Espérance Ruralités

espérance ruralités

Espérance Ruralités:

Mardi 19 Novembre, au théâtre du Mogador à Paris, Espérance Ruralités participait à la Nuit du Bien Commun pour la troisième année consécutive. Quelle soirée !

Jean-Baptiste Nouailhac, fondateur du cours Clovis et directeur de la Fondation Espérance Ruralités, a présenté notre action au service des enfants de la France périphérique.

Vous trouverez ici la vidéo de son « pitch » : https://www.youtube.com/watch?v=5VIZ8sGj7E0

Le tirage au sort ne nous a pas aidés : nous sommes passés en dernier. Malgré cela notre projet est celui qui a récolté le plus de fonds : 160 000 € pour financer la première tranche des travaux de restauration de l’ancienne école d’artillerie de la Fère, où nous allons installer durablement le cours Clovis, d’Espérance Ruralités.

160 000 €, c’est une somme formidable qui confirme l’intérêt des donateurs pour notre projet de restauration de l’ancienne école d’artillerie et donc notre capacité à le financer.

Du fond du cœur merci à tous ceux d’entre vous qui nous ont soutenus à cette occasion ou dans d’autres circonstances. Votre engagement à nos côtés est décisif et fécond !

Tout ceci se passe de commentaires. A l’heure du Grand Déclassement ce Monsieur est tout simplement un Saint !

 

Pour un Congrès National-Autochtone.

Excellente analyse comme d’habitude d’Antonin Campana Du blog Autochtonisme.com

Vers un Congrès National-Autochtone ?

 » Un lecteur me demande comment « mobiliser dans la rue ». Il m’explique : « J’ai participé, dimanche dernier, à la manifestation organisée par Génération Identitaire contre l’islamisme et l’immigration: nous n’étions pas 500 ! (…) Alors que Marine Le Pen avait rassemblé sur son nom 11 millions de voix au second tour de la présidentielle, quelques centaines de personnes seulement se sont déplacées pour manifester leur opposition à l’invasion de notre pays ! ».

L’observation est amère mais juste. Ceux qui fréquentent ou ont fréquenté ce genre de manifestations savent que les participants sont toujours peu nombreux malgré les enjeux… et que les visages sont souvent les mêmes. Je vais essayer, puisqu’on me le demande, d’apporter un éclairage sur le constat qui est fait par notre lecteur. Préalablement, je tiens cependant à souligner que j’expose ici un point de vue en cohérence avec ce que je préconise ailleurs dans ce blog (voyez ce PDF ou cet article). Je ne critique ici ni l’engagement des G.I., ni leurs motivations, ni bien sûr le courage (il en faut !) des participants à cette manifestation. Je réponds simplement à une question en fonction d’une grille de lecture que les faits exposés semblent valider. Donc voilà :

Imaginez que vous habitiez dans une zone de vivre-tous-ensemble et que votre désir le plus cher soit de vous libérer de cet enrichissement culturel. Vous allez donc élaborer une stratégie globale dont le but sera de vous faire changer de quartier.

Cette stratégie globale pourra se décliner en deux « stratégies intermédiaires » : vendre votre appartement et, par exemple, acheter une maison à la campagne. 

Chacune de ces stratégies va à son tour se décliner en « engagements tactiques » de portée plus limitée. Par exemple, la première stratégie intermédiaire va nécessiter que vous rafraichissiez un peu votre logement, que vous vous adressiez à un agent immobilier, que vous passiez des annonces, que vous dégagiez du temps pour recevoir des acheteurs, etc.

La  seconde stratégie intermédiaire va par exemple nécessiter que vous trouviez une maison, que vous mobilisiez les sommes nécessaires pour l’acheter, que vous empruntiez de l’argent, que vous fassiez des travaux avant d’emménager, etc.

Chacun de ces engagements tactiques utilise des « méthodes » pour arriver à ses fins. Retapisser votre appartement en vente sera peut-être la méthode choisie pour le rafraîchir. Vous adresser à votre banque sera peut-être la méthode adéquate pour vous procurer l’argent nécessaire. Le recours à vos amis sera peut-être votre méthode pour déménager.

Ce n’est qu’au terme de la seconde stratégie intermédiaire que le but de votre stratégie globale, à savoir déménager, sera atteint. Avant cela il vous faudra répondre à des questions comme : quand ? Comment ? Combien ? Où ? Avec qui ? Avec quoi ? Pour quels résultats ? A chaque étape, vous allez devoir agir en fonction de vos ressources disponibles et faire un bilan de votre action en la corrigeant éventuellement.   

Gene Sharp, le concepteur des révolutions de couleur, fait observer que dans notre vie quotidienne, lorsque nous voyageons par exemple, nous faisons spontanément des planifications qui peuvent se décliner en stratégie globale, stratégies intermédiaires, tactiques et méthodes. Il souligne néanmoins que la planification stratégique retient rarement l’attention des militants :

« Certains en effet croient naïvement qu’il suffit de déclarer leurs objectifs haut, fort et suffisamment longtemps pour que ceux-ci soient d’une manière ou d’une autre atteints. D’autres pensent que, s’ils restent fidèles à leurs idéaux et principes et témoignent d’eux dans l’adversité, ils font là le maximum possible en vue de la réalisation de leurs objectifs. Il est certes admirable d’affirmer ses convictions et d’y rester fidèle mais c’est une attitude qui en soi est entièrement inadaptée à un objectif de changement, pour sortir du statu quo et atteindre des buts bien définis. » (La Force sans la violence, 2009).

Persévérer dans cette attitude inadaptée gaspille la force des militants, les place de manière récurrente en situation d’échec et a pour conséquence inévitable de les démotiver. C’est un constat dont nous avons tous pu mesurer la justesse.   

Revenons à la manifestation des GI. Cette manifestation est-elle une stratégie, un engagement tactique ou une méthode ? Si c’est une méthode, dans quel engagement tactique s’inscrit-elle ? Si c’est un engagement tactique, dans quelle stratégie intermédiaire ou globale s’inscrit-il ? Si cette manifestation isolée incarne à elle toute seule une stratégie, quels sont ses résultats ?

En vérité, cette manifestation n’est ni une stratégie, ni un engagement tactique ni une méthode. C’est un témoignage courageux, mais désespéré. C’est un « coup » qui ne s’inscrit pas dans la durée et qui, plus grave, ne semble relever d’aucune planification stratégique. De ce fait, il n’amène rien, si ce n’est du découragement et, potentiellement, des années de prison, ou une fiche S.

D’autre part, ce « coup » ne tient aucun compte des ressources disponibles. Faut-il se lancer dans ce genre de manifestations quand on ne dispose ni des relais médiatiques ni du nombre ? L’action doit être intégrée à un plan. Elle doit aussi être à la portée de celui qui l’engage. Il faut éviter les défaites, donc adapter les actions aux ressources. La manifestation des GI avait-elle les capacités de barrer la route à l’immigration ou même simplement de provoquer une prise de conscience ? Evidemment non. Dès lors, pourquoi se lancer dans cette opération perdue d’avance ?

On ne peut aller de l’état présent à l’état désiré sans passer par des étapes intermédiaires. Si l’on veut parvenir au sommet de l’Everest, il faut commencer par atteindre le camp N°1, puis le 2, puis le 3. Les grands projets demandent de la méthode, de la constance, de la patience, de l’organisation… et aussi de petites victoires qui mobilisent davantage que les échecs répétés. Quel est le camp numéro 1 d’une lutte contre l’islamisme ou l’immigration ? Planifier la lutte contre l’immigration est bien plus important que de planifier un déménagement ou un voyage. Pourtant, nous ne le faisons pas. Pense-t-on qu’il est possible d’aller sur une terre lointaine sans s’en donner les moyens et en manifestant simplement le désir d’y aller ? Bien sûr que non. Alors pourquoi croyons-nous qu’on pourrait mettre fin à l’immigration simplement en manifestant le désir d’y mettre fin ?    

Il faut comprendre que la lutte contre l’immigration et l’islamisme n’est tout simplement pas à notre portée dans la situation actuelle. Nous n’avons pas les ressources nécessaires. Donc, inutile de mener frontalement cette lutte si l’on ne veut pas se faire casser les reins pour rien. Cependant, si le reflux de l’islamisme et de l’immigration est notre objectif, alors il faudra fixer une stratégie, une planification comprenant de nombreuses étapes faites d’engagements tactiques limités, planification qui nous mènera progressivement de la situation actuelle à la situation voulue.

Ce blog fixe une stratégie qui peut tout à fait s’adapter à cet objectif. Je la rappelle succinctement :

Stratégie globale : libérer le peuple autochtone français (et européen)

Première stratégie intermédiaire : rassembler et organiser les Autochtones

  • Appel à un Congrès national-autochtone
  • Formation du Gouvernement autochtone, élection d’un Parlement autochtone
  • Formation d’un Etat parallèle autochtone
  • Formation d’une société parallèle autochtone

Seconde Stratégie intermédiaire : lutter pour les droits

  • Lutter pour les droits collectifs autochtones
  • Lutter pour l’application aux Autochtones de France de la Déclaration des nations unies sur les droits des peuples autochtones
  • Ne terminer la lutte qu’après la libération des peuples autochtones européens

Dans le cadre de cette stratégie, la manifestation de rue contre l’islamisme et l’immigration pourrait s’inscrire utilement dans la stratégie intermédiaire de conquête des droits. Ce type de manifestation constituerait alors une « méthode » qu’on utiliserait si (et seulement si !) nos ressources le permettent et à condition que les gains tactiques espérés soient supérieurs aux coûts estimés. Cette méthode pourrait être utilisée dans le cadre d’un engagement tactique qui aurait pour objectif (par exemple) de revendiquer notre droit autochtone à la sécurité identitaire, culturelle et physique, tel que défini par la Déclaration de l’ONU citée plus haut. La manifestation de rue prendrait alors son sens par sa conformité aux objectifs de l’engagement tactique. L’engagement tactique, quant à lui, prendrait son sens par sa conformité aux objectifs de la stratégie intermédiaire. Et la stratégie intermédiaire, enfin, prendrait son sens par sa conformité aux objectifs de la stratégie globale.

Notre lecteur s’inquiète à juste titre du nombre de participants (500) à la manifestation dont nous parlons. Le nombre en question n’est pas un problème en soi, à condition qu’il soit à la mesure de l’effet recherché. S’il s’agit, comme proclamé, de faire barrage à l’islamisme et à l’immigration, il est effectivement dérisoire (il faudrait des centaines de milliers d’individus). S’il s’agit d’alerter sur le contenu des repas d’une cantine scolaire, il est trop important. L’essentiel réside dans l’adaptation des actions aux ressources disponibles. On ne doit pas espérer une action d’envergure avec un grand nombre de participants tant qu’un important travail d’organisation et de structuration n’a pas été fait. Nous ne disposons pas des médias et n’avons aucun réseau. Il faut donc rassembler, organiser, structurer, planifier stratégiquement les actions longtemps avant d’agir (selon l’action envisagée, nous parlons d’années, pas de semaines). Plutôt que de s’exposer inutilement dans une opération sans effet sur l’objectif recherché, les 500 personnes en question devraient travailler à constituer à faible bruit l’encadrement d’une nation autochtone à libérer. C’est de l’action à bon escient de cette minorité éveillée que dépend l’avenir de notre peuple.

Effectivement, 11 millions de Français sont « conscients » mais ne bougent pas !

C’est que ces 11 millions d’individus dissociés ne forment pas une société. Ces millions sont à l’état gazeux et ne gagnent une consistance qu’au moment des élections. Ils forment alors un corps électoral.

Mais ce corps électoral se désagrège immédiatement après l’isoloir. Chaque individu retourne alors à sa vie solitaire. L’objectif est de faire de ce corps électoral dissocié dans la société multiethnique un corps national en sécession. Quand ce corps électoral éphémère et gazeux, donc non mobilisable, sera devenu, sous l’action coagulante des Réfractaires, un corps national organisé, alors les manifestations contre l’immigration auront une toute autre ampleur et ne laisseront plus indifférents. Mais pour cela il faut préalablement créer des réseaux, des associations, des communautés, une société parallèle et des institutions parallèles. Pour cela, dans un premier temps tout au moins, il faudra sans doute davantage « travailler » souterrainement que « militer » ouvertement. C’est une règle : il est nécessaire de forger les outils avant de commencer les grands travaux !

Nous avons parlé de l’Everest. Inverser les flux migratoires sera plus difficile que de gravir l’Everest ! Or, nous sommes un peu dans la situation d’un alpiniste dont le plus haut sommet à son actif serait la butte Montmartre. Mais cet alpiniste, nous le savons, a néanmoins un fort potentiel. Il faut simplement qu’il se fixe un plan d’entraînement et qu’il en suive avec obstination toutes les étapes. C’est ainsi que procéderait un homme sensé. Il ne faut surtout pas se lancer dans une telle expédition sans préparation et après avoir dédaigné les sommets moins élevés. Malheureusement, c’est exactement ce que notre alpiniste a fait jusqu’à présent. Le moins que l’on puisse dire est que cela s’est toujours mal terminé !

Vers un congrès National-Autochtone ?

Suivre une stratégie nationale-autochtone de rassemblement est sans doute la solution au problème de « mobilisation » posé par notre lecteur. Nous ne disons pas que la stratégie préconisée par ce blog, stratégie qui dans sa forme s’apparente à une révolution de couleur inversée, soit la meilleure, ni la seule possible. Nous disons simplement qu’il est désormais indispensable d’agir stratégiquement. Nous pensons qu’il est maintenant urgent de réunir un congrès national-autochtone, et nous pensons également que c’est à ce congrès de définir cette stratégie. « 

Antonin Campana

Je vous invite à suivre le blog d’Antonin Campana: Autochtonisme.com et à le faire connaître autour de vous !

 

Zemmour: Espoir ou impasse ?

Zemmour: Espoir ou impasse ? Au sein de la droite nationale, on se dispute sur le cas Zemmour : certains croient en lui, d’autres le qualifient de marionnette du Système…

Vincent Reynouard nous livre ici son analyse, qui comme d’habitude, décortique et remonte aux causes, au lieu de rester dans le monde des évidences et des enfonceurs de portes ouvertes …

 » Pour moi, l’affaire est simple : si Éric Zemmour souhaite vraiment défendre la France charnelle, alors il devra prendre parti pour la vérité historique concernant les années 30. Et cela même s’il est Juif.

Dans le cas contraire, sincère ou pas, son combat restera stérile.

L’histoire du combat politique ces trente dernières années l’a démontré. Tant que le slogan « Plus jamais ça ! » régnera sur les esprits, aucune renaissance nationale ne sera possible…

Le mondialisme ne cessera de progresser, avec ses conséquences connues : immigration, dissolution des nations, pauvreté, chômage…« 

Alors: Zemmour: Espoir ou impasse ?

 

Planche à billet: La vengeance …

planche à billets

Pierre Jovanovic a produit cette excellente vidéo de présentation de son ouvrage: « Adolf Hilter ou la vengeance de la planche à billets ».

Elle me semble intéressante du fait de son angle d’attaque documenté uniquement économique et financier, concernant la WW2:

« Si à l’époque de Napoléon, une guerre durait en général à peine quelques jours, grâce à la planche à billets utilisée à partir de 1914 par les banquiers français et allemands, la Première Guerre mondiale a duré presque cinq ans envoyant « gratuitement » des millions d’hommes dans les tombes. Et c’est précisément l’usage massif de cette fausse monnaie dès 1914 qui a créé Hitler de toutes pièces le 11 novembre, le « Destin » ou « la providence » se chargeant ensuite de le protéger, en lui permettant d’échapper grâce à « sa voix intérieure » à des balles, à des obus, à des bombes, au total à plus de 43 tentatives d’assassinat, et cela pendant 27 ans !

La vengeance de la planche à billets…

Mais jamais Hitler n’aurait pu prendre ne serait-ce qu’un semblant de pouvoir sans la seconde planche à billets des banquiers centraux de la République de Weimar, sans l’explosion de Wall Street, et ensuite sans l’aide de la Banque Centrale suisse.

Dans ce livre, Pierre Jovanovic aborde un sujet plus tabou encore que la planche à billets grâce à un rapport unique de l’OSS (devenue CIA) jamais publié en français, sur la personnalité hors normes de celui qui allait mettre l’Europe à feu et à sang et déclencher l’Holocauste en entendant « des voix ». (Pour ce qui est du « déclenchement » et de « l’Holocauste », il serait opportun de laisser les historiens débattre librement, ce qui n’est pas le cas actuellement… note de France-origine-garantie.fr)

Pour la première fois, un livre montre le rôle primordial des banquiers qui ont permis de prolonger de plusieurs années aussi bien la Première guerre que la Seconde Guerre Mondiale, juste par avidité, devenant par ce fait les plus grands criminels de guerre de tous les temps.

 

Le rucher patriote

Qu’est-ce que « Le Rucher Patriote » ?

C’est un projet de site internet d’annonces et de réseautage entre patriotes.

À mi-chemin entre un « Le Bon Coin » ou « ebay », et un « Facebook », mais spécifiquement conçus pour les patriotes !

Son but central sera de faciliter, à travers toute la France, la mise en relation des patriotes entre eux, et donc d’encourager les échanges de toutes natures entre patriotes, au service de l’intérêt général de notre patrie.

Le Rucher est par ailleurs a-partisan, c’est-à-dire qu’il est rigoureusement indépendant de tout parti politique existant, ainsi que de toute organisation confessionnelle.

Le Rucher Patriote ne se référera en particulier à aucune autre acception du mot « patriote » que celle exprimée dans notre Charte des valeurs patriotes.

Le Rucher est administré par une association française d’intérêt général, à but non lucratif (association loi 1901), qui se nomme « Propolis ».

Pourquoi encourager les échanges entre patriotes ?

Parce que cela nous rend puissants, redonne aux patriotes le pouvoir par la base – comme le grand mouvement des Gilets Jaunes en montre l’aspiration et la possibilité –, et constitue un très efficace remède contre les divisions menaçant aujourd’hui notre avenir.
Pour développer une économie patriote : chaque patriote pourra ainsi choisir d’orienter ses dépenses, des plus habituelles aux plus exceptionnelles, dans un sens favorisant la patrie, et non pas dans un sens la desservant ;


Pour développer une sociabilité patriote : souvent des patriotes sont voisins (de palier, de rue, de quartier, de ville, de région) et ne le savent pas, alors qu’ils seraient heureux de nouer des rapports cordiaux au service de valeurs communes. Ainsi, par exemple, ils pourraient partager des activités sportives, ou artistiques, ou de promotion du patrimoine local, etc. ;


Car favoriser le lien social entre patriotes, c’est renforcer dans notre pays notre force collective, donc celle des valeurs patriotes au service de l’intérêt général ;
Pour développer une solidarité patriote : échanger des services réciproques (par exemple du soutien scolaire, des gardes d’enfants, de l’aide ménagère, ou comptable, ou de bricolage, etc.) est bien plus fortifiant et motivant quand cela peut se faire sur la base de valeurs communes, qui seront ainsi renforcées au sein de notre patrie ;


Pour une promotion patriote de notre culture : on ne défend et ne promeut jamais si bien nos terroirs, nos traditions, nos richesses culturelles, qu’avec des personnes partageant une même passion patriotique, propre à communiquer aux autres l’amour de la patrie ;


Pour des actions citoyennes en faveur de la patrie : chaque patriote pourra ainsi relayer plus efficacement ses actions ou projets d’action citoyennes au service de l’intérêt général de la patrie, et trouver d’autres personnes compétentes et motivées pour l’y aider, ainsi que le soutien du plus grand nombre.

Alors soutenons les, ils le méritent !

https://rucher-patriote.fr/
 

Macronie soviétoïde

Macronie

Alexandre Langlois du syndicat de policiers « VIGI », nous livre ici une belle tranche de macronie bien juteuse ! Vous en reprendrez bien un morceau ?!

Alexandre Langlois fait l’objet d’une exclusion temporaire de six mois dans la police nationale après avoir révélé en interne et à la presse un certain nombre d’éléments graves au sujet du ministère de l’Intérieur. Suicides, agressions sexuelles, falsifications de chiffres, gaz lacrymogènes toxiques… Le policier dit tout.

Courageux garçon !

Pour aider Alexandre Langlois : https://www.lepotcommun.fr/pot/4dq0qpnd

Bonjour à tous,

Monsieur Castaner, Ministre de l’Intérieur, a fait le choix d’une sanction politique à mon encontre pour avoir dénoncé les dysfonctionnements graves au sein de la Police Nationale.

Plutôt que de résoudre les problèmes, il a fait le choix du déni et pour cela il ne veut surtout pas d’une bonne conscience qui le mette devant ses contradictions.

Je suis donc suspendu de fonction à partir du 3 juillet 2019, pour 12 mois, dont 6 mois avec sursis. Mais comme je ne compte pas me taire et continuer à exercer mon mandat syndical de secrétaire général du syndicat VIGI. Ministère de l’Intérieur, le sursis est sûrement une private joke de Monsieur Castaner.

Je vais continuer de me battre pour une police irréprochable, à commencer par la haute hiérarchie et le ministre de l’intérieur. La police doit être au service de la population et non d’intérêts particuliers.

Pendant 12 mois minimum je ne vais pas avoir de salaire, ce qui va impacter la vie de ma fille 6 ans, de mon fils 2 ans et de ma femme, alors que je suis le seul salaire du foyer. En effet ma femme avait dû suspendre son activité pour s’occuper de notre plus jeune fils, suite à une naissance difficile. A l’heure actuelle, comme il va mieux, elle a pu reprendre son activité de ferme équestre (www.equitanime.com) en avril 2019.
Cependant étant à son compte elle travaille, mais ne gagne pas encore d’argent.

Grâce à votre générosité et solidarité, ma famille n’aura pas à pâtir de mon combat, car en moins d’une semaine vous avez assuré mes 12 mois de salaire, soit 29 955€.

Je suis donc le premier policier en France, qui est payé directement par son employeur, à savoir le peuple.

La cagnotte va rester ouverte, parce que chaque euro qui y est mis fait enrager Monsieur Castaner et ses amis. Cependant, mon but n’est pas un enrichissement personnel, donc l’argent versé à partir de maintenant ira au syndicat pour que VIGI puisse, continuer par tous types d’action, d’être le fer de lance du combat pour que la police redevienne républicaine et au service du peuple.

Merci à tous.

 

Adieu Paysans

….Ou comment l’Etat, avec la complicité de l’Europe via Bruxelles, ont déconstruit et ravagé lentement mais sûrement nos terres et nos familles par leurs décisions, leurs lois, le remembrement etc…

Aujourd’hui c’est encore pire et je pleure notre Terre ! Allons nous arrêter cet assassinat programmé de Notre Pays de Notre si beau Patrimoine, de nos Pays : Grèce, Italie, Espagne etc… ?

Prenez une heure de votre Temps pour regarder ce film ! 1947 : Libérées depuis deux ans, les villes ont faim. Jamais le pays n’aura autant compté sur ses paysans. Oui mais voilà : le monde rural n’est plus dans l’époque.

Il est mis en demeure de se moderniser.

En quelques années, la mécanisation va le faire passer d’un mode de vie fondée sur la lenteur à celui de la vitesse.

La modernisation introduit une révolution dans l’économie et la mentalité paysanne: le crédit. L’endettement contraint à produire plus, donc au recours systématique des engrais chimiques.

Productivité et planification se révèlent incompatibles avec le système traditionnel paysan où patriarche, famille et entreprise ne faisaient qu’un.

Il implose.

Un peu plus d’une génération s’est écoulée depuis la Libération. Ce n’est désormais plus le ciel que la nouvelle génération de paysans consulte, mais Bruxelles et ses quotas. De la Bretagne au Larzac, les campagnes entrent en convulsions. Bientôt un mythe va naître : le mythe paysan qui connaîtra son apogée avec la Grande Moisson un jour de juin 1990 sur les Champs-Elysées.

Perdurera-t-il ?

 

Technologies du IIIème Reich

Technologies du IIIème Reich: Les scientifiques allemands Nationaux-Socialistes avaient-ils mis au point des technologies secrètes sur le point d’être produites en série ? Je suis tombé plusieurs fois sur des photos d’époque tendant à le prouver, mais n’avais pas encore vu de tels extraits de films sur le sujet… Il est notoire que Viktor Schauberger avait entre autres scientifiques, étudié l’énergie des vortex et étudié l’anti-gravité, ainsi d’ailleurs que Werner Von Braun.

Ci-dessous un extrait de l’ouvrage de Jan Van Hesling, « Sociétés secrètes » qui donne à réfléchir même si tout n’est pas à prendre pour argent comptant et à recroiser avec d’autres sources:

Plans et légendes reconstruits à partir de fragments tirés des archives secrètes des SS:

Technologies du IIIème Reich


…..A cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°. « C’est incroyable » vont penser certains d’entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des OVNIs.

Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d’un terrain d’expérimentation à Brandebourg. Le « chasseur VRIL I », disque volant équipé d’armes légères, volait à la fin de l’année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann » et un « pilotage par impulsion à champ magnétique ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace.

On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d’un dôme de verre.Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C’est grâce à ANDREAS EPP que le RFZ-7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L’équipe de SCHRIEVER-HABERMOHL et celle de MIETHE-RELLUZO participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètre mais se fracassa lors d’un attérissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, on prit cependant, plus tard, une photo d’un RFZ-7 construit de la même façon. D’après Andreas Epp, il devait être équipé d’ogives nucléaires et il devait bombarder New York.

En juillet 1941, SCHRIEVER et HABERMHOL, construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On dédeloppa pourtant une autre « toupie volante à électro-gravitation » avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ-7T, construit par Schriever, Habermhol et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V7 étaient plutôt des jouets d’enfants. Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative :

le BUREAU D’ETUDE IV DU SOLEIL NOIR = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le « mécanisme THULE », appelé, plus tard, TACHYONATEUR THULE, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C’était une toupi volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de « HAUNEBU I ».

Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux « canons à rayons forts » (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace.

Fin 1942, le « HAUNEBU III » était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières.

Peu après, on construisit le « HAUNEBU III », exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, « canon à rayons forts ») qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage.

Le proresseur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de « Die Schlüssel des Enoch » (« Les clefs d’Hénoch »), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de « système d’armes miracles ». Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant :

  1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’esapce
  2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne. Probablement un appareil de Schauberger avec camouflage d’hiver(région d’Augsbourg en 1939)avant le premier vol, photographié à partir du HS-126. Sans camouflage et avec « l’emblème exotique » de la société Vril (une croix gammée noire sur fond argenté au milieu d’une couronne de feuilles de chêne violet) sur le terrain d’essai, au décollage pour Traunstein en avril 1945.

Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les « FOO-FIGHTERS » (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, un 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de foo-fighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort.

La « TORTUE VOLANTE » fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, à développer cette technique.

Quiconque a déjà vu des OVNIs pourra confirmer que cette « coupure de contact », c.-à-d. l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des OVNIs quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.

Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foo-fighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.

Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’ « APPAREIL ANDROMEDA » (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Une réunion importante de la SOCIETE VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum.

le sujet pincipal concernait l’ « ENTREPRISE ALDEBARAN ». Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran…

Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donne la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie.

Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l’opération « PAPERCLIP ».

Il s’y trouvait, entre autres, VIKTOR SCHAUBERGER et WERNER VON BRAUN.

Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série :Le premier projet fut conduit sous la direction du Prof. Dr W. 0. Schumann de la Faculté des sciences de Munich, C’est dans ce cadre qu’auraient été construits, jusqu’au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11.5m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol,, c’étaient ceux qu’on appelait les « CHASSEURS VRIL 1 ». Un VRIL-7 et un VRIL-7 grand modèle du nom de « ODIN » auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.

Le deuxième projet était mené par le bureau d’étude IV des SS qui fit construire, jusqu’au début 1945, trois types du toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche :le HAUNEBU I, 25m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d’environ 4.800km/h).le HAUNEBU I, 11332m de diamètre, en sept exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d’environ 6.000km/h).Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d’avions Dornier et Junkers.

Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L’appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions STRAtosphère DOrnier). Le HAUNEBU III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d’environ 7.000km/h). L’ « APPAREIL ANDROMEDA », astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l’état de projet.Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre qui furent tenus secrets :

  1. Atterrissage près du lac « Mondsee » dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage.
  2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la « Forteresse des Alpes » de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalites importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le « NEUSCHWABENLAND » (explication ci-après) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre.
  3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus.

Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ? On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’OVNIs qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.

Certains disent qu’une partie des engins avait été coulée dans le lac « Mondsee » en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils.

On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l’ « expérience Phoenix », projet précédé par l’ « expérience Philadelphia » de 1943. (Il s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US NAVY qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires.

Il y aurait ici matière à un autre livre mais cela nous écarterait du sujet. Voir la bibliographie).

En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schvabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu’ils baptisèrent « NEUSCHWABENLAND » (Nouvelle Souabe). C’était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland.

Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent.

Ils étaient équipés entre autres du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre les soucoupes volantes s’y sont rendues directement.

Cette supposition peut paraître osée à plus d’un mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi.On peut alors se poser la question :

« Pourquoi les Alliés ont-ils envahi L’Antarctique sous les ordres de l’Amiral E. Byrd, en 1947 ? ».

Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de huit mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions.Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement :

Qu’arriva-t-il ?

L’amiral Byrd expliqua, plus lard, à la presse : « C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre ». Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure.

Dans son livre « Zeitmaschinen » (Machines à remonter le temps) où il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit: « Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparu, d’abord, sans laisser de traces. (…)

A vous de vous poser des questions et de vous faire votre idée !

 

Kemi Seba patriote identitaire panafricain

Kemi Seba, patriote identitaire panafricain.

Kemi Seba patriote identitaire panafricain: Le retour des Africains en Afrique, sur leurs terres et à leurs valeurs ancestrales, est le thème de cette vidéo où Kemi Seba les incitent à réagir devant la corruption des zélites africaines (les mêmes réseaux mondialistes et officines occultes que chez nous, bien évidemment.) ainsi qu’à retrousser leurs manches pour mettre en valeur leur immense et richissime continent, au lieu de venir faire des sous-travaux de larbins déracinés en Europe, suivant ainsi les injonctions de « l’Open Society » de Monsieur Soros.

Car il est intéressant de noter que Kemi Seba est criminalisé au même titre que les patriotes identitaires blancs européens ! Voici ce qu’écrit « Le Monde » du 30 Octobre 2017:

« …Car le sulfureux militant a aussi été le leader de la Tribu Ka, un mouvement créé en France se voulant le défenseur du « peuple noir » et prônant la séparation des races qui a officiellement été dissous en juillet 2006. » …

La séparation des races !

On comprend mieux ainsi que son combat contre le catéchisme cosmopolite du métissage universel, aggravé par celui contre le Franc CFA, principal outils de mise sous tutelle de l’Afrique, fasse grincer les dents de la Nomenklatura mondialiste.

Lorsque le présentateur de la vidéo (assez niais !) lui demande ce qu’il pense de la convergence des luttes », sa réponse en substance est très claire: « Ces concepts marxisants sont ridicules. La seule convergence des luttes qui puisse exister est celle des peuples enracinés. « 

Bon… Vous en pensez ce que vous voudrez, mais personnellement je trouve ses propos forts et toniques ! Pas de violence ou d’agressivité stupide chez lui, mais une force de conviction réfléchie et paisible. Je n’ai donc aucune raison de ne pas respecter sa démarche autant que je respecte celle d’un Alsacien, d’un Breton ou d’un Provençal enraciné dans sa culture ancestrale et s’exprimant avec des termes simples et humains.

Bref, pour ma part, en tant qu’Auvergnat, aimant les belles vaches de Salers, je résumerais en disant simplement:

« Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées, ahahah ! »

 

La charpente de Notre-Dame de Paris: Réflexions.

Par Frédéric Epaud, chercheur CNRS (LAT CITERES, UMR 7324, Tours)


Tiré de l’excellent site: https://www.scientifiquesnotre-dame.org/

La charpente de Notre-Dame de Paris: Suite à l’émotion suscitée par l’incendie de Notre-Dame, de nombreux commentaires contradictoires voire ubuesques ont circulé à propos de la charpente disparue, des bois qu’il fallait sécher plusieurs années pour être utilisés et des forêts entières qu’il fallait raser pour la construire ou la reconstruire. Il est donc utile de faire un état des connaissances sur la charpente et les bois utilisés à Notre-Dame au XIIIe siècle ainsi que sur les possibilités de reconstruire une charpente en bois selon les techniques en vigueur au Moyen Âge.

Quels sont les études faites sur la charpente de Notre-Dame de Paris ?

Fort heureusement, des relevés architecturaux précis des structures médiévales avaient été réalisés en 2015 par R. Fromont et C. Trentesaux, dont une courte synthèse a été publiée en 2016 dans la revue Monumental, en complément de ceux faits en 1915 par H. Deneux et d’un mémoire de DEA réalisé en 1995 par V. Chevrier portant sur la dendrochronologie. De plus, un scanner de la charpente a été effectué en 2014 par l’entreprise Art Graphique et Patrimoine (150 scans). Le relevé complet et précis de la charpente de Notre Dame de Paris a donc bien été réalisé. La disparition de cette charpente représente néanmoins une immense perte scientifique pour la connaissance des constructions en bois du XIIIe siècle car son analyse archéologique, tracéologique et dendrologique restait à faire. De nombreuses études complémentaires auraient méritées d’être
faites pour comprendre le fonctionnement des structures, les procédés de mise en œuvre et de levage, les types d’assemblage, les phases de construction et de reprises, l’organisation du chantier et sa progression. Les datations dendrochronologiques effectuées en 1995 restent
imprécises et devaient être affinées pour dater à l’année près les différentes campagnes du chantier et les restaurations. L’étude dendrologique méritait aussi d’être réalisée pour connaître la provenance des bois, le profil des chênes abattus (morphologie, âge, croissance…) et par là même l’état des forêts exploitées au XIIIe siècle. Cette étude reste donc à faire à partir des documents existants et des restes calcinés. Cette perte est d’autant plus grande que ce n’est pas une mais trois charpentes gothiques qui ont disparu : celle construite sur le chœur vers 1220, celle qui appartenait à la première charpente des années 1160-1170 dont les bois furent réemployés, et celle de la nef (1230-1240 ?) qui était bien plus perfectionnée que celle du chœur. Celles des deux bras du transept, de la flèche et les travées du vaisseau central limitrophes à la flèche dataient des travaux de Lassus et Viollet-le-Duc au milieu du XIXe siècle sur la charpente de Notre Dame de Paris. Le bois d’œuvre et la forêt exploitée au XIIIe siècle Les documents à notre disposition et les études des autres grandes charpentes du XIIIe siècle permettent de répondre à certaines questions. Les bois utilisés dans les charpentes médiévales ne furent jamais séchés pendant des années avant d’être utilisés mais taillés verts et mis en place
peu après leur abattage. Il s’agissait de chênes provenant des forêts les plus proches appartenant vraisemblablement à l’évêché. Chaque poutre est un chêne équarri (tronc taillé en section rectangulaire) à la hache en conservant le cœur du bois au centre de la pièce. La scie n’était pas
utilisée au XIIIe siècle pour la taille des poutres. Les chênes abattus correspondaient précisément aux sections recherchées par les charpentiers et leur équarrissage se faisait a minima au plus près de la surface du tronc avec peu de perte de bois. Les bois ainsi taillés ont une meilleure tenue que les bois sciés qui se déforment en séchant. Les courbures naturelles du tronc étaient donc conservées à la taille ce qui n’était en rien un handicap pour les charpentiers du XIIIe siècle.
On estime que la construction de la charpente de Notre Dame de Paris de la nef, du chœur et du transept de Notre-Dame a consommé autour de 1000 chênes. Environ 97 % d’entre eux étaient taillés dans des fûts d’arbres de 25-30 cm de diamètre et de 12 m de long maximum. Le reste, soit 3 % seulement, correspondait à des fûts de 50 cm de diamètre et de 15 m maximum pour les pièces maîtresses (entraits). Ces proportions sont similaires à celles mesurées dans les charpentes du XIIIe siècle des cathédrales de Lisieux, Rouen, Bourges, Bayeux. Outre leur faible diamètre, la majorité de ces chênes étaient jeunes, âgés en moyenne de 60 ans avec des croissances rapides d’après les études dendrochronologiques menées sur la plupart des charpentes du XIIIe siècle du Bassin parisien. On est donc bien loin de l’image d’Epinal des énormes chênes au tronc épais et vieux de plusieurs siècles. Ces arbres jeunes, fins et élancés provenaient de hautes futaies où la densité du peuplement était maximale et où la forte concurrence entre les chênes les a contraints à pousser très rapidement vers la lumière en hauteur, non en épaisseur. Ces futaies médiévales, gérées selon une
sylviculture spécifique qui était basée sur une régénération par coupe à blanc et recépage, et sur l’absence d’éclaircie pour conserver l’hyperdensité du peuplement, produisaient massivement et rapidement des chênes parfaitement adaptés à la construction en bois et aux techniques de
taille à la hache. Pour ces raisons, les surfaces forestières sollicitées par ces grands chantiers ne représentaient que quelques hectares seulement : à peine 3 hectares pour les 1200 chênes de la charpente de la cathédrale de Bourges. On est donc là encore bien loin des légendaires défrichements de forêts entières pour la construction des cathédrales gothiques…

La structure de la charpente de Notre Dame de Paris .

Au début du XIIIe siècle, les maîtres charpentiers étaient confrontés à des difficultés jusqu’alors
inédites, liées au gigantisme des cathédrales gothiques et surtout aux difficultés d’adapter la charpente de Notre Dame de Paris à des murs minces percés de grandes verrières et à la forte poussée des vents sur des toitures de plus en plus hautes et pentues. Ce défi était d’autant plus ardu que les charpentes
dites à « chevrons-formant-fermes » de l’époque généraient d’importantes poussées latérales sur les murs et que les bois utilisés étaient fins et donc flexibles. Le maître charpentier de Notre-Dame a su relever ce défi avec brio en concevant une structure complexe mais équilibrée, stable pour elle-même et pour les murs, avec de nombreux dispositifs de raidissement au sein des fermes, des renforcements des entraits, un doublement de la triangulation, des systèmes de moises pour soulager les bois lourds, des travées courtes pour réduire les poussées latérales des fermes secondaires sur les murs, des reports de charges de ces dernières sur les principales par
des liernes latérales et axiales, une pente forte et d’autres techniques pour rendre la structure stable et répartir de façon homogène les charges sur les murs. Il n’a pas hésité à charger la structure de tous les dispositifs nécessaires avec des centaines de pièces secondaires, la rendant
bien plus dense que la plupart des charpentes de son temps ce qui lui a donné sur surnom de « forêt ». Le maître d’œuvre a su faire une parfaite synthèse de toutes les expérimentations réalisées sur les grands chantiers en cours de son époque. Il fut certainement l’un des plus grands
et des plus audacieux maîtres charpentiers de son temps. La charpente du XIIIe siècle de ND figurait parmi les plus grands chefs d’œuvre de la charpenterie gothique française par sa complexité technique et son exceptionnel état de conservation.

La charpente de Notre-Dame de Paris
Cathédrale Notre-Dame de Paris, charpente de la nef, vers 1220 (C.R.M.H. 1982)


Le temps nécessaire à la réalisation d’une charpente à chevrons-formant-fermes est connu et n’est pas si important que l’on imaginerait. La construction de la charpente du XIIIe siècle de la cathédrale de Bourges aurait réclamé seulement 19 mois de travail pour une équipe de 15-20 charpentiers, de l’équarrissage des 925 chênes au levage des fermes.


Quid des vestiges ?


A l’heure actuelle, un collectif de chercheurs regroupant spécialistes des charpentes, anthracologues, dendrologues, écologues, climatologues, biogéochimistes s’est attelé à la mise en place d’un projet de recherche destiné à collecter et étudier les restes calcinés de la charpente, le jour où ceux-ci seront accessibles. Il est d’ores-et-déjà dans l’esprit de tous, services
patrimoniaux, architectes, élus et chercheurs que les vestiges de la charpente seront préservés après étude à des fins conservatoires.
Reconstruire aujourd’hui une charpente du XIIIe siècle ?
S’il est indécent aujourd’hui de parler de reconstruction alors même que le cadavre calciné de la charpente gît encore sur les voûtes, il nous semble toutefois nécessaire de présenter quelques faits et suggestions qui serviront peut-être au débat plus tard. Cette question revêt trois aspects : les bois, la structure et les techniques.


Avec quels bois ?


Concernant le bois d’œuvre nécessaire. Comme dit plus haut, les bois utilisés au XIIIe siècle à ND sont pour 97 % de faible diamètre (25-30 cm) et de 12 m de long maximum ce qui correspond à des « petits » chênes, facile à trouver. L’abattage de 1000 chênes ne représente pas un inconvénient puisque le pays dispose de la plus grande forêt d’Europe avec 17 millions
d’ha de forêts dont 6 millions en chênaies, en constante augmentation depuis des années. Le prélèvement ne se ferait certainement pas par coupe rase comme on l’avait souvent répété puisque les futaies actuelles sont différentes de celles du XIIIe siècle (dont 3 ha suffisaient) et que ces « petits » chênes sont dispersés dans les peuplements actuels. Leur abattage se ferait donc par furetage avec des coupes individuelles ciblées au sein des futaies, limitant ainsi l’impact écologique sur les écosystèmes forestiers. Rappelons que la fabrication du bateau L’Hermione a prélevé par furetage 2000 chênes, soit le double que pour Notre-Dame, sans que
cela n’ait causé le moindre souci environnemental.
La reconstruction d’une charpente en chêne permettrait de valoriser la filière forestière française qui connaît aujourd’hui des difficultés en raison de la sous-exploitation des futaies et de l’exportation massive du bois brut notamment vers la Chine. Aujourd’hui, l’emploi d’un matériau biosourcé, travaillé selon des techniques traditionnelles, serait un signe fort de notre
époque dans le choix d’une gestion raisonnée et écologique de nos ressources naturelles et d’une économie verte tournée vers le savoir-faire artisanal.


Quelle charpente restituer ?


Avant de proposer une reproduction à l’identique, il est nécessaire de savoir si les maçonneries peuvent supporter à nouveau une charpente de poids identique avec les mêmes modalités de
répartition des charges sur les murs. Par le passé, la reconstruction des charpentes incendiées sur les cathédrales a souvent reproduit à l’identique l’originale du XIIIe siècle comme sur les cathédrales de Meaux en 1498, de Rouen en 1529 puis en 1683, de Lisieux en 1559 ou au XIXe siècle sur de nombreux monuments historiques. Certes, il existe tout autant des charpentes refaites à neuf sans tenir compte de l’originale pour des raisons économiques. La restitution de la « forêt » gothique est possible puisque le relevé complet et précis de la charpente existe même s’il reste encore à définir les rajouts ultérieurs pour restituer son aspect originel. La structure de la flèche est également connue grâce à une maquette des compagnons
charpentiers. Techniquement, la possibilité est donc offerte. Le choix d’apposer l’empreinte de notre temps sur Notre-Dame est aussi légitime comme le rappelle l’article 9 de la Charte de Venise tant qu’elle respecte l’harmonie et la composition de l’ouvrage. Si l’ambition des maîtres d’œuvre a toujours été de magnifier la cathédrale par des réalisations remarquables, il faut reconnaître que pour les charpentes l’exercice ne fut pas toujours une réussite. Les charpentes récentes utilisent des bois sciés dans des structures pragmatiques, économiques et sans aucune réelle beauté comparée à celles du XIIIe siècle. Les charpentes en métal de la cathédrale de Chartres et en béton de celle de Reims peuvent être
considérées comme de beaux ouvrages mais la question de leur pérennité pluriséculaire reste à prouver et celle de la transmission du savoir-faire technique des « bâtisseurs » des cathédrales se pose encore plus, sachant que d’autres monuments contemporains peuvent y répondre sans poser de problème éthique, comme les gares ou les aéroports. Outre le matériau et la forme, le débat doit surtout prendre en compte les techniques à utiliser.

Quelles techniques mettre en œuvre aujourd’hui ?

Si les formes des charpentes ont évolué de siècle en siècle, les techniques de taille manuelle à la hache, dites traditionnelles, sont restées quant à elles identiques du Moyen Âge jusqu’au début du XXe siècle. Contrairement à une idée largement répandue, ces techniques ne sont quasiment plus utilisées aujourd’hui dans les grandes entreprises de charpenterie du fait de la modernisation nécessaire et de l’amélioration des outils d’usinage numériques et des machines outils électriques. Les entreprises de Monuments Historiques et les compagnons charpentiers n’équarrissent plus les bois à la hache et s’approvisionnent directement en scierie. Seules
quelques rares entreprises artisanales pratiquent encore la taille à la doloire, cherchant à maintenir la transmission d’un savoir-faire pluriséculaire et l’essence même de leur métier par la maîtrise de toute la chaîne opératoire : de la sélection de l’arbre en forêt, sa taille manuelle,
à sa pose. Ces techniques traditionnelles sont pourtant économiquement viables et rentables pour ces petites entreprises. La différence entre un ouvrage fait selon la tradition et les techniques industrielles est pourtant sans équivoque puisque les bois équarris à la hache sont
plus solides et de meilleure tenue que ceux sciés, ils se déforment bien moins au séchage, les bois courbes sont employés, les pertes sont minimes, l’ouvrage est plus beau en respectant les formes naturelles du tronc et, surtout, les charpentiers y retrouvent l’amour de leur métier. Ceci
explique le succès des chantiers traditionnels comme Guédelon ou ceux des « charpentiers sans frontières » qui réunissent jusqu’à 60 charpentiers professionnels venus du monde entier pour restaurer un ouvrage (https://www.youtube.com/watch?v=1T7xBH7ZEN4).

Depuis peu, des conservateurs des Monuments Historiques et des architectes réclament que les bois soient travaillés selon les techniques traditionnelles à la doloire pour la restauration de charpentes
anciennes comme pour l’Aître Saint-Maclou à Rouen mais peu d’entreprises peuvent encore y répondre. Elles ont besoin de formation pour réapprendre ces techniques, ce qui est justement
proposé par le projet de loi du gouvernement pour la restauration de Notre-Dame. Dans l’hypothèse où les choix de restauration se porteraient sur une charpente en bois, on peut imaginer un chantier-école de ce type sur le parvis de Notre-Dame, avec des dizaines de charpentiers équarrissant à la hache des grumes et taillant les bois manuellement selon les règles
ancestrales du métier, qui permettrait aux entreprises de renouer le lien avec un savoir-faire pluriséculaire, dans l’esprit et la continuité des chantiers des cathédrales. Un tel chantier serait sans nul doute spectaculaire et très émouvant auprès du grand public car il témoignerait du respect de notre époque pour un patrimoine gestuel et technique qui se doit d’être préservé comme élément de notre identité culturelle et encore plus sur l’un des monuments les plus chers à la nation. Quant au type de charpente, un compromis entre une structure en bois d’inspiration
médiévale et contemporaine, employant les techniques de la charpenterie traditionnelle héritée du XIIIe siècle mérite réflexion, ce qui permettrait en même temps de valoriser nos ressources forestières selon une éthique écologique très ancrée dans le XXIe siècle.

La charpente de Notre-Dame de Paris
Chantier traditionnel « Charpentiers sans frontière », Aclou (Eure), 2016


Bibliographie :


Chevrier V., La charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris à travers la
dendrochronologie, mémoire de DEA, Université de Paris-Sorbonne, Paris IV, 1995. C.R.M.H., Charpentes XIIIe siècle, vol. 2, Ministère de la Culture, Direction du Patrimoine, Paris, 1982.
Deneux H., 1927, « L’évolution des charpentes du XIe au XVIIIe siècle » dans L’Architecte, p.49-53, 57-60, 65-68, 73-75 et 81-89.
Epaud F. (A paraître 2019) « Les forêts et le bois d’œuvre au Moyen Âge dans le Bassin parisien » dans La forêt au Moyen Âge, Les Belles Lettres, Paris.
Epaud F., La charpente de la cathédrale de Bourges. De la forêt au chantier, PUFR, Coll.Perspectives historiques », Tours, 2017.
Epaud F., De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, Publications du CRAHM, Caen, 2007.
Fromont R. et Trenteseaux C., « Le relevé des charpentes médiévales de la cathédrale NotreDame de Paris : approches pour une nouvelle étude » dans Monumental, Semestriel 1, Editions du patrimoine, Paris, 2016, p. 70-77.
Hoffsummer P. (dir.), Les charpentes du XIe au XIXe siècle, typologie et évolution en France du Nord et en Belgique, Cahiers du Patrimoine n° 62, 2002.
Le Port M., « Évolution historique de la charpente en France » dans Encyclopédie des métiers,
La charpente et la construction en bois, t. 1, Librairie du Compagnonnage, Paris, 1977, p. 379-610.