés par les partisans de Frank ont ​​permis de financer treize appels interjetés aux niveaux local et fédéral, y compris devant la Cour suprême des États-Unis, tandis que les médias nationaux vilipendaient inlassablement le système judiciaire de l’État de Géorgie. Naturellement, cela a rapidement provoqué une réaction locale et, pendant cette période, des Géorgiens scandalisés se sont mis à dénoncer les riches Juifs qui dépensaient des sommes énormes pour renverser le système de justice pénale de leur État.

L’un des rares journalistes à s’opposer à la révision du procès de Frank était l’éditeur Tom Watson, un populiste enflammé de Géorgie, qui déclara dans un éditorial : « Nous ne pouvons pas avoir… une loi pour les Juifs et une autre pour les Gentils ». Il s’indigna encore par la suite : « L’idée que la loi est trop faible pour punir un homme qui a beaucoup d’argent est une mauvaise chose. » Un ancien gouverneur de Géorgie demanda également : « Faut-il comprendre que tout homme peut être puni pour un crime, à l’exception d’un Juif ? » Les faits indiquent en effet qu’un énorme dysfonctionnement de la justice était en train de se mettre en place, et c’était en faveur de Frank.

Tous les appels furent finalement rejetés et la date d’exécution de Frank pour le viol et le meurtre de la jeune fille approchait enfin. C’est alors que, quelques jours avant la fin de son mandat, le gouverneur sortant de Géorgie a commué la peine de mort prononcée contre Frank en prison à perpétuité. Cela provoqua une tempête de protestations populaires, d’autant plus que ce gouverneur était le partenaire du principal avocat de Frank, un conflit d’intérêts manifeste. Compte tenu des énormes fonds que les partisans de Frank avaient ​​déployés et des nombreux faits avérés de corruption dans l’affaire, il existait évidemment de sombres soupçons concernant ce qui avait motivé une décision aussi impopulaire, ce qui a bientôt contraint l’ancien gouverneur à s’exiler hors de son État. Quelques semaines plus tard, un groupe de citoyens prit d’assaut la prison de Frank pour le kidnapper et le pendre. Frank est ainsi devenu le premier et le seul juif lynché de l’histoire américaine.

Naturellement, le meurtre de Frank fut fermement dénoncé par les médias nationaux qui avaient défendu sa cause. Pourtant, on peut noter une certaine différence entre l’indignation affichée publiquement et les sentiments exprimés en privé. Aucun journal dans le pays n’a mieux défendu l’innocence de Frank que le New York Times d’Adolph Ochs. Pourtant, selon le journal personnel de l’un des rédacteurs du Times, Ochs méprisait Frank en privé et a accueilli son lynchage avec soulagement. Les riches partisans de Frank n’ont jamais tenté de traduire en justice aucun des responsables du lynchage.

Bien que je considère maintenant le volume publié par la Nation of Islam comme le livre le plus convaincant et le plus décisif sur l’affaire Frank, j’ai naturellement pris connaissance des œuvres qui le contredisent, avant de me ranger définitivement à cette conclusion.

Depuis presque un demi-siècle, le compte-rendu scientifique le plus cité sur cette affaire est le livre de Leonard Dinnerstein, The Leo Frank Case, publié pour la première fois en 1966. Dinnerstein, professeur à l’Université de l’Arizona et spécialiste de l’histoire juive, soutient catégoriquement l’innocence de Frank. Mais bien que son travail ait remporté un prix national, qu’il reproduise dans les éditions récentes des éloges de plusieurs personnalités et publications prestigieuses, et qu’il ait certainement figuré sur de nombreuses listes de lecture obligatoire pour étudiants, je n’ai pas du tout été impressionné. Pour commencer, le livre semble être la source originelle de certaines des plus sordides histoires d’agressions antisémites qui n’ont aucune base réelle ; étant donné l’absence de références, ces histoires semblent avoir été purement et simplement inventées par l’auteur. Elles ont été largement citées par des écrivains récents et ont fortement contaminé notre mémoire historique. Comme le notent les auteurs de la NOI, elles ont néanmoins été discrètement abandonnées par tous les chercheurs récents. Indépendamment de cette preuve évidente de manque de crédibilité, j’ai trouvé le petit livre de Dinnerstein plutôt dérisoire et même pitoyable par rapport à celui de son homologue de la NOI.

Beaucoup plus substantiel est le livre de Steve Oney publié en 2003, And The Dead Shall Rise, qui compte près de 750 pages. Il a remporté le prix de la National Jewish Book Award, celui du Southern Book Critics Circle ainsi que le Silver Gavel de l’American Bar Association, et s’est hissé au rang de texte canonique sur l’affaire Frank. Oney est un journaliste de longue date à Atlanta et j’ai été favorablement impressionné par son talent narratif, ainsi que par les nombreuses et fascinantes vignettes qu’il fournies pour illustrer l’histoire du Sud de cette époque. Il semble également être un chercheur prudent, faisant largement appel aux sources primaires, évitant une grande partie de l’histoire falsifiée du siècle dernier, et ne supprimant pas totalement les preuves massives de corruption et de parjure employées par les partisans de Frank.

Mais si Oney mentionne une grande partie de ces informations, il ne va pas jusqu’à les relier entre elles de façon cohérente. Par exemple, bien qu’il mentionne parfois certains des fonds dépensés pour le compte de Frank, il ne se donne jamais la peine de les convertir en équivalents actuels, laissant un lecteur naïf présumer que des sommes aussi minimes n’auraient jamais pu être utilisées pour pervertir le cours de la justice. De plus, tout son livre est écrit sous forme narrative chronologique, sans notes de bas de page, et une grande partie du contenu est totalement étrangère à toute tentative de déterminer la culpabilité ou l’innocence de Frank, contrastant très fortement avec le style plus érudit des auteurs de la NOI.

Selon moi, une donnée centrale et incontestable du dossier concerne les énormes tentations financières offertes par les partisans juifs de Frank, et le grand nombre de citoyens d’Atlanta, de tous niveau social, qui ont changé de position sur la culpabilité de Frank pour recevoir une part de ces largesses. Contrairement aux auteurs de la NOI qui ont fortement insisté sur ce thème, Oney l’évite soigneusement, et l’on ne peut s’empêcher de se demander s’il n’aurait pas une raison personnelle de le faire. Les publications imprimées ont subi des réductions massives au cours des dernières années et j’ai lu sur la quatrième de couverture qu’Oney, journaliste de longue date à Atlanta, s’était par la suite installé à Los Angeles. J’ai ensuite appris son livre avait servi de base pour un film intitulé The People vs. Leo Frank, et je me demande si l’espoir de capturer un morceau du vaste lucre de Hollywood n’a pas pu l’inciter à se ranger à la thèse de l’innocence de Frank. Un récit dressant le portrait de Leo Frank comme violeur et meurtrier serait-il susceptible d’atteindre le grand écran ?

L’influence silencieuse des considérations financières n’est pas différente aujourd’hui de ce qu’elle était il y a un siècle, et ce facteur doit être pris en compte dans l’évaluation critique des ouvrages publiés.

Les auteurs de la NOI présente leur analyse minutieuse de l’affaire Frank sous une forme assez impartiale, mais le sentiment de leur indignation légitime transparaît parfois. Dans les années qui ont précédé le meurtre de Frank, des milliers de Noirs dans le Sud avaient été lynchés, souvent sur la base d’un mince soupçon. Une infime partie de ces incidents ont fait l’objet d’articles dans des journaux locaux. Des Blancs ont également péri dans des circonstances similaires. Mais Frank a bénéficié du plus long procès de l’histoire du Sud moderne, a été défendu par les meilleurs avocats possibles, et sa condamnation à mort pour le viol et le meurtre d’une fille de 13 ans a été fondée sur des preuves accablantes. Mais lorsque sa condamnation a finalement été exécutée par des moyens extra-judiciaires, Frank est immédiatement devenu la plus célèbre victime de lynchage de l’histoire américaine, attirant plus d’attention dans les médias que les milliers d’autres affaires réunies. L’argent juif et les médias juifs ont fait de lui un martyr juif, et il a ainsi usurpé le statut de victime et de bouc émissaire qui revenait plutôt à un nombre considérable de Noirs innocents tués avant et après lui, dont aucun n’a jamais été reconnu en tant qu’individu.

Comme le professeur Israel Shahak l’a bien montré, le judaïsme talmudique traditionnel considérait tous les non-juifs comme des sous-hommes, et leur vie comme étant sans valeur. Étant donné que les partisans de Frank étaient plutôt adeptes du judaïsme réformé, il semble assez improbable qu’ils aient adhéré à cette doctrine talmudique. Mais des traditions religieuses de plus de mille ans peuvent facilement s’inscrire dans une culture, et de tels sentiments, même non assumés consciemment, peuvent avoir facilement façonné leur réaction aux déboires juridiques de Frank.

Certains comptes rendus de l’affaire Frank évoquent une explosion d’antisémitisme s’abattant sur la communauté juive d’Atlanta à la suite du procès, affirmant même qu’une partie importante de la population juive avait été forcée de fuir. Cependant, un examen attentif des sources premières, incluant les articles de la presse d’époque, ne fournit absolument aucune indication de cela, et il semble que ce soit entièrement fictif.

Les auteurs de la Nation of Islam notent qu’avant le procès de Frank, on ne trouvait dans l’histoire des États-Unis pratiquement aucune trace d’acte antisémite significatif, l’incident le plus notable étant le cas d’un très riche financier juif qui s’était vu refuser une chambre dans un hôtel de luxe. Mais en déformant totalement le cas de Frank et en concentrant une telle couverture médiatique nationale sur son sort, les élites juives américaines ont réussi à fabriquer un récit idéologique puissant bien que dénué de réalité, peut-être en partie dans le but qu’un tel récit serve à renforcer la cohésion de la communauté juive par un sentiment de victimisation. L’invention d’une terreur antisémite prolongeant le lynchage de Frank s’inscrit dans le même but.

Nous avons un autre exemple d’histoire frauduleusement répandue par les mêmes écrivains juifs qui dominent l’affaire Frank : ils ont ​​souvent affirmé que cette affaire avait provoqué la renaissance du Ku Klux Klan. Le groupe de citoyens responsable du lynchage de Frank en 1915 aurait servi de source d’inspiration pour le rétablissement de cette organisation par William Simmons deux ans plus tard. Mais il semble n’y avoir aucune preuve d’un tel lien. Au contraire, Simmons insistait fortement sur le caractère philosémite de sa nouvelle organisation, qui attirait un nombre considérable de membres juifs.

Le principal facteur à l’origine de la renaissance du KKK était presque certainement la sortie en 1917 du film extrêmement populaire de D.W. Griffith, Birth of a Nation, qui glorifiait le KKK de l’ère de la Reconstruction. Étant donné que l’industrie cinématographique américaine était à l’époque dominée par des Juifs, et que les bailleurs de fonds du film et ses principaux distributeurs venaient de cette même communauté, on peut raisonnablement affirmer que la contribution juive à la création du Klan était cruciale. En fait, les revenus tirés de la distribution du film dans les pays du Sud ont financé la création par Samuel Goldwyn de la MGM, le plus puissant studio de Hollywood.

Dans leur introduction, les auteurs du livre The Leo Frank Case publié par la NOI soulignent que la véritable signification historique de l’affaire Frank dans l’histoire raciale américaine a été entièrement perdue. Avant ce procès, il était sans précédent pour les tribunaux du Sud d’autoriser des témoignages de Noirs contre un homme blanc, et encore moins contre un homme riche jugé sur des accusations graves. Mais la nature horrible du viol et du meurtre de la petite Phagan et le rôle de Conley en tant que témoin unique ont nécessité une rupture avec cette tradition de longue date. Ainsi, les auteurs soutiennent qu’il n’est pas déraisonnable que l’affaire Frank ait joué un rôle aussi important dans l’histoire des progrès des droits civiques des Noirs en Amérique que des verdicts historiques comme ceux des procès Plessy vs. Ferguson ou Brown vs. Board. Mais puisque que la quasi-totalité du récit historique a été produite par de fervents défenseurs des Juifs, ces faits ont été complètement occultés et l’affaire a été entièrement détournée comme un exemple de persécution antisémite et de lynchage public d’un innocent.

Résumons ce qui semble être l’histoire factuelle solidement établie de l’affaire Frank, très différente de la narration traditionnelle. Il n’y a pas la moindre preuve que les origines juives de Frank aient été un facteur dans son arrestation et sa condamnation, ni dans la peine de mort qu’il a reçue. L’affaire a créé un précédent remarquable dans l’histoire de la salle d’audience du Sud avec le témoignage d’un Noir jouant un rôle central dans la condamnation d’un Blanc. Dès les premières étapes de l’enquête, Frank et ses alliés ont sans cesse tenté de mettre en cause des Noirs innocents en établissant de fausses preuves et en sollicitant des faux témoignages par des pots-de-vin, tandis que la rhétorique raciale que Frank et ses avocats dirigeaient contre ces Noirs visaient à provoquer leur lynchage public. Pourtant, malgré toutes les tentatives des partisans de Frank pour jouer sur le racisme notoires des Blancs du Sud de cette époque, ces derniers ne se sont pas laissés influencés, et Frank a été condamné à la peine de mort pour avoir violé et assassiné cette jeune fille.

Supposons maintenant que tous les faits de cette célèbre affaire soient inchangés, à l’exception de la judéité de Frank. Supposons qu’il fût un Blanc non juif. Il est certain que le procès serait considéré comme l’un des tournants décisifs de l’histoire américaine dans la lutte contre le racisme, peut-être même éclipsant l’arrêt Brown vs. Board en raison de l’ampleur du sentiment populaire, et on lui aurait donné une place centrale dans tous nos manuels modernes. Frank, ses avocats et ses importants bailleurs de fonds seraient probablement considérés comme la plus ignoble bande de méchants racistes de toute l’histoire américaine pour leurs tentatives répétées de fomenter le lynchage de divers Noirs innocents pour sauver la peau d’un riche violeur et meurtrier blanc. Mais parce que Frank était juif et non chrétien, cette histoire remarquable a été complètement inversée pendant plus de cent ans par nos médias et notre historiographie à prédominance juive.

Ce sont là des conséquences importantes du contrôle de la narration des faits et du flux d’informations, qui permettent que des meurtriers soient transformés en martyrs, et des crapules en héros. L’Anti-Defamation League a été fondée il y a un peu plus d’un siècle avec pour objectif principal d’empêcher qu’un violeur et meurtrier juif soit tenu  légalement responsable de ses crimes. Au fil des décennies, elle s’est transformée en une force de police politique secrète, peu différente dans ses méthodes de l’ancienne Stasi d’Allemagne de l’Est, mais avec pour objectif central de maintenir un contrôle juif écrasant dans une société non-juive à 98%.

Nous devrions nous demander s’il est approprié qu’une organisation ayant de telles origines et un tel passé bénéficie d’une influence énorme sur la diffusion de l’information sur notre Internet.

Par Ron Unz – Le 15 octobre 2018 – SourceUnz Review

 

 

Source en français : le Saker francophone

Lectures complémentaires:

American Pravda : Oddities of the Jewish Religion

Jewish History, Jewish Religion : The Weight of Three Thousand Years par Israel Shahak

The Bloody Passovers of Dr. Toaff par Israel Shamir

The International Jew par Henry Ford

American Pravda : The Nature of Anti-Semitism

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Lettre d’un poilu à sa femme

 

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Lettre d’un poilu à sa femme :

« La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. »

Le 30 mai 1917

 

 » Léonie chérie

J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.

Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.

Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.

Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants. Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés. Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.

Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames. Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Les pentes d’accès boisées, étaient rudes .Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.

Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.

Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.

Comprendras-tu Léonie chérie que je ne suis pas coupable mais victime d’une justice expéditive ? Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.

C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.

Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.

Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahi et la France va nous sacrifier.

Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.

Eugène, ton mari qui t’aime tant « 

 

lettre d'un poilu à sa femme

 

              Ainsi, plus d’un million des meilleurs et des plus solides éléments de notre race française, ont-ils été horriblement sacrifiés dans un indescriptible et épouvantable carnage, qui n’est autre qu’ un rituel satanique planifié par les puissances obscures de l’arrière-scène.

On veut nous faire croire que ces braves d’entre les braves sont morts pour la France, et c’est bien ce qu’ils ont cru eux aussi, sans quoi  jamais il n’auraient consenti à ce sacrifice.

La vérité est qu’ils sont morts pour les coffres de Rotschild, les usines de Krupp, leurs marionnettes politiques à la soif inextinguible de pouvoir…

Ils étaient eux-même la  vraie France.

Honneur et Fidélité éternelles à ces géants tombés pour des nains maléfiques.

Le peuple de France ne doit jamais oublier la turpidité, la rourie et la corruption criminelle sans aucune borne dont peut se révéler capable ce gang téléguidé par des forces noires et appelé « classe politique ».

« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. »
Simone Weil (Philosophe)

« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. »
Chateaubriand

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« Q Anon » : Info inouÏe ou intox ?

 

Les révélations parfois « ésotériques » de Q Anon. sur le réseau 4chan aux Usa sont apparues quelques temps après l’élection du Donald. Elles font un ensemble de révélations progressives qui émaneraient d’un groupe issu de la haute administration militaire, des services secrets et autres officines ayant fait allégeance à Trump et lui ayant ouvert la voie vers le pouvoir.

Véritable plan ourdi depuis très longtemps afin de mettre hors d’état de nuire le réseau occulte et maffieu du « Deep State ».

Ce plan aurait fait suite en grand secret à l’assassinat de Kennedy qui avait fort bien identifié l’ennemi dans son discours à l’université de Columbia, le 12 Novembre 1963.

Peu d’Américains et encore moins de Français connaissent la teneur de ce discours.

Le voici en français.

J’ai surligné les points saillants énormes qui font de lui un évident « conspirationiste », bien placé pour juger de la réelle situation…

Dix jours après, il était assassiné à Dallas dans les circonstances que l’on connait…

 

Discours de JFK 10 jours avant sa mort:

« Je voudrais vous parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des dernières semaines nous ont amené à percevoir cet enjeu. Mais les dimensions du problème sont apparues de manière imminente à l’horizon des prochaines années. Quelles que soient nos espérances pour le futur, s’agissant de réduire une menace ou de vivre avec elle, il est impossible d’éviter l’actuel défi qui concerne notre sécurité et notre survie, un défi qui se présente de manière inhabituelle dans toutes les sphères de l’activité humaine.
Le bureau oval de la Maison Blanche a été utilisé pour mettre sur pied un complot d’anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique.

La question de la survie de notre société font apparaître deux nécessités, qui concernent à la fois le Président et la presse, deux gageures qui peuvent sembler contradictoires mais qui peuvent être conjuguées et remplies si nous nous groupons face à ce péril national. Je me réfère ici à l’importance d’informer largement le public et à la nécessité de refuser la politique officielle du secret.

Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte.

Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. Même aujourd’hui il est peu justifié de résister à la menace d’une société fermée tout en imitant ses restrictions arbitraires.

Même aujourd’hui, il est peu justifié d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu’un besoin annoncé de sécurité accrue soit l’opportunité que saisiront ceux soucieux d’étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et de la censure officielle.

Voilà ce que je n’ai pas l’intention de laisser faire dans la mesure où j’en ai le contrôle. Et aucun officiel de mon administration, quelque soit son rang, civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher nos erreurs ou taire au public et à la presse les faits qu’ils méritent de savoir
.
Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l’autodiscipline, pour empêcher la divulgation d’informations non-autorisées à l’ennemi. En temps de danger « clair et présent », les tribunaux ont maintenu que même les droits privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun de sécurité nationale.

Aujourd’hui, aucune guerre n’a été déclarée, et aussi féroce le combat puisse-t-il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon habituelle.

Notre mode de vie est attaqué.

Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. La survie de nos amis est menacée. Et pourtant, aucune guerre n’a été déclarée, aucune frontière n’a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant d’imposer l’autodiscipline qui s’impose dans ces conditions, alors on peut seulement dire qu’aucune guerre n’a jamais autant menacé notre sécurité. Si vous attendez une situation de « danger clair et actuel », alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais été aussi clair et sa présence plus imminente.

Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d’affaire ou chef d’entreprise et par tout journaliste.

Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence (de l’infiltration plutôt que de l’invasion, de la subversion plutôt que des élections, de l’intimidation plutôt que du choix libre, des guérillas de nuit plutôt que des armées en plein jour).

C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machinerie très efficace et au maillage très serré qui combine opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses plans sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont cachées, non affichées. Ses dissidents sont réduits au silence, relégués en marge.

Aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret révélé. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie ne pourrait jamais espérer ou désirer bien se porter.
Cependant, toute démocratie reconnait les restrictions nécessaires liées à la sécurité nationale (et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous devons faire face à ce genre d’attaque et d’ incontestable invasion.)

A vrai dire c’est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantés d’acquérir dans nos journaux les informations qu’ils auraient du obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l’espionnage; que les détails des plans secrets de cette nation pour contrer les opérations secrètes de l’ennemi ont été mis à la portée de chaque lecteur de journal, ami autant qu’ennemi; que les effectifs , la puissance, l’emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratégie pour leur utilisation ont tous été précisés dans la presse et autres médias à un degré suffisant pour satisfaire n’importe quelle puissance étrangère; Et que dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret par lequel les satellites étaient suivis, a demandé son altération au prix de beaucoup de temps et d’argent.

Les journaux qui ont imprimés ces histoires étaient loyaux, patriotiques, responsables et de bonne volonté. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publiés ces faits. Mais en l’absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrôles du journalisme et non ceux de la sécurité nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.
A vous seuls d’y répondre. Aucun officiel ne devrait le faire à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volonté.

Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilités, si je n’attirais pas votre attention sur ce problème et ne conseillais vivement sa considération réfléchie.

En de nombreuses occasions auparavant, j’ai dit (et vos journaux ont constamment dit) que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et à l’autodiscipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considèrent non concernés par cet appel.

Je n’ai pas l’intention de mettre en place un nouveau bureau de l’information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggère pas de quelconque nouvelles formes de censure ou quelconque nouveau types de classification pour le secret. Je n’ai pas de réponse évidente au dilemme que j’ai soulevé, et ne chercherais pas à l’imposer si j’en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l’industrie dans ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de respecter le devoir d’auto-restriction que ce danger nous impose à tous.

Tout journal maintenant se demande, par rapport à chaque histoire: « S’agit-il de nouvelles informations? ». Tout ce que je suggère est que vous ajoutiez la question: « Est ce dans l’intérêt de la sécurité nationale ». Et j’espère que tout groupe en Amérique (associations et hommes d’affaire et officiels à tous niveaux) poseront la même question des efforts à accomplir, et soumettront leurs actions aux mêmes justes contrôles.
Et si la presse américaine considérait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux éléments spécifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopérerons de tout cœur et prendrons en considération ces recommandations.

Peut être n’y aura t’il pas de recommandations. Peut être n’y a t’il pas de réponse au dilemme auquel se trouve confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en résulte, sont à la fois douloureuses et inédites.

Mais nous vivons un temps de paix et de péril tel qu’on n’en connu pas de précédent dans l’histoire.

C’est la nature sans précédent de ce défi qui aussi exige de vous de répondre à une deuxième obligation, une obligation que je partage. Et c’est celle d’informer et d’alerter le peuple américain, de s’assurer qu’il possède tous les éléments d’information nécessaires et qu’il les comprenne également (les périls, les perspectives, les objectifs, de notre programme et les choix qui se présentent à nous.)
Aucun président ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la compréhension. Et la compréhension autorise le soutien ou l’opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l’administration mais je demande votre aide dans la tâche énorme d’informer et d’alerter le peuple américain. Car j’ai toute confiance en la réponse et au dévouement de nos citoyens dès qu’ils sont pleinement informés.
Non seulement je ne pourrais pas réprimer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu’elle est la bienvenue.

Cette administration a l’intention d’être franche concernant ses erreurs car comme un homme sage a dit un jour: « une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger ». Nous avons l’intention de prendre la pleine responsabilité de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons à cet engagement.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent réussir, et aucune république ne peut survivre.

C’est pourquoi selon le législateur Athénien c’est un crime qu’un citoyen se dérobe à la controverse.

Et c’est pourquoi notre presse fut protégée par le premier amendement (le seul business en Amérique spécifiquement protégé par la constitution) pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement « donner au public ce qu’il veut », mais pour informer, stimuler, réfléchir, faire état des dangers et opportunités, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, éduquer et parfois même provoquer la colère de l’opinion publique.

Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales (car elle n’est plus lointaine et étrangère mais à portée de main et locale). Cela signifie une attention accrue à une compréhension améliorée des actualités autant qu’une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l’information la plus complète possible en dehors des limites les plus étroites de la sécurité nationale (et nous avons l’intention de le faire).

C’est au tout début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois inventions récentes qui étaient déjà en train de transformer le monde: le compas de navigation, la poudre à canon et la machine à imprimer. Maintenant le lien entre les nations qui a été d’abord accompli par le compas de navigation a fait de nous tous des citoyens du monde, les espoirs et les craintes d’un seul devenant les espoirs et les craintes de tous.

Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l’évolution de la poudre à canon jusqu’à ses limites ultimes a mis en garde l’humanité contre les terribles conséquences d’un dérapage.

C’est donc de la machine à imprimer (de la mémoire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagère de leurs nouvelles) que nous attendons la force et l’assistance, qu’elle nous donne confiance et qu’avec votre aide, l’homme sera ce pourquoi il est né: libre et indépendant. »

John F. Kennedy, à l’université de Columbia, le 12 Nov. 1963 – 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.

Le discours de trop…

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Le Plan du groupe derrière « Q Anon. » est ni plus ni moins d’en finir avec la force destructrice de cet Etat profond US, infiltré dans le monde financier, politique, mediatique, économique…

Peut-être une intox de plus ?
Peut-être la vérité…

…Et dans ce cas nous ne devrions pas tarder à le savoir tant la guerre qui fait rage au niveau des élites devient chaque jour plus évidente aux yeux du plus grand nombre: Force mondialiste totalitaire contre les diverses moutures de « populisme » qui surgissent un peu partout parmi les peuples du monde.

Si ce plan est bien réel, c’est une véritable délivrance qui aura lieu, non seulement en Amérique, mais partout où le camp mondialiste imposait sa loi d’airain depuis … la création de l’Ordre des faux monayeurs de la FED !

Ni plus, ni moins …

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Vérité sur le 11 Septembre. Plus de 3000 architectes et ingénieurs américains balancent !

 

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Vérité sur le 11 Septembre !

*Dans l’espoir qu’éclate enfin la vérité sur le 11 Septembre, je viens de signer la pétition de l’association « Architects and engineers for 9.11 Truth » . Celle-ci représente plus de 3000 architectes et ingénieurs, hautement spécialisés dans le domaine des structures d’acier type World Trade Center !

Si, comme moi vous ne croyez pas un instant à cette pitoyable version officielle, alors allez sur leur site et signez également cette pétition pour une ré-ouverture de l’enquête. Ils ne sont pas prêts à lâcher le morceau, et ils ont raison !

Cliquez sur l’image:

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vérité sur le 11 septembre
vérité sur le 11 septembre

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Cette vidéo passe en revue un certain nombre « d’anomalies » intéressantes:

9/11 September Clues – Everything Was a Lie!

 

Autres articles sur le sujet ici

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Marcus Eli ravage, écrivain juif et biographe des Rothschild

 

L’article qui suit a été écrit par Marcus Eli Ravage, écrivain juif et biographe officiel des Rothschild.

Il parut dans « The Century Magazine » de janvier 1928

Vol.115  N°3

pp. 346-350 sous le titre de

« A Real Case Against The Jews » 

(One of Them Points Out the Full Depth of Their Guilt) 

 

 

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« Bien sûr, vous nous en voulez. Il n’est pas bon de me dire le contraire.

Ne perdons pas notre temps en dénis et alibis. Vous savez que vous nous en voulez, et je le sais, et nous nous comprenons les uns les autres. Pour être sûr, certains de vos meilleurs amis sont Juifs, et c’est tout.

J’ai déjà entendu cela une ou deux fois, je pense. Et je sais, aussi, que vous ne m’incluez pas personnellement – «moi» en tant qu’individu particulier Juif – lorsque vous nous flanquez à la porte de manière systématique, parce que je suis, eh bien, si différent, ne le saviez vous pas, presque aussi bon que l’un d’entre vous.

Cette petite dispense ne m’incite pas, d’une manière ou d’une autre, à de la gratitude, mais cela n’a pas d’importance maintenant. C’est l’agressivité, le carriérisme, l’arrivisme, le matérialisme que vous n’aimez pas – ceux, en un mot, qui vous rappellent tant vos propres frères si prometteurs. Nous nous comprenons parfaitement. Je ne vous en tiens pas rigueur.

Bénie soit mon âme, je ne blâme personne de détester quiconque. La chose qui m’intrigue à propos de cet anti-judaïsme auquel vous jouez est votre absence totale de cran.

Vous êtes si indirect si évasif à ce sujet, vous prenez de telles évidentes et incroyables excuses, vous semblez souffrir d’une gêne si horrible, que si la prestation n’était pas grotesque, c’en serait irritant.

Ce n’est pas comme si vous étiez des amateurs: vous y êtes depuis plus de quinze siècles. Pourtant, à vous regarder et à entendre vos prétextes enfantins, on pourrait croire que vous ne savez pas vous-mêmes de quoi il s’agit. Vous nous en voulez, mais vous ne pouvez pas dire clairement pourquoi.
Vous trouvez une nouvelle excuse – que vous appelez raison – chaque nouveau jour. Vous avez accumulé pour vous-mêmes des justifications, ces quelques centaines d’années, et chaque nouvelle invention est plus risible que la précédente et chaque nouveau prétexte contredit et anéantit le précédent.

Il n’y a pas si longtemps, j’avais l’habitude d’entendre que nous étions avides et de sombres matérialistes; maintenant la récrimination est murmurée qu’aucun art, aucune profession n’est protégée de l’invasion juive. Nous sommes, à vous en croire, à la fois fermés, exclusifs et inassimilables, car nous ne voulons pas nous marier avec vous, et nous sommes aussi des carriéristes et arrivistes et une menace pour votre intégrité raciale.

Notre niveau de vie est si bas que nous créons vos taudis et les entreprises qui vous exploitent et si élevé que nous vous jetons hors de vos plus beaux quartiers.
Nous nous dérobons à notre devoir patriotique en temps de guerre parce que nous sommes pacifistes par nature et tradition, et que nous sommes les conspirateurs par excellence des guerres universelles et les grands bénéficiaires de ces guerres…

Nous sommes en même temps les fondateurs et les partisans de premier plan du capitalisme et les principaux auteurs de la rébellion contre le capitalisme.

Assurément, l’histoire ne nous arrive pas à la cheville en termes de polyvalence !

Et oh… j’allais presque oublier la raison des raisons. Nous sommes le peuple opiniâtre qui jamais n’accepta le Christianisme, et nous sommes le peuple criminel qui crucifia son fondateur.
Mais je vais vous dire, vous vous méprenez.

Vous manquez à la fois de connaissance envers vous-même et de courage pour carrément faire face aux faits et vous avouer la vérité.

Vous en voulez au Juif non pas parce comme certains d’entre vous semblent le croire, il a crucifié Jésus mais au contraire parce qu’il lui a donné vie.
Votre vrai désaccord avec nous n’est pas parce que nous avons rejeté le Christianisme mais parce que nous vous l’avons imposé !

Vos accusations décousues et contradictoires sont loin de valoir la noirceur de notre infamie historique avérée. Vous nous accusez d’inciter à la Révolution à Moscou. Admettons que nous acceptions l’accusation. Et alors ? Comparativement à ce que Paul de Tarse, le Juif, accomplit à Rome, le bouleversement en Russie est une simple bagarre de rue.

Vous faites grand bruit de l’influence juive indue dans vos cinémas et théâtres. Très bien; accordé, votre plainte est bien fondée. Mais qu’est-ce comparativement à notre stupéfiante influence dans vos églises, vos écoles, vos lois et vos gouvernements, et dans les moindres pensées que vous avez chaque jour ?

Un Russe maladroit contrefait une série de documents et les publie dans un livre intitulé « Les Protocoles des Sages de Sion » qui montre que nous avons planifié la dernière Guerre Mondiale. Vous croyez ce livre. D’accord. Pour les besoins de l’argumentation, nous en soutiendrons chaque mot. Il est sincère et authentique. Mais qu’est-ce que c’est par rapport à la conspiration historique indéniable que nous avons menée, et que nous n’avons jamais niée parce que vous n’avez jamais eu le courage de nous en accuser et dont le dossier complet subsiste encore pour quiconque veut le lire ?

Si vous êtes vraiment sérieux quand vous parlez de complots juifs, ne puis-je pas attirer votre attention sur l’un d’eux qui mérite qu’on en parle? Quel besoin de gaspiller son temps à parler du prétendu contrôle de votre opinion publique par les financiers, les propriétaires de journaux et les magnats du cinéma juifs, quand vous pourriez aussi bien et à juste titre nous accuser du contrôle avéré de votre civilisation par les Doctrines Juives ?

Vous n’avez pas commencé à apprécier l’ampleur réelle de notre culpabilité. Nous sommes des intrus. Nous sommes des perturbateurs. Nous sommes des destructeurs.

Nous avons pris votre monde originel, vos idéaux, votre destin, et les avons détruits.

Nous avons été à la base non seulement de la dernière Grande Guerre, mais de presque toutes vos guerres, pas seulement en Russie, mais de tout autre révolution majeure dans votre histoire.

Nous avons apporté la discorde et la confusion et la frustration dans votre vie personnelle et publique. Et nous continuons encore.

Personne ne peut dire combien de temps nous allons continuer à le faire.
Regardez un peu en arrière ce qu’il s’est passé. Il y a dix-neuf siècles, vous étiez une race innocente et sans souci, la race païenne. Vous adoriez d’innombrables dieux et déesses, les esprits de l’air, de l’eau vive et de la forêt. Vous aviez une fierté sans vergogne en la gloire de vos corps nus. Vous sculptiez les images de vos dieux et les courbes humaines si séduisantes. Vous preniez plaisir aux combats de terrain, dans l’arène et sur le champ de bataille.

La guerre et l’esclavage étaient des institutions stables dans vos systèmes. Batifolant sur les coteaux et dans les vallées des grands espaces, vous spéculiez sur l’émerveillement et le mystère de la vie et avez jeté les bases des sciences naturelles et de la philosophie. Votre culture était noble et sensuelle, non tourmentée par l’introduction d’une conscience sociale ou par quelque questionnement sentimental sur l’égalité humaine.

Qui sait quelle grande et glorieuse destinée aurait été la vôtre si nous vous avions laissés seuls.

Mais nous ne vous avons pas laissés seuls. Nous vous avons pris en main et avons tiré vers le bas la belle et généreuse organisation que vous aviez élevée, et avons changé complètement le cours de votre histoire. Nous vous avons conquis comme aucun de vos empires n’a jamais dompté l’Afrique ni l’Asie.
Et nous avons fait tout cela sans armées, sans balles, sans effusion de sang ni troubles, sans force d’aucune nature. Nous l’avons fait uniquement par la puissance irrésistible de notre esprit, avec des idées, avec de la propagande.

Nous avons fait de vous les porteurs volontaires et inconscients de notre mission pour le monde entier, pour les races barbares de la terre, pour les innombrables générations à naître. Sans comprendre entièrement ce que nous vous faisions, vous êtes devenus l’ensemble des agents de notre tradition raciale, portant notre doctrine jusqu’aux confins inexplorés de la Terre.

Nos coutumes tribales sont devenues le cœur de votre code moral. Nos lois tribales ont fourni les bases fondamentales de toutes vos constitutions et systèmes juridiques respectables. Nos légendes et nos contes populaires sont les traditions sacrées que vous fredonnez à vos enfants. Nos poètes ont empli vos livres de cantiques et de prières. Notre histoire nationale est devenue un élément incontournable d’érudition de vos pasteurs, prêtres et savants. Nos rois, nos hommes d’Etat, nos prophètes, nos guerriers sont vos héros.

Notre ancien petit pays est votre Terre Sainte.

Notre littérature nationale est votre Sainte Bible.

Ce que notre peuple pensa et enseigna devint inextricablement tissé à votre propre discours et tradition, au point que personne parmi vous ne peut être qualifié d’instruit, de cultivé s’il n’est pas familier avec notre héritage racial.
Les artisans juifs et les pêcheurs juifs sont vos professeurs et vos saints, avec d’innombrables statues sculptées à leur image et un nombre incalculable de cathédrales érigées à leur mémoire.

Une jeune fille juive est votre idéal de maternité et de féminité. Un prophète rebelle juif est le personnage central de votre culte religieux. Nous avons tiré vers le bas vos idoles, rejeté votre héritage racial, et y avons substitué notre Dieu et nos traditions.

Aucune conquête dans l’histoire ne peut même se comparer à cette victoire absolue de notre conquête sur vous.

Comment avons-nous fait ?

Pour ainsi dire par accident. Il y a près de deux mille ans, dans la lointaine Palestine, notre religion était tombée en décadence dans le matérialisme. Les changeurs de monnaie étaient en possession du temple.
Des prêtres égoïstes et dégénérés escroquaient notre peuple et s’enrichissaient. Puis un jeune patriote idéaliste se leva et alla partout appeler à un renouveau de la foi. Il n’avait aucune intention de créer une nouvelle église. Comme tous les prophètes avant lui, son seul but était de purifier et revitaliser l’ancienne croyance.

Il attaqua les prêtres et chassa les changeurs du temple. Ceci l’amena à un conflit avec l’ordre établi et ses soutiens. Les autorités romaines, qui occupaient le pays, craignant que son agitation révolutionnaire soit un effort politique visant à les évincer, l’arrêtèrent, le jugèrent et le condamnèrent à mort par crucifixion, une forme courante d’exécution à cette époque.

Les disciples de Jésus de Nazareth, principalement des esclaves et de pauvres ouvriers, dans le deuil et la déception, se détournèrent du monde et se constituèrent en une confrérie de pacifistes non résistants, partageant la mémoire de leur chef crucifié et vivant ensemble à la manière communiste. Ils étaient simplement une nouvelle secte en Judée, sans pouvoir ni importance, ni la première ni la dernière…

Ce n’est qu’après la destruction de Jérusalem par les Romains que le nouveau credo prit une place de premier plan. Ensuite, un Juif patriote du nom de Paul ou Saul conçut l’idée d’humilier la puissance romaine en détruisant le moral de ses troupes avec les doctrines d’amour et de non-résistance prêchées par la petite secte de Juifs Chrétiens. Il devint l’Apôtre des Gentils, lui qui jusqu’alors avait été l’un des persécuteurs les plus actifs de la bande.

Et Paul fit si bien son travail qu’en l’espace de quatre siècles, le grand empire qui avait conquis la Palestine ainsi que la moitié du monde, était un monceau de ruines. Et la loi qui sortit de Sion devint la religion officielle de Rome.

Ce fut le début de notre position dominante dans votre monde. Mais ce n’était qu’un début.

Depuis ce jour, votre histoire est un peu plus qu’une lutte pour la maîtrise entre votre ancienne mentalité païenne et notre mentalité juive. La moitié de vos guerres, petites et grandes, sont des guerres de religion, combattues pour l’interprétation d’une chose ou d’une autre, selon nos enseignements. Vous vous étiez à peine libérés de votre simplicité religieuse fondamentale et tentiez l’initiation de la pratique de la Rome païenne, que Luther, armé de nos doctrines, surgit pour vous abattre et rétablir notre patrimoine.

Prenez les trois principales révolutions des temps modernes, la Française, l’Américaine et la Russe. Que sont-elles, si ce n’est le triomphe du concept social, politique et de justice économiques juif ?

Et nous ne sommes pas au bout. Nous vous dominons toujours.

En ce moment même, vos églises sont déchirées par une guerre civile entre les Fondamentalistes et les Modernistes, c’est-à-dire entre ceux qui s’accrochent littéralement à nos enseignements et nos traditions, et ceux qui s’efforcent lentement de nous déposséder.

A Dayton, dans le Tennessee, une communauté éduquée par la Bible interdit l’enseignement de votre science, car elle entre en conflit avec notre récit historique de l’origine de la vie, et M. Bryan, le chef de l’anti-juif Ku Klux Klan à la Convention Nationale Démocrate, fait la lutte suprême de sa vie en notre nom, sans remarquer la contradiction. Encore et encore, l’héritage puritain de Judée se répand par vagues, censure du théâtre, Blue laws du dimanche (1), National Prohibition Acts. Et pendant que ces choses se produisent, vous radotez sur l’influence juive dans les films !

Est-il étonnant que vous nous en vouliez ?

Nous avons mis un frein à votre progrès. Nous vous avons imposé un livre étranger et une foi étrangère que vous ne pouvez ni avaler ni digérer, qui est à contre-courant de votre mentalité d’origine, qui vous met éternellement mal à l’aise, et pour lesquels vous manquez de courage, soit pour les rejeter, soit pour les accepter dans leur intégralité.

Bien sûr, vous n’avez jamais accepté nos enseignements chrétiens en totalité. Dans vos cœurs, vous êtes encore païens. Vous aimez toujours la guerre, les images sculptées, et les conflits.
Vous êtes encore fiers de la beauté des courbes humaines nues. Votre conscience sociale, en dépit de toute démocratie et toutes vos révolutions sociales, est toujours une chose pitoyable et imparfaite.

Nous avons simplement divisé votre âme, brouillé vos impulsions, paralysé vos désirs. Au milieu de la bataille, vous êtes obligé de vous agenouiller devant celui qui vous a ordonné de tendre l’autre joue, qui vous a dit « Ne résiste pas au mal» et «Béni soit les artisans de la paix ». Dans votre soif de gain, vous êtes soudain perturbé par une mémoire de vos jours d’école du Dimanche (l’Église) qui vous dit de ne pas vous soucier du lendemain.

Dans vos luttes revendicatrices, quand vous frapperiez par une grève sans le moindre scrupule, vous vous rappelez soudainement que les pauvres sont bienheureux et que tous les hommes sont frères dans la paternité du Seigneur. Et lorsque vous êtes sur le point de céder à la tentation, votre formation juive vous en dissuade et vous retire la coupe pleine des lèvres.

Vous, Chrétiens, n’êtes jamais devenus christianisés. Sur ce point, nous avons échoué avec vous. Mais nous avons détruit pour toujours le plaisir du paganisme en vous.

Alors, pourquoi ne devriez-vous pas nous en vouloir? Si nous étions à votre place, nous vous en voudrions probablement plus que vous ne le faites. Mais nous n’hésiterions pas à vous dire pourquoi. Nous ne recourrerions pas à des subterfuges et à des prétextes évidents.

Avec des millions de petits commerçants juifs douloureusement respectables tout autour de nous, nous ne devrions pas insulter votre intelligence et notre propre honnêteté en parlant de communisme comme d’une philosophie juive. Et avec des millions de colporteurs et ouvriers juifs travaillant dur et besogneux, nous ne devrions pas nous rendre ridicule en parlant du capitalisme international comme d’un monopole juif.

Non, nous devrions aller droit au but. Nous devrions regarder cette pagaille complexe que nous appelons civilisation, ce mélange moitié Chrétien, moitié Païen, et si nos places étaient inversées – nous vous dirions à brûle-pourpoint:

« Merci à vous, à vos prophètes et à votre Bible pour ce chaos. » 

1 – Ben Klassen lui consacre également tout un chapitre dans son livre The White Man’s Bible : chapitre 43 page 231 à 237

2 – Blue laws : lois en vigueur aux Etats-Unis et au Canada (18ème et 19ème siècles) qui imposaient, entre autres, la messe du dimanche à l’église et le repos dominical.

 

 

« ….Ces théories du complot mettent gravement en danger les valeurs de la république »

 » …Ces théories du complot mettent gravement en danger les valeurs de la république » !

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Dans la France d’après, ce genre d’assertion est notre pain quotidien !

Les troupes d’occupation mentale version US, mettent également en garde les Américains contre les terrifiantes « fake news »…

« C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie. » disent-ils en coeur.

Encore un petit effort pour démasquer tous ces tristes guignols !

 

 

 

Washington: Ministère de la Justice et FBI dans la tourmente.

Washington: Ministère de la Justice et FBI dans la tourmente.

Excellent article de Charles Gave qui est bien renseigné sur ce qui se passe aux USA.

Voici ce que vous n’entendrez pas sur France-intox ou sur les écrans de l’Eglise Cathodique .

Ce qui se passe là-bas est décidément très intéressant:

Il est en train de se passer des choses proprement inouïes au Etats-Unis et bien entendu la presse française n’est au courant de rien puisque le New York Times n’en parle pas.

Je vais essayer de résumer du mieux que je le peux ce que je crois avoir compris mais comme de nouveaux développements ont lieu tous les jours, rien n’est encore inscrit dans le marbre.
La thèse centrale est la suivante: il y aurait eu un véritable complot unissant les responsables du ministère de la Justice aux dirigeants du FBI pour essayer de faire gagner à tout prix madame Clinton et donc perdre monsieur Trump.
Et ce complot aurait continué une fois l’élection passée, le but étant d’obtenir une procédure de destitution du Président Trump pour collusion avec l’ennemi que serait la Russie de Poutine
.
Pour démontrer cette collusion , le parti démocrate aurait fait appel à une firme assez douteuse appelle « Fusion », dont la spécialité est d’aller chercher des trucs dégueulasses sur les candidats républicains.
« Fusion » fit appel à une ex barbouze britannique, ancien chef de poste à Moscou, où il avait gardé de bons amis et un « dossier » fut produit, rempli de saloperies sur les exploits sexuels de monsieur Trump à Moscou.
Et tout le monde de se rendre compte qu’il n’y avait rien de vrai la dedans.
Ça c’est la première version.

La deuxième qui vient se sortir est infiniment plus sinistre
Au ministère de la Justice se trouve un homme très haut placé, monsieur Ohr.
Il semble qu’il ait eu des contacts avec Fusion bien avant que le parti démocrate ne s’y intéresse.
Et l’épouse de ce personnage, spécialiste de la Russie, jusqu’ à l’été 2016 travaillait chez… « Fusion ».
De là à penser que tout ce petit monde, démocrates, Clinton, ministère de la Justice , « Fusion » travaillaient tous ensemble et depuis très longtemps, il n’ y qu’un pas que les élus républicains sont en train de faire avec allégresse.
Et ce genre de relations laissent en générale des traces écrites ou comptables…
Et bien entendu , Monsieur Ohr n’avait prévenu personne de ses contacts avec « Fusion », ce qui est illégal.

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Mais il y a pire:

Le numéro quatre au FBI est un certain Peter Strzok et c’est lui qui était chargé de mener l’enquête sur les irrégularités de madame Clinton ayant utilisé un serveur non protégé quand elle était ministre des affaires étrangères.
Ce remarquable personnage fit preuve de la plus grande indulgence vis à vis de Madame Clinton.
Et de l’interroger sans lui faire prêter serment , et de rédiger des conclusions l’innocentant alors même que l’enquête n’était même pas finie… et cette mansuétude alla jusqu’à changer les conclusions de son équipe à la fin de l’enquête, de « grossly negligent » , qui impliquait la prison pour Madame Clinton à » extrêmement légère » qui n’avait aucune conséquence juridique.
Et Monsieur Comey de se coucher tranquillement et d’accepter ce changement qui blanchissait Madame Clinton, sans rien dire.
Mais il y pire: ce brave Monsieur Strokz avait une maîtresse au service juridique du FBI avec laquellle il a échangé plus de 10000 emails en quelques mois.

Dans plusieurs de ces email , il parle de réunions dans le bureau du numéro deux du FBI , Monsieur McCabe, pendant lesquelles étaient discutés les plans pour dégommer Monsieur Trump, lui même se faisant fort de faire le nécessaire pour « sauver les USA »
Et il il y a des traces écrites de ces discussions, que le Congrès réclame à cors et à cris…
Or ce brave Monsieur McCabe était un ami personnel des Clinton, et le parti démocrate avait du coup remis 650.000 dollars à Madame Mc Cabe pour qu’elle fasse campagne en Virginie…ce qui est gigantesque pour une élection locale.
La corruption et l’abus de pouvoir apparaissent évidents.

Et qui plus est, il se murmure que Monsieur Strzok aurait utilisé le faux dossier fabriqué par l’ancien des services secrets britanniques pour solliciter le droit de faire mettre sur écoutes le candidat Trump et toutes ses équipes.
Si cela est prouvé, cet homme finira sa vie en prison.

Mentir sous serment en produisant des documents que l’on a fabriqué soi même est passible de la prison à perpétuité.

Or Monsieur Trump fut mis sous écoute, tout le monde le sait.
Si ç’est Monsieur Strzok qui a introduit la demande pour les écoutes, il est foutu mais il a beaucoup de choses à raconter.
Et si c’est Monsieur Comey, c’est encore pire.
Si c’est la ministre de la justice d’Obama, nous avons une crise de régime.
Et pourtant c’est encore ce Monsieur Strzok qui a été sélectionné par le procureur spécial Monsieur Mueller, pour prouver les liens entre Trump et Poutine.

On n’ y croit pas tellement cela paraît gros…

Et toute l’opération Mueller du coup apparaît comme une preuve de plus de ce complot du FBI et du ministère de la Justice contre le Président élu puisque Mueller et Comey sont les meilleurs amis du monde.
La question que ces révélations amène à se poser est donc toute simple: avons nous assisté ala première tentative de coup d’etat aux USA depuis les débuts de la République?
Et cette tentative aurait unie le FBI, la CIA , le ministère de la Justice, le parti démocrate, le président Obama et son ministre de la Justice Loretta Lynch et quelques sous-fifres.
Voilà qui est infiniment plus grave que Watergate et qui pourrait amener à une déroute sans pareille des oints du Seigneur américains, car aussi bien le FBI que le ministère de la Justice sont sous le contrôle du congrès, même si les juges ne le sont pas.
Et tout ce joli monde pourrait se retrouver en prison assez rapidement, surtout si l’un ou l’autre se mettent à parler pour éviter d’y finir leurs jours.

Il s’ agit donc d’une affaire immense mettant en danger ce qu’ il est convenu d’appeler « l’ État profond » et la structure même des institutions aux USA.

Et dire que si Madame Clinton avait été élue, nous n’aurions jamais rien su de tout cela.

On l’ a échappé belle…

Mais la bataille ne fait que commencer, elle est loin d’être gagnée et j’aurais sûrement l’occasion d’en reparler.

La bagarre va être féroce et les élections de 2018 porteront la dessus, sans aucun doute.
On est quand même drôlement content de vivre en France ou ce genre d’interventions de la Justice pour faire élire ou battre un candidat est inenvisageable.
Et du coup, nos ODS restent bien en place, et notre État profond impavide.

Ouf.

Charles Gave

http://institutdeslibertes.org

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François, Pape de Soros

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François, Pape de Soros.

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Excellent article du site Autochtonisme, le « blog des aborigènes d’Europe » par Antonin Campana, que je vous invite à visiter régulièrement, tant ses analyses sont pertinentes et synthétiques.

Dans cet article sont mises en évidence quelques personnes-clefs dont s’est entouré ce faux pape, et bien révélatrices de l’orientation fort peu catholique de celui-ci.

Voici l’article:

Le pape François, souverain potiche de Soros

Publié par Antonin Campana sur 19 Février 2016

 

Ainsi donc, selon ce que rapporte Antenne 2 (13h du 18.02.16) le pape François serait le « pape des migrants ».  Il est vrai qu’au moindre micro qui se tend, l’évêque de Rome en appelle à l’accueil des « chers migrants » qui avec leur religion (l’islam !) apportent une « culture précieuse » à l’Europe.

Pour François, l’Europe est une « grand-mère qui n’est plus féconde » et qui devrait donc se montrer plus accueillante : suivez mon regard ! (Discours au parlement européen, 2014). Pour ceux qui n’auraient pas compris, Bergoglio est revenu récemment sur cette notion papale d’infertilité (Corriere delle Sera du 08 février 2016). François compare l’Europe à la Sara biblique. Elle aussi était une vieille femme inféconde : n’a-t-elle pas  souri lorsqu’un ange lui annonça qu’elle deviendrait mère malgré son âge avancé ? Et François de conclure sa comparaison boiteuse : l’Europe aussi « sourira finalement aux migrants » : suivez mon regard !

Ainsi les migrants apporteront à l’Europe le métissage des populations et des cultures : vieux fantasme mondialiste d’un Coudenhove-Kalergi. En cela François n’est guère différent de Georges Soros. Alors, l’Eglise et l’Open Society mènent-elles le même combat ? Voyons voir !

Dès sa nomination le « Saint » Père a profondément remanié la « gouvernance » du Vatican. Pour cela, il s’est entouré de « conseillers » qu’il est allé chercher hors de l’Eglise et, par effet de mode sans doute, plutôt dans le monde anglo-saxon.

Parmi ceux-ci, il y a tout d’abord Peter Sutherland. Nommé président de laCommission internationale catholique sur les migrations (ICMC),  Sutherland est aussi président de Goldman Sachs (une des banques qui milita pour le « mariage gay »), de BP, de la section Europe de la Commission Trilatérale… C’est aussi un dirigeant actif du groupe de Bilderberg. Sutherland est pour les migrations (il estime que « l’Allemagne doit recevoir 1 million de migrants par an pendant 30 ans ») et contre les souverainetés des nations (une « illusion absolue » dit-il). Sutherland est un conseiller écouté du Vatican, pour qui il travaille gratuitement (sic !).

Chris Patten est quant à lui chargé de réformer le fonctionnement des médias du Vatican. Parallèlement, il est aussi membre de la Commission Trilatérale. Ce mondialiste qui a « horreur de la notion de pureté raciale », qui se méfie de la démocratie directe et « fait l’éloge de l’immigration » co-préside l’International Crisis Group initié par Georges Soros. Outre Soros, l’ICG est aussi financé par le cabinet Mc Kinsey, la fondation Rockefeller, l’Union Européenne, Shell, BP… Cette organisation défend les droits LGBT, la « planification familiale » (Simone Veil est l’un de ses membres) et une idéologie de la guerre « juste » (Yougoslavie, Afghanistan…) conforme aux intérêts de l’OTAN.

La Mc Kinsey Company est un cabinet de conseil chargé de « moderniser » la communication et l’image du Vatican. Ouvertement mondialiste, la Mc Kinsey Company finance l’International Crisis Group (Chris Patten) et ses consultantspassent fréquemment à l’Open Society (Soros) ou à Goldman Sachs (Sutherland). Le groupe est membre de la Commission Trilatérale et mandate un représentant au groupe de Bilderberg. Mc Kinsey fait ouvertement la promotion des droits LGBT, notamment au travers du GLAM (« gays, lesbiennes, bi, trans chez Mc Kinsey »).

Le groupe KPMG a pour mission de réformer l’administration et la fiscalité du Vatican. Le groupe KPMG fait partie de la Commission Trilatérale et se fait représenter au groupe de Bilderberg. KPMG ne cache pas ses convergences de vue avec Soros et n’hésite pas à travailler avec l’Open Society dans certaines ONG. Il soutient ouvertement le mouvement LGBT.

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Les Cabinets Ernst & Young et Promontory Financial Group  sont mandatés pour vérifier les opérations financières de l’Eglise et éplucher les comptes de la Banque du Vatican. Promontory contribue au « Group of Thirty » créé par la Fondation Rockefeller, un think tank qui rassemble les principales institutions financières et bancaires mondiales (président Jean-Claude Trichet). Ernest & Young est l’un des « Big Four », c’est-à-dire un des quatre premiers réseaux au monde en terme de chiffre d’affaire (derrière KPMG). Il a reçu le Trevor 2020 Award en raison de son soutien à la « communauté » LGBT.

On voit donc que les réformes du Pape François ont surtout consisté à introduire au cœur de l’Eglise des gens qui lui sont foncièrement hostiles. Tous ces gens gravitent de près ou de loin autour d’un Georges Soros qui n’a jamais caché son hostilité au catholicisme. Les Femens qui saccagent les églises, souillent les cathédrales et demandent l’abolition de la papauté sont ses créatures.  Ces gens sont aussi les représentants de la banque et de la finance mondiale : ce sont eux qui exploitent les « pauvres », ceux précisément dont François se veut le Pape. Ces gens font ouvertement la promotion du mouvement LGBT, du mariage homosexuel et de l’avortement. Ils sont liés à des organisations qui suscitent des guerres ou appellent à les faire. Sans égards pour les souffrances, ils encouragent des mouvements migratoires lourds de conséquences pour des continents entiers et pour l’Eglise elle-même. Ces produits de l’oligarchie, dont le désintéressement n’est pas le trait principal, donnent aujourd’hui à la papauté ses éléments de langage, disposent d’un droit de regard sur tout ce qu’il se passe au Vatican et sans doute informent-t-ils ces Soros qui rêvent à l’effondrement prophétique de l’Eglise.

Alors le pape est-il fou ou consent-il en toute lucidité à la destruction de son Eglise ? Est-il un antipape, un faux pape, ou un pape faux ? Un réformateur ? Non, un traître tout simplement, un « pape des pauvres » qui n’est qu’un pauvre pape.

Antonin Campana

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