Et maintenant ?

autochtones européens de France

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Article de l’excellent blog d’Antonin Campana: Les véritables questions au sujet des Autochtones européens de France.

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Et une de plus, une : encore une élection de perdue !

Quand verrons-nous que les dés sont pipés depuis des décennies et qu’aucun candidat anti-immigration, donc hors Système, ne parviendra au pouvoir par des élections ? Nous faut-il attendre les prochaines Législatives, puis les Municipales de 2020, puis les Régionales de 2021, voire les Présidentielles de 2022… et pourquoi pas celle de 2027 ou 2032 pour, saturés de déceptions, enfin « comprendre » ?

Nous sommes des ânes qui poursuivons une carotte électorale qui recule au fur et à mesure que nous avançons. Combien de défaites devrons-nous encore encaisser avant de nous en apercevoir ? Le problème, c’est que le temps ne travaille pas pour nous. Selon toute vraisemblance, les Autochtones européens de France seront démographiquement minoritaires sur leurs terres ancestrales entre 2040 (selon le géopolitologue Aymeric Chauprade, Chronique du choc des civilisations, Dargaud, 2009, page 58) et 2050 (selon le démographe Jean-Paul Gourévitch, Les Africains de France, Acropole 2009).

Et 2040, c’est dans 23 ans ! C’est demain ! C’est maintenant ! Sans compter qu’avec Macron, faisons-lui confiance (l’oligarchie l’a nommé tout exprès !), le processus de Grand Remplacement va s’accélérer.

Autrement dit, nous risquons d’être minoritaires d’ici quatre ou cinq élections présidentielles, sachant que, comme nous l’avons montré, des Allochtones « intelligents » peuvent prendre « démocratiquement » le pouvoir dès lors que les étrangers constituent environ 30 à 35 % de la population (ce qui devrait être le cas, à la louche, pour les élections présidentielles de 2032).

Pensez-vous que se mobiliser pour des Législatives (que nous perdrons), puis encore pour des Présidentielles (que nous perdrons aussi), puis à nouveau pour des Législatives (que nous perdrons encore) soit la meilleure chose à faire pour assurer un avenir à nos enfants ?

Nous sommes des ânes car nous voulons ignorer que la carotte est au bout d’un bâton que tient le régime politique en place sur notre dos. Plutôt que d’aller docilement où la République nous mène avec sa carotte électorale et son bâton judiciaire, c’est-à-dire droit vers un Grand Remplacement conforme à son idéologie profonde, ne serait-il pas plus profitable de se décharger du poids inutile que nous portons ?

Car en quoi la République nous est-elle utile ? N’est-ce pas elle qui nous a noyés dans une soupe multiculturelle qu’elle touille dans le « creuset » qu’elle a fabriquée ? En quoi ce qui tue peut-il être utile à ce qui est tué ?

A contrario, le peuple autochtone de ce pays est, lui, indispensable au régime politique qui l’opprime. C’est par son sang que les « valeurs universelles de la République » se sont répandues en Europe et dans le monde, donnant naissance au « Système ».

C’est par l’utilisation nocive de son énergie que la République peut construire le modèle de société qui le déstructure. Combien de temps durerait la paix sociale et le mythe du « vivre ensemble » si les Autochtones européens de France, enfin rassemblés, refusaient de payer leurs impôts ou de se rendre à leur travail ?

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La République nous doit tout et nous ne lui devons rien ! Sans les Autochtones de souche européenne, la République ne serait qu’une parcelle de néant. Or, elle ne nous respecte pas et nie notre droit à l’existence en tant que peuple, dans le même temps où ses représentants se prosternent auprès du CRIF, du CRAN ou du CFCM !

La République est un régime politique profondément hostile au peuple autochtone. Il faut cesser de faire semblant de croire que la République est la France : la République s’est emparée (par la violence) de notre pays, lui suce son sang et y fait ses expériences sociales. Il est temps, avant qu’il ne soit trop tard, de libérer la France.

Pour cela il faut siffler la fin de la partie. Il faut signifier que nous ne jouerons plus selon les règles imposées par le régime politique illégitime. Car ces règles, on le voit, ont mené notre peuple au bord du gouffre. Continuer à les respecter serait suicidaire. « Le bon général, écrit Sun Tzu, ne livre combat sur les terres mortelles ». Or depuis trop longtemps, les meilleurs d’entre nous mènent un combat sur des terres que le régime politique en place nous a rendues « mortelles ». Le bon sens commande d’entraîner la République sur le terrain que nous aurons nous-mêmes choisi pour y mener un combat dont nous aurons nous-mêmes défini les règles.

La République est puissante parce que nous n’osons pas voir qu’elle est nue. Sa « Liberté », c’est du vent. Son « Egalité », c’est un amoindrissement. Sa « Fraternité », c’est le génocide des phratries.

Le premier acte libérateur est de voir la République pour ce qu’elle est vraiment : un régime politique totalitaire qui repose sur le mythe d’une nation réduite à un « corps d’associés » multiethnique. Le second acte libérateur est de faire sécession de ce « corps d’associés » sans avenir, mais potentiellement hostile.

La sécession doit être intellectuelle, psychologique et morale.

Elle doit être aussi politique. Elle doit être le fruit d’une prise de conscience individuelle mais aussi d’une démarche collective. La République ne veut pas de nous : nous ne voulons pas d’elle ! La République nous nie en tant qu’Autochtones européens de France : nous la nions en tant que système de gouvernement légitime !

Changer de terrain, c’est recréer un peuple dans le melting-pot, c’est recréer une nation dans la société mondialisée, c’est faire un Etat dans l’Etat.

Le peuple autochtone de ce pays peut et doit se doter de structures politiques, culturelles, associatives, financières, scolaires, de sécurité…

Il doit se faire représenter par des instances autochtones élues. Il doit obtenir des droits collectifs qui le renforce et sécurise son avenir. Rien d’impossible dans tout cela (voyez les Kanaks en Nouvelle-Calédonie), rien de difficile non plus dès lors que nous aurons admis que nous sommes faibles de n’avoir pas compris que nous étions forts.

Désormais, la voie électorale étant bouchée ou inutile, les Autochtones devront soit accepter passivement leur disparition en tant que peuple, soit se regrouper pour se construire un avenir autonome. Il appartient aux personnalités connues et reconnues de la mouvance hors-Système de donner maintenant le signal du Grand Rassemblement.

Car le temps des espoirs électoraux insensés est maintenant terminé. Voici venu le temps des bâtisseurs de peuples !

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Antonin Campana.

Suivre et faire connnaître son remarquable travail:
http://www.autochtonisme.com/2017/05/et-maintenant.html

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Macron, l’ultime mascarade.

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Lu sur le site de l’OJIM:

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LE CANDIDAT FABRIQUÉ PAR LES MÉDIAS ET LA FINANCE SEMBLE EN PASSE D’ACCÉDER À LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, RÉVÉLANT, AU MOMENT OÙ LE POUVOIR MÉDIATIQUE APPARAÎT PLUS DÉLÉGITIMÉ QUE JAMAIS, SON COUP DE FORCE SUPRÊME QUI, À DÉFAUT D’UNE QUELCONQUE ALTERNANCE, EST AU CONTRAIRE EN TRAIN DE FAIRE ENTRER LA FRANCE DANS UNE ÈRE POST-DÉMOCRATIQUE.

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Galvanisation des masses, propagande, hystérie, manipulation, fuite en avant… Derrière le micro un pantin gesticule, il profite de la crise et de la crainte qu’inspire à la bourgeoisie le parti des ouvriers… Tout cela ne nous rappelle-t-il pas des heures où il était impossible de se déplacer sans une lampe de poche ? Ne voit-on pas les mêmes gigantesques mises en scène, à l’aube d’une élection capitale, au service d’un candidat offrant à chacun son couplet sans la moindre cohérence, celle-ci éludée au profit d’une pure exaltation de l’énergie, comme on le voit faire Hitler dans Le Triomphe de la Volonté de Leni Riefenstahl, lors de la campagne de 1933 ? Puisque les jours qui nous attendent mettront à la pensée politique le joug du Point Godwin, allons-y, prenons honnêtement ce chemin par pur exercice intellectuel et voyons… Le fascisme n’a jamais été une anti-démocratie où on couperait le micro, il est une perversion démocratique par saturation univoque du micro.

Qui a tous les médias avec lui ? Le Pen, ou Macron ?

En ce sens, évidemment que s’il est une campagne électorale que l’on pourrait rapprocher aujourd’hui de celle d’Hitler et ses sbires, c’est bien celle de Macron et des siens

– Jacques Attali, Pierre Bergé, Thierry Pech (le fondateur de « Terra Nova »), Xavier Niel, Alain Minc, qui portent tous, d’ailleurs, à défaut d’un « programme », du moins un projet utopiste, lequel, s’il ne cherche pas à réaliser le « surhumain », vise néanmoins le « transhumain ».

APOGÉE DU ZOMBIE

Si durant toute la campagne le candidat du vide – ni droite ni gauche, ou de gauche comme de droite, mais aussi d’en-haut et d’en bas, ou tout au contraire – a bénéficié non du fond, mais de la forme en trompe-l’œil qui fait passer pour neuf un membre du gouvernement sortant le plus détesté de la Ve République, cet avatar-caméléon-du-même qui carbure au pouvoir financier et est exalté par une coalition médiatique inédite, s’est vu couronné par les journalistes dès sa sélection au second tour, dimanche 23 avril dernier, avec une jubilation consanguine étonnante. On se réjouissait en famille au moment de hisser, de manière un peu précipitée, au-dessus de la garde-robe politique française, le porte-manteau du programme d’Attali. L’analyste des médias Daniel Schneidermann l’énoncerait clairement : « S’il reste quelques citoyens qui n’ont pas compris comment les médias ont imposé Macron comme une évidence, alors qu’ils se précipitent sur le replay de la soirée électorale de France 2. Toute la mécanique s’y dévoile. Évidemment, il y a la collection complète des couvertures de l’Obs, les éditos à répétition des snipers de Challenges, les opportunes pétitions d’économistes. Tout ceci constitue un bloc de propagande visible. Mais le plus efficace, sans doute fut-ce la propagande invisible. « On a l’impression de voir un président élu, et c’est assez impressionnant » , s’émerveilla le journaliste Jeff Wittenberg, sans réaliser que ces « images d’un président élu », il en était lui-même le fabricant, lui et sa chaîne, et tous les autres. Dans l’écriture télévisuelle française, ce type de course-poursuite motorisée est habituellement réservé à la berline du vainqueur du second tour.

Si on pistait ainsi Macron, pourquoi ne pistait-on pas pareillement Marine Le Pen à Hénin-Beaumont ? »

DUCE 2.0

Le joker du conglomérat médiatico-financier, c’est lui, et dans une ère post-démocratique, il a cet atout d’avoir compris les nouveaux rapports de forces et de jouer à fond la post-démocratie, la post-nation, le post-humain pour le plus grand bénéfice des tenants du libéralisme mondialisé. Passer de la finance aux médias et des médias à la finance, du pognon à la pub et de la pub au pognon, en ayant largué toute tradition, toute idéologie, tout concept et tout peuple historique, est un choix franc et dynamique. L’archétype du nouvel homme d’État n’a plus qu’à se confondre avec le yuppie sous coke hurlant des slogans vides devant des caméras multipliées. Duce 2.0. Même Aude Lancelin, journaliste périmée et trahie par sa caste, qui, après avoir joui toute sa carrière dans les jupes du pouvoir, s’invente rebelle une fois au chômage et se met à vouloir jouer à l’OJIM, même Aude Lancelin, donc, ne peut que compléter nos diagrammes en évoquant un « putsch du CAC 40 » : « Il y a des années que Macron plaçait ses pions auprès des géants des médias. Déjà lorsqu’il était banquier d’affaires chez Rothschild, le protégé d’Alain Minc avait conseillé le groupe Lagardère pour la vente de ses journaux à l’international. Excellentes aussi, les relations entretenues par Macron avec le sulfureux patron de Canal+, Vincent Bolloré (…). Très étroites également, celles qu’il a avec le fils de ce dernier, Yannick Bolloré, PDG d’Havas, géant de la communication mondiale. Avec le groupe de Patrick Drahi, c’est carrément la love story à ciel ouvert, même si en période électorale les pudeurs de carmélite s’imposent.

Ainsi le Directeur général de BFM TV est-il régulièrement obligé de se défendre de faire une « Télé Macron », sans convaincre grand monde (…). Lorsque Martin Bouygues et Patrick Drahi s’affronteront pour le rachat du groupe SFR, c’est Macron lui-même, alors secrétaire général de l’Elysée, qui jouera un rôle décisif en faveur de ce dernier. » Quant aux relations de connivence entre Xavier Niel et Emmanuel Macron : « Difficile en effet d’admettre publiquement pour l’homme fort du groupe « Le Monde » son degré de proximité avec le candidat d’En Marche!, alors même que beaucoup accusent déjà le quotidien du soir d’être devenu le bulletin paroissial du macronisme. Lui aussi actionnaire du groupe « Le Monde », le milliardaire du luxe Pierre Bergé, n’aura pas réussi à s’abstenir de tweeter sa fougue macronienne pendant la campagne. »

ÉPIPHANIE DU SYSTÈME

Nous y sommes. Le système, dont l’OJIM dénonce depuis des années l’œuvre de confiscation d’un véritable pouvoir médiatique indépendant, le système qui d’après ce même système n’existe pas, d’après qui le nommer de la sorte serait une extrapolation de complotiste, une outrance populiste, une simplification douteuse, ce système a enfin un visage clair, limpide, définitivement synthétique – indiscutable, et c’est celui d’un quadragénaire BCBG au sourire de télévangéliste : Emmanuel Macron.

De François Ruffin, le réalisateur de « Merci Patron ! », inspirateur des bobos nuitdeboutistes de centre-ville gentrifés à Laurence Parisot, l’ancienne patronne du MEDEF s’imaginant déjà premier ministre, de José Bové à Nicolas Sarkozy, toute la cohérence libérale-libertaire se révèle d’un bout à l’autre du spectre, toutes les composantes les plus variées de l’oligarchie, toutes les articulations du pouvoir, des banques aux chaines de télévision, des grands patrons aux ligues morales, les voilà toutes réunies, révélées, amalgamées enfin derrière un seul homme. « Pas de doute donc, comme je l’ai un jour relevé, Emmanuel Macron est bel et bien le candidat de l’oligarchie.», assène Laurent Maudui, co-fondateur du site Médiapart. Et il ajoute : « Avec l’aide de mon confrère Adrien de Tricornot, j’ai par exemple apporté la preuve qu’Emmanuel Macron avait, en 2010, trahi la Société des rédacteurs du Monde, dont il était le banquier conseil, lors du rachat du journal par Niel, Pigasse et Bergé, en étant lors de cette opération financière l’agent double du camp adverse, et notamment de l’un de ses organisateurs, Alain Minc. (…) Oligarque jusqu’au bout des ongles, enfant adultérin et monstrueux de l’Inspection des finances et de l’agence Havas… » Voilà ce qu’affirme Maudui avant d’appeler à voter pour… Emmanuel Macron.

TRIOMPHALISME

Si les médias font les élections, encenser le vainqueur revient à rendre hommage à leur propre pouvoir, et c’est sans doute de cette manière qu’il faut interpréter les invraisemblables couvertures de Paris Match, de L’Obs ou de L’Express au lendemain du premier tour. Mais également les éloges dithyrambiques du Point : « On aime le décrire comme un météore, un Rastignac des temps modernes, un jeune loup à la gueule d’ange, un Petit Prince de la politique… L’homme qui sera peut-être, à 39 ans, président de la République française, est un personnage hors norme. Il a connu une ascension éclair comme jamais l’histoire politique française n’en avait écrite, soulignait récemment une journaliste de la BBC. » Le candidat d’ « En Marche » se contredit en permanence, ne sait pas ce qu’il raconte, se ridiculise dès qu’il monte sur scène, il ne tient son succès que d’avoir été fabriqué, mais on nous le vend en Bonaparte de la démocratie spectaculaire… Alors qu’il n’est que le fils chéri de l’oligarchie, l’héritier de François Hollande, lequel est le plus mauvais président de la République que la France ait connu. « Ah oui, mais le règne du fils est formidable en soi ! », nous rétorque Sylvain Courage, dans L’Obs, se livrant à une acrobatie sophistique totalement invraisemblable pour honorer son maître : « Cette élection ouvre aussi une nouvelle ère car elle met peut-être définitivement fin à une règle immémoriale et implicite : le patriarcat. Dans l’incapacité de briguer un nouveau mandat,François Hollande, le président sortant le plus impopulaire de la Ve République, a ouvert un espace inédit à l’un de ses héritiers. Il ne l’a pas fait de bonne grâce, certes. Mais sa renonciation a permis l’émancipation de son plus proche disciple. La loi du père, castrateur du fils, ne s’est pas appliquée. Et c’est donc la loi du fils qui s’impose. A la perpétuation du pouvoir établi se substitue une nouvelle légitimité : le renouvellement naturel. Cette transmission libre qui s’apparente à une réincarnation… Plus démocratique que la loi du père, la loi du fils comporte un droit d’inventaire. Ce n’est plus le patriarche qui s’efforce de durer mais sa descendance qui dispose de son legs et agit pour son propre avenir. »

On atteint là des sommets de n’importe quoi !

Tout héritier est un fils qui deviendra lui-même un père. Du point de vue de Louis XIII, le règne de Louis XIV était tout autant le règne du fils ! Qui profitait d’une « nouvelle légitimité », d’un « renouvellement naturel », certes, mais qui n’était pas spécialement plus « démocratique » ! Hériter revient à tuer le patriarcat, d’après Sylvain Courage… C’est merveilleux. Et prostituer sa fille revient sans doute à l’émanciper, si on regarde ça sous l’angle adéquat.

MANU LE VISIONNAIRE, MACRON LE DISRUPTIF

Il n’est pas encore élu que Macron donne lieu à un concours d’éloge qui nous rappelle les heures les plus rouges du journalisme sous Staline. Au Point, on trouve cela : « Emmanuel Macron a eu trois intuitions qui ont créé les conditions d’un destin d’ores et déjà exceptionnel. Tout commence très tôt, le 27 août 2015, aux universités d’été du Pôle des réformateurs, à Pessac-Léognan. Le ministre de l’Économie est longuement ovationné. Ce jour-là, le sénateur François Patriat, qui fait partie de ses premiers soutiens, reçoit, en aparté, cette prémonition incroyable de Macron : « Il me dit :Je fais l’analyse que le chef de l’État ne sera pas en mesure de se représenter. Il faut qu’on prépare quelque chose. On doit se revoir pour préparer quelque chose ». » Le fait que Hollande ne pourrait pas se représenter et qu’il allait falloir trouver autre chose, tout le monde le savait, depuis au moins novembre 2014, date à laquelle Les Inrocks offraient à Juppé une invraisemblable couverture, trahissant par là leur conviction de l’impossibilité pour Hollande de rempiler. Mais quand c’est Macron qui formule dix mois plus tard cette évidence, cela devient une « prémonition incroyable ». Pour France Inter, Macron réalise « le hold-up du siècle », comme titré en référence à la phrase d’un élu socialiste recyclée sans recul. Dans Paris Match, le messie est décrit parée de toutes les qualités : « A la lumière des ralliements de droite comme de gauche, et des sondages qui le placent largement en tête au second tour, la dernière marche vers le perron de l’Elysée pourrait sembler la plus facile. Mais l’élève des jésuites, diplômé de philosophie, sait que l’orgueil est un péché et la présomption un écueil redoutable. » Pourtant, il a démontré précisément le contraire, et c’est d’ailleurs ce qui a été relevé en général, même parmi ses soutiens. Ce renversement du réel témoigne simplement du degré d’aveuglement idéologique que certains journalistes peuvent atteindre face à leur candidat officiel.

MÉDIAS EN CAMPAGNE

Après la séquence Whirlpool, BFM et France Inter ont même tenté de réécrire ce à quoi tout le monde avait pu assister, comme le montrait Eric Verhaeghe sur Contrepoints : « (…) de longues minutes de direct ont permis de montrer comment le candidat sorti premier au premier tour s’est retrouvé en difficulté dans un mouvement populaire qui bafouait son prestige. Immédiatement après ces images désastreuses, BFM a repris la situation en main en produisant des commentaires qui disaient exactement le contraire de la réalité qui venait de s’étaler aux yeux des Français. S’est alors construit un roman grotesque où Marine Le Pen serait venue 15 minutes sur place pour faire des selfies avec des militants du Front National, quand Emmanuel Macron aurait courageusement affronté la tempête et ramené le calme auprès d’ouvriers déboussolés par la mondialisation. Le plus ahurissant fut d’entendre ce matin les commentaires et chroniques sur France Inter (première matinale de France, rappelons-le) où une opération de propagande à la Potemkine fut clairement menée. Tout le monde connaît la proximité entre Emmanuel Macron et le directeur général de Radio France. Mais trop, c’est trop. » Jour après jour, on assiste à des pratiques de propagande que l’OJIM a déjà dénoncées à de très nombreuses reprises, mais qui, dans un tel contexte, deviennent outrageusement manifestes et carrément permanentes.

MISE EN LUMIÈRE

Pris de panique, le système médiatique tombe tous les masques, et c’est du moins l’avantage de ce second tour qu’une pareille mise en lumière. « Nan, pas fa ! Pas fa ! Pas fa ! » Qui exprime ainsi son dégoût pathétique ? Un enfant refusant de boire de l’huile de morue ? Non, d’après les médias, le futur chef de la République française faisant front au fascisme ressuscité.

Que ces gens-là ont-ils donc dans le cerveau ? Quand on parie sur un tel cheval, abandonner toute distance critique pour mener à bien son œuvre de manipulation des masses exige une imperméabilité totale à la honte.

Visiblement, cette imperméabilité existe. France Inter en arrive a censurer un humoriste, non parce qu’ils appelle à voter Marine Le Pen, mais parce qu’il ose seulement s’abstenir et ne pas voter Macron ! On censure, on érige des murs infranchissables, on aboie, même, pour lutter prétendument contre un fascisme hypothétique, essentiellement légendaire, contre la possibilité d’une dérive autoritaire d’une présidente potentielle pour l’heure dans une situation de seule contre tous, et on cimente, par là, un fascisme bien concret, bien omniprésent, bien palpable : celui de la Pensée unique acclamant par ses médias, aujourd’hui, le candidat unique d’un parti unique.

Fin de l’article de l’OJIM

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Ceci est une capture d’écran tiré du discours de Macron sans aucune retouche. (Allez vérifier vous même.) 

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La lueur rouge dans la partie sommitale de la pyramide est certainement dûe au plus grand des hasards !

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« Ils ont des yeux, mais ne voient point » 

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Comment et pourquoi DLF a rejoint le FN:

(Extrait de Riposte Laïque)

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Comment et pourquoi Debout la France a rejoint le FN!

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Il ne me semble pas inutile de revenir sur la réunion du Conseil National de Debout la France qui a contribué à la décision historique de Nicolas Dupont-Aignan ; en effet ceci détermine l’avenir du mouvement mais aussi la nature de l’opposition future à E. Macron si l’incontestable basculement de l’opinion publique ne s’opère pas assez rapidement.

Nous étions quatre-vingt, qui donnaient le coeur avant le temps dans une trop petite salle, certains assis par terre, beaucoup venus précipitamment, la nuit, de provinces lointaines ; par les hautesfenêtres ceintes de boiseries centenaires, témoins parlant de l’art français, nous apercevions, droits et majestueux, les portails de L’Assemblée nationale pavoisés de notre bannière tricolore ; tous pénétrés de l’amour de France, conscients que nous participions à une parcelle de l’Histoire.

Les discussions furent parfois vives, mais la flamme patriotique de tous permit d’éviter les mots brisants ou exclusifs. Nicolas Dupont-Aignan parla peu, en homme d’État responsable, froid et tenace, mais à chacune de ses interventions l’homme sensible, droit, empreint d’un humanisme serein, perçait, entraînant les indécis. Certes la tourmente avait atténué un peu son extraordinaire énergie, la fatigue des dernières semaines et la douleur digne, montraient leurs crocs mais la détermination demeurait
entière ; l’aquilin triompha : main de fer dans un gant de velours, cet homme révéla l’étoffe d’un chef.

Cinq options se présentaient à lui : la première, un ralliement à Macron ne fut même pas exposé, restaient le ni-ni, l’exposition d’un choix personnel et non partagé par DLF d’appel à voter pour Marine Le Pen, le ralliement avec armes et bagages à cette dernière et l’accord de parti à parti, de responsable à responsable, d’égal à égal.
On dissipa en quelques mots la tentation de la fusion : aucun sens intellectuel, aucun intérêt mutuel, aucun poids politique nouveau. Nous étions une poignée identifiés comme ceux qui croyaient à l’aventure, au moment historique,à la croisée des chemins ; notre premier objectif fut d’éliminer l’option d’un appel personnel de
NDA n’engageant pas le mouvement, l’argument de l’ambiguïté, du flou d’une décision qui à la fois avait les désavantages du ni-ni et aucun des avantages du rapprochement fut déterminant; l’heure était à la clarté, ce fut déterminant par la suite.

Bruno Dienot, du Gers, entama les débats, il parla d’un train qui passe, du dernier, celui qu’il ne faut pas louper ; cette métaphore fut souvent reprise, parfois avec l’idée que nous allions monter dans un train dont nous n’étions ni les conducteurs, ni les navigateurs. Premier à parler, il donna le ton des quatre heures de discussion ; il indiqua avoir consulté sa fédération, base et cadres, puis, sans ambages il prononçales mots impensables : je voterai et appellerai à voter pour Marine Le Pen.

Lors la réunion changea de nature ; il ne s’agissait plus seulement de donner un avis sur la décision à prendre par NDA mais bien que le mouvement, représenté par ses délégués, se détermine par lui-même.
En salve les partisans du ni-ni, parfois dépassés par une sorte d’archéo-gaullisme, exprimèrent essentiellement des arguments péri-politiques : le qu’en-dira-t-on y était en bonne place, montrant, ce qui fut relevé, une sociologie bourgeoise ; Debout la France rêvé comme un MDC de droite sorte de club de réflexion… d’illusions.

Souvent des tensions familiales furent évoquées en cas de rapprochement avec le Front National, les déchirements de l’époque de l’affaire Dreyfus furent cités, cela en dit long sur la responsabilité des médias dans le climat d’extrême violence du débat actuel ; NDA rappela que l’accord se faisait avec Marine Le Pen, candidate fidèle aux institutions voulues par De Gaulle, en allant à la rencontre du Peuple français.

Puis vînt une séquence où beaucoup de partisans du ni-ni avouèrent que, comme nombre d’adhérents de leur fédération, ils préféraient une expression neutre alors même qu’ils mettraient un bulletin « Marine Le Pen » dans l’urne ; cette schizophrénie fut dénoncé bruyamment. Les habituels optimistes invétérés, aveugles aux réalités des rapports de forces politiques, se dirent persuadés que les législatives allaient consacrer la première place de DLF au sein de la droite et qu’un soutien à Marine Le Pen détruirait à jamais cette chance unique pour la France ; exaltés par leur propre discours certains ne juraient que par la certitude de « NDA président » en
2022.

La parole fut donnée à Dominique Jamet ; à l’évidence il comptait sur son éloquence tranquille pour engluer les hésitants, mais son verbe fut morne, il rappela sans brio les efforts fait pour construire un parti indépendant et libre, lequel allait perdre son superbe isolement protecteur en se jetant dans une mêlée perdue d’avance.
C’est à ce moment que je suis intervenu. Répondant au dernier argument des chevaliers blancs de la pureté confortable et inefficace, j’indiquai que « si quelques-uns s’en vont, combien arriveront ? Et ceux qui nous quitteront où iront-ils, combien de temps mettront-ils à comprendre que le choix du combat pour la France indépendante est forcement Gaulliste ; en cette heure cruciale un bulletin blanc, un défilement, c’est une voix de moins pour les souverainistes ».

Rappelant mon engagement plus que décennal avec Nicolas, j’affirmais avoir toujours trouvé en lui une constante humanité apaisée et prolixe ; je suis certain que s’il avait le moindre doute moral concernant la personne ou la pensée de Marine Le Pen, jamais il n’aurait tenté le moindre rapprochement : ne pas avoir confiance en son jugement aujourd’hui c’est renier notre engagement depuis que nous soutenons son combat.

Cet argument fut ensuite repris par plusieurs opposants inversant leur position et rejoignant le camp favorable à un accord. Je poursuivis en soulignant que nous apportions à l’attelage la qualité de nos adhérents, de nos cadres, notre capacité à mettre en oeuvre un programme auquel notre intelligence collective avait apporté toute sa cohérence ; enfin, je terminais par ces mots « Nicolas Premier ministre (*) sera aussi le garant du respect absolu de la morale publique, de l’intégrité des valeurs républicaines, de l’honneur de la France, sa démission signerait la mort politique de Marine Le Pen, il sera n’en doutons pas l’épée de Damoclès.»
Une tentative fut faite en mettant en exergue que deux vice-présidents, peut être trois avec François Morvan, quitteraient le mouvement, mais la salle avait basculé, notamment après l’exceptionnelle qualité de la prise de parole de Patrick Mignon.

Dans une seconde intervention, Dominique Jamet pensant prendre l’avantage parla de l’héritage de la fille, personne n’eu l’indélicatesse de lui rappeler son propre passé.
Nicolas Dupont-Aignan résuma sobrement le dilemme : Marine Le Pen ne peut gagner sans ce que nous représentons, je préfère perdre avec elle à 48% que de la voir, sans nous, échouer à quelques pour cents près.

Dans un dernier sursaut, presque trotskiste, Dominique Jamet évoqua un vote, seules trois mains, et rapidement deux seulement, se levèrent contre le choix majoritaire.
Dès lors, ce sont les conditions de l’accord et la nature de notre participation aux législatives qui furent les sujets des autres interventions. Mais, sur le fil, un nouvel enjeu se fit jour : le calendrier ; certains ni-ni essayèrent de faire différer l’annonce du bouleversement, afin, bien sûr, d’en atténuer le sens et l’effet.
Dans un discours vibrant, politique et chaleureux, bien loin de sa retenue habituelle, Jean-Philippe Tanguy conclut les prises de paroles, en faveur d’un vote avec et pour le Peuple de France manipulé sans cesse par un système, une clique, utilisant jusque la nausée la peur comme argument.

La séance fut levée, quelques groupes continuant d’échanger ; à la fin nous restâmes quelques uns, NDA toujours à l’écoute de ses soutiens eut encore la force de dire quelques mots de remerciement, de préciser, d’évoquer l’avenir puis, il se retira pour préparer son intervention historique.

Un peu plus tard, en direct sur BFMTV Bruno Dienot, respectant les consignes, répéta que le choix de Nicolas Dupont-Aignan, était historique, courageux et sage ; refusant de parler des législatives et de sa candidature, il rappela que le second tour de l’élection présidentielle sera celui opposant le mondialisme extrême et systémique contre la France.

Gérard Couvert – Riposte laïque

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Macron, aboutissement de la civilisation.

macron

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Macron, la Finance et le néant …

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Alors que, parait-il, plus de 20% de Français s’apprêtent à mettre sur le trône de France Macron-le-Flouze comme digne successeur de Fromage 1er à ces élections pestilentielles 2017, il est bon de récapituler rapidement toute la cohérence et la profondeur de sa vision pour la France :

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(Best-Of-Macron par les-crises)

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Sans commentaire.

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Les journalistes n’ont plus le pouvoir ?

macron

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Macron tes journalistes n’ont plus le pouvoir !

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Excellent, cher Monsieur !

Félicitations pour votre esprit de synthèse. En un mot comme en cent, vous leur avez dit l’essentiel.

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 Macron …. Ultime avatar de leur République ?

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 Leur « Raie-publique » des coquins et des copains n’est plus vendable même par leurs meilleurs journalopes d’élite !

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Beaucoup découvrent peu à peu aujourd’hui, derrière la façade passablement décrépite depuis leur putsch de 1789 …la pitoyable et criminelle entreprise, alliance de la finance transnationale, des sophismes maçonniques, et de la crédulité sans borne, hélas, du brave peuple chrétien de France…

… Des centaines de millions de morts grâce à leurs guerres mondiales et « révolutions » en tous genres, le plus brillant pays d’Europe au XVIIIème siècle, ravalé au rang d’un abysse de déréliction…

C’est pour votre complicité sans faille avec cette épouvantable machine d’ingénierie sociale travaillant avec notre argent, que vous devrez rendre des comptes, Messieurs les faux journalistes mais vrais criminels par omission et désertion de votre vraie mission !

Réveillons-nous !

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macron

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La République, experte en dérapage.

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La République, cette experte en dérapage !

Les nombreuses officines républicaines et donc maçonniques, donnent régulièrement de belles leçons de morale à leurs ouailles lobotomisées: Les chapitres en sont assez peu nombreux, mais ils est bon, pour eux, de les rabâcher de façon assidue, afin d’en garantir une efficacité sans pareille :

« Droits de l’Homme », « Ouverture à l’autre », « Valeurs de la République », « Progrès social », entre autres pieux versets …

Afin de ne pas étouffer sous cette chape de béton moralisateur éhonté, il n’est pas inutile de temps à autres, de remettre l’Histoire à l’endroit et de rappeler comment est née cette fameuse « République »:

Le 21 janvier 1793, à Paris, Place de la Révolution, le Roi Louis XVI est guillotiné.

Sa tête, montrée au peuple, est jetée en défi à tous les souverains d’Europe. Le peuple vendéen n’acceptera pas ce sacrilège. Un mois plus tard, à l’occasion de la conscription décrétée par la Convention, il va se soulever en masse contre la tyrannie révolutionnaire et les persécutions contre les Catholiques.

Derrière les chefs exemplaires qu’il s’est donné (Cathelineau, Charette, La Rochejaquelein), ce peuple, mû par une foi en Dieu sans pareille, se battra corps et âme jusqu’au suprême sacrifice.

L’insurrection vendéenne et sa répression aveugle par la Terreur républicaine constituent l’un des épisodes les plus tragiques de l’Histoire de France.

Le nombre des victimes reste encore incertain : 200.000…, 400.000…, 600.000 morts… ?
La Vendée continue d’interroger l’Histoire.

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https://www.youtube.com/watch?v=TNShI6GYSN4

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Ainsi pourquoi donc nos si vertueux Républicains actuels, si à cheval sur leurs « valeurs », et traquant le « Crime contre l’Humanité » sans relâche, n’envisagent-ils jamais la moindre auto-critique ou même la sublime et exemplaire possibilité d’un beau procès de Nüremberg pour leur idéologie, responsable de ces atrocités sans nom !

Car enfin nos Honorables Frères n’ont-ils pas toujours revendiqué la paternité de leur Glorieuse Révolution et de sa déesse Raison ??

…… Il y aurait eu des dérapages …complètement involontaires bien sûr, nous dit-on … Regrettable vraiment …

Etrange, comme tout ce à quoi touchent ces gens « dérape » : Dérapage du saccage de la Civilisation française traditionnelle, dérapage de la disparition de nos cultures régionales, et européennes enracinées dans l’Histoire, dérapage de la disparition de la prospérité agricole de la France, dérapage de deux guerres mondiales planifiées par leurs soins diligents, dérapage de 200.000 bébés zigouillés tous les ans dans le ventre de leur mère, dérapage de l’euthanasie qu’ils nous préparent, puis du transhumanisme…dérapage de l’Europe vendue et ouverte à l’islam, dérapage de la misère socialiste généralisée…

Le règne de la République est décidément celui d’un long dérapage…

 Il n’est qu’une chose, et c’est étrange, qui ne dérape jamais: Les excellentes affaires de leurs Maîtres : Les faux-monnayeurs apatrides et mondialisés.

Jusqu’où nous feront-ils déraper  … ?

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L’arnaque Macron: Incroyable !

l'arnaque macron

 

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L’arnaque Macron: Toujours plus loin dans le crétinisme organisé !

 

Nous avons vu sur les écrans des troupes d’occupation mentale télévisuelle, des publics en délire, ovationner le candidat de l’oligarchie mondialiste Macron.

La bulle vient d’exploser ! Cette vidéo montre les ficelles de l’opération …

Bravo Macron, tu prends les Français pour des crétins incurables. J’espère que tu aura le retour de bâton.

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Dans les coulisses de « L’arnaque Macron« 

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L'arnaque Macron

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Notre Macron (soutier de la banque Rothschild) a reçu l’appui de tous les grands amis de la France : Bernard Henry Lévy, Pierre Bergé, Jacques Attali, Alain Minc, entre autres fines fleurs.

C’est dire si l’Arnaque Macron est grossière ! D’une part l’animal fait agiter moult drapeaux bleu-blanc- rouge lors de ses réunions, tout en recevant l’argent et le soutien des pires mondialistes.

Macron, tu nous prends vraiment pour des cons.

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La fin de la « démocratie ».

Buffin de Chosal

Le grand cycle des « Lumières », donc de l’invention maçonique de « la démocratie » se termine… Il aura engendré un lot de souffrances, d’iniquités, de déracinements et de guerres mondiales sans précédent.

Christophe Buffin de Chosal vient nous présenter son ouvrage « La fin de la démocratie ».

Pour cet historien, le régime politique réputé le meilleur possible est une imposture dont l’humanité a été victime depuis la Révolution française. Portrait d’un régime à la solde d’une minorité déconnectée, irresponsable et corrompue.

Le « roi » ploutocratique, le Veau d’or, affublé de son faux-nez démocratique, est désormais nu sous le regard de ceux qui « ont des yeux pour voir ».

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L’imposture de la révolution « française ».

maurice talmeyr

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Quel a été, en 1789, en 1792 et en 1793, le rôle exact de la Franc-Maçonnerie dans la Révolution française ? s’interroge en 1904 l’historien et essayiste Maurice Talmeyr.

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Rapportant que la Franc-Maçonnerie consiste, dans un premier en temps et en apparence, surtout en bals, en banquets et en démonstrations de bienfaisance, il explique qu’il s’agit d’une simple façade, les philosophes des Lumières, et en tête Voltaire, s’appliquant méthodiquement à « maçonniser » les hautes classes de la société afin de préparer la Révolution et le renversement du régime monarchique, tandis qu’en 1785, un congrès de la Franc-Maçonnerie prémédite l’assassinat du roi Louis XVI…

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Remarquable petite vidéo du non moins remarquable site La France Pittoresque 

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Acheter sur Kontre-Kulture :

maurice talmeyr

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A lire absolument pour comprendre la révolution « française » !

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Alain Soral présente dans cette vidéo le livre de Maurice Talmeyr:

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Les bons voeux de la république.

bons voeux de mon député

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Comme tous les ans, je reçois les bons voeux de mon député. Chaque année, j’ai l’impression que le niveau d’immersion des populations dans la glue la langue de bois (ou Novlangue) monte, monte … Cette année, c’est résolument l’instauration d’une dictature sémantique TOTALE, je n’exagère pas, vous allez le voir …

Jugez plutôt :

« La république, c’est nous, la république c’est tout  » … (sic : agrandir les images ci-dessous)

TOUT !

Enfin quoi, pourquoi faire petit, mesquin ? Tout, on vous dit … Tout ! Dieu lui même, et son cosmos infini en son entier sans doute, sont LA REPUBLIQUE !! Bon sang, mais c’est bien sûr ! La république « universelle », au sens propre : étendue aux limites de l’Univers !

« Ils » sont en plein delirium cette fois-ci ! 

En tout cas le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils ne manquent pas d’air !

Je me suis donc fendu d’une petite réponse car ça dépasse un peu les bornes du simple bon sens, me semble-t-il ….

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« A Monsieur Charasse, député de la nation.

Celà fait des années que vous m’envoyez les voeux « de la république » dans ma boîte aux lettres et aux frais de la princesse.

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bons voeux de mon député

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bons voeux de mon député

Cette année, je tenais à vous répondre, car pour moi, comme pour beaucoup, la coupe de la république est pleine…

« La France est une idée » dites-vous ! Car, en effet, vous vivez dans l’idéologie, et notre problème est bien là !

Permettez-moi de penser que vous (et vos pairs en idéologie) faites une tragique erreur aux conséquences des plus funestes: La France, jadis un des pays du monde les plus brillants, les plus spirituels, les plus respectés est devenu un pays de seconde zone, endetté jusqu’à l’os auprès de vos bons amis les banquiers trans-nationaux, barbottant dans la décadence sans nom que vous lui infligez, empli de confusion, de conflits, de factions … Tout ceci en plus ou moins deux-cents ans… Félicitations, mais …

… Dites-moi, Monsieur le député, est-ce « une idée » qui remplit votre assiette tous les jours ou bien un de ces nombreux paysans que la ruine accule au suicide tous les jours ? Sont-ce des « idées » que toutes ces cathédrales, ces clochers, ces châteaux, ces terroirs, jadis prospères, et que le monde entier vient admirer tous les ans ?

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Cathedrale de Reims Domenico_Quaglio_(1787_-_1837)

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Non évidemment ! C’est une terre, c’est un peuple. Et le génie de ce peuple plonge ses racines dans deux-mille ans d’Histoire. La France était une Civilisation, la « république » l’a quasi-anéantie en deux petits siècles, deux guerres mondiales agrémentées « d’une des plus belles idées des derniers siècles » (re-sic) !

La vérité c’est qu’une partie croissante des Français ne croit plus à vos fables maçoniques qui ne sont que crime contre votre propre peuple.

Vous êtes d’ailleurs obligés d’employer la coercition et la censure pour en assurer la pérénité (Procès d’Eric Zemmour, criminalisation parfaitement grotesque de vos opposants politiques, comme on l’a vu aux dernières élections régionales, loi liberticide Fabius-Gayssot muselant la recherche historique, traque croissante des sites internet qui ne sont pas « conformes » à votre idéologie, etc).

Vous avez dupés les Français depuis bien trop longtemps. Ils se réveillent. Du moins, on peut l’espérer.
Soljenitsyne avait un jour écrit que les dissidents seraient bientôt, non plus à L’Est, mais à l’Ouest…

Nous y sommes.

Votre cauchemard idéologique, ferment de guerre civile, nie la réalité charnelle et historique de notre pays que nos rois avaient eu, naguère, le prodigieux génie d’unifier en une seule et grande famille: la France.

La république n’a, pour sa part, apporté que crimes abjects, divisions (pour mieux régner ?) en « partis », factions et fractions, sectes diverses et opposées. Et que dire du rôle de cette « franc-maçonnerie » liée aux réseaux encore moins recommandables du veau d’or et de l’argent-roi, et agissant dans l’ombre, véritable clergé occulte de la république, qui décide de façon totalement anti-démocratique des orientations politiques et sociales en lieu et place de soixante millions de personnes.

Que cachent donc ces « tenues fermées » de si terrible, à la vue de tous ?

Ce qui est bon et sain ne craint pas la lumière de l’agora, que l’on sache !

Sa responsabilité est également extrêmement lourde d’avoir fait entrer l’islam en terre chrétienne, pour mieux en finir sans doute avec la religion d’amour du Christ que les vôtres haïssent ?
Elle a enclenché, ce faisant, une machine infernale.
L’Histoire sera sévère un jour avec cette « république » et la jugera, n’en doutons pas.

Heureusement, non, Monsieur le député, la république ce n’est pas « nous », les sans-dents, qui faisons la France au quotidien et payons encore pour quelques temps, bons princes, vos indemnités et vos crachats sur « la France d’en bas », et … non, la république n’est pas « tout » non plus … Dieu, merci ! « 

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« Le moment est venu de les déférer pour haute trahison ».

De Villiers

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 Philippe de Villiers, quelques semaines après l’énorme succès de son ouvrage “Le moment est venu de dire ce que j’ai vu”, est allé à la rencontre de ses lecteurs au Salon du Livre de Renaissance Catholique.

L’occasion pour lui de s’amuser de nos pseudo-hommes politiques qu’il dépeint avec une belle verve, mais aussi…d’annoncer une suite…

Il suggère également que le pape loge quelques « migrants » vu ses positions politiques et la taille de son appartement du Vatican !

Excellent Philippe de Villiers.

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