Le samedi 19 janvier 2019 a eu lieu à Rungis, devant plus de 500 personnes, une grande réunion publique sur le thème : « Gilets jaunes ou la révolution qui vient ! ». Les intervenants étaient Hervé Ryssen, Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon et Alain Soral (Élie Hatem était représenté par Cyriaque de Vulpillières).
Remarquable document des années 1950 présentant le difficile métier des Terre-Neuvas, ces marins européens, le plus souvent français, partant en mer, des mois durant, pour pêcher la Morue au large du Canada ou de l’Islande…
Le monde est géré par une secte satanique, la mafia khazare.
Secte satanique… mafia khazare…
Ces mots vous choquent ? Ils vous semblent incongrus ?
Vous imaginez que Secte satanique, ça date du Moyen-Age et de l’Inquisition ? Une mafia Khazare, ça ne vous dit rien ?? Oui, c’est vrai, ça ne fait pas les Unes comme la « mafia russe » ou autres petits amateurs sans envergure…
Si ces termes ne vous disent rien, si vous pensez à du complotisme de bas étage, je vous invite à y réfléchir à deux fois… et surtout à vous documenter de façon un peu complémentaire à côté des connaissances que vous pouvez avoir par ailleurs…
Le gars qui a fait cette vidéo nomme un chat, un chat. Ainsi Youtube a fait disparaître sa chaîne. D’autres l’ont remis en ligne. Aussi vous pouvez encore la visionner. Si elle disparaît à nouveau, recherchez sur VK: Michael Koestler.
Les intellectuels humanistes de la Renaissance rejettent la tutelle de l’Eglise et annoncent un âge d’oroù l’homme émancipé sera enfin la mesure de toutes choses.
Sur un plan général, on a vu la suite: Révolutions et guerres mondiales sans précédent, totalitarisme marchand, mise en place d’une termitière planétaire sous domination masquée khazare,etc…
Dans le domaine artistique et spirituel, l’artiste n’est plus l’anonyme bâtisseur de cathédrales travaillant « Ad majorem Dei gloriam« , simple serviteur effacé et vertueux de plus grand que lui, oeuvrant à son Salut éternel et au bien commun sur la terre, mais devient ce petit « dieu » tombé (A l’image de Lucifer) qui signe de son nom des « oeuvres »personnelles… Misérable ego n’oeuvrant qu’à sa gloriole minuscule.
L’architecture a bien évidemment suivi le même chemin entropique: L’élan prodigieux des édifices romans, puis gothiques avec leurs piliers semblables à des troncs centenaires et leurs profusions de nervures quasi-végétales, est stoppé net par l’ascension de l’Humanisme réducteur… Sans ce refoulement du spirituel, quelle architecture organique en aurait été le développement aujourd’hui ? Sans doute un fourmillement architectural cosmo-végétal et d’une créativité organique explosive dont le seul exemple à ma connaissance aujourd’hui est Gaudi ?)
La « Sagrada Familia » de Gaudi à Barcelone
A la place de ce bond lumineux, saturé d’Esprit et défiant la pesanteur, la lourde architecture « Renaissance » s’impose peu à peu. Ce n’est en fait qu’un retour, sans aucun génie propre, au monde gréco-romain et à sa lourde finitude horizontale…
En suivant le déroulé des temps, on observe donc que l’éclipse progressive de l’ordre chrétien enraciné en Dieu est remplacé par un « nouvel ordre (mondial?) », basé sur l’Homme auto-déifié. Celui-ci débouchera finalement, de par sa pesanteur congénitale, sur le monde utilitariste et marchand que nous connaissons bien aujourd’hui et remplaçant peu à peu la réalité chrétienne.
L’aboutissement logique et inévitable du plan de ces pseudo-élites déclarant vouloir « écraser l’infâme » en la personne du Christ (Voltaire), est le démantèlement final de l’Eglise par les sous-marins khazares de la maçonnerie mondialisée. Démantèlement contre lequel déjà Pie X avait mis en garde, en vain:
« PASCENDI DOMINICI GREGIS »
LETTRE ENCYCLIQUE
DE SA SAINTETÉ LE PAPE PIE X
SUR LES ERREURS DU MODERNISME
« Ce qui exige surtout que Nous parlions sans délai, c’est que, les artisans d’erreurs, il n’y a pas à les chercher aujourd’hui parmi les ennemis déclarés. Ils se cachent et c’est un sujet d’appréhension et d’angoisse très vives, dans le sein même et au coeur de l’Eglise, ennemis d’autant plus redoutables qu’ils le sont moins ouvertement. Nous parlons, d’un grand nombre de catholiques laïques, et, ce qui est encore plus à déplorer, de prêtres, qui, sous couleur d’amour de l’Eglise, absolument courts de philosophie et de théologie sérieuses, imprégnés au contraire jusqu’aux moelles d’un venin d’erreur puisé chez les adversaires de la foi catholique, se posent, au mépris de toute modestie, comme rénovateurs de l’Eglise; qui, en phalanges serrées, donnent audacieusement l’assaut à tout ce qu’il y a de plus sacré dans l’oeuvre de Jésus-Christ, sans respecter sa propre personne, qu’ils abaissent, par une témérité sacrilège, jusqu’à la simple et pure humanité….etc… » (1907)
Le grand noyautage par la maçonnerie avec Jean XXIII, Paul VI et leur suite de faux Papes et vrais escrocs était d’ores et déja enclenché.
L’Eglise a été la mère des Arts et de l’Architecture pendant plus de 1500 ans. Le culte de la Beauté a partout fleuri sous la brise légère de la Grâce car rien n’était alors trop beau pour louer Dieu Auteur de toute Beauté.
C’est l’éclipse de la Chrétienté qui a permis l’enlaidissement du monde.
Le Créateur de toutes choses et la magnificence de sa Création, ne sont plus les premiers servis et ce au détriment des valeurs « humanistes »matérielles, financières et marchandes.
La créature, déracinée d’elle-même et de ses communautés naturelles par les certitudes nouvelles de ces mirobolantes « Lumières », devient le centre-même de son propre univers, horizontal cette fois-ci… Elle prend toute la place possible, s’étale, se vautre dans la matière, à la limite de la liquéfaction universelle, et, bien au-delà d’un quelconque sens, devient le parasite démesuré de la terre qui le porte.
Nous vivons le temps de la Laideur absolue: Non art dégénéré (copyright Henry de Lesquen), architecture nullissime de la « maison d’architecte », du pavillon de banlieue, ou Titanesque des tours de 100 mètres de haut.
La mesure, le Sens et la Beauté ont déserté la terre, or « ils ont des yeux et ne voient point ». La démesure, l’insensé et la laideur sont devenu notre pain quotidien…
Voici une fascinante et longue conférence d’Eric Zemmour le 25 septembre 2018 au Théâtre du Montansier de Versailles, pour la sortie de son livre-phénomène « Le Destin Français ».
Probablement l’un de ses meilleurs entretiens:
Le commentaire ci-dessous n’est pas de mon fait, mais d’Hortensia de Gonzagues. J’aurais tendance à le trouver assez juste car s’il est une chose difficilement niable c’est l’immense culture d’Eric Zemmour:
« Une journée sans Zemmour : c’est une journée sans amour ! »
Hortensia de Gonzague, Septembre 2018.
« Eric Zemmour est de très loin aujourd’hui en France l’analyste politique le plus instruit et cultivé, dont tout le discours est parfaitement argumenté au moyen de références historiques nombreuses et très riches…
Ce qui fait d’Eric Zemmour l’intellectuel probablement le plus clairvoyant et le plus courageux de notre époque, où l’ignorance et l’immaturité érigées en institutions règnent sans partage et plus que jamais dans les « grands médias dominants ».
En tout cas « Le Zemmour » est de très loin le plus suivi, et incarne tout un courant de pensée français qui devient tout doucement majoritaire chez les Français de souche.
Petit message aux nationalistes de tous poils :
Oui, Zemmour est berbère juif et il ne l’a jamais caché et de toute façon ça change quoi ? Eric Zemmour se fout royalement d’Israël et d’ailleurs il n’en parle jamais, le mec s’époumone depuis 30 ans à ne parler que de la France. Il vous faut quoi de plus bordel ???… « Zemmour est sioniste », « Zemmour est juif », « Zemmour est national-sioniste » et gnagnagna et gnagnagna… Pitié !… Prenez ce qui est bien chez Soral, ne prenez pas le seul truc où il est relativement à côté de la plaque enfin !
Merci. »
« La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. »
Le 30 mai 1917
» Léonie chérie
J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.
Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment. Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.
Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.
Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants. Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés. Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.
Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames. Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Les pentes d’accès boisées, étaient rudes .Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.
Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.
Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.
Comprendras-tu Léonie chérie que je ne suis pas coupable mais victime d’une justice expéditive ? Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.
C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.
Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.
Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahi et la France va nous sacrifier.
Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.
Eugène, ton mari qui t’aime tant «
Ainsi, plus d’un million des meilleurs et des plus solides éléments de notre race française, ont-ils été horriblement sacrifiés dans un indescriptible et épouvantable carnage, qui n’est autre qu’ un rituel satanique planifié par les puissances obscures de l’arrière-scène.
On veut nous faire croire que ces braves d’entre les braves sont morts pour la France, et c’est bien ce qu’ils ont cru eux aussi, sans quoi jamais il n’auraient consenti à ce sacrifice.
La vérité est qu’ils sont morts pour les coffres de Rotschild, les usines de Krupp, leurs marionnettes politiques à la soif inextinguible de pouvoir…
Ils étaient eux-même la vraie France.
Honneur et Fidélité éternelles à ces géants tombés pour des nains maléfiques.
Le peuple de France ne doit jamais oublier la turpidité, la rourie et la corruption criminelle sans aucune borne dont peut se révéler capable ce gang téléguidé par des forces noires et appelé « classe politique ».
« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. » Simone Weil (Philosophe)
« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. » Chateaubriand
A l’opposé des cohortes de nuisibles occupés à la destruction tous azimuts de notre mémoire ancestrale, des êtres exceptionnels font oeuvre admirable. A l’opposé, Robert Tretel est de ceux-ci… Il s’ingénie depuis des années à faire revivre cette admirable abbaye de Bretagne.
Bravo Monsieur, au nom de tous ceux qui ont l’amour de notre terre, vous êtes un véritable héros dans ces heures présentes, certainement les plus sombres de notre Histoire !
La clouterie Rivierre dont l’usine est installée à Creil (Oise) depuis 1888 est la dernière clouterie de France et produit toujours cinq tonnes de clous par an…
Merci à France 3 pour ce beau reportage, ça change de la télé-crétinerie !
J’ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d’interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.
Quelle mouche vous a donc piqué ?
Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin « Natalis » qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous.
La naissance dont-il est question est celle d’un certain Jésus de Nazareth, né il y a un peu plus de 2000 ans.
Je dis ça parce qu’étant donné que vous n’avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n’est pas l’anniversaire de la naissance du Père Noel ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus.
Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l’andouillette tout en interdisant la consommation d’andouillette le jour de la fête de l’andouillette.
La crèche c’est ce qu’on appelle une tradition.
Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n’est parce qu’il est le fruit d’une tradition.
Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens.
La crèche c’est Noël et Noël c’est la crèche.
La crèche c’est aussi l’histoire d’une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C’est un signe d’espoir pour tous les sans abri.
La crèche c’est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C’est un signe d’espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations, de conflit au Moyen Orient et de crainte de » l’ autre » attisée par des attentats horribles.
La crèche c’est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d’agriculteurs qui rigolent en cette période de crise?
La crèche c’est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l’homme.
Enfin, la crèche, c’est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2014 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes et ne semble pas en être revenu.
Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l’expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël. »
Virginia Vota, sur Youtube, sème à profusion auprès des jeunes, des graines de conscience… Je dois dire que je suis immédiatement tombé sous le charme ! Cette jeune personne n’est-elle pas en effet un extraordinaire exemple pour tous nos jeunes en manque tragique de repères.
Ce qui frappe au premier abord, c’est un regard limpide, une retenue et une droiture toute simple et pleine de fraîcheur, l’exact opposé de cet avachissement, de cette triste vulgarité et de cette veulerie moderne que l’Elite tente d’imposer par tous les moyens à nos jeunes égarés … Avec Virginia, ils ont raté leur coup, et c’est un grand bonheur que de le constater.
Dans notre Frankistan où l’amnésie est subventionnée, sa quête de l’âme de la France, de ce qui a fait son éclatante beauté et sa prodigieuse Histoire, avant l’avènement des salisseurs, des usurpateurs et des affairistes, est courageuse, noble et pleine de promesses.
Il est réconfortant, Ô combien, de constater, après soixante-douze ans au bas mot de propagande athéïste et globaliste, que de si belles petites âmes émergent encore et s’enracinent parmi nous.
Merci Virginia Vota pour votre amour lumineux et profond de la France, pour votre enthousiasme, votre simplicité et votre talent !
Virginia Vota: un Signe et une Bénédiction du Ciel ?
Puisse en tout cas celui-ci vous assister dans votre belle entreprise!