Les juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété.

goyim

Article tiré de « La cause du peuple »

 

Dans la Russie pré-révolutionnaire, les Juifs suivaient l’ordonnance talmudique voulant que la propriété des Goyim fût un droit «gratuit pour tous» les Juifs. Moyennant un petit supplément, les juifs étaient autorisés à finaliser ce droit par le conseil municipal («le Kahal»). C’est cela qui est au cœur du judaïsme talmudique et de l’inspiration du Nouvel Ordre Mondial.
La plupart des Juifs n’en sont pas conscients et le nieraient, tout comme la plupart des goyim nieraient que leurs soi-disant dirigeants se soient joints à ce complot satanique visant à priver l’humanité de son droit de naissance.

«Les biens des goyim sont comme un désert sans propriétaire, et chaque Juif qui s’en empare en devient propriétaire.» – Talmud Babylonien, IV / 3 / 54b

« Notre objectif est d’absorber progressivement les richesses du monde. » – Cecil Rhodes, (Franc-maçon)

Dans les «Protocoles des Sages de Sion» (17), il est dit ce qui suit: «Même maintenant, nos frères ont l’obligation de dénoncer les apostats de leur propre famille ou toute personne connue pour s’opposer au Kahal. Quand notre royaume viendra, il sera nécessaire que tous les sujets servent l’État de la même manière. »

Le « Kahal » juif est-il le « soviet » moderne? «Le Juif international», chapitre 15.
«Le mot Kahal est Kehillah en hébreu. Il s’agit de la branche locale du Sanhédrin dans chaque communauté où vivent des juifs, à travers lequel ils sont contrôlés à leur insu. » Henry Klein, Un Juif expose la conspiration juive dans le monde, p. 7

Le communisme était / est simplement un masque pour la confiscation de la richesse des Goyim. Il en va de même pour le sionisme qui masque du vol de biens palestiniens.

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Avertissement:

« Pourquoi, moi, étant Juif, est-ce que j’expose ces informations? Parce que ce que, ni moi, ni ma famille, ni mes amis juifs ne sont comme cela. Je suis l’inventeur de Scrupules, un jeu basé sur 1200 dilemmes moraux. Cependant, c’est ce que les banquiers maçonniques juifs et leurs laquais, dont beaucoup sont juifs, préparent. Cette dépossession de l’humanité, commençant par l’esprit et se terminant par un certain goulag ou une conflagration nucléaire, se produit. Je pourrais rester tranquille. Je tire cette alarme comme un acte d’amour, pour les Juifs et pour les non-Juifs également »

Par Henry Makow PhD. – 8 avril 2008
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En 1869, Jacob Brafman, un Juif converti au christianisme, a publié un livre en russe sur l’organisation communautaire juive, «Lee Kahal», suggérant que la communauté juive organisée conspirait contre la population goy. Comme la plupart des livres de ce genre, il n’est plus disponible. Ce qui montre que le monde actuel est plus répressif et sectaire qu’au 19ème siècle.

Heureusement, en novembre 1881, Mme. Z.A. Ragozin en a publié un compte rendu détaillé dans «The Century Magazine» (vol. 23, numéro 1) sous le titre «Juifs et non juifs russes (d’un point de vue russe.)» Cet essai remarquable est en ligne.

Ragozin était un érudit de l’histoire ancienne du Proche-Orient qui, dans les années 1880, publia une demi-douzaine de livres sur les Chaldéens, les Perses, les Assyriens, etc.

« LE KAHAL »

Le livre de Brafman était basé sur un millier de documents internes du Kahal. Sa révélation la plus surprenante:

Le Kahal a suivi l’ordonnance talmudique voulant que les propriétés des Goyim soit «gratuites pour tous» les Juifs qui, moyennant un supplément, sont pré autorisés par le conseil municipal («Le Kahal») pour les posséder définitivement. De toute évidence, source d’antisémitisme, cela peut expliquer la véritable nature prédatrice du Nouvel Ordre Mondial derrière le paravent idéaliste.
Par exemple, Brafman, que les historiens juifs appellent « un indicateur », explique le juif « X » qui achète les droits sur la maison du goy « Y » .

« Il a acquis ‘khazaka’, c’est-à-dire un droit de propriété sur la maison du Goy » Y « , ce qui lui confère le droit exclusif, garanti de toute ingérence ou de la concurrence d’autres Juifs, de prendre possession de ladite maison … » par quelque moyen que ce soit.
« Jusqu’à ce qu’il ait finalement réussi à la transférer comme étant sa possession officielle, il a seul le droit de louer cette maison à son propriétaire actuel, de l’échanger, de prêter de l’argent à ce propriétaire ou à d’autres non-Juifs qui pourraient l’habiter – pour en faire des profits de quelque manière que son ingéniosité puisse suggérer … « 

La deuxième partie peut fournir un modèle de la façon dont un juif peut exploiter des goyim.
Selon Brafman, les documents « montrent aussi clairement que possible de quelle manière et par quels moyens les Juifs, malgré leurs droits limités, ont toujours réussi à chasser des éléments étrangers des villes et des quartiers où ils se sont installés, capitaux et biens immobiliers en ces lieux, et de se débarrasser de toute concurrence dans les échanges commerciaux, comme cela a été le cas dans les provinces occidentales de la Russie, en Pologne, en Galice, en Roumanie … « 

La vente d’alcool et le prêt d’argent étaient des moyens d’arnaquer la propriété. Les marchands de vodka juifs se présentaient au moment des récoltes et vendaient de l’alcool aux agriculteurs à crédit. Bientôt, les habitudes de consommation des paysans et les intérêts composés se sont combinés pour transférer la propriété et les futures récoltes aux revendeurs de vodka. (Voir E. Michael Jones, «Roulette russe», Guerres de Culture, mai 2006, p. 24.)

UNE MANIÈRE RÉVOLUTIONNAIRE DE VOLER

Cinquante ans après la publication de « Le Kahal », la civilisation chrétienne en Russie a été brutalement détruite par la révolution bolchevique, qui était un front pour les banquiers juifs Illuminati. Les aspects saillants de cette révolution, mis à part l’imposition d’un État policier abominable et dépravé, ont été la confiscation des richesses indicibles des Goyim et le massacre de millions de non-juifs. Cet holocauste des chrétiens russes a suscité peu d’attention, car les Juifs Illuminati contrôlent les médias et le système éducatif en utilisant des dupes pieuses et très bien payées du « néoconservateur », au « libéral », du « féministe » au « socialiste » et au « marxiste » pour faire respecter une tyrannie intellectuelle.

Le front de Rothschild, Kuhn Loeb & Co., a obtenu un beau retour sur son financement de 20 millions de dollars de la révolution bolchevique de 1917. En 1921, Lénine leur donna 102 millions de dollars. (NY Times du 23 août 1921.). En outre, ils ont probablement gardé des fonds et des comptes en banque que le (tsar) Romanov leur a stupidement confiés.

En outre, les banquiers juifs Illuminati ont pris possession de l’industrie russe. Les documents des services secrets allemands ont donné pour instruction aux bolcheviks de « détruire les capitalistes russes aussi loin que vous le souhaitez, mais en aucun cas n’est autorisée la destruction d’entreprises russes ».

La Banque impériale allemande a envoyé aux bolcheviks plus de 60 millions de roubles. Dans ce contexte, A. N. Field cite les documents 10 et 11 entre les banquiers et les bolcheviks: « Ils donnent un résumé complet des conditions régissant le contrôle de l’industrie russe par les banques allemandes après la guerre. » « La vérité sur le marasme » (1931) par A.N. Field. (pp.62-72)

« LA TERREUR ROUGE »

Lénine et Trotski ont créé le fameux service secret « Cheka » (renommé plus tard OGPU, puis NKVD et enfin KGB) pour voler des biens et écraser la résistance.

« Les premières unités de la Cheka mises en place dans chaque ville ou village étaient principalement destinées à exterminer les bureaucrates tsaristes, les gendarmes et les officiers supérieurs, les familles des gardes blancs et tous les citoyens dont la propriété était évaluée à 10.000 roubles ou plus.

Des milliers de scientifiques et d’ingénieurs furent tués en tant qu' »exploiteurs » et environ la moitié des médecins du pays ont été tués ou forcés d’émigrer. Des personnes ont été assassinées chez elles, dans les rues et dans les caves du siège de la Cheka, quel que soit leur âge.  » (Slava Katamidze,  » Camarades Loyaux, Tueurs impitoyables – Les services secrets de l’URSS 1917-1991″ p. 14)

Des milliers de prêtres et de moines chrétiens ont été envoyés au Goulag et massacrés.
« L’Église est devenue la cible de l’hostilité bolchevique depuis le tout début. La résistance à la confiscation de ses biens, en particulier de l’argent et de l’or, était particulièrement féroce … Les prêtres ont alors appelé leurs paroisses à résister à la confiscation, accusant les autorités d’empocher la majorité des biens confisqués.  » (Katamidze, p. 25)

On estime que la cheka serait responsable d’au moins 20 millions de morts, selon le courageux écrivain juif Steve Plocker, qui affirme que la cheka était dirigée et composée principalement de Juifs. Lénine et Trotski, des juifs Illuminati, donnèrent tout pouvoir à la Tchéka et la financèrent par des banquiers juifs Illuminati.

« Beaucoup de Juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont le sang sur les mains pour l’éternité », écrit Plocker. « Nous ne devons pas oublier que certains des plus grands meurtriers des temps modernes étaient des Juifs. »

« DEUX GENRES DE JUIFS »

Dans « Les Juifs et les goyim russes », Mme Rogozin écrit:
« Jadis, les Juifs avaient deux descriptions, si différentes qu’elles ressemblaient à deux races différentes. Il y avait des Juifs qui voyaient Dieu et proclamaient sa loi, et ceux qui adoraient le veau d’or et aspiraient aux pots de chair de l’Égypte;

Il y avait des Juifs qui ont suivi Jésus et d’autres qui l’ont crucifié … « (p.909)

Pour ne pas excuser les meurtriers, de nombreux communistes, juifs et non juifs, ont été dupés à croire que le communisme représentait des travailleurs pauvres, le partage de la richesse et la justice sociale.

Tout comme aujourd’hui, les Juifs Illuminati avaient soumis le troupeau à un lavage de cerveau.

Cependant, d’autres Juifs ont compris la supercherie et se sont battus héroïquement contre le communisme.

Les « maîtres de marionnettes » Illuminati travaillent à bout de bras afin de maintenir l’illusion que l’histoire se déroule de manière aléatoire. Ainsi, à diverses reprises, Staline s’est rebellé contre ses maîtres et a persécuté leurs agents juifs. Beaucoup pensent que Staline a finalement été assassiné lorsqu’il a tenté une répression finale contre les juifs communistes.
L’image miroir inversé de la « Terreur rouge » était la persécution nazie des Juifs et la confiscation de certains biens juifs dans les années 1930. Je soupçonne que les banquiers juifs Illuminati ont été à l’origine de la montée des nazis et ont bénéficié de l’expropriation de la richesse de leurs concurrents juifs. Les grands banquiers allemands étaient très impliqués dans « l’aryanisation » de la propriété juive.

CONCLUSION

Depuis la Révolution anglaise, l’histoire reflète le processus graduel par lequel, principalement la finance juive et ses alliés sataniques goyim ont utilisé la franc-maçonnerie, la « révolution » et la guerre pour renverser la civilisation chrétienne et la remplacer par leur hégémonie économique, sociale, politique et culturelle, i.e.

«le Nouvel ordre mondial. »

Je doute que les banquiers juifs Illuminati aient le monopole de l’avarice, mais ils en ont certainement été les meilleurs représentants. (N’ont-ils pas converti la plupart d’entre nous?) Je soupçonne que l’esprit talmudique (le peuple élu monopolise la richesse au détriment de la grande majorité qui est considérée comme étant formée d’animaux) a inspiré l’impérialisme et motive encore aujourd’hui les Illuminati.

Comme je l’ai dit, les banquiers juifs Illuminati utilisent les Juifs comme pions et agents.

Leurs partenaires sont des satanistes de toutes origines ethniques qui renversent et trahissent leur propre peuple. Leur plan est de déshériter et de domestiquer (« éduquer », ingénierie sociale, lavage de cerveau) la race humaine à leur profit. Ils sont derrière le 11 septembre, la « guerre contre le terrorisme » et les guerres en Libye, en Irak, en Afghanistan et en Syrie. Ils sont à l’origine des lois haineuses, du féminisme, du multiculturalisme et de la diversité – tout cela, c’est le contrôle de l’esprit et l’ingénierie sociale.

(Avez-vous déjà entendu parler du multiculturalisme en Israël ou en Chine?)

Un cancer détruit la civilisation occidentale. Ce cancer, ce sont les banquiers centraux juifs Illuminati qui contrôlent nos institutions économiques, politiques, culturelles et spirituelles. En d’autres termes, notre « leadership » représente une puissance occulte impériale en guerre contre nous; et nous ne pouvons même pas le reconnaître parce que nos institutions ont été renversées.

L’Amérique d’aujourd’hui peut être comparée à la Russie d’avant la Révolution bolchevique. Selon W. Schulgin, « le cerveau de la nation était aux mains des [Illuminati] juifs et il était devenu normal, comme d’habitude, de penser en catégories juives … En dépit de toutes les restrictions, les Juifs contrôlaient l’esprit des personnes russes. » (Jones, Guerres de cultures, p. 42)

Un vrai juif (ou chrétien ou musulman) représente Dieu et un ordre moral universel. Ainsi, le gouvernement mondial ne peut jamais être « bon pour les Juifs », quel que soit le statut de ses élites.

Source : « Russian Jews Felt Entitled to Goy Property »

ANNEXE

Le goy expliqué aux goyim:

« Ce n’est pas vraiment une injure ou une insulte, c’est juste une façon de brocarder celui qui n’a pas la chance d’être juif.
Je l’avoue bien volontiers, j’adore prononcer ce doux mot de Goy. Je ne m’en lasse jamais. C’est une petite musique contenue en une seule syllabe qui m’enchante chaque fois que je l’utilise. Et je l’utilise à tort ou à travers. A la moindre occasion donnée. Pour me moquer de mes petits camarades qui ne seraient pas nés d’essence supérieure, c’est-à-dire juive. Afin de vilipender des comportements emprunts d’un esprit de charité bien trop chrétien pour être honnête. Dans le but de marquer ma radicalité d’avoir été circoncis à la naissance et non point plongé comme un vulgaire saumon dans un bain d’eau bénite.
Goy par-ci, goy par là chante à toute heure mon esprit.
Je ne connais pas de Juifs qui puissent résister à son attrait. C’est comme un signe de ralliement de tous les Moïse de la terre. On a beau passer nos journées à s’écharper sur Israël, sur Dieu, sur la question de savoir quel est le plus savoureux des couscous (le tunisien, bien sûr), au sujet du meilleur dentiste de la place de Paris ou de New York, on finit toujours par s’accorder sur notre chance d’avoir échappé à la condition de goy, cette demi-portion qui nous doit tout.
Tout sauf goy est notre cri de ralliement et c’est évidemment un cri de désespoir.

Le  »sale Goy » c’est l’autre, le lourd, le lent, le Fils de l’Homme, le petit traître à la barbe de trois semaines clouté sur sa croix, l’autochtone, le Français de base ou de souche au nom de terroir qui sent bon la vache de ses aïeux, le patelin à la mentalité auvergnate, bourguignonne, bretonne, picarde, savoyarde, le confessé du dimanche, le Gaulois cocardier, le paysan aux racines qui remontent jusqu’à Astérix…le collabo adorateur du Maréchal.
Le catholique assis sur son héritage millénaire…

… qui n’a toujours pas compris que le vrai Dieu, le seul, l’unique, le flamboyant, le ravagé, le colérique, le neurasthénique, l’imprévisible, c’était le nôtre, celui qui est à l’origine de tout, le plus beau, le plus grand de tous les dieux sur lequel tous les autres ont copié sans jamais lui reverser les moindres royalties.
C’est évidemment affreusement condescendant, vaguement raciste, un brin moqueur mais jamais bien méchant ; aucune acrimonie dans cette injure, juste de la tendre moquerie toujours à prendre au second degré. Tout comme ce billet.
Mais c’est aussi, mais c’est surtout, l’expression de la revanche et de la méfiance du persécuté, de l’humilié, de celui qui depuis la nuit des temps n’a cessé d’errer sur la terre à la recherche d’un havre que personne n’a jamais voulu lui accorder, le reprouvé, l’hérétique à qui on a fait payer le prix – et quel prix ! – de ne pas avoir consenti à reconnaître l’autorité d’un apôtre assez givré pour tendre l’autre joue afin de mieux goûter à la douleur, le déporté dont on a essayé par tous les moyens de se débarrasser et qui continue envers et contre tout à exister, oui c’est le cri du cœur de celui qui a trop souffert, trop pleuré, qui a tout recommencé, tout perdu sauf son sens de la dérision et de l’humour.

Notre Marseille, notre God Save the Queen, notre Star and Stripes à nous !
Allons enfants de la Goyerie.

Le Goy n’est pas l’ennemi du Juif, tout au contraire, il est celui qui donne toute sa saveur à la condition de Juif. Il est celui par qui on glorifie notre propre génie, celui qui magnifie notre superbe étrangeté, celui à qui peut-être on meurt de ressembler sans jamais oser se l’avouer, qu’on jalouse en secret dans le tourment de notre existence jamais apaisée.
C’est en fait un Juif imparfait ce qui évidemment n’existe pas !

goyim

Laurent Sagalovitsch — 14 janvier 2017

 

***

Fin de l’article.

 

« Le  »sale Goy » c’est l’autre, le lourd, le lent, le Fils de l’Homme, le petit traître à la barbe de trois semaines clouté sur sa croix, l’autochtone, le Français de base ou de souche au nom de terroir qui sent bon la vache de ses aïeux, le patelin à la mentalité auvergnate, bourguignonne, bretonne, picarde, savoyarde, le confessé du dimanche, le Gaulois cocardier, le paysan aux racines qui remontent jusqu’à Astérix…le collabo adorateur du Maréchal.
Le catholique assis sur son héritage millénaire… »

 Gloups ! 🙁

 

Secte satanique et mafia khazare

mafia khazare

*

*

Le monde est géré par une secte satanique, la mafia khazare.

 

Secte satanique… mafia khazare…

Ces mots vous choquent ? Ils vous semblent incongrus ?

Vous imaginez que Secte satanique, ça date du Moyen-Age et de l’Inquisition ? Une mafia Khazare, ça ne vous dit rien ?? Oui, c’est vrai, ça ne fait pas les Unes comme la « mafia russe » ou autres petits amateurs sans envergure…

Si ces termes ne vous disent rien, si vous pensez à du complotisme de bas étage, je vous invite à y réfléchir à deux fois… et surtout à vous documenter de façon un peu complémentaire à côté des connaissances que vous pouvez avoir par ailleurs…

Le gars qui a fait cette vidéo nomme un chat, un chat. Ainsi Youtube a fait disparaître sa chaîne. D’autres l’ont remis en ligne. Aussi vous pouvez encore la visionner. Si elle disparaît à nouveau, recherchez sur VK: Michael Koestler.

Bonne réflexions !

 

 

 

Décadence de l’art en Occident

Les intellectuels humanistes de la Renaissance rejettent la tutelle de l’Eglise et annoncent un âge d’or où l’homme émancipé sera enfin la mesure de toutes choses.

Sur un plan général, on a vu la suite: Révolutions et guerres mondiales sans précédent, totalitarisme marchand, mise en place d’une termitière planétaire sous domination masquée khazare,etc…

Dans le domaine artistique et spirituel, l’artiste n’est plus l’anonyme bâtisseur de cathédrales travaillant « Ad majorem Dei gloriam« , simple serviteur effacé et vertueux de plus grand que lui, oeuvrant à son Salut éternel et au bien commun sur la terre, mais devient ce petit « dieu » tombé (A l’image de Lucifer) qui signe de son nom des « oeuvres »personnelles… Misérable ego n’oeuvrant qu’à sa gloriole minuscule.

L’architecture a bien évidemment suivi le même chemin entropique: L’élan prodigieux des édifices romans, puis gothiques avec leurs piliers semblables à des troncs centenaires et leurs profusions de nervures quasi-végétales, est stoppé net par l’ascension de l’Humanisme réducteur… Sans ce refoulement du spirituel, quelle architecture organique en aurait été le développement aujourd’hui ? Sans doute un fourmillement architectural cosmo-végétal et d’une créativité organique explosive dont le seul exemple à ma connaissance aujourd’hui est Gaudi ?)

 

Image associée

La « Sagrada Familia » de Gaudi à Barcelone

 

A la place de ce bond lumineux, saturé d’Esprit et défiant la pesanteur, la lourde architecture « Renaissance » s’impose peu à peu. Ce n’est en fait qu’un retour, sans aucun génie propre, au monde gréco-romain et à sa lourde finitude horizontale…

En suivant le déroulé des temps, on observe donc que l’éclipse progressive de l’ordre chrétien enraciné en Dieu est remplacé par un « nouvel ordre (mondial?) », basé sur l’Homme auto-déifié. Celui-ci débouchera finalement, de par sa pesanteur congénitale, sur le monde utilitariste et marchand que nous connaissons bien aujourd’hui et remplaçant peu à peu la réalité chrétienne.

L’aboutissement logique et inévitable du plan de ces pseudo-élites déclarant vouloir « écraser l’infâme » en la personne du Christ (Voltaire), est le démantèlement final de l’Eglise par les sous-marins khazares de la maçonnerie mondialisée. Démantèlement contre lequel déjà Pie X avait mis en garde, en vain:

« PASCENDI DOMINICI GREGIS »

LETTRE ENCYCLIQUE
DE SA SAINTETÉ LE PAPE PIE X
SUR LES ERREURS DU MODERNISME

« Ce qui exige surtout que Nous parlions sans délai, c’est que, les artisans d’erreurs, il n’y a pas à les chercher aujourd’hui parmi les ennemis déclarés. Ils se cachent et c’est un sujet d’appréhension et d’angoisse très vives, dans le sein même et au coeur de l’Eglise, ennemis d’autant plus redoutables qu’ils le sont moins ouvertement. Nous parlons, d’un grand nombre de catholiques laïques, et, ce qui est encore plus à déplorer, de prêtres, qui, sous couleur d’amour de l’Eglise, absolument courts de philosophie et de théologie sérieuses, imprégnés au contraire jusqu’aux moelles d’un venin d’erreur puisé chez les adversaires de la foi catholique, se posent, au mépris de toute modestie, comme rénovateurs de l’Eglise; qui, en phalanges serrées, donnent audacieusement l’assaut à tout ce qu’il y a de plus sacré dans l’oeuvre de Jésus-Christ, sans respecter sa propre personne, qu’ils abaissent, par une témérité sacrilège, jusqu’à la simple et pure humanité….etc… » (1907)

Le grand noyautage par la maçonnerie avec Jean XXIII, Paul VI et leur suite de faux Papes et vrais escrocs était d’ores et déja enclenché.

L’Eglise a été la mère des Arts et de l’Architecture pendant plus de 1500 ans. Le culte de la Beauté a partout fleuri sous la brise légère de la Grâce car rien n’était alors trop beau pour louer Dieu Auteur de toute Beauté.

C’est l’éclipse de la Chrétienté qui a permis l’enlaidissement du monde.

Le Créateur de toutes choses et la magnificence de sa Création, ne sont plus les premiers servis et ce au détriment des valeurs « humanistes »matérielles, financières et marchandes.

La créature, déracinée d’elle-même et de ses communautés naturelles par les certitudes nouvelles de ces mirobolantes « Lumières », devient le centre-même de son propre univers, horizontal cette fois-ci… Elle prend toute la place possible, s’étale, se vautre dans la matière, à la limite de la liquéfaction universelle, et, bien au-delà d’un quelconque sens, devient le parasite démesuré de la terre qui le porte.

Nous vivons le temps de la Laideur absolue: Non art dégénéré (copyright Henry de Lesquen), architecture nullissime de la « maison d’architecte », du pavillon de banlieue, ou Titanesque des tours de 100 mètres de haut.

 

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Ravalement de façades à La Motte - AVANT

 

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La mesure, le Sens et la Beauté ont déserté la terre, or « ils ont des yeux et ne voient point ». La démesure, l’insensé et la laideur sont devenu notre pain quotidien…

Pour combien de temps ?

 

 

Final relocation report for refugees !

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« Final relocation report for refugees » est le titre d’un document de 144 pages réalisé par deux « cabinets spécialisés » à la demande de l’EU en 2010…

 

Asseyez-vous avant de commencer la lecture de cet article !

Nous savions déjà que les grands psychopathes qui nous gouvernent ou le prétendent, veulent noyer les peuples d’Europe sous une immigration tous azimuts. Ce n’est certes pas un scoop. Ce document (en anglais of course) tend à le démontrer d’inquiétante façon.

Il comporte de nombreux tableaux de statistiques comparatives des 27 Etats de l’Union, avec surface des pays, nombre d’habitants, donc densité actuelle, revenu par tête,etc… Et puis, et c’est là où ça devient « intéressant » on trouve des projections de différents cas de figures.

La page 112 nous offre ce tableau où l’on voit une France dotée à terme de 486.376.791 habitants ! Presque 500 Millions d’habitants !!!

 

« EU Final relocation report for refugees » page 112

 

Alors… Soit je n’ai pas pigé un truc ???, et dans ce cas, laissez moi vos commentaires éclairés, soit …Ils sont encore plus fous dangereux qu’on ne peut même en concevoir le degré !

Bon il est vrai que l’Allemagne vient tout juste de créer un salaire « spécial migrant » à 0.80 €/heure (Source Europe 1) !

 

final_report_relocation_of_refugees

Génial, non !

 

500 millions de larves grouillantes et entassées se bagarrant pour manger du « Soleil Vert« : Voilà donc l’avenir de notre peuple si les disciples d’Attali et de Sorros ont vraiment cela dans les cartons.

 

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Le film « Soleil Vert » en 1973

 

 

Art content pour rien

 

« L’art content pour rien« , ou non-art dégénéré, comme le dit fort bien Henry de Lesquen, a tout submergé sous un torrent de laideur jamais vu auparavant dans l’histoire…

Ses troupes d’occupation sont partout. Ses ouailles dévouées en protègent le culte avec le zèle le plus pointilleux. Malheur à qui pourrait émettre une opinion dissidente à son encontre. Ses relais sont des relais d’Etat. Son culte sordide et mortifère est dûment subventionné par le ministère de la Culture (FRAC, etc..).

Par la grâce de son « Saint Esprit », de gros malades peuvent devenir ex abrupto des Génies absolus, indiscutables et indiscutés … Cette petite caste pédante ringardise toute opposition à son effroyable bien-pensance.

Les thématiques en sont généralement sombres, voire morbides, dépressives. Pas de place ici pour la Beauté, la grâce, la paix, le repos… Non, tout ceci était atrocement bourgeois et méprisable… L’esprit supérieur de « l’artiste » se doit de déclarer une guerre impitoyable à ces « fausses valeurs ».

 

art content pour rien

 

La photo légendée ci-dessus est extraite du pdf de présentation de « La Demeure du Chaos » (sic!) près de Lyon…

Découvrant par hasard ce site avec stupeur, j’en ai extrait quelques pépites que vous découvrirez ci-dessous.

Je n’en dis pas plus: Devant un tel naufrage, tout commentaire est parfaitement superflu:

« Res  ipsa loquitur ! »

….Et n’hésitez pas à agrandir les images en cliquant dessus, de façon à en savourer toute la substantifique moelle.

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

art content pour rien

 

…….. Et surtout n’allez pas contrarier ces Génies, car en plus de vouer un culte psychopathe à la laideur, à la destruction de toute beauté et au néant, ils peuvent devenir méchants si besoin  s’en fait sentir ! Les « fachos » n’ont qu’à filer doux !

 

Avertissement:

……… 🙁

Il est également intéressant de s’intéresser au versant financier de ces réseaux. Etat, prescripteurs d’opinions bobo stipendiés, presse spécialisée, galeries branchées, et « artistes » eux-même, se tiennent par la barbichette afin de pérenniser la juteuse imposture à tous les étages… De nombreux auteurs l’ont bien documentée et mise en lumière, comme

Aude de Kerros

 

Christine Sourgins:

 

Jean-Louis Harrouel:

 

Etc…etc…

L’URSS a duré soixante-dix ans et puis le mur de Berlin a fini par s’effondrer. De la même façon le non art dégénéré finira aussi par disparaître dans les poubelles de l’histoire, n’en doutons pas.

« La Beauté sauvera le monde. »

 

 

Le destin français.

destin français

 

Voici une fascinante et longue conférence d’Eric Zemmour le 25 septembre 2018 au Théâtre du Montansier de Versailles, pour la sortie de son livre-phénomène « Le Destin Français ».
Probablement l’un de ses meilleurs entretiens:

 

 

Le commentaire ci-dessous n’est pas de mon fait, mais d’Hortensia de Gonzagues.  J’aurais tendance à le trouver assez juste car s’il est une chose difficilement niable c’est l’immense culture d’Eric Zemmour:

« Une journée sans Zemmour : c’est une journée sans amour ! »
Hortensia de Gonzague, Septembre 2018.

« Eric Zemmour est de très loin aujourd’hui en France l’analyste politique le plus instruit et cultivé, dont tout le discours est parfaitement argumenté au moyen de références historiques nombreuses et très riches…
Ce qui fait d’Eric Zemmour l’intellectuel probablement le plus clairvoyant et le plus courageux de notre époque, où l’ignorance et l’immaturité érigées en institutions règnent sans partage et plus que jamais dans les « grands médias dominants ».
En tout cas « Le Zemmour » est de très loin le plus suivi, et incarne tout un courant de pensée français qui devient tout doucement majoritaire chez les Français de souche.
Petit message aux nationalistes de tous poils :
Oui, Zemmour est berbère juif et il ne l’a jamais caché et de toute façon ça change quoi ? Eric Zemmour se fout royalement d’Israël et d’ailleurs il n’en parle jamais, le mec s’époumone depuis 30 ans à ne parler que de la France. Il vous faut quoi de plus bordel ???… « Zemmour est sioniste », « Zemmour est juif », « Zemmour est national-sioniste » et gnagnagna et gnagnagna… Pitié !… Prenez ce qui est bien chez Soral, ne prenez pas le seul truc où il est relativement à côté de la plaque enfin !
Merci. »

 

Arnaque du système bancaire

Système bancaire:

« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
Henry Ford

 

Article d’Alain Pilote, paru dans « Vers Demain » de juillet-août 1985:

 

La dictature des banquiers et leur système bancaire d’argent-dette ne se limite pas seulement au Canada, mais s’étend dans tous les pays du monde. En effet, il suffirait qu’un seul pays se libère de cette dictature et donne l’exemple de ce que pourrait être un système d’argent honnête, émis sans intérêt et sans dette par le gouvernement souverain de la nation, pour que le système d’argent-dette des banquiers s’écroule dans le monde entier.

Cette lutte des Financiers internationaux pour installer leur système bancaire frauduleux d’argent-dette a été particulièrement virulente aux Etats-Unis depuis le tout début de leur existence, où les faits montrent que plusieurs hommes d’Etat américains étaient bien au courant du système d’argent malhonnête que les Financiers voulaient imposer et de tous les malheurs qu’il entraînerait pour l’Amérique. Ces hommes d’Etat étaient de véritables patriotes, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour conserver aux Etats-Unis un système d’argent honnête, libre du contrôle des Financiers. Les Financiers font tout pour tenir cachée cette facette de l’histoire des Etats-Unis, de peur que l’exemple de ces patriotes ne soit suivi encore aujourd’hui. Voici ces faits que les Financiers voudraient que la population ignore :

Benjamin Franklin

 

La population la plus heureuse

Nous sommes en 1750. Les Etats-Unis d’Amérique n’existent pas encore ; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la « Nouvelle-Angleterre », possession de la mère-patrie, l’Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps : « Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe. » Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie :

« C’est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l’appelons Colonial Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d’achat et nous n’avons aucun intérêt à payer à personne. »

Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d’or et d’argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié.

« En un an, dit Franklin, les conditions changèrent tellement que l’ère de prospérité se termina, et une dépression s’installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs. »

Alors advint la guerre contre l’Angleterre et la déclaration d’indépendance des Etats-Unis, en 1776. Les manuels d’histoire enseignent faussement que la Révolution Américaine était due à la taxe sur le thé. Mais Franklin déclara : « Les colonies auraient volontiers supporté l’insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement : ce qui a créé dans les colonies la haine de l’Angleterre et causé la guerre de la Révolution. »

Les Pères Fondateurs des Etats-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l’exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américaine, signée à Philadelphie en 1787, dans l’article 1, section 8, paragraphe 5 : « C’est au Congrès qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur. »

 

Le système bancaire des banquiers

Mais les banquiers ne lâchèrent pas le morceau. Leur représentant, Alexander Hamilton, fut nommé Secrétaire du Trésor (l’équivalent de notre ministre des Finances) dans le cabinet de George Washington, et se fit l’avocat d’une banque nationale privée et de la création d’un argent-dette avec de faux arguments, tels que : « Une dette nationale, pourvu qu’elle ne soit pas excessive, est une bénédiction nationale… Le gouvernement se montrera sage en renonçant à l’usage d’un expédient aussi séduisant et dangereux, soit d’émettre son propre papier-monnaie. » Hamilton leur fit aussi accroire que seul l’argent-dette des banques privées était valable pour les transactions avec les pays étrangers.

Thomas Jefferson, le Secrétaire d’Etat, était fortement opposé à ce projet, mais le président Washington se laissa finalement convaincre par les arguments d’Hamilton. Une banque nationale fut donc créée en 1791, la « Bank of the United States », avec une charte d’une durée de 20 ans. Quoique nommée « Banque des Etats-Unis », elle était plus véritablement la « banque des banquiers », puisqu’elle n’appartenait pas du tout à la nation, au gouvernement américain, mais aux individus détenteurs des actions de la banque, les banquiers privés. Le nom de « banque des Etats-Unis » fut délibérément choisi dans le but de laisser croire à la population américaine qu’elle était propriétaire de la banque, ce qui n’était pas du tout le cas. La charte expira en 1811 et le Congrès vota contre son renouvellement, grâce à l’influence de Jefferson et d’Andrew Jackson :

« Si le Congrès, dit Jackson, a le droit d’après la Constitution d’émettre du papier-monnaie, ce droit leur a été donné pour être utilisé par eux seuls, non pas pour être délégué à des individus ou des compagnies privées. »

Ainsi se terminait l’histoire de la première Banque des Etats-Unis, mais les banquiers n’avaient pas dit leur dernier mot.

 

Les banquiers déclenchent la guerre

Nathan Rothschild, de la Banque d’Angleterre, lança un ultimatum : « Ou bien le renouvellement de la charte est accordé, ou bien les Etats-Unis sont impliqués dans une guerre très désastreuse. »

Jackson et les patriotes américains ne se doutaient pas que le pouvoir des banquiers pouvait s’étendre jusque-là.

« Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur dit le président Jackson. J’ai l’intention de vous déloger, et par le Dieu Eternel, je le ferai ! »

Nathan Rothschild émit des ordres : « Donnez une leçon à ces impudents Américains. Ramenez-les au statut de colonie. »

Le gouvernement anglais déclencha la guerre de 1812 contre les Etats-Unis. Le plan de Rothschild était d’appauvrir les Américains par la guerre à un tel point qu’ils seraient obligés de demander de l’aide financière… qui bien sûr ne serait accordée qu’en retour du renouvellement de la charte de la « Bank of the United States ».

Il y eut des milliers de morts, mais qu’importe à Rothschild ? Il avait atteint son but : la charte fut renouvelée en 1816.

 

On assassine Abraham Lincoln

Abraham Lincoln

Abraham Lincoln fut élu Président des Etats-Unis en 1860 avec la promesse d’abolir l’esclavage des Noirs. 11 Etats du Sud, favorables à l’esclavage des Noirs, décidèrent donc de quitter l’Union, de se séparer des Etats-Unis : ce fut le début de la Guerre de Sécession, ou Guerre Civile Américaine (1861-65). Lincoln, étant à court d’argent pour financer les armées du Nord, partit voir les banquiers de New-York, qui lui offrirent de l’argent à des taux allant de 24 à 36%. Lincoln refusa, sachant parfaitement que c’était de l’usure et que cela mènerait les Etats-Unis à la ruine. Mais son problème d’argent n’était pas réglé pour autant.

Son ami de Chicago, le Colonel Dick Taylor, vint à la rescousse et lui suggéra la solution : « Que le Congrès passe une loi autorisant l’émission de billets du Trésor ayant plein cours légal, payez vos soldats avec ces billets, allez de l’avant et gagnez votre guerre. »

C’est ce que Lincoln fit, et il gagna la guerre : de 1862 à 1863, Lincoln fit émettre 450 millions $ de « Greenbacks » (appelés ainsi par la population parce qu’ils étaient imprimés avec de l’encre verte au verso).

Lincoln appela ces greenbacks « la plus grande bénédiction que le peuple américain ait jamais eue. » Bénédiction pour tous, sauf pour les banquiers, puisque cela mettait fin à leur « racket » du vol du crédit de la nation et de création d’argent avec intérêt. Ils mirent donc tout en oeuvre pour saboter l’oeuvre de Lincoln. Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times (citation tirée de « Who Rules America », par C. K. Howe, et reproduite dans « Lincoln Money Martyred », par R. E. Search) :

« Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe. »(La « monarchie » des contrôleurs du crédit, les Banksters.)

Tout d’abord, dans le but de discréditer les Greenbacks, les banquiers persuadèrent le Congrès de voter , en février 1862, la « Clause d’Exception », qui stipulait que les Greenbacks ne pouvaient être utilisés pour payer l’intérêt sur la dette nationale. Ensuite, ayant financé l’élection d’assez de sénateurs et de députés, les banquiers firent voter par le Congrès en 1863 le retrait de la loi des Greenbacks et son remplacement par le National Banking Act (Loi des Banques Nationales, où l’argent serait créé avec intérêt par des compagnies privées).

Cette loi stipulait aussi que les Greenbacks seraient immédiatement retirés de la circulation aussitôt leur retour au Trésor pour paiement des taxes. Lincoln protesta énergiquement, mais son objectif le plus pressant était de gagner la guerre et de sauver l’Union, ce qui l’obligea à remettre après la guerre le veto qu’il projetait contre cette loi et l’action qu’il entendait prendre contre les banquiers. Lincoln déclara tout de même :

« J’ai deux grands ennemis : l’armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis. »

Lincoln fut réélu Président en 1864 et fit clairement savoir qu’il s’attaquerait au pouvoir des banquiers une fois la guerre terminée. La guerre se termina le 9 avril 1865, mais Lincoln fut assassiné cinq jours plus tard, le 14 avril 1865. Une formidable restriction du crédit s’ensuivit, organisée par les banques. L’argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions $ en 1866, soit 50,46 $ pour chaque Américain, tomba à 605 millions $ en 1876, soit 14,60 $ par Américain. Résultat : en dix ans, 54 446 faillites, pertes de 2 milliards $. Cela ne suffisant pas, on alla jusqu’à réduire la circulation d’argent à 6,67 $ par tête en 1867 !

 

William Jennings Bryan : « Les banques doivent se retirer »

William Jennings Bryan

L’exemple de Lincoln demeurait néanmoins dans plusieurs esprits, même jusqu’en 1896. Cette année-là, le candidat démocrate à la présidence était William Jennings Bryan, et encore une fois, les livres d’histoire nous disent que ce fut une bonne chose qu’il ne fut pas élu président, car il était contre la monnaie « saine » des banquiers, l’argent créé sous forme de dette, et contre l’étalon-or :

« Nous disons dans notre programme et nous croyons que le droit de frapper et d’émettre la monnaie est une fonction du gouvernement. Nous le croyons. Et ceux qui y sont opposés nous disent que l’émission de papier-monnaie est une fonction de la banque, et que le gouvernement doit se retirer des affaires de la banque. Eh bien ! moi je leur dis que l’émission de l’argent est une fonction du gouvernement, et que les banques doivent se retirer des affaires du gouvernement… Lorsque nous aurons rétabli la monnaie de la Constitution, toutes les autres réformes nécessaires seront possibles, mais avant que cela ne soit fait, aucune autre réforme ne peut être accomplie. »

 

Le plus gigantesque trust

Charles A. Lindbergh

Et finalement…

Le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l’argent, et remettait ce pouvoir à la « Federal Reserve Corporation ».

Un des rares membres du Congrès qui avait compris tout l’enjeu de cette loi, Charles A. Lindbergh (le père du célèbre aviateur), déclara :

« Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président (Wilson) signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé… le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire. »

 

L’éducation du peuple

Qu’est-ce qui a permis aux banquiers d’obtenir finalement le monopole complet du contrôle du crédit aux Etats-Unis ?

L’ignorance de la population sur la question monétaire !

 

John Adams écrivait à Thomas Jefferson, en 1787 :

« Toutes les perplexités, désordres et misères ne proviennent pas tant de défauts de la Constitution, du manque d’honneur ou de vertu, que d’une ignorance complète de la nature de la monnaie, du crédit et de la circulation. »

Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi des Banques Nationales :

« Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d’un côté, et les banques de l’autre, dans une lutte telle que nous n’avons jamais vue dans ce pays. »

Et l’industriel Henry Ford a dit :

« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »

 

L’éducation du peuple, voilà donc la solution.

Et c’est justement la formule de « Vers Demain ». Ah ! si tous les créditistes comprenaient leur responsabilité de répandre « Vers Demain » ! Le Crédit Social, qui établirait une économie où tout est ordonné au service de la personne humaine, a justement pour but de développer la responsabilité personnelle, de créer des hommes responsables. Chaque conquête d’un esprit au « Crédit Social » est une avance. Chaque personne formée par le « Crédit Social » est une force, et chaque acquisition de force est un pas de plus vers la victoire. Et depuis 69 ans, que de forces acquises !… Et si elles étaient toutes actives, le Crédit Social, c’est réellement avant demain matin qu’on l’aurait !

Comme l’écrivait Louis Even en 1960 : « L’obstacle n’est ni le financier, ni le politicien, ni aucun adversaire déclaré. L’obstacle est seulement dans la passivité d’un trop grand nombre de créditistes qui souhaitent bien voir venir le triomphe de la cause, mais qui laissent à d’autres le soin de la promouvoir. »

Louis Even

Louis Even

En somme, c’est le refus d’endosser notre responsabilité. « A ceux qui ont beaucoup reçu, il sera beaucoup demandé. » (Luc 12, 48.) Examen de conscience, chers créditistes ! Conversion personnelle, un petit coup de coeur et endossons nos responsabilités ! Nous n’avons jamais été aussi près de la victoire !

Notre responsabilité, c’est de faire connaître le Crédit Social aux autres, en les faisant s’abonner à Vers Demain, le seul journal qui fait connaître cette brillante solution. »

Aujourd’hui, quatre-vingts-ans après le début des prédications de Louis Even, si le mouvement des gilets jaunes arrive à maîtriser la violence et à sensibiliser le grand nombre à l’imposture bancaire, nous toucherons peut-être au but: La fin de cette mafia sinistre, génératrice de tant de guerres et de révolutions meurtrières.

Cette vidéo est intéressante en ce qu’elle décortique de façon simple et avec humour le fonctionnement crapuleux à la base, de l’argent-dette de cette gigantesque escroquerie appelée « système bancaire » !

 

*

 

Trésor Public

Trésor Public ? Jusqu’à quel stade de spoliation serons-nous disposés à aller ? Au secours, on  peut plus payer, les citrons sont à sec !!

Entre l’Aide Française au Développement (pays démunis), les deux millions de fausses cartes de sécu, l’A.M.E, le coût de l’immigration, le coût des vaisselles, taxis, piscines, etc… de nos Mamamouchis ripoublicains, l’évasion fiscale des très gros poissons, les milliers de comités et d’officines pour les copains, les anciens présidents de la république… j’en passe et des meilleures !

ON EN PEUT PLUS !

Alors faut-il s’étonner de tous ces poujadistes et complotistes en gilets jaunes qui fleurissent avant le printemps ?

Cette petite vidéo sur notre très cher Trésor Public en dit plus que des tartines de baratin soporifique de François Lenglet sur BFM-WC !

La fin est étonnante… Sans doute l’effet de l’eau bénite.

 

 

Michel Onfray et les Gilets Jaunes

N’ayant pas une plus grande sympathie que cela pour Michel Onfray qui se dit « de gÔche » et « sioniste pro-palestinien » (??) … Je laisserai donc ici de côté ses arrières-plans idéologiques un tantinet funambulesques.

Il semble cependant qu’il évolue vers une certaine lucidité et j’ai bon espoir qu’il ne se retrouve bientôt que tout bêtement Français, laissant derrière lui ces oripeaux droite/gauche guignolesques et paralysants hérités de la tragi-comédie rouée de 1789 d’une part, et des prises de positions au Proche Orient qui ne le concernent a priori nullement, d’autre part.

Je trouve par contre son texte sur les gilets jaunes, reproduit ci-dessous, assez joli, plaisant sur le fond et rempli d’une belle musicalité:

 

“CELUI QUI SE VEUT JUPITER N’A RIEN D’UN HERCULE: SA STATUE NE TIENT QUE PARCE QUE LES GILETS-JAUNES LA PORTENT ENCORE…”

 

Tout à sa propagande, le régime macronien en fait des tonnes: comme il fallait s’y attendre, il instrumentalise les morts de l’attentat de Strasbourg en prétendant que les gilets-jaunes, s’ils ont un peu de décence, bien sûr, ne pourront que suspendre leur mouvement. Il fait savoir par la presse qui relaie les éléments de langage du gouvernement en long, en large et en travers, que ces gilets-jaunes, qui sont déjà des casseurs, des anarchistes, des racistes, des homophobes, des crétins, des antisémites, des chemises-brunes, des vichystes, des pollueurs, des climato-sceptiques, en grattant juste un peu on pourrait même peut-être aussi trouver des nazis, seraient des moins que rien, qui danseraient sur les tombes des cadavres d’un attentat, s’ils descendaient dans les rues de la capitale afin de défendre leurs idées.

« Libération », qui est l’instrument de la propagande des idées de ce régime, a pondu la Une de la semaine: un petit bandeau pour un ixième attentat islamiste sur le territoire national, et le restant de la page en faveur des casseurs lycéens assis sous surveillance policière. Ici, en passant: un acte terroriste islamiste, peanuts selon la rédaction. Là: une ribambelle d’ados, qui sentent encore l’essence du cocktail Molotov, présentés comme des victime d’une police fascistoïde. L’information majeure du jour selon la même rédaction! Cette minoration du terrorisme et cette majoration d’une opération de maintien de l’ordre républicain révèle bien la ligne de ce journal qui donne le ton: à Paris, l’ennemi n’est pas Chérif Chekatt, un combattant clairement revendiqué par l’État islamique, non, mais la préfecture de Mantes-la-Jolie.

Pauvre et sinistre Joffrin!

Après avoir criminalisé les gilets-jaunes qui manifesteraient à Paris tout en décriminalisant le terroriste islamiste de Strasbourg, le pouvoir a donné ses chiffres de ce cinquième samedi qui, en fin de journée, arrivent en rafale sur l’écran de mon portable avec les alertes: moins de gens, manifestations moins suivies, moindre participation, chiffres en baisse, essoufflement des gilets-jaunes – c’est, en cascade, une variation sur ce même thème.

Or les chiffres sont donnés par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et l’on sait combien les écarts entre les estimations de la police et celles des organiseurs sont depuis toujours caricaturales: jadis, 15 personnes selon Gérard Colomb, c’étaient 15.000 selon Mélenchon quand il s’agissait d’une manifestation de La France insoumise -même chose avec les autres organisateurs de manifestations, quelles qu’en aient été les couleurs… Mais quand il y a deux menteurs en lisse, les deux mensonges s’annulent: on savait que le chiffre se trouvait quelque part entre plus que 15 et moins que 15.000!

Or, dans le cas des gilets-jaunes, il n’y a qu’un seul menteur puisque les gilets-jaunes n’ont pas un seul meneur qui pourrait en retour lui aussi mentir: dès lors, le ministre dispose d’un boulevard pour affirmer n’importe quoi et donner le chiffre de son choix -comme lors des soirées électorales dans les pays tenus par des dictateurs, il sait que ses amis journalistes lui donneront l’écho médiatique nécessaire, pourquoi dès lors se l’interdire? Or, dire n’importe quoi, Castaner ne se s’en prive pas, à presque chacune de ses interventions d’ailleurs. De sorte que, sur ce boulevard, on le voit rouler à tombeau ouvert pour y klaxonner ses contre-vérités, y claironner les éléments de langage fournis par l’Élysée, y jouer de la trompe de chasse avec la propagande des communicants du château. Il y a peu, ce benêt donnait une estimation de la participation d’une journée de gilets-jaunes sur toute la France à l’unité près en ne s’apercevant même pas, c’est dire la finesse et l’intelligence du personnage , que pareil détail tue puisqu’il ne dispose d’aucun moyen de comptabiliser les participants de ce mouvement de contestation sociale sur la totalité du territoire français. Autant annoncer, faussement savant, le nombre de grains de sable de Paris-Plage à l’unité près! N’importe qui se tordrait de rire en présence d’une telle mystification -sauf les journalistes…

Or, il se peut que les manifestants soient venus moins nombreux… à Paris. Si l’on veut faire pièce à la mine réjouie du pouvoir qui croit que la mobilisation faiblit et que le mouvement pourrit, on peut essayer de penser cet événement qu’est la foule amoindrie.

D’abord, il y a ceux qui en ont assez, parmi les gilet-jaunes, d’être traités de tous les noms -rappelons-les: casseurs, anarchistes, racistes, homophobes, crétins, antisémites, chemises-brunes, vichystes, pollueurs, climato-sceptiques… Il faut avoir le cuir dur pour supporter ces insultes déversées en permanence sur les médias et l’on ne peut mésestimer que d’aucuns, dans leurs discussions avec des amis, des copains, des camarades, des collègues, des voisins, n’en peuvent plus de passer pour ce qu’ils ne sont pas alors qu’ils demandent juste que l’État maastrichtien, puisqu’il n’y a plus d’État français, cesse de les étrangler. Je le rappelle: ces fascistes, ces vichystes, ces racistes, etc, demandent juste de quoi offrir des jouets à leurs enfants ou à leurs petits enfants à Noël. Passer pour un casseur ou un antisémite, pour un raciste ou un homophobe peut peser trop lourd, à force, chez tel ou tel qui peut décider de poser sa valise…

Par décence, et Orwell n’a cessé de rappeler qu’il existe un sens de “la décence commune ” chez les gens simples, certains n’ont peut-être pas souhaité non plus passer pour des charognards en se déplaçant à Paris alors que le pouvoir avait culpabilisé les manifestants en annonçant que, manifester malgré les morts de l’attentat de Strasbourg, ce serait se comporter comme un chien.

En dehors de la haine, du mépris, de la culpabilité, de la décence, il peut y avoir également de la fatigue: à quoi bon, se disent certains qui comprennent très bien que le gouvernement joue le pourrissement à quelques encablures de Noël? Macron va vers un Noël au champagne (sorti des caves de l’Élysée et payé par le contribuable…) pendant que nombre de gilets-jaunes vont vers un Noël au mousseux (acheté au Lidl d’à-côté et payé avec les économies faites explicitement pour préparer cette fête familiale)…

Et puis, il faut également compter avec des gilets-jaunes abusés, trompés, embobinés, enfumés. Car, dans son allocution télévisée, Macron a annoncé un certain nombre de propositions -dont une hausse du SMIC de 100 euros. C’est spectaculaire, même si nombre d’économistes ont depuis démontré qu’il s’agissait d’un enfumage puisque le jeu de bonneteau ne permet pas à proprement parler d’une hausse du SMIC! Mais une partie des gilets-jaunes a pu se contenter de ces miettes et baisser les bras pour le reste en estimant qu’ils n’obtiendraient ni la démission de Macron, ni de nouvelles institutions, ni une dissolution de l’Assemblée nationale, ni quoique ce soit de spectaculaire. Le président de la République savait qu’avec ce menu fretin il pêcherait tout de même quelques poissons. Quelques-uns ont été hameçonnés. Pour qui a faim, un quignon de pain rassis suffit à sa peine: à quoi bon se battre pour réclamer l’autogestion de la boulangerie?

Enfin, et il me semble que c’est la raison majeure: il y a le coût que représente pour des gens pauvres ou modestes un déplacement à Paris! On peut en effet se faire insulter et mépriser, culpabiliser et criminaliser sans courber l’échine, les pauvres sont gens durs à la douleur et ils ne sont pas du genre à geindre, se plaindre, chouiner -ou à demander une consultation sur un divan…

Symboliquement, ce fut pour les gilets-jaunes une performance de venir à Paris -d’y “monter” comme il est dit parfois avec un peu de la déférence et de la crainte qu’il y a à se diriger vers les marches du château où loge son patron. Les mêmes ajoutent qu’on “descend en province”. Cette façon de parler suppose qu’il existerait une ascension vers le ciel parisien qui se doublerait d’une descente vers la campagne. On monte au ciel de Paris et on descend aux enfers des régions…

Car, parmi ces journalistes qui gagnent entre quatre ou plus de quarante fois le SMIC -les noms sont à lire en note…- qui peut avoir présent à l’esprit ce que signifie une journée de manifestation à Paris? En voiture, en train ou en bus (pas en avion, ça c’est le moyen de transport de ceux qui crachent sur les gilets jaunes traités de pollueurs…), il faut payer le voyage; on peut certes emporter un casse-croûte, mais il en faut au moins deux quand on fait l’aller et retour dans la journée car il est impensable qu’un gilet-jaune s’offre une chambre pour rester le soir à Paris! Trop cher… Impensable… Impossible… Inconcevable… Si l’on veut s’offrir une bière dans la capitale avec son sandwich, tout dépend du quartier, mais il est certain que la commande fera un trou dans le budget. Quand on manque d’argent pour vivre, on ne peut distraire cinq fois de suite un budget qui se compte en une vingtaine d’euros pour un samedi ou en centaine d’euros pour cinq samedis. Un gilet-jaune est à cinq euros près.

Quel journaliste le dira? Quel éditorialiste spécialisé en économie sur une chaine d’information continue diligentera un sujet qui permettrait de chiffrer la journée d’un gilet-jaune qui a décidé de venir du Finistère ou du Bas Rhin, des Pyrénées Orientales ou de l’Hérault pour manifester à Paris? Lequel donnerait en même temps le salaire des journalistes vedettes de sa chaîne? Ou le sien?

Macron qui fut banquier à la banque Rothschild sait que les pauvres ne peuvent venir indéfiniment à Paris avec leurs salaires de misère. Pour l’heure, il s’essaie à tout :la calomnie et l’insulte, le mépris et la criminalisation, la culpabilisation et l’essoufflement, l’enfumage et le pourrissement. Avec lui, les journalistes sont au taquet.

A Paris, au palais de l’Élysée et dans les rédactions des journaux maastrichtiens, on regarde les provinciaux souffrir et mourir comme un sadique observe dans le terrarium le serpent constrictor qui étouffe sa victime: il sait que le lapin va crever, c’est écrit… C’est un spectacle digne des empereurs romains de la décadence. Mais il peut aussi donner envie de vomir à qui dispose encore d’humanité. Vomir ou continuer ailleurs qu’à Paris.

Les gilets-jaunes sont un mouvement girondin et provincial, régional et rural: aller à Paris, c’était faire le jeu du jacobinisme. Il était tentant d’exprimer sa colère dans la capitale, d’aller faire entendre ses slogans et ses revendications sous le balcon d’un roi retranché dans ses appartements. La chose a eu lieu; c’est bon.

Mais il s’agit maintenant de continuer ailleurs que sur le terrain de l’adversaire qui dispose de tous ses moyens dans la capitale, chez lui -il y a ses blindés et ses journalistes, ses médias et ses escadrons, ses provocateurs et ses casseurs faciles à instrumentaliser.

Dans Paris, le mouvement des gilets-jaunes est médiatiquement saisissable, donc politiquement maîtrisable, en même temps que politiquement saisissable, donc médiatiquement maîtrisable. Partout ailleurs qu’à Paris, il devient insaisissable. En se faisant girondin et non jacobin, il devient plus fort. S’il n’a qu’une seule tête il est facile à décapiter, s’il en a des milliers, il est une nouvelle Hydre de Lerne dont seul un Hercule pourrait avoir raison. Or celui qui se veut Jupiter n’a rien d’un Hercule: sa statue ne tient que parce que les gilets-jaunes la portent encore…

 

Michel Onfray.

 

 

Liste des 214 taxes et impôts

Liste des 214 taxes et impôts

Liste des 214 taxes et impôts

 

Liste des 214 taxes et impôts: A côté de « l’ultra-libéralisme » dûment réservé à la Nomenklatura du CAC40 et aux banquiers apatrides, la France est bien un pays quasi-communiste avec plus de 45% du PIB racketté par l’Etat par le biais d’un système de pompes aspirantes ultra-perfectionné: Pas moins de 214 taxes et impôts font de notre malheureux pays le plus handicapé au monde.

Ainsi c’est 1000 Milliards d’Euros qui rentrent dans les caisses de l’Etat en 2018 !

 

Les 214 taxes et impôts en France

 

 

Et on veut encore nous faire croire que l’Ancien régime écrasait le peuple avec la dîme !!

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11 Septembre 2001: L’heure de vérité approche

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11 Septembre 2001: L’heure de vérité approche.

 

Nous y sommes presque:

Un Grand Jury aux USA va mener une nouvelle procédure.(Un grand jury est une institution au sein d’un tribunal qui a le pouvoir de mener une procédure officielle pour enquêter sur les potentiels actes criminels et déterminer si des accusations doivent être retenues.)

Le grand jury peut exiger (subpoena) la production de documents et la comparution de témoins sous serment. Actuellement, seuls les États-Unis utilisent des grands jurys.

Ceci a été rendu possible sous la pression d’associations de juristes, architectes et ingénieurs décidées à ré-ouvrir le dossier de l’attentat sous faux drapeau du 11 Septembre 2001. ​

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