Mardi 19 Novembre, au théâtre du Mogador à Paris, Espérance Ruralités participait à la Nuit du Bien Commun pour la troisième année consécutive. Quelle soirée !
Jean-Baptiste Nouailhac, fondateur du cours Clovis et directeur de la Fondation Espérance Ruralités, a présenté notre action au service des enfants de la France périphérique.
Le tirage au sort ne nous a pas aidés : nous sommes passés en dernier. Malgré cela notre projet est celui qui a récolté le plus de fonds : 160 000 € pour financer la première tranche des travaux de restauration de l’ancienne école d’artillerie de la Fère, où nous allons installer durablement le cours Clovis, d’Espérance Ruralités.
160 000 €, c’est une somme formidable qui confirme l’intérêt des donateurs pour notre projet de restauration de l’ancienne école d’artillerie et donc notre capacité à le financer.
Du fond du cœur merci à tous ceux d’entre vous qui nous ont soutenus à cette occasion ou dans d’autres circonstances. Votre engagement à nos côtés est décisif et fécond !
Tout ceci se passe de commentaires. A l’heure du Grand Déclassement ce Monsieur est tout simplement un Saint !
Excellente analyse comme d’habitude d’Antonin Campana Du blog Autochtonisme.com
Vers un Congrès National-Autochtone ?
» Un lecteur me demande comment « mobiliser dans la rue ». Il m’explique : « J’ai participé, dimanche dernier, à la manifestation organisée par Génération Identitaire contre l’islamisme et l’immigration: nous n’étions pas 500 ! (…) Alors que Marine Le Pen avait rassemblé sur son nom 11 millions de voix au second tour de la présidentielle, quelques centaines de personnes seulement se sont déplacées pour manifester leur opposition à l’invasion de notre pays ! ».
L’observation est amère mais juste. Ceux qui fréquentent ou ont fréquenté ce genre de manifestations savent que les participants sont toujours peu nombreux malgré les enjeux… et que les visages sont souvent les mêmes. Je vais essayer, puisqu’on me le demande, d’apporter un éclairage sur le constat qui est fait par notre lecteur. Préalablement, je tiens cependant à souligner que j’expose ici un point de vue en cohérence avec ce que je préconise ailleurs dans ce blog (voyez ce PDF ou cet article). Je ne critique ici ni l’engagement des G.I., ni leurs motivations, ni bien sûr le courage (il en faut !) des participants à cette manifestation. Je réponds simplement à une question en fonction d’une grille de lecture que les faits exposés semblent valider. Donc voilà :
Imaginez que vous habitiez dans une zone de vivre-tous-ensemble et que votre désir le plus cher soit de vous libérer de cet enrichissement culturel. Vous allez donc élaborer une stratégie globale dont le but sera de vous faire changer de quartier.
Cette stratégie globale pourra se décliner en deux « stratégies intermédiaires » : vendre votre appartement et, par exemple, acheter une maison à la campagne.
Chacune de ces stratégies va à son tour se décliner en « engagements tactiques » de portée plus limitée. Par exemple, la première stratégie intermédiaire va nécessiter que vous rafraichissiez un peu votre logement, que vous vous adressiez à un agent immobilier, que vous passiez des annonces, que vous dégagiez du temps pour recevoir des acheteurs, etc.
La seconde stratégie intermédiaire va par exemple nécessiter que vous trouviez une maison, que vous mobilisiez les sommes nécessaires pour l’acheter, que vous empruntiez de l’argent, que vous fassiez des travaux avant d’emménager, etc.
Chacun de ces engagements tactiques utilise des « méthodes » pour arriver à ses fins. Retapisser votre appartement en vente sera peut-être la méthode choisie pour le rafraîchir. Vous adresser à votre banque sera peut-être la méthode adéquate pour vous procurer l’argent nécessaire. Le recours à vos amis sera peut-être votre méthode pour déménager.
Ce n’est qu’au terme de la seconde stratégie intermédiaire que le but de votre stratégie globale, à savoir déménager, sera atteint. Avant cela il vous faudra répondre à des questions comme : quand ? Comment ? Combien ? Où ? Avec qui ? Avec quoi ? Pour quels résultats ? A chaque étape, vous allez devoir agir en fonction de vos ressources disponibles et faire un bilan de votre action en la corrigeant éventuellement.
Gene Sharp, le concepteur des révolutions de couleur, fait observer que dans notre vie quotidienne, lorsque nous voyageons par exemple, nous faisons spontanément des planifications qui peuvent se décliner en stratégie globale, stratégies intermédiaires, tactiques et méthodes. Il souligne néanmoins que la planification stratégique retient rarement l’attention des militants :
« Certains en effet croient naïvement qu’il suffit de déclarer leurs objectifs haut, fort et suffisamment longtemps pour que ceux-ci soient d’une manière ou d’une autre atteints. D’autres pensent que, s’ils restent fidèles à leurs idéaux et principes et témoignent d’eux dans l’adversité, ils font là le maximum possible en vue de la réalisation de leurs objectifs. Il est certes admirable d’affirmer ses convictions et d’y rester fidèle mais c’est une attitude qui en soi est entièrement inadaptée à un objectif de changement, pour sortir du statu quo et atteindre des buts bien définis. » (La Force sans la violence, 2009).
Persévérer dans cette attitude inadaptée gaspille la force des militants, les place de manière récurrente en situation d’échec et a pour conséquence inévitable de les démotiver. C’est un constat dont nous avons tous pu mesurer la justesse.
Revenons à la manifestation des GI. Cette manifestation est-elle une stratégie, un engagement tactique ou une méthode ? Si c’est une méthode, dans quel engagement tactique s’inscrit-elle ? Si c’est un engagement tactique, dans quelle stratégie intermédiaire ou globale s’inscrit-il ? Si cette manifestation isolée incarne à elle toute seule une stratégie, quels sont ses résultats ?
En vérité, cette manifestation n’est ni une stratégie, ni un engagement tactique ni une méthode. C’est un témoignage courageux, mais désespéré. C’est un « coup » qui ne s’inscrit pas dans la durée et qui, plus grave, ne semble relever d’aucune planification stratégique. De ce fait, il n’amène rien, si ce n’est du découragement et, potentiellement, des années de prison, ou une fiche S.
D’autre part, ce « coup » ne tient aucun compte des ressources disponibles. Faut-il se lancer dans ce genre de manifestations quand on ne dispose ni des relais médiatiques ni du nombre ? L’action doit être intégrée à un plan. Elle doit aussi être à la portée de celui qui l’engage. Il faut éviter les défaites, donc adapter les actions aux ressources. La manifestation des GI avait-elle les capacités de barrer la route à l’immigration ou même simplement de provoquer une prise de conscience ? Evidemment non. Dès lors, pourquoi se lancer dans cette opération perdue d’avance ?
On ne peut aller de l’état présent à l’état désiré sans passer par des étapes intermédiaires. Si l’on veut parvenir au sommet de l’Everest, il faut commencer par atteindre le camp N°1, puis le 2, puis le 3. Les grands projets demandent de la méthode, de la constance, de la patience, de l’organisation… et aussi de petites victoires qui mobilisent davantage que les échecs répétés. Quel est le camp numéro 1 d’une lutte contre l’islamisme ou l’immigration ? Planifier la lutte contre l’immigration est bien plus important que de planifier un déménagement ou un voyage. Pourtant, nous ne le faisons pas. Pense-t-on qu’il est possible d’aller sur une terre lointaine sans s’en donner les moyens et en manifestant simplement le désir d’y aller ? Bien sûr que non. Alors pourquoi croyons-nous qu’on pourrait mettre fin à l’immigration simplement en manifestant le désir d’y mettre fin ?
Il faut comprendre que la lutte contre l’immigration et l’islamisme n’est tout simplement pas à notre portée dans la situation actuelle. Nous n’avons pas les ressources nécessaires. Donc, inutile de mener frontalement cette lutte si l’on ne veut pas se faire casser les reins pour rien. Cependant, si le reflux de l’islamisme et de l’immigration est notre objectif, alors il faudra fixer une stratégie, une planification comprenant de nombreuses étapes faites d’engagements tactiques limités, planification qui nous mènera progressivement de la situation actuelle à la situation voulue.
Ce blog fixe une stratégie qui peut tout à fait s’adapter à cet objectif. Je la rappelle succinctement :
Stratégie globale : libérer le peuple autochtone français (et européen)
Première stratégie intermédiaire : rassembler et organiser les Autochtones
Appel à un Congrès national-autochtone
Formation du Gouvernement autochtone, élection d’un Parlement autochtone
Formation d’un Etat parallèle autochtone
Formation d’une société parallèle autochtone
Seconde Stratégie intermédiaire : lutter pour les droits
Lutter pour les droits collectifs autochtones
Lutter pour l’application aux Autochtones de France de la Déclaration des nations unies sur les droits des peuples autochtones
Ne terminer la lutte qu’après la libération des peuples autochtones européens
Dans le cadre de cette stratégie, la manifestation de rue contre l’islamisme et l’immigration pourrait s’inscrire utilement dans la stratégie intermédiaire de conquête des droits. Ce type de manifestation constituerait alors une « méthode » qu’on utiliserait si (et seulement si !) nos ressources le permettent et à condition que les gains tactiques espérés soient supérieurs aux coûts estimés. Cette méthode pourrait être utilisée dans le cadre d’un engagement tactique qui aurait pour objectif (par exemple) de revendiquer notre droit autochtone à la sécurité identitaire, culturelle et physique, tel que défini par la Déclaration de l’ONU citée plus haut. La manifestation de rue prendrait alors son sens par sa conformité aux objectifs de l’engagement tactique. L’engagement tactique, quant à lui, prendrait son sens par sa conformité aux objectifs de la stratégie intermédiaire. Et la stratégie intermédiaire, enfin, prendrait son sens par sa conformité aux objectifs de la stratégie globale.
Notre lecteur s’inquiète à juste titre du nombre de participants (500) à la manifestation dont nous parlons. Le nombre en question n’est pas un problème en soi, à condition qu’il soit à la mesure de l’effet recherché. S’il s’agit, comme proclamé, de faire barrage à l’islamisme et à l’immigration, il est effectivement dérisoire (il faudrait des centaines de milliers d’individus). S’il s’agit d’alerter sur le contenu des repas d’une cantine scolaire, il est trop important. L’essentiel réside dans l’adaptation des actions aux ressources disponibles. On ne doit pas espérer une action d’envergure avec un grand nombre de participants tant qu’un important travail d’organisation et de structuration n’a pas été fait. Nous ne disposons pas des médias et n’avons aucun réseau. Il faut donc rassembler, organiser, structurer, planifier stratégiquement les actions longtemps avant d’agir (selon l’action envisagée, nous parlons d’années, pas de semaines). Plutôt que de s’exposer inutilement dans une opération sans effet sur l’objectif recherché, les 500 personnes en question devraient travailler à constituer à faible bruit l’encadrement d’une nation autochtone à libérer. C’est de l’action à bon escient de cette minorité éveillée que dépend l’avenir de notre peuple.
Effectivement, 11 millions de Français sont « conscients » mais ne bougent pas !
C’est queces 11 millions d’individus dissociés ne forment pas une société. Ces millions sont à l’état gazeux et ne gagnent une consistance qu’au moment des élections. Ils forment alors un corps électoral.
Mais ce corps électoral se désagrège immédiatement après l’isoloir. Chaque individu retourne alors à sa vie solitaire. L’objectif est de faire de ce corps électoral dissocié dans la société multiethnique un corps national en sécession. Quand ce corps électoral éphémère et gazeux, donc non mobilisable, sera devenu, sous l’action coagulante des Réfractaires, un corps national organisé, alors les manifestations contre l’immigration auront une toute autre ampleur et ne laisseront plus indifférents. Mais pour cela il faut préalablement créer des réseaux, des associations, des communautés, une société parallèle et des institutions parallèles. Pour cela, dans un premier temps tout au moins, il faudra sans doute davantage « travailler » souterrainement que « militer » ouvertement. C’est une règle : il est nécessaire de forger les outils avant de commencer les grands travaux !
Nous avons parlé de l’Everest. Inverser les flux migratoires sera plus difficile que de gravir l’Everest ! Or, nous sommes un peu dans la situation d’un alpiniste dont le plus haut sommet à son actif serait la butte Montmartre. Mais cet alpiniste, nous le savons, a néanmoins un fort potentiel. Il faut simplement qu’il se fixe un plan d’entraînement et qu’il en suive avec obstination toutes les étapes. C’est ainsi que procéderait un homme sensé. Il ne faut surtout pas se lancer dans une telle expédition sans préparation et après avoir dédaigné les sommets moins élevés. Malheureusement, c’est exactement ce que notre alpiniste a fait jusqu’à présent. Le moins que l’on puisse dire est que cela s’est toujours mal terminé !
Vers un congrès National-Autochtone ?
Suivre une stratégie nationale-autochtone de rassemblement est sans doute la solution au problème de « mobilisation » posé par notre lecteur. Nous ne disons pas que la stratégie préconisée par ce blog, stratégie qui dans sa forme s’apparente à une révolution de couleur inversée, soit la meilleure, ni la seule possible. Nous disons simplement qu’il est désormais indispensable d’agir stratégiquement. Nous pensons qu’il est maintenant urgent de réunir un congrès national-autochtone, et nous pensons également que c’est à ce congrès de définir cette stratégie. «
Antonin Campana
Je vous invite à suivre le blog d’Antonin Campana: Autochtonisme.com et à le faire connaître autour de vous !
C’est un projet de site internet d’annonces et de réseautage entre patriotes.
À mi-chemin entre un « Le Bon Coin » ou « ebay », et un « Facebook », mais spécifiquement conçus pour les patriotes !
Son but central sera de faciliter, à travers toute la France, la mise en relation des patriotes entre eux, et donc d’encourager les échanges de toutes natures entre patriotes, au service de l’intérêt général de notre patrie.
Le Rucher est par ailleurs a-partisan, c’est-à-dire qu’il est rigoureusement indépendant de tout parti politique existant, ainsi que de toute organisation confessionnelle.
Le Rucher Patriote ne se référera en particulier à aucune autre acception du mot « patriote » que celle exprimée dans notre Charte des valeurs patriotes.
Le Rucher est administré par une association française d’intérêt général, à but non lucratif (association loi 1901), qui se nomme « Propolis ».
Pourquoi encourager les échanges entre patriotes ?
Parce que cela nous rend puissants, redonne aux patriotes le pouvoir par la base – comme le grand mouvement des Gilets Jaunes en montre l’aspiration et la possibilité –, et constitue un très efficace remède contre les divisions menaçant aujourd’hui notre avenir. Pour développer une économie patriote : chaque patriote pourra ainsi choisir d’orienter ses dépenses, des plus habituelles aux plus exceptionnelles, dans un sens favorisant la patrie, et non pas dans un sens la desservant ;
Pour développer une sociabilité patriote : souvent des patriotes sont voisins (de palier, de rue, de quartier, de ville, de région) et ne le savent pas, alors qu’ils seraient heureux de nouer des rapports cordiaux au service de valeurs communes. Ainsi, par exemple, ils pourraient partager des activités sportives, ou artistiques, ou de promotion du patrimoine local, etc. ;
Car favoriser le lien social entre patriotes, c’est renforcer dans notre pays notre force collective, donc celle des valeurs patriotes au service de l’intérêt général ; Pour développer une solidarité patriote : échanger des services réciproques (par exemple du soutien scolaire, des gardes d’enfants, de l’aide ménagère, ou comptable, ou de bricolage, etc.) est bien plus fortifiant et motivant quand cela peut se faire sur la base de valeurs communes, qui seront ainsi renforcées au sein de notre patrie ;
Pour une promotion patriote de notre culture : on ne défend et ne promeut jamais si bien nos terroirs, nos traditions, nos richesses culturelles, qu’avec des personnes partageant une même passion patriotique, propre à communiquer aux autres l’amour de la patrie ;
Pour des actions citoyennes en faveur de la patrie : chaque patriote pourra ainsi relayer plus efficacement ses actions ou projets d’action citoyennes au service de l’intérêt général de la patrie, et trouver d’autres personnes compétentes et motivées pour l’y aider, ainsi que le soutien du plus grand nombre.
Alexandre Langlois du syndicat de policiers « VIGI », nous livre ici une belle tranche de macronie bien juteuse ! Vous en reprendrez bien un morceau ?!
Alexandre Langlois fait l’objet d’une exclusion temporaire de six mois dans la police nationale après avoir révélé en interne et à la presse un certain nombre d’éléments graves au sujet du ministère de l’Intérieur. Suicides, agressions sexuelles, falsifications de chiffres, gaz lacrymogènes toxiques… Le policier dit tout.
Monsieur Castaner, Ministre de l’Intérieur, a fait le choix d’une sanction politique à mon encontre pour avoir dénoncé les dysfonctionnements graves au sein de la Police Nationale.
Plutôt que de résoudre les problèmes, il a fait le choix du déni et pour cela il ne veut surtout pas d’une bonne conscience qui le mette devant ses contradictions.
Je suis donc suspendu de fonction à partir du 3 juillet 2019, pour 12 mois, dont 6 mois avec sursis. Mais comme je ne compte pas me taire et continuer à exercer mon mandat syndical de secrétaire général du syndicat VIGI. Ministère de l’Intérieur, le sursis est sûrement une private joke de Monsieur Castaner.
Je vais continuer de me battre pour une police irréprochable, à commencer par la haute hiérarchie et le ministre de l’intérieur. La police doit être au service de la population et non d’intérêts particuliers.
Pendant 12 mois minimum je ne vais pas avoir de salaire, ce qui va impacter la vie de ma fille 6 ans, de mon fils 2 ans et de ma femme, alors que je suis le seul salaire du foyer. En effet ma femme avait dû suspendre son activité pour s’occuper de notre plus jeune fils, suite à une naissance difficile. A l’heure actuelle, comme il va mieux, elle a pu reprendre son activité de ferme équestre (www.equitanime.com) en avril 2019.
Cependant étant à son compte elle travaille, mais ne gagne pas encore d’argent.
Grâce à votre générosité et solidarité, ma famille n’aura pas à pâtir de mon combat, car en moins d’une semaine vous avez assuré mes 12 mois de salaire, soit 29 955€.
Je suis donc le premier policier en France, qui est payé directement par son employeur, à savoir le peuple.
La cagnotte va rester ouverte, parce que chaque euro qui y est mis fait enrager Monsieur Castaner et ses amis. Cependant, mon but n’est pas un enrichissement personnel, donc l’argent versé à partir de maintenant ira au syndicat pour que VIGI puisse, continuer par tous types d’action, d’être le fer de lance du combat pour que la police redevienne républicaine et au service du peuple.
Kemi Seba patriote identitaire panafricain: Le retour des Africains en Afrique, sur leurs terres et à leurs valeurs ancestrales, est le thème de cette vidéo où Kemi Seba les incitent à réagir devant la corruption des zélites africaines (les mêmes réseaux mondialistes et officines occultes que chez nous, bien évidemment.) ainsi qu’à retrousser leurs manches pour mettre en valeur leur immense et richissime continent, au lieu de venir faire des sous-travaux de larbins déracinés en Europe, suivant ainsi les injonctions de « l’Open Society » de Monsieur Soros.
Car il est intéressant de noter que Kemi Seba est criminalisé au même titre que les patriotes identitaires blancs européens ! Voici ce qu’écrit « Le Monde » du 30 Octobre 2017:
« …Car le sulfureux militant a aussi été le leader de la Tribu Ka, un mouvement créé en France se voulant le défenseur du « peuple noir » et prônant la séparation des races qui a officiellement été dissous en juillet 2006. » …
La séparation des races !
On comprend mieux ainsi que son combat contre le catéchisme cosmopolite du métissage universel, aggravé par celui contre le Franc CFA, principal outils de mise sous tutelle de l’Afrique, fasse grincer les dents de la Nomenklatura mondialiste.
Lorsque le présentateur de la vidéo (assez niais !) lui demande ce qu’il pense de la convergence des luttes », sa réponse en substance est très claire: « Ces concepts marxisants sont ridicules. La seule convergence des luttes qui puisse exister est celle des peuples enracinés. «
Bon… Vous en pensez ce que vous voudrez, mais personnellement je trouve ses propos forts et toniques ! Pas de violence ou d’agressivité stupide chez lui, mais une force de conviction réfléchie et paisible. Je n’ai donc aucune raison de ne pas respecter sa démarche autant que je respecte celle d’un Alsacien, d’un Breton ou d’un Provençal enraciné dans sa culture ancestrale et s’exprimant avec des termes simples et humains.
Bref, pour ma part, en tant qu’Auvergnat, aimant les belles vaches de Salers, je résumerais en disant simplement:
« Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées, ahahah ! »
A l’opposé des cohortes de nuisibles occupés à la destruction tous azimuts de notre mémoire ancestrale, des êtres exceptionnels font oeuvre admirable. A l’opposé, Robert Tretel est de ceux-ci… Il s’ingénie depuis des années à faire revivre cette admirable abbaye de Bretagne.
Bravo Monsieur, au nom de tous ceux qui ont l’amour de notre terre, vous êtes un véritable héros dans ces heures présentes, certainement les plus sombres de notre Histoire !
Ne rendez pas encore plus difficile ce qui déjà est difficile, parce que pour moi c’est une émotion indescriptible [ovation]
Merci.
Je suis désolé pour tous ceux qui n’ont pas pu venir soit parce ils ont dû rester à la maison pour préparer un examen, soit parce qu’ils sont pas bien, soit parce qu’ils travaillent. Faites parvenir dans toute l’Italie, dans le monde entier qui nous suit en direct ce cri d’amour qui arrive de Pontida, car ici, on veut construire, on a envie d’être bien ensemble, car, comme le dit un grand poète contemporain que je salue, qui nous écoute depuis chez lui, « l’amour est le travail de celui qui n’a pas peur»
Ici il y a de l’amour. Il n’y a pas d’envie, pas de jalousie, il n’y a pas de rancœur. La vie est trop courte pour perdre son temps à haïr. Laissons d’autres haïr, menacer, se ronger les sangs. […]
Nous, nous n’avons du temps que pour construire.
Avant de faire un discours, rapide, je remercie les forces de l’ordre, les volontaires des ambulances qui nous donnent un coup de main en cette belle et chaude journée.
Pourtant, puisque que je serai ici pendant une poignée de minutes pour vous expliquer ma position et pour faire un pacte d’honneur et d’amour avec vous au sujet de ce que nous ferons ces prochains mois, il est juste de ne pas le faire seulement avec ceux qui sont encore sur cette terre mais d’être accompagnés dans ce parcours que nous faisons depuis 4 ans, en nous souvenant de ceux qui nous suivent depuis là-haut, en nous souvenant de Gianluca Buonanno, de tous les amis et amies qui ne sont plus là. Pour cela, avec la maman de Gianluca, pour que la bataille de tant de frères et de sœur qui ne sont plus avec nous reste vivante je vais aller vers l’arbre de vie et vous demande de faire une prière pour demander l’aide de ces frères et sœurs dans notre difficile combat.
7’21’’ [là, Matteo Salvini rejoint la mère de Gianluca Buonanno pour rendre hommage à tous les amis de combat décédés]
10’41’’ Tout ça pour se souvenir qu’ici, il n’y a pas de parti mais une communauté, une famille, un peuple qui changera le monde. Nous ne devons jamais limiter nos rêves car, comme le disait Walt Disney, si tu peux l’imaginer, tu peux le faire.
Nous sommes partis avec comme rêve de changer notre ville, de changer Milan, de changer Vicenza, de changer Terni, de changer Viterbo, de changer Trieste, de changer Sienne, de changer Bari. Nous avons maintenant le rêve de changer nos régions au nom de l’autonomie. En 1918, se terminait la grande guerre, où nos grands-pères et nos arrière-grands-pères sont morts pour défendre nos frontières. En l’honneur de ce sacrifice, nous avons [enfin] un nouveau gouvernement qui veut défendre les frontières afin que le sacrifice de tant de jeunes hommes n’ait pas été vain ; eux qui ont donné leur vie pour le bien de leur famille et de leur patrie.
En 1918, naissait aussi ce grand génie, incompris par beaucoup mais compris, parmi les premiers par Umberto Bossi [ndt fondateur de la Lega] et par la Lega ; je pense à Gianfranco Miglio qui voit maintenant se réaliser les fruits d’une vie d’étude, de travail, d’engagement et de sacrifices.
12’14’’ Que c’est beau. Du changement dans les régions au changement du pays ; je vais vous raconter en deux mots ce que nous sommes en train de faire . Pourtant, nous ne devons pas nous en contenter, comme le disait Giancarlo Giorgetti. L’objectif est de changer l’Europe. Notre objectif est de donner la parole à ces peuples qui ont été écrasés par ceux qui avaient uniquement à cœur le sort de la finance et des multinationales et qui leur ont offert (aux peuples) un futur de précarité, de peur, où un travail à temps indéterminé est devenu un rêve , où toucher sa retraite après une vie de travail est devenu un rêve. Je renouvelle mon engagement à annuler la loi Fornero, une loi injuste, inhumaine et profondément erronée ! L’annuler à la face de ces bavards qui n’ont jamais dans leur vie passé de temps dans une fabrique, une fonderie ou un magasin. Ceux qui disent qu’on peut continuer à travailler jusqu’à 65, 67, 78, 70, 80. 90 ans, ceux qui disent encore que grâce à la réforme Fornero, les comptes publiques sont sains. Mais bon Dieu, pouvez-vous approuver une loi disant que vous pourrez toucher votre retraite le jour où on vous mettra sous terre ? De cette façon, les comptes publics seront définitivement en sécurité !
Nous, ce n’est pas ce que nous voulons. Ce n’est pas une telle Italie que nous voulons.
Ils me disent : « Réussirez-vous à faire tout cela en respectant les nombreuses obligations, les règles ? » Nous allons essayer d’annuler la loi Fornero, en la démantelant petits bouts par petits bouts, en réintroduisant tout de suite le quota 100, en abaissant les taxes pour les entreprises et les familles, car il est actuellement impossible de travailler, de créer une (affaire) d’ouvrir un magasin, impossible d’obtenir son diplôme, impossible d’avoir un futur avec un tas de taxations de ce genre. Oui c’est possible. Nous chercherons à le faire en respectant les obligations (règles) imposées. Je vous donne ma parole d’honneur en tant que vice-président du Conseil et comme ministre, mais surtout comme citoyen italien, comme papa, pour donner un futur à nos enfants, pour éviter que ces jeunes doivent partir à l’étranger, car après leurs diplômes, ici il n’y a pas de travail. Pour travailler comme infirmière, il faut aller à l’étranger, et l’architecte, et le maçon et l’ingénieur et l’avocat. Si, pour que les nôtres puissent être mieux lotis j’ignorerai un 0 virgule.. imposé par Bruxelles. Pour moi ce 0 virgule vaut moins que zéro !
15’13’’ Le bonheur d’un peuple prime, en fait, le bonheur DES peuples, DES peuples. Allez demander aux Grecs à quel point ils sont contents, allez le demander aux victimes des folles normes fiscales et bancaires. On me dit : On ne peut pas toucher aux normes de cette union européenne parce qu’elle garantit la paix et l’amitié entre les peuples. Les peuples européens n’ont jamais été autant en conflit qu’aujourd’hui et, par conséquent, la Lega, les idées de la Lega, l’honnêteté de la Lega, le courage de la Lega déteindra aussi sur tous les autres pays européens. C’est le dernier espoir de cette Europe de rester en vie. C’est uniquement si les idées de la Lega s’imposent en France, en Allemagne, en Espagne, en Pologne, en Autriche, en Hongrie, au Danemark, au Portugal, que cette Europe aura l’espoir de continuer à exister. Autrement, ceux pour qui il n’existe pas de frontières, il n’existe pas de règles, ceux pour qui il n’existe que des droits mais aucun devoir [gagneront]
Simone Weil [ndt la philosophe] disait que les devoirs viennent avant les droits. Mettons-nous bien ça dans la tête, dans la tête de ceux qui vivent en Italie depuis un moment, mais surtout dans celle de ceux qui arriveront demain matin : les devoirs viennent avant les droits, le respect d’un peuple, d’une histoire, d’une culture, d’une tradition. Rien n’est gratuit ni offert. Et à propos d’immigration la même Simone Weil – -qu’on ne peut accuser de populisme, de souverainisme, de fascisme, de racisme, de nazisme, de marcionisme, tout ce dont on nous accuse habituellement, écrivait que « tout ce qui est fait pour déraciner un être humain ou de l’empêcher de s’enraciner est criminel. »
17’37’’ Tout cela, Bruxelles, Paris, Berlin ont essayé de le faire ces dernières années. Nous enlever nos racines. Supprimer les hommes et les femmes pour en faire des numéros et des consommateurs au service de ces multinationales comme Coca Cola qui sponsorise des spectacles dans différentes villes pour conquérir de nouveaux consommateurs. Certains prétendent même que le Coca Cola fait plus de bien que l’huile d’olive italienne. Qu’ils le boivent eux si ça leur fait plaisir ! Moi je préfère l’huile d’olive. Je préfère les fruits de ma mer et de ma terre. Nous ne sommes pas des numéros mais des hommes et des femmes, tous avec les mêmes droits.
Nous ne sommes pas ici pour enlever de droits à quiconque. [ Si l’Etat ne s’occupe pas d’entrer dans les salons et les chambres à coucher], chacun fait ce qu’il veut chez lui, avec qui il veut, et où il veut. Tant que je pourrai parler, et tant que du sang coulera dans mes veines, je défendrai jusqu’à la mort les droits des sans voix, le droit des enfants à avoir un papa et une maman, le droit des femmes à ne pas être des utérus à louer. L’idée seule d’utérus à louer, l’idée que la femme soit utilisée comme objet pour vendre des enfants au centre commercial me dégoûte ; ça ce n’est pas le progrès, ça c’est la fin d’une civilisation.
Je demande à nos syndics et à nos gouvernants de mettre au centre une politique de la famille, de remettre au centre la création de crèches, de permettre aux femmes d’être mamans et de pouvoir travailler. On ne doit plus devoir choisir entre devenir maman, ce qui est le plus beau défi au monde, et continuer à travailler.
Pour nous il est clair que notre combat est de tenir les promesses faites maintenant. Nous travaillons depuis 1 mois exactement ; nous, les ministres, avons prêté serment le premier juin et je pense que, non seulement les Italiens, mais aussi toute l’Europe ont réalisé que notre gouvernement a fait plus de choses en 1 mois que les autres en 6 ans.
Nous avons fait plus en 1 mois que les autres en 6 ans de sommeil.
[applaudissements / la foule scande : Matteo, Matteo]
20’53’’
A ce moment, Matteo Salvini demande aux volontaires de la Croix Rouge d’apporter de l’eau à quelques personnes qui semblent se trouver mal dans la foule et leur désigne l’endroit. Il relève également les drapeaux qui montrent à quel point cette Lega est belle, combien cette place est belle et combien cette foule est belle. Il énumère les différents drapeaux qui viennent de tous les coins d’Italie. Il met en évidence les différentes régions d’Italie qui se sont jumelées et déclare qu’on ne pourra plus les diviser.
21’45’’ Avoir des gouverneurs (ndt de la Lega) de régions italiennes si diverses nous montre que nous sommes en train de gagner non seulement en Italie mais nous sommes en train de gagner au niveau européen et au niveau international. Et, évidemment, pour gagner, il faut de la fierté, de la dignité,
A ce moment, Salvini s’arrête de parler et demande aux secouristes de s’occuper d’autres personne qui semblent faire un malaise
22’42’’ Dédions ce succès aux radicaux chics des salons qui, demain, dans les journaux, feront des commentaires sur les vilaines personnes qui était à Pontida !
Ces vilaines gens qui étaient à Pontida sont des gens de cœur, ce sont des enfants et des nonagénaires. C’est un peuple qui a retrouvé sa fierté et, pour moi, défendre les frontières, la culture et le travail de ce pays signifie que quand je me lève le matin, je ne réussirais pas à me regarder dans la glace si je n’employais pas les 24h que le bon Dieu me donne chaque jour pour défendre l’histoire de ce pays. Et je peux vous dire que pendant ces heures, en seulement un mois, c’est le troisième bateau chargé d’esclaves qui n’a pas pu accoster en Italie et qui navigue vers d’autres directions. [applaudissements]
24’06’’ Savez-vous pourquoi beaucoup de gens deviennent nerveux ? Parce qu’ils avaient espéré gagner (de l’argent), grâce au business de l’immigration. Cette année encore, 5 milliards d’euros ! A ces spéculateurs je conseille de changer de métier car cet argent ils ne le verront plus. [applaudissements]
24’45’’ Et je peux vous dire, que même avec tous ses défauts, cela se trouve même dans le catéchisme de l’église catholique d’aujourd’hui.
Aujourd’hui c’est dimanche et jour de repos pour ceux du PD (ndt partito democratico qui a gouverné l’Italie ces derniers 6 ans et qui a été balayé aux élections) Ils auront beaucoup de jours de repos ces prochains mois. Nous, nous aurons très peu de jours de repos. Renzi se repose ; j’ai lu qu’il court les annonces immobilières du centre de Florence. C’est bien pour lui et je le dis sans envie et sans rancœur. Toutefois, je répète, même dans le catéchisme de l’église catholique on trouve ceci au paragraphe 22 – 41: « Les nations les plus riches sont tenues d’accueillir l’étranger dans les limites du possible » Et je pense qu’en Italie, les limites du possible ont été atteintes. [applaudissements]
Donc, si on applique le catéchisme de la sainte église romaine, je pense que les portes de l’Italie ne seront plus ouvertes que pour les femmes et les enfants qui fuient la guerre et qui arriveront en Italie par avion et non sur des bateaux pneumatiques. Pour tous les autres la solution est de les aider, pour pouvoir grandir et travailler chacun dans son pays. Dépenser l’argent en Afrique. Argent bien dépensé. C’est ce que nous nous proposons de faire. Nous avons un objectif très clair.
Mon ministère ne s’occupe pas seulement d’immigration. Une des batailles que plus que tout…. [pause, remerciements aux volontaires de la Croix-rouge qui s’occupent des gens ayant un coup de chaleur] ……..
27’19’’ Un peuple [tel que vous] peut changer l’histoire. Il fut un temps où faire tomber le mur de Berlin, était impensable. Le prochain mur que nous ferons tomber c’est celui de Bruxelles, pour restituer aux peuples européens le droit au travail, le droit à la vie, le droit à la santé, le droit à la sécurité. Le mur de Bruxelles (je ne dis pas (qu’on le fera tomber) à coup de pelle mécanique sinon ils vont à nouveau dire que je suis méchant).
Même si je suis à Rome maintenant, Bruxelles fait partie de mes grandscombats (en plus de l’immigration) un combat que, en tant que ministre, je ferai de tout pour gagner. Changer les choses prendra du temps, ça ne sera pas facile, il faudra du courage. Pourtant les gens qui sont là sur cette estrade [ndt les compagnons de route de Salvini] n’ont peur de rien et de personne. Eradiquer de ce splendide pays les saloperies qui répondent au nom de mafia, Camorra et Ndrangheta (fait partie de notre programme) La mafia, la Camorra, la Ndrangheta nous dégoûtent et nous les combattrons par tous les moyens, du nord au sud, en prenant exemple sur ceux qui ont dédié leur vie à combattre la pègre ; et (nous ne le ferons) pas avec des paroles
[…………….]
29’ 24’’ Je pense à Rosario Livatino, mort à 38 ans, victime de la mafia, un juge intègre, honnête, courageux, qui n’allait pas se montrer à la télévision, qui ne donnait pas d’interview aux journaux, qui n’avait pas gagné des millions d’euros grâce à l’anti-mafia des bla-bla. Il a donné sa vie pour nous et pour nos enfants. C’est cette anti-mafia que nous aiderons, celle des Falcone des Borsellino, celle des Boris Giuliano, […] celle des héros qui ont donné leur vie pour ce pays en combattant la mafia, la Camorra et la Ndrangheta. Depuis Pontida nous envoyons un avertissement également aux trafiquants d’êtres humains. Fini le pique-nique en Italie. Loin de la Sicile comme de la Lombardie. Via, via, via. En l’honneur des héros qui ont donné leur vie pour défendre ce pays, une des première chose que j’ai fait c’est d’aller voir quelques biens séquestrés aux mafieux. Un d’entre eux, entre autres, deviendra une maison pour enfants autistes afin de donner un futur à ces enfants […]
31’23’’ Cette guerre (contre la pègre), j’aurai l’honneur de la mener avec […] toutes les armes que la démocratie met à disposition et c’est une guerre que j’aurai l’honneur de mener avec un des plus beau fleuron de ce pays, ceux que je rencontre tous les jours et que je remercie tous les jours . Eux, ce sont les hommes et les femmes des forces de l’ordre qui, pour 1’200 euros par mois, garantissent notre sécurité. D’ici quelques semaines, ils seront armés de pistolets électriques afin de pouvoir encore mieux faire leur travail, ceci pour être meilleurs et non pas plus méchants. Nous travaillons pour une Italie meilleure, plus souriante, avec des règles, car certaines pseudo réformes ont apporté le drame dans les familles ; je pense à la réforme [….] qui a fermé les structures hospitalières qui soignaient les malades psychiatriques, abandonnant des milliers de familles à leur destin. Et tous les jours [nous attaquerons] un nouveau bulletin de guerre puisque l’Etat fait semblant de rien, puisque l’Etat a tourné le dos. Je veux vivre dans un pays qui fait peu de choses, mais les fait bien. Soigner ceux qui sont malades et garantir un système de santé d’excellence, du nord au sud, sera une de nos priorités. Je ne veux pas que des mamans doivent faire 1000 km de train ou d’avion pour aller faire soigner leurs enfants à l’autre bout du pays. Voilà ce que nous avons à cœur, c’est ça notre grande ambition. Aucune méchanceté, aucun esprit de vengeance, aucune hypocrisie. Je pense que, personnellement, j’ai reçu plus d’insultes et d’infamies en 1 mois de gouvernance que d’autres ministres inutiles ou président du conseil en une entière carrière politique. Pour moi ce sont des médailles de valeur, pour moi ce sont des médailles de valeur [applaudissements]
Matteo, Matteo (ndt Matteo Renzi, chef du gouvernement précédant) je voudrais que vous soyez sur cette estrade….
[là, pause, Salvini fait le coordinateur des secours……….]
35’20 La Croix Rouge et les volontaires du 118 sont les ONG et les associations de bénévoles qui nous plaisent. [applaudissements] L’histoire jugera les autres ONG. Quelques chacals, quelques frustrés, quelques pauvres gens de gauche, quelques journalistes ont réussi à dire que le drame en Méditerranée de l’autre jour est fondamentalement de notre faute ! Cette barque qui s’est renversée n’était qu’à 3 milles des côtes libyennes. Qu’est-ce que je me dis en tant que ministre et comme papa ? Que les passeurs commencent à comprendre que le vent est en train de tourner ; ils ont compris que malheureusement [ils ne peuvent plus profiter du désespoir]. Ils utilisent des bateaux pneumatiques mal gonflés et des barques avec des moteurs en mauvais état parce qu’ils sont habitués depuis des années à s’enrichir en jetant à la mer des milliers d’enfants de femmes et d’hommes qui risquaient une mort quasi certaine, (sachant qu’il y avait toujours [des ONG] qui aidaient ces criminels dans leur métier de passeurs. Maintenant, heureusement, les autorités libyennes ont repris le contrôle de leur territoire. Je remercie les gardes côte libyens, qui, ces dernières heures, dans le silence de la très grande majorité des journaux et des télévisions italiens, ont secouru plus de mille désespérés qui étaient en train de risquer la noyade en les ramenant sur le territoire libyen. Je les remercie d’enlever le pain de la bouche des mafieux du business de l’immigration.
37’35 Et puis il y a aussi ce phénomène de défense de l’environnement. […] La défense de l’environnement signifie aussi prendre soin de nos propres ressources, signifie défendre nos montagnes, nos lacs, nos fleuves, nos mers ; cela signifie qu’il faut arrêter avec cette bureaucratie et parfois cette surintendance qui ne nous permet même pas de bouger un bout de bois, de nettoyer un ruisselet, […]. Laissez donc les montagnards faire ce qu’ils ont toujours fait, laissez-les gens de la mer s’occuper de leur mer sans qu’un bureaucrate de Milan, de Rome ou de Palerme qui n’a jamais vu de montagnes ou de fleuves leur casse les pieds !
[pause pour demander de l’eau…et faire l’inventaire des drapeaux venant de tous les coins d’Italie et un de la Russie]
39’53’’ Nous travaillons pour donner des droits, : droits à la retraite, droits au travail, droit à la vie, droit à la santé.
Pourtant, certains seront punis. Nous parlions avec Luca (Zaïa) des peines incompressibles. Nous mettrons sur pied une loi, j’espère pendant l’été, pour supprimer les remises de peine [pause] Je disais que j’ai pris l’engagement devant beaucoup de familles devant tant de mamans et de papas à qui on a arraché les enfants, de supprimer toute remise de peine pour les assassins et les violeurs. Aucune remise de peine ne devra plus exister, aucune pitié pour les assassins et les violeurs. Il est clair que la prison doit rééduquer ; cependant, celui qui viole un enfant est une chose pour moi impossible à concevoir […]
Toutefois, il n’existe pas seulement de la violence envers les êtres humains. Nous travaillerons pour que soient punis avec toute la sévérité nécessaire ceux qui maltraitent les animaux et je le dis en ce début d’été qui ne devra plus être la saison des abandons. Ce n’est pas possible. La vie n’est pas un jeu. A deux jambes ou à 4 pattes. Et puis nous devrons éclaircir ce phénomène de la gauche qui parle de protection de l’environnement et de bien-être des animaux mais qui permet des horreurs comme l’abattage islamique qui égorge les animaux les faisant souffrir comme ils ne devraient jamais souffrir. Ils (les gauchistes) cassent les pieds aux chasseurs qui protègent l’environnement mais ils permettent aux musulmans de faire comme ils veulent dans les abattoirs abusifs que nous avons partout en Italie. Donc, pas touche à nos traditions, pas touche à notre histoire, à notre culture. Ajoutons que si il n’y avait pas dans nos forêt ceux qui s’en occupent, ceux qui soignent et aiment leur animaux mais font de la régulation, ce serait un problème pour tout le monde.
42’48’’ Nous, nous n’avons de problèmes avec personne.
Je voudrais dire ceci à ceux qui nous regardent depuis chez eux en direct avant de retourner regarder les match du mondial. Hier j’ai regardé une partie mais ça ne s’est pas passé comme je voulais ; ça ira mieux la prochaine fois. Il n’y a plus le Messi d’autrefois . [….] Je disais donc que parfois, on nous accuse de xénophobie. Vous verrez, demain cela vous arrivera aussi, j’en suis sûr. Demain vous retournerez au travail, vous retrouverez votre collègue en pleine forme, bien reposé parce qu’aujourd’hui il est resté sur son canapé. Vous arriverez un peu fatigué, car il y a des gens qui, pour être ici aujourd’hui, ont fait 1000 km en voiture ou en car et je les remercie vraiment de tout mon cœur. Venir depuis Milan ou Bergame, c’est bien, mais venir de plus loin est un peu plus compliqué. Donc je sais que demain vous retrouverez votre collègue bien reposé qui vous verra un peu fatigué, avec des cernes sous les yeux et il vous demandera :
Mais qu’avez-vous fait hier?
Oh, je suis allé à Pontida.
Pourquoi êtes-vous allé à Pontida ?
Pour la Lega.
Ahhh ! Les xénophobes, les racistes….
Toujours les mêmes étiquettes. […]
Xénophobe, du grec, signifie « qui a peur de ce qui est différent », « phobie de ce qui est différent » Ici, y a-t-il quelqu’un qui a peur de ce qui est différent ? Moi je n’ai pas peur, au contraire. Puis-je vous dire une chose ? Les diversités attisent ma curiosité, m’attirent ; je ne ferais pas partie de la Lega depuis 17 ans si je n’aimais pas les diversités, les identités, les langues, les cultures, les dialectes, la nourriture, le théâtre, les différences ; j’adore les diversités, c’est seulement une question de nombre ; l’Italie que je veux diriger, pas pour 5 mois ou pour 5 ans, (que les camarades se résignent)…l’Italie que nous dirigerons ces 30 prochaines années sera une Italie qui n’aura peur de rien et de personne, une Italie fière, une Italie belle car elle est diverse, une Italie fondée sur les autonomies. Je dirais encore plus en citant les paroles d’un autre héros d’une gauche qui désormais n’existe plus et je le cite deux fois plus volontiers parce qu’il avait un concept du travail et des travailleurs que certains aujourd’hui ont oublié. A son époque il était considéré comme un visionnaire. On devrait retourner étudier ses livres et cela également dans les écoles. Je le cite aussi parce que dans sa commune, après 60 ans, grâce à la Lega on a élu il y a quelques jours un syndic de centre droit. Je pense à Adriano Olivetti et à sa communauté de travail et d’entreprise fondée sur le respect et la dignité du travailleur, la participation du travailleur. Je pense à une Italie qu’il avait pensée, fondée sur les communautés, à une réforme constitutionnelle qui pourrait rassembler Olivetti, Miglio et tant de penseurs autonomistes et fédéralistes qui, finalement, grâce à la Lega, grâce à ce gouvernement pourront voir se réaliser leur rêve d’un pays respectueux de toutes ses identités ; et cela, nous ferons en sorte que cela se passe également en Europe : une communauté de peuples et pas une union fondée sur les exigences de trois financiers et de quatre bureaucrates. Grâce à la Lega l’Europe deviendra une communauté de peuples, d’hommes et de femmes qui s’aimeront à nouveau. [pause eau]
48’00 Qui est content d’être ici, levez la main. Vous êtes un vrai spectacle Mesdemoiselles, vous êtes un spectacle. [ovation]
Sans peine, personne ne va nulle part. Certains pensaient que faire de la politique était une promenade. Ceux qui sont ici depuis longtemps mais également ceux qui sont ici pour la première fois…
Levez la main ceux qui sont ici pour la première fois. Oh misère où étiez-vous jusqu’à l’année passée ? [rires] Levez la mains ceux qui viennent ici depuis 20 ans. Un beau « mix ». C’est le passé, le présent et le futur. Je remercie et ne cesserai de remercier ceux qui m’ont donné l’envie, le courage, l’enthousiasme, la passion de commencer (la politique) et cet homme s’appelle Umberto Bossi. Il n’a pas d’autre nom ni d’autre prénom. Il s’appelle Umberto Bossi. Il n’a pas d’autre nom ni d’autre prénom. Il s’appelle aussi Umberto Maroni et tous les secrétaires régionaux provinciaux, de sections qui se sont accrochés pendant les moments difficiles ; je le disais à un journaliste ce matin : ce n’est pas la Lega qui a changé, c’est le monde qui a changé et ceux qui veulent accompagner ce changement du monde ne peuvent se permettre de ne rien faire. Très simplement, j’ai compris, nous avons compris, nous avions compris que tout seuls nous n’irions nulle part. Que pour gagner il fallait s’unir. Il fallait s’unir en Italie, il fallait s’unir en Europe. Et je pense à une Lega des Legas en Europe qui unisse tous les mouvements libres, fiers, souverains, qui veulent défendre leurs propres gens, leurs propres frontières, leurs propres fabriques, leur propre agriculture, le bien-être de leurs propres enfants. C’est cela le futur pacifique et souriant auquel nous travaillons. Donc, les drapeaux qu’il y a sur ce pré [énumération des divers drapeaux…] ces drapeaux disent à 60 millions d’Italiens, nous le disons avec le sourire, nous le disons avec humilité, je le dis en tant que secrétaire de la Lega, de vice-président du conseil, jeunes gens, si vous nous regardez (en direct), sortez des maisons, quittez vos divans, quittez vos fauteuils, sortez des magasins, sortez des tribunaux, sortez des écoles. Si un peuple bouge, ce peuple gagne. Reprenons notre dignité, reprenons notre envie de travailler, de vivre, de gagner et de sourire. Rien ne nous est interdit. A un peuple comme celui-ci rien n’est impossible. Combien d’entre vous qui peut-être m’aviez entendu parler (et ensuite je m’arrête sinon la Croix Rouge devra aussi s’occuper de moi) combien, je le sais et peut-être ne le dites vous pas, mais je le sais parce que je l’aurais aussi pensé moi-même, quand j’ai parlé pour la première fois en tant que secrétaire de la Lega,( ça me semble être il y a une vie entière) (que nous en arriverions là) ; cela fait seulement 4 ans, que sur cette estrade, avec une Lega à entre 5 et 6%, un secrétaire en short et en T-shirt, avec une pelle mécanique (se présentait à vous).
Je me souviens des sourires méprisants de quelques journalistes qui se disaient « La Lega est finie » ! Un bisou à Gad Lerner. Longue vie humaine et professionnelle à lui et aussi au génie Scalfari, à Michele Santoro, à Fabio Fazio, à tous ceux qui nient l’évidence […], longue vie à eux ! C’est un bisou affectueux.
Je m’étais engagé à ce que tous les enfants aient une place en crèche à la rentrée scolaire de septembre et je ferai tout mon possible pour que tous les enfants de ce pays entrent à la garderie en septembre accompagnés de leur maman et de leur papa. [..]
Ces 4 dernières années, combien de choses sont arrivées ! Qui aurait pensé que nous aurions gagné non seulement au Frioul et en Vénétie mais aussi au Val d’Aoste pour la première fois de l’histoire et en Molise et en Sicile ? Qui aurait pensé qu’il y aurait un syndic de la lega à Pise ou à Terni après 60 ans de rouge ? […..]
55’17’’ Je vous demande de ne pas regarder les sondages. Ne regardez pas les sondages. Ils font exprès de les montrer négatifs avant les élections [pour tromper les gens]. […]
55’50 Le pieds bien ancrés dans la terre, 24h sur 24, les syndics, les assesseurs, les conseillers, députés et sénateurs sont au travail plus que les autres car ils ont le privilège d’être députés et sénateurs. On cherche à nous pousser à la dispute avec nos compagnons de route et de gouvernement. Ils n’y réussiront pas Je cherche toujours à être objectif. Je dois dire que ces derniers mois où j’ai fait leur connaissance et ai commencé le travail, j’ai trouvé chez les dirigeants et les ministres des Cinque Stelle des personnes honnêtes, cohérentes qui ont envie de changer ce pays. Et si « ils » pensent pouvoir nous monter les uns contre les autres, ils se trompent.
Mais celui qui décide si on ferme ou on ouvre les portes, c’est le ministre de l’Intérieur, ça marche comme ça [applaudissements]
Ne regardons pas les sondages, ne nous montons pas la tête [là, Salvini s’interrompt pour parler à une personne dans la foule]
57’57’’ J’ai pour ambition de bien faire et pour longtemps le ministre de l’Intérieur. Je suis à disposition, ma vie est à disposition de 60 millions d’Italiens et de 8000 syndics sans aucune distinction de couleur politique. Je suis évidemment le ministre de tous, du premier au dernier et j’essayerai d’écouter chacun et essayerai de donner un coup de main à tous. Pourtant, ni maintenant ni jamais je ne pourrai m’enlever du cœur la fierté et la passion d’être le secrétaire de cette merveilleuse Lega et je compte aussi le rester longtemps. [pause, Salvini parle avec quelqu’un dans la foule]
59’38’’ En tant que secrétaire de la Lega je souhaite que nous gardions cette occasion de nous rencontrer. Amis secrétaires de section, du nord au sud ne perdons pas cette occasion. Ouvrons les portes et faisons rentrer à la Lega de nouvelles personnes. N’ayons pas peur de faire entrer au siège des gens plus braves que nous qui pourra être syndic à notre place. Nous devons chercher des gens meilleurs que nous […] Nous en avons besoin. L’Italie en a besoin, la Lega en a besoin. […] Et j’attends ce moment où il y aura quelqu’un de meilleur que moi
[….]
1h01’58’’ Je termine comme j’ai commencé. Ceci n’est pas une réunion de parti ni un meeting. C’est un dimanche en famille, un dimanche de communion et de communauté où nous avons fait le point sur le peu de ce que nous avons fait. Car je l’ai dit et le répète : ne regardons pas les sondages. Si nous sommes aussi forts alors que nous venons de commencer et que nous avons encore fait peu de choses, imaginons (où nous serons) quand nous aurons fait tout ce que nous voulons faire… nous ferons 99% ? […]
1h03’06 Je considère cette rencontre comme une réunion de famille, un peu élargie, une belle réunion de famille. J’aimerais que vous emportiez chez vous l’engagement que ceci n’est pas la fin d’un parcours mais le commencement. Celui que nous avons réussi à faire dans les communes et dans les régions, nous sommes en train de le faire au niveau national et l’année prochaine nous le ferons au niveau continental. Cette famille devra s’élargir, devra croître; devra s’associer. Sachez que chacun d’entre vous est mon frère, ma sœur et que les enfants de chacun d’entre vous sont mes enfants. Je vous demande votre aide, vos conseils, et je continue à le demander avec humilité comme je l’ai fait il y a quelques mois. Certains en ont été scandalisés. Je pense que nous réussirons en combattant ici-bas mais également avec le soutien de ceux qui sont là-haut. Chacun d’entre nous le porte dans son cœur et je le porte encore plus dans le cœur, ce chapelet (il montre un chapelet) qui m’a été donné par un prêtre de banlieue, un prêtre de rue, un chapelet confectionné par une femme exploitée, par une de ces femmes qui croyait que l’Italie était un pays de cocagne, qu’en Italie il y avait des maisons et du travail pour tous ; et pour cette raison elle s’est déracinée de sa terre, Je ferai tout, pour mériter votre soutien, même le plus petit. Cette femme, comme d’autre femmes était peut-être une femme nigériane mais elle aurait aussi pu être une femme italienne. Je ferai, nous ferons tout pour que chacun puisse naître, grandir, aller à l’école, se soigner, travailler et voir naître ses enfants dans son propre pays, sans être déraciné et envoyé de l’autre côté du monde. Pour que chacun soit heureux et fier de son pays.
Avez-vous envie de jurer de ne rien lâcher jusqu’à ce que nous ayons libéré les peuples de cette Europe ? Jurez : oui ou non [la foule crie oui]. oui, ou non [foule oui], oui ou non ?
Vive la Lega, vive le peuple de Pontida. Tenons bon, allons remporter la victoire.
Un cas parmi d’autres : 25 Eglises démolies depuis l’année 2000 en France !
L’église d’Asnan, dans la Nièvre, privée d’entretien depuis ….. une centaine d’années, se voit aujourd’hui condamnée à mort par une petite poignée de personnes fermées faisant fi de toutes autres solutions pour sauvegarder le patrimoine commun de notre peuple.
En effet, malgré l’aide généreuse et dynamique de l’Association Phares de France.org, l’actuel conseil municipal a décidé de façon totalement incompréhensible, de détruire purement et simplement ce monument du XIXème siècle.
On n’entend pas l’Evêché protester énergiquement contre une destruction de plus d’une église chrétienne en France, fille aînée de l’Eglise (25 destructions en France depuis l’année 2000 !!!).
On n’entend pas les Bâtiments de France… Eglise d’Asnan: XIXème siècle: sans intérêt sans doute !
On n’entend pas les « Grandes Consciences » habituelles émues par ailleurs de façon si régulière et servile par le moindre micro-seïsme médiatique…
Même la presse soit-disant catholique (Journal « La Croix »: « Le conseil municipal a décidé la destruction en accord avec l’évêque et le préfet ») au lieu d’en appeler au réveil des consciences des Chrétiens ainsi qu’à des solutions ambitieuses et constructives, entérine piteusement par avance la destruction préméditée !
Ces gens-là sont décidément de très curieux Catholiques.
Il faut donc que ce soit une petite association courageuse qui se saisisse de la question et remue ciel et terre afin de surmonter l’amnésie et la somnolence gratuite, laïque et obligatoire de nos concitoyens !
L’association Phares de France.org a donc pris les choses en mains et fait réaliser une série d’études et de devis par un architecte spécialisé et indépendant, car il semble bien que le montant du devis officiel ait été intentionnellement gonflé afin de légitimer l’opération.
Qui plus est l’Association en question se propose de monter un projet économique local global afin de dégager des financements en vue de:
1 La mise en sécurité.
2 La restauration.
3 L’entretien ultérieur
… ET CELA SANS QU’IL N’EN COÛTE UN € A LA MUNICIPALITE !
Le conseil municipal d’Asnan persiste, semble-t-il aux dernières nouvelles, à se murer dans un refus étrange et totalement incompréhensible.
D’autant plus que rien de positif n’est proposé:
il faut démolir, point final !
Ah si pardon :
… Qu’est-il prévu à la place du vide lamentable laissé au coeur du village d’Asnan ?
Tenez vous bien : Un « Square de la mémoire » !
Non, ce n’est une blague, non ce n’est pas tiré de « 1984 » de Georges Orwell !!!
Bien étrange « mémoire »en vérité que celle qui revendique la destruction de la mémoire collective de millions de gens !
Il n’y donc même plus besoin de guerres pour détruire le coeur d’un pays !
Si le projet de démolition devait aller à son terme, il y aura une responsabilité non seulement morale et spirituelle très lourde, mais certainement également juridique, tant la mobilisation en cours n’acceptera jamais cet acte stupide de barbarie culturelle.
Si vous pensez qu’il n’est pas tolérable de détruire ainsi un pan de plus de notre patrimoine architectural français, je vous engage à signer la pétition qui a recueilli pour l’instant plus de 12.000 signatures, et de relayer cette information par tous les moyens à votre disposition (De Facebouc au bouche à oreille !)
Virginia Vota, sur Youtube, sème à profusion auprès des jeunes, des graines de conscience… Je dois dire que je suis immédiatement tombé sous le charme ! Cette jeune personne n’est-elle pas en effet un extraordinaire exemple pour tous nos jeunes en manque tragique de repères.
Ce qui frappe au premier abord, c’est un regard limpide, une retenue et une droiture toute simple et pleine de fraîcheur, l’exact opposé de cet avachissement, de cette triste vulgarité et de cette veulerie moderne que l’Elite tente d’imposer par tous les moyens à nos jeunes égarés … Avec Virginia, ils ont raté leur coup, et c’est un grand bonheur que de le constater.
Dans notre Frankistan où l’amnésie est subventionnée, sa quête de l’âme de la France, de ce qui a fait son éclatante beauté et sa prodigieuse Histoire, avant l’avènement des salisseurs, des usurpateurs et des affairistes, est courageuse, noble et pleine de promesses.
Il est réconfortant, Ô combien, de constater, après soixante-douze ans au bas mot de propagande athéïste et globaliste, que de si belles petites âmes émergent encore et s’enracinent parmi nous.
Merci Virginia Vota pour votre amour lumineux et profond de la France, pour votre enthousiasme, votre simplicité et votre talent !
Virginia Vota: un Signe et une Bénédiction du Ciel ?
Puisse en tout cas celui-ci vous assister dans votre belle entreprise!
Considérant que l’Etat supranational républicain dit «français » ignore et bafoue les droits du peuple autochtone de France et notamment le premier d’entre eux qui est le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes,
Considérant que l’Etat supranational «français » compromet l’avenir du peuple autochtone de France en installant au milieu de lui des populations étrangères, exposant celui-ci au racisme, aux discriminations, à l’effacement de sa mémoire et à son remplacement,
Considérant que l’Etat supranational « français » véhicule un mondialisme négateur des cultures, des religions et des lignées qui fondent l’identité du peuple autochtone et font sa richesse,
Considérant que l’Etat supranational «français » nie l’existence du peuple autochtone de France, lui refusant tout droit collectif, ne reconnaissant en lui que des individus réduits à leur fonction dans une mécanique sociale à vocation ouvertement planétaire,
Rappelant que tout peuple est libre de disposer de lui-même,
Rappelant que tout Etat, régime politique ou système de gouvernement qui restreint cette liberté est par définition arbitraire et illégitime,
Rappelant que devant l’arbitraire tout homme a un devoir de résistance,
Proclame, au nom de la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples autochtones, la présente Déclaration sur les droits du peuple autochtone de France.
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Déclaration sur les droits du peuple autochtone de France
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Article premier
Le peuple autochtone de France proclame son droit à l’existence et exige que ce droit à l’existence soit reconnu de l’Etat supranational « français ».
Article 2
Le peuple autochtone de France exige de disposer de droits collectifs conformément à ce qu’énonce la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples autochtones, signée par l’Etat supranational « français »
Les Autochtones européens de France exigent, au nom du principe d’égalité, que les droits accordés par la République aux Autochtones d’outre-mer (notamment les droits découlant des accords de Nouméa et de la loi organique n° 99-209), lui soient également accordés.
Les Autochtones européens de France exigent, au nom du principe d’égalité, que le droit à l’indépendance accordé par la République aux anciens peuples colonisés, lui soit également accordé, si telle est sa demande.
Article 3
Les autochtones de France, peuple et individus, proclament être libres et égaux à tous les autres membres du « corps d’associés » républicain. Ils ne doivent donc subir aucune forme de discrimination en raison de leur origine ou de leur identité. En conséquence, ils doivent pouvoir jouir des droits déjà accordés aux Autochtones de Nouvelle-Calédonie et d’outre-mer.
Article 4
En vertu des textes internationaux liant l’Etat supranational « français », le peuple autochtone de France proclame son droit à l’autodétermination. En vertu de ce droit, il choisira librement son statut politique. Il pourra se doter d’institutions politiques, juridiques, économiques, sociales et culturelles distinctes, tout en conservant le droit, si tel est son choix, de participer pleinement à la vie politique, économique, sociale et culturelle de l’État supranational « français ».
Le peuple autochtone de France proclame avoir le droit de s’administrer lui-même et de disposer des moyens de financer ses activités autonomes.
Article 5
Les autochtones de France, peuple et individus, proclament avoir le droit d’appartenir à une nation autochtone, conformément aux traditions, à l’histoire et à la culture de cette nation. Aucune discrimination quelle qu’elle soit ne saura résulter de l’exercice de ce droit.
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Article 6
Les autochtones de France proclament leur droit à une nationalité distincte.
Article 7
1. Le peuple autochtone de France proclame qu’il a le droit de décider de sa propre identité et de son propre statut politique, sans préjudice du droit des autochtones d’obtenir, à titre individuel, la citoyenneté de l’État supranational dans lequel ils vivent.
2. Le peuple autochtone de France proclame qu’il a le droit de déterminer les conditions d’accès à la nationalité autochtone et de définir l’appartenance autochtone selon les procédures qu’il aura choisies.
Article 8
Au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le peuple autochtone proclame qu’il peut accéder à l’indépendance politique complète. Il peut donc s’extraire de l’Etat supranational républicain, dit « français », et s’émanciper d’un régime politique qui met en danger son identité et son existence.
Article 9
1. Le peuple autochtone de France proclame avoir le droit de préserver, de contrôler, de protéger et de développer son patrimoine culturel et sa mémoire.
2. En concertation avec le peuple autochtone de France, l’État supranational prendra des mesures efficaces pour reconnaître ce droit et le protéger.
Article 10
1. Le peuple autochtone de France proclame avoir le droit d’établir et de contrôler son propre système d’enseignement scolaire et son propre réseau d’établissements scolaires.
2. L’Etat supranational « français », en concertation avec le peuple autochtone, prendra des mesures efficaces pour que les autochtones de France, en particulier les enfants, puissent accéder à un enseignement respectueux de l’histoire, de l’identité et des valeurs culturelles autochtones.
Article 11
1. Les autochtones de France proclament avoir le droit à la vie, à l’intégrité physique et mentale, à la liberté et à la sécurité de la personne.
2. Le peuple autochtone de France proclame son droit, à titre collectif, de vivre dans la liberté, la paix et la sécurité en tant que peuple distinct du corps d’associés républicain. Il ne fera l’objet d’aucun acte de génocide ni d’aucune violence, nul ne peut l’obliger à un « vivre ensemble » forcé.
Article 12
1. Les autochtones de France, peuple et individus, proclament avoir le droit de ne subir ni assimilation forcée au corps d’associés républicain, ni destruction de leur culture sociétale.
2. L’État supranational « français » mettra en place des mécanismes de prévention et de réparation efficaces visant :
a) Tout acte ayant pour but ou pour effet de priver les autochtones de France de leur intégrité en tant que peuple distinct, de leurs valeurs culturelles ou de leur identité ethnique;
b) Toute forme de propagande dirigée contre eux dans le but d’encourager la discrimination raciale ou ethnique ou d’y inciter (antijaphétisme)
c) Toute falsification de l’Histoire ayant pout but ou conséquence d’avilir le peuple autochtone de France
Article 13
Les autochtones de France affirment le droit de n’être soumis à aucune condition de travail discriminatoire, notamment en matière d’emploi ou de rémunération. La discrimination dite « positive » sera interdite.
Article 14
Le peuple autochtone de France proclame avoir le droit de participer à la prise de décisions sur des questions qui peuvent concerner ses droits ou son avenir, par l’intermédiaire de représentants qu’il a lui-même choisis conformément aux procédures qu’il aura établies.
Article 15
En vertu des textes internationaux, le peuple autochtone de France exige que l’État supranational « français » se concerte et coopère de bonne foi avec les institutions représentatives autochtones avant d’adopter et d’appliquer des mesures législatives, administratives ou politiques susceptibles de concerner le peuple autochtone, et de ne rien faire sans obtenir leur consentement préalable, donné librement et en connaissance de cause.
Article 16
En vertu des textes internationaux, l’Etat supranational « français » prendra des mesures, en concertation avec le peuple autochtone de France, pour veiller à ce que les femmes et les enfants autochtones soient pleinement protégés contre toutes les formes de violence et de discrimination et bénéficient des garanties voulues.
Article 17
En vertu des textes internationaux, l’Etat supranational républicain, dit « français », prendra, en consultation et en coopération avec le peuple autochtone de France, les mesures appropriées, y compris législatives, pour atteindre les buts de la présente Déclaration.
Article 18
En vertu des textes internationaux, les organes et les institutions spécialisées du système des Nations Unies et d’autres organisations intergouvernementales contribueront à la pleine mise en œuvre des dispositions de la présente Déclaration par la mobilisation, notamment, d’une coopération financière et d’une assistance technique. Les moyens d’assurer la participation du peuple autochtone de France à l’examen des questions les concernant seront mis en place.
Article 19
Les droits affirmés, proclamés et exigés dans la présente Déclaration constituent les normes minimales nécessaires à la survie, à la dignité et au bien-être du peuple autochtone de France.
Article de l’excellent blog d’Antonin Campana: Les véritables questions au sujet des Autochtones européens de France.
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Et une de plus, une : encore une élection de perdue !
Quand verrons-nous que les dés sont pipés depuis des décennies et qu’aucun candidat anti-immigration, donc hors Système, ne parviendra au pouvoir par des élections ? Nous faut-il attendre les prochaines Législatives, puis les Municipales de 2020, puis les Régionales de 2021, voire les Présidentielles de 2022… et pourquoi pas celle de 2027 ou 2032 pour, saturés de déceptions, enfin « comprendre » ?
Nous sommes des ânes qui poursuivons une carotte électorale qui recule au fur et à mesure que nous avançons. Combien de défaites devrons-nous encore encaisser avant de nous en apercevoir ? Le problème, c’est que le temps ne travaille pas pour nous. Selon toute vraisemblance, les Autochtones européens de France seront démographiquement minoritaires sur leurs terres ancestrales entre 2040 (selon le géopolitologue Aymeric Chauprade, Chronique du choc des civilisations, Dargaud, 2009, page 58) et 2050 (selon le démographe Jean-Paul Gourévitch, Les Africains de France, Acropole 2009).
Et 2040, c’est dans 23 ans ! C’est demain ! C’est maintenant ! Sans compter qu’avec Macron, faisons-lui confiance (l’oligarchie l’a nommé tout exprès !), le processus de Grand Remplacement va s’accélérer.
Autrement dit, nous risquons d’être minoritaires d’ici quatre ou cinq élections présidentielles, sachant que, comme nous l’avons montré, des Allochtones « intelligents » peuvent prendre « démocratiquement » le pouvoir dès lors que les étrangers constituent environ 30 à 35 % de la population (ce qui devrait être le cas, à la louche, pour les élections présidentielles de 2032).
Pensez-vous que se mobiliser pour des Législatives (que nous perdrons), puis encore pour des Présidentielles (que nous perdrons aussi), puis à nouveau pour des Législatives (que nous perdrons encore) soit la meilleure chose à faire pour assurer un avenir à nos enfants ?
Nous sommes des ânes car nous voulons ignorer que la carotte est au bout d’un bâton que tient le régime politique en place sur notre dos. Plutôt que d’aller docilement où la République nous mène avec sa carotte électorale et son bâton judiciaire, c’est-à-dire droit vers un Grand Remplacement conforme à son idéologie profonde, ne serait-il pas plus profitable de se décharger du poids inutile que nous portons ?
Car en quoi la République nous est-elle utile ? N’est-ce pas elle qui nous a noyés dans une soupe multiculturelle qu’elle touille dans le « creuset » qu’elle a fabriquée ? En quoi ce qui tue peut-il être utile à ce qui est tué ?
A contrario, le peuple autochtone de ce pays est, lui, indispensable au régime politique qui l’opprime. C’est par son sang que les « valeurs universelles de la République » se sont répandues en Europe et dans le monde, donnant naissance au « Système ».
C’est par l’utilisation nocive de son énergie que la République peut construire le modèle de société qui le déstructure. Combien de temps durerait la paix sociale et le mythe du « vivre ensemble » si les Autochtones européens de France, enfin rassemblés, refusaient de payer leurs impôts ou de se rendre à leur travail ?
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La République nous doit tout et nous ne lui devons rien ! Sans les Autochtones de souche européenne, la République ne serait qu’une parcelle de néant. Or, elle ne nous respecte pas et nie notre droit à l’existence en tant que peuple, dans le même temps où ses représentants se prosternent auprès du CRIF, du CRAN ou du CFCM !
La République est un régime politique profondément hostile au peuple autochtone. Il faut cesser de faire semblant de croire que la République est la France : la République s’est emparée (par la violence) de notre pays, lui suce son sang et y fait ses expériences sociales. Il est temps, avant qu’il ne soit trop tard, de libérer la France.
Pour cela il faut siffler la fin de la partie. Il faut signifier que nous ne jouerons plus selon les règles imposées par le régime politique illégitime. Car ces règles, on le voit, ont mené notre peuple au bord du gouffre. Continuer à les respecter serait suicidaire. « Le bon général, écrit Sun Tzu, ne livre combat sur les terres mortelles ». Or depuis trop longtemps, les meilleurs d’entre nous mènent un combat sur des terres que le régime politique en place nous a rendues « mortelles ». Le bon sens commande d’entraîner la République sur le terrain que nous aurons nous-mêmes choisi pour y mener un combat dont nous aurons nous-mêmes défini les règles.
La République est puissante parce que nous n’osons pas voir qu’elle est nue. Sa « Liberté », c’est du vent. Son « Egalité », c’est un amoindrissement. Sa « Fraternité », c’est le génocide des phratries.
Le premier acte libérateur est de voir la République pour ce qu’elle est vraiment : un régime politique totalitaire qui repose sur le mythe d’une nation réduite à un « corps d’associés » multiethnique. Le second acte libérateur est de faire sécession de ce « corps d’associés » sans avenir, mais potentiellement hostile.
La sécession doit être intellectuelle, psychologique et morale.
Elle doit être aussi politique. Elle doit être le fruit d’une prise de conscience individuelle mais aussi d’une démarche collective. La République ne veut pas de nous : nous ne voulons pas d’elle ! La République nous nie en tant qu’Autochtones européens de France : nous la nions en tant que système de gouvernement légitime !
Changer de terrain, c’est recréer un peuple dans le melting-pot, c’est recréer une nation dans la société mondialisée, c’est faire un Etat dans l’Etat.
Le peuple autochtone de ce pays peut et doit se doter de structures politiques, culturelles, associatives, financières, scolaires, de sécurité…
Il doit se faire représenter par des instances autochtones élues. Il doit obtenir des droits collectifs qui le renforce et sécurise son avenir. Rien d’impossible dans tout cela (voyez les Kanaks en Nouvelle-Calédonie), rien de difficile non plus dès lors que nous aurons admis que nous sommes faibles de n’avoir pas compris que nous étions forts.
Désormais, la voie électorale étant bouchée ou inutile, les Autochtones devront soit accepter passivement leur disparition en tant que peuple, soit se regrouper pour se construire un avenir autonome. Il appartient aux personnalités connues et reconnues de la mouvance hors-Système de donner maintenant le signal du Grand Rassemblement.
Car le temps des espoirs électoraux insensés est maintenant terminé. Voici venu le temps des bâtisseurs de peuples !