Arnaque du système bancaire

Système bancaire:

« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
Henry Ford

 

Article d’Alain Pilote, paru dans « Vers Demain » de juillet-août 1985:

 

La dictature des banquiers et leur système bancaire d’argent-dette ne se limite pas seulement au Canada, mais s’étend dans tous les pays du monde. En effet, il suffirait qu’un seul pays se libère de cette dictature et donne l’exemple de ce que pourrait être un système d’argent honnête, émis sans intérêt et sans dette par le gouvernement souverain de la nation, pour que le système d’argent-dette des banquiers s’écroule dans le monde entier.

Cette lutte des Financiers internationaux pour installer leur système bancaire frauduleux d’argent-dette a été particulièrement virulente aux Etats-Unis depuis le tout début de leur existence, où les faits montrent que plusieurs hommes d’Etat américains étaient bien au courant du système d’argent malhonnête que les Financiers voulaient imposer et de tous les malheurs qu’il entraînerait pour l’Amérique. Ces hommes d’Etat étaient de véritables patriotes, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour conserver aux Etats-Unis un système d’argent honnête, libre du contrôle des Financiers. Les Financiers font tout pour tenir cachée cette facette de l’histoire des Etats-Unis, de peur que l’exemple de ces patriotes ne soit suivi encore aujourd’hui. Voici ces faits que les Financiers voudraient que la population ignore :

Benjamin Franklin

 

La population la plus heureuse

Nous sommes en 1750. Les Etats-Unis d’Amérique n’existent pas encore ; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la « Nouvelle-Angleterre », possession de la mère-patrie, l’Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps : « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe. » Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie :

« C’est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l’appelons Colonial Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d’achat et nous n’avons aucun intérêt à payer à personne. »

Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d’or et d’argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié.

« En un an, dit Franklin, les conditions changèrent tellement que l’ère de prospérité se termina, et une dépression s’installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs. »

Alors advint la guerre contre l’Angleterre et la déclaration d’indépendance des Etats-Unis, en 1776. Les manuels d’histoire enseignent faussement que la Révolution Américaine était due à la taxe sur le thé. Mais Franklin déclara : « Les colonies auraient volontiers supporté l’insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement : ce qui a créé dans les colonies la haine de l’Angleterre et causé la guerre de la Révolution. »

Les Pères Fondateurs des Etats-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l’exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américaine, signée à Philadelphie en 1787, dans l’article 1, section 8, paragraphe 5 : « C’est au Congrès qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur. »

 

Le système bancaire des banquiers

Mais les banquiers ne lâchèrent pas le morceau. Leur représentant, Alexander Hamilton, fut nommé Secrétaire du Trésor (l’équivalent de notre ministre des Finances) dans le cabinet de George Washington, et se fit l’avocat d’une banque nationale privée et de la création d’un argent-dette avec de faux arguments, tels que : « Une dette nationale, pourvu qu’elle ne soit pas excessive, est une bénédiction nationale… Le gouvernement se montrera sage en renonçant à l’usage d’un expédient aussi séduisant et dangereux, soit d’émettre son propre papier-monnaie. » Hamilton leur fit aussi accroire que seul l’argent-dette des banques privées était valable pour les transactions avec les pays étrangers.

Thomas Jefferson, le Secrétaire d’Etat, était fortement opposé à ce projet, mais le président Washington se laissa finalement convaincre par les arguments d’Hamilton. Une banque nationale fut donc créée en 1791, la « Bank of the United States », avec une charte d’une durée de 20 ans. Quoique nommée « Banque des Etats-Unis », elle était plus véritablement la « banque des banquiers », puisqu’elle n’appartenait pas du tout à la nation, au gouvernement américain, mais aux individus détenteurs des actions de la banque, les banquiers privés. Le nom de « banque des Etats-Unis » fut délibérément choisi dans le but de laisser croire à la population américaine qu’elle était propriétaire de la banque, ce qui n’était pas du tout le cas. La charte expira en 1811 et le Congrès vota contre son renouvellement, grâce à l’influence de Jefferson et d’Andrew Jackson :

« Si le Congrès, dit Jackson, a le droit d’après la Constitution d’émettre du papier-monnaie, ce droit leur a été donné pour être utilisé par eux seuls, non pas pour être délégué à des individus ou des compagnies privées. »

Ainsi se terminait l’histoire de la première Banque des Etats-Unis, mais les banquiers n’avaient pas dit leur dernier mot.

 

Les banquiers déclenchent la guerre

Nathan Rothschild, de la Banque d’Angleterre, lança un ultimatum : « Ou bien le renouvellement de la charte est accordé, ou bien les Etats-Unis sont impliqués dans une guerre très désastreuse. »

Jackson et les patriotes américains ne se doutaient pas que le pouvoir des banquiers pouvait s’étendre jusque-là.

« Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur dit le président Jackson. J’ai l’intention de vous déloger, et par le Dieu Eternel, je le ferai ! »

Nathan Rothschild émit des ordres : « Donnez une leçon à ces impudents Américains. Ramenez-les au statut de colonie. »

Le gouvernement anglais déclencha la guerre de 1812 contre les Etats-Unis. Le plan de Rothschild était d’appauvrir les Américains par la guerre à un tel point qu’ils seraient obligés de demander de l’aide financière… qui bien sûr ne serait accordée qu’en retour du renouvellement de la charte de la « Bank of the United States ».

Il y eut des milliers de morts, mais qu’importe à Rothschild ? Il avait atteint son but : la charte fut renouvelée en 1816.

 

On assassine Abraham Lincoln

Abraham Lincoln

Abraham Lincoln fut élu Président des Etats-Unis en 1860 avec la promesse d’abolir l’esclavage des Noirs. 11 Etats du Sud, favorables à l’esclavage des Noirs, décidèrent donc de quitter l’Union, de se séparer des Etats-Unis : ce fut le début de la Guerre de Sécession, ou Guerre Civile Américaine (1861-65). Lincoln, étant à court d’argent pour financer les armées du Nord, partit voir les banquiers de New-York, qui lui offrirent de l’argent à des taux allant de 24 à 36%. Lincoln refusa, sachant parfaitement que c’était de l’usure et que cela mènerait les Etats-Unis à la ruine. Mais son problème d’argent n’était pas réglé pour autant.

Son ami de Chicago, le Colonel Dick Taylor, vint à la rescousse et lui suggéra la solution : « Que le Congrès passe une loi autorisant l’émission de billets du Trésor ayant plein cours légal, payez vos soldats avec ces billets, allez de l’avant et gagnez votre guerre. »

C’est ce que Lincoln fit, et il gagna la guerre : de 1862 à 1863, Lincoln fit émettre 450 millions $ de « Greenbacks » (appelés ainsi par la population parce qu’ils étaient imprimés avec de l’encre verte au verso).

Lincoln appela ces greenbacks « la plus grande bénédiction que le peuple américain ait jamais eue. » Bénédiction pour tous, sauf pour les banquiers, puisque cela mettait fin à leur « racket » du vol du crédit de la nation et de création d’argent avec intérêt. Ils mirent donc tout en oeuvre pour saboter l’oeuvre de Lincoln. Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times (citation tirée de « Who Rules America », par C. K. Howe, et reproduite dans « Lincoln Money Martyred », par R. E. Search) :

« Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe. »(La « monarchie » des contrôleurs du crédit, les Banksters.)

Tout d’abord, dans le but de discréditer les Greenbacks, les banquiers persuadèrent le Congrès de voter , en février 1862, la « Clause d’Exception », qui stipulait que les Greenbacks ne pouvaient être utilisés pour payer l’intérêt sur la dette nationale. Ensuite, ayant financé l’élection d’assez de sénateurs et de députés, les banquiers firent voter par le Congrès en 1863 le retrait de la loi des Greenbacks et son remplacement par le National Banking Act (Loi des Banques Nationales, où l’argent serait créé avec intérêt par des compagnies privées).

Cette loi stipulait aussi que les Greenbacks seraient immédiatement retirés de la circulation aussitôt leur retour au Trésor pour paiement des taxes. Lincoln protesta énergiquement, mais son objectif le plus pressant était de gagner la guerre et de sauver l’Union, ce qui l’obligea à remettre après la guerre le veto qu’il projetait contre cette loi et l’action qu’il entendait prendre contre les banquiers. Lincoln déclara tout de même :

« J’ai deux grands ennemis : l’armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis. »

Lincoln fut réélu Président en 1864 et fit clairement savoir qu’il s’attaquerait au pouvoir des banquiers une fois la guerre terminée. La guerre se termina le 9 avril 1865, mais Lincoln fut assassiné cinq jours plus tard, le 14 avril 1865. Une formidable restriction du crédit s’ensuivit, organisée par les banques. L’argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions $ en 1866, soit 50,46 $ pour chaque Américain, tomba à 605 millions $ en 1876, soit 14,60 $ par Américain. Résultat : en dix ans, 54 446 faillites, pertes de 2 milliards $. Cela ne suffisant pas, on alla jusqu’à réduire la circulation d’argent à 6,67 $ par tête en 1867 !

 

William Jennings Bryan : « Les banques doivent se retirer »

William Jennings Bryan

L’exemple de Lincoln demeurait néanmoins dans plusieurs esprits, même jusqu’en 1896. Cette année-là, le candidat démocrate à la présidence était William Jennings Bryan, et encore une fois, les livres d’histoire nous disent que ce fut une bonne chose qu’il ne fut pas élu président, car il était contre la monnaie « saine » des banquiers, l’argent créé sous forme de dette, et contre l’étalon-or :

« Nous disons dans notre programme et nous croyons que le droit de frapper et d’émettre la monnaie est une fonction du gouvernement. Nous le croyons. Et ceux qui y sont opposés nous disent que l’émission de papier-monnaie est une fonction de la banque, et que le gouvernement doit se retirer des affaires de la banque. Eh bien ! moi je leur dis que l’émission de l’argent est une fonction du gouvernement, et que les banques doivent se retirer des affaires du gouvernement… Lorsque nous aurons rétabli la monnaie de la Constitution, toutes les autres réformes nécessaires seront possibles, mais avant que cela ne soit fait, aucune autre réforme ne peut être accomplie. »

 

Le plus gigantesque trust

Charles A. Lindbergh

Et finalement…

Le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l’argent, et remettait ce pouvoir à la « Federal Reserve Corporation ».

Un des rares membres du Congrès qui avait compris tout l’enjeu de cette loi, Charles A. Lindbergh (le père du célèbre aviateur), déclara :

« Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président (Wilson) signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire. »

 

L’éducation du peuple

Qu’est-ce qui a permis aux banquiers d’obtenir finalement le monopole complet du contrôle du crédit aux Etats-Unis ?

L’ignorance de la population sur la question monétaire !

 

John Adams écrivait à Thomas Jefferson, en 1787 :

« Toutes les perplexités, désordres et misères ne proviennent pas tant de défauts de la Constitution, du manque d’honneur ou de vertu, que d’une ignorance complète de la nature de la monnaie, du crédit et de la circulation. »

Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi des Banques Nationales :

« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d’un côté, et les banques de l’autre, dans une lutte telle que nous n’avons jamais vue dans ce pays. »

Et l’industriel Henry Ford a dit :

« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »

 

L’éducation du peuple, voilà donc la solution.

Et c’est justement la formule de « Vers Demain ». Ah ! si tous les créditistes comprenaient leur responsabilité de répandre « Vers Demain » ! Le Crédit Social, qui établirait une économie où tout est ordonné au service de la personne humaine, a justement pour but de développer la responsabilité personnelle, de créer des hommes responsables. Chaque conquête d’un esprit au « Crédit Social » est une avance. Chaque personne formée par le « Crédit Social » est une force, et chaque acquisition de force est un pas de plus vers la victoire. Et depuis 69 ans, que de forces acquises !… Et si elles étaient toutes actives, le Crédit Social, c’est réellement avant demain matin qu’on l’aurait !

Comme l’écrivait Louis Even en 1960 : « L’obstacle n’est ni le financier, ni le politicien, ni aucun adversaire déclaré. L’obstacle est seulement dans la passivité d’un trop grand nombre de créditistes qui souhaitent bien voir venir le triomphe de la cause, mais qui laissent à d’autres le soin de la promouvoir. »

Louis Even

Louis Even

En somme, c’est le refus d’endosser notre responsabilité. « A ceux qui ont beaucoup reçu, il sera beaucoup demandé. » (Luc 12, 48.) Examen de conscience, chers créditistes ! Conversion personnelle, un petit coup de coeur et endossons nos responsabilités ! Nous n’avons jamais été aussi près de la victoire !

Notre responsabilité, c’est de faire connaître le Crédit Social aux autres, en les faisant s’abonner à Vers Demain, le seul journal qui fait connaître cette brillante solution. »

Aujourd’hui, quatre-vingts-ans après le début des prédications de Louis Even, si le mouvement des gilets jaunes arrive à maîtriser la violence et à sensibiliser le grand nombre à l’imposture bancaire, nous toucherons peut-être au but: La fin de cette mafia sinistre, génératrice de tant de guerres et de révolutions meurtrières.

Cette vidéo est intéressante en ce qu’elle décortique de façon simple et avec humour le fonctionnement crapuleux à la base, de l’argent-dette de cette gigantesque escroquerie appelée « système bancaire » !

 

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11 Septembre 2001: L’heure de vérité approche

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11 Septembre 2001: L’heure de vérité approche.

 

Nous y sommes presque:

Un Grand Jury aux USA va mener une nouvelle procédure.(Un grand jury est une institution au sein d’un tribunal qui a le pouvoir de mener une procédure officielle pour enquêter sur les potentiels actes criminels et déterminer si des accusations doivent être retenues.)

Le grand jury peut exiger (subpoena) la production de documents et la comparution de témoins sous serment. Actuellement, seuls les États-Unis utilisent des grands jurys.

Ceci a été rendu possible sous la pression d’associations de juristes, architectes et ingénieurs décidées à ré-ouvrir le dossier de l’attentat sous faux drapeau du 11 Septembre 2001. ​

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Cliquez sur l’image pour plus d’infos: (en anglais)

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D’autres articles sur le sujet ici

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Vous avez dit « antisémitisme » ?

 

Cet article n’a pas pour but de s’en prendre à des personnes, ayant chacune droit au respect en tant que Créature de Dieu.

Que l’on ne déforme pas les propos de cet article.

C’est à un réveil et à un réarmement spirituel qu’il convient d’appeler les Gaulois. « Ils » sont forts parce que nous sommes faibles… ou plus exactement nous sommes faibles parce que bernés en permanence: Il est facile de bâtir une domination sur des gens trépanés d’une grande partie de leur esprit critique !

Je renvois également à l’article sur l’origine khazare de la plupart des Juifs aujourd’hui.

Par conséquent:

Aucun appel à la violence ici, mais un appel au réveil des intelligences et de l’esprit critique:

Simple !

Il est aujourd’hui devenu monnaie courante de se faire joyeusement traiter d’antisémite lorsque vous évoquez par exemple le rôle des cartels financiers apatrides Rotschild par exemple. Ainsi mettre en accusation les groupes responsables historiques du système d’esclavage par l’argent-dette inventé par ces gens est « antisémite » ! Fort bien.

34.000 milliards de dollars pour la fortune des Rotschild et 2000 milliards de dette pour la France: vous saisissez ?

Vous êtes également traité d’antisémite si vous suggérez qu’il est tout de même abusif que le personnel-cadre de « France-Inter » par exemple soit constitué à 90% de personnes d’extraction juive, alors que cette population ne représente environ que 1% de la population totale de notre pays ! Une simple constatation d’ordre statistique, est donc également antisémite ! Diable !

Dernier exemple évidemment avec la Palestine: De quel droit les Israëliens ont-ils exproprié, chassé et parqué dans des réserves les habitants originels de ce pays ? Ces Israëliens qui demandent le respect pour eux-même…D’où tirent-ils ce droit de persécution et d’impunité ? La question se pose, bien qu’aucune réponse rationnelle ne soit avancée. Simplement la poser relèverait donc de l’antisémitisme encore une fois ?

Pour la personne ne connaissant pas les arrière-plans de ces simples questionnements dictés par le plus élémentaire bon sens, mieux vaut sans doute, pense-t-elle, rester dans le flou artistique, sous peine de se voir immédiatement couverte d’infâmie au plus léger début de réflexion… Certes, se dit-elle, mais après tout c’est ainsi …

Ce que cette personne ne sait pas par contre c’est qu’il existe des éléments de réponse rationnels se situant dans les traditions religieuses et donc culturelles. Ne se nomment-t-ils pas eux-même « le peuple élu » ?

Il n’est donc pas étonnant s’estimant élus de Dieu lui-même, qu’ils aient codifié leurs rapports avec les autres peuples dans un écrit comme le Talmud. Dès lors leur attitude tend à s’éclaircir quelque peu.

 Il n’est plus possible de ne pas pouvoir examiner librement les effets des présupposés religieux et culturels d’un groupe humain parmi d’autres sur les autres groupes humains à la surface de cette terre !

(Texte trouvé sur : https://fr.osdn.net/projects/bexlib/lists/archive/devel/2009-January/002950.html)

 

« Dans la vision du monde des Juifs, le goy (goyim au pluriel) est le non-juif. Il est considéré comme une bête. D’après le Talmud, de loin le plus influant des textes sacrés du judaïsme, il vaut moins qu’un chien. Sa seule vocation est donc de servir son maître Juif sans jamais pouvoir se plaindre. Autrement, il passe pour “raciste”, “antisémite” et les Juifs feront tout pour lui en faire subir les conséquences.

En démocratie, l’information est censée être libre et plurielle. En réalité, les médias importants sont entièrement entre les mains des Juifs, et ce dans pratiquement tous les domaines.

Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades, au pire des monstres incarnant le diable. L’antisémitisme serait le mal absolu et, désormais, l’antisémite c’est celui que les Juifs n’aiment pas.

L’antisémitisme, condition de notre survie:

Avant la Première guerre mondiale, il y avait moins de 100.000 Juifs en France pour 42 millions d’habitants. De nos jours, ce nombre est passé à environ 600.000, soit moins de 1 % de la population totale du pays. Au départ, il s’agissait surtout de Juifs ashkénazes, originaires de différents pays européens. Mais depuis les années soixante, la grande majorité d’entre eux est représentée par les Séfarades ou “Juifarabes”, venus d’Afrique du nord.

Autant dire qu’ils ne représentent en rien une quelconque communauté homogène. En leur sein, les individus au type européen côtoient ceux à l’aspect négroïde, révélant les véritables origines de chacun. Et pourtant, leur seule référence identitaire commune est de nature généalogique, pour ne pas dire génétique. Serait vraiment “juif ” celui qui a du “sang juif”, en principe celui transmis par voie maternelle mais, de facto, une telle distinction est maintenant devenue caduque. Bien des Juifs à l’affirmation identitaire péremptoire doivent leur judéité à un grand-père qui n’avait d’autres soucis que de faire oublier ses encombrantes “racines hébraïques”.

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs “décisifs” de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une “race supérieure” spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.

Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout “réussi” avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet.

Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de “racisme” ou d’”antisémitisme”, en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse “maladie criminelle” passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste.

Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Donc davantage de pouvoir aux Juifs.

Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger.

Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires.

Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.

D’ailleurs, les Juifs eux-mêmes tiennent jalousement à préserver leur particularisme, une des conditions de leur solidarité communautaire, garantissant leur réussite. Ne se targuent-ils pas de descendre d’Abraham, un bédouin arabe ayant vécu il y a près de 4000 ans dont ils s’efforcent de préserver l’héritage génétique en recommandant une stricte endogamie !

Les Juifs ont beau ainsi nous faire croire qu’ils sont comme nous, en réalité, ils sont surtout contre nous. Ceux qui se prétendent “français” ne sont que des hypocrites et de vils imposteurs, espérant profiter de la naïveté ou de la démission de leurs victimes.

D’où leur volonté de nous dénaturer, de nous déraciner, sur le sol de notre propre patrie. Il faut pour eux que nous cessions de nous réclamer de nos racines européennes pour ne plus être que de simples résidents de France, comme eux-mêmes, comme n’importe quel immigré.

Leur litanie : la France, terre d’immigration ! Terre de brassage ! Terre des Droits de l’Homme.

Ce qui pour eux se comprend : de l’Homme juif, avec son regard rivé sur Israël et la défense de ses intérêts impériaux…

Mais ce qui est légitime pour les autres peuples ne pourrait que l’être pour nous-mêmes. Partout, on se réclame avec raison du terroir. Partout, on s’efforce de préserver les traditions, de valoriser les patrimoines collectifs, de réhabiliter les héritages du passé menacés par l’aliénation planétaire de la globalisation.

Il est donc pour nous parfaitement justifiable de chercher à défendre notre identité de peuple européen, de race blanche, sur nos terres. Si c’est cela le “racisme”, nous devons avoir le courage de l’assumer sans complexe.

D’ailleurs, quel peuple au monde ne serait pas alors “raciste” ? En tout cas, certainement pas les Juifs !

Résister à la domination juive qui promet de nous être fatale à brève échéance est pour nous plus qu’un droit, un devoir sacré. Les Juifs sont véritablement nos ennemis mortels, comme ils sont aussi en définitive les ennemis de toutes les nations du monde qu’ils vouent à la corruption de leur identité, à l’avilissement de leur culture, ou même pour les plus vulnérables, à la misère et à une servitude perpétuelle, jusqu’à leur disparition.

Déjà au premier siècle, comme le rapporte l’écrivain romain Tacite, on les accusait volontiers de “haïr le genre humain”!

Depuis, cela n’a fait qu’empirer.

Ils sont en effet les premiers responsables et les principaux bénéficiaires des idéologies les plus malfaisantes ayant sévi au cours des deux derniers siècles: le capitalisme, le socialo-communisme, l’antiracisme, l’individualisme asocial, le mondialisme néo-libéral…

Plusieurs dizaines de millions d’innocents ont péri par les guerres et les révolutions qu’ils ont fomentées et des milliards de gens qui ne leur ont jamais fait le moindre mal vivent maintenant dans l’humiliation et le désespoir. Même la survie de l’humanité se retrouve gravement menacée par la dégradation de la planète dans laquelle ils ont davantage contribué que tout autre groupe, étant donné leur exceptionnelle “réussite”…

Avec la globalisation que personne, en dehors des multinationales et de leurs profiteurs, n’a réellement souhaité, le voisinage des Juifs devient aussi mondial. Les mêmes causes provoquant les mêmes effets, comme fatalement, les sentiments de rejet à leur endroit ne cessent de se développer jusqu’aux recoins de la planète. A croire que ce que l’on qualifie d’”antisémitisme” est véritablement une réaction allergique qui se manifeste au seul contact des Juifs triomphants. Il n’y aurait alors que les abrutis par le discours antiraciste pour s’imaginer que la responsabilité en incombe au “préjugé raciste” qu’il conviendrait de combattre avec davantage d’endoctrinements et de répression. Si l’on veut enrayer le mal, ce n’est pas aux victimes de l’infection qu’il convient de pointer le doigt mais aux agents propagateurs de la maladie. Les Juifs sont porteurs d’antisémitisme, comme le vent du désert est porteur de sable. Tout esprit encore sain ne pourra qu’exprimer une réaction de rejet face aux manifestations intolérables de sémitisme dont ils font continuellement preuve. C’est donc ce dernier qu’il faut combattre si l’on cherche réellement à faire disparaître l’antisémitisme.

Depuis les origines du monothéisme hébraïque, par le biais de la doctrine de l’”élection divine” au profit exclusif de leur tribu, les Juifs se sont d’eux-mêmes exclus de la communauté des nations, rejetées avec mépris comme “goyim”.

Aujourd’hui, les membres de ces nations qui se sentent réellement exclus des affaires qui les concernent commencent à s’interroger à leur tour sur la place des Juifs dans le monde.

On ne saurait alors douter qu’ils ne tarderont à leur demander des comptes.

Ce ne sera jamais que justice. Un ultime espoir pour les opprimés et les vaincus sans défense que l’on a accablé des pires crimes qu’ils n’ont jamais commis.

« La seule chose grave à l’heure actuelle, pour un grand homme, savant écrivain, cinéaste, financier, industriel, politicien (mais alors la chose gravissime) c’est de se mettre mal avec les Juifs. – Les Juifs sont nos maîtres – ici là-bas, en Russie, en Angleterre, en Amérique, partout !… Faites le clown, l’insurgé, l’intrépide, l’antibourgeois, l’enragé redresseur de torts… le Juif s’en fout ! Divertissements… Babillages ! Mais ne touchez pas à la question juive, ou bien il va vous en cuire… Raide comme une balle, on vous fera calancher d’une manière ou d’une autre… Le Juif est le roi de l’or de la Banque et de la Justice… Par homme de paille ou carrément. II possède tout… Presse… Théâtre… Radio… Chambre… Sénat… Police… ici ou là-bas…” L.-F. Céline, Bagatelles pour un Massacre (1937)

“Son but immédiat (de la communauté juive organisée, ndlr), ne pourra être que de détruire l’état de choses existant ( je veux dire les traditions nationales du pays qui lui a donné l’hospitalité ) pour y instaurer un ordre nouveau selon lequel il ne sera plus tenu à l’écart mais complètement et définitivement agrégé , car c’est là le seul espoir , la seule évolution victorieuse d’un peuple qui est le seul au monde à n’avoir pas de patrie , détruire systématiquement toutes les patries des autres où il demeure en étranger pour qu’il n’y ait plus qu’une seule humanité où on ne le distinguera plus du reste des hommes.”

Marcel Jouhandeau, Le Peril juif (1972)

Voici un petit exemple des représentants de cette communauté organisée en France:

– ABECASSIS, Eliette. Écrivaine féministe engagée. Fille d’Armand ABECASSIS, spécialiste du judaïsme issu d’une famille juive du Maroc.

– ABEHSERA, Charles. Industriel du textile (Morgan) né dans une famille juive du Maroc.

– ABERGEL, Jacques. (ancien PDG de BFM et de la régie d’Europe 1 Le Nouvel Économiste)

– ADDA, Serge. Juif de Tunisie. PDG de Canal + puis TV5. Fils de Georges ADDA, leader du Parti communiste tunisien durant la période coloniale.

– ADJANI, Isabelle. Actrice juive originaire de Kabylie.

– ADLER, Alexandre. Journaliste et documenteur de télévision. Après avoir été militant socialiste puis communiste, il est devenu l’un des principaux propagandistes de la domination américano-sioniste, soutien de Bush, puis soutien de Sarkozy et Obama. Fervent partisan d’Israel, administrateur de l’Union libérale israélite de France et monte de diverses officines pro-juives. Il est également dignitaire franc-maçon. Son épouse, Blandine Kriegel (conseillère à l’Elysée), est la fille du juif bolchevique Maurice Kriegel-Valrimont, résistant communiste durant la guerre, puis député, décédé en 2006.

– AFFLELOU, Alain. Industriel, né dans une famille juive d’Algérie. Fortune estimée à 100 millions d’euros, l’une des plus grosses de France.

– AÏDENBAUM, Pierre. Maire PS du IIIe arrdt de Paris, président de la LICRA de 1992 à 1999 et président de la régie immobilière de Paris.

– ALIOT Louis : cadre du Front National, d’origine juive sépharade par sa mère. Secrétaire général du Front National, qu’il a contribué à aseptiser et shabbat-goyiser, avec l’aide de Marine Le Pen…

– ALPHANDERY, Edmond : député UDF, ministre de l’économie sous Balladur, en bon juif libéral il privatisa plusieurs banques (Banque nationale de Paris), Elf, Rhone-Poulenc…

– AMAR, Paul : juif d’Algérie, journaliste pédant pro-sioniste.

– Ammar Zvi (Sylvain) – Président du Consistoire Israélite de Marseille

– ANCONINA, Richard. Comédien, issu d’une famille juive de Tunisie.

– ANTHONY, Richard (né BETSCH) : chanteur, juif d’Egypte

– ARDITI, Pierre. Comédien, né d’un père juif. Marié à la comédienne juiveEvelyne BOUIX. Défenseur de l’immigration.

– ARON, Raymond : l’un des sociologues, philisophe et politologues les plus influents de France de l’après guerre. Défenseur du libéralisme à tout va. Décédé en 1983.

– ARTHUR (ESSEBAG Jacques, dit). L’animateur reconnu pour être “le plus con de la radio et ensuite, de la télé” (et aussi le plus vulgaire et le plus avide de tout, en particulier d’argent !) est né au Maroc dans une famille juive. Vulgaire, obsédé par le fric et les femmes (blanches de préférence), prosioniste. Sans doute l’un des pires responsables de l’abêtissement des émissions télé ces 20 dernières années. Vice-président d’Endemol.

– ASSAYAS, Olivier. Cinéaste, fils de Jacques Rémy. Frère du journaliste Michka ASSAYAS.

– ASSOULINE Pierre : journaliste de renom

– ATTALI, Jacques. Banquier et écrivain, d’une famille juive d’Algérie. Il est le fils d’un riche parfumeur algérois qui aurait voulu être rabbin. La famille s’est installée en France en 1956. Jacques Attali devient le conseiller spécial de Mitterrand dès le 11 mai 1981, puis, le président de la Banque européenne de développement où ses “largesses” pour lui-même et ses amis font scandale. Il a fait l’apologie de la puissance financière juive et milite pour l’entrée de la Turquie en Europe, mais également pour l’immigration venant du tiers-monde, et de la marchandisation de l’humain (du blanc de préférence). Son frère Bernard ATTALI était PDG d’Air France et cadre de diverses groupes financiers ou d ‘assurances, avant de se mettre au service des entreprises américaines opérant dans les rachats d’entreprises stratégiques en France.

– ATTIAS Cecilia : première femme de Nicolas Sarkozy, juive-tsigane de Moldavie par son père (nom de famille « Ciganer »), et juive espagnole par sa mère (« Albenitz »). Se déclara fière de n’avoir aucune goutte de sang français. A peine son mari élu, ils s’empressèrent de divorcer, et parti se marier avec le juif new-yorkais Richard ATTIAS.

– AYACHE, Alain. Patron de presse dans le genre “people”, issu d’une famille juive d’Algérie.

–AYACHE Jennifer : chanteuse de Superbus, juive par son père, fille deChantal LAUBY, du groupe comique « Les Nuls », elle même en partie juive hongroise.

– AZOULAY, Jean-Luc. Juif originaire d’Algérie. Co-fondateur avec son compatriote Claude BERDA du groupe AB, produisant des films et animations télévisuelles destinées à la jeunesse.

– BACRI, Jean-Pierre. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.

– BADINTER, Robert. Alors qu’il était avocat de la LICRA contre Robert Faurisson, Mitterrand en fit son ministre de la justice en 1981. Président du Conseil Constitutionnel en 1986. Il siège toujours au Conseil représentatif des institutions juives et du Fond social juif unifié. Sa seconde épouse, la féministeElisabeth Badinter, est la fille du publiciste milliardaire Marcel Bleustein-Blanchet (fondateur de Publicis Groupe SA) et la petite-fille du communard Edouard Vaillant (1840-1915). Les principales actions politiques à mettre au crédit de Badinter sont l’interdiction de la peine de mort, et la dépénalisation des relations sexuelles homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans…

– BALASKO, Josiane (BALASCOVIC, dite). Actrice et cinéaste, née dans une famille juive venue de Yougoslavie. Belle-sœur de Richard BERRI et mère de la comédienne Marilou BERRI. Sioniste, et militante pro-immigration, pro-clandestin.

– BALKANY Patrick : membre fondateur du RPR, député-maire ripoux plusieurs fois condamné (ce n’est pas que les autres soient irréprochables, mais lui s’est au moins fait attrapé).

– BARBELIVIEN, Didier : auteur-compositeur, pape de la variété dégoulinante

– BARNEY, Phil (né Philippe Baranès) : chanteur, juif d’Algérie

– BARZACH, Michèle. Ancien ministre de la Santé de Chirac (198-61988, elle jugea que que le nuage de Tchernobyl n’aurait aucune incidence sur la santé publique…). Née le 11 juillet 1943 au Maroc dans une famille juive ashkénaze, elle a été compromise dans le scandale du sang contaminé par le sida.

– BAUER, Axel : chanteur

– BEART, Emmanuelle : actrice, père juif d’Egypte (Guy BEHAR, chanteur)

– BEIGBEDER, Frédéric : écrivain

– BEIGBEDER, Charles. Son frère, multimillionnaire, fondateur de Selftrade (courtage en ligne) et Poweo.

– BEDOS, Guy : juif d’Algérie, humoriste gauchiste et antifasciste.

– BELLAHSEN, Fabien – Directeur de la plus grande edition de cuisine internationale

– BENAYOUN, Michaël (dit YOUN) : « humoriste » et acteur vulgaire, auteur de films potaches et débiles.

– BENAZERAF, José. Issu d’une famille juive du Maroc, il est devenu le principal promoteur du cinéma pornographique en France dans les années 1970.

– BENGUIGUI, Jean. Comédien, juif d’Algérie.

– BENMAKHLOUF, Alexandre. Ancien conseiller de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Ancien directeur de cabinet de l’ancien Garde des Sceaux Jacques Toubon, magistrat influent.

– BEREGOVOY Pierre. Il était le fils d’Adrïan Beregovoy. Né le 23 décembre 1925 à Isum (Russie) dans une famille juive d’Ukraine. Plusieurs fois ministre puis premier ministre. Son frère Michel Beregovoy est député socialiste.

– BENAMOU Georges : journaliste, fondateur de Globe (avec l’aide de Pierre Bergé, pdg d’Yves Saint-Laurent, prohomosexuel, gauchiste), torchon gaucho-bobo, pro-Mitterrand, antiraciste. Soutien de Sarkozy dans les années 2000.

– BERRI, Claude (LANGMANN, dit). Acteur-producteur de cinéma. Père de l’acteur-producteur Thomas Langmann et de l’acteur Julien RASSAM.

– BERRY, Richard (BENGUIGUI, dit). Comédien, né d’une famille juive d’Algérie.

– BIRNBAUM, Michel : magnat de presse, patron de presse, dirigeant de Play Boy, BHM, Newlook et Rolling Stone

– BESNAINOU, Pierre : Fondateur et PDG de Liberty-Surf

– BESSON, Eric : juif par sa mère (Marie-Thérère MUSA). Homme politique de l’UMP, ministre, ultra-sioniste.

– BISMUTH, Gerard : Avocat au barreau de Marseille- premier Adjoint au maire d’Allauch- Ex président du PACUEJ

– BLOCH-LAINE François : Né le 25 mars 1912 à Paris, mort le 25 février 2002 à Paris); haut fonctionnaire; militant associatif (éducation populaire, logement, tourisme social, etc.). Père de Jean-Michel Bloch-Lainé.

– BLUM, Roland : né en 1945 dans les Bouches-du-Rhône en est depuis plus de 20 ans le Député. C’est le 1er député à avoir interpellé le gouvernement sur l’Affaire Al-Durah, ce reportage pouvant être une mise en scène au détriment de l’image d’Israël dans le monde

– BOCCARA, Bruno : L’un des plus grands avocats parisiens, spécialiste incontesté des baux commerciaux, auteur de plusieursouvrage et d’innombrables articles.

– BOOBA, nom de scène du « chanteur » de rap Elie YAFFA, idole de la génération racaille. sénégalais par son père, juif du Maroc par sa mère. Se dit « musulman » pour mieux vendre sa soupe à ses compatriotes des banlieurs.

– BOON, Dany (née Daniel HAMIDOU) : arabe par son père, chtimi par sa mère. Converti au judaisme. Marié à Judith Godrèche (juive) puis Yaël Harris (juive)

– BORLOO, Jean-Louis. Député et plusieurs fois Ministre sous Chirac puis Sarkozy, sioniste, affairiste et franc-maçon. Marié à Béatrice Schönberg (née SZABO), présentatrice à France 2.

– BOUBLIL, Alain : Directeur de cabinet de Pierre Beregovoy

– BOUJENAH, Michel : acteur juif sépharade.

– BOUSSEL-GRINBERG, Pierre : juif de Russie. Communiste puis trotskyste influent, modèle de Mélenchon et Besancenot, tout un programme…

– BOUVARD Philippe : présentateur tv, obsedé sexuel. N’a révélé sa judaité que récemment.

– BRANT, Mike: Son vrai nom Moshé Michaël Brand chanteur crooner israélien, né le 1er février 1947 à Famagouste (Chypre) et décédé le 25 avril 1975 à Paris.

– BRAUMAN, Rony. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières. Ses prises de positions en faveur des Palestiniens lui ont valu des critiques virulentes de la part des autres juifs.

– BREDIN, Jean-Denis. Né HIRSCH-BREDIN, devenu Bredin par décret du 16 mars 1950, ancien associé de Robert Badinter et académicien antiraciste.

– BREITMAN, Zabou. Actrice et réalisatrice de cinéma. Fille de lfacteur-réalisateur Jean-Claude Deret.

– BRUEL, Patrick (né BENGUIGUI). Chanteur, acteur et joueur de poker professionnel issu d’une famille juive d’Algérie.

– BRUNI Carla (née BRUNI-TEDESCHI) : pute d’envergure mondiale d’origine juive italienne, mariée à Sarkozy.

– BUFFET, Marie-Georges. Ministre communiste de la jeunesse. Son nom de jeune fille est KOSELLEK. Son directeur de cabinet est Gilles SMADJA, militant communiste, ancien chef du service société du journal lfHumanité.

– CAMBADELIS, Jean-Christophe. Fils de diamantaire originaire de Grèce. Spécialiste de la lutte contre glfextrême-droiteh. Membre du PS.

– CAMUS, Jean-Yves. Journaliste goy converti au judaïsme et qui, dans lfespoir de se faire accepter, fait de la surenchère de sionisme en se montrant enragé contre glfextrême-droiteh.

– CARLOS (DOLTOVITCH, Jean-Christophe, dit). Chanteur, issu d’une famille juive venue de Russie. Sa mère était Françoise DOLTO, médecin psychanalyste réputée.

– CAROLIS, Patrick De : journaliste et chef du groupe France Television.

– CASSEL, Vincent : acteur, juif par sa mère, Sabine Litique.

– CASTALDI, Benjamin. (Loft Story) : semi-juif, présentateur télé, petit-fils de Simone Signoret (née Kaminker).

– CHABAT, Alain. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CHAIN, Emmanuel : présentateur télé et producteur

– CHARVET, David (GUEZ, dit). Acteur et chanteur, issu dfune famille juive de Tunisie.

– CHATELAIN Jérémy : chanteur

– CHEMLA, Elisabeth. Journaliste au Nouvel Observateur et à Proche-Orient Info, originaire dfAlgérie. Elle sfest fait remarquer par son ultra-sionisme hystérique.

– CHEVENEMENT, Jean-Pierre. Ancien ministre socialiste, issu dfune famille (de lointaine origine juive suisse). Son épouse, la sculpteuse Nisa GRUNBERGest née en Egypte dans une famille juive et ses enfants sont juifs pratiquants.

– CHOURAQUI, Elie. Cinéaste, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CITROEN, André : fondateur de l’empire industriel Citroën (en 1919). Juif hollandais par son père, juif polonais par sa mère.

– CIXOUS, Hélène. Universitaire et militante féministe. Sa mère était juive dfAllemagne et son père juif algérien.

– CLERC, Julien (né Leclerc) : juif par son père, haut fonctionnaire à l’UNESCO. Chanteur

– COHEN, David. (dit Dany BRILLANT) : chanteur, sans talent particulier

– COHN-BENDIT, Daniel : leader de mai 68, devenu leader « ecologiste » et nesioniste. Apologiste de la pédophilie, antiraciste fanatique…

– COLLARO, Stéphane : journaliste et prodcteur animateur de télévision

– COPÉ, Jean-François. Homme politique, juif roumain par son père (Copelevici) et mère juive d’Algérie.

– CORDY, Annie (née COOREMAN) : chanteuse, juive de Bruwelles

– CUKIERMAN Roger : président du CRIF de 2001 à 2007.

– DAENINCKX, Didier. Romancier médiocre et mouchard professionnel pour le compte du Mossad. On lui a attribué comme nom de code glfahuri des poubellesh.

– DAHAN , Etienne. (dit DAHO) : chanteur

– DANIEL, Jean (BENSAÏD, dit). Essayiste et journaliste, responsable du Nouvel Observateur. Il est le 11e et dernier enfant dfune famille juive pieuse. Confident de François Mitterrand.

– DARMON, Gérard. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– DASSAULT, Serge. Fils de Marcel DASSAULT (né BLOCH). Industriel multicarte. 3e fortune de France. Marchant d’armes, patron de presse (Le Figaro), maire de Corbeil-Essone, sénateur. Ultracapitaliste et sioniste, il se déclare malgré tout admiratif du système social et de l’emploi chinois, se désolant de l’existence des grèves et des syndicats.

– DASSIN, Joe (né Joseph Ira DASSIM) : juif américain de New York, chanteur à succès en français

– DAVE : Son vrai nom Wouter Otto LEVENBACH, est un chanteur juif néerlandais populaire en France, francophone et quasiment inconnu aux Pays-Bas.

– DAYAN, Josée. Réalisatrice de cinéma, née en Algérie.

– DEBRE, Michel. L’ancien Premier ministre (décédé) du général de Gaulle a renoué avec ses racines juives au crépuscule de sa vie. Il était petit-fils du grand rabbin Simon Debré, originaire d’Alsace. Parmi ses enfants, on peut citer Jean-Louis DEBRE, Président de l’Assemblée nationale très proche de Chirac etBernard DEBRE, urologue, ancien député et ministre de la Coopération.

– DECHANNE, Christophe (né Dechavanne-Binot) : juif par sa mère

– DELANOE Bertrand : juif de Tunisie par son père. Elu socialiste, mai de Paris, militant homosexuel fanatique, prosioniste, pro-immigration. Sous son règne, Paris a réussi l’exploit d’être encore plus dégénérée.

– DELON, Anthony: acteur, son père est Alain Delon, sa mère est la juive Francine Canovas, fille de la famille Juive Marrane du même nom ayant vécu sous le protectorat français au Maroc, dans la ville d’Oujda.

– DERAI, Yves. Directeur des programmes de la radio BFM (dirigée par Alain Weil), la radio du big business qui n’hésite pas à inviter ses auditeurs à aller à la fête de Lutte ouvrière. Ancien directeur de Tribune juive (1993-1998).

– DERRIDA, Jacques. Ecrivain (décédé en 2004), issu d’une famille juive d’Algérie.

– DESIR, Harlem. Premier leader de SOS-Racisme, devenu ensuite député h européen h du groupe socialiste. Son père est dforigine martiniquaise et sa mère juive dfAlsace.

– DIEFENTHAL Frédéric : acteur et producteur

– DISTEL, Sacha : chanteur, juif de Russie

– DRAI, Pierre. Lfancien Président de la cour de cassation est également président de lfAssociation des Amis de lfuniversité de Jérusalem.

– DRAY, Julien. Politicien né dans une famille juive dfAlgérie. Il milite à la Ligue communiste révolutionnaire jusqufen 1982. Devenu agitateur professionnel pour le compte du parti socialiste, il est avec Harlem Désir à lforigine de la création de SOS-Racisme. Il avait défrayé la chronique en achetant en liquide une montre de 250.000 francs (plus de 38.000 euros). Antiraciste obsessionnel.

– DREYFUS, Tony. Député-maire PS du Xe arrondissement de Paris.

– DRUCKER, Michel. Animateur de télé, juif de Roumanie par son père Abraham Drucker. Son frère Jean Drucker (décédé en 2003) était PDG de télévision (Société Française de Production, Antenne 2 et ensuite M6). Ce dernier laisse deux filles, Marie Drucker, présentatrice à France 3 et Léa Drucker, comédienne.

– DRUON, Maurice. « résistant » des ondes de la BBC à Londres, il écrit le chant bolchévique « le chant des partisans ». Secrétaire perpétuel de lfAcadémie Française. Neveu de lfécrivain Joseph Kessel dont la famille juive est originaire de Lithuanie.

– DUTEIL, Yves : chanteur, petit neveu du capitaine Dreyfus.

– ELBAZ, Vincent : acteur

– ELBE, Pascal : acteur

– ELKRIEF, Ruth : journaliste

– ELMALEH Gad : humoriste et acteur juif du Maroc.

–EMMANUELLI Henri : financier, député et ministre socialiste

– ENDERLIN, Charles : journaliste à la double nationalité française-israelienne. Fut notamment correspondant de France 2 en Israel.

– ESSEL, André. Militant trotskyste. Fondateur de la FNAC avec le milliardaire franc-maçon Max Théret.

– ESTIER, Claude. Ex-président du groupe socialiste au Sénat. Né ClaudeHASDAY EZRATTY dans une famille juive dfAlgérie. Comme bon nombre de juifs en France, il a obtenu de changer son nom, en ESTIER en 1983. Ami personnel de Mitterrand, député et sénateur.

– FABIUS, Laurent. Ancien Premier ministre et Président de lfAssemblée nationale socialiste, compromis dans le scandale du sang contaminé par le virus du sida. Son père, André FABIUS, était un richissime marchand de tableau. Sa mère, née STRASBURGER, est issue dfune famille de bijoutiers juifs de Francfort. Il est le principal promoteur de la loi Fabius-Gayssot de 1990 qui a mis fin à la liberté dfexpression en France, et ensuite celle de 1996, qui institue la délation pour permettre aux associations gantiracistesh sous domination juive dfimposer la terreur de la pensée unique. Sans conteste l’un des juifs les plus néfastes de France.

– FARRUGIA, Dominique : acteur, humoriste . D’origine maltaise (donc sémite), mais converti au judaisme

– FERRAT Jean (TENENBAUM, dit). Chanteur et communiste militant, pro-invasion de la France.

– FERRO, Marc. Historien médiatique. Juif par sa mère, née Nelly FRIEDMANN.

– FERRY, Luc. Ancien ministre de lféducation nationale et essayiste médiatiquement réputé.

– FIELD, Michel. Animateur télé. Ancien leader communiste.

– FINEL, Lucien. Né FINKELSTEIN. Maire du IVe arrdt. de Paris

– FINKELKRAUT, Alain. Essayiste médiatique et sioniste intransigeant, catalogué « extrême-droite » pour ses prises de position antiislam et parfois antiimmigration, qui ne doivent pas faire illusion sur son principal objectif, qui est bel et bien la défense de la république sioniste jacobine.

– FITERMAN, Charles (CHILEK, dit). Ancien ministre communiste. Fils dfimmigrés juifs polonais naturalisés en 1934.

– FOGIEL, Marc-Olivier : présentateur detestable.

– FONTENAY Genevieve De (née MULMANN) : juive d’Alsace, prit le pseudonyme de De Fontenay durant la guerre, pour une supposée appartenance à la Résistance, qui n’a jamais été prouvée.

– FORRESTER, Viviane (née Drefus) : romancière

– FOUCAULT Jean-Pierre : juif de Pologne par sa mère. A avoué sa judaité récemment.

– FRIEDMANN, Jacques. Inspecteur général des finances. Il est depuis quarante ans le plus proche confident de Jacques Chirac. En 1986, il a réussi à convaincre le Premier ministre de renoncer à la réforme du code de la nationalité destinée à freiner lfimmigration. Cette eminence grise-parasite est décédé en 2009.

– Serge GAINSBOURG, juif dont la famille est venue de Russie (Ginsburg), chanteur alcoolique et dépravé, sans voix, plagiaire de classiques, obsédé sexuel (femme blanche de préférence) et pro-inceste. Sa fille, Charlotte GAINSBOURG, est l’épouse de lfacteur-réalisateur juif Yvan ATTAL.

– GALES Sydney : Directeur de recherches au cnrs, responsable du plus grand laboratoire francais de physique nucleaire et president du comite europeen de cette discipline

– GAUBERT, Patrick. (son nom de famille est à la base Goldenberg) : Député européen et président de la LICRA depuis 1999, association ultra-sioniste comptant parmi ses membres dfhonneur Jacques Chirac (et auparavant, François Mitterrand).

– GEISMAR Alain. Principal leader de mai 1968 avec Daniel COHN-BENDIT, autre juif. Devient par la suite Inspecteur général de lfEducation nationale. Il se définit (Passages, octobre 1990), comme gissu dfune famille de Juifs alsaciens, des deux côtés, paternel comme maternelh. Son père, inspecteur de la Banque de France, fut permanent du Consistoire israélite.

– GIROUD, Françoise. (Léa Françoise GOURDJI, devenue Giroud par décret du 12 juillet 1964). Son père Salih Gourdji était originaire de Turquie. Sa mère sfappelait Elda Farragi. Journaliste et ministre, née dans une famille juive de Turquie.

– GLUCKSMANN, André. Essayiste dfextrême-gauche devenu sioniste enragé.

– GLUCKSTEIN, Daniel. Secrétaire général du Parti des gTravailleursh (trotskyste).

– GODRECHE, Judith (Godrèche est la version francisée de « Goldreich »): actrice, de parents émigrés juifs de Russie

– GOLDANEL, Gilles-William. Avocat sulfureux, président de l’Association France-Israël dont la devise est : “A son attitude à l’égard d’Israël, on peut juger de la valeur spirituelle d’un peuple”. Cette association sioniste fut fondée en 1929 sous l’égide des plus hautes autorités de l’Etat français (Président de la République, Président du Conseil des ministres).

– GOLDMAN, Jean-Jacques. Chanteur-compositeur, né des parents juifs, d’Allemagne pour sa mère et de Pologne pour son père. Ses chansons sont souvent pro-immigrés et crypto-antiraciste. Son demi-frère, un terroriste d’extrême-gauche, fut tué en 1979.

– GOSCINNY, René : juif de Pologne, écrivain et scénariste de bande dessinée(Asterix, Lucky Luke Iznogoud…), dans lesquelles il se moque de tous les clichés raciaux, sauf juifs bien sûr.

– GROSSER, Alfred. Universitaire, né dans une famille juive de Francfort. Apologiste de lfAllemagne national-masoschiste pour le public français.

– GUEDJ, Nicole. Avocate et ministre UMP née en Algérie. Membre du CRIF, de la LICRA et autres organisations communautaires juives.

– GUETTA, David. Animateur de boîte de nuit fréquentée par le gTout Parish. Né dans une famille juive originaire du Maroc.

– GUNZBURG, Alain de. Principal actionnaire du Monde, gendre du milliardaire Edgar B RONFMAN, n°1 mondial de l’alcool et Pdt du Congrès juif mondial.

– HABIB, Elie (Lolo) – Proprietaire des Vins Habib Freres et un des leaders de la communaute Juive Tunisienne

– HADDAD, Georges : Ancien president de la Sorbonne. President des presidents des universites. President de l’enseignement superieur a l’UNESCO.

– HADJENBERG Henri : avocat, président du CRIF de 1995 à 2001.

– HAIAT, Robert: Chef de service cardiologie, hopital saint-germain-en-Laye, actuel présde la société française de cardiologie

– HALIMI, Gisèle. Leader féministe devenue ensuite ambassadeur de France à l’Unesco. Née le 27 juillet 1927 à Goulette en Tunisie. Son vrai nom est Zeiza, Giselle, Elise Taïeb. Elle reçut l’autorisation de changer son nom par le décret paru au Journal officiel du 7 mars 1996. Son fils, Serge HALIMI est essayiste, spécialisé dans la critique des médiats et de la mondialisation mais évitant soigneusement de s’attaquer à la mainmise juive. Il est aussi diurecteur du « Monde diplomatique » depuis 2008

– HANIN, Roger (LEVY, dit). Comédien, né en Algérie. Il a adopté comme pseudonyme le nom de jeune fille de sa mère. gMon vrai nom, cfest Lévy. Mon père sfappelle Joseph Lévy. Ma mère Victorine Hanin. A lforigine, cfétait Ben Hanine. Cfest une fille Azoulay. Je suis 100 % casher sur le plan génétique. Je suis fils de communiste et petit-fils de rabbin. Je me sens très juif.h (Actualité juive, 4 décembre 1987). Ayant épousé la productrice de cinéma Christine Gouze-Rénal, il a eu pour beau-frère François Mitterrand.

– HANOUNA Cyril : juif sépharade, présentateur

– HALPHEN, Eric. Magistrat ripoux et politicien, fils de André Halphen, fondateur de Tele-poche.

– HALTER, Marek. Romancier juif originaire de Pologne. Chantre larmoyant de la préservation multi-séculaire de lfidentité biologico-ethnique judéo-khazar.

– HAZAN, Adeline. Ancienne présidente du très gauchiste syndicat de la Magistrature. Née dfun père juif égyptien, elle fait partie du gpremier cercleh de Jospin, qui lfa chargée des problème de la gVilleh.

– HERZOG, Philippe. Il est le fils dfEugène Herzog, ingénieur chimiste juif yougoslave immigré en France en 1927. Il était le principal économiste du Parti communiste gfrançaish.

– HOLLANDE, François : leader du Parti Socialiste, député, sioniste, antiraciste…

– HOSSEIN, Robert (HOSSEINHOFF, dit). Acteur et cinéaste, juif d’Ukraine

– JACOB, Catherine : actrice

– JAOUI, Agnes. Actrice.

– JEAMBAR, Denis. Directeur de la rédaction de L’Express. Comme il l’a expliqué à Tribune juive (14 mars 1996), il descend d’une famille juive du Comtat Venaissin : “Je suis d’origine juive par ma mère, bien que baptisé. Je me sens très attaché à Israël.” Ancien directeur général d’Europe 1, il fait du combat contre l’extrême-droite une de ses priorités.

– JENNIFER (née Jennifer YAEL DADOUCHE-BARTOLI) : chanteuse

– JONASZ, Michel : chanteur

– JOSPIN, Lionel. Lfancien premier ministre socialiste (ancien militant et taupe trotskyste) est issu dfune famille protestante mais ses deux épouses, successivement Elisabeth Dannenmuller et Sylvianne Agacinski sont juives et donc aussi ses trois enfants.

– JOUFFA, Yves. Ancien responsable socialiste. Enfermé au camp de Drancy en 1941-42, il en devient lfun des auxiliaires du gardiennage. Pour échapper à la déportation, il adhère ensuite à lfUGIF (organisation juive pro-Vichy) où son père était trésorier. De 1984 à 1991, il préside la Ligue des Droits de lfHomme.

– JOXE, Pierre. Petit fils de l’écrivain Daniel Halévy et fils de l’ancien ministre gaulliste Louis Joxe qui s’était converti au protestantisme. Pierre Joxe, militant marxiste, était inscrit à la CGT en 1981. Longtemps ministre socialiste.

– JULY Serge : militant communiste puis socialiste, fondateur de « Libération », qu’il dirigea de 1973 à 2006. Carrière oblige, ce juif reste malgré tout un proche de Sarkozy et consorts.

– KABLA, Gabriel : juif tunisien, medecin et President de la Fédération des Associations Juives de Tunisie F.A.J.T et de l’Amicale des Juifs de Jerba A.J.J

– KAHN, Jean-François. Journaliste né dfun père juif. Bien que se déclarant catholique etc agnostique, il a toujours milité aux côtés des Juifs. Il a pour frère Axel KAHN, biologiste.

– KAKOU Elie : humoriste juif de Tunisie, décédé

– KALFON, Laurie, epouse Maillard – Le top des 20 femmes d’affaires d’après l’Expansion

– KAREL, William. Cinéaste documenteur franco-américain né en Tunisie. Il a vécu une dizaine dfannées en Israël.

– KARMITZ, Marin. Président du MK2 Group (premier distributeur indépendant français) et président de la Fédération national des distributeurs de films, il a été à la pointe du boycott français du film La Passion de Mel Gibson.

– KASSOVITZ, Mathieu. Acteur et cinéaste. Né dans une famille juive originaire de Hongrie. Il est marié avec lfactrice antillaise Julie Mauduech, héroïne de gMétisseh.

– KAZAN, Alexandra : présentatrice

– KEPEL, Gilles. Universitaire, spécialiste médiatiquement réputé de lfislam.

– KIBERLAIN Sandrine (née KIBERLAJN) : issue d’une famille juive de Pologne. actrice, épouse de Vincent Lindon

– KIEJMAN, Georges. Avocat, ministre de la justice sous Mitterrand dont il était très proche. Il figure parmi les h 100 Juifs qui comptent h (numéro spécial de Passages, février 1989. Il est membre du Conseil de surveillance du Monde et était un proche de Mitterrand.

– KLARSFELD, Serge. Avocat devenu célèbre comme gchasseur de Nazish (en fait, quelques vieillards impotents, abandonnés de tous!). Son fils, Arno KLARSFELD est aussi avocat, célèbre, lui, pour son arrogance et sa médiocrité.

– KNOEBEL, Marc. Ancien vice-président de la LICRA. Militant sioniste fanatique payé par le Centre Simon Wiesenthal (USA), il ambitionne de devenir grand inquisiteur sur internet, par lfintermédiaire notamment de son officine gJfaccuse !h. Il cherche à faire interdire tous les sites critiquant Israël et les Juifs.

– KONOPNICKI, Guy. Activiste communiste devenu ensuite sioniste enragé. Issu dfune famille dfimmigrés juifs originaires de Pologne. Membre fondateur de SOS Racisme, il en démissionne le 18 janvier 1991 pour protester contre les positions pacifistes du mouvement pendant la guerre du Golfe. gCette fois, je le dis sans honte, jfai applaudi lorsqufun déluge de feu est tombé sur lfIrakh. Le soutien au Tiers-monde passe après lfintérêt dfIsraël.

– KOUCHNER, Bernard. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières, devenu ensuite ministre du gouvernement socialiste. En 1981, il a apporté son soutien au Renouveau juif pour faire battre Valéry Giscard dfEstaing. Nommé administrateur du Kossovo par Kofi Annan (Secrétaire général ghanéen de lfONU), il a des responsabilités directes dans lfexpulsion (parfois accompagnée de massacres) de plus de 150.000 serbes de leur pays dforigine. Étroitement lié au réseau de lfextrême gauche Marié à la journaliste juive Christine OCKRENT.

– KOXIE (née Laure COHEN) : chanteuse de varieté et r’n’b

– KRASUCKI, Henri (HENOCH, dit). Il a succédé à Georges Séguy comme secrétaire général de la CGT le 13 juin 1982. Sa mère, Léa Krasucki, née en 1903, a été une responsable du parti communiste polonais naissant dès 1920. Henri Krasucki a été envoyé a Auschwitz où il est indiqué comme ayant été gazé dans le Mémorial de la Déportation des Juifs de France de Serge KLARSFELD au titre du convoi n‹55 du 23 juin 1943c

– KRAWCZYK, Gérard. Acteur et réalisateur de cinéma.

– KAROUTCHI Roger : juif du Maroc, député, secrétaire national, cadre de l’UMP.

– KRIVINE, Alain. Leader de mai 1968, trotskyste, né dans une famille juive venue dfUkraine.

– LACAN, Philippe : psychanalyste de renom

– LAFORET, marie (née Maitene DOUMENACH) : chanteuse

– LALANNE, Francis : chanteur, juif libanais par sa mère

– LALONDE, Brice. h Ma mère est dfascendance écossaisec tandis que mon père venait dfune famille parisienne, dforigine alsacienne, aux racines juives h (Sur la vague verte). Son grand-père, Roger-Raphaël Lévy, et son père, Alain-Gauthier Lévy, ont changé leur nom en LALONDE après la Seconde Guerre mondiale (décret du 16 février 1950). Sa mère, née Forbes, a été naturalisée française. Le milliardaire Malcolm S. Forbes, ainsi que John Kerry, candidat à la présidence américaine contre G.W.Bush comptent parmi ses cousins. Elevé dans un milieu bourgeois (père gros industriel du textile), il a longtemps milité à lfextrême-gauche, notamment à lfUNEF, dont il était le président.

– LANCAR Benjamin : dirigeant de l’organisation des jeunes de l’UMP.

– LANG, Jack. Ministre socialiste né dans les Vosges dans une famille juive. Son épouse, née Buczynsky est issue dfune famille juive de Pologne. Il se considère comme h juif par sédimentation : mon père était un juif laïc, et ma femme, dforigine polonaise, vient dfun milieu beaucoup plus religieux. Nos enfants ont reçu une véritable éducation juive et ont été très actifs au sein de la communauté juive de Nancy h (Tribune juive, 21 janvier 1983). Lang est l’un des promoteurs de l’antiracisme et de la médiocrité culturelle en générale.

– LANZMANN, Claude. Directeur des Temps Modernes (avec Jean-Paul Sartre) et faiseur de films documenteurs (dont l’interminable et infecte « Shoah ») au profit du sionisme.

– LARUSSO (née Laetitia Serero) : chanteuse

– LAVILLIERS, Bernard (née OULION) : chanteur communiste

– LEHMANN, Clément : PDG de Arte

– LELOUCH, Claude. Cinéaste, né dfun père juif originaire dfAlgérie.

– LELLOUCHE, Pierre (ALLOUCHE, dit). Né le 3 mai 1951 à Tunis, h issu dfune famille juive traditionaliste h (Actualité juive, 1er mars 1989). Proche conseiller de Chirac, il est Président de lfAssemblée Parlementaire de lfOTAN depuis 2004.

– LEPAGE, Corinne. Avocate, devenue ministre de lfenvironnement du gouvernement Juppé. Elle est la fille de Jacqueline Schulman et de Philippe Lévy, autorisé à changer son nom en LEPAGE par décret du 18 février 1950.

– LEVI, Daniel : chanteur compositeur, auteur notamment de la BO du film Disney Aladdin et « l’envie d’aimer » (comedie musicale « les 10 commandements »

– LEVI-STRAUSS, Claude. Anthropologue et membre de lfAcadémie française. Longtemps porte-parole de lfantiracisme officiel avant dfêtre débordé par lfantiracisme extrémiste au point dfêtre accusé maintenant de tendancesc racistes.

– LEVY Daniel : Engagé a 100% dans le soutien à la cause israélienne, et également à celle de la paix au Proche-Orient. A ce titre, il a notamment été conseillé du ministre Yossi Beilin et un des principaux négociateurs israéliens lors de l’initiative de Genève (officialisée le 1er décembre 2003 après des mois de négociations).

– LEVITTE Jean-David. Conseiller diplomatique de Jacques Chirac de 1995 à 2000. Il est depuis lors le représentant de la France auprès de lfONU.

– LEVY, Bernard-Henri. Écrivain médiocre passant pour “philosophe” par la grâce des médiats. Né en Algérie d’un père juif, devenu millionnaire grâce notamment à l’exploitation du bois en Afrique et en Amazonie. C’est aussi un des proches de Nicolas SARKOZY, après avoir été proche de Mitterrand. Il se targue volontiers d’avoir beaucoup contribué à l’imposition de la terreur antiraciste en France. Sa fille, Justine LEVY est romancière. Sans conteste l’un des juifs les plus arrogants et néfastes de France.

– LEVY, Maitre Lionel : Ancien Président National de la Confédération des Avocats. Historien des livournais.

– LEVY Jean-Bernard : président du groupe Vivendi-SA. Fortune de France.

– LEVY, Laurent . Avocat du MRAP, marié à une musulmane. En septembre 2003, ses deux filles défraient la chronique en sfaffichant voilées à lfécole, avec son appui.

– LEVY, Maurice. Il est lfhéritier spirituel de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis, première agence de publicité en France. Sa famille est originaire du Maroc.

– LEVY, Raymond. Ancien président de Renault, aujourdfhui président du conseil de surveillance de Lagardère. Il entretient des relations privilégiées avec Dominique STRAUSS-KAHN.

– LINDON, Vincent. Acteur et réalisateur de cinéma. Appartient à une famille juive originaire de Pologne (LINDENBAUM) et des Pays-Bas (Citroën). Son oncle, Jerôme Lindon était le directeur des Editions de Minuit.

-LIPIETZ, Alain (LIPIEC, dit). Député européen des Verts. Issu d’une famille juive originaire de Pologne.

-LUMBROSO Daniela : présentatrice tv

– LUSTIGER, Mgr. (Aaron et ensuite Jean-Marie) Ce cardinal et archevêque de Paris sfest lui-même défini comme étant gà la fois juif et Chrétienh. Et se croyant drôle : gVous savez, il y a en France deux grands rabbins, un séfarade, Joseph SITRUK, et un ashkénaze, moi !h. Et pour finir : gOn ne peut pas, [on] ne doit pas convertir les juifsh, gJe suis juif et je le resteraih, gJe me sais juifh. (Documentation Catholique, 1 mars 1981, n‹ 1803, p. 139-140). Membre également de lfAcadémie française.

– MACIAS, Enrico (Gaston GHRENASSIA, dit). Chanteur juif originaire dfAlgérie.

– MAMOU, Dr. Jacky – Pediatre – Paris, president Medecins du Monde

– MANUKIAN, Hervé: auteur-compositeur indigeste

– MARCEAU, Marcel (MANGEL, dit). Mime comédien.

– MARCUS, Gérard. Richissime propriétaire dfune des plus importantes galeries de tableaux à Paris. Membre du bureau politique du RPR depuis 1985. Président du groupe dfamitié parlementaire France-Israël.

– MAROUANI, David : juif de Tunisie, chanteur du duo David et Jonathan

– MAROUANI, Felix & Daniel, fondateurs de la « showbusiness Dynasty », tous deux décédés.

– MASLIAH, Leon : Directeur du Consistoire Israelite de France

– MAY, Mathilda (HAIM, dite). Comédienne née d’un père juif de Turquie.

– MEDINA, Jean Luc: juif de Tunisie, avocat, Pr駸ident du CRIF Grenoble Is鑽e,Vice Pr駸ident de la F馘駻ation Nationale des Unions de Jeunes Avocats

– MEGRET Catherine (née RASCOVSKY): femme de Bruno Megret, née Rascovsky, de parents juifs de Russie.

– MELENCHON, Jean-Luc. Ancien ministre et sénateur socialiste, ripoublicain franc-maçon ultra jacobin, fanatique de la lutte contre le FN… Il a constitué un cabinet très axé à gauche . Attachée de presse : Valérie ATLAN, ancienne présidente de lfUnion des Etudiants juifs de France à Montpellier, ancienne responsable de la communication à SOS Racisme. Conseiller aux conditions et aux cadres de vie des élèves : Eric BENZEKRI, ancien cadre trotskyste. Conseiller technique pour les relations sociales : Daniel ASSOULINE, qui dirigea avec son frère David la Ligue ouvrière révolutionnaire, une chapelle troskyste.

– MENDES FRANCE, Pierre: issu d’une vieille famille juive du Portugal ayant émigré en France. Homme politique de la IIIème et IVème république, présidentdu conseil dans les années 1950. Politique parmi les plus nuisibles qu’ait connue la France Seul à s’opposer jusqu’au bout la participation de la France aux JO de 1936, bradeur de l’Empire colonial,etc- MONTAGNE Gilbert; chanteur de variété juif par sa mèree

– MEZRAI, Raphaël : humoriste juif sépharade

– MEMMI, Albert. Ecrivain juif originaire de Tunisie. Imposé par les médiats comme spécialiste du racisme et porte-parole dec lfanti-colonialisme.

– MILLER, Claude. Réalisateur de cinéma.

– MILLER, Gérard. Psychanalyste communiste et homme de télévision, issu dfune famille juive originaire de Pologne. Il est devenu médiatiquement célèbre pour son arrogance typiquement juive.

– MINC, Alain (MINKOVSKI, dit). Technocrate mondialiste proche du parti socialiste. Il est le fils dfun dentiste polonais ashkénaze, naturalisé français en 1947. Il occupe le poste stratégique de président de la Société des lecteurs du journal Le Monde.

– MOATI, Serge. Cinéaste documenteur et animateur télé né dans une famille juive originaire de Tunisie. Dans gLa haine antisémiteh (1991), il étale sans retenue sa haine envers tous ceux qufil accuse dfantisémitisme. Il anime également des « débats », où il cache à peine sa haine contre ceux qu’il n’aime pas (« l’extrême-droite » en tête…)

– MOCKY, Jean-Pierre (MOKIEJWSKI, dit). Cinéaste, né dans une famille juive originaire de Russie.

– MOÏSE, Alex. Secrétaire Général de la Fédération Sioniste et membre du Collectif citoyen antiraciste. Condamné pour gincitation à la haineh après sfêtre envoyé lui-même des menaces antisémites afin ensuite de pouvoir porter plainte contre lfantisémitisme. Un petit gdérapageh révélateur, constituant le sommet de lficebergc

– MORIN, Edgar. Sociologue. Issu dfune famille juive de Grèce. Il a été longtemps militant antiraciste. A partir de 2003 cependant, il a été violemment attaqué par les autres juifs qui lui reprochent de critiquer Israël et lfont ensuite fait condamner pourc racisme !

– MOSCOVICI, Pierre. Juif de Roumanie par son père, juif d’Allemagne par sa mère, ncien militant trotskyste, devenu ensuite ministre socialiste des affaires européennes. Vice-président du Parlement européen.

– MOUSTAKI, Georges. Chanteur juif d’Egypte.

– NAKAD, Naïda. Journaliste.

– NATTAF, Mallaury (née Mallory Nataf) : chanteuse et actrice juive sépharade

– NEÏERTZ, Patrick. Directeur général de Christian Dior. Epoux de lfex-ministre socialiste.

– NEÏERTZ, Véronique. Ex-ministre socialiste. Mariée à Patrick NEÏERTZ, Directeur général de Christian Dior.

– NOIR, Michel. Juif par sa mère, Rose Dreyer. Ancien ministre de Chirac et maire de Lyon. Sa carrière politique fut ensuite compromise par une affaire de corruption. . Il est lfun des rares hommes politiques français a avoir été coopté au sein du Bilderberg Group, une des plus puissantes associations mondialistes internationales.

– OCKRENT, Christine. Journaliste.

– OLIVENNES Denis. Président de Canal Plus France (juin 2000) après en avoir été le directeur général. Il sfappelait OLIVENSZTEIN avant 1960 (encore un changement de nom intempestif…)

– OUAKNINE, Martine : conseillère régionale à Nice sur la liste de Christian Estrosi. La soixantaine, cette ancienne présidente régionale du CRIF (6 ans) vient de recevoir la Médaille dfHonneur du Diocèse de Nice pour sa « constante présence républicaine dans le domaine religieux des amitiés judéo-chrétiennes»

– OURY, Gerard (TANNENBAUM, Max-Gérard, dit). Cinéaste, marié à lfactrice Jacqueline ROMAN, née YACOWLEW. Père de Danièle THOMPSON et grand-père de Christopher THOMPSON.

– PARIENTE, Patrick. Industriel du textile (fondateur de Naf Naf), issu dfune famille juive de Tunisie.

– PIETRI, Julie : chanteuse, juive d’Algérie par sa mère

– POLAC, Michel. Journaliste et cinéaste de télévision, né à Paris (XVIe) au sein dfune famille très fortunée de Juifs polonais. Il sfest toujours affiché comme un militant dfextrême gauche.

– POLANSKI, Roman. Cinéaste, de père juif polonais. Pédophile et violeur notoire, quasi assuré de l’impunité en France, soutenu par toute l’intelligentsia judeo-socialo-libérale, Cohn-Bendit et Mitterrand en tête.

– POLNAREFF, Michel : chanteur, juif d’Ukraine par son père

– PONCELET, Christian. Le président RPR du Sénat sfest confié à Tribune juive (17 février 1999) pour sfinquiéter de gla montée de lfantisémitisme en France et en Europeh. Il a précisé : gJe nfoublie pas qufil y a des gKahnh dans ma familleh.

– POPECK (née Judka HERPSTU) : humoriste issu de familles juives de Pologne et Roumanie.

– PULLICINO, Gérard. Producteur et Réalisateur (films, télévision, clips) né dans une famille juive de Tunisie.

– PESCHANSKI, Marc. Membre du bureau politique de Lutte ouvrière (trotskyste). Il est originaire de Moldavie.

– POHER, Alain. Ancien président du Sénat. Médaille dfor du Bfnai Bfrith (franc-maçonnerie hébraïque) en 1979.

– PUJADAS David : présentateur et journaliste, juif par sa mère

– RAFFARIN, Jean-Pierre. Son directeur de cabinet est Pierre STEINMETZ.(mai 2002). Dans sa première déclaration de Premier ministre (2002), il déclarait ceci : h La France est un pays métisse et elle le restera g. Raffarin, par un juif certes, mais une ordure de shabbat goy de la pire espèce, oui !

– RAEL (VORILLON Claude, dit). Gourou des raëliens, une des sectes les plus importantes du monde. Juif par son père.

– REGINE (née Régine, Zylberberg). Chanteuse et tenancière de cabaret. Mariée au juif Choukroun.

– RENO, Jean : Son vrai nom Don Juan Moreno y Herrera Jiménez ou Don Juan Moreno y Jederique Jiménez, Jean Reno (né le 30 juillet 1948 à Casablanca) est un acteur Juif français né de parents juifs espagnols.

– REZA, Yasmina. Ecrivaine, né dfun père juif de Russie et dfune mère hongroise.

– RINGER, Catherine : chanteuse juive des Rita Mitsouko, et pornocrate

– ROBIN, Jean : les militants juifs tentent depuis 2001 de pénétrer la mouvance nationaliste en Europe afin dfencourager une orientation exclusivement anti-islamique, conformément à la doctrine mise au point par les néo-conservateurs juifs américains. Cfest ainsi que les anciens défenseurs des gsans papiersh comme Enrico Macias ou Bernard-Henri Lévy se retrouvent désormais aux avant postes de la lutte contre le gfascislamismeh.Récemment le Juif Jean Robin a baissé le masque en profitant de la générosité de quelques patriotes égarés pour utiliser les tribunes qui lui sont offertes afin de diffuser lfagenda politique juif dans nos milieux. On a pu relever récemment un article extrêmement virulent contre lfIslam dont la finalité sfexplique par les desseins et calculs précités.

– ROSELMACK Harry : présentateur TV, noir de peau, juif de coeur. Même quand il s’agit de caser un noir à la télévision pour les quotas ethniques, les juifs se débrouillent pour placer l’un d’entre eux.

– ROSENFELD, Alexandra : Miss France 2006

– ROTMAN, Patrick. Romancier et cinéaste documenteur, professionnel de lfincitation permanente à la haine a lfégard des Allemands.

– ROUSSO, Henri. Universitaire, grand inquisiteur anti-révisionniste à Lyon.

– SAADA, Julien : Ancien élève de la Grande École des Ponts et Chaussées et actuel PDG de la jeune et non moins célèbre société Parfum D’image

– RYKIEL, Sonia : couturière et militante féministe

– SALOMONE Bruno : humoriste, acteur

– SANSON, Véronique : chanteuse, juive par son père (René Sanson, parmi les premiers gaullistes)

– SARKOZY, Nicolas. Juif de Salonique (juifs expulsés d’Espagne en 1492) par sa mère (Andrée Mallah) et hongrois par son père, bien qu’il se pourrait que ce dernier ait de lointaines origines roms, car Sarkozy est semble t-il un patronyme très usité chez les roms d’Autriche-Hongrie…). Baptisé catholique, Nicolas Sarkozy fut élevé par la famille de sa mère, juive. Les Juifs le considèrent toujours comme l’un des leurs et il se garde bien de les démentir. Son frère,Guillaume SARKOZYa été vice-président du MEDEF, syndicat des patrons français.

– SARRAUTE, Claude. Journaliste et vieille fille sénile, fille de la romancière Nathalie SARRAUTE (née TCHERNIAK), issue d’une famille juive de Russie. ” Les années passant, ma judaïté compte de plus en plus pour moi, et pourtant, je n’ai aucune croyance, aucune culture religieuse. Ce qui ne m’empêche pas de porter à mon cou une étoile de David. ” (Tribune juive, 13.01.2000).

– SCHAPIRA, Pierre. Conseiller PS de Paris et vice-président du Conseil économique et social (janvier 2001).

– SEBAOUN-DARTY, Jessica : héritière juive de la famille Darty, femme de Jean Sarkozy (fils des juifs Nicolas Sarkozy et Cecilia Ciganer). Ils ont un garçon, Solal, circoncis rabbiniquement il y a quelques mois. Jessica n’est autre que la nièce de la brillante romancière Amanda Sthers, précédente épouse juive de Patrick Bruel.

– SEBAG, Ari: directeur général du groupe « Partouche », membre dirigeant de la LICRA

– SEGUIN Philippe : Ancien Ministre & Président de la Cour des Comptes, figure de lfUMP, Philippe Séguin, catholique par ses parents légaux, a souffert dfun état dépressif latent qui lfaura empêché dfaccéder aux plus hauts niveaux de lfEtat, que ses qualités morales et intellectuelles lui promettaient. Cet état dépressif était lié à sa ressemblance extrême, proche du double parfait, découverte lorsqufil avait la trentaine et rendue publique, avec unc ami c de son père, responsable communautaire juif important de Tunis.

– SEKSIG, Alain : inspecteur général de l’Education nationale et cadre (branche « éducation ») de la LICRA

– SHIREL (née Jennifer Jeane DJAOUI) : chanteuse juive sépharade

– SCHNEIDERMANN, Daniel. Ancien journaliste au Monde et présentateur sur France-5 de l’émission “Arrêts sur images”. Bien que prétendant avant tout décrypter les images, à plusieurs reprises, il a été surpris en flagrant délit de désinformation, en particulier lorsqu’il s’agit de défendre Israël ou son instrument américain.

– SCHRAMEK, Olivier. Directeur de cabinet de Lionel Jospin (1999). “Athée quoique d’origine juive” (VSD, 28 avril 1989). Il est le petit neveu d’Abraham SCHRAMEK qui fut ministre de l’Intérieur du Cartel des Gauches.

– SCHWARTZENBERG, Roger-Gérard. Ministre de la recherche du gouvernement Jospin. Cousin de Léon Schwartzenberg, autre ministre, décédé en 2003.

– SEGUELA, Jacques. Publicitaire.

– SEMOUN Elie : humoriste et acteur juif sépharade

– SERVAN-SCHREIBER, Jean-Jacques. Journaliste et homme politique, appartenant à une puissante famille juive d’Alsace. Fondateur de l’Express avec Françoise Giroud. Parmi les membres influents de sa famille, on peut citer Jean-Louis SERVAN-SCHREIBER, fondateur de L’Expansion et directeur de Psychologies magazines, Brigitte Gros, journaliste et politicienne (décédée en 1985) et Christine COLLANGE, journaliste.

– SIEGEL, Maurice : journaliste et cadre d’Europe 1, créateur du magazine VSD.

– SILLAM, Bernard – Actuel pdg de la clinique de chirurgie esthetique du rond-point des champs elysees

– SINCLAIR, Anne (née SCHWARTZ, épouse LEVAÏ, puis STRAUSS-KAHN). Journaliste, née à New-York en 1948. Elle est la fille de Robert SCHWARTZ, puissant homme d’affaires, autorisé par décret du 3 août 1949 à prendre le patronyme de Sinclair. D’après ses dires, elle n’aurait jamais pu épouser un non-juif.

– SISLEY Tomer : humoriste, acteur, de parents juifs russes et yemenites

– SITRUK, Joseph. Grand rabbin de France, né en Algérie. Le 13 octobre 2000, il a été surpris en flagrant délit de mensonge public en annonçant à la radio l’assassinat à Paris de 6 jeunes juifs, pour essayer de détourner l’attention sur l’assassinant par la soldatesque israélienne d’un enfant palestinien. Ceci confirme bien l’adage : menteur comme un rabbin !

– SORMAN, Guy. Journaliste et essayiste, chantre du néo-libéralisme. Ses prises de positions critiques vis-à-vis d’une certaine juiverie lui ont valu bien des “incompréhensions”.

– SOUCHON, Alain (née Kienast) : chanteur

– STHERS, Samantha, écrivaine juive, ex-femme de Patrick Benguigui (dit Bruel).

– STOLERU, Lionel. Juif de Roumanie, ancien ministre socialiste. Membre du Bilderberg Group, proche du milliardaire escroc Robert MAXWELL qui était également juif. Il est le fils de Fernande BLUM et d’Elie STOLERU, né à Vaslui, en Roumanie.

– STORA, Benjamin. Ecrivain, issu d’une famille juive d’Algérie.

– STRAUSS-KAHN, Dominique. Ancien ministre socialiste de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Son père est juif ashkénaze, et sa mère, Jacqueline FELLUS, juive de Tunisie. Voici comment il a composé son cabinet, en 1997 : Responsable des entreprises publiques : Stéphane-Paul FRYDMANN. Responsable des affaires politiques: Gilles FINCKELSTEIN (aussi responsable de la cellule arguments de Lionel Jospin). Attachée parlementaire :Michèle SABBAN (chargée des déplacements de Lionel Jospin). Riche, sans doute l’un des juifs les plus influents (et donc néfaste) de France et d’Europe.

– SULITZER, Paul-Loup. Signataire de romans à succès écrits par des nègres. Fils de Jules SULITZER, immigré juif de Roumanie. Il s’est retrouvé mêlé à plusieurs affaires louches, sanctionnées pénalement.

– SUSSFELD, Alain. Directeur général d’UGC. Proche ami de Michel DRUCKER.

– TAGUIEFF, Pierre-André. Essayiste pompeux aux travaux passablement confus par souci de les faire passer pour “savants”. Né d’une mère d’origine polonaise et d’un père juif de Russie. Cela lui permet de se prétendre “non-juif”, comme J.F.KAHN. Mais de par tous ses engagements, il est entièrement au service du sionisme le plus radical, sous prétexte d’”antiracisme”, cette “forme de régression mentale” qu’il avait lui-même dénoncé. Beaucoup de ses ouvrages, commandités par les responsables juifs, sont en fait des produits collectifs. Souvent illisibles, ils ne sont pas destinés à convaincre mais à intimider, afin de faire taire.

– TAIEB, Alain – Réalisateur télé, Paris

– TAIEB, Gil – President de l’association de soutien a Israel et de l’association pour le bien-etre des soldats Israeliens, Paris

– TAIEB, Willy, dit Lewis – ancien chef des musiciens de Claude François, Batteur et co-fondateur des Chats Sauvages

– TALAR, Charles. Producteur (musique, comédie, etc.), né dans une famille juive de Tunisie.

– TCHERNIA, Pierre : née Tcherniakowski. Acteur, vedette de la tv au coté de son compatriote Arthur.

– TEISSIER, Élizabeth (HANSELMANN, Germaine, dite). Actrice de film érotique et astrologue mondaine (consultée notamment par Mitterrand), née dans une famille juive d’Algérie.

– TIBI, Gladys – Presidente du fonds LIBI France, consacre a Tsahal

– TIMSIT, Patrick. Cinéaste, comédien et amuseur public, issu d’une famille juive d’Algérie.

– TODD, Emmanuel. Essayiste, fils du journaliste Olivier TODD, petit-fils de Paul NIZAN.

– TOVATI Elisa : actrice

– TRIGANO, Gilbert. Fondateur du Club Méditerranée. Issu d’une famille juive d’Algérie.

– TRUFFAUT, François. Cinéaste. Né d’un père juif qu’il n’aurait jamais connu.

– TRISTAN, Anne. Directeur de publication de « Ras l’front », l’un des principaux journaux qui font leur beurre en traînant dans la boue les militants nationalistes. Son vrai nom est Anne ZELANSKY.

– TUBIANA, Michel. Président de la Ligue des Droits de l’Homme (2000-2005).

– UZAN, Michèle née Cohen – Actuellement la seule femme en France Professeur à la Faculté de Medecine et Chef de Service en Chirugie Gynecologique et Obstetrique, Chevalier de La Legion d’Honneur

– VALENSI, Dr Georges, membre fondateur du PC Tunisien, accoucheur de l’autre moitié des Tunes

– VEIL, Simone. Ancienne ministre UDF et Présidente de l’Assemblée européenne. Longtemps tenue pour morte à Auschwitz par la propagande juive. Surnom : l’Avorteuse, ce dont elle semble très fière. Sans conteste la juive la plus néfaste et influente de ces 40 dernières années.

– VICTOR, Pierre (Benny LEVY, dit). Agitateur maoïste des années 60-70, devenu secrétaire de Jean-Paul Sartre qu’il convertit plus ou moins au judaïsme. Décédé en 2003 en Israël où il s’était replié avec la caisse des organisations “prolétariennes” qu’il contrôlait.

– VIDAL-NAQUET, Pierre. Médiocre historien helléniste, devenu champion de l’inquisition juive contre le révisionnisme historique. Il a déclaré haïr Robert Faurisson et aurait aimé l’assassiner mais il lui manque le courage de passer aux actes.

– WERTHEIMER, Gerard et Alain. Principaux actionnaires de Chanel. 4e fortune de France.

– WIEVIORKA, Michel. Sociologue, gourou de l’antiracisme médiatique avec sa femme, l’historienne de salon Annette WIEVIORKA. Juifs originaires de Pologne.

– WINTER Ophélie : juive de Hollande par son père, chanteuse

– WIZMAN Ariel : juif du Maroc, présentateur tv, animateur tv, acteur médiocre

– WOLINSKY, Georges. Dessinateur humoriste. Sa mère, née BEMBARON était juive tunisienne et son père juif polonais.

– YADE Rama (née Mame Ravatoulaye) : sénégalaise, mais marié au juif Joseph Zimet.

– ZAKINE, Ivan – Membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, Prérhonorairedela Cour de Cassation

– ZANA, Sion – President de la Communaute Juive de Tunisie

– ZARAI, Rika. Chanteuse et gourou médiatisé de “médecine douce”.

– ZARDI, Dominique. Ecrivain et acteur, ayant joué dans plus de 300 films.

– ZARKA Pierre. Numéro 2 du Parti communiste “français”. Il est issu d’une famille d’origine juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Ariel. Producteur de films, né dans une famille juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Tita – Présidente d’Action de Femme (association pour l’insertion des femmes au sein des conseils d’administration) et PDG du plus gros cabinet d’expertise comptable dirigé par une femme en France

– ZEMMOUR, Eric : chroniqueur et écrivain, juif sépharade. Réactionnaire et politiquement incorrect.

 

Et les Gaulois, ils sont passés où dans le « paysage médiatique » ?? 

 

 

Linky: la nasse fiscale se referme sur les automobilistes.

Linky: la nasse fiscale se referme sur les automobilistes.

Voici une explication sur L’INSISTANCE DES AUTORITÉS POUR

ACCÉLÉRER LA POSE DU COMPTEUR LINKY et pour nous faire acheter DES
VÉHICULES ÉLECTRIQUES :

Cela n’a rien a voir avec le confort des
usagers ou pour leur faciliter la vie, blablabla….

Il faut comme à chaque fois chercher la raison profonde et méticuleusement DISSIMULÉE DE L’OPÉRATION !

On arrête pas le progrès ! Certes mais …

ON SE DOUTAIT BIEN UN PEU QU’IL Y AVAIT UN LOUP DE CACHÉ

Ecoutez bien cette petite vidéo qui explique ce qui nous attend si on laisse les choses se faire sans broncher !

*

 

Lettre d’un poilu à sa femme

 

*

Lettre d’un poilu à sa femme :

« La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. »

Le 30 mai 1917

 

 » Léonie chérie

J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.

Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.

Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.

Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants. Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés. Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.

Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames. Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Les pentes d’accès boisées, étaient rudes .Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.

Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.

Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.

Comprendras-tu Léonie chérie que je ne suis pas coupable mais victime d’une justice expéditive ? Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.

C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.

Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.

Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahi et la France va nous sacrifier.

Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.

Eugène, ton mari qui t’aime tant « 

 

lettre d'un poilu à sa femme

 

              Ainsi, plus d’un million des meilleurs et des plus solides éléments de notre race française, ont-ils été horriblement sacrifiés dans un indescriptible et épouvantable carnage, qui n’est autre qu’ un rituel satanique planifié par les puissances obscures de l’arrière-scène.

On veut nous faire croire que ces braves d’entre les braves sont morts pour la France, et c’est bien ce qu’ils ont cru eux aussi, sans quoi  jamais il n’auraient consenti à ce sacrifice.

La vérité est qu’ils sont morts pour les coffres de Rotschild, les usines de Krupp, leurs marionnettes politiques à la soif inextinguible de pouvoir…

Ils étaient eux-même la  vraie France.

Honneur et Fidélité éternelles à ces géants tombés pour des nains maléfiques.

Le peuple de France ne doit jamais oublier la turpidité, la rourie et la corruption criminelle sans aucune borne dont peut se révéler capable ce gang téléguidé par des forces noires et appelé « classe politique ».

« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. »
Simone Weil (Philosophe)

« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. »
Chateaubriand

*

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Robert Faurisson nous a quittés.

 

Robert Faurisson nous a quittés

… Mais sa célèbre phrase de soixante mots, soigneusement choisis et pesés, restera à tout jamais comme le résumé de son combat pour le rétablissement de la vérité historique:

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« LES PRÉTENDUES CHAMBRES À GAZ HITLÉRIENNES ET LE PRÉTENDU GÉNOCIDE DES JUIFS FORMENT UN SEUL ET MÊME MENSONGE HISTORIQUE QUI A PERMIS UNE GIGANTESQUE ESCROQUERIE POLITICO-FINANCIÈRE DONT LES PRINCIPAUX BÉNÉFICIAIRES SONT L’ÉTAT D’ISRAËL ET LE SIONISME INTERNATIONAL ET DONT LES PRINCIPALES VICTIMES SONT LE PEUPLE ALLEMAND – MAIS NON PAS SES DIRIGEANTS – ET LE PEUPLE PALESTINIEN TOUT ENTIER ».

 

*

Les unes diverses de la grosse presse vendue au Lobby qui n’existe pas, se délectent et en rajoute dans l’ abject… Laissons tous ces incroyables niais et/ou stipendiés s’auto-congratuler… Aucun intérêt. « Business as usual ».

Les hommes intègres et épris de vérité devraient, eux, tout de même se demander pourquoi jamais personne n’a apporté aucune autre réponse que l’insulte et le crachat aux interrogations extrêmement dérangeantes de Robert Faurisson ?

Pourquoi jamais le débat qu’il demandait depuis l’origine de ses recherches n’a jamais eu lieu: Un faussaire est extrêmement facile à épingler… Il aurait donc été si facile et jubilatoire pour eux de le ridiculiser en public !

Toute cette affaire aurait alors été définitivement close, mais cela n’a jamais eu lieu !



Pourquoi Diable ?!

Cela n’a jamais eu lieu tout simplement car les faussaires, les vrais, n’ont bien évidemment aucune réponse a apporter à ses études comprenant des milliers de documents extrêmement précis, de photos,  d’analyses chimiques d’expert, etc… Bref, du béton !

Mais en vérité, ils n’ont jamais eu qu’une trouille, c’est que le pot aux roses soit découvert et que l’accusation de faussaire soit soudain retournée contre eux et contre la méprisable honorabilité dans laquelle il mijotent en se tenant par la barbichette, ahahahaha !

Comme l’a glissé Dieudonné:  » Si nous étions dans un monde normal, c’est au Panthéon que Robert Faurisson devrait se trouver ! »

Que les ignorants complets du sujet prennent au moins le temps de lire ce qui suit :

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Éditorial de Jérôme Bourbon, à paraître dans le numéro 3349 de RIVAROL daté du mercredi 24 octobre 2018

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Jusqu’aux derniers instants de sa vie ici-bas Robert Faurisson aura été confronté à l’adversité. Et à une adversité violente, constante, brutale. Alors qu’il donnait le samedi 20 octobre une conférence en anglais dans un hôtel de Shepperton, sa ville natale, en compagnie de son disciple Vincent Reynouard, exilé en Angleterre à cause de son combat révisionniste, les gérants de l’établissement, apeurés, tétanisés par les menaces téléphoniques et sur les réseaux sociaux de groupes et d’individus se réclamant de l’antiracisme, ont tout tenté pour interrompre la conférence : irruption dans la salle, injonction de quitter les lieux immédiatement, coupure de l’électricité, déclenchement à plusieurs reprises d’une alarme incendie… L’intrépide professeur faisait face une dernière fois à une manifestation peu glorieuse de la lâcheté humaine. Robert Faurisson aimait à répéter que ce qu’il avait le plus rencontré tout au long de sa vie, et singulièrement au cours de ses quarante années de combat révisionniste actif et de persécutions incessantes, et ce qui l’avait le plus marqué, c’était la lâcheté des hommes, y compris et surtout celle des bons. La peur, disait-il, est le moteur de l’histoire. C’est celle qui explique les renoncements, les abdications, les ignominies, les trahisons, les désertions.

Robert Faurisson, lui, n’avait pas peur. Pas peur de témoigner devant des tribunaux hostiles où il excellait, racontant avec clarté et pédagogie des heures durant ses travaux révisionnistes, ses découvertes, son itinéraire, expliquant, démontrant, réfutant. Pas peur de donner partout où il était invité des conférences où il subjuguait son auditoire par sa capacité à s’exprimer sans notes, par sa brillance, par le caractère imparable de ses démonstrations, par la pertinence de ses observations, par son formidable humour dont il disait qu’il lui venait de son ascendance écossaise, par sa capacité à faire rire son auditoire, même lorsqu’il parlait de choses éminemment sérieuses. Pas peur de tenir publiquement pendant près d’un demi-siècle des positions qui firent de lui un pestiféré, qui lui firent perdre ses fonctions de professeur à l’université où il aimait tant enseigner au motif qu’on était incapable d’assurer sa sécurité, pas peur par sa ténacité, son invariance et son intransigeance dans ses positions d’être la cible privilégiée de milices. C’est ainsi qu’il subit stoïquement une dizaine d’agressions physiques. Une, particulièrement grave, dans un parc public à Vichy, en septembre 1989, il y a tout juste vingt-neuf ans, le laissa à demi-mort et il n’aurait sans doute pas survécu si un passant ne l’avait alors conduit à l’hôpital. Un individu qui, apprenant plus tard qui il était, exprima son regret de lui être venu en aide ! De cette agression revendiquée par les Fils de la mémoire juive l’indomptable Professeur gardera toute sa vie des séquelles, qui le firent atrocement souffrir au visage jusqu’à sa mort.
Isolé, en effet, il le fut, puisque très rares furent les personnalités à oser le fréquenter.

Même Jean-Marie Le Pen, qui fut pourtant lui-même ostracisé, n’a jamais souhaité rencontrer le professeur au point que lors de notre banquet en 2016 pour les 65 ans de RIVAROL il nous avait fallu attendre que le fondateur du Front national quittât la salle pour faire entrer le Professeur qui fit à cette occasion une magnifique conférence retraçant en une heure et demie toute la genèse et l’histoire de ses travaux et de son combat pour la vérité historique, ou plutôt pour l’exactitude historique, pour reprendre l’expression qu’il aimait à employer.

Robert Faurisson eut cependant des consolations tout au long de ses quarante années de durs combats : Pierre Guillaume l’édita courageusement au début des années 1980 (La Vieille Taupe), une partie de sa famille le seconda et l’aida avec un dévouement incessant pendant ces quelque quarante années de persécution, il participa à une conférence sur l’Holocauste en Iran en décembre 2006, le président Mahmoud Ahmadinejad lui remit en 2012 un prix honorant « le courage, la résistance, la combativité » et en décembre 2008 l’humoriste Dieudonné le fit monter sur scène au Zénith pour lui remettre un Prix de l’insolence et de l’infréquentabilité. Il put compter aussi jusqu’au bout sur le dévouement de Jean Plantin qui édita consciencieusement ses « Ecrits révisionnistes » qui constituent une mine d’informations et d’explications inégalées, sur l’infatigable Vincent Reynouard qui, dans ses écrits puis dans ses vidéos, poursuit à sa manière son œuvre et sur le soutien et l’amitié d’anonymes avec lesquels il n’hésitait pas à correspondre, à donner de son temps, même lorsqu’il était au bout de ses forces. Il connut aussi des trahisons, dont la plus douloureuse fut sans doute celle de Jean-Claude Pressac, son ancien disciple, qui fut financé par les Klarsfeld pour essayer de prouver l’existence des chambres à gaz. Las, huit ans avant de mourir dans l’indifférence générale, Pressac, dans un entretien de juin 1995 avec Valérie Igounet, qualifie tout le dossier des chambres à gaz de “pourri” et affirme que « la forme actuelle, pourtant triomphante, de la présentation de l’univers des camps est condamnée. Qu’en sauvera-t-on ? Peu de choses. »

RIEN a priori ne destinait Robert Faurisson, ce brillant professeur d’université, cet agrégé de lettres à qui l’on doit des œuvres d’érudition littéraire comme « A-t-on Lu Rimbaud » ? « A-t-on lu Lautréamont » à entrer de plain-pied dans ce que d’aucuns ont qualifié de plus grande aventure intellectuelle du XXème siècle : le révisionnisme historique. Rien, si ce n’est sa grande curiosité, son anticonformisme viscéral et son sens profond de la justice. Lors de la conférence qu’il donna le 9 avril 2016 pour les 65 ans de RIVAROL (et dont le texte intégral est paru dans les « Ecrits de Paris » de mai 2016, un numéro toujours disponible à nos bureaux contre quelques euros, tout comme le testament du Professeur paru dans RIVAROL des 13 et 20 octobre 2016), il expliquait que bien que très hostile à l’occupant allemand pendant la guerre, il avait eu le souci, à partir du 8 mai 1945, date de la capitulation allemande, de se conduire, sinon en gentilhomme, du moins en gentleman, à l’égard du vaincu. Et c’est cette soif de justice et de vérité qui le conduira à être révolté par les horreurs de l’épuration gaullo-communiste et à lire Maurice Bardèche (Nuremberg ou la Terre promise, 1948) et Paul Rassinier (Le Mensonge d’Ulysse, 1950) qui sont les pionniers du révisionnisme historique.

Bien que Robert Faurisson ne fût pas croyant, il y avait dans sa profession de foi révisionniste une démarche christique. Ne pas répéter à propos de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale la vulgate expose en effet à la mort sociale, à l’isolement, à l’incompréhension et à l’hostilité générale. Qui n’a pas touché de près au révisionnisme ne sait pas ce qu’est la haine, jusqu’à quelles extrémités elle peut conduire. A l’instar d’autres révisionnistes, Robert Faurisson a toujours souhaité un débat public avec ses contradicteurs. Ce débat lui a toujours été refusé. Il n’a eu droit qu’à des plaintes devant les tribunaux pour contestation de crime contre l’humanité, qu’à des menaces, à des insultes et à des coups. Il suffit de lire le titre des dépêches à l’annonce de son décès pour comprendre que la haine est toujours aussi active et qu’elle ne connaît aucun répit, aucune trêve : « la mort d’un négationniste, d’un faussaire de l’histoire, d’un falsificateur, d’un antisémite ». Des sites juifs se réjouissent ouvertement, bruyamment de sa disparition. Mais s’ils n’ont que des insultes aux lèvres, c’est qu’ils n’ont pas d’argument. Ils salissent l’homme mais sont incapables de répondre à ses arguments, à ses interrogations, à ses objections techniques, scientifiques. Lorsqu’on assistait à des procès de Robert Faurisson, le contraste était saisissant entre un homme qui usait d’arguments rationnels, qui expliquait patiemment sa démarche, relatait ses travaux, faisait état de ses observations et de ses conclusions et des opposants qui attaquaient rageusement l’homme, qui le traitaient d’antisémite compulsif et de négationniste forcené, qui appelaient à une répression renforcée mais qui ne répondaient à aucun de ses arguments. A l’instar des trente-quatre historiens qui, dans Le Monde du 21 février 1979, ne pouvaient répondre à Faurisson que ceci : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz. »

C’EST qu’en contestant ouvertement la version officielle et obligatoire de la Seconde Guerre mondiale, en refusant d’accabler les vaincus et d’encenser les vainqueurs, Robert Faurisson menaçait des intérêts puissants. Ceux de l’Etat d’Israël et du sionisme international dont la puissance, la pérennité, l’immunité et l’impunité reposent essentiellement sur le Dogme holocaustique. Ceux des Alliés et de la sacro-sainte croisade des démocraties contre les forces de l’Axe. Ceux des gauchistes de tous poils pour qui il est nécessaire que les régimes nationalistes de l’entre-deux-guerres en Europe soient le mal absolu et non le communisme sous toutes ses formes, léniniste, stalinienne, maoïste, trotskyste.

Non seulement Robert Faurisson, par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots, prononcée en 1980 au micro d’Europe 1 face à un Ivan Levaï excédé, menaçait les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mais il contestait une véritable religion, ou plutôt une contre-religion, le culte holocaustique. Un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence et de soumission à son endroit. Un (faux) dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on se lamente comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, qu’on se frappe la poitrine en s’écriant « plus jamais ça ».
La contre-religion de la Shoah enseignée dès l’école primaire et tout au long de la vie à travers la télévision, le cinéma, les divertissements singe en effet les rituels catholiques avec son culte des martyrs (les six millions), des saints (les Justes récompensés par l’Etat d’Israël), des miraculés (les survivants de la Shoah), des stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages et processions expiatoires d’Auschwitz au Struthof, ses temples et cathédrales (les musées de l’Holocauste, le mémorial de la Shoah), les aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’Etat d’Israël et des descendants de déportés), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, de Primo Levi…), ses martyrologes (les murs et mémoriaux recensant l’identité et le patronyme des victimes), ses lieux de supplice (les chambres à gaz homicides), ses tables de la loi (la Déclaration des droits de l’homme), son Evangile (le jugement du tribunal militaire international de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Klarsfeld, Veil, Lanzmann…), son inquisition (les tribunaux de la République et de dizaines d’Etats dans le monde ayant un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème ( la loi Fabius-Gayssot et son équivalent un peu partout en Occident), ses juges (les magistrats), sa cité sainte (l’entité sioniste), ses archanges (Tsahal protégeant l’Eretz), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et tous les organes dirigeants, qu’ils soient politiques, médiatiques, religieux, syndicaux, associatifs, sportifs, économiques), ses saintes congrégations (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, le CRIF, la LICRA, l’UEJF, l’AIPAC…), son enfer (tous les nationalistes, sauf les israéliens, les révisionnistes, les catholiques fidèles à la doctrine sur le nouvel Israël, à la théologie dite de la substitution), ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité), ses mécréants (les révisionnistes).

Si elle singe la religion chrétienne, cette contre-religion en constitue aussi l’inversion : à l’amour elle oppose la haine, à la vérité le mensonge, au pardon des offenses la vengeance talmudique, au respect des anciens la traque aux vieillards, à la rémission des péchés l’imprescriptibilité des crimes, à l’esprit de pauvreté l’appât du gain, à l’humilité la volonté de domination, au sens du partage l’esprit de lucre, à la charité le chantage, au respect d’autrui le lynchage, au silence du recueillement le tapage de la mise en accusation, à la discrétion des vertus domestiques le bruit et la fureur médiatiques, à la justice infinie de Dieu la partialité d’un tribunal des vainqueurs jugeant les vaincus.

IRONIE de l’histoire, Robert Faurisson est décédé en rentrant à son domicile de retour de sa ville natale en Angleterre le 21 octobre au soir, victime d’une violente crise cardiaque. Or, quatre jours plus tard, les magistrats de Cusset devaient rendre leur jugement dans l’affaire dite de la chambre à gaz du Struthof. Le 20 septembre, au cours de ce qui fut son dernier procès, le Professeur, bien qu’épuisé, fit une défense magistrale dont on peut lire de larges extraits dans notre édition du 3 octobre (« Struthof : la LICRA poursuit Faurisson ») Jusqu’au bout le Professeur lutta avec un courage et une détermination hors du commun qui forcent l’admiration.
Il est courant de dire que personne n’est irremplaçable. Eh bien si. La mort de ce géant, de ce monument est une perte irréparable. On n’a pas fini de mesurer à quel point il va manquer. Car combien y-a-t-il aujourd’hui d’hommes de sa trempe, de son érudition, de son talent, de sa bravoure, de sa ténacité ? Et pourtant même sans lui le combat pour la vérité historique doit continuer. Quels que soient les aléas et les difficultés de toutes sortes. Quels que soient les tourments et les obstacles. Reste en effet son exemple, restent ses œuvres. Tant qu’il demeurera des hommes épris de justice et de vérité, refusant le mensonge et l’imposture, alors rien ne sera perdu, tout restera possible.

Jérôme BOURBON, directeur de RIVAROL.
[email protected]

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Vérité sur le 11 Septembre. Plus de 3000 architectes et ingénieurs américains balancent !

 

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Vérité sur le 11 Septembre !

*Dans l’espoir qu’éclate enfin la vérité sur le 11 Septembre, je viens de signer la pétition de l’association « Architects and engineers for 9.11 Truth » . Celle-ci représente plus de 3000 architectes et ingénieurs, hautement spécialisés dans le domaine des structures d’acier type World Trade Center !

Si, comme moi vous ne croyez pas un instant à cette pitoyable version officielle, alors allez sur leur site et signez également cette pétition pour une ré-ouverture de l’enquête. Ils ne sont pas prêts à lâcher le morceau, et ils ont raison !

Cliquez sur l’image:

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vérité sur le 11 septembre
vérité sur le 11 septembre

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Cette vidéo passe en revue un certain nombre « d’anomalies » intéressantes:

9/11 September Clues – Everything Was a Lie!

 

Autres articles sur le sujet ici

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Marcus Eli ravage, écrivain juif et biographe des Rothschild

 

L’article qui suit a été écrit par Marcus Eli Ravage, écrivain juif et biographe officiel des Rothschild.

Il parut dans « The Century Magazine » de janvier 1928

Vol.115  N°3

pp. 346-350 sous le titre de

« A Real Case Against The Jews » 

(One of Them Points Out the Full Depth of Their Guilt) 

 

 

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« Bien sûr, vous nous en voulez. Il n’est pas bon de me dire le contraire.

Ne perdons pas notre temps en dénis et alibis. Vous savez que vous nous en voulez, et je le sais, et nous nous comprenons les uns les autres. Pour être sûr, certains de vos meilleurs amis sont Juifs, et c’est tout.

J’ai déjà entendu cela une ou deux fois, je pense. Et je sais, aussi, que vous ne m’incluez pas personnellement – «moi» en tant qu’individu particulier Juif – lorsque vous nous flanquez à la porte de manière systématique, parce que je suis, eh bien, si différent, ne le saviez vous pas, presque aussi bon que l’un d’entre vous.

Cette petite dispense ne m’incite pas, d’une manière ou d’une autre, à de la gratitude, mais cela n’a pas d’importance maintenant. C’est l’agressivité, le carriérisme, l’arrivisme, le matérialisme que vous n’aimez pas – ceux, en un mot, qui vous rappellent tant vos propres frères si prometteurs. Nous nous comprenons parfaitement. Je ne vous en tiens pas rigueur.

Bénie soit mon âme, je ne blâme personne de détester quiconque. La chose qui m’intrigue à propos de cet anti-judaïsme auquel vous jouez est votre absence totale de cran.

Vous êtes si indirect si évasif à ce sujet, vous prenez de telles évidentes et incroyables excuses, vous semblez souffrir d’une gêne si horrible, que si la prestation n’était pas grotesque, c’en serait irritant.

Ce n’est pas comme si vous étiez des amateurs: vous y êtes depuis plus de quinze siècles. Pourtant, à vous regarder et à entendre vos prétextes enfantins, on pourrait croire que vous ne savez pas vous-mêmes de quoi il s’agit. Vous nous en voulez, mais vous ne pouvez pas dire clairement pourquoi.
Vous trouvez une nouvelle excuse – que vous appelez raison – chaque nouveau jour. Vous avez accumulé pour vous-mêmes des justifications, ces quelques centaines d’années, et chaque nouvelle invention est plus risible que la précédente et chaque nouveau prétexte contredit et anéantit le précédent.

Il n’y a pas si longtemps, j’avais l’habitude d’entendre que nous étions avides et de sombres matérialistes; maintenant la récrimination est murmurée qu’aucun art, aucune profession n’est protégée de l’invasion juive. Nous sommes, à vous en croire, à la fois fermés, exclusifs et inassimilables, car nous ne voulons pas nous marier avec vous, et nous sommes aussi des carriéristes et arrivistes et une menace pour votre intégrité raciale.

Notre niveau de vie est si bas que nous créons vos taudis et les entreprises qui vous exploitent et si élevé que nous vous jetons hors de vos plus beaux quartiers.
Nous nous dérobons à notre devoir patriotique en temps de guerre parce que nous sommes pacifistes par nature et tradition, et que nous sommes les conspirateurs par excellence des guerres universelles et les grands bénéficiaires de ces guerres…

Nous sommes en même temps les fondateurs et les partisans de premier plan du capitalisme et les principaux auteurs de la rébellion contre le capitalisme.

Assurément, l’histoire ne nous arrive pas à la cheville en termes de polyvalence !

Et oh… j’allais presque oublier la raison des raisons. Nous sommes le peuple opiniâtre qui jamais n’accepta le Christianisme, et nous sommes le peuple criminel qui crucifia son fondateur.
Mais je vais vous dire, vous vous méprenez.

Vous manquez à la fois de connaissance envers vous-même et de courage pour carrément faire face aux faits et vous avouer la vérité.

Vous en voulez au Juif non pas parce comme certains d’entre vous semblent le croire, il a crucifié Jésus mais au contraire parce qu’il lui a donné vie.
Votre vrai désaccord avec nous n’est pas parce que nous avons rejeté le Christianisme mais parce que nous vous l’avons imposé !

Vos accusations décousues et contradictoires sont loin de valoir la noirceur de notre infamie historique avérée. Vous nous accusez d’inciter à la Révolution à Moscou. Admettons que nous acceptions l’accusation. Et alors ? Comparativement à ce que Paul de Tarse, le Juif, accomplit à Rome, le bouleversement en Russie est une simple bagarre de rue.

Vous faites grand bruit de l’influence juive indue dans vos cinémas et théâtres. Très bien; accordé, votre plainte est bien fondée. Mais qu’est-ce comparativement à notre stupéfiante influence dans vos églises, vos écoles, vos lois et vos gouvernements, et dans les moindres pensées que vous avez chaque jour ?

Un Russe maladroit contrefait une série de documents et les publie dans un livre intitulé « Les Protocoles des Sages de Sion » qui montre que nous avons planifié la dernière Guerre Mondiale. Vous croyez ce livre. D’accord. Pour les besoins de l’argumentation, nous en soutiendrons chaque mot. Il est sincère et authentique. Mais qu’est-ce que c’est par rapport à la conspiration historique indéniable que nous avons menée, et que nous n’avons jamais niée parce que vous n’avez jamais eu le courage de nous en accuser et dont le dossier complet subsiste encore pour quiconque veut le lire ?

Si vous êtes vraiment sérieux quand vous parlez de complots juifs, ne puis-je pas attirer votre attention sur l’un d’eux qui mérite qu’on en parle? Quel besoin de gaspiller son temps à parler du prétendu contrôle de votre opinion publique par les financiers, les propriétaires de journaux et les magnats du cinéma juifs, quand vous pourriez aussi bien et à juste titre nous accuser du contrôle avéré de votre civilisation par les Doctrines Juives ?

Vous n’avez pas commencé à apprécier l’ampleur réelle de notre culpabilité. Nous sommes des intrus. Nous sommes des perturbateurs. Nous sommes des destructeurs.

Nous avons pris votre monde originel, vos idéaux, votre destin, et les avons détruits.

Nous avons été à la base non seulement de la dernière Grande Guerre, mais de presque toutes vos guerres, pas seulement en Russie, mais de tout autre révolution majeure dans votre histoire.

Nous avons apporté la discorde et la confusion et la frustration dans votre vie personnelle et publique. Et nous continuons encore.

Personne ne peut dire combien de temps nous allons continuer à le faire.
Regardez un peu en arrière ce qu’il s’est passé. Il y a dix-neuf siècles, vous étiez une race innocente et sans souci, la race païenne. Vous adoriez d’innombrables dieux et déesses, les esprits de l’air, de l’eau vive et de la forêt. Vous aviez une fierté sans vergogne en la gloire de vos corps nus. Vous sculptiez les images de vos dieux et les courbes humaines si séduisantes. Vous preniez plaisir aux combats de terrain, dans l’arène et sur le champ de bataille.

La guerre et l’esclavage étaient des institutions stables dans vos systèmes. Batifolant sur les coteaux et dans les vallées des grands espaces, vous spéculiez sur l’émerveillement et le mystère de la vie et avez jeté les bases des sciences naturelles et de la philosophie. Votre culture était noble et sensuelle, non tourmentée par l’introduction d’une conscience sociale ou par quelque questionnement sentimental sur l’égalité humaine.

Qui sait quelle grande et glorieuse destinée aurait été la vôtre si nous vous avions laissés seuls.

Mais nous ne vous avons pas laissés seuls. Nous vous avons pris en main et avons tiré vers le bas la belle et généreuse organisation que vous aviez élevée, et avons changé complètement le cours de votre histoire. Nous vous avons conquis comme aucun de vos empires n’a jamais dompté l’Afrique ni l’Asie.
Et nous avons fait tout cela sans armées, sans balles, sans effusion de sang ni troubles, sans force d’aucune nature. Nous l’avons fait uniquement par la puissance irrésistible de notre esprit, avec des idées, avec de la propagande.

Nous avons fait de vous les porteurs volontaires et inconscients de notre mission pour le monde entier, pour les races barbares de la terre, pour les innombrables générations à naître. Sans comprendre entièrement ce que nous vous faisions, vous êtes devenus l’ensemble des agents de notre tradition raciale, portant notre doctrine jusqu’aux confins inexplorés de la Terre.

Nos coutumes tribales sont devenues le cœur de votre code moral. Nos lois tribales ont fourni les bases fondamentales de toutes vos constitutions et systèmes juridiques respectables. Nos légendes et nos contes populaires sont les traditions sacrées que vous fredonnez à vos enfants. Nos poètes ont empli vos livres de cantiques et de prières. Notre histoire nationale est devenue un élément incontournable d’érudition de vos pasteurs, prêtres et savants. Nos rois, nos hommes d’Etat, nos prophètes, nos guerriers sont vos héros.

Notre ancien petit pays est votre Terre Sainte.

Notre littérature nationale est votre Sainte Bible.

Ce que notre peuple pensa et enseigna devint inextricablement tissé à votre propre discours et tradition, au point que personne parmi vous ne peut être qualifié d’instruit, de cultivé s’il n’est pas familier avec notre héritage racial.
Les artisans juifs et les pêcheurs juifs sont vos professeurs et vos saints, avec d’innombrables statues sculptées à leur image et un nombre incalculable de cathédrales érigées à leur mémoire.

Une jeune fille juive est votre idéal de maternité et de féminité. Un prophète rebelle juif est le personnage central de votre culte religieux. Nous avons tiré vers le bas vos idoles, rejeté votre héritage racial, et y avons substitué notre Dieu et nos traditions.

Aucune conquête dans l’histoire ne peut même se comparer à cette victoire absolue de notre conquête sur vous.

Comment avons-nous fait ?

Pour ainsi dire par accident. Il y a près de deux mille ans, dans la lointaine Palestine, notre religion était tombée en décadence dans le matérialisme. Les changeurs de monnaie étaient en possession du temple.
Des prêtres égoïstes et dégénérés escroquaient notre peuple et s’enrichissaient. Puis un jeune patriote idéaliste se leva et alla partout appeler à un renouveau de la foi. Il n’avait aucune intention de créer une nouvelle église. Comme tous les prophètes avant lui, son seul but était de purifier et revitaliser l’ancienne croyance.

Il attaqua les prêtres et chassa les changeurs du temple. Ceci l’amena à un conflit avec l’ordre établi et ses soutiens. Les autorités romaines, qui occupaient le pays, craignant que son agitation révolutionnaire soit un effort politique visant à les évincer, l’arrêtèrent, le jugèrent et le condamnèrent à mort par crucifixion, une forme courante d’exécution à cette époque.

Les disciples de Jésus de Nazareth, principalement des esclaves et de pauvres ouvriers, dans le deuil et la déception, se détournèrent du monde et se constituèrent en une confrérie de pacifistes non résistants, partageant la mémoire de leur chef crucifié et vivant ensemble à la manière communiste. Ils étaient simplement une nouvelle secte en Judée, sans pouvoir ni importance, ni la première ni la dernière…

Ce n’est qu’après la destruction de Jérusalem par les Romains que le nouveau credo prit une place de premier plan. Ensuite, un Juif patriote du nom de Paul ou Saul conçut l’idée d’humilier la puissance romaine en détruisant le moral de ses troupes avec les doctrines d’amour et de non-résistance prêchées par la petite secte de Juifs Chrétiens. Il devint l’Apôtre des Gentils, lui qui jusqu’alors avait été l’un des persécuteurs les plus actifs de la bande.

Et Paul fit si bien son travail qu’en l’espace de quatre siècles, le grand empire qui avait conquis la Palestine ainsi que la moitié du monde, était un monceau de ruines. Et la loi qui sortit de Sion devint la religion officielle de Rome.

Ce fut le début de notre position dominante dans votre monde. Mais ce n’était qu’un début.

Depuis ce jour, votre histoire est un peu plus qu’une lutte pour la maîtrise entre votre ancienne mentalité païenne et notre mentalité juive. La moitié de vos guerres, petites et grandes, sont des guerres de religion, combattues pour l’interprétation d’une chose ou d’une autre, selon nos enseignements. Vous vous étiez à peine libérés de votre simplicité religieuse fondamentale et tentiez l’initiation de la pratique de la Rome païenne, que Luther, armé de nos doctrines, surgit pour vous abattre et rétablir notre patrimoine.

Prenez les trois principales révolutions des temps modernes, la Française, l’Américaine et la Russe. Que sont-elles, si ce n’est le triomphe du concept social, politique et de justice économiques juif ?

Et nous ne sommes pas au bout. Nous vous dominons toujours.

En ce moment même, vos églises sont déchirées par une guerre civile entre les Fondamentalistes et les Modernistes, c’est-à-dire entre ceux qui s’accrochent littéralement à nos enseignements et nos traditions, et ceux qui s’efforcent lentement de nous déposséder.

A Dayton, dans le Tennessee, une communauté éduquée par la Bible interdit l’enseignement de votre science, car elle entre en conflit avec notre récit historique de l’origine de la vie, et M. Bryan, le chef de l’anti-juif Ku Klux Klan à la Convention Nationale Démocrate, fait la lutte suprême de sa vie en notre nom, sans remarquer la contradiction. Encore et encore, l’héritage puritain de Judée se répand par vagues, censure du théâtre, Blue laws du dimanche (1), National Prohibition Acts. Et pendant que ces choses se produisent, vous radotez sur l’influence juive dans les films !

Est-il étonnant que vous nous en vouliez ?

Nous avons mis un frein à votre progrès. Nous vous avons imposé un livre étranger et une foi étrangère que vous ne pouvez ni avaler ni digérer, qui est à contre-courant de votre mentalité d’origine, qui vous met éternellement mal à l’aise, et pour lesquels vous manquez de courage, soit pour les rejeter, soit pour les accepter dans leur intégralité.

Bien sûr, vous n’avez jamais accepté nos enseignements chrétiens en totalité. Dans vos cœurs, vous êtes encore païens. Vous aimez toujours la guerre, les images sculptées, et les conflits.
Vous êtes encore fiers de la beauté des courbes humaines nues. Votre conscience sociale, en dépit de toute démocratie et toutes vos révolutions sociales, est toujours une chose pitoyable et imparfaite.

Nous avons simplement divisé votre âme, brouillé vos impulsions, paralysé vos désirs. Au milieu de la bataille, vous êtes obligé de vous agenouiller devant celui qui vous a ordonné de tendre l’autre joue, qui vous a dit « Ne résiste pas au mal» et «Béni soit les artisans de la paix ». Dans votre soif de gain, vous êtes soudain perturbé par une mémoire de vos jours d’école du Dimanche (l’Église) qui vous dit de ne pas vous soucier du lendemain.

Dans vos luttes revendicatrices, quand vous frapperiez par une grève sans le moindre scrupule, vous vous rappelez soudainement que les pauvres sont bienheureux et que tous les hommes sont frères dans la paternité du Seigneur. Et lorsque vous êtes sur le point de céder à la tentation, votre formation juive vous en dissuade et vous retire la coupe pleine des lèvres.

Vous, Chrétiens, n’êtes jamais devenus christianisés. Sur ce point, nous avons échoué avec vous. Mais nous avons détruit pour toujours le plaisir du paganisme en vous.

Alors, pourquoi ne devriez-vous pas nous en vouloir? Si nous étions à votre place, nous vous en voudrions probablement plus que vous ne le faites. Mais nous n’hésiterions pas à vous dire pourquoi. Nous ne recourrerions pas à des subterfuges et à des prétextes évidents.

Avec des millions de petits commerçants juifs douloureusement respectables tout autour de nous, nous ne devrions pas insulter votre intelligence et notre propre honnêteté en parlant de communisme comme d’une philosophie juive. Et avec des millions de colporteurs et ouvriers juifs travaillant dur et besogneux, nous ne devrions pas nous rendre ridicule en parlant du capitalisme international comme d’un monopole juif.

Non, nous devrions aller droit au but. Nous devrions regarder cette pagaille complexe que nous appelons civilisation, ce mélange moitié Chrétien, moitié Païen, et si nos places étaient inversées – nous vous dirions à brûle-pourpoint:

« Merci à vous, à vos prophètes et à votre Bible pour ce chaos. » 

1 – Ben Klassen lui consacre également tout un chapitre dans son livre The White Man’s Bible : chapitre 43 page 231 à 237

2 – Blue laws : lois en vigueur aux Etats-Unis et au Canada (18ème et 19ème siècles) qui imposaient, entre autres, la messe du dimanche à l’église et le repos dominical.

 

 

Vaccins : Enfin la vérité commence à faire surface !

Vaccins : Enfin la vérité.

 

Cela fait plus de 30 ans que je mets en garde mes proches au sujet de l’incroyable nocivité des vaccins que la médecine pasteurienne n’hésite pas à injecter aux femmes enceintes et aux nourissons… dans la plus parfaite bonne conscience.

Ceci est un scandale sanitaire criminel qui est peut-être sur le point (enfin) d’éclater, tant la prise de conscience semble se faire actuellement.

Nous sommes, en effet, depuis l’expérience truquée de Pouilly le Fort par Pasteur devant un des grands tabous de la république.

Il est vrai que cette république, création de l’église maçonique, s’étant depuis assez peu de temps alors, substituée à l’Eglise Catholique, avait un immense besoin de créer des « Saints » laïques pour la nouvelle « évangélisation » du bon peuple de France.. Pasteur était tout trouvé.

Pasteur est un imposteur, il faut le savoir.

A ce sujet, la lecture de l’ouvrage du Docteur Louis Bon de Brouwer

« Vaccination: Erreur médicale du siècle », entre autres est édifiante.

 

 

Autre ouvrage très documenté: Celui du Docteur Eric Ancelet :

« Pour en finir avec Pasteur. Un siècle de mystification scientifique »:

 

 

Dans cette émission de TV Libertés, nous constatons que le sujet est sur le point d »échapper à la désinformation de Big Pharma !

Il est grand temps.

 

 

« Messieurs, ne soyez pas dupes des injonctions contradictoires des femmes. »

“Messieurs, ne soyez pas dupes des injonctions contradictoires des femmes”

Voila un plaidoyer superbe et courageux qui tranche avec tous les propos imbéciles, sirupeux, bien-pensants et convenus dont nous sommes régulièrement abreuvés. Il ne va pas plaire aux féministes, aux bobos, aux socialo-gauchistes, aux prétendus « insoumis », à « celles et ceux » qui se croient modernes en niant les simples lois naturelles, aux ayatollahs de l’égalitarisme stérile, qui se fourvoient dans la négation de la sexualité procréatrice, à ceux qui, méprisant la complémentarité naturelle de l’homme et de la femme, tentent d’y voir une forme nouvelle d’aliénation sociale et le mobile d’un nouveau combat de libération !

Merci Natacha Polony pour ce texte rafraîchissant, intelligent et plein de bon sens !
Marc Le Stahler (Minurne Résistance)

Ces lignes, messieurs, vous sont donc dédiées. Elles sont un hommage à tout ce que peut être un homme. Elles sont un hommage à la virilité, cette qualité tant décriée, et qui n’est rien d’autre que la confiance qu’un homme peut avoir dans son appartenance à son sexe. Une sorte de certitude rassurante car sereine. Et si rien n’est plus difficile à définir que cette appartenance, que chacun développe à son gré, elle est le miroir dans lequel les femmes se contemplent avec volupté. La virilité est une forme de confiance, de force tranquille ; ce qui signifie que l’époque actuelle, dans sa volonté de criminaliser toute résurgence du patriarcat honni, a rompu le charme et fait des hommes des êtres en doute perpétuel.

Pas question pour autant de regretter le temps où « être un homme » semblait avoir un sens immédiat qu’il n’était même pas nécessaire d’interroger. Car la notion n’était pas moins problématique. Elle relevait, non de la confiance, mais de l’injonction. Considérons l’actuelle remise en cause comme une occasion de dissiper le vieux malentendu : vous n’êtes pas, messieurs, d’affreuses brutes épaisses qu’il faut réprimer ou contrôler. La violence n’est pas une fatalité masculine. Et en vous construisant face aux femmes, vous apprendrez peut-être que votre grandeur est d’investir votre force et votre audace dans la défense et le respect de l’autre, de la femme ; et non dans la peur et le rejet, ou bien au contraire dans l’indifférenciation.

J’ai moi-même choisi, je le confesse, de vivre avec un spécimen en voie de disparition, un de ces authentiques machos que la modernité féministe voue aux gémonies et condamne aux oubliettes de l’histoire. Un être qui ne repasse pas ses chemises, qui paie l’addition au restaurant et propose de m’accompagner dès que je fais un pas dehors, de peur qu’il ne m’arrive quelque chose. Un être qui pique des colères noires et veut toujours avoir raison, et qui fait tout à ma place parce qu’il estime que, par principe, il le fait mieux que moi. Un homme, dans toute son horreur. Un homme, sensuel et râleur, si différent de ce que je peux être et si proche de ce en quoi je crois. Un homme dans le regard duquel je lis que je suis une femme.

Je l’avoue, j’aime l’altérité. J’aime cette différence essentielle qui fait que lui et moi sommes humains sans être semblables. J’aime ces jeux de domination qui nous font nous provoquer et nous affronter, chacun cédant tour à tour devant l’autre, chacun confrontant ce qu’il est à l’inconnu de l’autre. J’aime enfin découvrir à travers notre altérité ce qui nous unit et nous rend l’un à l’autre indispensables. Rien n’est plus destructeur du désir que l’abolition des frontières, le lissage minutieux des aspérités au nom de notre incapacité millénaire à penser la dualité.

Messieurs, ne soyez pas dupes des injonctions contradictoires des femmes.

Elles vous parlent d’égalité, de partage des tâches, elles se veulent libres et indépendantes. Et c’est en effet ce dont elles ont besoin. Comme elles ont besoin de cette figure rassurante de l’homme protecteur, autoritaire, assumant ses devoirs et symbolisant la loi ; l’homme qu’on vous a sommés de ne plus être. Ne soyez pas dupes des discours ambiants qui vous intiment l’ordre de vous renier au nom du métissage du féminin et du masculin dont on veut vous faire croire qu’il constitue le stade ultime de l’humanité, comme la seule chance d’abolition des souffrances de tant de femmes.

Il n’est sans doute pas de pire ennui pour une femme que de se trouver face à cet homme insipide et morne qui a si bien appris sa leçon de féminisme et demande respectueusement l’autorisation pour tenter quelque trace de séduction, cet homme un peu ridicule qui use de crèmes antirides et d’autobronzant, cet homme pathétique qui n’éprouve pas le besoin de se lever pour une femme enceinte ou d’offrir sa veste à une belle en robe légère. Car quel geste plus beau que cet enveloppement tendre et puissant de celui qui dépose sur des épaules un peu de chaleur et de protection ?

Et j’adresse ces lignes à mon fils, aujourd’hui si petit, à peine sorti du statut de l’ange, comme un message d’amour et d’espoir. Puisse-t-il à son tour être fier d’être un homme. Un homme, c’est-à-dire un être imprégné des valeurs chevaleresques qui ont fondé la civilisation occidentale. Un homme, c’est-à-dire un être jouant à être le plus fort pour mieux servir, pour mieux protéger, car telle est la vraie grandeur (que les femmes devraient également cultiver), celle qui consiste à ne jamais abuser de son pouvoir. Un homme, sûr de ce qu’il veut être et se promenant dans les modèles anciens et les grandes figures. Même s’il garde à l’esprit que tout cela n’est qu’une fiction, et qu’il ne doit pas être prisonnier des codes mais se les approprier, pour mieux parfois les renverser.

Puisse-t-il apprendre à regarder les femmes dans leur complexité, leurs contradictions et leurs incertitudes. Puisse-t-il les aimer fières et fragiles, pudiques et passionnées, telles qu’elles seraient si notre triste époque ne leur enseignait l’infantile niaiserie qui les empoisonne, et que les bons génies du marketing tentent à tout prix d’inoculer aux hommes.

Natacha Polony
Extrait de « L’homme est l’avenir de la femme »

,JC Lattès, 2008, p. 244-247

Source : minurne.org

Ouf ! Il semblerait que nous amorcions un retour au bon sens, merci Madame Polony !

 

Paroles de Rabbins.

Paroles de rabbins:

« Est-ce que c’est une bonne nouvelle que l’Islam envahisse l’Europe ? C’est une excellente nouvelle ! » 

« L’Islam, c’est le balai d’Israël, sachez-le. »

« Cette guerre qu’on attend tous… »

Sic Rav Touitou

Je serai toujours étonné par notre incommensurable naïveté, à nous les « Gentils » ! Il suffit pourtant de très peu de bon sens, lorsque l’on entend ces paroles pour saisir la réelle problématique inhérente à la situation des pays d’Europe depuis le coup d’état des forces occultes et financières de 1789…

L’Islam, blablabla, l’Islamisme, blablabla notre pire ennemi, blablabla, les attentats, le 11 Septembre blablabla, l’Etat Islamique, Daesh, Isis, blablabla…

Mais enfin, QUI a fait entrer l’Islam en Europe par le biais de l’immigration? QUI a travaillé à l’éradication méticuleuse de toutes nos racines chrétiennes depuis deux-cents ans, QUI est allé saccager L’Irak et la Lybie, a failli détruire la Syrie et voudrait bien en découdre avec l’Iran ???  QUI apporte son soutien sans faille à l’Etat terroriste sioniste d’Israël ? QUI, si ce ne sont nos gouvernants Otanisés et sous pilotage automatique des cercles d’influence que l’on sait et qui les poussent depuis 1945 au cosmopolitisme, à « l’ouverture », etc, etc… QUI enfin, a révélé au monde ébahi, ce génial et, si opportun pour certains,  « choc des civilisations »  si ce n’est un certain Samuel Hutington ?

La réponse est pourtant aujourd’hui assez limpide et documentée.

 

D’ailleurs, allons à la source et écoutons plutôt ces braves Rabbins qui sont les spécialistes de la question !

Est-ce suffisamment clair ?

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David Duke au sujet de la même stratégie, ayant déjà engendré révolutions et guerres mondiales, mais qui fonctionne encore et toujours avec ces braves et indécrottables Goyims !

 

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Et ils sont nombreux ceux qui, se disant patriotes, n’évoquent JAMAIS le sujet qui est sans doute à leurs yeux du …conspirationnisme !

 

paroles de rabbins

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La civilisation des droits de l’homme ou le règne du néant.

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Entretien tiré du journal « Présent »

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Agé de 34 ans et docteur en histoire médiévale, Raoul Fievet vient de publier chez Via Romana un premier mais ambitieux essai nourri de profondes réflexions mais aussi de citations qui, pour émaner parfois de penseurs ou de chercheurs fort étrangers à notre mouvance, n’en sont que plus précieuses, telle celle de Gandhi assurant que les seuls « droits dignes d’être mérités et conservés sont ceux que donne le devoir accompli ». Le titre de ce livre important ? La civilisation des droits de l’homme ou le règne du néant. Tout un programme !

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— Raoul Fievet, vous déplorez le remplacement des traditions ancestrales par « la religion séculière de l’individu », issue des Lumières et de la Révolution. Comment définiriez-vous les objectifs, les intérêts et le clergé du nouveau culte ?

— Notre société est désormais régie par un système de pensée selon lequel l’individu constitue la réalité ultime qui subordonne toute réalité sociale. Cette nouvelle religion a son clergé, un conglomérat d’élites médiatiques, politiques et financières, qui a fait sienne l’idée d’un individu autosuffisant, porteur d’une valeur intrinsèque inaliénable, sans égard à son mérite démontré. Pour les tenants de cette vision du monde, les sociétés ne constituent que de simples agrégats d’atomes individuels. Tout ce qui dépasse l’individu, tout ce qui l’arrache à ses petits désirs matérialistes, tout ce qui peut donner sens à son existence, à commencer par la nation et son vieux substrat civilisationnel, n’a aucune espèce de signifiance. Plus grave encore, à partir du moment où l’individu est pensé comme le centre de tout, le respect de son identité particulière s’impose comme un impératif absolu, avec pour conséquence une forme de sacralisation de la culture de l’Autre qui n’a d’égal que l’hostilité envers le fait national. L’identité nationale est en effet farouchement rejetée car perçue comme étant un facteur de négation des différences : les grands prêtres de la religion des droits de l’homme sont violemment allergiques à toute forme de norme collective contraignante. Ils se moquent bien de savoir que la société n’est plus qu’un ramassis d’individualismes narcissiques et de communautés repliées sur elles-mêmes puisque, pour eux, les individus se valent tous.

— De même que, pour vous, la construction européenne est « le projet du vide », la suprématie des droits de l’homme a engendré « la civilisation de la laideur » en matière d’arts, picturaux notamment. Comment, par qui et pourquoi ?

— La dégénérescence de l’art, l’un des symptômes les plus évidents du mal qui affecte notre époque que d’aucuns désignent fort justement comme « l’ère du vide », trouve fondamentalement sa source dans l’idéologie des droits de l’homme : dès lors que les individus sont imprégnés par un système de valeurs qui n’implique plus d’idéal transcendant leurs petites personnes, le fait de s’investir dans des projets porteurs d’un sens de la grandeur, d’une beauté capable de captiver les imaginaires, en se conformant pour cela à des normes esthétiques partagées et contraignantes, perd tout son sens : tout comme l’individu n’a plus d’autre justification que lui-même, l’art se justifie par lui-même du simple fait qu’il est proclamé art par son concepteur. Dans un tel contexte, la perfection technique n’est plus requise, pas plus que le souci de se conformer à des valeurs reliant l’individu à son contexte socio-historique. Dépourvu de la volonté d’exceller en touchant le cœur et l’esprit de son public, l’artiste peut laisser libre cours à ses délires personnels et n’a plus d’autre moyen pour se distinguer que de placer toujours plus haut le cran dans la provocation.

— Plus grave encore, la primauté donnée à l’individu aurait provoqué « le réveil des forces centrifuges », l’immigré, voire le migrant, étant promu super-citoyen. Comment réagir alors à ce que vous appelez la « nouvelle norme collective », qui nous interdit toute liberté d’expression et même de pensée sous peine de lourdes condamnations et d’un statut de paria ?

— L’idéologie des droits de l’homme favorise en effet un processus d’implosion des sociétés européennes : d’une part, en minant la conscience nationale, elle détruit le liant qui assure la cohésion de l’ensemble, d’autre part, en exaltant sans cesse l’acceptation aveugle des différences, elle ôte toute envie aux populations immigrées de s’assimiler à l’identité de leurs pays d’accueil. C’est pourquoi il convient de réaffirmer avec force la nécessité impérieuse d’un retour à un modèle assimilationniste : c’est seulement en assumant pleinement notre propre héritage historique et culturel que nous pourrons incarner un modèle de société susceptible d’attirer à lui des populations d’origine étrangère désirant s’approprier notre histoire et nos valeurs. Alors, bien sûr, le nouveau clergé s’empressera de crier à la « stigmatisation », seulement ses admonestations sont rendues caduques par la stupidité crasse de son argumentaire habituel : il nous parle sans cesse d’unité et de vivre-ensemble, mais il prétend fonder cette unité autour des droits de l’homme. Or de tels droits, par définition, ne renvoient qu’aux individus. Il entend ainsi fonder la société sur la somme des parties qui la composent au lieu de mettre l’accent sur ce qui peut les rassembler. Ce faisant, en récusant tout modèle unificateur, il laisse libre cours aux replis communautaristes, réduisant fatalement la société à une espèce de monstre de Frankenstein social cousu de morceaux hétéroclites qui tiennent à peine ensemble.

— Dégénéré par les droits de l’homme, l’homo occidentalis peut-il sortir de sa dormition ?

— La civilisation des droits de l’homme a beau être animée par une puissante dynamique qui remonte à des siècles en arrière, l’espoir reste permis. Le fait est que les nations manifestent une étonnante capacité de résilience, la nation demeurant un cadre fondamental de référence pour de larges pans des sociétés occidentales. Nombre d’exemples récents illustrent ainsi une indéniable capacité de sursaut des peuples occidentaux, encore en mesure, le cas échéant, d’imposer leur volonté à contre-courant du bourrage de crâne politico-médiatique ambiant, à l’image du Brexit, du référendum sur l’immigration en Suisse ou de l’élection de Donald Trump. Malheureusement, les forces du système n’ont pas dit leur dernier mot, on peut même penser qu’elles deviendront de plus en plus enragées à mesure qu’elles sentiront le sol se dérober sous leurs pieds. Cependant, je me plais à penser que la pourrisseuse religion des droits de l’homme n’est pas la seule force profonde qui traverse notre civilisation. Tel un fleuve autrefois puissant, le flot de la conscience nationale s’est peut-être quelque peu tari, mais je suis persuadé qu’il est toujours possible de lui rendre sa vigueur originelle afin de contrebalancer, à défaut de l’interrompre, le flot dévastateur et nocif issu de l’héritage des Lumières.

Propos recueillis par Camille Galic pour :

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