Vous avez dit « antisémitisme » ?

 

Cet article n’a pas pour but de s’en prendre à des personnes, ayant chacune droit au respect en tant que Créature de Dieu.

Que l’on ne déforme pas les propos de cet article.

C’est à un réveil et à un réarmement spirituel qu’il convient d’appeler les Gaulois. « Ils » sont forts parce que nous sommes faibles… ou plus exactement nous sommes faibles parce que bernés en permanence: Il est facile de bâtir une domination sur des gens trépanés d’une grande partie de leur esprit critique !

Je renvois également à l’article sur l’origine khazare de la plupart des Juifs aujourd’hui.

Par conséquent:

Aucun appel à la violence ici, mais un appel au réveil des intelligences et de l’esprit critique:

Simple !

Il est aujourd’hui devenu monnaie courante de se faire joyeusement traiter d’antisémite lorsque vous évoquez par exemple le rôle des cartels financiers apatrides Rotschild par exemple. Ainsi mettre en accusation les groupes responsables historiques du système d’esclavage par l’argent-dette inventé par ces gens est « antisémite » ! Fort bien.

34.000 milliards de dollars pour la fortune des Rotschild et 2000 milliards de dette pour la France: vous saisissez ?

Vous êtes également traité d’antisémite si vous suggérez qu’il est tout de même abusif que le personnel-cadre de « France-Inter » par exemple soit constitué à 90% de personnes d’extraction juive, alors que cette population ne représente environ que 1% de la population totale de notre pays ! Une simple constatation d’ordre statistique, est donc également antisémite ! Diable !

Dernier exemple évidemment avec la Palestine: De quel droit les Israëliens ont-ils exproprié, chassé et parqué dans des réserves les habitants originels de ce pays ? Ces Israëliens qui demandent le respect pour eux-même…D’où tirent-ils ce droit de persécution et d’impunité ? La question se pose, bien qu’aucune réponse rationnelle ne soit avancée. Simplement la poser relèverait donc de l’antisémitisme encore une fois ?

Pour la personne ne connaissant pas les arrière-plans de ces simples questionnements dictés par le plus élémentaire bon sens, mieux vaut sans doute, pense-t-elle, rester dans le flou artistique, sous peine de se voir immédiatement couverte d’infâmie au plus léger début de réflexion… Certes, se dit-elle, mais après tout c’est ainsi …

Ce que cette personne ne sait pas par contre c’est qu’il existe des éléments de réponse rationnels se situant dans les traditions religieuses et donc culturelles. Ne se nomment-t-ils pas eux-même « le peuple élu » ?

Il n’est donc pas étonnant s’estimant élus de Dieu lui-même, qu’ils aient codifié leurs rapports avec les autres peuples dans un écrit comme le Talmud. Dès lors leur attitude tend à s’éclaircir quelque peu.

 Il n’est plus possible de ne pas pouvoir examiner librement les effets des présupposés religieux et culturels d’un groupe humain parmi d’autres sur les autres groupes humains à la surface de cette terre !

(Texte trouvé sur : https://fr.osdn.net/projects/bexlib/lists/archive/devel/2009-January/002950.html)

 

« Dans la vision du monde des Juifs, le goy (goyim au pluriel) est le non-juif. Il est considéré comme une bête. D’après le Talmud, de loin le plus influant des textes sacrés du judaïsme, il vaut moins qu’un chien. Sa seule vocation est donc de servir son maître Juif sans jamais pouvoir se plaindre. Autrement, il passe pour “raciste”, “antisémite” et les Juifs feront tout pour lui en faire subir les conséquences.

En démocratie, l’information est censée être libre et plurielle. En réalité, les médias importants sont entièrement entre les mains des Juifs, et ce dans pratiquement tous les domaines.

Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades, au pire des monstres incarnant le diable. L’antisémitisme serait le mal absolu et, désormais, l’antisémite c’est celui que les Juifs n’aiment pas.

L’antisémitisme, condition de notre survie:

Avant la Première guerre mondiale, il y avait moins de 100.000 Juifs en France pour 42 millions d’habitants. De nos jours, ce nombre est passé à environ 600.000, soit moins de 1 % de la population totale du pays. Au départ, il s’agissait surtout de Juifs ashkénazes, originaires de différents pays européens. Mais depuis les années soixante, la grande majorité d’entre eux est représentée par les Séfarades ou “Juifarabes”, venus d’Afrique du nord.

Autant dire qu’ils ne représentent en rien une quelconque communauté homogène. En leur sein, les individus au type européen côtoient ceux à l’aspect négroïde, révélant les véritables origines de chacun. Et pourtant, leur seule référence identitaire commune est de nature généalogique, pour ne pas dire génétique. Serait vraiment “juif ” celui qui a du “sang juif”, en principe celui transmis par voie maternelle mais, de facto, une telle distinction est maintenant devenue caduque. Bien des Juifs à l’affirmation identitaire péremptoire doivent leur judéité à un grand-père qui n’avait d’autres soucis que de faire oublier ses encombrantes “racines hébraïques”.

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs “décisifs” de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une “race supérieure” spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.

Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout “réussi” avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet.

Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de “racisme” ou d’”antisémitisme”, en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse “maladie criminelle” passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste.

Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Donc davantage de pouvoir aux Juifs.

Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger.

Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires.

Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.

D’ailleurs, les Juifs eux-mêmes tiennent jalousement à préserver leur particularisme, une des conditions de leur solidarité communautaire, garantissant leur réussite. Ne se targuent-ils pas de descendre d’Abraham, un bédouin arabe ayant vécu il y a près de 4000 ans dont ils s’efforcent de préserver l’héritage génétique en recommandant une stricte endogamie !

Les Juifs ont beau ainsi nous faire croire qu’ils sont comme nous, en réalité, ils sont surtout contre nous. Ceux qui se prétendent “français” ne sont que des hypocrites et de vils imposteurs, espérant profiter de la naïveté ou de la démission de leurs victimes.

D’où leur volonté de nous dénaturer, de nous déraciner, sur le sol de notre propre patrie. Il faut pour eux que nous cessions de nous réclamer de nos racines européennes pour ne plus être que de simples résidents de France, comme eux-mêmes, comme n’importe quel immigré.

Leur litanie : la France, terre d’immigration ! Terre de brassage ! Terre des Droits de l’Homme.

Ce qui pour eux se comprend : de l’Homme juif, avec son regard rivé sur Israël et la défense de ses intérêts impériaux…

Mais ce qui est légitime pour les autres peuples ne pourrait que l’être pour nous-mêmes. Partout, on se réclame avec raison du terroir. Partout, on s’efforce de préserver les traditions, de valoriser les patrimoines collectifs, de réhabiliter les héritages du passé menacés par l’aliénation planétaire de la globalisation.

Il est donc pour nous parfaitement justifiable de chercher à défendre notre identité de peuple européen, de race blanche, sur nos terres. Si c’est cela le “racisme”, nous devons avoir le courage de l’assumer sans complexe.

D’ailleurs, quel peuple au monde ne serait pas alors “raciste” ? En tout cas, certainement pas les Juifs !

Résister à la domination juive qui promet de nous être fatale à brève échéance est pour nous plus qu’un droit, un devoir sacré. Les Juifs sont véritablement nos ennemis mortels, comme ils sont aussi en définitive les ennemis de toutes les nations du monde qu’ils vouent à la corruption de leur identité, à l’avilissement de leur culture, ou même pour les plus vulnérables, à la misère et à une servitude perpétuelle, jusqu’à leur disparition.

Déjà au premier siècle, comme le rapporte l’écrivain romain Tacite, on les accusait volontiers de “haïr le genre humain”!

Depuis, cela n’a fait qu’empirer.

Ils sont en effet les premiers responsables et les principaux bénéficiaires des idéologies les plus malfaisantes ayant sévi au cours des deux derniers siècles: le capitalisme, le socialo-communisme, l’antiracisme, l’individualisme asocial, le mondialisme néo-libéral…

Plusieurs dizaines de millions d’innocents ont péri par les guerres et les révolutions qu’ils ont fomentées et des milliards de gens qui ne leur ont jamais fait le moindre mal vivent maintenant dans l’humiliation et le désespoir. Même la survie de l’humanité se retrouve gravement menacée par la dégradation de la planète dans laquelle ils ont davantage contribué que tout autre groupe, étant donné leur exceptionnelle “réussite”…

Avec la globalisation que personne, en dehors des multinationales et de leurs profiteurs, n’a réellement souhaité, le voisinage des Juifs devient aussi mondial. Les mêmes causes provoquant les mêmes effets, comme fatalement, les sentiments de rejet à leur endroit ne cessent de se développer jusqu’aux recoins de la planète. A croire que ce que l’on qualifie d’”antisémitisme” est véritablement une réaction allergique qui se manifeste au seul contact des Juifs triomphants. Il n’y aurait alors que les abrutis par le discours antiraciste pour s’imaginer que la responsabilité en incombe au “préjugé raciste” qu’il conviendrait de combattre avec davantage d’endoctrinements et de répression. Si l’on veut enrayer le mal, ce n’est pas aux victimes de l’infection qu’il convient de pointer le doigt mais aux agents propagateurs de la maladie. Les Juifs sont porteurs d’antisémitisme, comme le vent du désert est porteur de sable. Tout esprit encore sain ne pourra qu’exprimer une réaction de rejet face aux manifestations intolérables de sémitisme dont ils font continuellement preuve. C’est donc ce dernier qu’il faut combattre si l’on cherche réellement à faire disparaître l’antisémitisme.

Depuis les origines du monothéisme hébraïque, par le biais de la doctrine de l’”élection divine” au profit exclusif de leur tribu, les Juifs se sont d’eux-mêmes exclus de la communauté des nations, rejetées avec mépris comme “goyim”.

Aujourd’hui, les membres de ces nations qui se sentent réellement exclus des affaires qui les concernent commencent à s’interroger à leur tour sur la place des Juifs dans le monde.

On ne saurait alors douter qu’ils ne tarderont à leur demander des comptes.

Ce ne sera jamais que justice. Un ultime espoir pour les opprimés et les vaincus sans défense que l’on a accablé des pires crimes qu’ils n’ont jamais commis.

« La seule chose grave à l’heure actuelle, pour un grand homme, savant écrivain, cinéaste, financier, industriel, politicien (mais alors la chose gravissime) c’est de se mettre mal avec les Juifs. – Les Juifs sont nos maîtres – ici là-bas, en Russie, en Angleterre, en Amérique, partout !… Faites le clown, l’insurgé, l’intrépide, l’antibourgeois, l’enragé redresseur de torts… le Juif s’en fout ! Divertissements… Babillages ! Mais ne touchez pas à la question juive, ou bien il va vous en cuire… Raide comme une balle, on vous fera calancher d’une manière ou d’une autre… Le Juif est le roi de l’or de la Banque et de la Justice… Par homme de paille ou carrément. II possède tout… Presse… Théâtre… Radio… Chambre… Sénat… Police… ici ou là-bas…” L.-F. Céline, Bagatelles pour un Massacre (1937)

“Son but immédiat (de la communauté juive organisée, ndlr), ne pourra être que de détruire l’état de choses existant ( je veux dire les traditions nationales du pays qui lui a donné l’hospitalité ) pour y instaurer un ordre nouveau selon lequel il ne sera plus tenu à l’écart mais complètement et définitivement agrégé , car c’est là le seul espoir , la seule évolution victorieuse d’un peuple qui est le seul au monde à n’avoir pas de patrie , détruire systématiquement toutes les patries des autres où il demeure en étranger pour qu’il n’y ait plus qu’une seule humanité où on ne le distinguera plus du reste des hommes.”

Marcel Jouhandeau, Le Peril juif (1972)

Voici un petit exemple des représentants de cette communauté organisée en France:

– ABECASSIS, Eliette. Écrivaine féministe engagée. Fille d’Armand ABECASSIS, spécialiste du judaïsme issu d’une famille juive du Maroc.

– ABEHSERA, Charles. Industriel du textile (Morgan) né dans une famille juive du Maroc.

– ABERGEL, Jacques. (ancien PDG de BFM et de la régie d’Europe 1 Le Nouvel Économiste)

– ADDA, Serge. Juif de Tunisie. PDG de Canal + puis TV5. Fils de Georges ADDA, leader du Parti communiste tunisien durant la période coloniale.

– ADJANI, Isabelle. Actrice juive originaire de Kabylie.

– ADLER, Alexandre. Journaliste et documenteur de télévision. Après avoir été militant socialiste puis communiste, il est devenu l’un des principaux propagandistes de la domination américano-sioniste, soutien de Bush, puis soutien de Sarkozy et Obama. Fervent partisan d’Israel, administrateur de l’Union libérale israélite de France et monte de diverses officines pro-juives. Il est également dignitaire franc-maçon. Son épouse, Blandine Kriegel (conseillère à l’Elysée), est la fille du juif bolchevique Maurice Kriegel-Valrimont, résistant communiste durant la guerre, puis député, décédé en 2006.

– AFFLELOU, Alain. Industriel, né dans une famille juive d’Algérie. Fortune estimée à 100 millions d’euros, l’une des plus grosses de France.

– AÏDENBAUM, Pierre. Maire PS du IIIe arrdt de Paris, président de la LICRA de 1992 à 1999 et président de la régie immobilière de Paris.

– ALIOT Louis : cadre du Front National, d’origine juive sépharade par sa mère. Secrétaire général du Front National, qu’il a contribué à aseptiser et shabbat-goyiser, avec l’aide de Marine Le Pen…

– ALPHANDERY, Edmond : député UDF, ministre de l’économie sous Balladur, en bon juif libéral il privatisa plusieurs banques (Banque nationale de Paris), Elf, Rhone-Poulenc…

– AMAR, Paul : juif d’Algérie, journaliste pédant pro-sioniste.

– Ammar Zvi (Sylvain) – Président du Consistoire Israélite de Marseille

– ANCONINA, Richard. Comédien, issu d’une famille juive de Tunisie.

– ANTHONY, Richard (né BETSCH) : chanteur, juif d’Egypte

– ARDITI, Pierre. Comédien, né d’un père juif. Marié à la comédienne juiveEvelyne BOUIX. Défenseur de l’immigration.

– ARON, Raymond : l’un des sociologues, philisophe et politologues les plus influents de France de l’après guerre. Défenseur du libéralisme à tout va. Décédé en 1983.

– ARTHUR (ESSEBAG Jacques, dit). L’animateur reconnu pour être “le plus con de la radio et ensuite, de la télé” (et aussi le plus vulgaire et le plus avide de tout, en particulier d’argent !) est né au Maroc dans une famille juive. Vulgaire, obsédé par le fric et les femmes (blanches de préférence), prosioniste. Sans doute l’un des pires responsables de l’abêtissement des émissions télé ces 20 dernières années. Vice-président d’Endemol.

– ASSAYAS, Olivier. Cinéaste, fils de Jacques Rémy. Frère du journaliste Michka ASSAYAS.

– ASSOULINE Pierre : journaliste de renom

– ATTALI, Jacques. Banquier et écrivain, d’une famille juive d’Algérie. Il est le fils d’un riche parfumeur algérois qui aurait voulu être rabbin. La famille s’est installée en France en 1956. Jacques Attali devient le conseiller spécial de Mitterrand dès le 11 mai 1981, puis, le président de la Banque européenne de développement où ses “largesses” pour lui-même et ses amis font scandale. Il a fait l’apologie de la puissance financière juive et milite pour l’entrée de la Turquie en Europe, mais également pour l’immigration venant du tiers-monde, et de la marchandisation de l’humain (du blanc de préférence). Son frère Bernard ATTALI était PDG d’Air France et cadre de diverses groupes financiers ou d ‘assurances, avant de se mettre au service des entreprises américaines opérant dans les rachats d’entreprises stratégiques en France.

– ATTIAS Cecilia : première femme de Nicolas Sarkozy, juive-tsigane de Moldavie par son père (nom de famille « Ciganer »), et juive espagnole par sa mère (« Albenitz »). Se déclara fière de n’avoir aucune goutte de sang français. A peine son mari élu, ils s’empressèrent de divorcer, et parti se marier avec le juif new-yorkais Richard ATTIAS.

– AYACHE, Alain. Patron de presse dans le genre “people”, issu d’une famille juive d’Algérie.

–AYACHE Jennifer : chanteuse de Superbus, juive par son père, fille deChantal LAUBY, du groupe comique « Les Nuls », elle même en partie juive hongroise.

– AZOULAY, Jean-Luc. Juif originaire d’Algérie. Co-fondateur avec son compatriote Claude BERDA du groupe AB, produisant des films et animations télévisuelles destinées à la jeunesse.

– BACRI, Jean-Pierre. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.

– BADINTER, Robert. Alors qu’il était avocat de la LICRA contre Robert Faurisson, Mitterrand en fit son ministre de la justice en 1981. Président du Conseil Constitutionnel en 1986. Il siège toujours au Conseil représentatif des institutions juives et du Fond social juif unifié. Sa seconde épouse, la féministeElisabeth Badinter, est la fille du publiciste milliardaire Marcel Bleustein-Blanchet (fondateur de Publicis Groupe SA) et la petite-fille du communard Edouard Vaillant (1840-1915). Les principales actions politiques à mettre au crédit de Badinter sont l’interdiction de la peine de mort, et la dépénalisation des relations sexuelles homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans…

– BALASKO, Josiane (BALASCOVIC, dite). Actrice et cinéaste, née dans une famille juive venue de Yougoslavie. Belle-sœur de Richard BERRI et mère de la comédienne Marilou BERRI. Sioniste, et militante pro-immigration, pro-clandestin.

– BALKANY Patrick : membre fondateur du RPR, député-maire ripoux plusieurs fois condamné (ce n’est pas que les autres soient irréprochables, mais lui s’est au moins fait attrapé).

– BARBELIVIEN, Didier : auteur-compositeur, pape de la variété dégoulinante

– BARNEY, Phil (né Philippe Baranès) : chanteur, juif d’Algérie

– BARZACH, Michèle. Ancien ministre de la Santé de Chirac (198-61988, elle jugea que que le nuage de Tchernobyl n’aurait aucune incidence sur la santé publique…). Née le 11 juillet 1943 au Maroc dans une famille juive ashkénaze, elle a été compromise dans le scandale du sang contaminé par le sida.

– BAUER, Axel : chanteur

– BEART, Emmanuelle : actrice, père juif d’Egypte (Guy BEHAR, chanteur)

– BEIGBEDER, Frédéric : écrivain

– BEIGBEDER, Charles. Son frère, multimillionnaire, fondateur de Selftrade (courtage en ligne) et Poweo.

– BEDOS, Guy : juif d’Algérie, humoriste gauchiste et antifasciste.

– BELLAHSEN, Fabien – Directeur de la plus grande edition de cuisine internationale

– BENAYOUN, Michaël (dit YOUN) : « humoriste » et acteur vulgaire, auteur de films potaches et débiles.

– BENAZERAF, José. Issu d’une famille juive du Maroc, il est devenu le principal promoteur du cinéma pornographique en France dans les années 1970.

– BENGUIGUI, Jean. Comédien, juif d’Algérie.

– BENMAKHLOUF, Alexandre. Ancien conseiller de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Ancien directeur de cabinet de l’ancien Garde des Sceaux Jacques Toubon, magistrat influent.

– BEREGOVOY Pierre. Il était le fils d’Adrïan Beregovoy. Né le 23 décembre 1925 à Isum (Russie) dans une famille juive d’Ukraine. Plusieurs fois ministre puis premier ministre. Son frère Michel Beregovoy est député socialiste.

– BENAMOU Georges : journaliste, fondateur de Globe (avec l’aide de Pierre Bergé, pdg d’Yves Saint-Laurent, prohomosexuel, gauchiste), torchon gaucho-bobo, pro-Mitterrand, antiraciste. Soutien de Sarkozy dans les années 2000.

– BERRI, Claude (LANGMANN, dit). Acteur-producteur de cinéma. Père de l’acteur-producteur Thomas Langmann et de l’acteur Julien RASSAM.

– BERRY, Richard (BENGUIGUI, dit). Comédien, né d’une famille juive d’Algérie.

– BIRNBAUM, Michel : magnat de presse, patron de presse, dirigeant de Play Boy, BHM, Newlook et Rolling Stone

– BESNAINOU, Pierre : Fondateur et PDG de Liberty-Surf

– BESSON, Eric : juif par sa mère (Marie-Thérère MUSA). Homme politique de l’UMP, ministre, ultra-sioniste.

– BISMUTH, Gerard : Avocat au barreau de Marseille- premier Adjoint au maire d’Allauch- Ex président du PACUEJ

– BLOCH-LAINE François : Né le 25 mars 1912 à Paris, mort le 25 février 2002 à Paris); haut fonctionnaire; militant associatif (éducation populaire, logement, tourisme social, etc.). Père de Jean-Michel Bloch-Lainé.

– BLUM, Roland : né en 1945 dans les Bouches-du-Rhône en est depuis plus de 20 ans le Député. C’est le 1er député à avoir interpellé le gouvernement sur l’Affaire Al-Durah, ce reportage pouvant être une mise en scène au détriment de l’image d’Israël dans le monde

– BOCCARA, Bruno : L’un des plus grands avocats parisiens, spécialiste incontesté des baux commerciaux, auteur de plusieursouvrage et d’innombrables articles.

– BOOBA, nom de scène du « chanteur » de rap Elie YAFFA, idole de la génération racaille. sénégalais par son père, juif du Maroc par sa mère. Se dit « musulman » pour mieux vendre sa soupe à ses compatriotes des banlieurs.

– BOON, Dany (née Daniel HAMIDOU) : arabe par son père, chtimi par sa mère. Converti au judaisme. Marié à Judith Godrèche (juive) puis Yaël Harris (juive)

– BORLOO, Jean-Louis. Député et plusieurs fois Ministre sous Chirac puis Sarkozy, sioniste, affairiste et franc-maçon. Marié à Béatrice Schönberg (née SZABO), présentatrice à France 2.

– BOUBLIL, Alain : Directeur de cabinet de Pierre Beregovoy

– BOUJENAH, Michel : acteur juif sépharade.

– BOUSSEL-GRINBERG, Pierre : juif de Russie. Communiste puis trotskyste influent, modèle de Mélenchon et Besancenot, tout un programme…

– BOUVARD Philippe : présentateur tv, obsedé sexuel. N’a révélé sa judaité que récemment.

– BRANT, Mike: Son vrai nom Moshé Michaël Brand chanteur crooner israélien, né le 1er février 1947 à Famagouste (Chypre) et décédé le 25 avril 1975 à Paris.

– BRAUMAN, Rony. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières. Ses prises de positions en faveur des Palestiniens lui ont valu des critiques virulentes de la part des autres juifs.

– BREDIN, Jean-Denis. Né HIRSCH-BREDIN, devenu Bredin par décret du 16 mars 1950, ancien associé de Robert Badinter et académicien antiraciste.

– BREITMAN, Zabou. Actrice et réalisatrice de cinéma. Fille de lfacteur-réalisateur Jean-Claude Deret.

– BRUEL, Patrick (né BENGUIGUI). Chanteur, acteur et joueur de poker professionnel issu d’une famille juive d’Algérie.

– BRUNI Carla (née BRUNI-TEDESCHI) : pute d’envergure mondiale d’origine juive italienne, mariée à Sarkozy.

– BUFFET, Marie-Georges. Ministre communiste de la jeunesse. Son nom de jeune fille est KOSELLEK. Son directeur de cabinet est Gilles SMADJA, militant communiste, ancien chef du service société du journal lfHumanité.

– CAMBADELIS, Jean-Christophe. Fils de diamantaire originaire de Grèce. Spécialiste de la lutte contre glfextrême-droiteh. Membre du PS.

– CAMUS, Jean-Yves. Journaliste goy converti au judaïsme et qui, dans lfespoir de se faire accepter, fait de la surenchère de sionisme en se montrant enragé contre glfextrême-droiteh.

– CARLOS (DOLTOVITCH, Jean-Christophe, dit). Chanteur, issu d’une famille juive venue de Russie. Sa mère était Françoise DOLTO, médecin psychanalyste réputée.

– CAROLIS, Patrick De : journaliste et chef du groupe France Television.

– CASSEL, Vincent : acteur, juif par sa mère, Sabine Litique.

– CASTALDI, Benjamin. (Loft Story) : semi-juif, présentateur télé, petit-fils de Simone Signoret (née Kaminker).

– CHABAT, Alain. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CHAIN, Emmanuel : présentateur télé et producteur

– CHARVET, David (GUEZ, dit). Acteur et chanteur, issu dfune famille juive de Tunisie.

– CHATELAIN Jérémy : chanteur

– CHEMLA, Elisabeth. Journaliste au Nouvel Observateur et à Proche-Orient Info, originaire dfAlgérie. Elle sfest fait remarquer par son ultra-sionisme hystérique.

– CHEVENEMENT, Jean-Pierre. Ancien ministre socialiste, issu dfune famille (de lointaine origine juive suisse). Son épouse, la sculpteuse Nisa GRUNBERGest née en Egypte dans une famille juive et ses enfants sont juifs pratiquants.

– CHOURAQUI, Elie. Cinéaste, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– CITROEN, André : fondateur de l’empire industriel Citroën (en 1919). Juif hollandais par son père, juif polonais par sa mère.

– CIXOUS, Hélène. Universitaire et militante féministe. Sa mère était juive dfAllemagne et son père juif algérien.

– CLERC, Julien (né Leclerc) : juif par son père, haut fonctionnaire à l’UNESCO. Chanteur

– COHEN, David. (dit Dany BRILLANT) : chanteur, sans talent particulier

– COHN-BENDIT, Daniel : leader de mai 68, devenu leader « ecologiste » et nesioniste. Apologiste de la pédophilie, antiraciste fanatique…

– COLLARO, Stéphane : journaliste et prodcteur animateur de télévision

– COPÉ, Jean-François. Homme politique, juif roumain par son père (Copelevici) et mère juive d’Algérie.

– CORDY, Annie (née COOREMAN) : chanteuse, juive de Bruwelles

– CUKIERMAN Roger : président du CRIF de 2001 à 2007.

– DAENINCKX, Didier. Romancier médiocre et mouchard professionnel pour le compte du Mossad. On lui a attribué comme nom de code glfahuri des poubellesh.

– DAHAN , Etienne. (dit DAHO) : chanteur

– DANIEL, Jean (BENSAÏD, dit). Essayiste et journaliste, responsable du Nouvel Observateur. Il est le 11e et dernier enfant dfune famille juive pieuse. Confident de François Mitterrand.

– DARMON, Gérard. Comédien, issu dfune famille juive dfAlgérie.

– DASSAULT, Serge. Fils de Marcel DASSAULT (né BLOCH). Industriel multicarte. 3e fortune de France. Marchant d’armes, patron de presse (Le Figaro), maire de Corbeil-Essone, sénateur. Ultracapitaliste et sioniste, il se déclare malgré tout admiratif du système social et de l’emploi chinois, se désolant de l’existence des grèves et des syndicats.

– DASSIN, Joe (né Joseph Ira DASSIM) : juif américain de New York, chanteur à succès en français

– DAVE : Son vrai nom Wouter Otto LEVENBACH, est un chanteur juif néerlandais populaire en France, francophone et quasiment inconnu aux Pays-Bas.

– DAYAN, Josée. Réalisatrice de cinéma, née en Algérie.

– DEBRE, Michel. L’ancien Premier ministre (décédé) du général de Gaulle a renoué avec ses racines juives au crépuscule de sa vie. Il était petit-fils du grand rabbin Simon Debré, originaire d’Alsace. Parmi ses enfants, on peut citer Jean-Louis DEBRE, Président de l’Assemblée nationale très proche de Chirac etBernard DEBRE, urologue, ancien député et ministre de la Coopération.

– DECHANNE, Christophe (né Dechavanne-Binot) : juif par sa mère

– DELANOE Bertrand : juif de Tunisie par son père. Elu socialiste, mai de Paris, militant homosexuel fanatique, prosioniste, pro-immigration. Sous son règne, Paris a réussi l’exploit d’être encore plus dégénérée.

– DELON, Anthony: acteur, son père est Alain Delon, sa mère est la juive Francine Canovas, fille de la famille Juive Marrane du même nom ayant vécu sous le protectorat français au Maroc, dans la ville d’Oujda.

– DERAI, Yves. Directeur des programmes de la radio BFM (dirigée par Alain Weil), la radio du big business qui n’hésite pas à inviter ses auditeurs à aller à la fête de Lutte ouvrière. Ancien directeur de Tribune juive (1993-1998).

– DERRIDA, Jacques. Ecrivain (décédé en 2004), issu d’une famille juive d’Algérie.

– DESIR, Harlem. Premier leader de SOS-Racisme, devenu ensuite député h européen h du groupe socialiste. Son père est dforigine martiniquaise et sa mère juive dfAlsace.

– DIEFENTHAL Frédéric : acteur et producteur

– DISTEL, Sacha : chanteur, juif de Russie

– DRAI, Pierre. Lfancien Président de la cour de cassation est également président de lfAssociation des Amis de lfuniversité de Jérusalem.

– DRAY, Julien. Politicien né dans une famille juive dfAlgérie. Il milite à la Ligue communiste révolutionnaire jusqufen 1982. Devenu agitateur professionnel pour le compte du parti socialiste, il est avec Harlem Désir à lforigine de la création de SOS-Racisme. Il avait défrayé la chronique en achetant en liquide une montre de 250.000 francs (plus de 38.000 euros). Antiraciste obsessionnel.

– DREYFUS, Tony. Député-maire PS du Xe arrondissement de Paris.

– DRUCKER, Michel. Animateur de télé, juif de Roumanie par son père Abraham Drucker. Son frère Jean Drucker (décédé en 2003) était PDG de télévision (Société Française de Production, Antenne 2 et ensuite M6). Ce dernier laisse deux filles, Marie Drucker, présentatrice à France 3 et Léa Drucker, comédienne.

– DRUON, Maurice. « résistant » des ondes de la BBC à Londres, il écrit le chant bolchévique « le chant des partisans ». Secrétaire perpétuel de lfAcadémie Française. Neveu de lfécrivain Joseph Kessel dont la famille juive est originaire de Lithuanie.

– DUTEIL, Yves : chanteur, petit neveu du capitaine Dreyfus.

– ELBAZ, Vincent : acteur

– ELBE, Pascal : acteur

– ELKRIEF, Ruth : journaliste

– ELMALEH Gad : humoriste et acteur juif du Maroc.

–EMMANUELLI Henri : financier, député et ministre socialiste

– ENDERLIN, Charles : journaliste à la double nationalité française-israelienne. Fut notamment correspondant de France 2 en Israel.

– ESSEL, André. Militant trotskyste. Fondateur de la FNAC avec le milliardaire franc-maçon Max Théret.

– ESTIER, Claude. Ex-président du groupe socialiste au Sénat. Né ClaudeHASDAY EZRATTY dans une famille juive dfAlgérie. Comme bon nombre de juifs en France, il a obtenu de changer son nom, en ESTIER en 1983. Ami personnel de Mitterrand, député et sénateur.

– FABIUS, Laurent. Ancien Premier ministre et Président de lfAssemblée nationale socialiste, compromis dans le scandale du sang contaminé par le virus du sida. Son père, André FABIUS, était un richissime marchand de tableau. Sa mère, née STRASBURGER, est issue dfune famille de bijoutiers juifs de Francfort. Il est le principal promoteur de la loi Fabius-Gayssot de 1990 qui a mis fin à la liberté dfexpression en France, et ensuite celle de 1996, qui institue la délation pour permettre aux associations gantiracistesh sous domination juive dfimposer la terreur de la pensée unique. Sans conteste l’un des juifs les plus néfastes de France.

– FARRUGIA, Dominique : acteur, humoriste . D’origine maltaise (donc sémite), mais converti au judaisme

– FERRAT Jean (TENENBAUM, dit). Chanteur et communiste militant, pro-invasion de la France.

– FERRO, Marc. Historien médiatique. Juif par sa mère, née Nelly FRIEDMANN.

– FERRY, Luc. Ancien ministre de lféducation nationale et essayiste médiatiquement réputé.

– FIELD, Michel. Animateur télé. Ancien leader communiste.

– FINEL, Lucien. Né FINKELSTEIN. Maire du IVe arrdt. de Paris

– FINKELKRAUT, Alain. Essayiste médiatique et sioniste intransigeant, catalogué « extrême-droite » pour ses prises de position antiislam et parfois antiimmigration, qui ne doivent pas faire illusion sur son principal objectif, qui est bel et bien la défense de la république sioniste jacobine.

– FITERMAN, Charles (CHILEK, dit). Ancien ministre communiste. Fils dfimmigrés juifs polonais naturalisés en 1934.

– FOGIEL, Marc-Olivier : présentateur detestable.

– FONTENAY Genevieve De (née MULMANN) : juive d’Alsace, prit le pseudonyme de De Fontenay durant la guerre, pour une supposée appartenance à la Résistance, qui n’a jamais été prouvée.

– FORRESTER, Viviane (née Drefus) : romancière

– FOUCAULT Jean-Pierre : juif de Pologne par sa mère. A avoué sa judaité récemment.

– FRIEDMANN, Jacques. Inspecteur général des finances. Il est depuis quarante ans le plus proche confident de Jacques Chirac. En 1986, il a réussi à convaincre le Premier ministre de renoncer à la réforme du code de la nationalité destinée à freiner lfimmigration. Cette eminence grise-parasite est décédé en 2009.

– Serge GAINSBOURG, juif dont la famille est venue de Russie (Ginsburg), chanteur alcoolique et dépravé, sans voix, plagiaire de classiques, obsédé sexuel (femme blanche de préférence) et pro-inceste. Sa fille, Charlotte GAINSBOURG, est l’épouse de lfacteur-réalisateur juif Yvan ATTAL.

– GALES Sydney : Directeur de recherches au cnrs, responsable du plus grand laboratoire francais de physique nucleaire et president du comite europeen de cette discipline

– GAUBERT, Patrick. (son nom de famille est à la base Goldenberg) : Député européen et président de la LICRA depuis 1999, association ultra-sioniste comptant parmi ses membres dfhonneur Jacques Chirac (et auparavant, François Mitterrand).

– GEISMAR Alain. Principal leader de mai 1968 avec Daniel COHN-BENDIT, autre juif. Devient par la suite Inspecteur général de lfEducation nationale. Il se définit (Passages, octobre 1990), comme gissu dfune famille de Juifs alsaciens, des deux côtés, paternel comme maternelh. Son père, inspecteur de la Banque de France, fut permanent du Consistoire israélite.

– GIROUD, Françoise. (Léa Françoise GOURDJI, devenue Giroud par décret du 12 juillet 1964). Son père Salih Gourdji était originaire de Turquie. Sa mère sfappelait Elda Farragi. Journaliste et ministre, née dans une famille juive de Turquie.

– GLUCKSMANN, André. Essayiste dfextrême-gauche devenu sioniste enragé.

– GLUCKSTEIN, Daniel. Secrétaire général du Parti des gTravailleursh (trotskyste).

– GODRECHE, Judith (Godrèche est la version francisée de « Goldreich »): actrice, de parents émigrés juifs de Russie

– GOLDANEL, Gilles-William. Avocat sulfureux, président de l’Association France-Israël dont la devise est : “A son attitude à l’égard d’Israël, on peut juger de la valeur spirituelle d’un peuple”. Cette association sioniste fut fondée en 1929 sous l’égide des plus hautes autorités de l’Etat français (Président de la République, Président du Conseil des ministres).

– GOLDMAN, Jean-Jacques. Chanteur-compositeur, né des parents juifs, d’Allemagne pour sa mère et de Pologne pour son père. Ses chansons sont souvent pro-immigrés et crypto-antiraciste. Son demi-frère, un terroriste d’extrême-gauche, fut tué en 1979.

– GOSCINNY, René : juif de Pologne, écrivain et scénariste de bande dessinée(Asterix, Lucky Luke Iznogoud…), dans lesquelles il se moque de tous les clichés raciaux, sauf juifs bien sûr.

– GROSSER, Alfred. Universitaire, né dans une famille juive de Francfort. Apologiste de lfAllemagne national-masoschiste pour le public français.

– GUEDJ, Nicole. Avocate et ministre UMP née en Algérie. Membre du CRIF, de la LICRA et autres organisations communautaires juives.

– GUETTA, David. Animateur de boîte de nuit fréquentée par le gTout Parish. Né dans une famille juive originaire du Maroc.

– GUNZBURG, Alain de. Principal actionnaire du Monde, gendre du milliardaire Edgar B RONFMAN, n°1 mondial de l’alcool et Pdt du Congrès juif mondial.

– HABIB, Elie (Lolo) – Proprietaire des Vins Habib Freres et un des leaders de la communaute Juive Tunisienne

– HADDAD, Georges : Ancien president de la Sorbonne. President des presidents des universites. President de l’enseignement superieur a l’UNESCO.

– HADJENBERG Henri : avocat, président du CRIF de 1995 à 2001.

– HAIAT, Robert: Chef de service cardiologie, hopital saint-germain-en-Laye, actuel présde la société française de cardiologie

– HALIMI, Gisèle. Leader féministe devenue ensuite ambassadeur de France à l’Unesco. Née le 27 juillet 1927 à Goulette en Tunisie. Son vrai nom est Zeiza, Giselle, Elise Taïeb. Elle reçut l’autorisation de changer son nom par le décret paru au Journal officiel du 7 mars 1996. Son fils, Serge HALIMI est essayiste, spécialisé dans la critique des médiats et de la mondialisation mais évitant soigneusement de s’attaquer à la mainmise juive. Il est aussi diurecteur du « Monde diplomatique » depuis 2008

– HANIN, Roger (LEVY, dit). Comédien, né en Algérie. Il a adopté comme pseudonyme le nom de jeune fille de sa mère. gMon vrai nom, cfest Lévy. Mon père sfappelle Joseph Lévy. Ma mère Victorine Hanin. A lforigine, cfétait Ben Hanine. Cfest une fille Azoulay. Je suis 100 % casher sur le plan génétique. Je suis fils de communiste et petit-fils de rabbin. Je me sens très juif.h (Actualité juive, 4 décembre 1987). Ayant épousé la productrice de cinéma Christine Gouze-Rénal, il a eu pour beau-frère François Mitterrand.

– HANOUNA Cyril : juif sépharade, présentateur

– HALPHEN, Eric. Magistrat ripoux et politicien, fils de André Halphen, fondateur de Tele-poche.

– HALTER, Marek. Romancier juif originaire de Pologne. Chantre larmoyant de la préservation multi-séculaire de lfidentité biologico-ethnique judéo-khazar.

– HAZAN, Adeline. Ancienne présidente du très gauchiste syndicat de la Magistrature. Née dfun père juif égyptien, elle fait partie du gpremier cercleh de Jospin, qui lfa chargée des problème de la gVilleh.

– HERZOG, Philippe. Il est le fils dfEugène Herzog, ingénieur chimiste juif yougoslave immigré en France en 1927. Il était le principal économiste du Parti communiste gfrançaish.

– HOLLANDE, François : leader du Parti Socialiste, député, sioniste, antiraciste…

– HOSSEIN, Robert (HOSSEINHOFF, dit). Acteur et cinéaste, juif d’Ukraine

– JACOB, Catherine : actrice

– JAOUI, Agnes. Actrice.

– JEAMBAR, Denis. Directeur de la rédaction de L’Express. Comme il l’a expliqué à Tribune juive (14 mars 1996), il descend d’une famille juive du Comtat Venaissin : “Je suis d’origine juive par ma mère, bien que baptisé. Je me sens très attaché à Israël.” Ancien directeur général d’Europe 1, il fait du combat contre l’extrême-droite une de ses priorités.

– JENNIFER (née Jennifer YAEL DADOUCHE-BARTOLI) : chanteuse

– JONASZ, Michel : chanteur

– JOSPIN, Lionel. Lfancien premier ministre socialiste (ancien militant et taupe trotskyste) est issu dfune famille protestante mais ses deux épouses, successivement Elisabeth Dannenmuller et Sylvianne Agacinski sont juives et donc aussi ses trois enfants.

– JOUFFA, Yves. Ancien responsable socialiste. Enfermé au camp de Drancy en 1941-42, il en devient lfun des auxiliaires du gardiennage. Pour échapper à la déportation, il adhère ensuite à lfUGIF (organisation juive pro-Vichy) où son père était trésorier. De 1984 à 1991, il préside la Ligue des Droits de lfHomme.

– JOXE, Pierre. Petit fils de l’écrivain Daniel Halévy et fils de l’ancien ministre gaulliste Louis Joxe qui s’était converti au protestantisme. Pierre Joxe, militant marxiste, était inscrit à la CGT en 1981. Longtemps ministre socialiste.

– JULY Serge : militant communiste puis socialiste, fondateur de « Libération », qu’il dirigea de 1973 à 2006. Carrière oblige, ce juif reste malgré tout un proche de Sarkozy et consorts.

– KABLA, Gabriel : juif tunisien, medecin et President de la Fédération des Associations Juives de Tunisie F.A.J.T et de l’Amicale des Juifs de Jerba A.J.J

– KAHN, Jean-François. Journaliste né dfun père juif. Bien que se déclarant catholique etc agnostique, il a toujours milité aux côtés des Juifs. Il a pour frère Axel KAHN, biologiste.

– KAKOU Elie : humoriste juif de Tunisie, décédé

– KALFON, Laurie, epouse Maillard – Le top des 20 femmes d’affaires d’après l’Expansion

– KAREL, William. Cinéaste documenteur franco-américain né en Tunisie. Il a vécu une dizaine dfannées en Israël.

– KARMITZ, Marin. Président du MK2 Group (premier distributeur indépendant français) et président de la Fédération national des distributeurs de films, il a été à la pointe du boycott français du film La Passion de Mel Gibson.

– KASSOVITZ, Mathieu. Acteur et cinéaste. Né dans une famille juive originaire de Hongrie. Il est marié avec lfactrice antillaise Julie Mauduech, héroïne de gMétisseh.

– KAZAN, Alexandra : présentatrice

– KEPEL, Gilles. Universitaire, spécialiste médiatiquement réputé de lfislam.

– KIBERLAIN Sandrine (née KIBERLAJN) : issue d’une famille juive de Pologne. actrice, épouse de Vincent Lindon

– KIEJMAN, Georges. Avocat, ministre de la justice sous Mitterrand dont il était très proche. Il figure parmi les h 100 Juifs qui comptent h (numéro spécial de Passages, février 1989. Il est membre du Conseil de surveillance du Monde et était un proche de Mitterrand.

– KLARSFELD, Serge. Avocat devenu célèbre comme gchasseur de Nazish (en fait, quelques vieillards impotents, abandonnés de tous!). Son fils, Arno KLARSFELD est aussi avocat, célèbre, lui, pour son arrogance et sa médiocrité.

– KNOEBEL, Marc. Ancien vice-président de la LICRA. Militant sioniste fanatique payé par le Centre Simon Wiesenthal (USA), il ambitionne de devenir grand inquisiteur sur internet, par lfintermédiaire notamment de son officine gJfaccuse !h. Il cherche à faire interdire tous les sites critiquant Israël et les Juifs.

– KONOPNICKI, Guy. Activiste communiste devenu ensuite sioniste enragé. Issu dfune famille dfimmigrés juifs originaires de Pologne. Membre fondateur de SOS Racisme, il en démissionne le 18 janvier 1991 pour protester contre les positions pacifistes du mouvement pendant la guerre du Golfe. gCette fois, je le dis sans honte, jfai applaudi lorsqufun déluge de feu est tombé sur lfIrakh. Le soutien au Tiers-monde passe après lfintérêt dfIsraël.

– KOUCHNER, Bernard. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières, devenu ensuite ministre du gouvernement socialiste. En 1981, il a apporté son soutien au Renouveau juif pour faire battre Valéry Giscard dfEstaing. Nommé administrateur du Kossovo par Kofi Annan (Secrétaire général ghanéen de lfONU), il a des responsabilités directes dans lfexpulsion (parfois accompagnée de massacres) de plus de 150.000 serbes de leur pays dforigine. Étroitement lié au réseau de lfextrême gauche Marié à la journaliste juive Christine OCKRENT.

– KOXIE (née Laure COHEN) : chanteuse de varieté et r’n’b

– KRASUCKI, Henri (HENOCH, dit). Il a succédé à Georges Séguy comme secrétaire général de la CGT le 13 juin 1982. Sa mère, Léa Krasucki, née en 1903, a été une responsable du parti communiste polonais naissant dès 1920. Henri Krasucki a été envoyé a Auschwitz où il est indiqué comme ayant été gazé dans le Mémorial de la Déportation des Juifs de France de Serge KLARSFELD au titre du convoi n‹55 du 23 juin 1943c

– KRAWCZYK, Gérard. Acteur et réalisateur de cinéma.

– KAROUTCHI Roger : juif du Maroc, député, secrétaire national, cadre de l’UMP.

– KRIVINE, Alain. Leader de mai 1968, trotskyste, né dans une famille juive venue dfUkraine.

– LACAN, Philippe : psychanalyste de renom

– LAFORET, marie (née Maitene DOUMENACH) : chanteuse

– LALANNE, Francis : chanteur, juif libanais par sa mère

– LALONDE, Brice. h Ma mère est dfascendance écossaisec tandis que mon père venait dfune famille parisienne, dforigine alsacienne, aux racines juives h (Sur la vague verte). Son grand-père, Roger-Raphaël Lévy, et son père, Alain-Gauthier Lévy, ont changé leur nom en LALONDE après la Seconde Guerre mondiale (décret du 16 février 1950). Sa mère, née Forbes, a été naturalisée française. Le milliardaire Malcolm S. Forbes, ainsi que John Kerry, candidat à la présidence américaine contre G.W.Bush comptent parmi ses cousins. Elevé dans un milieu bourgeois (père gros industriel du textile), il a longtemps milité à lfextrême-gauche, notamment à lfUNEF, dont il était le président.

– LANCAR Benjamin : dirigeant de l’organisation des jeunes de l’UMP.

– LANG, Jack. Ministre socialiste né dans les Vosges dans une famille juive. Son épouse, née Buczynsky est issue dfune famille juive de Pologne. Il se considère comme h juif par sédimentation : mon père était un juif laïc, et ma femme, dforigine polonaise, vient dfun milieu beaucoup plus religieux. Nos enfants ont reçu une véritable éducation juive et ont été très actifs au sein de la communauté juive de Nancy h (Tribune juive, 21 janvier 1983). Lang est l’un des promoteurs de l’antiracisme et de la médiocrité culturelle en générale.

– LANZMANN, Claude. Directeur des Temps Modernes (avec Jean-Paul Sartre) et faiseur de films documenteurs (dont l’interminable et infecte « Shoah ») au profit du sionisme.

– LARUSSO (née Laetitia Serero) : chanteuse

– LAVILLIERS, Bernard (née OULION) : chanteur communiste

– LEHMANN, Clément : PDG de Arte

– LELOUCH, Claude. Cinéaste, né dfun père juif originaire dfAlgérie.

– LELLOUCHE, Pierre (ALLOUCHE, dit). Né le 3 mai 1951 à Tunis, h issu dfune famille juive traditionaliste h (Actualité juive, 1er mars 1989). Proche conseiller de Chirac, il est Président de lfAssemblée Parlementaire de lfOTAN depuis 2004.

– LEPAGE, Corinne. Avocate, devenue ministre de lfenvironnement du gouvernement Juppé. Elle est la fille de Jacqueline Schulman et de Philippe Lévy, autorisé à changer son nom en LEPAGE par décret du 18 février 1950.

– LEVI, Daniel : chanteur compositeur, auteur notamment de la BO du film Disney Aladdin et « l’envie d’aimer » (comedie musicale « les 10 commandements »

– LEVI-STRAUSS, Claude. Anthropologue et membre de lfAcadémie française. Longtemps porte-parole de lfantiracisme officiel avant dfêtre débordé par lfantiracisme extrémiste au point dfêtre accusé maintenant de tendancesc racistes.

– LEVY Daniel : Engagé a 100% dans le soutien à la cause israélienne, et également à celle de la paix au Proche-Orient. A ce titre, il a notamment été conseillé du ministre Yossi Beilin et un des principaux négociateurs israéliens lors de l’initiative de Genève (officialisée le 1er décembre 2003 après des mois de négociations).

– LEVITTE Jean-David. Conseiller diplomatique de Jacques Chirac de 1995 à 2000. Il est depuis lors le représentant de la France auprès de lfONU.

– LEVY, Bernard-Henri. Écrivain médiocre passant pour “philosophe” par la grâce des médiats. Né en Algérie d’un père juif, devenu millionnaire grâce notamment à l’exploitation du bois en Afrique et en Amazonie. C’est aussi un des proches de Nicolas SARKOZY, après avoir été proche de Mitterrand. Il se targue volontiers d’avoir beaucoup contribué à l’imposition de la terreur antiraciste en France. Sa fille, Justine LEVY est romancière. Sans conteste l’un des juifs les plus arrogants et néfastes de France.

– LEVY, Maitre Lionel : Ancien Président National de la Confédération des Avocats. Historien des livournais.

– LEVY Jean-Bernard : président du groupe Vivendi-SA. Fortune de France.

– LEVY, Laurent . Avocat du MRAP, marié à une musulmane. En septembre 2003, ses deux filles défraient la chronique en sfaffichant voilées à lfécole, avec son appui.

– LEVY, Maurice. Il est lfhéritier spirituel de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis, première agence de publicité en France. Sa famille est originaire du Maroc.

– LEVY, Raymond. Ancien président de Renault, aujourdfhui président du conseil de surveillance de Lagardère. Il entretient des relations privilégiées avec Dominique STRAUSS-KAHN.

– LINDON, Vincent. Acteur et réalisateur de cinéma. Appartient à une famille juive originaire de Pologne (LINDENBAUM) et des Pays-Bas (Citroën). Son oncle, Jerôme Lindon était le directeur des Editions de Minuit.

-LIPIETZ, Alain (LIPIEC, dit). Député européen des Verts. Issu d’une famille juive originaire de Pologne.

-LUMBROSO Daniela : présentatrice tv

– LUSTIGER, Mgr. (Aaron et ensuite Jean-Marie) Ce cardinal et archevêque de Paris sfest lui-même défini comme étant gà la fois juif et Chrétienh. Et se croyant drôle : gVous savez, il y a en France deux grands rabbins, un séfarade, Joseph SITRUK, et un ashkénaze, moi !h. Et pour finir : gOn ne peut pas, [on] ne doit pas convertir les juifsh, gJe suis juif et je le resteraih, gJe me sais juifh. (Documentation Catholique, 1 mars 1981, n‹ 1803, p. 139-140). Membre également de lfAcadémie française.

– MACIAS, Enrico (Gaston GHRENASSIA, dit). Chanteur juif originaire dfAlgérie.

– MAMOU, Dr. Jacky – Pediatre – Paris, president Medecins du Monde

– MANUKIAN, Hervé: auteur-compositeur indigeste

– MARCEAU, Marcel (MANGEL, dit). Mime comédien.

– MARCUS, Gérard. Richissime propriétaire dfune des plus importantes galeries de tableaux à Paris. Membre du bureau politique du RPR depuis 1985. Président du groupe dfamitié parlementaire France-Israël.

– MAROUANI, David : juif de Tunisie, chanteur du duo David et Jonathan

– MAROUANI, Felix & Daniel, fondateurs de la « showbusiness Dynasty », tous deux décédés.

– MASLIAH, Leon : Directeur du Consistoire Israelite de France

– MAY, Mathilda (HAIM, dite). Comédienne née d’un père juif de Turquie.

– MEDINA, Jean Luc: juif de Tunisie, avocat, Pr駸ident du CRIF Grenoble Is鑽e,Vice Pr駸ident de la F馘駻ation Nationale des Unions de Jeunes Avocats

– MEGRET Catherine (née RASCOVSKY): femme de Bruno Megret, née Rascovsky, de parents juifs de Russie.

– MELENCHON, Jean-Luc. Ancien ministre et sénateur socialiste, ripoublicain franc-maçon ultra jacobin, fanatique de la lutte contre le FN… Il a constitué un cabinet très axé à gauche . Attachée de presse : Valérie ATLAN, ancienne présidente de lfUnion des Etudiants juifs de France à Montpellier, ancienne responsable de la communication à SOS Racisme. Conseiller aux conditions et aux cadres de vie des élèves : Eric BENZEKRI, ancien cadre trotskyste. Conseiller technique pour les relations sociales : Daniel ASSOULINE, qui dirigea avec son frère David la Ligue ouvrière révolutionnaire, une chapelle troskyste.

– MENDES FRANCE, Pierre: issu d’une vieille famille juive du Portugal ayant émigré en France. Homme politique de la IIIème et IVème république, présidentdu conseil dans les années 1950. Politique parmi les plus nuisibles qu’ait connue la France Seul à s’opposer jusqu’au bout la participation de la France aux JO de 1936, bradeur de l’Empire colonial,etc- MONTAGNE Gilbert; chanteur de variété juif par sa mèree

– MEZRAI, Raphaël : humoriste juif sépharade

– MEMMI, Albert. Ecrivain juif originaire de Tunisie. Imposé par les médiats comme spécialiste du racisme et porte-parole dec lfanti-colonialisme.

– MILLER, Claude. Réalisateur de cinéma.

– MILLER, Gérard. Psychanalyste communiste et homme de télévision, issu dfune famille juive originaire de Pologne. Il est devenu médiatiquement célèbre pour son arrogance typiquement juive.

– MINC, Alain (MINKOVSKI, dit). Technocrate mondialiste proche du parti socialiste. Il est le fils dfun dentiste polonais ashkénaze, naturalisé français en 1947. Il occupe le poste stratégique de président de la Société des lecteurs du journal Le Monde.

– MOATI, Serge. Cinéaste documenteur et animateur télé né dans une famille juive originaire de Tunisie. Dans gLa haine antisémiteh (1991), il étale sans retenue sa haine envers tous ceux qufil accuse dfantisémitisme. Il anime également des « débats », où il cache à peine sa haine contre ceux qu’il n’aime pas (« l’extrême-droite » en tête…)

– MOCKY, Jean-Pierre (MOKIEJWSKI, dit). Cinéaste, né dans une famille juive originaire de Russie.

– MOÏSE, Alex. Secrétaire Général de la Fédération Sioniste et membre du Collectif citoyen antiraciste. Condamné pour gincitation à la haineh après sfêtre envoyé lui-même des menaces antisémites afin ensuite de pouvoir porter plainte contre lfantisémitisme. Un petit gdérapageh révélateur, constituant le sommet de lficebergc

– MORIN, Edgar. Sociologue. Issu dfune famille juive de Grèce. Il a été longtemps militant antiraciste. A partir de 2003 cependant, il a été violemment attaqué par les autres juifs qui lui reprochent de critiquer Israël et lfont ensuite fait condamner pourc racisme !

– MOSCOVICI, Pierre. Juif de Roumanie par son père, juif d’Allemagne par sa mère, ncien militant trotskyste, devenu ensuite ministre socialiste des affaires européennes. Vice-président du Parlement européen.

– MOUSTAKI, Georges. Chanteur juif d’Egypte.

– NAKAD, Naïda. Journaliste.

– NATTAF, Mallaury (née Mallory Nataf) : chanteuse et actrice juive sépharade

– NEÏERTZ, Patrick. Directeur général de Christian Dior. Epoux de lfex-ministre socialiste.

– NEÏERTZ, Véronique. Ex-ministre socialiste. Mariée à Patrick NEÏERTZ, Directeur général de Christian Dior.

– NOIR, Michel. Juif par sa mère, Rose Dreyer. Ancien ministre de Chirac et maire de Lyon. Sa carrière politique fut ensuite compromise par une affaire de corruption. . Il est lfun des rares hommes politiques français a avoir été coopté au sein du Bilderberg Group, une des plus puissantes associations mondialistes internationales.

– OCKRENT, Christine. Journaliste.

– OLIVENNES Denis. Président de Canal Plus France (juin 2000) après en avoir été le directeur général. Il sfappelait OLIVENSZTEIN avant 1960 (encore un changement de nom intempestif…)

– OUAKNINE, Martine : conseillère régionale à Nice sur la liste de Christian Estrosi. La soixantaine, cette ancienne présidente régionale du CRIF (6 ans) vient de recevoir la Médaille dfHonneur du Diocèse de Nice pour sa « constante présence républicaine dans le domaine religieux des amitiés judéo-chrétiennes»

– OURY, Gerard (TANNENBAUM, Max-Gérard, dit). Cinéaste, marié à lfactrice Jacqueline ROMAN, née YACOWLEW. Père de Danièle THOMPSON et grand-père de Christopher THOMPSON.

– PARIENTE, Patrick. Industriel du textile (fondateur de Naf Naf), issu dfune famille juive de Tunisie.

– PIETRI, Julie : chanteuse, juive d’Algérie par sa mère

– POLAC, Michel. Journaliste et cinéaste de télévision, né à Paris (XVIe) au sein dfune famille très fortunée de Juifs polonais. Il sfest toujours affiché comme un militant dfextrême gauche.

– POLANSKI, Roman. Cinéaste, de père juif polonais. Pédophile et violeur notoire, quasi assuré de l’impunité en France, soutenu par toute l’intelligentsia judeo-socialo-libérale, Cohn-Bendit et Mitterrand en tête.

– POLNAREFF, Michel : chanteur, juif d’Ukraine par son père

– PONCELET, Christian. Le président RPR du Sénat sfest confié à Tribune juive (17 février 1999) pour sfinquiéter de gla montée de lfantisémitisme en France et en Europeh. Il a précisé : gJe nfoublie pas qufil y a des gKahnh dans ma familleh.

– POPECK (née Judka HERPSTU) : humoriste issu de familles juives de Pologne et Roumanie.

– PULLICINO, Gérard. Producteur et Réalisateur (films, télévision, clips) né dans une famille juive de Tunisie.

– PESCHANSKI, Marc. Membre du bureau politique de Lutte ouvrière (trotskyste). Il est originaire de Moldavie.

– POHER, Alain. Ancien président du Sénat. Médaille dfor du Bfnai Bfrith (franc-maçonnerie hébraïque) en 1979.

– PUJADAS David : présentateur et journaliste, juif par sa mère

– RAFFARIN, Jean-Pierre. Son directeur de cabinet est Pierre STEINMETZ.(mai 2002). Dans sa première déclaration de Premier ministre (2002), il déclarait ceci : h La France est un pays métisse et elle le restera g. Raffarin, par un juif certes, mais une ordure de shabbat goy de la pire espèce, oui !

– RAEL (VORILLON Claude, dit). Gourou des raëliens, une des sectes les plus importantes du monde. Juif par son père.

– REGINE (née Régine, Zylberberg). Chanteuse et tenancière de cabaret. Mariée au juif Choukroun.

– RENO, Jean : Son vrai nom Don Juan Moreno y Herrera Jiménez ou Don Juan Moreno y Jederique Jiménez, Jean Reno (né le 30 juillet 1948 à Casablanca) est un acteur Juif français né de parents juifs espagnols.

– REZA, Yasmina. Ecrivaine, né dfun père juif de Russie et dfune mère hongroise.

– RINGER, Catherine : chanteuse juive des Rita Mitsouko, et pornocrate

– ROBIN, Jean : les militants juifs tentent depuis 2001 de pénétrer la mouvance nationaliste en Europe afin dfencourager une orientation exclusivement anti-islamique, conformément à la doctrine mise au point par les néo-conservateurs juifs américains. Cfest ainsi que les anciens défenseurs des gsans papiersh comme Enrico Macias ou Bernard-Henri Lévy se retrouvent désormais aux avant postes de la lutte contre le gfascislamismeh.Récemment le Juif Jean Robin a baissé le masque en profitant de la générosité de quelques patriotes égarés pour utiliser les tribunes qui lui sont offertes afin de diffuser lfagenda politique juif dans nos milieux. On a pu relever récemment un article extrêmement virulent contre lfIslam dont la finalité sfexplique par les desseins et calculs précités.

– ROSELMACK Harry : présentateur TV, noir de peau, juif de coeur. Même quand il s’agit de caser un noir à la télévision pour les quotas ethniques, les juifs se débrouillent pour placer l’un d’entre eux.

– ROSENFELD, Alexandra : Miss France 2006

– ROTMAN, Patrick. Romancier et cinéaste documenteur, professionnel de lfincitation permanente à la haine a lfégard des Allemands.

– ROUSSO, Henri. Universitaire, grand inquisiteur anti-révisionniste à Lyon.

– SAADA, Julien : Ancien élève de la Grande École des Ponts et Chaussées et actuel PDG de la jeune et non moins célèbre société Parfum D’image

– RYKIEL, Sonia : couturière et militante féministe

– SALOMONE Bruno : humoriste, acteur

– SANSON, Véronique : chanteuse, juive par son père (René Sanson, parmi les premiers gaullistes)

– SARKOZY, Nicolas. Juif de Salonique (juifs expulsés d’Espagne en 1492) par sa mère (Andrée Mallah) et hongrois par son père, bien qu’il se pourrait que ce dernier ait de lointaines origines roms, car Sarkozy est semble t-il un patronyme très usité chez les roms d’Autriche-Hongrie…). Baptisé catholique, Nicolas Sarkozy fut élevé par la famille de sa mère, juive. Les Juifs le considèrent toujours comme l’un des leurs et il se garde bien de les démentir. Son frère,Guillaume SARKOZYa été vice-président du MEDEF, syndicat des patrons français.

– SARRAUTE, Claude. Journaliste et vieille fille sénile, fille de la romancière Nathalie SARRAUTE (née TCHERNIAK), issue d’une famille juive de Russie. ” Les années passant, ma judaïté compte de plus en plus pour moi, et pourtant, je n’ai aucune croyance, aucune culture religieuse. Ce qui ne m’empêche pas de porter à mon cou une étoile de David. ” (Tribune juive, 13.01.2000).

– SCHAPIRA, Pierre. Conseiller PS de Paris et vice-président du Conseil économique et social (janvier 2001).

– SEBAOUN-DARTY, Jessica : héritière juive de la famille Darty, femme de Jean Sarkozy (fils des juifs Nicolas Sarkozy et Cecilia Ciganer). Ils ont un garçon, Solal, circoncis rabbiniquement il y a quelques mois. Jessica n’est autre que la nièce de la brillante romancière Amanda Sthers, précédente épouse juive de Patrick Bruel.

– SEBAG, Ari: directeur général du groupe « Partouche », membre dirigeant de la LICRA

– SEGUIN Philippe : Ancien Ministre & Président de la Cour des Comptes, figure de lfUMP, Philippe Séguin, catholique par ses parents légaux, a souffert dfun état dépressif latent qui lfaura empêché dfaccéder aux plus hauts niveaux de lfEtat, que ses qualités morales et intellectuelles lui promettaient. Cet état dépressif était lié à sa ressemblance extrême, proche du double parfait, découverte lorsqufil avait la trentaine et rendue publique, avec unc ami c de son père, responsable communautaire juif important de Tunis.

– SEKSIG, Alain : inspecteur général de l’Education nationale et cadre (branche « éducation ») de la LICRA

– SHIREL (née Jennifer Jeane DJAOUI) : chanteuse juive sépharade

– SCHNEIDERMANN, Daniel. Ancien journaliste au Monde et présentateur sur France-5 de l’émission “Arrêts sur images”. Bien que prétendant avant tout décrypter les images, à plusieurs reprises, il a été surpris en flagrant délit de désinformation, en particulier lorsqu’il s’agit de défendre Israël ou son instrument américain.

– SCHRAMEK, Olivier. Directeur de cabinet de Lionel Jospin (1999). “Athée quoique d’origine juive” (VSD, 28 avril 1989). Il est le petit neveu d’Abraham SCHRAMEK qui fut ministre de l’Intérieur du Cartel des Gauches.

– SCHWARTZENBERG, Roger-Gérard. Ministre de la recherche du gouvernement Jospin. Cousin de Léon Schwartzenberg, autre ministre, décédé en 2003.

– SEGUELA, Jacques. Publicitaire.

– SEMOUN Elie : humoriste et acteur juif sépharade

– SERVAN-SCHREIBER, Jean-Jacques. Journaliste et homme politique, appartenant à une puissante famille juive d’Alsace. Fondateur de l’Express avec Françoise Giroud. Parmi les membres influents de sa famille, on peut citer Jean-Louis SERVAN-SCHREIBER, fondateur de L’Expansion et directeur de Psychologies magazines, Brigitte Gros, journaliste et politicienne (décédée en 1985) et Christine COLLANGE, journaliste.

– SIEGEL, Maurice : journaliste et cadre d’Europe 1, créateur du magazine VSD.

– SILLAM, Bernard – Actuel pdg de la clinique de chirurgie esthetique du rond-point des champs elysees

– SINCLAIR, Anne (née SCHWARTZ, épouse LEVAÏ, puis STRAUSS-KAHN). Journaliste, née à New-York en 1948. Elle est la fille de Robert SCHWARTZ, puissant homme d’affaires, autorisé par décret du 3 août 1949 à prendre le patronyme de Sinclair. D’après ses dires, elle n’aurait jamais pu épouser un non-juif.

– SISLEY Tomer : humoriste, acteur, de parents juifs russes et yemenites

– SITRUK, Joseph. Grand rabbin de France, né en Algérie. Le 13 octobre 2000, il a été surpris en flagrant délit de mensonge public en annonçant à la radio l’assassinat à Paris de 6 jeunes juifs, pour essayer de détourner l’attention sur l’assassinant par la soldatesque israélienne d’un enfant palestinien. Ceci confirme bien l’adage : menteur comme un rabbin !

– SORMAN, Guy. Journaliste et essayiste, chantre du néo-libéralisme. Ses prises de positions critiques vis-à-vis d’une certaine juiverie lui ont valu bien des “incompréhensions”.

– SOUCHON, Alain (née Kienast) : chanteur

– STHERS, Samantha, écrivaine juive, ex-femme de Patrick Benguigui (dit Bruel).

– STOLERU, Lionel. Juif de Roumanie, ancien ministre socialiste. Membre du Bilderberg Group, proche du milliardaire escroc Robert MAXWELL qui était également juif. Il est le fils de Fernande BLUM et d’Elie STOLERU, né à Vaslui, en Roumanie.

– STORA, Benjamin. Ecrivain, issu d’une famille juive d’Algérie.

– STRAUSS-KAHN, Dominique. Ancien ministre socialiste de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Son père est juif ashkénaze, et sa mère, Jacqueline FELLUS, juive de Tunisie. Voici comment il a composé son cabinet, en 1997 : Responsable des entreprises publiques : Stéphane-Paul FRYDMANN. Responsable des affaires politiques: Gilles FINCKELSTEIN (aussi responsable de la cellule arguments de Lionel Jospin). Attachée parlementaire :Michèle SABBAN (chargée des déplacements de Lionel Jospin). Riche, sans doute l’un des juifs les plus influents (et donc néfaste) de France et d’Europe.

– SULITZER, Paul-Loup. Signataire de romans à succès écrits par des nègres. Fils de Jules SULITZER, immigré juif de Roumanie. Il s’est retrouvé mêlé à plusieurs affaires louches, sanctionnées pénalement.

– SUSSFELD, Alain. Directeur général d’UGC. Proche ami de Michel DRUCKER.

– TAGUIEFF, Pierre-André. Essayiste pompeux aux travaux passablement confus par souci de les faire passer pour “savants”. Né d’une mère d’origine polonaise et d’un père juif de Russie. Cela lui permet de se prétendre “non-juif”, comme J.F.KAHN. Mais de par tous ses engagements, il est entièrement au service du sionisme le plus radical, sous prétexte d’”antiracisme”, cette “forme de régression mentale” qu’il avait lui-même dénoncé. Beaucoup de ses ouvrages, commandités par les responsables juifs, sont en fait des produits collectifs. Souvent illisibles, ils ne sont pas destinés à convaincre mais à intimider, afin de faire taire.

– TAIEB, Alain – Réalisateur télé, Paris

– TAIEB, Gil – President de l’association de soutien a Israel et de l’association pour le bien-etre des soldats Israeliens, Paris

– TAIEB, Willy, dit Lewis – ancien chef des musiciens de Claude François, Batteur et co-fondateur des Chats Sauvages

– TALAR, Charles. Producteur (musique, comédie, etc.), né dans une famille juive de Tunisie.

– TCHERNIA, Pierre : née Tcherniakowski. Acteur, vedette de la tv au coté de son compatriote Arthur.

– TEISSIER, Élizabeth (HANSELMANN, Germaine, dite). Actrice de film érotique et astrologue mondaine (consultée notamment par Mitterrand), née dans une famille juive d’Algérie.

– TIBI, Gladys – Presidente du fonds LIBI France, consacre a Tsahal

– TIMSIT, Patrick. Cinéaste, comédien et amuseur public, issu d’une famille juive d’Algérie.

– TODD, Emmanuel. Essayiste, fils du journaliste Olivier TODD, petit-fils de Paul NIZAN.

– TOVATI Elisa : actrice

– TRIGANO, Gilbert. Fondateur du Club Méditerranée. Issu d’une famille juive d’Algérie.

– TRUFFAUT, François. Cinéaste. Né d’un père juif qu’il n’aurait jamais connu.

– TRISTAN, Anne. Directeur de publication de « Ras l’front », l’un des principaux journaux qui font leur beurre en traînant dans la boue les militants nationalistes. Son vrai nom est Anne ZELANSKY.

– TUBIANA, Michel. Président de la Ligue des Droits de l’Homme (2000-2005).

– UZAN, Michèle née Cohen – Actuellement la seule femme en France Professeur à la Faculté de Medecine et Chef de Service en Chirugie Gynecologique et Obstetrique, Chevalier de La Legion d’Honneur

– VALENSI, Dr Georges, membre fondateur du PC Tunisien, accoucheur de l’autre moitié des Tunes

– VEIL, Simone. Ancienne ministre UDF et Présidente de l’Assemblée européenne. Longtemps tenue pour morte à Auschwitz par la propagande juive. Surnom : l’Avorteuse, ce dont elle semble très fière. Sans conteste la juive la plus néfaste et influente de ces 40 dernières années.

– VICTOR, Pierre (Benny LEVY, dit). Agitateur maoïste des années 60-70, devenu secrétaire de Jean-Paul Sartre qu’il convertit plus ou moins au judaïsme. Décédé en 2003 en Israël où il s’était replié avec la caisse des organisations “prolétariennes” qu’il contrôlait.

– VIDAL-NAQUET, Pierre. Médiocre historien helléniste, devenu champion de l’inquisition juive contre le révisionnisme historique. Il a déclaré haïr Robert Faurisson et aurait aimé l’assassiner mais il lui manque le courage de passer aux actes.

– WERTHEIMER, Gerard et Alain. Principaux actionnaires de Chanel. 4e fortune de France.

– WIEVIORKA, Michel. Sociologue, gourou de l’antiracisme médiatique avec sa femme, l’historienne de salon Annette WIEVIORKA. Juifs originaires de Pologne.

– WINTER Ophélie : juive de Hollande par son père, chanteuse

– WIZMAN Ariel : juif du Maroc, présentateur tv, animateur tv, acteur médiocre

– WOLINSKY, Georges. Dessinateur humoriste. Sa mère, née BEMBARON était juive tunisienne et son père juif polonais.

– YADE Rama (née Mame Ravatoulaye) : sénégalaise, mais marié au juif Joseph Zimet.

– ZAKINE, Ivan – Membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, Prérhonorairedela Cour de Cassation

– ZANA, Sion – President de la Communaute Juive de Tunisie

– ZARAI, Rika. Chanteuse et gourou médiatisé de “médecine douce”.

– ZARDI, Dominique. Ecrivain et acteur, ayant joué dans plus de 300 films.

– ZARKA Pierre. Numéro 2 du Parti communiste “français”. Il est issu d’une famille d’origine juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Ariel. Producteur de films, né dans une famille juive de Tunisie.

– ZEITOUN, Tita – Présidente d’Action de Femme (association pour l’insertion des femmes au sein des conseils d’administration) et PDG du plus gros cabinet d’expertise comptable dirigé par une femme en France

– ZEMMOUR, Eric : chroniqueur et écrivain, juif sépharade. Réactionnaire et politiquement incorrect.

 

Et les Gaulois, ils sont passés où dans le « paysage médiatique » ?? 

 

 

Publicité Cinéma des années 1950/60

 

Aucune diversité, hélas dans ces publicités qui nous rappellent les heures les plus sombres de notre histoire! Plus blanc que blanc !

BHL et Attali ne nous avaient pas encore ouvert les yeux sur les merveilleuses avancées de la société pluri-ethnique dans une France moisie aux tristes replis identitaires !

Intolérable et rempli de haine, comme il se doit !

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Gilets jaunes: Analyse et synthèse par Jean Michel Aphatie

Gilets jaunes: Analyse et synthèse par Jean Michel Aphatie Alain Soral :

30 Novembre 2018

 

 

Toujours aussi bavard le Soral, il me file mal au crâne… mais il décortique bien (à sa façon !) les rouages du système et de la situation actuelle.

Résumé: Les merdias en mode panique… Castagnette se fait remonter les bretelles…. Des CRS posent le casque avec 41 millions d’euros de leur solde en retard de paiement …. Quand à Micron, il rétrécit à vue d’oeil, toujours à 25 % d’opinion favorable depuis le mois de Juin, tout en chutant tous les mois un peu plus chaque mois, nous dit-on ! Miracle sans nom de l’arithmétique républicaine.

Bon, eh bien les fêtes de fin d’année s’annoncent particulièrement sereines !

 

 

« Macron et Merkel tomberont comme des quilles »

Merkel et Macron tomberont comme des quilles

Bannon crée une organisation pour paralyser l’Union européenne

Par Challenges.fr le 24.07.2018 à 08h03

Lien vers l’article

 

L’ancien conseiller de Donald Trump et chantre de l’alt right américaine a créé avec un associé une organisation politique basée à Bruxelles dans le but avoué de saper les fondements de l’Union européenne et d’en paralyser le fonctionnement.

« Dans une interview et une série d’échanges de courriers électroniques, Steve Bannon, qui a prédit un « grand avenir » à Marion Maréchal Le Pen, et Raheem Kassam, ex-conseiller de Nigel Farage, l’un des artisans du Brexit, ont annoncé que cette organisation baptisée « Le Mouvement » était déjà opérationnelle. »

« « Le Mouvement » sera notre bureau central pour un mouvement populiste et nationaliste en Europe. Nous allons concentrer notre attention sur les individus et les groupes de soutien intéressés par les questions de souveraineté, de contrôle des frontières et d’emploi entre autres choses », explique Kassam.

« Nous avons décidé de nous installer à Bruxelles parce que c’est le cœur de l’Union européenne, la force la plus pernicieuse contre la démocratie de l’État-nation en Occident aujourd’hui », ajoute-t-il. « L’organisation est déjà une fondation structurée avec un budget annuel significatif et nous avons commencé le recrutement ». »

« La classe dirigeante politique actuelle a travaillé avec l’aide d’innombrables ONG pendant des décennies, main dans la main. Nous pensons qu’il est temps qu’il y ait une organisation qui soit du côté des gens ordinaires à la place des lobbies défendant les intérêts des grandes entreprises en Europe. »

L’Europe reste à présent le bastion des mondialistes, représentés par Merkel et Macron.

Cette fois, il faut se tourner du côté de nos voisins allemands qui eux aussi s’intéressent à ce fameux Steve Bannon, qui n’a pas mâché ses mots… C’est le moins que l’on puisse dire !

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Merkel et Macron tomberont comme des quilles

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« Macron et Merkel tomberont comme des quilles »

Voilà ce que « prédisait » le même Steve Bannon dans le Welt, un grand magazine allemand au début du mois de juin dernier.

Première question du Welt à Banon : « Que se passera-t-il avec le nouveau gouvernement de Giuseppe Conte en Europe ? »

Steve Bannon : Il y aura un vrai tremblement de terre, vous verrez : Ils ont peur de l’Italie. Personne ne peut encore imaginer ce que le mouvement Cinq étoiles et la Lega peuvent accomplir ensemble. Le Financial Times parle de barbares, les Allemands les appellent des « chiffons », Oettinger a expliqué que les marchés leur apprendront à voter….

Mais celui qui sème le vent récoltera la tempête.

L’Italie et la Hongrie ont fait une déclaration claire lors des dernières élections, y compris contre les migrants.

Etc… etc….

 

Hum…. Vous comprenez d’où ils viennent à présent ?

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merkel et macron tomberont comme des quilles

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L’Anti-Defamation League dans la société américaine

L’Anti-Defamation League dans la société américaine

American Pravda.

 

À notre époque, il existe sûrement peu d’organisations qui terrorisent autant les Américains influents que la Ligue anti-diffamation (Anti-Defamation League, ADL) du B’nai B’rith, un organe central de la communauté juive organisée.

Mel Gibson était l’une des stars les plus populaires à Hollywood et son film de 2004, La Passion du Christ, l’un des plus rentables, quand l’ADL et ses alliés ont détruit sa carrière. Il a par la suite fait don de millions de dollars à des groupes juifs pour retrouver une partie de son statut public. Rupert Murdoch est un titan de l’industrie médiatique, mais lorsque l’ADL a critiqué une caricature parue dans l’un de ses journaux, il a présenté ses excuses personnelles à cette organisation.

 

 

Les rédacteurs en chef de The Economist ont dû retirer une caricature analogue lorsqu’elle tomba sous le feu de l’ADL. Le milliardaire Tom Perkins, célèbre capital-risqueur de la Silicon Valley, a été forcé de s’excuser du fond du cœur après avoir été critiqué par l’ADL pour son vocabulaire dans une chronique du Wall Street Journal. Tous ces individus fiers de leur puissance ont dû être profondément mécontents d’avoir été forcés de demander un pardon aussi humiliant, mais ils l’ont fait. La liste des pénitents de l’ADL est très longue.

Compte tenu de la réputation effrayante de l’ADL et de ses activistes toujours sur le pied de guerre, beaucoup de mes lecteurs s’attendaient à ce que mon petit webzine soit complètement anéanti lorsque j’ai lancé ma série d’articles controversés au début du mois de juin de cette année, en commençant par un éloge de l’historien David Irving, depuis longtemps diabolisé par l’ADL. Pourtant, absolument rien ne s’est passé.

Au cours des trois mois suivants, mes articles se sont attaqués à presque tous les sujets défendus avec acharnement par l’ADL et ses laquais, à tel point qu’un journaliste sympathique m’a rapidement surnommé le « Kamikaze de Californie ». Pourtant, malgré mes 90 000 mots et les 13 000 commentaires qu’ils ont suscités, le silence persistant de l’ADL restait assourdissant. Entre-temps, mes articles furent lus plus d’un demi million de fois. Voici une liste des articles les plus provocants :

Lorsque la colère divine oublie de frapper un hérétique et que les terribles gardiens de la bien-pensance semblent avoir soudain perdu le goût de la bataille, d’autres hérétiques ne tardent pas à en s’en apercevoir et à s’enhardir. Les principaux sites pro-russes et libertariens tels que Russia Insider et LewRockwell ont republié certains des articles les plus controversés de ma série « American Pravda », attirant ainsi l’attention d’un public plus large sur mes affirmations factuelles. Après la conclusion de ma série, j’ai commencé à ridiculiser la pusillanimité de l’ADL, en publiant une courte rubrique intitulée « L’ADL se cache-t-elle ? », qui a conduit l’intrépide Paul Craig Roberts à me qualifier de « l’homme le plus courageux que je connaisse ».

Apparemment, la combinaison de tous ces facteurs a fini par devenir trop inquiétante pour l’ADL et, sortant de leur cachette secrète, ses militants ont enfin publié une condamnation courte et plutôt molle de mes écrits, qui ne m’impressionne guère. Il y a quelques jours, ils ont tweeté leur déclaration, avec une photo de leur nouvel ennemi :

L’homme d’affaires californien Ron Unz finance depuis longtemps des militants anti-israéliens. Il embrasse maintenant le #antiSemitism hardcore, nie l’Holocauste et prétend que des Juifs dirigent les médias et vénèrent Satan. En savoir plus auprès de nos experts:https://t.co/KnngID3YCh

— ADL (@ADL_National) October 8, 2018

L’ADL peut s’enorgueillir d’un budget annuel de 60 millions de dollars et de plusieurs centaines d’employés à plein temps, mais ses compétences en matière de recherche semblent faire cruellement défaut. Ils entament leur réprimande en me dénonçant comme un « militant anti-immigrés » notoire. Voilà qui est étrange, puisque j’ai publié environ un quart de million de mots sur ce sujet controversé au cours des vingt-cinq dernières années − tout cela entièrement consultable en ligne − et que mon point de vue n’a jamais été caractérisé de cette façon.

Pour ne citer qu’un exemple, mon article intitulé « La Californie et la fin de l’Amérique blanche » a été publié en 1999 dans Commentary, la publication phare de l’American Jewish Committee, et quiconque le lira sera extrêmement étonné par la description de l’ADL. Quelques années auparavant, en octobre 1994, j’étais l’un desprincipaux orateurs de la manifestation pro-immigrants au centre-ville de Los Angeles, un rassemblement politique de 70 000 personnes qui reste à ce jour le plus important de ce genre dans l’histoire américaine.

Au cours de ces années, mes activités politiques ont fait l’objet de plusieurs milliers d’articles dans les médias grand public, dont une demi-douzaine d’articles en première page du New York Times. Ces articles fourniraient un tableau similaire, à l’instar de celui du New Republicchroniquant mes succès en Californie. De plus, mes points de vue sur les immigrés n’ont pas beaucoup changé au fil des ans, comme le montrent mes articles plus récents tels que « Le mythe du crime hispanique », « L’immigration, les Républicains et la fin de l’Amérique blanche » et « Une grande entente sur l’immigration ? ». Les intrépides enquêteurs de l’ADL devraient peut-être se familiariser avec un nouvel outil technologique puissant appelé « Google ».

Je ne suis pas davantage impressionné lorsqu’ils me reprochent de m’être appuyé sur les écrits d’Israël Shahak, qu’ils qualifient vicieusement « d’antisémite ». Comme je l’ai souvent souligné, mon incompétence totale en araméen et en hébreu me contraint à m’appuyer sur la recherche des spécialistes, et le regretté professeur Shahak, un universitaire israélien primé, est une excellente source. Le célèbre linguiste Noam Chomsky avait loué ses travaux pour leur « érudition exceptionnelle », et nombre d’autres intellectuels très en vue, comme Christopher Hitchens, Edward Saïd et Gore Vidal, avaient été tout aussi généreux dans leurs éloges. De plus, l’un des coauteurs de Shahak étaitNorton Mezvinsky, un universitaire américain spécialisé dans l’histoire du Moyen-Orient, dont le frère et la belle-sœur ont servi au Congrès et dont le neveu a épousé plus tard Chelsea Clinton. Et autant que je sache, presque aucune des affirmations de Shahak sur le Talmud ou le judaïsme traditionnel n’a été directement contestée, alors que la disponibilité en lignede son premier livre permet à ceux qui sont intéressés de le lire facilement et de décider par eux-mêmes.

L’ADL m’a également dénoncé pour avoir pris au sérieux les théories d’Ariel Toaff, un autre universitaire israélien. Mais le professeur Toaff, fils du grand rabbin de Rome, figure parmi les plus grandes autorités scientifiques au monde dans le domaine de la communauté juive médiévale. Avec ses étudiants doctorants et d’autres collègues, il a consacré de nombreuses années à étudier ces questions, en s’appuyant sur une grande quantité de sources primaires et secondaires produites dans huit langues différentes. J’ai trouvé son livre de 500 pages tout à fait convaincant, à l’instar du journaliste israélien Israel Shamir, et je n’ai vu aucune réfutation crédible.

Il se peut que les conclusions de tous ces éminents universitaires et intellectuels ne soit pas intégralement correctes, et que je me trompe en les acceptant. Mais pour m’en convaincre, il me faudrait quelque chose de beaucoup plus substantiel qu’une condamnation de principe en quelques paragraphes dans un article anonyme de l’ADL, dont l’auteur, pour autant que je sache, n’est peut-être qu’un jeune stagiaire ignorant.

Cela mis à part, le reste du catalogue de mes nombreuses positions hérétiques dénoncées par l’ADL m’a semblé relativement exact, bien que présenté de manière plutôt hostile et péjorative et sans renvois hypertextes à mes écrits. Mais même cette énumération décousue de mes transgressions mortelles était incomplète, car l’ADL a curieusement omis d’inclure la mention de certaines de mes affirmations les plus controversées.

Par exemple, les auteurs ont exclu toute référence à ma discussion sur le partenariat économique parfaitement documenté entre nazis et sionistesdans les années 1930, qui a joué un rôle crucial pour jeter les bases de l’État d’Israël. De même, l’ADL a évité de mentionner les près de 20 000 mots que j’ai consacrés aux preuves que le Mossad israélien avait joué un rôle central dans l’assassinat de JFK et dans les attentats du 11 septembre. C’est bien l’une des rares fois où l’ADL a oublié de lancer l’accusation de « théoricien du complot » à l’encontre d’un adversaire qu’il aurait pu si facilement dénigrer de cette façon. Il a peut-être estimé que les preuves que j’avais fournies étaient trop solides pour pouvoir être contestées efficacement.

L’inquiétante incompétence des chercheurs de l’ADL devient particulièrement alarmante lorsque l’on considère qu’au cours des deux dernières années, cette organisation a été élevée au rang de censeur des plus grandes sociétés Internet américaines, avec pouvoir de déterminer ce qui peut ou ne peut pas être dit sur Facebook, YouTube ou Twitter.

Mon journal local, le San Jose Mercury News, a publié il y a quelques semaines un entretien avec Brittan Heller, chargée à l’ADL de la surveillance des « discours de haine » dans la zone américaine d’Internet. Cette jeune femme d’une trentaine d’années, diplômée de Stanford et de Yale, vit dans la Silicon Valley avec son mari et ses deux chats, Luna et Stella. Elle souligne sa propre expérience en tant que victime de cyber-harcèlement de la part d’un autre étudiant dont elle a rejeté les avances, ainsi que l’expertise qu’elle a acquise plus tard en tant que chasseuse de nazis pour le compte du gouvernement américain. Mais ce curriculum vitae lui donne-t-il vraiment la connaissance infuse lui permettant de déroger à notre Premier Amendement en déterminant quels points de vue et quelles personnes devraient être autorisés à avoir accès à quelque deux milliards de lecteurs dans le monde ?

La situation présente également un aspect beaucoup plus grave. Le choix de l’ADL comme principal responsable de la surveillance idéologique de l’Internet américain peut sembler naturel et approprié aux Américains ignorants sur le plan politique, catégorie qui regroupe malheureusement les cadres supérieurs qui dirigent les entreprises concernées. Mais cela reflète la lâcheté et la malhonnêteté des médias américains dont tous ces individus tirent leur connaissance de notre monde. La véritable histoire de l’ADL est remarquablement sordide et peu recommandable.

En janvier 1993, le département de police de San Francisco (SFPD) a annoncé qu’il avait effectué une descente au siège de l’ADL en Californie du Nord, sur la base d’informations fournies par le FBI. Le SFPD a découvert que l’organisation conservait des fichiers de renseignements sur plus de 600 organisations civiques et 10 000 personnes, majoritairement de gauche. L’inspecteur du SFPD estimait que 75% du matériel avait été obtenu de manière illégale, essentiellement par des pots de vin à des fonctionnaires de police. Il ne s’agissait que de la partie visible de l’iceberg de ce qui constituait clairement la plus grande opération d’espionnage domestique menée par une organisation privée dans l’histoire des États-Unis. Selon certaines sources, des agents de l’ADL auraient pris pour cibles plus de 1 000 organisations politiques, religieuses, syndicales et sociales, tandis que le siège de l’ADL à New York conserve des dossiers actifs sur plus d’un million d’Américains.

Peu de temps après, un responsable de l’ACLU (American Civil Liberties Union), qui occupait auparavant un poste de haut niveau au sein de l’ADL, a révélé que cette organisation avait été à l’origine de la surveillance très controversée de Martin Luther King, Jr. dans années 1960, et en avait fourni les enregistrements au directeur du FBI, J. Edgar Hoover. Pendant des années, Hoover a été furieusement dénoncé dans les médias nationaux pour son utilisation de bandes magnétiques et d’autres informations secrètes sur les activités de King, mais lorsqu’un journal de San Francisco révèle que ces matériaux sordides provenaient des opérations d’espionnage illégales de l’ADL, la nouvelle a été totalement ignorée par les médias nationaux et n’a été rapportée que par des organisations marginales, de sorte qu’aujourd’hui presque aucun Américain n’est au courant.

À ma connaissance, aucune autre organisation, dans l’histoire américaine, n’a été impliquée à une telle échelle dans l’espionnage domestique des groupes et des personnalités − de gauche comme de droite − soupçonnés d’être insuffisamment alignés sur les intérêts juifs et israéliens. Certaines des données trouvées en possession illégale de l’ADL ont même fait naître le soupçon qu’elle a pu jouer un rôle dans certaines attaques terroristes et des assassinats politiques contre des dirigeants étrangers. Je ne suis pas un expert juridique, mais compte tenu de l’ampleur des activités illégales de l’ADL, je me demande si l’organisation n’aurait pas dû être poursuivie aux termes de la loi fédérale du Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act, et tous ses dirigeants condamnés à de longues peines de prison.

Au lieu de cela, les charges pesant contre l’ADL furent rapidement abandonnées et elle s’en tira avec une simple amende et une réprimande de principe, ce qui démontre parfaitement l’impunité quasi totale dont bénéficie le pouvoir politique juif dans la société américaine moderne.

En réalité, l’ADL fonctionne depuis longtemps comme la police politique secrète privatisée de notre pays, surveillant et imposant ses doctrines idéologiques pour le compte de groupes juifs, un peu comme le faisait la Stasi pour le compte des dirigeants communistes de l’Allemagne de l’Est. Compte tenu de la longue histoire de ses activités criminelles, permettre à l’ADL d’étendre son contrôle à nos plus grandes plate-formes de médias sociaux pourrait se comparer à l’idée de confier à la mafia le soin de superviser le FBI et la NSA. C’est faire un très grand pas dans la direction du « Ministère de la Vérité » de George Orwell, au profit des intérêts juifs.

Dans ses mémoires publiées en 1981, le très conservateur professeur Revilo P. Oliver a décrit l’ADL comme « la formidable organisation de cow-boys juifs qui conduit le troupeau du bétail américain ». Cela me semble une description assez juste.

Bien que je connaisse depuis longtemps le pouvoir et l’influence de l’ADL, une organisation militante juive de premier plan dont les dirigeants sont régulièrement cités dans mes journaux, je n’avais jusqu’à récemment qu’une notion assez vague de son origine. Je suis sûr de l’avoir entendu mentionner quelque part, mais le récit n’était pas resté dans ma mémoire.

Mais il y a peut-être un an ou deux, je suis tombé sur un article concernant la célébration du centenaire de l’ADL en 2013, au cours de laquelle les dirigeants ont réaffirmé les principes de sa fondation en 1913. L’impulsion initiale, ai-je alors appris, avait été l’effort national visant à sauver la vie de Leo Frank, un jeune Juif de l’État de Géorgie injustement accusé de meurtre et finalement lynché par une foule antisémite. Peu de temps auparavant, le nom de Leo Frank n’aurait évoqué qu’une vague idée dans mon esprit : je me souvenais simplement que les manuels d’histoire le présentaient comme l’une des victimes les plus remarquables des débuts du Ku Klux Klan dans le Sud profond des États-Unis au début du vingtième siècle. Cependant, peu de temps avant de lire cet article sur l’ADL, j’avais lu l’étude très respectée d’Albert Lindemann, The Jew Accused, et son court chapitre sur l’affaire tristement célèbre de Frank avait commencé à ébranler mes idées préconçues.

Tout d’abord, Lindemann a démontré qu’il n’existait aucune indication que l’arrestation et la condamnation de Frank étaient liées à un quelconque antisémitisme. Les juifs formaient à l’époque une part très appréciée de la riche société d’Atlanta, et aucune référence aux origines juives de Frank n’était apparue dans les médias avant le procès, que ce soit négativement ou positivement. Cinq des grands jurés qui ont voté pour déclarer Frank coupable de meurtre étaient eux-mêmes juifs, et aucun d’entre eux n’a jamais regretté sa décision. Ce sont surtout des juifs de New York et d’autres régions éloignées d’Atlanta qui se sont mobilisés pour soutenir Frank, tandis que son soutien parmi les juifs d’Atlanta, qui connaissaient la situation locale, était très faible.

En outre, bien que Lindemann s’accorde avec ses sources secondaires pour conclure que Frank était innocent des accusations de viol et de meurtre, les faits qu’il relate m’ont conduit à la conclusion opposée ; ils concourent selon moi à prouver la culpabilité de Frank. Lorsque j’ai lu beaucoup plus récemment l’étude historique plus longue et plus complète de Lindemann sur l’antisémitisme, Esau’s Tears, j’ai remarqué que son traitement abrégé de l’affaire Frank ne contenait plus aucune affirmation de l’innocence de Frank, ce qui suggère que l’auteur s’est mis à douter de son interprétation antérieure du dossier.

Sur la base de ces informations, j’ai exprimé mes doutes sur ce cas célèbre dans mon récent article sur l’antisémitisme historique, mais mes conclusions étaient encore incertaines et prudentes, car elles reposaient sur le résumé que Lindermann faisait des éléments fournis dans les sources secondaires qu’il avait utilisées, et j’avais l’impression que pratiquement tous ceux qui avaient enquêté de près sur l’affaire Frank avaient conclu à l’innocence de l’inculpé. Mais après la parution de mon article, quelqu’un m’a signalé un livre de 2016 qui plaidait pour la culpabilité de Frank. Maintenant que j’ai commandé et lu ce volume, ma compréhension de l’affaire Frank et de sa signification historique a été entièrement transformée.

Les éditeurs traditionnels rejettent souvent des manuscrits trop en contradiction avec les dogmes en vigueur, et les faibles ventes qu’on peut attendre d’un tel livre sont souvent insuffisantes pour encourager des recherches approfondies. En outre, les auteurs et les éditeurs peuvent craindre de subir une campagne de diffamation pour leurs positions. Pour ces raisons, ceux qui publient de tels documents controversés sont généralement motivés par des convictions idéologiques profondes plutôt que par la recherche d’un profit professionnel ou d’un enrichissement personnel. À titre d’exemple, il a fallu un gauchiste trotskyste zélé tel que Lenni Brunner pour affronter le risque d’attaques féroces et investir le temps et les efforts nécessaires à la réalisation de son étude remarquable sur le crucial partenariat nazi-sioniste des années 1930. Pour des raisons similaires, il n’est pas surprenant que le livre qui plaide pour la culpabilité de Leo Frank soit paru dans une série consacrée aux aspects pernicieux des relations historiques entre juifs et noirs, produite par la Nation of Islam (NOI) de Louis Farrakhan, et que ce volume, comme les autres de la série, ne comportait pas d’auteur identifié.

La lecture d’œuvres anonymes publiées par des mouvements politico-religieux fortement diabolisés exige naturellement beaucoup de prudence, mais lorsque j’ai commencé à lire les 500 pages de The Leo Frank Case : The Lynching of a Guilty Man  (« L’affaire Leo Frank. Le lynchage d’un homme coupable »), j’ai été très impressionné par la qualité de l’analyse historique. Je pense n’avoir que très rarement rencontré une monographie sur un événement historique controversé qui fournissait une telle richesse d’analyses si soigneusement argumentées, étayées par des preuves aussi nombreuses. Les auteurs maîtrisent parfaitement la littérature secondaire majeure des cent dernières années, tout en puisant abondamment dans les différentes sources primaires, notamment les archives judiciaires, les correspondances personnelles et les publications contemporaines de l’affaire. L’immense majorité des 1200 notes de bas de page fait référence à des articles de journaux et magazines de cette époque. Les preuves qu’apportent les auteurs de la culpabilité de Frank m’ont semblé absolument écrasantes.

Le déroulement des événements n’est pas sujet à débat. En 1913, Mary Phagan, âgée de 13 ans, ouvrière dans une compagnie de crayons de couleur, a été vue vivante pour la dernière fois lorsqu’elle se rendait au bureau du directeur de l’usine, Leo Frank, un samedi matin, afin de récupérer son salaire hebdomadaire. Son corps a été retrouvé tôt le lendemain matin dans le sous-sol de l’usine, avec des traces de viol, et Frank a rapidement été arrêté pour le crime. Homme fortuné, et jeune président de la loge du B’nai B’rith d’Atlanta, Frank était l’un des hommes juifs les plus en vue de l’État de Géorgie. De grandes ressources ont été déployées pour sa défense légale, mais après le procès le plus long et le plus coûteux de histoire de l’État, il a été reconnu coupable et condamné à mort.

Les faits relatifs à l’affaire Frank forment un enchevêtrement complexe d’éléments de preuve et de témoignages souvent contradictoires, des déclarations sous serment étant régulièrement rétractées puis contre-rétractées. Mais pour démêler le vrai du faux, les auteurs de la Nation of Islam (NOI) insistent à juste titre sur l’ampleur des ressources financières déployées pour la défense de Frank, avant et après le procès, la quasi-totalité des fonds provenant de sources juives. Le total des dépenses des partisans de Frank pourrait atteindre l’équivalent actuel de 25 millions de dollars, ce qui est certainement un record pour une affaire d’homicide, et qui est presque inimaginable dans l’état de pauvreté du Sud des États-Unis à l’époque. Des années plus tard, un important donateur a avoué en privé qu’une grande partie de cet argent avait été consacrée à acheter des faux témoignages et autres falsifications, ce qui est tout à fait évident pour quiconque étudie l’affaire de près. Lorsque nous considérons cet océan de financement pro-Frank et les moyens sordides pour lesquels il a été déployé, les convolutions de l’affaire deviennent beaucoup moins mystérieuses.

On peut aisément identifier de très nombreux faux témoignages et de fausses preuves fabriquées en faveur de Frank, tandis qu’on ne distingue aucun signe de pratiques similaires dans l’autre camp.

La police a tout d’abord soupçonné le gardien de nuit noir qui avait retrouvé le corps de la jeune fille. Il a été rapidement arrêté et interrogé avec brutalité. Peu de temps après, une chemise ensanglantée a été trouvée à son domicile et Frank a fait plusieurs déclarations qui jetaient les soupçons sur son employé. Il s’en fallut de peu que ce suspect noir soit lynché sommairement par une foule, ce qui aurait clos le dossier. Mais il a défendu son innocence avec un calme remarquable, contrastant nettement avec le comportement extrêmement nerveux de Frank, et la police se tourna bientôt vers celui-ci. Tous les chercheurs reconnaissent maintenant que le veilleur de nuit était totalement innocent et que les indices l’incriminant avait été plantés.

Les preuves contre Frank s’accumulèrent. Il était le dernier homme à avoir vu la jeune victime et il a changé à plusieurs reprises sa version des faits sur des points importants. De nombreuses anciennes employées ont signalé sa longue histoire de harcèlement sexuel à leur égard, et envers la fille assassinée elle-même. Frank a déclaré qu’au moment du meurtre, il travaillait seul dans son bureau, mais un témoin qui s’y est rendu a rapporté ne pas l’y avoir trouvé. Une foule de preuves indirectes se retournaient contre Frank.

Un domestique noir de la famille Frank a témoigné sous serment que Frank avait avoué le meurtre à sa femme le lendemain matin de son acte. Cette affirmation semblait confortée par le refus étrange de cette dernière de rendre visite à son mari en prison durant les deux semaines suivant son arrestation.
Les partisans de Frank, qui semblaient bénéficier de fonds illimités, ont loué les services de deux cabinets de détectives privés expérimentés, dont les agents, malgré tous leurs efforts pour prouver le contraire, ont finalement conclu que Frank était coupable des faits reprochés.

Tandis que l’enquête avançait, un tournant majeur s’est produit lorsqu’un certain Jim Conley, le concierge noir de Frank, a avoué l’avoir aidé à dissimuler le crime. Lors du procès, il a déclaré que Frank l’avait souvent recruté comme surveillant lors de ses nombreuses relations sexuelles avec ses employées. Après l’assassinat de Phagan, Frank lui avait offert une énorme somme d’argent pour l’aider à cacher le corps dans le sous-sol, afin que le crime puisse être imputé à quelqu’un d’autre. Mais tandis que la corde semblait se resserrer autour de Frank, Conley se mit à craindre que celui-ci fasse de lui son nouveau bouc émissaire, et confessa sa complicité aux autorités pour sauver sa peau. Malgré les accusations accablantes de Conley, Frank refusa à plusieurs reprises de le confronter en présence de la police, ce qui fut considéré comme une indication supplémentaire de la culpabilité de Frank.

Lors du procès, toutes les parties furent d’accord pour dire que le meurtrier était soit Frank, le riche homme d’affaires juif, soit Conley, le concierge noir à moitié analphabète et au passé d’ivresse publique et de petite délinquance. Les avocats de Frank ont ​​exploité au maximum le contraste entre les deux hommes, soulignant les origines juives de Frank comme présomption de son innocence et se livrant à la plus grossière invective raciale contre son accusateur noir, qu’ils affirmaient être à l’évidence le violeur et meurtrier sur la base de sa nature bestiale.

Les avocats de Frank étaient les meilleurs que l’argent puisse acheter et l’avocat général était reconnu comme l’un des interrogateurs les plus qualifiés dans les salles d’audience du Sud. Cependant, bien qu’il ait soumis Conley à seize heures de contre-interrogatoires intenses pendant trois jours, ce dernier n’a jamais varié sur les détails de son récit, ce qui a beaucoup impressionné les médias locaux et le jury. Pendant ce temps, Frank a refusé d’assister à son propre procès, évitant ainsi d’être questionné publiquement sur son propre récit changeant.

Deux notes rédigées dans un jargon typiquement noir avaient été découvertes à côté du corps de Phagan, et tout le monde s’accorda pour dire qu’elles avaient été écrites par le meurtrier dans le but de détourner les soupçons vers un autre. Elles avaient été écrites, soit par un Noir peu instruit tel que Conley, soit par un Blanc instruit cherchant à imiter ce style. L’orthographe et le choix des mots suggèrent plutôt cette seconde hypothèse, à mon avis.

À partir d’une connaissance globale du dossier, il est impossible d’adhérer à la théorie avancée par la légion des défenseurs posthumes de Frank. Ces journalistes et historiens soutiennent le récit suivant : Conley, un noir subalterne sans éducation, a violé et assassiné une jeune fille blanche, mais les autorités judiciaires ont conspiré pour l’innocenter et inculper à sa place un homme d’affaires blanc respectable. Pouvons-nous vraiment croire que les fonctionnaires de police et les procureurs d’une ville du Vieux Sud auraient trahi leur serment de magistrat pour protéger sciemment un violeur et un meurtrier noir et le relâcher dans les rues de leur ville, où il pourrait ainsi récidiver sur d’autres jeunes filles blanches ? Cette reconstruction invraisemblable est d’autant plus étrange que presque tous ceux qui l’ont défendue ont été parmi les plus fervents défenseurs des Noirs et n’ont eu de cesse de dénoncer le racisme des autorités du Sud de cette époque. Sur le cas de Frank, ces Juifs libéraux vont mystérieusement à contre-courant de leur propre théorie. Est-ce parce que Frank était juif ?

À bien des égards, l’épisode le plus important de l’affaire Frank a commencé après sa condamnation à mort, lorsqu’un grand nombre de dirigeants juifs parmi les plus riches et les plus influents d’Amérique ont commencé à se mobiliser pour le sauver de la corde. C’est alors qu’ils ont fondé l’Anti-Defamation League, qui contribua à faire de l’affaire Frank l’une des plus célèbres de l’histoire américaine.

Le nouveau soutien le plus important de Frank était Albert Lasker de Chicago, le roi incontesté de la publicité destinée aux consommateurs américains, qui faisait vivre tous les journaux et magazines grand public. Son rôle fût en grande partie dissimulé à l’époque, mais il n’a pas seulement fourni la part la plus importante des fonds pour la défense de Frank ; il a également joué de tout son poids pour influencer la couverture médiatique de l’affaire. Étant donné son influence commerciale dominante dans ce secteur, il n’est pas étonnant qu’une gigantesque vague de propagande en faveur de Frank ait déferlé à travers le pays dans des publications locales et nationales, entraînant la plupart des médias les plus populaires et les plus réputés d’Amérique, où l’on avait peine à trouver un mot sur les preuves accablantes contre Frank. Cette vague retourna même tous les principaux journaux d’Atlanta, qui inversèrent soudainement leurs positions pour se montrer maintenant convaincus de l’innocence de Frank.

Lasker a également enrôlé d’autres personnalités juives influentes dans la cause de Frank, notamment Adolph Ochs, propriétaire du New York Times,Louis Marshall, président du Comité juif américain, et Jacob Schiff, l’un des plus influents financiers de Wall Street. Le New York Times a commencé à consacrer une énorme couverture à cette affaire de meurtre jusqu’alors peu connue sur le plan national, et plusieurs de ses articles furent republiés par d’autres journaux. Les auteurs du livre publié par la Nation of Islam soulignent cette extraordinaire attention médiatique nationale : « Le concierge noir, dont le témoignage est devenu essentiel à la condamnation de Leo Frank, est devenu le Noir le plus mentionné de l’histoire des États-Unis. Ses paroles ont été davantage citées dans le New York Times que celles de W.E.B. Du Bois, Marcus Garvey et Booker T. Washington réunis. »

Il y a un siècle, tout comme aujourd’hui, les médias créaient notre réalité. L’innocence de Frank étant proclamée dans le pays presque à l’unanimité, une longue liste de personnalités publiques se sont laissées convaincre d’exiger un nouveau procès pour le meurtrier désigné, incluant Thomas Edison, Henry Ford et Jane Addams.

Ironiquement, Lasker s’est engagé dans cette croisade malgré des sentiments personnels apparemment très mitigés au sujet de l’homme dont il défendait la cause. Sa biographie révèle que lors de sa première rencontre personnelle avec Frank, il l’avait perçu comme un « pervers » et un « dégoûtant », à tel point qu’il espérait qu’après avoir été libéré grâce à ses efforts, Frank périrait rapidement dans un accident. En outre, dans sa correspondance privée, il a admis qu’une grande partie des fonds massifs versés par lui-même et de nombreux autres Juifs américains fortunés avait servi à acheter des faux témoignages. Il existe même des indications qu’il envisagea de corrompre des juges. Cela signifie que Lasker et d’autres soutiens importants de Frank auraient pu être condamnés à de lourdes peines de prison pour, au minimum, entraves à la justice.

Avec le New York Times et le reste de la presse libérale du Nord maintenant engagés dans l’affaire, les avocats de la défense de Frank ont ​​été obligés d’abandonner leur rhétorique raciste contre son accusateur noir, qui était auparavant au centre de leur stratégie. À la place, ils ont inventé une histoire d’anti-sémitisme local généralisé, un phénomène jusque-là passé inaperçu de tous les observateurs. Ils ont voulu faire de l’affaire Frank une nouvelle affaire Dreyfus, avec comme objectif de faire annuler le verdict.

Les méthodes juridiques des défenseurs de Frank sont bien illustrées par l’exemple suivant. La loi de l’État de Géorgie exige normalement que l’accusé soit présent au tribunal pour entendre la lecture du verdict, mais compte tenu de l’hostilité populaire à son encontre, le juge avait suggéré que cette disposition soit levée ; le procureur accepta sous la condition que les avocats de la défense promettent de ne pas se servir de cette petite irrégularité comme motif d’appel. Mais après la condamnation de Frank, le président de l’American Jewish Committee, Louis Marshall, et d’autres partisans de Frank orchestrèrent de nombreux appels infructueux portant précisément sur ce petit détail technique, engageant simplement d’autres avocats pour déposer la requête.

Pendant près de deux ans, les fonds pratiquement illimités déployés par les partisans de Frank ont ​​permis de financer treize appels interjetés aux niveaux local et fédéral, y compris devant la Cour suprême des États-Unis, tandis que les médias nationaux vilipendaient inlassablement le système judiciaire de l’État de Géorgie. Naturellement, cela a rapidement provoqué une réaction locale et, pendant cette période, des Géorgiens scandalisés se sont mis à dénoncer les riches Juifs qui dépensaient des sommes énormes pour renverser le système de justice pénale de leur État.

L’un des rares journalistes à s’opposer à la révision du procès de Frank était l’éditeur Tom Watson, un populiste enflammé de Géorgie, qui déclara dans un éditorial : « Nous ne pouvons pas avoir… une loi pour les Juifs et une autre pour les Gentils ». Il s’indigna encore par la suite : « L’idée que la loi est trop faible pour punir un homme qui a beaucoup d’argent est une mauvaise chose. » Un ancien gouverneur de Géorgie demanda également : « Faut-il comprendre que tout homme peut être puni pour un crime, à l’exception d’un Juif ? » Les faits indiquent en effet qu’un énorme dysfonctionnement de la justice était en train de se mettre en place, et c’était en faveur de Frank.

Tous les appels furent finalement rejetés et la date d’exécution de Frank pour le viol et le meurtre de la jeune fille approchait enfin. C’est alors que, quelques jours avant la fin de son mandat, le gouverneur sortant de Géorgie a commué la peine de mort prononcée contre Frank en prison à perpétuité. Cela provoqua une tempête de protestations populaires, d’autant plus que ce gouverneur était le partenaire du principal avocat de Frank, un conflit d’intérêts manifeste. Compte tenu des énormes fonds que les partisans de Frank avaient ​​déployés et des nombreux faits avérés de corruption dans l’affaire, il existait évidemment de sombres soupçons concernant ce qui avait motivé une décision aussi impopulaire, ce qui a bientôt contraint l’ancien gouverneur à s’exiler hors de son État. Quelques semaines plus tard, un groupe de citoyens prit d’assaut la prison de Frank pour le kidnapper et le pendre. Frank est ainsi devenu le premier et le seul juif lynché de l’histoire américaine.

Naturellement, le meurtre de Frank fut fermement dénoncé par les médias nationaux qui avaient défendu sa cause. Pourtant, on peut noter une certaine différence entre l’indignation affichée publiquement et les sentiments exprimés en privé. Aucun journal dans le pays n’a mieux défendu l’innocence de Frank que le New York Times d’Adolph Ochs. Pourtant, selon le journal personnel de l’un des rédacteurs du Times, Ochs méprisait Frank en privé et a accueilli son lynchage avec soulagement. Les riches partisans de Frank n’ont jamais tenté de traduire en justice aucun des responsables du lynchage.

Bien que je considère maintenant le volume publié par la Nation of Islam comme le livre le plus convaincant et le plus décisif sur l’affaire Frank, j’ai naturellement pris connaissance des œuvres qui le contredisent, avant de me ranger définitivement à cette conclusion.

Depuis presque un demi-siècle, le compte-rendu scientifique le plus cité sur cette affaire est le livre de Leonard Dinnerstein, The Leo Frank Case, publié pour la première fois en 1966. Dinnerstein, professeur à l’Université de l’Arizona et spécialiste de l’histoire juive, soutient catégoriquement l’innocence de Frank. Mais bien que son travail ait remporté un prix national, qu’il reproduise dans les éditions récentes des éloges de plusieurs personnalités et publications prestigieuses, et qu’il ait certainement figuré sur de nombreuses listes de lecture obligatoire pour étudiants, je n’ai pas du tout été impressionné. Pour commencer, le livre semble être la source originelle de certaines des plus sordides histoires d’agressions antisémites qui n’ont aucune base réelle ; étant donné l’absence de références, ces histoires semblent avoir été purement et simplement inventées par l’auteur. Elles ont été largement citées par des écrivains récents et ont fortement contaminé notre mémoire historique. Comme le notent les auteurs de la NOI, elles ont néanmoins été discrètement abandonnées par tous les chercheurs récents. Indépendamment de cette preuve évidente de manque de crédibilité, j’ai trouvé le petit livre de Dinnerstein plutôt dérisoire et même pitoyable par rapport à celui de son homologue de la NOI.

Beaucoup plus substantiel est le livre de Steve Oney publié en 2003, And The Dead Shall Rise, qui compte près de 750 pages. Il a remporté le prix de la National Jewish Book Award, celui du Southern Book Critics Circle ainsi que le Silver Gavel de l’American Bar Association, et s’est hissé au rang de texte canonique sur l’affaire Frank. Oney est un journaliste de longue date à Atlanta et j’ai été favorablement impressionné par son talent narratif, ainsi que par les nombreuses et fascinantes vignettes qu’il fournies pour illustrer l’histoire du Sud de cette époque. Il semble également être un chercheur prudent, faisant largement appel aux sources primaires, évitant une grande partie de l’histoire falsifiée du siècle dernier, et ne supprimant pas totalement les preuves massives de corruption et de parjure employées par les partisans de Frank.

Mais si Oney mentionne une grande partie de ces informations, il ne va pas jusqu’à les relier entre elles de façon cohérente. Par exemple, bien qu’il mentionne parfois certains des fonds dépensés pour le compte de Frank, il ne se donne jamais la peine de les convertir en équivalents actuels, laissant un lecteur naïf présumer que des sommes aussi minimes n’auraient jamais pu être utilisées pour pervertir le cours de la justice. De plus, tout son livre est écrit sous forme narrative chronologique, sans notes de bas de page, et une grande partie du contenu est totalement étrangère à toute tentative de déterminer la culpabilité ou l’innocence de Frank, contrastant très fortement avec le style plus érudit des auteurs de la NOI.

Selon moi, une donnée centrale et incontestable du dossier concerne les énormes tentations financières offertes par les partisans juifs de Frank, et le grand nombre de citoyens d’Atlanta, de tous niveau social, qui ont changé de position sur la culpabilité de Frank pour recevoir une part de ces largesses. Contrairement aux auteurs de la NOI qui ont fortement insisté sur ce thème, Oney l’évite soigneusement, et l’on ne peut s’empêcher de se demander s’il n’aurait pas une raison personnelle de le faire. Les publications imprimées ont subi des réductions massives au cours des dernières années et j’ai lu sur la quatrième de couverture qu’Oney, journaliste de longue date à Atlanta, s’était par la suite installé à Los Angeles. J’ai ensuite appris son livre avait servi de base pour un film intitulé The People vs. Leo Frank, et je me demande si l’espoir de capturer un morceau du vaste lucre de Hollywood n’a pas pu l’inciter à se ranger à la thèse de l’innocence de Frank. Un récit dressant le portrait de Leo Frank comme violeur et meurtrier serait-il susceptible d’atteindre le grand écran ?

L’influence silencieuse des considérations financières n’est pas différente aujourd’hui de ce qu’elle était il y a un siècle, et ce facteur doit être pris en compte dans l’évaluation critique des ouvrages publiés.

Les auteurs de la NOI présente leur analyse minutieuse de l’affaire Frank sous une forme assez impartiale, mais le sentiment de leur indignation légitime transparaît parfois. Dans les années qui ont précédé le meurtre de Frank, des milliers de Noirs dans le Sud avaient été lynchés, souvent sur la base d’un mince soupçon. Une infime partie de ces incidents ont fait l’objet d’articles dans des journaux locaux. Des Blancs ont également péri dans des circonstances similaires. Mais Frank a bénéficié du plus long procès de l’histoire du Sud moderne, a été défendu par les meilleurs avocats possibles, et sa condamnation à mort pour le viol et le meurtre d’une fille de 13 ans a été fondée sur des preuves accablantes. Mais lorsque sa condamnation a finalement été exécutée par des moyens extra-judiciaires, Frank est immédiatement devenu la plus célèbre victime de lynchage de l’histoire américaine, attirant plus d’attention dans les médias que les milliers d’autres affaires réunies. L’argent juif et les médias juifs ont fait de lui un martyr juif, et il a ainsi usurpé le statut de victime et de bouc émissaire qui revenait plutôt à un nombre considérable de Noirs innocents tués avant et après lui, dont aucun n’a jamais été reconnu en tant qu’individu.

Comme le professeur Israel Shahak l’a bien montré, le judaïsme talmudique traditionnel considérait tous les non-juifs comme des sous-hommes, et leur vie comme étant sans valeur. Étant donné que les partisans de Frank étaient plutôt adeptes du judaïsme réformé, il semble assez improbable qu’ils aient adhéré à cette doctrine talmudique. Mais des traditions religieuses de plus de mille ans peuvent facilement s’inscrire dans une culture, et de tels sentiments, même non assumés consciemment, peuvent avoir facilement façonné leur réaction aux déboires juridiques de Frank.

Certains comptes rendus de l’affaire Frank évoquent une explosion d’antisémitisme s’abattant sur la communauté juive d’Atlanta à la suite du procès, affirmant même qu’une partie importante de la population juive avait été forcée de fuir. Cependant, un examen attentif des sources premières, incluant les articles de la presse d’époque, ne fournit absolument aucune indication de cela, et il semble que ce soit entièrement fictif.

Les auteurs de la Nation of Islam notent qu’avant le procès de Frank, on ne trouvait dans l’histoire des États-Unis pratiquement aucune trace d’acte antisémite significatif, l’incident le plus notable étant le cas d’un très riche financier juif qui s’était vu refuser une chambre dans un hôtel de luxe. Mais en déformant totalement le cas de Frank et en concentrant une telle couverture médiatique nationale sur son sort, les élites juives américaines ont réussi à fabriquer un récit idéologique puissant bien que dénué de réalité, peut-être en partie dans le but qu’un tel récit serve à renforcer la cohésion de la communauté juive par un sentiment de victimisation. L’invention d’une terreur antisémite prolongeant le lynchage de Frank s’inscrit dans le même but.

Nous avons un autre exemple d’histoire frauduleusement répandue par les mêmes écrivains juifs qui dominent l’affaire Frank : ils ont ​​souvent affirmé que cette affaire avait provoqué la renaissance du Ku Klux Klan. Le groupe de citoyens responsable du lynchage de Frank en 1915 aurait servi de source d’inspiration pour le rétablissement de cette organisation par William Simmons deux ans plus tard. Mais il semble n’y avoir aucune preuve d’un tel lien. Au contraire, Simmons insistait fortement sur le caractère philosémite de sa nouvelle organisation, qui attirait un nombre considérable de membres juifs.

Le principal facteur à l’origine de la renaissance du KKK était presque certainement la sortie en 1917 du film extrêmement populaire de D.W. Griffith, Birth of a Nation, qui glorifiait le KKK de l’ère de la Reconstruction. Étant donné que l’industrie cinématographique américaine était à l’époque dominée par des Juifs, et que les bailleurs de fonds du film et ses principaux distributeurs venaient de cette même communauté, on peut raisonnablement affirmer que la contribution juive à la création du Klan était cruciale. En fait, les revenus tirés de la distribution du film dans les pays du Sud ont financé la création par Samuel Goldwyn de la MGM, le plus puissant studio de Hollywood.

Dans leur introduction, les auteurs du livre The Leo Frank Case publié par la NOI soulignent que la véritable signification historique de l’affaire Frank dans l’histoire raciale américaine a été entièrement perdue. Avant ce procès, il était sans précédent pour les tribunaux du Sud d’autoriser des témoignages de Noirs contre un homme blanc, et encore moins contre un homme riche jugé sur des accusations graves. Mais la nature horrible du viol et du meurtre de la petite Phagan et le rôle de Conley en tant que témoin unique ont nécessité une rupture avec cette tradition de longue date. Ainsi, les auteurs soutiennent qu’il n’est pas déraisonnable que l’affaire Frank ait joué un rôle aussi important dans l’histoire des progrès des droits civiques des Noirs en Amérique que des verdicts historiques comme ceux des procès Plessy vs. Ferguson ou Brown vs. Board. Mais puisque que la quasi-totalité du récit historique a été produite par de fervents défenseurs des Juifs, ces faits ont été complètement occultés et l’affaire a été entièrement détournée comme un exemple de persécution antisémite et de lynchage public d’un innocent.

Résumons ce qui semble être l’histoire factuelle solidement établie de l’affaire Frank, très différente de la narration traditionnelle. Il n’y a pas la moindre preuve que les origines juives de Frank aient été un facteur dans son arrestation et sa condamnation, ni dans la peine de mort qu’il a reçue. L’affaire a créé un précédent remarquable dans l’histoire de la salle d’audience du Sud avec le témoignage d’un Noir jouant un rôle central dans la condamnation d’un Blanc. Dès les premières étapes de l’enquête, Frank et ses alliés ont sans cesse tenté de mettre en cause des Noirs innocents en établissant de fausses preuves et en sollicitant des faux témoignages par des pots-de-vin, tandis que la rhétorique raciale que Frank et ses avocats dirigeaient contre ces Noirs visaient à provoquer leur lynchage public. Pourtant, malgré toutes les tentatives des partisans de Frank pour jouer sur le racisme notoires des Blancs du Sud de cette époque, ces derniers ne se sont pas laissés influencés, et Frank a été condamné à la peine de mort pour avoir violé et assassiné cette jeune fille.

Supposons maintenant que tous les faits de cette célèbre affaire soient inchangés, à l’exception de la judéité de Frank. Supposons qu’il fût un Blanc non juif. Il est certain que le procès serait considéré comme l’un des tournants décisifs de l’histoire américaine dans la lutte contre le racisme, peut-être même éclipsant l’arrêt Brown vs. Board en raison de l’ampleur du sentiment populaire, et on lui aurait donné une place centrale dans tous nos manuels modernes. Frank, ses avocats et ses importants bailleurs de fonds seraient probablement considérés comme la plus ignoble bande de méchants racistes de toute l’histoire américaine pour leurs tentatives répétées de fomenter le lynchage de divers Noirs innocents pour sauver la peau d’un riche violeur et meurtrier blanc. Mais parce que Frank était juif et non chrétien, cette histoire remarquable a été complètement inversée pendant plus de cent ans par nos médias et notre historiographie à prédominance juive.

Ce sont là des conséquences importantes du contrôle de la narration des faits et du flux d’informations, qui permettent que des meurtriers soient transformés en martyrs, et des crapules en héros. L’Anti-Defamation League a été fondée il y a un peu plus d’un siècle avec pour objectif principal d’empêcher qu’un violeur et meurtrier juif soit tenu  légalement responsable de ses crimes. Au fil des décennies, elle s’est transformée en une force de police politique secrète, peu différente dans ses méthodes de l’ancienne Stasi d’Allemagne de l’Est, mais avec pour objectif central de maintenir un contrôle juif écrasant dans une société non-juive à 98%.

Nous devrions nous demander s’il est approprié qu’une organisation ayant de telles origines et un tel passé bénéficie d’une influence énorme sur la diffusion de l’information sur notre Internet.

Par Ron Unz – Le 15 octobre 2018 – SourceUnz Review

 

 

Source en français : le Saker francophone

Lectures complémentaires:

American Pravda : Oddities of the Jewish Religion

Jewish History, Jewish Religion : The Weight of Three Thousand Years par Israel Shahak

The Bloody Passovers of Dr. Toaff par Israel Shamir

The International Jew par Henry Ford

American Pravda : The Nature of Anti-Semitism

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Linky: la nasse fiscale se referme sur les automobilistes.

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Voici une explication sur L’INSISTANCE DES AUTORITÉS POUR

ACCÉLÉRER LA POSE DU COMPTEUR LINKY et pour nous faire acheter DES
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Cela n’a rien a voir avec le confort des
usagers ou pour leur faciliter la vie, blablabla….

Il faut comme à chaque fois chercher la raison profonde et méticuleusement DISSIMULÉE DE L’OPÉRATION !

On arrête pas le progrès ! Certes mais …

ON SE DOUTAIT BIEN UN PEU QU’IL Y AVAIT UN LOUP DE CACHÉ

Ecoutez bien cette petite vidéo qui explique ce qui nous attend si on laisse les choses se faire sans broncher !

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L’A.F.D. : 29 Milliards pour l’étranger !

 

L’Agence Française de Développement: 29 Milliards d’euros pour l’étranger.

Voici une analyse des comptes de l’Agence Française de Développement selon son propre rapport financier du premier semestre 2018. Turquie, Maroc, Tunisie, la liste des bénéficiaires et les montants astronomiques.

La France va faire exploser son aide aux pays en développement de 10,3 milliards d’euros en 2017 à 18 milliards d’euros en 2022 (rapport du Sénat)

L’A.F.D. : 29 Milliards pour l’étranger !

Franchement, on a besoin d’une telle priorité ???
http://www.senat.fr/notice-rapport/20..

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A côté de cela, nos agriculteurs et policiers se suicident, les petites gens n’ont plus même de quoi survivre, le pays est livré à la racaille du bas ou du haut (vente du patrimoine à des oligarques étrangers et apatrides), etc…

Vous avez dit Gilets Jaunes ?? 

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Gilets jaunes, printemps français ou nouvel attrape-nigauds ?

Gilets jaunes

 

Le 17 Novembre 2018, des centaines de milliers de Français se sont égayés au gré des rond-points de France et de Navarre, vêtus du gilet jaune réglementaire d’après les directives même de Bruxelles, pour crier leur ras le bol du système mafieux qui entend les diriger depuis 60 ans au bas mot. Ils semblent avoir compris que la-dite direction est toujours la même: Toujours plus bas ! Toujours plus de vexations et d’ignominies de tous ordres pour la base, toujours plus de mondialisme, de concentration des pouvoirs et d’arrogance pour la caste.

Peut-être n’est il pas superflu de citer cette phrase bien sentie de Rivarol, analyste acerbe des dérives post-révolutionnaires de son temps:

« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir. »

Cette vidéos compile des prises de vue uniquement sur Paris et me semble constituer un intéressant témoignage de la température ambiante locale à cette occasion. Et que dire de la France profonde et « périphérique » qui contient sa colère sacrée depuis … un certain temps.

Rendez-vous est pris le 24 Novembre pour l’Acte 2: Appel aux gilets jaunes de toute la France à converger sur la capitale…  s’agit-il cette fois-ci d’un printemps français, comme nous avions pu y croire un instant avec les grandes « Manifs pour tous » ??

Les chiffres officiels (assez ridicules semble-t-il): 280.000 personnes pour l’ensemble de la France… Et si l’on en croit le syndicat « France Police » des policiers en colère : Plus d’un million vers 16h ce jour là….

Que va faire la Nomenklatura maçonnique si un tel chiffre converge sur Paris ??

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Lettre d’un poilu à sa femme

 

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Lettre d’un poilu à sa femme :

« La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. »

Le 30 mai 1917

 

 » Léonie chérie

J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.

Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.

Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.

Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants. Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés. Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.

Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames. Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Les pentes d’accès boisées, étaient rudes .Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.

Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.

Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.

Comprendras-tu Léonie chérie que je ne suis pas coupable mais victime d’une justice expéditive ? Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.

C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.

Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.

Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahi et la France va nous sacrifier.

Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.

Eugène, ton mari qui t’aime tant « 

 

lettre d'un poilu à sa femme

 

              Ainsi, plus d’un million des meilleurs et des plus solides éléments de notre race française, ont-ils été horriblement sacrifiés dans un indescriptible et épouvantable carnage, qui n’est autre qu’ un rituel satanique planifié par les puissances obscures de l’arrière-scène.

On veut nous faire croire que ces braves d’entre les braves sont morts pour la France, et c’est bien ce qu’ils ont cru eux aussi, sans quoi  jamais il n’auraient consenti à ce sacrifice.

La vérité est qu’ils sont morts pour les coffres de Rotschild, les usines de Krupp, leurs marionnettes politiques à la soif inextinguible de pouvoir…

Ils étaient eux-même la  vraie France.

Honneur et Fidélité éternelles à ces géants tombés pour des nains maléfiques.

Le peuple de France ne doit jamais oublier la turpidité, la rourie et la corruption criminelle sans aucune borne dont peut se révéler capable ce gang téléguidé par des forces noires et appelé « classe politique ».

« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. »
Simone Weil (Philosophe)

« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. »
Chateaubriand

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Robert Faurisson nous a quittés.

 

Robert Faurisson nous a quittés

… Mais sa célèbre phrase de soixante mots, soigneusement choisis et pesés, restera à tout jamais comme le résumé de son combat pour le rétablissement de la vérité historique:

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« LES PRÉTENDUES CHAMBRES À GAZ HITLÉRIENNES ET LE PRÉTENDU GÉNOCIDE DES JUIFS FORMENT UN SEUL ET MÊME MENSONGE HISTORIQUE QUI A PERMIS UNE GIGANTESQUE ESCROQUERIE POLITICO-FINANCIÈRE DONT LES PRINCIPAUX BÉNÉFICIAIRES SONT L’ÉTAT D’ISRAËL ET LE SIONISME INTERNATIONAL ET DONT LES PRINCIPALES VICTIMES SONT LE PEUPLE ALLEMAND – MAIS NON PAS SES DIRIGEANTS – ET LE PEUPLE PALESTINIEN TOUT ENTIER ».

 

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Les unes diverses de la grosse presse vendue au Lobby qui n’existe pas, se délectent et en rajoute dans l’ abject… Laissons tous ces incroyables niais et/ou stipendiés s’auto-congratuler… Aucun intérêt. « Business as usual ».

Les hommes intègres et épris de vérité devraient, eux, tout de même se demander pourquoi jamais personne n’a apporté aucune autre réponse que l’insulte et le crachat aux interrogations extrêmement dérangeantes de Robert Faurisson ?

Pourquoi jamais le débat qu’il demandait depuis l’origine de ses recherches n’a jamais eu lieu: Un faussaire est extrêmement facile à épingler… Il aurait donc été si facile et jubilatoire pour eux de le ridiculiser en public !

Toute cette affaire aurait alors été définitivement close, mais cela n’a jamais eu lieu !



Pourquoi Diable ?!

Cela n’a jamais eu lieu tout simplement car les faussaires, les vrais, n’ont bien évidemment aucune réponse a apporter à ses études comprenant des milliers de documents extrêmement précis, de photos,  d’analyses chimiques d’expert, etc… Bref, du béton !

Mais en vérité, ils n’ont jamais eu qu’une trouille, c’est que le pot aux roses soit découvert et que l’accusation de faussaire soit soudain retournée contre eux et contre la méprisable honorabilité dans laquelle il mijotent en se tenant par la barbichette, ahahahaha !

Comme l’a glissé Dieudonné:  » Si nous étions dans un monde normal, c’est au Panthéon que Robert Faurisson devrait se trouver ! »

Que les ignorants complets du sujet prennent au moins le temps de lire ce qui suit :

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Éditorial de Jérôme Bourbon, à paraître dans le numéro 3349 de RIVAROL daté du mercredi 24 octobre 2018

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Jusqu’aux derniers instants de sa vie ici-bas Robert Faurisson aura été confronté à l’adversité. Et à une adversité violente, constante, brutale. Alors qu’il donnait le samedi 20 octobre une conférence en anglais dans un hôtel de Shepperton, sa ville natale, en compagnie de son disciple Vincent Reynouard, exilé en Angleterre à cause de son combat révisionniste, les gérants de l’établissement, apeurés, tétanisés par les menaces téléphoniques et sur les réseaux sociaux de groupes et d’individus se réclamant de l’antiracisme, ont tout tenté pour interrompre la conférence : irruption dans la salle, injonction de quitter les lieux immédiatement, coupure de l’électricité, déclenchement à plusieurs reprises d’une alarme incendie… L’intrépide professeur faisait face une dernière fois à une manifestation peu glorieuse de la lâcheté humaine. Robert Faurisson aimait à répéter que ce qu’il avait le plus rencontré tout au long de sa vie, et singulièrement au cours de ses quarante années de combat révisionniste actif et de persécutions incessantes, et ce qui l’avait le plus marqué, c’était la lâcheté des hommes, y compris et surtout celle des bons. La peur, disait-il, est le moteur de l’histoire. C’est celle qui explique les renoncements, les abdications, les ignominies, les trahisons, les désertions.

Robert Faurisson, lui, n’avait pas peur. Pas peur de témoigner devant des tribunaux hostiles où il excellait, racontant avec clarté et pédagogie des heures durant ses travaux révisionnistes, ses découvertes, son itinéraire, expliquant, démontrant, réfutant. Pas peur de donner partout où il était invité des conférences où il subjuguait son auditoire par sa capacité à s’exprimer sans notes, par sa brillance, par le caractère imparable de ses démonstrations, par la pertinence de ses observations, par son formidable humour dont il disait qu’il lui venait de son ascendance écossaise, par sa capacité à faire rire son auditoire, même lorsqu’il parlait de choses éminemment sérieuses. Pas peur de tenir publiquement pendant près d’un demi-siècle des positions qui firent de lui un pestiféré, qui lui firent perdre ses fonctions de professeur à l’université où il aimait tant enseigner au motif qu’on était incapable d’assurer sa sécurité, pas peur par sa ténacité, son invariance et son intransigeance dans ses positions d’être la cible privilégiée de milices. C’est ainsi qu’il subit stoïquement une dizaine d’agressions physiques. Une, particulièrement grave, dans un parc public à Vichy, en septembre 1989, il y a tout juste vingt-neuf ans, le laissa à demi-mort et il n’aurait sans doute pas survécu si un passant ne l’avait alors conduit à l’hôpital. Un individu qui, apprenant plus tard qui il était, exprima son regret de lui être venu en aide ! De cette agression revendiquée par les Fils de la mémoire juive l’indomptable Professeur gardera toute sa vie des séquelles, qui le firent atrocement souffrir au visage jusqu’à sa mort.
Isolé, en effet, il le fut, puisque très rares furent les personnalités à oser le fréquenter.

Même Jean-Marie Le Pen, qui fut pourtant lui-même ostracisé, n’a jamais souhaité rencontrer le professeur au point que lors de notre banquet en 2016 pour les 65 ans de RIVAROL il nous avait fallu attendre que le fondateur du Front national quittât la salle pour faire entrer le Professeur qui fit à cette occasion une magnifique conférence retraçant en une heure et demie toute la genèse et l’histoire de ses travaux et de son combat pour la vérité historique, ou plutôt pour l’exactitude historique, pour reprendre l’expression qu’il aimait à employer.

Robert Faurisson eut cependant des consolations tout au long de ses quarante années de durs combats : Pierre Guillaume l’édita courageusement au début des années 1980 (La Vieille Taupe), une partie de sa famille le seconda et l’aida avec un dévouement incessant pendant ces quelque quarante années de persécution, il participa à une conférence sur l’Holocauste en Iran en décembre 2006, le président Mahmoud Ahmadinejad lui remit en 2012 un prix honorant « le courage, la résistance, la combativité » et en décembre 2008 l’humoriste Dieudonné le fit monter sur scène au Zénith pour lui remettre un Prix de l’insolence et de l’infréquentabilité. Il put compter aussi jusqu’au bout sur le dévouement de Jean Plantin qui édita consciencieusement ses « Ecrits révisionnistes » qui constituent une mine d’informations et d’explications inégalées, sur l’infatigable Vincent Reynouard qui, dans ses écrits puis dans ses vidéos, poursuit à sa manière son œuvre et sur le soutien et l’amitié d’anonymes avec lesquels il n’hésitait pas à correspondre, à donner de son temps, même lorsqu’il était au bout de ses forces. Il connut aussi des trahisons, dont la plus douloureuse fut sans doute celle de Jean-Claude Pressac, son ancien disciple, qui fut financé par les Klarsfeld pour essayer de prouver l’existence des chambres à gaz. Las, huit ans avant de mourir dans l’indifférence générale, Pressac, dans un entretien de juin 1995 avec Valérie Igounet, qualifie tout le dossier des chambres à gaz de “pourri” et affirme que « la forme actuelle, pourtant triomphante, de la présentation de l’univers des camps est condamnée. Qu’en sauvera-t-on ? Peu de choses. »

RIEN a priori ne destinait Robert Faurisson, ce brillant professeur d’université, cet agrégé de lettres à qui l’on doit des œuvres d’érudition littéraire comme « A-t-on Lu Rimbaud » ? « A-t-on lu Lautréamont » à entrer de plain-pied dans ce que d’aucuns ont qualifié de plus grande aventure intellectuelle du XXème siècle : le révisionnisme historique. Rien, si ce n’est sa grande curiosité, son anticonformisme viscéral et son sens profond de la justice. Lors de la conférence qu’il donna le 9 avril 2016 pour les 65 ans de RIVAROL (et dont le texte intégral est paru dans les « Ecrits de Paris » de mai 2016, un numéro toujours disponible à nos bureaux contre quelques euros, tout comme le testament du Professeur paru dans RIVAROL des 13 et 20 octobre 2016), il expliquait que bien que très hostile à l’occupant allemand pendant la guerre, il avait eu le souci, à partir du 8 mai 1945, date de la capitulation allemande, de se conduire, sinon en gentilhomme, du moins en gentleman, à l’égard du vaincu. Et c’est cette soif de justice et de vérité qui le conduira à être révolté par les horreurs de l’épuration gaullo-communiste et à lire Maurice Bardèche (Nuremberg ou la Terre promise, 1948) et Paul Rassinier (Le Mensonge d’Ulysse, 1950) qui sont les pionniers du révisionnisme historique.

Bien que Robert Faurisson ne fût pas croyant, il y avait dans sa profession de foi révisionniste une démarche christique. Ne pas répéter à propos de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale la vulgate expose en effet à la mort sociale, à l’isolement, à l’incompréhension et à l’hostilité générale. Qui n’a pas touché de près au révisionnisme ne sait pas ce qu’est la haine, jusqu’à quelles extrémités elle peut conduire. A l’instar d’autres révisionnistes, Robert Faurisson a toujours souhaité un débat public avec ses contradicteurs. Ce débat lui a toujours été refusé. Il n’a eu droit qu’à des plaintes devant les tribunaux pour contestation de crime contre l’humanité, qu’à des menaces, à des insultes et à des coups. Il suffit de lire le titre des dépêches à l’annonce de son décès pour comprendre que la haine est toujours aussi active et qu’elle ne connaît aucun répit, aucune trêve : « la mort d’un négationniste, d’un faussaire de l’histoire, d’un falsificateur, d’un antisémite ». Des sites juifs se réjouissent ouvertement, bruyamment de sa disparition. Mais s’ils n’ont que des insultes aux lèvres, c’est qu’ils n’ont pas d’argument. Ils salissent l’homme mais sont incapables de répondre à ses arguments, à ses interrogations, à ses objections techniques, scientifiques. Lorsqu’on assistait à des procès de Robert Faurisson, le contraste était saisissant entre un homme qui usait d’arguments rationnels, qui expliquait patiemment sa démarche, relatait ses travaux, faisait état de ses observations et de ses conclusions et des opposants qui attaquaient rageusement l’homme, qui le traitaient d’antisémite compulsif et de négationniste forcené, qui appelaient à une répression renforcée mais qui ne répondaient à aucun de ses arguments. A l’instar des trente-quatre historiens qui, dans Le Monde du 21 février 1979, ne pouvaient répondre à Faurisson que ceci : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz. »

C’EST qu’en contestant ouvertement la version officielle et obligatoire de la Seconde Guerre mondiale, en refusant d’accabler les vaincus et d’encenser les vainqueurs, Robert Faurisson menaçait des intérêts puissants. Ceux de l’Etat d’Israël et du sionisme international dont la puissance, la pérennité, l’immunité et l’impunité reposent essentiellement sur le Dogme holocaustique. Ceux des Alliés et de la sacro-sainte croisade des démocraties contre les forces de l’Axe. Ceux des gauchistes de tous poils pour qui il est nécessaire que les régimes nationalistes de l’entre-deux-guerres en Europe soient le mal absolu et non le communisme sous toutes ses formes, léniniste, stalinienne, maoïste, trotskyste.

Non seulement Robert Faurisson, par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots, prononcée en 1980 au micro d’Europe 1 face à un Ivan Levaï excédé, menaçait les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mais il contestait une véritable religion, ou plutôt une contre-religion, le culte holocaustique. Un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence et de soumission à son endroit. Un (faux) dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on se lamente comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, qu’on se frappe la poitrine en s’écriant « plus jamais ça ».
La contre-religion de la Shoah enseignée dès l’école primaire et tout au long de la vie à travers la télévision, le cinéma, les divertissements singe en effet les rituels catholiques avec son culte des martyrs (les six millions), des saints (les Justes récompensés par l’Etat d’Israël), des miraculés (les survivants de la Shoah), des stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages et processions expiatoires d’Auschwitz au Struthof, ses temples et cathédrales (les musées de l’Holocauste, le mémorial de la Shoah), les aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’Etat d’Israël et des descendants de déportés), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, de Primo Levi…), ses martyrologes (les murs et mémoriaux recensant l’identité et le patronyme des victimes), ses lieux de supplice (les chambres à gaz homicides), ses tables de la loi (la Déclaration des droits de l’homme), son Evangile (le jugement du tribunal militaire international de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Klarsfeld, Veil, Lanzmann…), son inquisition (les tribunaux de la République et de dizaines d’Etats dans le monde ayant un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème ( la loi Fabius-Gayssot et son équivalent un peu partout en Occident), ses juges (les magistrats), sa cité sainte (l’entité sioniste), ses archanges (Tsahal protégeant l’Eretz), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et tous les organes dirigeants, qu’ils soient politiques, médiatiques, religieux, syndicaux, associatifs, sportifs, économiques), ses saintes congrégations (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, le CRIF, la LICRA, l’UEJF, l’AIPAC…), son enfer (tous les nationalistes, sauf les israéliens, les révisionnistes, les catholiques fidèles à la doctrine sur le nouvel Israël, à la théologie dite de la substitution), ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité), ses mécréants (les révisionnistes).

Si elle singe la religion chrétienne, cette contre-religion en constitue aussi l’inversion : à l’amour elle oppose la haine, à la vérité le mensonge, au pardon des offenses la vengeance talmudique, au respect des anciens la traque aux vieillards, à la rémission des péchés l’imprescriptibilité des crimes, à l’esprit de pauvreté l’appât du gain, à l’humilité la volonté de domination, au sens du partage l’esprit de lucre, à la charité le chantage, au respect d’autrui le lynchage, au silence du recueillement le tapage de la mise en accusation, à la discrétion des vertus domestiques le bruit et la fureur médiatiques, à la justice infinie de Dieu la partialité d’un tribunal des vainqueurs jugeant les vaincus.

IRONIE de l’histoire, Robert Faurisson est décédé en rentrant à son domicile de retour de sa ville natale en Angleterre le 21 octobre au soir, victime d’une violente crise cardiaque. Or, quatre jours plus tard, les magistrats de Cusset devaient rendre leur jugement dans l’affaire dite de la chambre à gaz du Struthof. Le 20 septembre, au cours de ce qui fut son dernier procès, le Professeur, bien qu’épuisé, fit une défense magistrale dont on peut lire de larges extraits dans notre édition du 3 octobre (« Struthof : la LICRA poursuit Faurisson ») Jusqu’au bout le Professeur lutta avec un courage et une détermination hors du commun qui forcent l’admiration.
Il est courant de dire que personne n’est irremplaçable. Eh bien si. La mort de ce géant, de ce monument est une perte irréparable. On n’a pas fini de mesurer à quel point il va manquer. Car combien y-a-t-il aujourd’hui d’hommes de sa trempe, de son érudition, de son talent, de sa bravoure, de sa ténacité ? Et pourtant même sans lui le combat pour la vérité historique doit continuer. Quels que soient les aléas et les difficultés de toutes sortes. Quels que soient les tourments et les obstacles. Reste en effet son exemple, restent ses œuvres. Tant qu’il demeurera des hommes épris de justice et de vérité, refusant le mensonge et l’imposture, alors rien ne sera perdu, tout restera possible.

Jérôme BOURBON, directeur de RIVAROL.
jeromebourbon@yahoo.fr

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