Liste des 214 taxes et impôts: A côté de “l’ultra-libéralisme” dûment réservé à la Nomenklatura du CAC40 et aux banquiers apatrides, la France est bien un pays quasi-communiste avec plus de 45% du PIB racketté par l’Etat par le biais d’un système de pompes aspirantes ultra-perfectionné: Pas moins de 214 taxes et impôts font de notre malheureux pays le plus handicapé au monde.
Ainsi c’est 1000 Milliards d’Euros qui rentrent dans les caisses de l’Etat en 2018 !
Gilets jaunes: Analyse et synthèse par Jean Michel Aphatie Alain Soral :
30 Novembre 2018
Toujours aussi bavard le Soral, il me file mal au crâne… mais il décortique bien (à sa façon !) les rouages du système et de la situation actuelle.
Résumé: Les merdias en mode panique… Castagnette se fait remonter les bretelles…. Des CRS posent le casque avec 41 millions d’euros de leur solde en retard de paiement …. Quand à Micron, il rétrécit à vue d’oeil, toujours à 25 % d’opinion favorable depuis le mois de Juin, tout en chutant tous les mois un peu plus chaque mois, nous dit-on ! Miracle sans nom de l’arithmétique républicaine.
Bon, eh bien les fêtes de fin d’année s’annoncent particulièrement sereines !
L’Agence Française de Développement: 29 Milliards d’euros pour l’étranger.
Voici une analyse des comptes de l’Agence Française de Développement selon son propre rapport financier du premier semestre 2018. Turquie, Maroc, Tunisie, la liste des bénéficiaires et les montants astronomiques.
La France va faire exploser son aide aux pays en développement de 10,3 milliards d’euros en 2017 à 18 milliards d’euros en 2022 (rapport du Sénat)
L’A.F.D. : 29 Milliards pour l’étranger !
Franchement, on a besoin d’une telle priorité ??? http://www.senat.fr/notice-rapport/20..
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A côté de cela, nos agriculteurs et policiers se suicident, les petites gens n’ont plus même de quoi survivre, le pays est livré à la racaille du bas ou du haut (vente du patrimoine à des oligarques étrangers et apatrides), etc…
Le 17 Novembre 2018, des centaines de milliers de Français se sont égayés au gré des rond-points de France et de Navarre, vêtus du gilet jaune réglementaire d’après les directives même de Bruxelles, pour crier leur ras le bol du système mafieux qui entend les diriger depuis 60 ans au bas mot. Ils semblent avoir compris que la-dite direction est toujours la même: Toujours plus bas ! Toujours plus de vexations et d’ignominies de tous ordres pour la base, toujours plus de mondialisme, de concentration des pouvoirs et d’arrogance pour la caste.
Peut-être n’est il pas superflu de citer cette phrase bien sentie de Rivarol, analyste acerbe des dérives post-révolutionnaires de son temps:
“Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir.”
Cette vidéos compile des prises de vue uniquement sur Paris et me semble constituer un intéressant témoignage de la température ambiante locale à cette occasion. Et que dire de la France profonde et “périphérique” qui contient sa colère sacrée depuis … un certain temps.
Rendez-vous est pris le 24 Novembre pour l’Acte 2: Appel aux gilets jaunes de toute la France à converger sur la capitale… s’agit-il cette fois-ci d’un printemps français, comme nous avions pu y croire un instant avec les grandes “Manifs pour tous” ??
Les chiffres officiels (assez ridicules semble-t-il): 280.000 personnes pour l’ensemble de la France… Et si l’on en croit le syndicat “France Police” des policiers en colère : Plus d’un million vers 16h ce jour là….
Que va faire la Nomenklatura maçonnique si un tel chiffre converge sur Paris ??
“La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer.”
Le 30 mai 1917
” Léonie chérie
J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.
Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.
Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.
Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants. Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés. Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.
Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames. Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Les pentes d’accès boisées, étaient rudes .Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.
Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.
Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.
Comprendras-tu Léonie chérie que je ne suis pas coupable mais victime d’une justice expéditive ? Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.
C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.
Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.
Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahi et la France va nous sacrifier.
Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.
Eugène, ton mari qui t’aime tant “
Ainsi, plus d’un million des meilleurs et des plus solides éléments de notre race française, ont-ils été horriblement sacrifiés dans un indescriptible et épouvantable carnage, qui n’est autre qu’ un rituel satanique planifié par les puissances obscures de l’arrière-scène.
On veut nous faire croire que ces braves d’entre les braves sont morts pour la France, et c’est bien ce qu’ils ont cru eux aussi, sans quoi jamais il n’auraient consenti à ce sacrifice.
La vérité est qu’ils sont morts pour les coffres de Rotschild, les usines de Krupp, leurs marionnettes politiques à la soif inextinguible de pouvoir…
Ils étaient eux-même la vraie France.
Honneur et Fidélité éternelles à ces géants tombés pour des nains maléfiques.
Le peuple de France ne doit jamais oublier la turpidité, la rourie et la corruption criminelle sans aucune borne dont peut se révéler capable ce gang téléguidé par des forces noires et appelé “classe politique”.
« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. » Simone Weil (Philosophe)
« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. » Chateaubriand
Cela fait plus de 30 ans que je mets en garde mes proches au sujet de l’incroyable nocivité des vaccins que la médecine pasteurienne n’hésite pas à injecter aux femmes enceintes et aux nourissons… dans la plus parfaite bonne conscience.
Ceci est un scandale sanitaire criminel qui est peut-être sur le point (enfin) d’éclater, tant la prise de conscience semble se faire actuellement.
Nous sommes, en effet, depuis l’expérience truquée de Pouilly le Fort par Pasteur devant un des grands tabous de la république.
Il est vrai que cette république, création de l’église maçonique, s’étant depuis assez peu de temps alors, substituée à l’Eglise Catholique, avait un immense besoin de créer des “Saints” laïques pour la nouvelle “évangélisation” du bon peuple de France.. Pasteur était tout trouvé.
Pasteur est un imposteur, il faut le savoir.
A ce sujet, la lecture de l’ouvrage du Docteur Louis Bon de Brouwer
“Vaccination: Erreur médicale du siècle”, entre autres est édifiante.
Autre ouvrage très documenté: Celui du Docteur Eric Ancelet :
“Pour en finir avec Pasteur. Un siècle de mystification scientifique”:
Dans cette émission de TV Libertés, nous constatons que le sujet est sur le point d”échapper à la désinformation de Big Pharma !
Excellent petit billet de Jean-Yves Le Gallou dans Boulevard Voltaire au sujet des nouveaux droits de l’enfant musulman dans la République Islamique du Frankistan:
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Le tribunal administratif de Dijon a pris une décision de principe d’une grande importance. Il entend imposer à la mairie de Chalon-sur-Saône l’offre de repas alternatifs aux menus traditionnels avec du porc.
Par conformisme politiquement correct et soumission à l’islam et aux règles alimentaires de l’Arabie chamelière du VIIe siècle, les magistrats administratifs ont balayé d’un trait de plume le principe constitutionnel de laïcité.
S’appuyant sur la Convention internationale des droits de l’enfant, ils ont estimé que « l’intérêt supérieur de l’enfant » exigeait qu’ils puissent accéder à des menus conformes à la religion et à la culture musulmanes. On saluera l’audace jurisprudentielle : ce n’est pas l’homme abstrait des droits de l’homme qu’on défend ainsi, c’est l’enfant situé dans sa communauté d’origine. Dans son hérédité, dans son héritage.
L’intérêt supérieur de l’enfant musulman est ainsi défini comme devant pouvoir vivre dans un environnement de rites, de pratiques, de règles musulmanes. Acceptons cette logique et tirons-en toutes les conclusions.
Les “accommodements raisonnables” (ou… déraisonnables, c’est affaire de point de vue) des pays européens ne seront jamais suffisants pour répondre pleinement à « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman ».
En Europe, celui-ci reste exposé à des pratiques haram (illicites) : tenue des femmes, manque de « respect » (soumission) des non-musulmans à l’égard des musulmans, mixité dans les écoles, programmes scolaires, publicités pour des produits haram, sonneries des cloches d’église, croix, crucifix et saintes vierges, représentations de la figure humaine et de la figure divine.
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Tout ceci est incompatible avec « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman ».
Une conclusion s’impose : « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman » implique qu’il puisse vivre dans un pays musulman. Et, pour cela, il faut bâtir le socle d’une remigration humanitaire.
Merci aux magistrats de Dijon d’avoir, par leur créativité idéologique, permis de poser le problème.
Agé de 34 ans et docteur en histoire médiévale, Raoul Fievet vient de publier chez Via Romana un premier mais ambitieux essai nourri de profondes réflexions mais aussi de citations qui, pour émaner parfois de penseurs ou de chercheurs fort étrangers à notre mouvance, n’en sont que plus précieuses, telle celle de Gandhi assurant que les seuls « droits dignes d’être mérités et conservés sont ceux que donne le devoir accompli ». Le titre de ce livre important ? La civilisation des droits de l’homme ou le règne du néant. Tout un programme !
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— Raoul Fievet, vous déplorez le remplacement des traditions ancestrales par « la religion séculière de l’individu », issue des Lumières et de la Révolution. Comment définiriez-vous les objectifs, les intérêts et le clergé du nouveau culte ?
— Notre société est désormais régie par un système de pensée selon lequel l’individu constitue la réalité ultime qui subordonne toute réalité sociale. Cette nouvelle religion a son clergé, un conglomérat d’élites médiatiques, politiques et financières, qui a fait sienne l’idée d’un individu autosuffisant, porteur d’une valeur intrinsèque inaliénable, sans égard à son mérite démontré. Pour les tenants de cette vision du monde, les sociétés ne constituent que de simples agrégats d’atomes individuels. Tout ce qui dépasse l’individu, tout ce qui l’arrache à ses petits désirs matérialistes, tout ce qui peut donner sens à son existence, à commencer par la nation et son vieux substrat civilisationnel, n’a aucune espèce de signifiance. Plus grave encore, à partir du moment où l’individu est pensé comme le centre de tout, le respect de son identité particulière s’impose comme un impératif absolu, avec pour conséquence une forme de sacralisation de la culture de l’Autre qui n’a d’égal que l’hostilité envers le fait national. L’identité nationale est en effet farouchement rejetée car perçue comme étant un facteur de négation des différences : les grands prêtres de la religion des droits de l’homme sont violemment allergiques à toute forme de norme collective contraignante. Ils se moquent bien de savoir que la société n’est plus qu’un ramassis d’individualismes narcissiques et de communautés repliées sur elles-mêmes puisque, pour eux, les individus se valent tous.
— De même que, pour vous, la construction européenne est « le projet du vide », la suprématie des droits de l’homme a engendré « la civilisation de la laideur » en matière d’arts, picturaux notamment. Comment, par qui et pourquoi ?
— La dégénérescence de l’art, l’un des symptômes les plus évidents du mal qui affecte notre époque que d’aucuns désignent fort justement comme « l’ère du vide », trouve fondamentalement sa source dans l’idéologie des droits de l’homme : dès lors que les individus sont imprégnés par un système de valeurs qui n’implique plus d’idéal transcendant leurs petites personnes, le fait de s’investir dans des projets porteurs d’un sens de la grandeur, d’une beauté capable de captiver les imaginaires, en se conformant pour cela à des normes esthétiques partagées et contraignantes, perd tout son sens : tout comme l’individu n’a plus d’autre justification que lui-même, l’art se justifie par lui-même du simple fait qu’il est proclamé art par son concepteur. Dans un tel contexte, la perfection technique n’est plus requise, pas plus que le souci de se conformer à des valeurs reliant l’individu à son contexte socio-historique. Dépourvu de la volonté d’exceller en touchant le cœur et l’esprit de son public, l’artiste peut laisser libre cours à ses délires personnels et n’a plus d’autre moyen pour se distinguer que de placer toujours plus haut le cran dans la provocation.
— Plus grave encore, la primauté donnée à l’individu aurait provoqué « le réveil des forces centrifuges », l’immigré, voire le migrant, étant promu super-citoyen. Comment réagir alors à ce que vous appelez la « nouvelle norme collective », qui nous interdit toute liberté d’expression et même de pensée sous peine de lourdes condamnations et d’un statut de paria ?
— L’idéologie des droits de l’homme favorise en effet un processus d’implosion des sociétés européennes : d’une part, en minant la conscience nationale, elle détruit le liant qui assure la cohésion de l’ensemble, d’autre part, en exaltant sans cesse l’acceptation aveugle des différences, elle ôte toute envie aux populations immigrées de s’assimiler à l’identité de leurs pays d’accueil. C’est pourquoi il convient de réaffirmer avec force la nécessité impérieuse d’un retour à un modèle assimilationniste : c’est seulement en assumant pleinement notre propre héritage historique et culturel que nous pourrons incarner un modèle de société susceptible d’attirer à lui des populations d’origine étrangère désirant s’approprier notre histoire et nos valeurs. Alors, bien sûr, le nouveau clergé s’empressera de crier à la « stigmatisation », seulement ses admonestations sont rendues caduques par la stupidité crasse de son argumentaire habituel : il nous parle sans cesse d’unité et de vivre-ensemble, mais il prétend fonder cette unité autour des droits de l’homme. Or de tels droits, par définition, ne renvoient qu’aux individus. Il entend ainsi fonder la société sur la somme des parties qui la composent au lieu de mettre l’accent sur ce qui peut les rassembler. Ce faisant, en récusant tout modèle unificateur, il laisse libre cours aux replis communautaristes, réduisant fatalement la société à une espèce de monstre de Frankenstein social cousu de morceaux hétéroclites qui tiennent à peine ensemble.
— Dégénéré par les droits de l’homme, l’homo occidentalis peut-il sortir de sa dormition ?
— La civilisation des droits de l’homme a beau être animée par une puissante dynamique qui remonte à des siècles en arrière, l’espoir reste permis. Le fait est que les nations manifestent une étonnante capacité de résilience, la nation demeurant un cadre fondamental de référence pour de larges pans des sociétés occidentales. Nombre d’exemples récents illustrent ainsi une indéniable capacité de sursaut des peuples occidentaux, encore en mesure, le cas échéant, d’imposer leur volonté à contre-courant du bourrage de crâne politico-médiatique ambiant, à l’image du Brexit, du référendum sur l’immigration en Suisse ou de l’élection de Donald Trump. Malheureusement, les forces du système n’ont pas dit leur dernier mot, on peut même penser qu’elles deviendront de plus en plus enragées à mesure qu’elles sentiront le sol se dérober sous leurs pieds. Cependant, je me plais à penser que la pourrisseuse religion des droits de l’homme n’est pas la seule force profonde qui traverse notre civilisation. Tel un fleuve autrefois puissant, le flot de la conscience nationale s’est peut-être quelque peu tari, mais je suis persuadé qu’il est toujours possible de lui rendre sa vigueur originelle afin de contrebalancer, à défaut de l’interrompre, le flot dévastateur et nocif issu de l’héritage des Lumières.
La république clôture notre histoire et détruit tout ce qui représente la France dans sa réalité historique culturelle et religieuse, bref dans tout ce que touche chaque Français.
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Bismarck ne le savait que trop bien et en avait surtout conscience, comme l’Angleterre, qu’un retour à la Monarchie en France serait désastreux pour l’Empire Allemand, mais au combien fortifiant pour la France.
Et c’est un ennemi juré de la France qui fit cette analyse, qui nous l’espérons, fera réfléchir plus d’un républicain sincère, s’il en reste !
Et c’est cette république voulu par Bismarck qui, 40 ans après la défaite de 1871, prendra la responsabilité de diriger la guerre la plus atroce face à l’Allemagne. Pourtant, peu avant le déclenchement de la Guerre de 14-18 la faiblesse du régime républicain se faisait déjà cruellement ressentir.
Un député socialiste et franc-maçon, Marcel Sembat, rédigea un pamphlet :
« Faites un roi, sinon faites la paix »
A travers ce pamphlet rédigé en 1911, Marcel Sembat expliquait combien le régime républicain était trop faible et instable, mais aussi source de divisions et donc incapable de pouvoir gérer efficacement une guerre. Il disait :
« Aller à la guerre sous des Jules Faure, des Poincaré des Barthou, des Trochu, des Gambetta, des Clemenceau ? Nous serions encore condamnés à cela ? Comment osez-vous, trop connus, vous qui, en paix, n’êtes déjà que des conducteurs assez médiocres, vous proposer pour chefs de guerre ? Retirez-vous, vous puez la défaite ».
Manifestement il ne fut pas entendu et c’est au nom de “la Liberté et des Droits de l’Homme” que le Français de 1914 avait perdu sa liberté d’aller ou de ne pas aller à la guerre, liberté qui fut pourtant acquise durant des siècles sous la Monarchie. La république su alimenter durant ces 40 ans un esprit revanchard associé à un patriotisme révolutionnaire particulièrement désastreux. Raymond Poincaré, dans son message aux Assemblées du 4 août 1914, proclamera l’Union sacrée entre tous les français. Le but étant de faire disparaître les nombreuses divisions existantes entre les français, divisions politiques, syndicales, religieuses…etc. Afin de renforcer le gouvernement républicain dans sa gestion du conflit.
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Mais cette union sacrée ne fut qu’un leurre car le gouvernement républicain profitera bel et bien du conflit pour continuer à se débarrasser de ses adversaires politiques, à savoir les Catholiques, les Royalistes et les Nationalistes. Ces derniers malheureusement agiront avec confiance et refuseront de profiter du conflit pour abattre la république.
Jean de Viguerie écrivait à ce sujet dans « Les deux Patries » :
“Car les curés doivent subir le sort commun : ils doivent tuer eux aussi, et être tués. Mais le but est surtout d’en faire tuer le plus possible. Avec le plus grand nombre possible de leurs fidèles. L’intention est avouée. Les politiciens ne s’en cachent pas.”
“La jeunesse catholique, aurait déclaré l’un d’eux, nous l’enterrerons dans les tranchées.”
(Jean de Viguerie – Les deux Patries – Editions DMM – p195)
Et c’est justement sur cette naïveté qu’ils ont bâti leur programme depuis presque trois-cents-ans.
Pourquoi pensez-vous donc que leurs sociétés secrètes soient secrètes ?
Jetez un oeil ici. Vous allez sans doute apprendre quelque-chose.
Dans la mesure où ils pensent être aujourd’hui quasiment arrivés à leurs fins, ils ne se cachent plus guère (Voir les rituels pédo-sataniques mis à jour actuellement aux USA avec arrestation de plusieurs milliers de pédophiles depuis l’élection de Trump, semble-t-il.
Voir le “spirit cooking” de Marina Abramowicz, grande prêtresse de ces bandes de dégénérés, tous issus de la haute “élite” d’Etat, ou encore les dessous du Pizza-gate, où John Podesta, conseiller de Clinton est impliqué d’horrifique façon :
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Et chez nous ?
Et bien, nous venons d’avoir un magnifique signe ! Il suffit de regarder cette capture d’écran que tout le monde peut faire en regardant le discours du nouvel élu des forces de Progrès, Emmanuel Macron.
Vous pensez vraiment que c’est “le hasard”, Ahahahahah !
Laissez-moi rire !
“Eux” aussi doivent vraiment se marrer en contemplant cette foule de possédés agitant le drapeau de leur république maçonnique, en l’honneur du Sauveur…
Allons donc, il est plus que temps que nous réalisions quelles sont les forces sombres qui sont à l’oeuvre !