Gilets jaunes déniaisés ? Ca alors !!

gilets jaunes déniaisés

Gilets Jaunes déniaisés:

Cette intéressante vidéo nous montre de sympathiques Gilets Jaunes s’étonnant d’avoir subi des pressions maçonniques suite à une vidéo prise lors d’une visite à la « Grande Loge de France » !

« On » les a prié de supprimer gentiment cette vidéo sous peine de complications certaines… Ahahaha !

Ainsi découvrent-ils au moins où réside le vrai pouvoir, celui dont il n’est pas question d’évoquer ne serait-ce que le nom ! D’ailleurs la marionnette d’Attali, Juan Branco, leur a par ailleurs bien expliqué que les francs-maçons n’étaient qu’un petit club provincial de trafic d’influence sans importance aucune !

Encore un petit effort, camarades, vous semblez sur la bonne piste, non ? Je vous suggère de créer une branche « Gilets Jaunes déniaisés », qui pourrait d’ailleurs fusionner avec la branche Ananas et la branche Canal Historique de Dieudonné !

 

Journal d’Anne France.

Article tiré du site : Riposte laïque

L’écrivain-poète Romain Guérin m’a accordé un entretien autour de son roman Le Journal d’Anne-France, paru aux éditions Altitude. Ce récit constitue une histoire française puisant dans les entrailles de notre passé collectif tourmenté, tout en pointant notre descente aux enfers contemporains que trop peu de plumes, à mon goût, ont le courage de dénoncer…

Riposte laïque : Un tel titre – évoquant immanquablement un autre journal fameux – ne fait-il pas de votre personnage principal, Anne-France, une sorte de symbole du martyre subi par le peuple français depuis plusieurs décennies de trahisons de la part de ses élites ?

Romain Guérin : C’est tout à fait ça. Si on se réfère à la déclaration des droits des peuples autochtones, la France subit un génocide ethnique et culturel. Suicides, avortements, expatriations, addiction à la drogue et aux médicaments, immigration délirante, etc. : physiquement, les Français disparaissent. Génocide à petit feu, ce qui est moins spectaculaire que d’autres grands massacres ; et pourtant, il suffit de prendre un train à la gare du Nord et d’allumer la télévision pour voir que notre pays n’est plus celui d’Audiard ou de Brel. En quarante ans, la France s’est défigurée à une vitesse inédite dans son histoire.

 

Journal d'Anne-France

 

Le spectacle ubuesque de cette lente agonie est une torture pour toutes les âmes françaises. Cette agonie n’a même pas la solennité de la mort pour nous consoler, Drumont dit cela mieux que moi, alors je lui laisse la parole:

« La France, au lieu de se résigner ou, mieux encore, de se recueillir, de rentrer en elle-même, d’essayer de guérir puisque Dieu, disent les Écritures, a fait les nations guérissables, semble vouloir finir en apothéose théâtrale ; elle magnifie sa décadence avec une ostentation vaniteuse, une outrecuidance charlatanesque et délirante qu’elle n’avait point aux jours heureux de sa force et de sa splendeur. »

Au-delà d’un symbole, c’est une prosopopée, c’est-à-dire qu’Anne-France c’est la France elle-même. Compris comme cela, le moindre détail de la vie d’Anne-France est effectivement un symbole et renvoie à ce que la France subit.

Riposte laïque : Dans le roman, Anne-France, à la suite d’une rumeur infondée – le père de son bébé serait allemand –, est sauvagement lynchée. Ce lynchage est l’occasion de régler des comptes, comme ailleurs dans le récit, avec l’Histoire remaquillée par la bien-pensance. Je vous cite : « À la Libération […], les communistes s’agitaient dans tous les sens pour faire oublier le traité de non-agression que Staline avait signé avec Hitler. » Anne-France reviendra sur son lynchage en l’évoquant auprès de son fils, lié quant à lui à une autre guerre, celle d’Algérie. Pour enfoncer le clou, l’unique amour d’Anne-France – et vrai père de son enfant – est un résistant de Combat, mouvement fondé par Marie Reynoard et Henri Frenay, deux figures non communistes de la Résistance, comme le colonel de La Rocque. Rappelons que ce dernier, libéré de déportation et revenu en France, sera interné administrativement pour l’écarter de la politique et du Conseil national de la Résistance, puis ensuite assigné à résidence, décédant peu de temps après. Et puisque que vous écrivez que « tous les résistants, je dis bien tous, sans exception, se battent pour des souvenirs », peut-on dire qu’Anne-France est elle aussi une résistante ?

Romain Guérin : Un résistant français en 1941 voulait en somme revenir en arrière ; revenir à l’époque d’avant l’occupation allemande, ce qui ferait de lui, aujourd’hui, un passéiste, un réactionnaire, bref un activiste de la fachosphère. Ce que nos maîtres appellent « progrès » n’est que la feuille de route de leur projet totalitaire. Anne-France n’est pas une résistante active mais, par le fait même qu’elle existe, elle est un ennemi du système, un ennemi à abattre, à remplacer, ou à laisser pourrir bien gentiment. Elle est – comme tous les Français qui existent un tant soit peu – ce que le paysan était pour le communisme : un être arriéré, un animal avec de vieilles idées, obstacle de la révolution et qu’il faut physiquement éliminer pour qu’advienne sur terre le paradis du socialisme scientifique. Le nationaliste, l’enraciné, le provincial sont les martyrs de la révolution mondialiste.
De nos jours, on devient vite un rebelle malgré soi. Vous dites « Papa et Maman » au lieu de « parent 1 et parent 2 », vous voilà homophobe. Vous préférez que votre enfant suive les enseignements de Jean de La Fontaine plutôt que ceux d’un travesti à plume grimé en poulet de Bresse, vous êtes transphobe. Vous voyez d’un mauvaise œil la prolifération de mosquées dans lesquelles des prédicateurs traitent les Français de chiens et de mécréants, vous voilà islamophobe. Vous pensez qu’accueillir 200 000 immigrés par an n’est pas très sérieux, vous voilà raciste. Vous êtes curieux de votre histoire, vous ne gobez pas la propagande médiatique, vous voilà antisémite.
Anne-France est donc une résistante, mais simplement par le fait qu’elle est bel et bien française et qu’elle commet, pour certains, le crime d’encore exister.

Riposte laïque : Votre roman est, à bien des égards, une déclaration d’amour à la France. Je vous cite à nouveau : « Cette terre est jonchée de lieux qui provoquent en vous un sentiment étrange d’appartenance à quelque chose de flou, qui vous dépasse et qui ressemble à ce que l’on appelle la Nation. Dans une même ville, l’œil observateur peut y croiser des Celtes, des Romains, des Grecs, des chevaliers. Il peut déceler sur les murs la marque des empereurs et des rois et suivre sur son sol la trace des génies, des artistes et des savants qui ont foulé ses pavés millénaires. » Et Anne-France d’affirmer, comme une maxime applicable à tous les amoureux de notre pays : « Je ne suis pas née en France, la France est née en moi. »
Est-ce la France, c’est-à-dire l’idée que vous vous en faites, qui vous a incité à écrire ce roman ?

Romain Guérin : Oui, c’est bien la France, mais pas l’idée que je m’en fais : plutôt les sensations qu’elle me procure. La France est pour moi beaucoup plus une volupté qu’une idée. Quand je déambule dans les ruelles pavées d’un de ses petits villages, que mes yeux caressent les pierres des maisons sculptées, qu’au loin sonnent les cloches d’une chapelle nichée sur une colline, mon âme se remplit d’une paix joyeuse et d’une sérénité heureuse difficilement descriptibles. La France est le résultat miraculeux d’une sédimentation millénaire faite avec la poussière de squelettes laborieux, pieux et talentueux. Quand on commence à parler d’idée, on dérive vite sur les valeurs et là on glisse carrément dans la niaiserie adolescente, le baratin de colporteur et l’antiphrase : liberté, égalité, fraternité ; droits de l’homme, etc. Personnellement, je n’ai jamais entendu un touriste chinois dire qu’il venait en France visiter les « droits de l’homme » , se prendre en photo aux côtés de l’égalité et goûter à la fraternité sauce gribiche !

Riposte laïque : Tout au long du récit, la France d’hier se frotte à celle d’aujourd’hui et, vue par le prisme de la narratrice, cette dernière laisse un goût amer. Votre héroïne le confesse : « Amoureuse éperdue du vrai, du juste et du beau, la vie dans ce monde faux, corrompu et laid fut un long calvaire. »
De ce point de vue, Le Journal d’Anne-France n’est-il pas un roman du désenchantement ? Pire, Anne-France ne serait-elle pas une apatride qui, tel Alfred de Musset, est « venu(e) trop tard dans un siècle trop vieux », songeant avec un certain désespoir à « L’esprit des temps passés, errant sur leurs décombres » ?

Romain Guérin : C’est d’avantage un roman de la dépossession que du désenchantement. Tempus fugit (le temps s’écoule) et rien ne le rattrape, pas même la mélancolie. Je n’ai pas le fétichisme d’un passé dont on ne se fait la plupart du temps que de fausses idées, idées édulcorées par nos propres phantasmes. Nul besoin d’être un royaliste légitimiste pour déplorer la vente d’un énième château à des énièmes Chinois. Nul besoin d’être un catholique intégriste pour pleurer la destruction d’une église. Le canal de Bourgogne, les cathédrales et le Palais des Papes ne sont pas des spectres du passé : ils sont actuels, et c’est cette France-là qui est dépecée, livrée aux hyènes du haut et aux rongeurs du bas. La France n’est pas une vieille dame qu’il s’agirait je ne sais comment de rajeunir. C’est une femme malade qu’il faut guérir, quitte à amputer si nécessaire.
Si Anne-France est une apatride, elle l’est au sens d’Edgar Quinet : « Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays ; c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. »

Riposte laïque : Le roman insiste sur les racines chrétiennes de la France, que des jardiniers idéologiques malintentionnés s’ingénient de nos jours à arracher de sa terre. Ces racines s’expriment ici dans un mouvement de ferveur spontanée et non moins douloureuse. Nous sommes loin du dogme froid, dont Anne-France ne se soucie pas. « La religion m’a donné un supplément d’âme quand des drames me l’ont dévorée », dit-elle avec une humilité toute chrétienne. Alors qu’elle vient de perdre le dernier être cher, elle confesse ceci : « Quand j’allais à la cathédrale Saint-Jean, j’avais de plus en plus de choses à lui dire, au Bon Dieu. » Et d’énumérer les drames ayant émaillé son existence et dont elle Le rend tacitement responsable. Mais Anne-France a été écoutée par un prêtre, qui lui livrera une confession – quelle humilité de la part de celui censé les recevoir ! Une confession à la fois implacable au sujet de l’Église contemporaine et émue par son « immense et invincible Foi », résumée dans cette phrase : « Vous ne semblez pas versée dans la théologie et c’est peut-être pour ça que la véritable foi vous habite. Vous vous en tenez à des choses simples… mais vous tenez ! Moi j’ai tout laissé filer entre mes doigts boudinés par les bagues, sous couvert de controverses idéologiques. » Et ensuite d’invectiver certains prélats qui se vautrent dans le confort matériel et sont prêts à des compromissions telles que l’appartenance à une loge maçonnique.
À la lumière de cette confession du prêtre et de la vie d’Anne-France, peut-on dire que cette dernière est plus du côté de saint François que du pape François ?

Romain Guérin : Au-delà d’une controverse théologique dont je ne maîtrise pas toutes les ficelles (j’ai néanmoins mon petit avis là-dessus), avec Anne-France j’ai voulu mettre sous le feu des projecteurs les invisibles, les sans-voix, les sans-grades, les sans-dents, qui sont pourtant le socle de toute société possible. J’ai l’intime conviction que la vocation sociale de l’art est de réenchanter un quotidien souvent répétitif et difficile.
Bien sûr, l’artiste en marge de son œuvre peut explorer les limites vertigineuses de son corps et son esprit, aller voir les égouts du monde ou se baigner dans les sanies de l’univers, mais s’il en fait l’éloge et la publicité, il se rend coupable de corruption des mœurs. La vie, ce n’est pas les excès de la drogue, du sexe, de l’alcool ; la vie ce n’est pas plonger dans son petit nombril mal lavé et méditer sur ses petites originalités, souvent aussi crasses qu’insignifiantes, et vouloir en faire une loi universelle. Non, la vie, c’est le travail, c’est la famille, les amis et son pays. Ça peut paraître banal comme ça, mais depuis l’origine de l’homme on n’a pas trouvé mieux pour donner du sens à l’existence. L’artiste, c’est Pagnol qui fait d’un boulanger un héros, et non je ne sais quel guignol qui noircit une toile avec ses propres fientes ; c’est Vincenot qui, à chacune de ses lignes, rend hommage à la simplicité, à la vertu et à l’amour et non un plumitif hystérique qui raconte la fabuleuse aventure de ses organes génitaux en milieu interlope.

Riposte laïque : Parlons à présent de poésie, laquelle traverse le récit comme une invitation à la contemplation. Citons ces quelques vers « écrits de la main » de Jules, l’amant sacrifié à l’autel de l’Histoire : « Mêlée au nord des cieux, cette fille fascine / En l’ignorant mes yeux, qui dans ses longs cheveux / Ondulés et soyeux, séditieux se confinent, / Là-bas, mon rêve, enfin, est conforme à mes vœux. »
Dans Destinées de la poésie, Alphonse de Lamartine écrit que la poésie c’est : « De la raison chantée, voilà sa destinée pour longtemps ; elle sera philosophique, religieuse, politique, sociale comme les époques que le genre humain va traverser ; elle sera intime surtout, personnelle, méditative et grave ; non plus un jeu de l’esprit, un caprice mélodieux de la pensée légère et superficielle, mais l’écho profond, réel, sincère des plus hautes conceptions de l’intelligence, des plus mystérieuses impressions de l’âme. »
La poésie serait-elle pour vous un recours au mouvement déraisonnable et effréné du monde ? Je parle autant à l’auteur du Journal d’Anne-France qu’à celui du recueil de poèmes La Chorale des Cadavres.

Romain Guérin : Vaste question qui pourrait faire l’objet d’un ouvrage à elle seule. D’abord, la poésie s’est imposée à moi comme une intuition profonde. Elle fut la réponse au « connais-toi toi-même ». Réponse terrible. Ensuite, évidemment, elle est un refuge pour les âmes raffinées : « Là tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté », pour voler les mots de Baudelaire, quand dehors règne le chaos, la laideur, la grossièreté, le bruit et la tyrannie de la machine.
La poésie est aussi une hygiène spirituelle, c’est mettre en ordre une surabondance d’émotions et de pensées et les ranger hors de soi dans une sorte d’annexe matérielle d’un corps trop exigu que sont les créations artistiques, comme pour en être soulagé. Enfin, je l’ai conçue aussi comme un témoignage anthropologique, une arme culturelle, une sorte d’évangile français au sens de « bonne nouvelle », qui dirait aux jeunes générations: « Hosanna ! Nous revoilà ! »

Riposte laïque : Votre roman est émaillé de citations (Baudelaire, Verlaine, Nietzsche, etc.). Il s’agit là de marquer son ancrage dans une culture – européenne en l’occurrence – afin de s’inscrire littérairement dans sa continuité, n’est-ce pas ?

Romain Guérin : Je plaide pour une « nouvelle renaissance ». Toute la production intellectuelle et artistique de ces cinquante dernières années devrait être déclarée nulle et non avenue. Instinctivement c’est comme cela que je me suis formé : j’ai rejeté comme par écœurement naturel les productions contemporaines pour aller me nourrir au sein des maîtres de l’Antiquité et ceux des XVIIe, XVIIIe et XIXesiècles.
Alors que le mot de « progrès » est sur toutes les lèvres, manifestement, il n’a pas pénétré le domaine des arts. Personnellement, je ne me suis pas résigné à la médiocrité ambiante, et surtout je n’ai pas cherché à légitimé ma nullité littéraire par une quelconque mode ou courant et en me choisissant des nains pour modèles.

Riposte laïque : Puisqu’il en est question dans le récit, évoquons la question de l’IVG. Mais avant, et afin que les lecteurs ne se méprennent pas, Anne-France ne se reconnaît pas comme un modèle de mère irréprochable. Au contraire. Et, tandis qu’elle vient de découvrir sa grossesse, elle avoue même : « Je vous mentirais si je disais que je n’ai pas pensé cette chose horrible qui est aujourd’hui monnaie courante. »
Puis elle pose peut-être la bonne question : « Est-ce que vraiment les femmes qui avortent le choisissent librement ou est-ce que, par manque d’argent et/ou de structures adéquates pour les accueillir et les accompagner, elles le font en désespoir de cause ? » La fiction est ici au service de la conviction. Je me trompe ?

Romain Guérin : Conviction non, mais plutôt un constat et des doutes. Un constat politique simple d’abord : si les femmes françaises avortent, il n’y a pas de renouvellement de population. D’autres femmes, venues d’autres cieux, elles, s’en chargent. Il ne faut donc pas venir pleurer après que des peuples vivaces et féconds remplacent un agrégat dépressif et stérile. Des doutes moraux ensuite : à quel moment le fœtus peut-il être considéré comme un être humain et non pas comme un vulgaire amas de cellules ? Je n’ai pas la réponse, et je suis sûr que personne ne l’a cette réponse. Alors la prudence me semble être de mise.

Riposte laïque : Il faut bien admettre que la promesse suivante n’incite pas à l’optimisme. En effet, vous écrivez : « l’avènement d’un monde enfin pacifié par l’uniformité de la bêtise et la sinistre concorde de l’apathie. » C’est Anne-France qui parle, évoquant les résistants à ce nouvel ordre mondial comme des « restes qui gémissent ». Deux questions : Dans quelle mesure Romain Guérin est-il Anne-France ? Au-delà d’un personnage de papier, conserve-t-il quelque espoir de rédemption pour notre civilisation en péril ?

Romain Guérin : J’ai la même pudeur et le même sens moral qu’Anne-France. Mais elle est bien trop pieuse, trop sage, pour me ressembler complètement. Voyons les immenses batailles qui nous attendent comme une bonne nouvelle. Alors qu’à l’approche des années 2000 les penseurs de pacotille – ces voyants qui ont troqué leur boule de cristal contre la sociologie – nous annonçaient la fin de l’Histoire, il se pourrait bien que l’Histoire se manifeste comme jamais. À l’heure où je finis de répondre à cet entretien, Notre-Dame de Paris a été incendiée, ce qui n’était jamais arrivé dans l’Histoire, justement.
Notre avenir, ce qui devrait finalement nous réjouir, nous, Gaulois, ressemblera beaucoup plus aux croisades qu’à un épisode de « Plus belle la vie ». Le tragique fait son grand retour. Espérons que la France aussi…

Propos recueillis par Charles Demassieux pour Riposte laïque

 

Notre-Dame: Vers la plus grosse promotion immobilière !

« Ile de la Cité. Vers la plus grosse promotion immobilière grâce à l’étincelle qui a mis le feu aux poutres ! « 

L’édito de Charles SANNAT

par Charles Sannat | 25 Avr 2019 | A la une, Politique et économies

Parfois, la vie est bien faite et les heureux hasards s’enchaînent de manière à rendre possible ce qui était difficile…

Tenez, prenez au hasard, cette histoire d’étincelle qui a mis le feu aux poutres de Notre-Dame.

Saviez-vous quel beau projet nous attend ?

Saviez-vous quelles belles œuvres immobilières sont dans les cartons ?

Non…

Allez, voilà de quoi rassasier votre curiosité… Nous avons là tous les ingrédients pour créer l’un des plus gros scandales économiques et politiques de notre histoire récente

L’île de la Cité appartient en grande partie à l’Etat !
Par exemple sur l’île de la Cité vous trouvez l’ancien Palais de Justice, classé évidemment aux monuments historiques, et… qui ne sert plus à grand-chose depuis l’entrée en service du nouveau Palais de Justice dans le nord de Paris…

Je me demande ce que l’on va bien pouvoir faire de cet immense et superbe bâtiment…

Par exemple sur l’île de la Cité il y a le célèbre 36 quai des orfèvres… mais vous savez qu’il est presque vide lui aussi ? Ainsi, « en septembre 2017 — après le départ, en juin, de la Brigade criminelle et de la Brigade des stupéfiants (BS) —, les derniers services de la police judiciaire ont déménagé au Bastion dans la cité judiciaire de Paris près du nouveau tribunal de Paris, porte de Clichy. Seule la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), nommée aussi l’« antigang », reste dans les locaux pour « intervenir plus vite en cas d’attaque terroriste ». Mais la BRI ne sera pas un problème, et nous lui trouverons bien une petite place aux Invalides par exemple, ou ce n’est pas les m² qui manquent !!

Je me demande ce que l’on va bien pouvoir faire de cet immense et superbe bâtiment…

Par exemple, l’Etat est propriétaire de la Conciergerie… vous savez l’ancienne prison où Louis XVI fut retenu avant de se faire raccourcir la tête. C’est beau la conciergerie et c’est grand.

Je me demande ce que l’on va bien pouvoir faire de cet immense et superbe bâtiment…

Encore un autre exemple, il y a un immense hôpital sur l’île de la Cité… c’est l’Hôtel Dieu… et cela coûte tellement cher la médecine et les hôpitaux, et puis il y a le fameux trou de la sécu… Et puis, une telle surface mes amis, en plein cœur du cœur de la capitale… plus de 20000m²…. à 20 000 euros le m²… miam…

Je me demande ce que l’on va bien pouvoir faire de cet immense et superbe bâtiment…

Comme je ne suis pas avare, il y a encore un autre exemple et comme dans la pub « c’est pas fini », il y a aussi le Marché aux fleurs et le Marché aux oiseaux … Ils sont grands, très grands ces deux marchés…

Je me demande ce que l’on va bien pouvoir faire de ces immenses et superbes espaces…

Mais je vous avais dit que ce n’était pas fini ! Il y a aussi l’imposant Tribunal de Commerce… qui occupe une grande partie de l’île. De sublimes mètres carrés que l’on pourrait également sans doute occuper à des choses tellement plus rentables qu’à rendre des jugements ou des arbitrages sur des affaires commerciales triviales… Cela peut se faire de manière identique dans bien d’autres endroits moins luxueux. Franchement moi j’y ferais bien un grand palace à 5 000 euros la nuit la suite!

Enfin et pour terminer cette liste non exhaustive… Notre-Dame, appartient… à l’Etat et pas à l’église catholique…

Non exhaustive car il y a aussi le bureau des naturalisations de la préfecture de Paris, ou la compagnie motocycliste sans oublier une partie de l’école nationale de la magistrature… qui occupent quelques surfaces également… J’ai donc pris le plan de l’île et je vous ai mis en rouge toutes les zones appartenant à l’Etat ou au « para-public »… 90% de l’île de la Cité appartient à l’Etat, un Etat qui a besoin d’argent, de beaucoup d’argent et qui a là une occasion en « or » de transformer discrètement ses propriétés en poules aux œufs d’or…

Et bien si moi je me demande avec cette immense naïveté qui est la mienne ce que l’on pourrait bien faire de tous ces beaux bâtiments vidés progressivement de leur substance depuis 10 ans, les mamamouchis, eux, savent évidemment déjà ce qu’ils veulent en faire…

Transformer l’île de la Cité en un beau Disneyland à touristes
Oui parce qu’en réalité, la bataille autour d’une des plus grandes promotions immobilières de notre pays a déjà commencé et cela fait d’ailleurs quelques années.

Ainsi, la réhabilitation du parvis de l’hôpital Hôtel Dieu doit être confiée fin mai à un opérateur privé en vue de développer des activités commerciales… Et la Mairie de Paris « chercherait à pousser la candidature du groupe Quartus auprès de l’AP-HP, un choix qui ne fait pas l’unanimité ». Source ici

Au même moment, comme le rapporte cet article du Figaro, Martin Hirsch actuel Directeur Général de l’AP-HP «a proposé qu’une partie de l’Hôtel Dieu puisse être mobilisée pour permettre, le plus rapidement possible, le rayonnement du site», indique l’AP-HP dans un communiqué.

L’idée est de «pouvoir accueillir tout ce qui est muséal» afin que chacun puisse «accéder aux œuvres de Notre-Dame», a expliqué la direction à l’AFP. Cette offre de service pourrait «éventuellement» s’étendre aux besoins du futur chantier de rénovation du monument historique et des nombreux «compagnons qui devront venir y travailler». Source ici

On passe de l’hôpital au « muséal »… c’est joliment dit!

Quant au futur de l’île de la Cité, vous l’avez en image ici et sur le site Missioniledelacité.paris ici

Ce futur architectural et fondamentalement très commercial a déjà été pensé et imaginé. Tous les détails sont connus et les choses progressivement se mettent en place pour permettre la réalisation de la plus colossale opération immobilière au centre de Paris, dans « le cœur du cœur », un endroit où le prix du mètre carré peut se négocier 20 000 euros au moment où vous lisez ces lignes, mais quel sera le prix futur de ces m2 là où les 14 millions de touristes qui passent chaque année, sont une ressource extraordinaire de profits potentiels? Ce mètre carré se négociera peut-être 40, 50 ou même 60 000 euros…

Imaginez 14 millions de touristes délestés légalement par le commerce d’une centaine d’euro par tête de pipe !! Cela commence à faire une sacrée rente annuelle.

Pour s’assurer que les sous rentrent bien, on a même prévu le renforcement du trafic fluvial et un débarcadère à K€ sur pattes, pardon à touristes.

Alors, cette histoire d’étincelle qui a mis le feu aux poutres arrive donc à point nommé pour accélérer la mutation de l’île de la Cité, le cœur du cœur de Paris.

Non pas que cet incendie soit volontaire, l’enquête le dira ou pas. Disons, plus prosaïquement que c’est comme les incendies de forêts dans le sud-est… il faut toujours savoir faire contre mauvaise fortune bon cœur, et bonnes affaires. Quand la forêt brûle, les immeubles poussent sur les ruines fumantes.

L’île de la Cité est un immense défi et enjeu, également pour les grandes entreprises du BTP et autres groupes immobiliers, des contrats aussi mirobolants permettent également de se rémunérer confortablement entre amis. Enfin, les JO de 2024 sont pour bientôt, et cela serait bien que tout soit prêt ou presque pour cette date là car si en plus Notre-Dame réouvre à l’occasion des JO ce sera l’occasion rêvée de faire la promotion mondiale de cette promotion immobilière où l’on vendra à 40 000 euros le m² faisant de l’île de la Cité l’un des endroit les plus chers de la planète.

Une île musée appelée officiellement « L’île Monument ».
La question qui se pose, au-delà des aspects religieux consistant à savoir si des messes continueront ou pas à être célébrées à Notre-Dame, c’est bien le sujet des sous. Des très gros sous!

Parce qu’en filigrane, ce que j’évoque ici, c’est une possibilité de « privatiser » ce patrimoine et de dépecer des propriétés d’Etat de très grandes valeurs. Comme la Grèce a vendu ses îles, nous pourrions assister prochainement à une forme de mise en vente de l’île de la Cité.

Si le projet peut évidemment se discuter, et je n’y suis pas en soi opposé, au contraire, exploiter la mâne touristique est une bonne idée, j’aimerais savoir où vont aller les sous… Parce que rien n’empêche l’Etat, propriétaire, de réaliser les travaux nécessaires et de louer à des exploitants privés en restant propriétaire et en percevant des loyers plantureux qui alimenteraient les caisses de l’Etat et profiteraient ainsi à tous.

J’ai comme dans l’idée que l’on va plutôt vendre à vil prix, et c’est là qu’il va falloir regarder attentivement ce qu’il se passera… mais pas que!!

Projet de loi pour contourner les règles sur les marchés publics!!
Comme nos mamamouchis sont assez prévisibles, il était assez évident qu’ils allaient essayer de tripatouiller un tantinet, mais comme les mamamouchis des générations précédentes s’étaient fait prendre tous les doigts dans le pot de confiture nous avions passé des lois et nous avons désormais tout un code et des règlements pour passer les marchés publics.

C’est très pénible la loi.

Pas pour nous les gueux, surtout le gueux en gilet jaune, ou le pauvre bougre qui roule à 53 au lieu de 50. Là la loi est dure et intraitable.

Pour ceux d’en haut, impossible de tripatouiller en toute sérénité juridique.

Du coup, vous savez quoi?

On va tout simplement légiférer par ordonnance (sans vote des députés) pour pouvoir se passer des règles des marchés publics. On est donc en train de nous préparer une impunité juridique pour masquer des fraudes potentiellement monstrueuses.

Voici ce que dit cet article de France Info « Ce projet de loi, qui vise à reconstruire la cathédrale en cinq ans, devrait permettre au gouvernement de passer outre des obligations en matière de marchés publics et de lois de protection du patrimoine ». Source ici

Peut-être que Macron est très pressé, les groupe du BTP aussi, et les copains des grosses entreprises qui auront les concessions également, mais moi, je vois une cathédrale de 850 ans… et je ne suis pas du tout pressé de la reconstruire et je ne vois pas pourquoi cela devrait forcément être fait en 5 ans…

Ha, si je vois, comme il faut reconstruire en 5 ans, et que l’on est pressé il faut se donner les moyens de le faire et donc retirer tous les gardes fou qui permettent globalement d’éviter que les abus ne soient vraiment trop importants.

Le délai de 5 ans fixé par le Président devient l’alibi justifiant toutes les lois d’exceptions.
Je suis évidemment ahuri par ce que je vois et par ce qui se dessine. Il n’y a qu’en faisant circuler cette information et ce type d’analyse que l’on peut forcer le gouvernement à reculer. Il faut dire « nous vous voyons ». « Nous comprenons ». Et je compte sur chacun de vous pour informer le plus grand nombre.

La seule manière pour que le poison du soupçon (ou du complotisme) ne s’insinue pas est de faire en sorte qu’il ne puisse pas y avoir de soupçon, par une véritable transparence, par une séparation des pouvoirs et par des systèmes de contrôles. Mais là ce n’est visiblement pas le cas!

Ce n’est plus une république, sinon bananière.

La république n’est plus, mais Vive la France.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

Voir aussi la mise à jour de l’article sur l’incendie.

 

Incendie criminel de Notre Dame de Paris

Et voilà ! Ils l’ont fait ! Ils ont osé…

Oui, je vous préviens, je ne vais certainement pas poser ici les questions idiotes de circonstance ! Pour cela vous avez Le Monde et BFMwc.

Est-ce un accident ? une étincelle ? Un court-circuit dû à la percussion de deux mouches en plein vol ?? Si les Français veulent encore avoir en tant que peuple quelques chances de survie spirituelle, la plus urgente chose à faire est qu’ils cessent d’être naïfs , il conviendrait même de dire de façon beaucoup plus précise et scientifique: d’être cons!

Le contexte:

Tous les jours en France, et cela montant crescendo, des églises sont la cible de malveillances diverses. Voir l’incendie de Saint Sulpice ou les dégradations toutes récentes de la basilique Saint Denis par un misérable coyote à foie jaune pakistanais… Des croix partout en France sont, soit cassées par des coyottes, soit « retirées » à la vue du public par des actions en justice de grands humanistes courroucés… Les media nous parlent des mosquées ou des synagogues. Les églises ? Arrêtez avec ça !

Tous les jours depuis l’expropriation des biens du Clergé par la République, le 2 novembre 1789,
les « troupes d’occupation mentale » (Philippe Murray) avancent leur pions plus ou moins vite suivant les époques et les circonstances. Ils sont toujours en avance sur la France historique chrétienne bien évidemment car, à la différence d’elle, ils disposent d’une arme qu’ils manient à la perfection depuis des temps fort reculés: le mensonge.

Saint Jean 8:44

« Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage? Parce que vous ne pouvez entendre ce langage. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement du monde. Il ne peut se tenir dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur et père du mensonge. Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. »

……… Et nous autres, « les Gentils », méticuleusement déchristianisés, sommes là, perpétuellement bouche bée et stupéfiés lorsqu »il se passe quelque chose »…

La plupart d’entre nous ne comprenons même pas quelle est la nature de nos ennemis… Nous portons même au pouvoir ses différents avatars, ses multiples têtes, au sein de leur géniale machine d’ingénierie sociale baptisée « république », et ce avec une constance désarmante, persuadés que nous sommes qu’ils sont bien là pour « présider au destin de la Nation ».

Le Bilan historique des criminels:

Une révolution sanglante basée sur le mensonge le plus éhonté et la Terreur, la première du genre avec copieux génocide en Vendée, en Provence, etc

Un combat sans merci contre l’Eglise du Christ et sa construction civilisationnelle millénaire admirable. Tout vestige doit à terme en être éliminé.

Un dictateur, enfant de la glorieuse Révolution, qui fait massacrer des armées entières de pauvres bougres pour « conquérir l’Europe » jusqu’en Russie. (Merci aux Russes de l’avoir mouché !)

Deux guerres « mondiales », ça s’améliore, avec des dizaines de millions de morts cette fois-ci et entre Européens, s’il vous plaît !

Aujourd’hui, un de leur chantier favoris est « Le choc des civilisations » auquel ils travaillent d’arrache-pieds car le résultats doit être à la hauteur de leurs espérances: En finir avec les nations historiques et prendre le contrôle final et définitif sur des peuples trépanés.

Le grand Joseph de Maistre (1753-1821) nous avait prévenu: (Parlant de la France au moment de la révolution)

« Jamais on ne vit alors nation plus facile à tromper, plus difficile à détromper, et plus puissante à tromper les autres. »

Tout cela pour remettre en contexte cet Incendie criminel de Notre Dame de Paris.

Ensuite, quelques évidences:

Non, on n’enflamme pas du coeur de chêne sur des poutres de section 40 x 40 centimètres avec un « court-circuit », une « étincelle », une « soudure », etc … Mais bon sang, si vous croyez à cette fable pour crétins dégénérés, faites donc l’essai chez vous ! Ce point est déjà suffisant pour prouver l’inanité de cette affirmation !

Voici une vidéo tout simplement parfaite:

Le témoignage de l’ancien architecte de Notre-Dame:

« En tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, Benjamin Mouton a été en charge de la cathédrale Notre-Dame de 2000 à 2013, pour laquelle il a piloté le lourd chantier de la détection incendie. Ce dernier n’a pas encore pu se rendre à l’intérieur de l’édifice, mais redoute déjà l’impact de l’incendie et de l’effondrement des charpentes sur la stabilité globale de l’édifice.

Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton affirme auprès de Bati-actu que ce dernier était « totalement incrédule » face à cet incendie qui aurait pu partir du chantier de rénovation, et que les soupçons pourraient se porter sur la « noue », où se croisent la nef et le transept de la cathédrale

« La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau »
« En 40 ans d’expérience, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte », affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.

« Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles », affirme-t-il auprès de Bati-actu.

« Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

Pour finir enfin, il convient de remarquer que les media nous parlent d’emblée de l’ouverture d’une enquête pour « dégradation involontaire » !

Ah oui ?? Mais quel toupet ! Comment diable peut-on parler de dégradation involontaire, alors que l’enquête n’est même pas commencée ?

Comme il est fort bien diagnostiqué : aucune possibilité de départ d’incendie accidentel compte tenu d’une part de la résistance du chêne, d’autre part du départ en plein coeur de la flèche… cheminée naturelle… mais sans aucune installation critique.

Au fait, vont-ils rechercher des traces de sodium et de magnesium ? parce que plusieurs éléments me laissent perplexe :

  1. fumée blanche très dense ? Du chêne bien sec (850 ans !) ne produit pas une telle fumée à lui seul!
  2. incendie semblant croissant avec la projection d’eau par les pompiers comme si l’eau l’alimentait…
  3. départ depuis la flèche avec extension très, trop symétrique.

Alors est-ce être « complotiste » ou être rationnel que de se poser des questions rationnelles ?

Petites choses amusantes pour détendre l’atmosphère :

Macron avait réussi à se mettre certains opposants « dans la poche » avec la dégradation de l’Arc de Triomphe (laissé sans protection).

Il avait réussi à se mettre « dans la poche » certains opposants grâce à la destruction des Champs-Elysées par des Black Blocs coordonnés par l’hélicoptère gris prétendu être un de ceux de la Gendarmerie (1500 Black Blocs présents… 0 interceptés – voir Challenges n°607)

Il lui restait à se mettre « dans la poche » d’autres opposants en faisant dégrader le Sacré Coeur, Troisième symbole fort.
Mais les Black-Blocs et leur hélicoptère de coordination avaient été repérés par des personnes ONU-sensibles le 16… Ces personnes avaient largement informé les acteurs présents le 23et contre toute attente, cette manif Gilets jaunes ne connut ni violences ni dégradations… Heureusement pour le Sacré Coeur.

Alors quid pour Notre Dame ?…


Nous sommes donc de toute évidence en présence d’un 11 Septembre « français », signé de surcroît, au début de la Semaine Sainte avant Pâques par cette même mafia transnationale de moins en moins masquée oeuvrant à la destruction des Nations par l’argent, le désordre, la guerre au besoin et le mensonge en tout.
Le but est toujours le même: « Ordo ab Chaos », car comme le disait si bien Sarközy de Naggi Bocksa, le nabot malfaisant: « Nous irons ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial, et personne, je dis bien personne ne nous en empêchera. » Vous n’avez pas encore saisi ?

Incendie criminel de Notre Dame de Paris.

Ne voyez-vous pas qu’ils se marrent ?

La scène se déroule lundi 15 avril, vers 21 heures. La cathédrale Notre-Dame de Paris est en proie à un incendie qui ravage sa charpente. Emmanuel Macron et Edouard Philippe décident alors de se rendre sur place pour constater l’ampleur des dégâts. Le président de la République marche aux côtés du premier ministre. Ils reprennent très vite leur sérieux face caméras. « Le Monde » et autres « décodeurs anti-complotistes » nous assurent que c’est une vue de l’esprit d’une intolérable mauvaise foi …

Certes.

 

Lettre d’un prêtre catholique au New York Time

 

*

« Cher Frère Journaliste :

Je suis un simple prêtre catholique. Je me sens heureux et orgueilleux
de ma vocation. Cela fait 20 ans que je vis en Angola comme missionnaire.
Je lis dans de nombreux moyens de communication, surtout dans votre
journal, l’amplification du thème des prêtres pédophiles, cela d’une
manière morbide, recherchant en détail dans la vie de ces prêtres, les
erreurs du passé.

Il y en a un, dans une ville des Etats-Unis, dans les années 70, un
autre, en Australie dans les années 80, et ainsi de suite, d’autres plus
récents….. Certainement tous des cas condamnables!

Il y a des présentations journalistiques pondérées et équilibrées,
d’autres amplifiées, remplies de préjudices et même de haine. Je ressens
moi-même une grande douleur pour le mal immense que des personnes qui
devraient être des signes de l’Amour de Dieu, soient un poignard dans la
vie d’êtres innocents. Il n’y a pas de paroles pour justifier de tels
actes. Il n’y a pas de doutes que l’Église ne peut être, sinon du côté des faibles, des plus démunis. Pour cette raison,

toutes les mesures que
l’on peut prendre pour la prévention et la protection de la dignité des
enfants seront toujours une priorité absolue.

Mais c’est curieux le peu de nouvelles et le manque d’intérêt pour les
milliers de prêtres qui sacrifient leur vie et la consacrent pour des
millions d’enfants, pour les adolescents et pour les plus défavorisés
aux quatre coins du monde.

Je pense qu’à votre journal, cela ne l’intéresse pas :

1) Que j’aie dû transporter beaucoup d’enfants faméliques par des
chemins minés à cause de la guerre en l’année 2002 depuis Cangumbe à Lwena (Angola), car ni le gouvernement ne pouvait le faire ni les ONG
n’y étaient autorisées;

2) Que j’aie dû enterrer des douzaines d’enfants morts à cause des déplacements de la guerre;

3) Que nous ayons sauvé la vie à des milliers de personnes au Mexique au moyen du seul centre de santé existant dans une zone de 90,000 km2 avec
la distribution d’aliments et de semences;

4) Que nous ayons pu y procurer l’éducation et des écoles dans ces dix
dernières années à plus de 110,000 enfants;

5) Cela demeure sans intérêt qu’avec d’autres prêtres, nous ayons eu à secourir près de 15,000 personnes dans les campements de la guérilla,
après qu’ils aient rendu les armes, parce que les aliments du gouvernement et de la ONU n’arrivaient pas;

6) Ce n’est pas une nouvelle intéressante qu’un prêtre de 75 ans, le Père Roberto, parcourt la ville de Luanda, soignant les enfants de larue, les conduisant à une maison de refuge, pour qu’ils soient désintoxiqués de la gazoline qu’ils aspirent en gagnant leur vie comme
lanceur de flammes;

7) L’alphabétisation de centaines de prisonniers n’est pas non plus une nouvelle;

8) que d’autres prêtres, comme le Père Stéphane, organisent des maisons de passage pour que des jeunes maltraités, battus, et même violés y
trouvent refuge;

9) Non plus, que le Père Maiato avec ses 80 ans, visite les maisons des pauvres, une à une, réconfortant les malades et les désespérés;

10) Ce n’est pas une nouvelle que plus de 6,000 parmi les 40,000 prêtres
et religieux actuels aient quitté leur pays et leur famille pour servir leurs frères dans une léproserie, dans les hôpitaux, les camps de réfugiés, des orphelinats pour enfants accusés de sorcellerie ou
orphelins de parents morts du sida, dans des écoles pour les plus pauvres, des centres de formation professionnelle, des centres d’accueil pour les séropositifs…… etc……

11) Ou, surtout, dépensant leur vie dans des paroisses et des missions,motivant les gens pour mieux vivre et surtout pour aimer;

12) Ce n’est pas une nouvelle que mon ami, le Père Marc-Aurèle, pour sauver des enfants pendant la guerre en Angola, les ait transportés de Kalulo à Dondo et qu’en revenant de sa mission, il ait été mitraillé en
chemin; que le Frère François avec cinq Dames Catéchètes, soient morts dans un accident, en allant aider des régions rurales les plus reculées
du pays;

13) Que des douzaines de missionnaires en Angola soient morts par manque de moyens sanitaires, à cause d’une simple malaria;

14) Que d’autres aient sauté dans les airs à cause d’une mine, en visitant leurs fidèles; en effet, dans le cimetière de Kalulo sont les tombes des premiers prêtres qui sont arrivés dans la région…… aucun ne dépassait les 40 ans………. ;

15) Ce n’est pas une nouvelle, celle de suivre un Prêtre « normal » dans son travail journalier, dans ses difficultés et ses joies, dépensant sa
vie sans bruit en faveur de la communauté qu’il sert.

La vérité, c’est que nous ne cherchons pas à faire les nouvelles, sinon simplement apporter la  » Bonne Nouvelle « , cette Nouvelle, qui sans
bruit, a commencé le matin de Pâques. Un arbre qui tombe fait plus de bruit que mille arbres qui poussent.

On fait beaucoup plus de bruit pour un prêtre qui commet une faute, que pour des milliers qui donnent leur vie pour des milliers de pauvres et d’indigents.

Je ne prétends pas faire l’apologie de l’Église et des prêtres.

Un prêtre n’est ni un héros ni un nevrotique. C’est simplement un homme
normal qui, avec sa nature humaine, cherche à suivre Jésus et à Le servir dans ses frères.

Il y a des misères, des pauvretés et des fragilités comme chez tous les
êtres humains; mais également il y a de la beauté et de la grandeur comme en chaque créature……… Insister d’une manière obsession-née
et persécutrice sur un thème douloureux, en perdant de vue l’ensemble de l’œuvre, crée véritablement des caricatures offensives du sacerdoce
catholique, par lesquelles je me sens offensé.

Je te demande seulement, ami journaliste, de rechercher la Vérité, le Bien et la Beauté. Cela fera grandir ta profession.

Dans le Christ,

P. Martin Lasarte

« Mon passé, Seigneur, je le confie à ta Miséricorde; mon présent à ton Amour; Mon futur à ta Providence ».

 

Intellectuels pièges à cons !

intellectuels pièges à cons !

*

J’aime bien parfois répercuter ici un texte de ce brave Michel Onfray… Pas que je sois d’accord avec lui sur tout, loin de là, mais dans le désert de l’univers lisse des media cosmopolites, il arrive à laisser filtrer quelque bribes croustillantes et exprimées dans un beau français simple et classique…

Voici donc un texte destiné aux très hautes consciences de nos intellectuels autorisés (de gauche évidemment, puisque chacun sait depuis la maternelle que la drouaate, c’est l’abomination de la désolation!)

 

« Ils sont rares les intellectuels lucides alors que la clairvoyance et le discernement devraient être leurs qualités principales. Sauf quelques très rares exceptions, songeons à Albert Camus, leur histoire est remplie de preuves qu’ils se montrent, niais, naïfs, ingénus, simples, sinon simplets, crédules, innocents, nigauds, dadais, benêts…

Jadis, cette candeur générait des charniers: de la Terreur de 1793 à Pol-Pot, en passant par les fascismes bruns ou rouge, sans oublier le maoïsme, ou bien encore aujourd’hui le compagnonnage avec l’islam politique terroriste, les “intellectuels” ont été nombreux à cautionner les entreprises politiques sanglantes. Mais comme on ne demande jamais de compte aux compagnons de route intellectuels des génocidaires, ils peuvent continuer à se tromper sans risquer l’opprobre.

Aujourd’hui, l’errance des intellectuels, tout le monde s’en moque -pour ne pas dire: tout le monde s’en fout… Du moins, il me faut préciser: l’errance des intellectuels de gauche, tout le monde s’en fout. Car l’errance d’un intellectuel de droite est une marque infamante pour toute la vie: par exemple, Alain de Benoist paie d’avoir sympathisé avec la cause de l’Algérie française il y a un demi-siècle, même après avoir plaidé la jeunesse. Mais ni BHL ni Sollers, ni Badiou ni Kristeva, ni Le Bris ni July, ni Finkielkraut, ni Bruckner, aujourd’hui politiquement propres sur eux [1], n’ont eu à souffrir d’avoir été maoïstes ou gauchistes, sans jamais, eux, avoir avoué qu’ils ont erré… Deux poids, deux mesures.

Aujourd’hui, les intellectuels qui n’ont pas appelé à voter Macron aux dernière présidentielles sous prétexte que Marine Le Pen représentait le danger fasciste, nazi, antisémite, hitlérien et apocalyptique, sont à compter sur les doigts d’une main déjà amputée de quelques doigts…

Récemment, le Prince libéral a convoqué une soixantaine d’intellectuels chez lui, à l’Élysée. France-Culture, radio d’État nationale, sinon radio de l’État national, a été priée de servir de porte-voix hexagonal à la rencontre. Ce qu’elle a fait, sachant habituellement si bien le faire. Mais France-Inter aurait tout aussi bien fait l’affaire, mais c’eut été moins classe… Les règles de la convocation n’ont pas été données. Certains qui n’ont peut-être pas même été invités ont fait savoir bruyamment qu’ils avaient refusé. D’autres, qui l’ont été, ont eux-aussi fait du bruit pour faire savoir qu’ils ne s’y étaient pas rendus. Mais, de la même manière que Satie disait de Ravel, qui avait refusé la Légion d’honneur qu’on lui avait attribuée sans son accord, que “toute sa musique l’acceptait”, d’aucuns avaient une pensée qui méritait d’être invitée, la preuve, ils ont été conviés [2]…

Née en 1962, Dominique Méda a fait partie de ceux qui ont reçu le carton. La dame coche les bonnes cases du trajet comme il faut dans le monde intellectuel: hypokhâgne et khâgne à Henri-IV, normalienne, agrégée de philosophie, énarque, inspectrice générale des affaires sociales, responsable de missions, directrice de recherche au Centre d’études de l’emploi, thèse d’habilitation, professeur de sociologie à l’université, directrice de choses importantes cachées derrière leurs sigles, officier de la Légion d’honneur, rubricarde au journal Le Monde, conseillère de Benoît Hamon aux dernières présidentielles, membre associée à l’Académie royale de Belgique. De l’université à l’Académie belge, en passant par l’ordre national de la Légion d’Honneur, cette dame est un intellectuel labellisé haut-de-gamme. Normal que Macron l’invite…

Mais voici t’y pas que cette dame capée en signes extérieurs d’intelligence signe une tribune dans Libération, un journal capé en anciens signes d’intelligence, parce qu’elle estime, dit le titre, “que la rencontre s’est transformée en faire valoir présidentiel”. Tudieu! Hypokhâgne et khâgne à Henri-IV, agrégation de philosophie, ouvrage cosigné avec Jacques Derrida, poste de professeur à l’université, médaille de la Légion d’honneur, distinguée par le roi des Belges, membre de ceci et membre de cela, et pas capable de comprendre avant cette réunion qu’elle serait un marché de dupe: voilà bien une contre-performance intellectuelle!

Elle a constaté qu’il n’y a pas eu de débat -elle n’a pas vu que depuis des mois il n’y avait pas de débats là où Macron et les siens, avec l’aide des journalistes en meute, l’annoncent? Elle écrit: “J’avais accepté l’invitation à participer pensant -bien naïvement (sic) je l’avoue (sic)- que nous pourrions au moins de temps en temps rebondir pour, à notre tour, répondre au président de la République. Mais il n’en a rien été”. Faute avouée est à moitié pardonnée -mais à moitié seulement.

Dominique Méda parle d’un “non débat avec les intellectuels”. Faut-il qu’elle expérimente elle-même l’enfumage pour constater enfin qu’elle a fait les frais de la même méthode que les élus et les autres Français convoqués par les préfectures -ce qui n’est pas étonnant! N’avait-elle pas vu que cette logorrhée narcissique du Président était sa signature? De deux choses l’une: soit Dominique Méda ne s’est pas tenue au courant de l’actualité depuis le début des gilets-jaunes, donc depuis quatre mois, soit elle n’y a rien compris. Dans les deux cas, pour une sociologue estampillée par l’institution, c’était une erreur de n’avoir pas regardé au moins l’un de ces multiples faux débats; soit, pour une philosophe estampillée par l’institution, c’était une erreur de n’y avoir pas vu la stratégie d’enfumage. A quoi servent hypokhâgne et khâgne à Henri-IV? Normale Sup et l’agrégation? Le doctorat et la chaire universitaire? Les médailles distribuées par la république française ou la monarchie belge? Cette dame fit partie de la matière grise collective de Benoit Hamon aux dernières élections présidentielles -on comprend mieux le score…

Une soixantaine d’intellectuels invités pour un temps de parole limité, même long, c’était l’assurance pour l’intellectuel invité de parler deux minutes… Pas besoin d’être agrégé de philosophie et professeur de sociologie à l’université pour effecteur un calcul aussi simple. Un certificat d’étude old school aurait suffi.

Or, dit la dame, des intellectuels capables de synthétiser leur intervention en deux minutes, ça n’existe pas: la corporation n’a pas la modestie de la concision. Dès lors, ce ne furent que soliloques d’une poignée d’intellectuels ayant monologué petitement face à un président de la République qui a monologué longuement. Dominique Méda s’étonne de pareils mœurs… Je m’étonne de son étonnement.

Elle écrit: “En le regardant parler pendant huit heures, écoutant certes chacun et répondant en effet aux questions, j’ai compris à quoi nous servions. Comme les maires, nous constituions le mur sur lequel le Président faisait ses balles, jouissant de la puissance de ses muscles et de la précision de ses gestes et donc de la propre expression, cent fois ressentie, de son moi. Nous étions son faire-valoir”. Ben oui… Mais, avec leur bon sens et leur intelligence, nombre de gilets-jaunes bac moins 5 auraient pu éclairer la dame avant qu’elle ne se mette sur son trente-et-un et lui dire qu’en effet le président de la République avait l’intention de jouer avec ces intellectuels comme le chat avec la souris…

Pas besoin de huit heures de prise d’otage selon sa formule, pour comprendre ce qu’on pouvait savoir avant même de se déplacer…

Dominique Méda s’étonne ensuite que, sur le terrain économique, social et fiscal, sur les dépenses publiques et les impôts, Macron se soit montré ce qu’il est: un homme de la gauche de droite, celle de Libération ou du Monde auquel elle donne un texte chaque mois. Emmanuel Macron n’a pas caché avant l’élection que c’était son programme. Laurent Joffrin avait invité à y souscrire en titrant entre les deux tours: “Faites ce que vous voulez mais votez Macron” (6-7 mai 2017). Ils ont voté Macron, il parait saugrenu de s’étonner aujourd’hui qu’il applique son programme!

L’agrégée de philosophie s’étonne ensuite que Macron n’ait pas apporté de solutions à la crise des gilets-jaunes au cours de cette soirée: elle aurait aimé qu’à la faveur de cette initiative il fournisse de quoi en sortir. Quoi donc? “C’est une action symbolique (sic) qui serait nécessaire pour apaiser la crise.” Bon sang de bonsoir! Comment peut-on être à ce point à côté de la plaque! Une action symbolique!

Mais les gilets-jaunes ne veulent pas des actions symboliques, ils aspirent à des choses éminemment concrètes et dûment revendiquées: qu’on cesse de les mépriser et de les oublier dans la vie sociale, économique, institutionnelle, politique française; qu’on arrête de se moquer d’eux, de jeter à la poubelles leur vote quand il n’est pas maastrichtien; que la démocratie représentative qui ne les représente pas, si tant est qu’elle les ait jamais représentés, laisse place à une démocratie directe; que le référendum d’initiative citoyenne soit l’instrument de cette révolution institutionnelle; qu’on revalorise leur pouvoir d’achat; qu’on en finisse avec le jacobinisme au profit d’un girondinisme à même de donner vie aux provinces oubliées par Paris: du réel concret, très concret, et pas du tout du symbolique, ce qui est vraiment du hochet d’intellectuel…

Au-delà du symbolique, Dominique Méda donne sa proposition pour sortir de la crise, celle qu’elle n’aura pas eu le temps de murmurer à l’oreille du Président, qui n’en aurait de toute façon rien fait: investir massivement et, pour ce faire, augmenter le déficit. Autrement dit: emprunter pour financer la transition écologique. En d’autres termes: s’endetter pour sauver la planète. Il est certain que pareil projet serait à même de stopper immédiatement le mouvement des gilets-jaunes, de tarir la source de leurs manifestions afin que les dominants puissent reprendre comme avant leur vie bien tranquille, chacun à sa place: les intellectuels et le pouvoir à l’Élysée et les gilets-jaunes au fond de la mine…

Michel Onfray

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[1] Constatons d’ailleurs sans surprises que ces gauchistes d’hier n’ont la plupart du temps que mépris aujourd’hui pour les gilets-jaunes…

[2] Frédéric Lordon, Gérard Noiriel, Thomas Piketty, Alain Finkielkraut, Sylviane Agacinski, Patrick Boucheron, Mickaël Foëssel, Dominique Wolton, Pierre Rosanvallon, Olivier Roy, Élisabeth Badinter, Hélène Carrère d’Encausse, Boris Cyrulnik, Marcel Gauchet, Rémi Brague, Gilles Kepel, Monique Canto-Sperber, Luc Boltanski, Frédéric Worms, que des gens bien! Michel Wiervorka, qui ignore que le A dans un rond est un sigle anarchiste et prétend que c’est au contraire un signe de reconnaissance de l’extrême-droite, s’y trouvait aussi!

Que des gens bien vous dis-je…

 

 

Aucun avion dans les tours le 11 Septembre

aucun avion dans les tours

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La clé pour comprendre le 11 Septembre: Aucun avion dans les tours !

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La compréhension de la technologie permettant le processus de la vidéo nous donne la clé à la fois des possibilités de cette technologie, mais aussi de ses limites.

Le spécialiste qui étudie cela de près s’aperçoit alors qu’il n’y a aucun avion qui s’écrase dans les tours. Il s’agit donc bien d’une démolition.

Ace Baker offre un chèque de 100.000 $ à quiconque lui procure une vidéo d’origine où figurerait le moindre avion !

Cette vidéo est en anglais, mais je pense qu’au vu des images, il est tout à fait possible de comprendre la supercherie des trois chaines TV américaines qui nous ont mis dans la tête les images d’avion percutant les tours… Et… Oui, ils sont très forts !

A vous de juger !

 

 

Vérité sur le 11 Septembre

vérité sur le 11 septembre

 

La vérité sur le 11 Septembre a été clairement établie ou soutenue par signature de 3000 architectes et ingénieurs aux USA (https://www.ae911truth.org/)

Ils ont quelques pages de leur site traduites en français:

Extraits:

« Notre matériel traduit est composé d’articles, de vidéos, de DVD et de brochures à imprimer.

Nous vous invitons à partager cette information, disponible en français sur notre site, non seulement avec votre entourage immédiat, mais aussi avec les médias, les législateurs, les représentants de la loi, les tribunaux, les enseignants et évidemment les architectes, ingénieurs et scientifiques qui vivent dans votre pays et qui parlent le français.

Les preuves scientifiques sont à la portée de chacun. Peu importe le pays, la culture, le parti politique ou la langue parlée, chacun doit pouvoir accéder à l’information scientifique qui mènera à une véritable enquête sur les événements du 11 septembre.

https://www.ae911truth.org/languages/french

 

 

Même le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

l'escroquerie du climat

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Même le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

 

Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique !

Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.

Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.

De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations. Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !

Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur. C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !

Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.

Ainsi, les activistes du mouvement écolo-gauchiste révolutionnaire suscitent la peur dans le public et répandent des fausses nouvelles que rediffusent les médias. Tout ce petit monde vit grassement de la rente dorée que représentent les subventions massives au profit des politiciens verts et des « scientifiques » avec de l’argent du gouvernement pour créer la peur chez les gens. Moore rapporte que des scientifiques participent de leur plein gré au dogme réchauffiste, car ils vivent essentiellement des subventions gouvernementales.

Le mensonge du consensus de 99 % [parmi les scientifiques] qui partagent des convictions au sujet du changement climatique, c’est la meilleure explication de l’absence de toute preuve indiscutable. La science ne repose pas sur des opinions qui voudraient justifier des erreurs unanimement partagées.

Moore cite après bien d’autres (Claude Allègre et Serge Galam en France) la croyance générale que la Terre était au centre de l’univers. Quand Galileo a découvert que le soleil était au centre du système solaire et que la Terre tournait autour de lui, il a été condamné par la science des réchauffistes de l’époque.

Moore a conclu :

« Quand la superstition et une combinaison toxique de religion et d’idéologie politique prennent le dessus sur la science, il n’y a pas de vérité scientifique.

C’est un canular absolu et une arnaque. »

Régis Crépet : Non, le réchauffement climatique n’est pas évident pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire.

Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre. C’est un raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le Giec se base sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère depuis le début du XXe siècle et la hausse des températures planétaires mais sans jamais apporter la preuve du lien de cause à effet. Si la communauté scientifique admet que le réchauffement climatique « a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique », elle reconnaît que ce réchauffement a pu avoir une origine cyclique naturelle. Pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. « N’oublions pas la variabilité naturelle du climat par cycles depuis bien avant notre ère contemporaine », rappelle Régis Crépet.

Malgré la version officielle émise dans les conclusions du Giec, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet ? Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu bien avant notre époque industrielle ?

Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique. Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange » et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an ! Les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (Giec) à l’horizon 2100. Selon la NOAA-GISS, la hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.

L’alarmisme climatique est la plus grande fraude scientifique.

Walter Cunningham, astronaute d’Apollo VII, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques. L’alarmisme climatique est la plus grande fraude dans le domaine de la science et la revendication d’un consensus à 97 % est absurde ! Je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Si on s’en tient à l’hypothèse réchauffiste, pas une théorie, mais une hypothèse, ils dénoncent des niveaux de CO2 anormalement élevés pour faire peur aux gens par de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus à se faire de l’argent sur le dos des contribuables. Il faut savoir qu’en ce moment, le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas des derniers 600 à 800 millions d’années. C’est pourquoi, il dénonce l’alarmisme climatique comme la plus grande fraude du domaine scientifique !

Marc Mennessier : Le Giec n’est pas le garant de la vérité scientifique. Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues (grassement subventionnés).

400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des accusations mensongères portées contre eux par les climato-sceptiques !

Le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre à ces accusations:

« Je suis attaqué de manière profondément fausse et choquante. Je partage cet honneur avec Claude Allègre qui n’a pas besoin de moi pour défendre son point de vue. Si une partie de nos conclusions sur la question de l’origine du réchauffement climatique sont proches, il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens. Je me bornerai à répondre aux accusations explicitement portées contre moi comme celle de porter des accusations mensongères à l’encontre de la communauté des climatologues ! Il faudrait d’abord définir qui sont ces climatologues ! Jean Jouzel et Hervé Le Treut sont des spécialistes de géochimie et de modélisation numérique. Ils confondent (volontairement ?) leur communauté avec le Giec. C’est lui dont je critique le mécanisme. Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la vérité scientifique. Celle-ci ne peut pas être le résultat d’un vote démocratique ! Un seul avis contraire peut être exact.

Le Giec ne peut décréter la vérité officielle soi-disant scientifique qu’avec un consensus illusoire d’opinions et sans aucunes preuve scientifique !

Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de censure idéologique en sciences ! La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n’est pas d’envoyer une pétition (aux généreux dispensateurs de riches subventions) mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication.

Comme l’écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, le fait que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer (justifier) leurs positions revient à reconnaître le manque d’indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, ce qui obère la fiabilité des travaux du Giec ! »

Moralité, avec l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans est de retour !

Thierry Michaud-Nérard
Publié sur le site Riposte Laïque le 22 mars 2019

 

L’autochtonisme, seule stratégie possible face au Grand Remplacement

autochtonisme

 

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Je reproduis ci-dessous in extenso le dernier article d’Antonin Campana sur son excellent blog: « Terre autochtone »

 

L’autochtonisme, seule stratégie possible face au Grand Remplacement
Ce blog a voulu présenter, tout au long de ses quatre années d’existence, une conception qui pose en principe que tous les peuples jouissent également d’un droit à l’existence, d’un droit à l’autodétermination et d’un droit naturel à la prééminence politique, religieuse et culturelle sur leurs terres ancestrales. Cet ensemble de droits fondamentaux non discriminant et d’application universelle concerne tous les peuples, c’est-à-dire aussi les peuples autochtones européens. Nous considérons comme admis que les peuples autochtones européens ne sont ni des sous-peuples, ni des non-peuples et que prétendre le contraire procède d’une pensée discriminatoire et raciste.

Les droits fondamentaux dont nous parlons charpentent notamment la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones (2007). Ce corpus juridique onusien est donc une référence importante de la dynamique politique que nous avons nommée « autochtonisme ». Car dans notre esprit, l’autochtonisme européen n’est pas seulement une « pensée » ou une idéologie : c’est aussi, et peut-être surtout, une dynamique fondée sur notre droit à l’existence, une stratégie dont l’objectif est d’assurer la résilience en même temps que la libération des peuples autochtones européens. En voici un exposé succinct.

Reconnaître l’ennemi principal
Nous posons comme un fait le processus toujours en cours d’effacement et de remplacement de notre peuple sur ses terres ancestrales. Ce processus conditionne notre « état présent », celui que l’on subit et qu’il s’agit de modifier. A partir de ce constat sur l’état présent, nous devons fixer une stratégie qui nous mènera de l’état présent à l’état désiré. Cependant, avant d’élaborer une planification stratégique, il convient de bien identifier les causes du processus et surtout, au risque de servir les intérêts de l’ennemi, de ne pas les confondre avec ses conséquences : toute erreur de ce type ferait courir le risque de stratégies inefficaces, voire néfastes. Par exemple, certains considèrent que l’islam est l’ennemi principal. En bonne logique, semble-t-il, ils invoquent pour le contrer les « valeurs républicaines », telle la laïcité. Or précisément, la laïcité est conçue par les républicains comme un moyen ou une “méthode“ (Manuel Valls) permettant de faire vivre ensemble musulmans, juifs et chrétiens (entre autres). Autrement dit, la laïcité conditionne la viabilité d’un modèle de société ouvert aux courants migratoires, donc à l’islam. Elle garantit que tout se passera bien et lève les objections quant à l’installation de masses extra-Européennes dans le corps politique. La laïcité, et d’une manière générale les valeurs « universelles » de la République, sont la légitimité d’une ingénierie sociale qui réinitialise la société afin que plus rien dans celle-ci ne s’oppose à l’intégration de populations étrangères. Si l’immigration de peuplement est un fait, le régime construit sur les valeurs dont nous parlons est une cause et l’islamisation une conséquence.

Or, l’ennemi principal se niche dans les causes, jamais dans les conséquences. Qui est responsable du Grand Remplacement ? Le régime qui est à la manœuvre et le nie, ou l’immigré qui bénéficie des politiques d’immigration que ce régime a mis en place ? La République qui est à l’origine de notre situation présente et qui la verrouille, obérant ainsi notre destin, ou l’étranger qui n’est qu’un pion dans un jeu destiné à nous effacer ? Le marionnettiste ou la marionnette ?

On devrait connaître la réponse, tant elle paraît évidente. La République qui a volontairement configurer l’organisation et le fonctionnement de la société de manière à la rendre compatible avec des hommes venus de toute la planète, la République qui a provoqué et laissé faire l’immigration de masse, la République qui a installé, intégré et naturalisé des millions d’immigrés, est la seule responsable. Voici dans les grandes lignes (ce texte est un texte de synthèse, le lecteur peu accoutumé à notre propos se reportera utilement aux autres articles de ce blog), voici donc rapidement pourquoi le Grand Remplacement participe de la nature du régime en place et n’est en aucun cas un phénomène accidentel :

La République est fondée sur le « pacte républicain » et le pacte républicain est fondé sur le principe d’universalité : celuici est ouvert à tous les hommes « sans distinction d’origine, de race ou de religion ».
La République considère que le « peuple français » est un agrégat d’individus individuellement associés par un contrat. Ainsi les Français de souche se seraient contractuellement associés le 14 juillet 1790 durant la fête de la Fédération. Ce jour là, selon la mythologie républicaine, le pacte républicain aurait transféré un à un (individuellement) chaque Français d’une nation ethnique, organisée selon des valeurs identitaires, à une nation civique, organisée selon des valeurs universelles (nous avons appelé ce processus à la fois mythologique et juridique, le « Grand Transfert »). A ce « corps d’associés » dont l’organisation et le fonctionnement reposent sur des valeurs universelles, c’est-à-dire des valeurs acceptables par tous les hommes, se seraient « individuellement » joints les Juifs, puis des immigrés de toute provenance. Ces multiples transferts donneront le corps politique métissé que l’on connaît aujourd’hui.
Le républicanisme postule l’universalité de la République : le modèle républicain de société est applicable en tous lieux (d’où l’entreprise coloniale républicaine), et permet de faire « vivre ensemble » tous les hommes, sans distinction. Dès lors, puisque le vivre tous ensemble est possible, rien ne justifie le « repli sur soi » et la fermeture des frontières, si ce n’est un « racisme » et une xénophobie irrationnels, d’autant plus, on le sait, que l’immigration est un enrichissement. Evidemment, on peut s’interroger sur le caractère véritablement universel des valeurs de la République et sur leur capacité à faire « vivre tous ensemble » juifs, chrétiens et musulmans. Mais cela revient à remettre ouvertement en cause le pacte républicain qui prétend cimenter l’agrégat artificiel sur la base de ces valeurs. C’est une règle : en République, toute contestation des politiques d’immigration exposera mécaniquement au soupçon d’être raciste et de n’être pas républicain. Cette règle tient à la nature même du régime, à ses fondamentaux, à sa cohérence interne… et non à ses représentants du moment !
La République est une entreprise d’ingénierie sociale chargée d’installer un modèle de société qui soit conforme aux intérêts de la classe dominante. Cette entreprise progresse en imposant de nouvelles lois. Celles-ci disloquent systématiquement l’ordre social ancien (la famille, les corporations, les communautés, les religions, les nations, les peuples, les sexes…) et instaurent un nouvel ordre fondé sur un désordre sociétal facile à contrôler et à exploiter (individus dissociés, mélangés et opposés ; populations hétérogènes ; individus standardisés ; matérialisme ; relativisme identitaire ; destruction des boussoles culturelles, généalogiques, religieuses, sexuelles…). La République a été conçue par une classe sociale apatride. Elle n’est qu’un outil dont la fonction est de « régénérer » la société à l’avantage de cette classe. La République se confond aujourd’hui avec le Système (mondialiste). Elle en est un aspect en même temps que la matrice.

Comprendre la force et les moyens de l’ennemi principal
Aucune action ne sera couronnée de succès si l’on n’a pas compris les bases mythologiques qui structurent le régime en place et légitiment le modèle de société qu’il entend imposer (foi dans l’idéologie du contrat, croyances en des « valeurs » et en des fonctionnements sociaux qui seraient acceptables par tous les hommes, croyance en l’unité du genre humain, foi en l’Homme standardisé par la citoyenneté juridique, etc.). Cependant, désigner la République comme l’ennemi principal et surtout comprendre en quoi la République (ou le Système) est l’ennemi principal ne suffit pas pour engager une action efficace, voire qui ne soit pas carrément suicidaire. Car il faut encore et préalablement mesurer les rapports de forces et avoir notamment une juste idée de la puissance, des méthodes d’action et des moyens de rétorsion de l’ennemi.

Tout d’abord, celui qui estime que la République-Système est un régime politique démocratique et loyal commet une grave erreur. La République est un système représentatif qui assure automatiquement le pouvoir à la classe dominante. Nous l’avons déjà expliqué, nous ne reviendrons pas sur ce point. Ensuite, la République est un système totalitaire qui occupe officiellement tout l’espace social : l’Etat est républicain, la police est républicaine, les armées sont de la République, l’Ecole est républicaine, les médias sont républicains, la Justice est républicaine, l’espace social est contrôlé par des lois républicaines, etc. Enfin, trait typique des systèmes totalitaires, il est formellement défendu de contester le régime en place. La Constitution, le code pénal et diverses autres lois interdisent ainsi que l’on remettent en cause la forme républicaine de gouvernement.

Concrètement, cela veut dire quoi ? Concrètement, cela veut dire que la classe dominante a mis à son service les forces armées, la police, la magistrature, l’Enseignement, les médias et tout l’arsenal législatif nécessaire pour défendre ses intérêts de classe. Concrètement, cela veut dire que l’Etat a fait sécession du peuple, qu’il s’est tourné contre la nation autochtone et qu’il lui est devenu étranger, bref, qu’il doit être considéré comme un Etat plus « colonial » que « national ».

L’Etat est l’outil de la classe dominante. C’est lui qui met en œuvre les politiques d’immigration et qui construit la société métissée. C’est lui qui réprime la contestation et qui protège la classe dominante. Sans lui, rien ne serait possible. L’Etat républicain n’est pas notre ami, nous sommes ses indigènes colonisés et nous devons agir en tant que tels, en ayant une claire conscience de notre statut subordonné.

Un peuple autochtone emprisonné dans un corps d’associés
La république-Système a engendré un « corps d’associés » (Sieyès) multiethnique. Ce corps d’associés improprement appelé « peuple français » ou « France » enferme comme une gangue le peuple autochtone. Si en 1790 tous les « associés » étaient des Autochtones, aujourd’hui les Autochtones deviennent minoritaires dans le corps d’associés. Cela signifie que, « démocratiquement » et selon la loi du nombre, le destin des Autochtones dépendra de plus en plus largement des choix, des préjugés, des ressentiments et de la puissance des populations allochtones installées au milieu d’eux.

Cela signifie aussi que le peuple autochtone de ce pays ne dispose pas de lui-même. Le peuple autochtone est un peuple dominé et nié : la République ne le reconnaît pas en tant que tel, ne lui accorde aucun droit en tant que tel, ne le distingue pas. Le peuple autochtone, emprisonné dans le corps d’associés multiethnique, perd quant à lui la conscience de ses intérêts, de sa spécificité et de son identité. Il se livre au régime qui a construit la gangue carcérale qui l’étouffe. Pour le moment, manipulé sans avoir connaissance de cette manipulation, il est « sous contrôle ». Le destin qui lui est promis par le régime-Système, et que l’Etat colonial est chargé de mettre en œuvre, est tout tracé : avant peu, il sera totalement dissous dans le corps d’associés et n’existera plus qu’à travers quelques individus faisant figure de bêtes de foire. Alors que faire ?

Que faire ?
Nous venons de décrire la situation présente et de déterminer l’ennemi principal, celui qui est en l’occurrence à l’origine de notre condition et qui s’efforce de la maintenir, dussions-nous disparaître. Cette situation est épouvantable, tant le rapport de force nous est défavorable. Cependant, d’autres peuples en ont connu de similaires. Certains ont disparus (voyez les Hawaïens, les Pieds-noirs ou les Gorani), d’autres au contraire ont su prospérer. En observant ces derniers (les Juifs, les Roms, les Albanais du Kosovo, les Druzes, les Amish…), il nous est possible de reconnaitre un certain nombre de points communs qui les distingue des peuples moins résilients. Ces « règles de résilience » sont :

Une forte endogamie
La pratique de l’entre-soi et le refus du « prosélytisme »
Le refus de l’assimilation
L’affirmation d’une conscience ethnique
Une double règle de moralité (une règle qui s’applique aux Prochains, une règle qui s’applique aux Lointains)
La capacité à se défendre
Et surtout, la mise en place d’institutions parallèles à celles du groupe dominant
Considérons que le corps d’associés allochtones, la gangue, soit un « peuple étranger » et que le système politique qui nie l’existence du peuple autochtone et garantit la présence étrangère dans notre pays soit un régime de domination. Il y a encore face au corps d’associés englobant une part significative du peuple autochtone qui ne renonce pas aux pratiques endogames et à l’entre-soi, qui refuse de perdre son identité, qui a une claire conscience de sa lignée, qui pratique au besoin une solidarité discriminante (les « Français d’abord ») et qui est même capable de se défendre. Cette fraction (toujours importante selon nous) du peuple autochtone ressemble donc sur de nombreux points au peuple pied-noir en Algérie. Pourtant, nous savons que ce peuple pied-noir a disparu. Que lui manquait-il pour continuer à exister ? En fait, les Pieds-noirs ont confié leur destin à la République et ont renoncé à s’organiser « en parallèle ». Avoir plusieurs millions d’individus dissociés qui pratiquent isolément les six premières règles de résilience est très bien mais à terme ne sert à rien. La cause est perdue si ces individus ne s’associent pas, ne s’organisent pas, ne créent pas des institutions parallèles susceptibles de leur donner une unité, donc une force, bref, s’ils ne s’émancipent pas du régime de domination.

Donc, à la question « Que faire ? », l’Histoire nous apporte cette réponse : il faut rassembler les Autochtones qui pratiquent spontanément les six premières règles de résilience, puis appliquer la septième règle, c’est-à-dire créer un Etat parallèle autochtone qui résistera au régime de domination et combattra pour les droits autochtones, y compris, in fine, le droit du peuple autochtone à disposer de lui-même.

Comment faire ce Grand Rassemblement et cet Etat parallèle ?
Nous proposons une double stratégie.

D’un part, une stratégie de conservation qui assurera la résilience du peuple autochtone.

D’autre part, une stratégie de libération qui assurera l’autonomie du peuple autochtone par la conquête de droits collectifs toujours plus importants.

La stratégie de conservation et la stratégie de libération composent deux stratégies intermédiaires qui s’inscrivent dans une stratégie globale dont l’objectif final est la libération du peuple autochtone, c’est-à-dire son émancipation du corps d’associés multiethnique dissolvant. La stratégie de conservation est la première stratégie à mettre en œuvre. L’urgence est d’abord de conserver tout ce qui peut l’être (notre peuple bien sûr, mais aussi sa culture, sa spiritualité ou sa manière de vivre). Ensuite seulement, peuvent être envisagées des actions de reconquêtes libératrices. Nous disons « ensuite », car il nous faut d’abord forger l’outil avant de pouvoir l’employer. Mais, nous ajouterons aussi « parallèlement », car la stratégie de conservation, c’est-à-dire la fabrication et l’entretien des outils de résilience, ne doit pas cesser sous prétexte que la conquête des droits collectifs a commencé.

La stratégie de conservation
La stratégie de conservation consiste essentiellement à rassembler les Autochtones conscients (« Grand Rassemblement ») et à les organiser. Plusieurs étapes sont nécessaires pour mettre en place les premières structures de résilience.

Nous proposons tout simplement de nous inspirer des stratégies élaborées par les minorités ayant fait la preuve de leur durabilité (Juifs, Roms, Kosovars…) :

Réunir une Assemblée qui proclame notre existence nationale en tant que peuple autochtone.
Cette première Assemblée, sorte d’assises autochtones, pourrait être réunie suite à l’appel de 8 ou 10 personnalités autochtones, toutes sensibilités confondues, rassemblées dans une sorte de CNR transitoire. Elle pourrait être provoquée aussi à l’initiative d’organisations et d’associations autochtones, voire de communautés locales autochtones fédérées.

La première Assemblée nomme pour un an un Gouvernement provisoire autochtone
La mission de ce Gouvernement est d’organiser les premières élections autochtones et de mettre en place l’ébauche d’un Etat parallèle autochtone.

Le premier Parlement autochtone élu se réunit :
Formation d’un Gouvernement autochtone
Détermination des missions du Gouvernement
Définition d’une stratégie de conservation et de libération
Le Gouvernement autochtone commence ses travaux :
Mise en place d’un Etat parallèle autochtone
Formation de Communautés locales autochtones
Mise en synergie des différentes organisations autochtones (partis politiques, mouvements culturels, associations diverses…) dans le respect de leur autonomie
Les Communautés locales autochtones se fédèrent tout en gardant leur autonomie et forment une société parallèle autochtone.
A ce stade, si tant est qu’un nombre suffisant d’Autochtones accepte l’existence d’un Etat autochtone apolitique (l’Etat est purement autochtoniste. C’est un Etat national autochtone qui représente la nation autochtone en son entier et non tel ou tel courant politique, culturel ou religieux), à ce stade donc, nous pouvons considérer que les structures de résilience sont mises en place. Les engagements tactiques d’une stratégie de libération peuvent désormais être considérés.

La stratégie de libération
Revendiquer des droits pour le peuple autochtone de ce pays, mais aussi dénoncer son avilissement, sa marginalisation ou le racisme structurel qui l’accable (antijaphétisme), a deux objectifs principaux. D’une part conscientiser le plus grand nombre possible d’Autochtones afin que ceux-ci intègrent la nation autochtone en sécession. D’autre part, obliger le régime-Système à reconnaître, soit qu’il a commis un crime de génocide au sens de la Convention des Nations unies pour la prévention et la répression du crime de génocide (1948), soit que le peuple français d’avant 1790 existe toujours en tant que « groupe national, ethnique, racial et religieux » (Cf. Convention de 1948)

La reconnaissance du droit à l’existence du peuple autochtone entraînera tous les autres droits collectifs, jusqu’au droit de ce peuple à disposer de lui-même. Le droit à l’existence est donc la clé de voûte de la libération autochtone. La lutte pour imposer ce droit (que tout peuple possède par nature), doit emprunter tous les chemins qui se présentent à nous et prendre la forme d’un harcèlement constant du régime. Tout peut-être prétexte à contestation, à revendication, à querelle, à discussion, à blocages. Il faut obliger le régime à négocier avec le Gouvernement autochtone. Cette négociation vaudra implicitement reconnaissance.

Le peuple autochtone emprisonné, aliéné et remplacé a le Droit pour lui. Son droit à l’existence est acquis du fait même qu’il existe. La contestation de ce droit fondamental est non seulement discriminatoire : c’est d’abord un crime contre l’humanité ! Notre peuple a le droit d’écrire sa propre histoire, indépendamment de l’histoire désirée par le régime politique en place ou le corps politique artificiel, multiethnique et de plus en plus antijaphite, qui a été construit par ce régime. D’autre part, le peuple autochtone, peut, en raison de son autochtonie qui plonge dans la nuit des temps et au nom de l’égalité entre tous les peuples, bénéficier de toutes les dispositions contenues dans la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones : droit à l’existence ; droit à l’autodétermination politique, économique, sociale, culturelle ; droit de contrôler son propre système scolaire ; droit d’être protégé en tant que peuple distinct, ; droit de filtrer les lois pouvant le concerner ; etc. Ajoutons que nous pouvons faire valoir aussi la loi organique sur la Nouvelle-Calédonie (99-209). Tous les droits octroyés par cette loi aux autochtones mélanésiens de Nouvelle-Calédonie, doivent être accordés, au nom du principe d’égalité proclamé par le régime et du droit international, aux autochtones européens de France. Ceux-ci doivent pouvoir bénéficier, par exemple, d’un statut civil particulier, de registres d’état civil à eux seuls dédiés, de programmes scolaires qui reflètent la dignité de leur histoire, d’un droit civil qu’ils pourront librement déterminer, d’une langue française dont ils seront les seuls décideurs, d’une citoyenneté spécifique, etc.

La cause du peuple autochtone est juste, morale, égalitaire, conforme au droit international et à l’esprit des lois organiques de la République. L’indépendance du peuple autochtone mettra un point final au processus de décolonisation commencé après la seconde guerre mondiale.

C. Les méthodes

La stratégie de conservation (Grand Rassemblement, constitution d’un Etat parallèle autochtone, mise en place de communautés locales autochtones maillant le territoire, etc.) doit se faire à faible bruit et sans avoir recours aux dispositifs administratifs mis en place par le régime. Autrement dit, il ne doit pas y avoir de déclarations en Préfecture !

C’est la stratégie de libération qui pose véritablement le problème des méthodes de lutte. Nous excluons a priori toute forme de violence : le rapport de forces nous est trop défavorable. Notre méthode de lutte doit donc être non-violente et reprendre à son compte les recettes éprouvées de Gene Sharp : succession d’engagements tactiques non-violents permettant d’atteindre un objectif limité dans le cadre d’une stratégie plus large. Prenons un exemple :

Le patrimoine culturel autochtone (églises, châteaux, œuvres d’art, musées, bibliothèques, monuments, etc.) est actuellement géré par des fonctionnaires républicains de la culture, au nom du corps d’associés global. Or, au regard de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones et même de la loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie, ce patrimoine culturel autochtone doit être restitué au peuple autochtone. Nous pouvons donc revendiquer cette restitution, par exemple en perturbant, selon nos ressources disponibles, des journées du patrimoine (obstruction d’entrée, distribution de tracts, nuisance sonore, etc.), en refusant d’évacuer un site après sa fermeture, en faisant entrer les visiteurs gratuitement, etc. L’essentiel est de faire débat, d’inciter les Autochtones à réfléchir sur leur dépossession et sur leur sujétion, et de forcer le régime à réagir. Un engagement tactique de cette nature va dans le sens des objectifs de la stratégie globale de libération car il révèle, avec tout ce que cela suppose, un patrimoine autochtone confisqué et surtout l’existence d’un peuple autochtone jusque là nié.

En guise de conclusion….

Nous n’avons pas été colonisés par un Etat étranger, mais par une classe sociale apatride qui a pris les commandes de l’Etat national et en a fait un Etat à sa main, c’est-à-dire, de fait, un Etat étranger. Cet Etat étranger est conduit par un régime qui a engendré un « corps d’associés » multiethnique. L’un et l’autre sont responsables du Grand Remplacement et de notre incapacité à disposer de nous-mêmes. Il ne faut donc plus raisonner de l’intérieur de ce régime mortifère. Il faut au contraire raisonner dans une logique de sécession, ou plus exactement de décolonisation.

Cette logique n’est plus « politique » : elle doit être « nationale ». C’est de la nation autochtone en son entier qu’il s’agit. Peu importe les options idéologiques, religieuses ou philosophiques faites par les uns ou les autres. Tout cela doit s’effacer au nom de la défense de l’appartenance commune : l’appartenance à une nation autochtone prisonnière de la gangue multiethnique républicaine.

La construction que nous proposons n’est donc pas une construction de politique politicienne : c’est une construction nationale apolitique, areligieuse, mais autochtone. Nous ne parlons pas des futures élections mais de la continuité historique de notre peuple.

Si le peuple autochtone de ce pays ne remet pas en question le régime en place, s’imaginant pouvoir l’infléchir ou l’amadouer, alors le destin de ce peuple est tout tracé : il disparaîtra ! Mais si ce peuple se rassemble et s’organise en société parallèle, alors des droits collectifs lui seront forcément reconnus et sa résilience sera assurée : avant peu il pourra à nouveau écrire sa propre histoire ! Les temps ont changé et il n’y a désormais que deux choix possibles : le soulèvement autochtoniste ou le consentement à notre propre génocide. Le reste ne compte pas.

Antonin Campana

 

 

L’Holocauste dévoilé

L'holocauste dévoilé

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L’Holocauste dévoilé: La vidéo suivante montre des internés réels dans les camps de concentration allemands pendant la seconde guerre mondiale, ce qui peut être choquant pour certaines personnes, en particulier pour la police de la pensée…

Le document complet s’appelle:
« l’Holocauste dévoilé » (1 heure et 11 minutes en anglais)

 

 

Pour lecteurs comprenant la langue de Shakespeare, ne manquez pas :

« The Greatest Story never told » !

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 » Qui contrôle le passé contrôle le futur.
Qui contrôle le présent contrôle le passé. »
Georges Orwell « 1984 »

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Roger Dommergue

roger_dommergue

 

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Roger Dommergue Polacco de Menasce est un professeur français juif, philosophe, essayiste, issu d’une famille qui fut multimilliardaire au début du vingtième siècle et connu pour ses écrits concernant la médecine alternative et négationnisme de l’holocauste.
Il chercha à trouver l’origine de cette mentalité radicalement spécifique aux Juifs et jamais au Goyim.

Il ne trouva que la circoncision au huitième jour.

Il découvrit alors l’œuvre du Docteur Jean Gautier qui mit en évidence l’œuvre physiologique la plus importante du monde : l’antériorité fonctionnelle du système hormonale sur le système nerveux. (*)

Il mit en évidence l’existence de la première puberté qui commence au huitième jour et durera 21 jours. C’est ce jour-là que s’effectue la circoncision qui va perturber toute la première puberté. La blessure de la circoncision va déterminer une déperdition hormonale de la génitale interne, organe du sens moral, de l’altruisme, de la synthèse et celle-ci va être lésée au profit d’une sur-stimulation de l’hypophyse et de la thyroïde.

D’où les possibilités fatales et déterministes de spéculations sans tenir le moindre compte de la synthèse humaine. Le résultat final sera le capitalisme, le marxisme, le système d’usure Rothschild, Marx, Freud, Oppenheimer etc (« Le mensonge du Progrès, c’est Israël » disait la philosophe juive Simone Weil).

 

EXTRAITS:

« Fascinante folie d’Israël !

Il bouillonne depuis 5000 ans et aujourd’hui bat le record de toutes les chutes.
Ou il sera banquier, ou idéaliste contre le banquier: Rothschild contre Marx, Marx contre Rothschild, géniale dialectique des frères ennemis qui produit les mouvements de l’Histoire.

Par l’argent maître des gouvernements !
Par la révolution maître des masses !

J’avoue ma radicale stupéfaction devant la double et grandiose folie d’Israël qui mène l’homme et la planète à l’anéantissement… »

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« Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d’avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique.

De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombes dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l’exemple type du juif de religion catholique. Tout d’abord les sémites ne sont pas d’origine européenne, ils sont ethniquement proches de l’arabe, pas du gaulois. Ensuite le juif appartient d’abord au peuple d’Israël, c’est sa communauté nationale. Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté:

Seul le peuple élu appartient à l’essence même de Dieu, les autres hommes sont assimiles a des animaux.

Pas de prosélytisme chez les rabbins car convertir des animaux au judaïsme est inutile. Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d’origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d’origine hongroise (Nicolas Sarközy), Français d’origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d’origine espagnole (David Pujadas)…

Quand il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton … Citoyen du monde.

Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif. »

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Ce livre s’empare de la «question juive» mais il dépasse la critique stérile pour proposer une solution définitive, digne, simple et basée sur la connaissance scientifique.

Pour l’auteur, un Juif en désaccord avec la judéopathie mondialiste totalitaire doit laisser chez tout enfant juif la nature comme elle est, ne pas intervenir par cette mutilation précoce, la circoncision rituelle du huitième jour, qui est un traumatisme perturbant profondément le développement psychique et spirituel de l’enfant juif et conditionnant la mentalité de l’individu juif pendant toute sa vie.

Cet ouvrage constitue en quelque sorte une véritable anamnèse de cette pathologie de groupe, confirmant ainsi les conséquences de cette mutilation.

Hélas, certains tabous dominants, indignes d’une véritable culture scientifique, font que les recherches de l’auteur restent méconnues, alors qu’elles sont pourtant d’une importance capitale pour l’avenir de l’humanité. Tout comme celles du Docteur Jean Gautier d’ailleurs !

 

(*) Jean Gautier, né à Bordeaux en mai 1891 et décédé en octobre 1961, est un médecin français spécialiste de l’endocrinologie, auteur de plusieurs ouvrages, dont le magnifique « Freud a menti. L’imposture du XXème siècle ». « Si mon siècle, écrivait-il, est trop aveugle et possède trop de parti pris pour me rendre justice, les générations futures reconnaîtront fatalement mes conceptions comme exactes. La vérité est déjà en marche… »
Jean Gautier montre que Freud a sans cesse cherché à animaliser l’homme en le privant de son libre arbitre et en le soumettant systématiquement à l’instinct sexuel ou à « l’inconscient ». Enfin et ce n’est pas la moindre des anomalies, en tant que médecin Freud était censé se référer à des fonctionnements physiologiques. Or, il n’en a jamais été question puisqu’il ignorait tout de la fonction de la glande génitale interstitielle dont le Docteur Gautier découvrira la suprême importance.