Panique Coronavirus, pas de polémique, c’est très grave.

panique coronavirus

Panique Coronavirus… « Pas de polémique possible », a dit le Sinistre de la Maladie…

C’est très grave

… En effet, mais pas pour les raisons auxquelles il veut nous faire croire.

Vidéo brève et simple mais suffisante !

https://www.youtube.com/watch?v=sx0ICROFDTk&feature=emb_logo

Je viens de me farcir les premières minutes du “point d’information” du 21 Mars du Sinistre, Olivier Véran

Je me suis demandé si ces gens ne commençaient pas à perdre pieds dans leurs tissus de mensonges tant leurs propos deviennent incohérents… Voici les paroles de celui-ci que j’ai écouté trois fois de suite (et noté) tant l’esprit reste figé devant la folie complète du propos (à 2.51)

Panique Coronavirus

“Si 85% des symptômes sont bénins, 98 à 99 % des gens qui souffrent de l’infection guérissent, le covid19 peut tuer…etc…”

???

Pour ma part je comprends que, sur les 15% ayant des symptômes “non-bénins”, 1% ou 2% des gens meurent de l’infection, cela représente donc entre 0.15% et 0.3% environ du total des gens souffrant de l’infection…Les chiffres que l’on trouve pour la grippe saisonnière oscillent entre 0.12 % et 0.5 % environ… Me trompè-je ??

Si mon petit calcul, basé sur les propos-même du Sinistre est bon, pourquoi les pouvoirs publics n’ont ils pas pris ces délirantes mesures tous les ans dès qu’une épidémie de grippe atteint les 0.15% de mortalité des personnes atteintes ???

…Impression désagréable qu’ils veulent nous faire nager en plein délire et perdre tout repère rationnel. La certitude me vient peu à peu qu’ils ont des idées bien arrêtées derrière la tête… ayant de toutes autres visées que la « santé publique » …

Que pense le bon peuple ? Espérons qu’une bonne partie de celui-ci ne va pas gober cette pantalonnade et réagir car il va falloir l’ouvrir… Sinon c’est le vaccin micro-chipé obligatoire pour tous qui se profile gentiment à l’horizon, du train où c’est parti…

Je n’ai pas écouté la suite de ce discours de faux-cul, tant ce type est antipathique, désolé…

Voici quelque chose de plus sérieux:

https://www.youtube.com/watch?time_continue=79&v=C1dnrWeyQtw&feature=emb_logo

Soutenons ce courageux Docteur ! Voici son site:

https://www.dr-trotta.fr/

Un extrait de sa page dédié au fameux virus:

Coronavirus

Les conseils d’un Médecin libre sur le coronavirus. Comment le prévenir et bien le soigner ?

Voici un message d’espoir, de prévention et de traitement efficace de l’infection à Coronavirus.

Article réactualisé régulièrement par le Dr Trotta qui suit pour vous l’actualité scientifique et les dernières informations qui permettent de penser que nous ne soomes pas loin, si les politiques ne freinent pas les Médecins, de guérir les malades infectés et donc de venir à bout rapidement de cette infection.

Une simple photo valant mille explications, étant ancien médecin coopérant au Yémen où avec ma femme Isabelle nous avons passé 2 années magnifiques en 1990-1991, je ne peux pas rester inensible à la tragédie que vit ce peuple suite aux crimes contre l’humanité commises par les avions Saoudiens qui bombardent avec les armes vendues par Hollande et Macron à l’Arabie Saoudite, qui organisent un blocus des ports du Yémen affamant ainsi ce peuple courageux qui résiste vaille que vaille à la technologie occidentale et à l’argent fou du pétrole. Les « Afghans de la pénisule Arabe » que sont les Yéménites, pieds nus et armés de Kalachnikov seront pour l’Arabie Saoudite et les dirigeants Occidentaux corrompus qui les soutiennent ce que fut l’Afghanistan pour l’URSS, le début de la fin et leur chute.

Ce chiffre puiblié par le Figaro le 21 Nov 2018 donne le vertige et la nausée : 85 000 enfants sont morts dans cette sale guerre où des lâches bombardent et affament des civils sans défense.

Et pour moins de 500 morts, Français, Macron vous met tous en taule chez vous ! Le rêve de tout dictateur, contrôler sa population par la peur et l’embastiller à la maison , Macron avec ce virus l’a fait. C’est lui et tous les complices de ce crime contre l’humanité au Yémen qui devront aller en taule et nous, sortir de chez nous, retrouver notre liberté fondamentale et juger ceux qui ont manqué à tous leurs devoirs, ça ne saurait tarder.  

Le coronavirus a un mérite : nous assistons à la mort en directe de la mondialisation sauvage et à la financiarisation à outrance de l’économie. Mais combien d’artisans, de commerçants, d’indépendants vont souffrir de cette arrêt brutal de l’économie alors que vous verrez dans cet article, on peut faire autrement.

Le remède du confinement généralisé visant à étouffer l’épidémie sera bien pire que le mal : combien vont mourir d’isolement, de phlébites car ils n’auront pas pu marcher, combien mourront seuls car non visités notament les personnes âgées, les prisonniers, les handicapés…

Combien de suicides par faillites ? …etc …

Ce covid-19 serait-il l’occasion pour ceux qui nous gouvernent en ne donnant pas les moyens nécessaires aux médecins de bien diagnostiquer et soigner de faire mourir les personnes âgées qui plombent le déficit de la sécu ? C’est cynique mais on nous a tellemnt parlé de trou de la sécu, on a tellement dit que les retraités coûtaient chers, voyez la réforme récente contre les retraités de la classe populaire et moyenne, passéee en force face à l’opposition des petites gens qui ont bien compris qu’ils étaient inutiles à ce sytème économique inhumain qui leur préfère les robots et l’intelligence artificielle.  

Face à la panique entretenue sciemment par les médias depuis 3 semaines  avec des informations alarmistes qui tournent en boucle pour conditionner vos cerveaux à la peur et à l’obéissance, voici les informations d’un médecin libre qui continue à utiliser son cerveau gauche rationnel pour vous proposer des solutions efficaces naturelles et économiques pour prévenir et soigner cette infection.

Il faut rappeler que ce coronavirus de 2019 (ou covid-19) récent fait partie du groupe de ces virus à « couronnes » qui affectent aussi bien les animaux que les êtres humains et qui sont responsables chez les oiseaux et les êtres humains d’infections plutôt respiratoires (rhumes et pneumonies) et chez les porcs et les vaches d’infections plutôt intestinales (diarrhées).

On estime que 15% de personnes peuvent être infectées. La mortalité d’une grippe classique oscille entre 2 et 8% dans l’indifférence générale. Ainsi la grippe classique en France fait entre 2000 morts et 20 000 morts (en 2015) malgré des vaccinations massives qui démontrent donc leur inefficacité sur la mortalité.

Or en France, les chiffres officiels donnés par www.santépubliquefrance.fr sont :

– au 20 Mars 2020, 12600 cas confirmés et 450 décès soit sur 60 millions de Français 0,0002 %, ce qui est ridiculement bas comparé au bruit médiatique que cela fait.

coronavirus, mortalité diamond princess

La mortalté au maximum de ce virus est de 1% : en milieu ultra-confiné , le paquebot Diamond Princess bloqué en quanrantaine pendant 20 jours par le Japon, paquebot dans lequel le virus a eu le temps d’infecter 696 personne sur 500 passager n’a fait que 7 morts soit 1% des gens infectés, ce n’est donc pas si grave que cela et c’est moins que la grippe classique.

Beaucoup de médecins signalent d’ailleurs que la plupart des malades morts étaient déja très malades et atteints d’affections cardio-respiratoires sévères et que certains ne sont pas morts en soi du coronavirus mais que les analyses réalisées ont révélé le coronavirus. Donc il s’agit d’une co-morbidité plutôt que d’une relation de cause à effet dans un certain nombre de cas.

Tous ces chiffres doivent vous faire relativiser les informations démentielles et alarmistes entendues à la télévision et dans les médias de gouvernements.

Par comparaison les chiffres de mortalité en France depuis le 01/01/2020 soit peu de temps avant que ne débute cette épidémie, sont : cancers 30 000 morts, cardio-vsaculaires 28 000, accidents domestiques 6000, grippoe classique 2000.

L’infection de ce covid-19 en pleine épidémie au 20 Mars : 450 morts, ce que nous déplorons mais 30 000 morts par cancers ou 2000 par la grippe.  Et la faim fait 25 000 morts par jour dans le monde : qui s’en soucie ? Le paludisme : 500 000 morts / ans, surtout des pauvres et pas de possiblité de vaccin donc cela n’émeut pas les dirigeants et BigPharma qui préfèrent vous faire peur pour 500 morts et ensuite vous imposer un vaccin très très rentable…

Et on vous a tous enfermé à la maison pour 450 morts ! C’est une blague ? Nous n’avons jamais vu de décisions aussi contraires aux libertés fondamentales de circuler , vivre, travailler. Le virus a bon dos. 

Bref pour votre santé on vous prive de Liberté. La République Française qui s’érige en modèle de vertu au monde entier voit sa devise « Liberté-Egalté-Fraternité » se transformer en « Confiné-Contrôlé-Taxé ». Car si vous sortez sans votre laisser passe vous êtes sujet à une amende d’au moins 135€.

On se croirait revenu sous l’occupation allemande ou les pour circuler les Français devaient montre leur Ausweiss.  Rappelez vous tous les films sur cette époque avec le fameux et guttural « Ausweiss bitte ! » (Votre laisser passer SVP). Qui aurait cru cela il y a à peine 15 jours ? 

Macron le Gauleiter du Gros Paris et de notre douce France de Gaulois réfractaires  (et fiers de l’être et que nous devrons être de plus en plus pour défendre nos libertés) a « muté » LAREM (La Republique En Marche) en LADEM : La Dictature En Marche.

Les détracteurs de la liberté diront : « la plupart des pays font cela, regardez l’Italie, l’Espagne…..mais vous êtes fous de sortir ou de vous insurger contre ces mesures, vous allez propager le virus, être responsables de la majoration de l’épidémie et être à l’origine de très nombreux morts…..et j’en passe et des meilleures).

C’est une véritable inversion accusatoire et une culpabilisation des innocents : car la vérité se fait de plus en plus crue chaque jour.

Ainsi l’ex-ministre de la santé Agnès Buzyn que je nomme Agnès Vaccin tellement elle a tout fait pour que 800 000 nourrissons innocents et au système immature recoivent non pas 3 injections vaccinales mais 11 vaccins bourrés d’aluminium, un neurotoxique, un poison pour le cerveau tout frais de ces petit-êtres qui recoivent ainsi 100 fois la dose toxique d’aluminium (cf les travaux du Pr Fourtillan un expert en la matière que justement le système Macronien a essayé de faire taire en lui envoyant une escouade de gendarmes chez lui…), et bien cette dame que je ne peux pas appeler confrère ou consoeur tellement elle est avec ses complices des labos et du gouvernement à l’origine d’un crime contre l’immunité, un crime contre l’humanité (le futur scandale sanitaire qui explosera et sera à l’origine d’un tsunami politique et médical sera celui des vaccins bourrés d’aluminium) et bien cette ex-ministre de la santé a dit dans le Monde du 17 Mars 2020 qu’elle savait depuis le 30 Janvier que cette épidémie allait venir en France. Et qu’a-t-elle donc fait ? Rien, nada. Et ainsi en pleine épidémie les soignants, les médecins manquent de tout : gants, masques, gel hydro-alcooliques, test diagnostics et médicaments efficaces. Il faudra donc juger et condamner ce manquement grave au principe élémentaire qui veut que les médecins aient une obligation de moyens qui leur sont refusés pour incompétence crasse de ceux qui les gouvernent ou tout simplement cynisme ?

Ces virus étant sensibles à la chaleur, ils vont disparaître avec le retour du beau temps et l’arrivée du printemps. Il ne faut donc surtout pas paniquer et céder à la peur.

La peur fait baisser votre immunité : donc le seul conseil que je puisse vous donner en cette période de matraquage médiatique de la peur est celui-ci :

 « éteignez votre télé, allumez votre cerveau ».

Je ne vais pas m’étendre sur les simples mesure d’hygiène répétées en boucle et qui vous ont déjà été données et qui sont des mesures de bon sens : si vous avez un rhume ou que vous toussez, restez chez vous pour ne pas aller diffuser l’infection.

Très important : buvez régulièrement des petites gorgées d’eau tiède ou chaude pour humidifier votre gorge et faire descendre les virus potentiels dans l’estomac où l’acidité les tuera. Ils descendront ainsi moins dans les poumons.

Le virus reste une douzaine d’heures sur les surfaces métalliques, les tissus et donc il faut plutôt se laver les mains régulièrement si vous avez touché des endroits possiblement infectés. Rappelons que les poignées de porte sont les plus grands vecteur de virus et de bactéries. « 

(Fin de l’extrait)

Bravo Docteur ! Vous redonnez confiance en la médecine qui n’aurait jamais dû s’écarter de l’Humain, du bon sens et de la nature ! Dans cette situation de dictature de moins en moins larvée, j’espère que vous saurez fédérer un grand nombre de collègues courageux pour l’ouvrir haut et fort ! En effet, si nous le petit peuple non soumis au dogme du conarovirus, passons pour des irresponsables, votre aura médicale, elle, portera la voix du bon sens et de la révolte salvatrice.

MERCI.

 

« Conarovirus »: Assez ! …et la vérité svp !!

Sur le front du Conarovirus:

Sentant monter une vague d’incohérence et de panique autour de moi, le coronavirus mutant lentement, le fourbe, en conarovirus, j’aimerais participer à ma très modeste échelle à la décontamination, non du « coronavirus » (pour celà voir le Professeur Raoult qui vous prescrira un comprimé de Chloroquine et basta), mais des têtes dont les facultés me semblent pour le moins quelque peu altérées en ce moment…

Il est vrai qu’après nous avoir expliqué que les poutres de Notre Dame de Paris s’étaient embrasées avec des mégots de cigarettes, et ce dans l’indifférence générale, « ils » se sentent pousser des ailes !

Autant y aller de bon coeur puisque ces cons gobent vraiment tout !!!

La France qui était la terre du bon sens paysan par excellence est devenue une nurserie du Nouvel Ordre Mondial où l’on peut, apparemment, raconter n’importe quelle histoire à dormir debout au bon peuple biberonné au bon sirop de glucose/fructose et aux caramels mous de BFMTV…

Ainsi, devant la catastrophe généralisée induite par le système de prédation monétaire mis en place depuis grosso modo la fed américaine en 1913, nos « élites » (otan, onu, fmi, finance mondialisée et leurs milliers d’officines, commerciales, médiatiques, « scientifiques », occultes ou non) sont en mode panique … Leur superbe entourloupe de l’argent-dette étant de plus en plus éventée, le roi étant nu, les gilets jaunes et autres contestations se répandant dorénavant comme traînée de poudre un peu partout, il fallait trouver un nouveau « truc » pour camoufler la chute de leur système financier basé sur la fraude la plus obscène et qui ne tient que par la planche à billet depuis bien trop longtemps (La fed vient de décider d’injecter dans l’économie US 1500 Milliards PAR JOUR !!!!)….

Cette fake « pandémie » est peut-être leur dernier jocker …

« Il faut savoir raison garder pour cette maladie bénigne ! » Professeur Olivier Bouchard Chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’institut Avicenne sur BFM TV 26.02 2020

Leurs media aux ordres (soit idiots utiles, soit stipendiés) sèment donc consciencieusement la panique dans le but d’écrabouiller tout ce qui peut encore ressembler à une société normale et cohérente.

conarovirus
« Le Conarovirus, c’est très très très grave, mon bon Cruchot ! »

Ils vont nous prendre des mesures de confinement qui ne peuvent qu’accélérer la catastrophe économique latente depuis l’origine de ce système frauduleux….Mais attention !! Ce ne sera pas leur faute, bien au contraire !!! Puisqu’ils auront pris les mesures « prophylactiques » qui s’imposent !

Tous ces « gouvernants » ne sont en réalité qu’un gang de malfaiteurs en bande organisée, les spécialistes du mensonge: Histoire de France truquée, Histoire de WW1 et WW2 truquées, 11 Septembre truqué, « Vérité » « scientifique » truquée, etc, etc… Ce sont en réalité nos pires ennemis. Réveillez-vous les gens !!

Leur technique est maintenant bien au point (Tavistok Institute en Grande Bretagne). Nous abreuver d’informations contradictoires, ce qui permet de sidérer les esprits et de désorganiser une pensée saine et rationnelle. Si on ajoute une bonne louche de peur, là c’est parfait:

Ca marche à tous les coups !

1/ Attention, ce coronavirus est très très très dangereux et contagieux: Vous allez tomber comme des mouches, tremblez, confinez-vous, ayez peur, il n’y a pas de vaccins, c’est atroce !!!

2/ Et… Comme il n’y a en réalité aucune piles de cadavres à l’horizon, il faut bien nous montrer ce qu’ils peuvent trouver… C’est à dire RIEN mais monté en neige, sauce BFM !

Regardez la vidéo suivante. J’en ri encore !

C’est très, très, très grave, mais « à la fois » on a du mal à distinguer les symptômes: « Peut-être un peu de fièvre, mais je n’aurais pas su que j’étais infecté si je n’en avais pas entendu parler ! » (sic)

Bon allez, je vais terminer avec ce petit naturopathe qui remet assez bien les pendules à l’heure (à part pour « les migrants » où là, il n’a pas pigé l’ensemble du film…).

 

« Tout augmente ma brav’Dame ! »

Trouvé ce court texte sur internet sans avoir noté de qui il était …

 

Il est court mais sans doute éclairant pour qui se demande « pourquoi la vie augmente » !

 

« Une taxe finit toujours par se répercuter dans l’économie et par toucher tout le monde. Dans le prix d’une baguette de pain, il n’y a pas que la TVA, il y a aussi la taxe sur les carburants du tracteur qui a labouré la terre, de la moissonneuse, des camions qui ont acheminé le grain et la farine. Il y a les taxes sur l’électricité qui fait tourner le moulin et a chauffé le four. Il y a les charges « sociales »que payent le paysan, le meunier, le boulanger. Les impôts fonciers de la boulangerie, du moulin, des terres du paysan.

Sans les taxes, une baguette ne coûterait pas 1 € mais quelques malheureux centimes !

On croirait que le pouvoir ne fait jamais ses courses, ne sait pas ce que c’est qu’un « hard discount », qu’il n’a pas compris que le principal effet de la mondialisation est la chute des prix. Pense-t-il vraiment que les gens n’ont pas compris pourquoi les prix des produits étrangers sont aussi bas ? Qu’ils n’ont pas remarqué que la baisse des prix est bonne pour tous les produits…sauf bizarrement ceux que l’Etat règlemente, comme pour les carburants, le gaz ou l’électricité.

Tout le monde paie les frais de l’incompétence et de l’arrogance.

En fin de compte, c’est toujours le citoyen, chaque citoyen, tous les citoyens qui payent.

Cela fait 50 ans que le budget de l’Etat est en déficit. Ca fait 50 ans que l’Etat invente des histoires pour essayer de s’en sortir. Ca fait 50 ans que l’Etat fait la chasse à tout ce qui peut être imposé et invente de nouvelles taxes pour chasser l’argent dans tous les recoins de l’économie… Comme si des chanceux pouvaient être passés entre les mailles du filet pendant 50 ans.

50 ans… voire même plus de 200 ans…
50 ans que l’Etat est en faillite. En faillite budgétaire, en faillite politique. »

 

 

Gilets jaunes, printemps français ou nouvel attrape-nigauds ?

Gilets jaunes

 

Le 17 Novembre 2018, des centaines de milliers de Français se sont égayés au gré des rond-points de France et de Navarre, vêtus du gilet jaune réglementaire d’après les directives même de Bruxelles, pour crier leur ras le bol du système mafieux qui entend les diriger depuis 60 ans au bas mot. Ils semblent avoir compris que la-dite direction est toujours la même: Toujours plus bas ! Toujours plus de vexations et d’ignominies de tous ordres pour la base, toujours plus de mondialisme, de concentration des pouvoirs et d’arrogance pour la caste.

Peut-être n’est il pas superflu de citer cette phrase bien sentie de Rivarol, analyste acerbe des dérives post-révolutionnaires de son temps:

« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir. »

Cette vidéos compile des prises de vue uniquement sur Paris et me semble constituer un intéressant témoignage de la température ambiante locale à cette occasion. Et que dire de la France profonde et « périphérique » qui contient sa colère sacrée depuis … un certain temps.

Rendez-vous est pris le 24 Novembre pour l’Acte 2: Appel aux gilets jaunes de toute la France à converger sur la capitale…  s’agit-il cette fois-ci d’un printemps français, comme nous avions pu y croire un instant avec les grandes « Manifs pour tous » ??

Les chiffres officiels (assez ridicules semble-t-il): 280.000 personnes pour l’ensemble de la France… Et si l’on en croit le syndicat « France Police » des policiers en colère : Plus d’un million vers 16h ce jour là….

Que va faire la Nomenklatura maçonnique si un tel chiffre converge sur Paris ??

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La civilisation des droits de l’homme ou le règne du néant.

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Entretien tiré du journal « Présent »

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Agé de 34 ans et docteur en histoire médiévale, Raoul Fievet vient de publier chez Via Romana un premier mais ambitieux essai nourri de profondes réflexions mais aussi de citations qui, pour émaner parfois de penseurs ou de chercheurs fort étrangers à notre mouvance, n’en sont que plus précieuses, telle celle de Gandhi assurant que les seuls « droits dignes d’être mérités et conservés sont ceux que donne le devoir accompli ». Le titre de ce livre important ? La civilisation des droits de l’homme ou le règne du néant. Tout un programme !

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— Raoul Fievet, vous déplorez le remplacement des traditions ancestrales par « la religion séculière de l’individu », issue des Lumières et de la Révolution. Comment définiriez-vous les objectifs, les intérêts et le clergé du nouveau culte ?

— Notre société est désormais régie par un système de pensée selon lequel l’individu constitue la réalité ultime qui subordonne toute réalité sociale. Cette nouvelle religion a son clergé, un conglomérat d’élites médiatiques, politiques et financières, qui a fait sienne l’idée d’un individu autosuffisant, porteur d’une valeur intrinsèque inaliénable, sans égard à son mérite démontré. Pour les tenants de cette vision du monde, les sociétés ne constituent que de simples agrégats d’atomes individuels. Tout ce qui dépasse l’individu, tout ce qui l’arrache à ses petits désirs matérialistes, tout ce qui peut donner sens à son existence, à commencer par la nation et son vieux substrat civilisationnel, n’a aucune espèce de signifiance. Plus grave encore, à partir du moment où l’individu est pensé comme le centre de tout, le respect de son identité particulière s’impose comme un impératif absolu, avec pour conséquence une forme de sacralisation de la culture de l’Autre qui n’a d’égal que l’hostilité envers le fait national. L’identité nationale est en effet farouchement rejetée car perçue comme étant un facteur de négation des différences : les grands prêtres de la religion des droits de l’homme sont violemment allergiques à toute forme de norme collective contraignante. Ils se moquent bien de savoir que la société n’est plus qu’un ramassis d’individualismes narcissiques et de communautés repliées sur elles-mêmes puisque, pour eux, les individus se valent tous.

— De même que, pour vous, la construction européenne est « le projet du vide », la suprématie des droits de l’homme a engendré « la civilisation de la laideur » en matière d’arts, picturaux notamment. Comment, par qui et pourquoi ?

— La dégénérescence de l’art, l’un des symptômes les plus évidents du mal qui affecte notre époque que d’aucuns désignent fort justement comme « l’ère du vide », trouve fondamentalement sa source dans l’idéologie des droits de l’homme : dès lors que les individus sont imprégnés par un système de valeurs qui n’implique plus d’idéal transcendant leurs petites personnes, le fait de s’investir dans des projets porteurs d’un sens de la grandeur, d’une beauté capable de captiver les imaginaires, en se conformant pour cela à des normes esthétiques partagées et contraignantes, perd tout son sens : tout comme l’individu n’a plus d’autre justification que lui-même, l’art se justifie par lui-même du simple fait qu’il est proclamé art par son concepteur. Dans un tel contexte, la perfection technique n’est plus requise, pas plus que le souci de se conformer à des valeurs reliant l’individu à son contexte socio-historique. Dépourvu de la volonté d’exceller en touchant le cœur et l’esprit de son public, l’artiste peut laisser libre cours à ses délires personnels et n’a plus d’autre moyen pour se distinguer que de placer toujours plus haut le cran dans la provocation.

— Plus grave encore, la primauté donnée à l’individu aurait provoqué « le réveil des forces centrifuges », l’immigré, voire le migrant, étant promu super-citoyen. Comment réagir alors à ce que vous appelez la « nouvelle norme collective », qui nous interdit toute liberté d’expression et même de pensée sous peine de lourdes condamnations et d’un statut de paria ?

— L’idéologie des droits de l’homme favorise en effet un processus d’implosion des sociétés européennes : d’une part, en minant la conscience nationale, elle détruit le liant qui assure la cohésion de l’ensemble, d’autre part, en exaltant sans cesse l’acceptation aveugle des différences, elle ôte toute envie aux populations immigrées de s’assimiler à l’identité de leurs pays d’accueil. C’est pourquoi il convient de réaffirmer avec force la nécessité impérieuse d’un retour à un modèle assimilationniste : c’est seulement en assumant pleinement notre propre héritage historique et culturel que nous pourrons incarner un modèle de société susceptible d’attirer à lui des populations d’origine étrangère désirant s’approprier notre histoire et nos valeurs. Alors, bien sûr, le nouveau clergé s’empressera de crier à la « stigmatisation », seulement ses admonestations sont rendues caduques par la stupidité crasse de son argumentaire habituel : il nous parle sans cesse d’unité et de vivre-ensemble, mais il prétend fonder cette unité autour des droits de l’homme. Or de tels droits, par définition, ne renvoient qu’aux individus. Il entend ainsi fonder la société sur la somme des parties qui la composent au lieu de mettre l’accent sur ce qui peut les rassembler. Ce faisant, en récusant tout modèle unificateur, il laisse libre cours aux replis communautaristes, réduisant fatalement la société à une espèce de monstre de Frankenstein social cousu de morceaux hétéroclites qui tiennent à peine ensemble.

— Dégénéré par les droits de l’homme, l’homo occidentalis peut-il sortir de sa dormition ?

— La civilisation des droits de l’homme a beau être animée par une puissante dynamique qui remonte à des siècles en arrière, l’espoir reste permis. Le fait est que les nations manifestent une étonnante capacité de résilience, la nation demeurant un cadre fondamental de référence pour de larges pans des sociétés occidentales. Nombre d’exemples récents illustrent ainsi une indéniable capacité de sursaut des peuples occidentaux, encore en mesure, le cas échéant, d’imposer leur volonté à contre-courant du bourrage de crâne politico-médiatique ambiant, à l’image du Brexit, du référendum sur l’immigration en Suisse ou de l’élection de Donald Trump. Malheureusement, les forces du système n’ont pas dit leur dernier mot, on peut même penser qu’elles deviendront de plus en plus enragées à mesure qu’elles sentiront le sol se dérober sous leurs pieds. Cependant, je me plais à penser que la pourrisseuse religion des droits de l’homme n’est pas la seule force profonde qui traverse notre civilisation. Tel un fleuve autrefois puissant, le flot de la conscience nationale s’est peut-être quelque peu tari, mais je suis persuadé qu’il est toujours possible de lui rendre sa vigueur originelle afin de contrebalancer, à défaut de l’interrompre, le flot dévastateur et nocif issu de l’héritage des Lumières.

Propos recueillis par Camille Galic pour :

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La France de Neuilly

Je ne résiste pas à reproduire ici in extenso l’entretien récent de Christian Combaz à Boulevard Voltaire, tant celui-ci est de belle facture et bien envoyé !

… Par contre, concernant le fond, la thèse « des Américains » me semble assez simplificatrice, mais qu’importe Christian Combaz nous offre dans ce texte un bon bol d’air réjouissant de la France de Campagnol ! Merci Christian Combaz !

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En ce mois d’août, Boulevard Voltaire aura l’honneur et le privilège de faire découvrir à ses lecteurs le dernier livre inédit de Christian Combaz.Alors que cet ouvrage avait été commandé puis validé par une célèbre maison d’édition, la publication en a brutalement été annulée juste avant les élections présidentielles…

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Christian Combaz, merci d’avoir choisi Boulevard Voltaire pour faire connaître ce livre visiblement trop dérangeant pour être publié en période électorale… Vous a-t-on donné une explication ?

Aucune. Je peux même dire que le texte a été relu par un ami de l’éditeur, un magistrat spécialisé dans tout ce qui pouvait « déranger ». Son avis juridique était qu’à part deux adjectifs, rien n’était fâcheux, mais sur le plan idéologique, il en était autrement, selon toute évidence. Donc après quelques semaines d’enthousiasme éditorial (et le matin même d’un déjeuner qui devait nous réunir avec l’attaché de presse), rideau sous la forme d’un coup de fil (« Je vous envoie un email, mais ça ne va pas être possible »). Le courrier qui a suivi disait : « Je vous confirme que je ne suis pas en mesure de publier ce texte, vous pouvez garder l’à-valoir et je vous rends les droits. » C’est un cas rarissime qui confirme l’atmosphère d’autocensure qui règne dans le pays. On ne vous dit pas de la fermer, on vous dit de ne pas l’ouvrir.

Ce livre procède à la fois de l’essai et du témoignage. Pourquoi avez-vous eu envie de l’écrire ?

Parce que l’explication que l’on donne de ce qui nous arrive depuis trente ou quarante ans est systématiquement biaisée pour nous faire avaler une vérité dont nous ne voulons pas. Zemmour parlait de « suicide français » ; à lui seul, ce titre justifie ma réaction : c’est une thèse fallacieuse. Je la récuse, la France n’a pas commis de tentative de suicide, on a organisé son assassinat (raté), qu’on a ensuite déguisé en suicide mais elle bouge encore et elle va porter plainte.

Qui, « on » ?

Pour résumer, et c’est là le principal de ma thèse, les Américains, la machine propagandiste culturelle, militaire, économique américaine, qui s’est déchaînée depuis Clinton dans nos médias, nos institutions, nos entreprises. Ils ne pouvaient plus supporter notre indépendance récurrente chatouilleuse, gaullienne, notre souverainisme économique et militaire, il fallait y mettre un terme. Au nom du commerce, d’abord, et puis surtout au nom de l’OTAN. Résultat : trois Présidents français coup sur coup ont été les chiens couchants de l’influence américaine : Nicolas Sarkozy, Hollande et désormais Macron.

Sarkozy, qui a remercié au nom de la France ses amis américains lors du discours de la Concorde dans les deux phrases liminaires de son discours de nouveau Président, avant de nous faire basculer dans le giron de l’OTAN en trois semaines en réduisant nos forces et en remettant les clés à la puissance américaine dans la plupart des domaines. François Hollande, qui a montré sa servilité infâme dans l’affaire syrienne, puis dans le refus du survol de Snowden. Et enfin Emmanuel Macron, dont il est clair qu’il met l’armée à genoux financièrement pour la doter tôt ou tard d’un commandement super-intégré à l’OTAN. Il a invité Trump le 14 juillet uniquement pour donner des gages en ce sens, et il a organisé le démantèlement de notre fleuron nucléaire Alstom au bénéfice d’une puissance rivale, ce qui sera jugé sévèrement demain, et peut-être jugé tout court.
Mais – et c’est surtout là que se trouve la partie témoignage de ce que je raconte – ce mouvement d’allégeance forcée s’est traduit, a été préparé par toutes sortes de démissions culturelles à l’égard de l’Amérique, qu’il s’agisse du programme « Young Leaders », par lequel l’Amérique s’est placée dans les bonnes grâces de nos futurs décideurs (presse, banque, politique), de l’importance croissante donnée à l’anglais à la mythologie sociale américaine, du débordement de commentaires sur les festivals de Deauville et de Cannes à l’importance délirante des cérémonies du Débarquement, au rôle de Canal+ et des séries télé qui acclimatent les jeunes esprits toujours davantage à l’univers social californien pendant qu’on leur présente la province, les traditions, l’Histoire de France, etc., comme ringardes, odieuses et criminelles.

Donc, témoignage, parce que je suis issu du sérail, Jésuites de Paris, Sainte-Croix de Neuilly, préparation de l’École normale à Henri-IV comme Macron, Sciences Po dans les mêmes années que Ségolène Royal, Hollande, etc., Neuilly-sur-Seine pour avoir été résident sous Sarkozy. Témoignage, parce que j’ai longtemps vécu aux États-Unis parmi les décideurs californiens qui nous méprisaient en 1990, et qui étaient contents de voir combien nous étions faciles à rouler dans la farine (Messier).

Mais surtout témoignage, parce que pour survivre dans la presse (Le Figaro) et dans l’édition au creux des années de cette sourde, de cette constante trahison nationale que nous venons de vivre, il fallait soit être fortuné au départ, soit être habile comme une anguille. Je n’étais ni l’un ni l’autre. Je n’avais pas un rond et je n’ai pas été assez menteur pour me prévaloir de l’amitié de Frédéric Mitterrand quand il l’aurait fallu. J’ai renvoyé la médaille des Arts et Lettres à Jack Lang. Aucun de mes livres ne raconte ce qu’il fallait, c’est-à-dire l’histoire d’une jeune fille méritante dans un bidonville. L’ennui, c’est que tous les gens influents, les gens qui décernent les prix, qui commentent vos articles dans les journaux, qui dirigent les pages littéraires, sont des gens qui ont épousé le versant américain de l’intelligence pendant les années 90, c’est-à-dire planétarisme économique, tiers-mondisme esthétique (Le Clézio), littérature déjantée (Despentes), etc. Vous vous retrouvez donc à soixante ans étranger à votre pays, à sa syntaxe (cf. celle de Hollande), à sa population, à ses valeurs, à son défaut d’humanisme (cf. les gens « qui ne sont rien »), à sa littérature, placée sous label « Cultura », qui hésite entre Guillaume Musso et Christine Angot. Il est temps de dire que rien de tout cela n’est la France, et que la France, la vraie, l’autre, va sortir de prison furieuse pour demander des comptes.

Qu’appelez-vous « la France de Neuilly » ?

La fausse. La France qui parle des « sans-dents » et qui trouve qu’il y a des gens qui ont réussi et d’autres qui « ne sont rien ». La phrase de Séguéla sur les gens qui ont une Rolex après cinquante ans, et qui seuls pouvaient se prévaloir d’avoir réussi, était du même acabit. Eh bien, la France de Neuilly, c’est ça. Un ensemble d’intérêts financiers, culturels, politiques, qui s’est constitué sous nos yeux à l’avènement de Giscard. J’avais vingt ans, j’étudiais à Sciences Po, je payais mes études en faisant le pion dans un collège de Neuilly face au lycée Pasteur.
C’était l’époque où les bébés requins de la Mitterrandie sortaient du vivier. On les voyait très bien par la vitre de l’aquarium, c’étaient les membres de la future bande du Splendid, qui ont démarré dans un garage en s’appelant « mec » et « nana », qui ont laminé le paysage humoristique français, ringardisé la vieille France, organisé un énorme dîner de cons dont nous avons été les convives, pour finir richissimes, repus, propriétaires à Londres ou à Saint-Barth. Ils côtoyaient François Hollande, qui lui-même côtoyait Jacques Attali, qui lui-même côtoyait Sarkozy et, des années plus tard, ça donne Christine Albanel, ministre de la Culture, assistant à la première des Bronzés 3, le film le plus sinistre de la décennie, qui montre le naufrage moral d’une génération entière. Ce soir-là, cette malheureuse représentait l’État français face au pire de ce qu’on pouvait montrer du pays et elle souriait sur la photo comme une idiote.
La déconne entre copains, ce n’est pas une culture, et c’est sinistre quand ça finit sous les bombes. La France de Canal+, celle qui a laminé le langage et la morale en moins de vingt ans, est sortie de ce marais sociologique. La France de Neuilly, c’est ça. Le socialisme qui fait de la psychanalyse, des sketches, du pognon, des centres commerciaux et des « entrées ».

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De l’autre côté, il y a une autre France qui passe des doctorats, qui écrit des biographies, qui monte des pèlerinages, des sociétés savantes, des restaurations d’églises, des concerts d’été, qui ne voyage pas beaucoup et qui ne dit pas un mot en anglais toutes les deux phrases. Et qui n’a guère d’argent.

La France de Neuilly, c’est celle qui va s’effondrer grâce à Emmanuel Macron, le produit le plus monstrueux de cette frange de population qui repose sur l’écume de la prospérité. Elle ne veut rien connaître des mouvements qui agitent l’océan en profondeur, elle pense qu’on réécrit l’Histoire, qu’on commande aux éléments, elle a bradé nos biens à nos ennemis déguisés en alliés, elle ignore qu’elle sera balayée à la première tempête sérieuse, et pourtant c’est écrit.

En tout cas, moi, je l’ai écrit.

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Les bons voeux de la république.

bons voeux de mon député

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Comme tous les ans, je reçois les bons voeux de mon député. Chaque année, j’ai l’impression que le niveau d’immersion des populations dans la glue la langue de bois (ou Novlangue) monte, monte … Cette année, c’est résolument l’instauration d’une dictature sémantique TOTALE, je n’exagère pas, vous allez le voir …

Jugez plutôt :

« La république, c’est nous, la république c’est tout  » … (sic : agrandir les images ci-dessous)

TOUT !

Enfin quoi, pourquoi faire petit, mesquin ? Tout, on vous dit … Tout ! Dieu lui même, et son cosmos infini en son entier sans doute, sont LA REPUBLIQUE !! Bon sang, mais c’est bien sûr ! La république « universelle », au sens propre : étendue aux limites de l’Univers !

« Ils » sont en plein delirium cette fois-ci ! 

En tout cas le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils ne manquent pas d’air !

Je me suis donc fendu d’une petite réponse car ça dépasse un peu les bornes du simple bon sens, me semble-t-il ….

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« A Monsieur Charasse, député de la nation.

Celà fait des années que vous m’envoyez les voeux « de la république » dans ma boîte aux lettres et aux frais de la princesse.

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bons voeux de mon député

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bons voeux de mon député

Cette année, je tenais à vous répondre, car pour moi, comme pour beaucoup, la coupe de la république est pleine…

« La France est une idée » dites-vous ! Car, en effet, vous vivez dans l’idéologie, et notre problème est bien là !

Permettez-moi de penser que vous (et vos pairs en idéologie) faites une tragique erreur aux conséquences des plus funestes: La France, jadis un des pays du monde les plus brillants, les plus spirituels, les plus respectés est devenu un pays de seconde zone, endetté jusqu’à l’os auprès de vos bons amis les banquiers trans-nationaux, barbottant dans la décadence sans nom que vous lui infligez, empli de confusion, de conflits, de factions … Tout ceci en plus ou moins deux-cents ans… Félicitations, mais …

… Dites-moi, Monsieur le député, est-ce « une idée » qui remplit votre assiette tous les jours ou bien un de ces nombreux paysans que la ruine accule au suicide tous les jours ? Sont-ce des « idées » que toutes ces cathédrales, ces clochers, ces châteaux, ces terroirs, jadis prospères, et que le monde entier vient admirer tous les ans ?

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Cathedrale de Reims Domenico_Quaglio_(1787_-_1837)

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Non évidemment ! C’est une terre, c’est un peuple. Et le génie de ce peuple plonge ses racines dans deux-mille ans d’Histoire. La France était une Civilisation, la « république » l’a quasi-anéantie en deux petits siècles, deux guerres mondiales agrémentées « d’une des plus belles idées des derniers siècles » (re-sic) !

La vérité c’est qu’une partie croissante des Français ne croit plus à vos fables maçoniques qui ne sont que crime contre votre propre peuple.

Vous êtes d’ailleurs obligés d’employer la coercition et la censure pour en assurer la pérénité (Procès d’Eric Zemmour, criminalisation parfaitement grotesque de vos opposants politiques, comme on l’a vu aux dernières élections régionales, loi liberticide Fabius-Gayssot muselant la recherche historique, traque croissante des sites internet qui ne sont pas « conformes » à votre idéologie, etc).

Vous avez dupés les Français depuis bien trop longtemps. Ils se réveillent. Du moins, on peut l’espérer.
Soljenitsyne avait un jour écrit que les dissidents seraient bientôt, non plus à L’Est, mais à l’Ouest…

Nous y sommes.

Votre cauchemard idéologique, ferment de guerre civile, nie la réalité charnelle et historique de notre pays que nos rois avaient eu, naguère, le prodigieux génie d’unifier en une seule et grande famille: la France.

La république n’a, pour sa part, apporté que crimes abjects, divisions (pour mieux régner ?) en « partis », factions et fractions, sectes diverses et opposées. Et que dire du rôle de cette « franc-maçonnerie » liée aux réseaux encore moins recommandables du veau d’or et de l’argent-roi, et agissant dans l’ombre, véritable clergé occulte de la république, qui décide de façon totalement anti-démocratique des orientations politiques et sociales en lieu et place de soixante millions de personnes.

Que cachent donc ces « tenues fermées » de si terrible, à la vue de tous ?

Ce qui est bon et sain ne craint pas la lumière de l’agora, que l’on sache !

Sa responsabilité est également extrêmement lourde d’avoir fait entrer l’islam en terre chrétienne, pour mieux en finir sans doute avec la religion d’amour du Christ que les vôtres haïssent ?
Elle a enclenché, ce faisant, une machine infernale.
L’Histoire sera sévère un jour avec cette « république » et la jugera, n’en doutons pas.

Heureusement, non, Monsieur le député, la république ce n’est pas « nous », les sans-dents, qui faisons la France au quotidien et payons encore pour quelques temps, bons princes, vos indemnités et vos crachats sur « la France d’en bas », et … non, la république n’est pas « tout » non plus … Dieu, merci ! « 

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Philippe de Villiers : « J’ai vu s’agiter la crapaudaille… »

"Il est temps de dire ce que j'ai vu."

C’est à TVLibertés que Philippe de Villiers a consacré son plus long entretien après la parution de son livre best-seller intitulé « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu ».

Débarrassé de son statut d’homme politique, il parle sans filtre, sans volonté de plaire mais avec la ferme intention de convaincre. Le message qu’il assène avec la force d’un dissident doit être écouté et…entendu.

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Autre entretien paru le 28 Octobre 2015 sur Reinformation.tv :

« Qu’est ce qui va nous rester ? Ils ont défigurés nos paysages, ils ont tué tous les indépendants, les paysans, les artisans, les commerçants, les pêcheurs… Aujourd’hui, nous sommes face à deux menaces simultanées : l’américanisation du monde qui est en même temps la marchandisation du vivant, le corps vénal et l’islamisation du monde. La France va devenir une république islamique… ».

Son dernier livre « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu » sorti chez Albin Michel est en train de devenir un énorme succès littéraire. Il aurait déjà dépassé les 100.000 exemplaires à ce jour et irait sur les brisées du livre d’Eric Zemmour – « Le suicide français » – Eric Zemmour que nous avions interviewé l’année dernière.

Un entretien exceptionnel:

S’il a déjà répondu aux questions des journalistes de la sphère parisienne, c’est dans l’intimité de son bureau au Puy du Fou, en Vendée, que Philippe de Villiers a accordé à Réinformation Tv un entretien exceptionnel. Il se livre à nos questions, sans masque, sans ambiguïté comme il ne l’a sans doute encore jamais fait devant une caméra.

“Le moment est venu de dire ce que j’ai vu”

Dans cet entretien, il nous parle de l’islamisation à venir de la France, de son dégoût pour la politique : « Je les ai vu tricher, je les ai vu mentir » nous a-t-il expliqué. Il nous révèle ce jour où notamment, alors député européen, il se retrouve par hasard dans un salon du Parlement de Strasbourg, assistant à une réunion de la Trilatérale… organisation privée, crée en 1973, à l’initiative des principaux dirigeants du Groupe Bilderberg (dont Rockefeller, le plus « célèbre ») et regroupant des personnalités du monde politique, économique, financier et médiatique et dont le but est d’établir un Nouvel Ordre Mondial, s’appuyant sur la disparition des souverainetés et des Etats.

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Pourquoi je n’embaucherai pas Marcel…

RPF-ENA

J’ai trouvé ce texte remarquable de Jacques Clouteau.
Tout y est concernant le travail et le côté économique des choses dans notre pauvre pays, tombé aux mains de cette caste de sous-produits de soviets, acoquinés aux banquiers cosmopolites, (encore) maitres du monde : 
 » Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel  » …
 
 
 » Mon nom est Alcide Repart, j’ai 53 printemps au compteur de ma vie. Après de nombreuses années passées en Autralie, je suis revenu voici quelques mois afin de reprendre la petite entreprise de mon père, qui était fabricant de brouettes. Chacun se souvient de ce célèbre slogan des années 1960 « Quand toutes les autres s’arrêtent, seule la brouette Repart… »
 
En fin d’année 2014, j’ai mis au point une nouvelle brouette, plus légère et plus stable, avec laquelle je pense augmenter mon revenu, qui sinon demeurera bien modeste. Si les ventes suivent, je ne pourrai pas assumer seul la fabrication, et il me faudra embaucher un compagnon dans l’atelier. J’avais pensé demander à Marcel, qui est un brave gars du village et qui recherche justement du travail. Mais ne connaissant rien aux lois françaises, car je suis resté longtemps loin du pays, j’ai parlé avec des amis artisans, je suis allé à la chambre des métiers, j’ai consulté internet, et je vais vous expliquer pourquoi je n’embaucherai pas Marcel.
 
Je pensais donner à Marcel 100 euros par jour, s’il me fabrique quatre brouettes. Enfin moi je peux en construire quatre, parce que je ne compte pas mes heures. Mais j’ai appris qu’une loi interdisait de faire travailler un employé plus de sept heures. Alors je ne comprends pas pourquoi Marcel, travaillant moins que moi, et fabricant donc moins, gagnerait plus que moi sans avoir aucune responsabilité.
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas philanthrope.
 
Ces 100 euros journaliers, je comptais lui donner chaque vendredi soir, à l’issue de la semaine de travail, comme le faisait mon père autrefois, soit 500 euros tout rond s’il a travaillé du lundi au vendredi, et 400 euros si la semaine compte un jour férié. Mais j’ai appris que désormais, on devait payer les salariés chaque mois, ce qui est totalement niais vu que, chacun le sait bien, les mois n’ont pas le même nombre de jours et sont semés de jours fériés… Ce n’est peut-être pas la faute de Marcel, mais en tout cas pas de la mienne. Je ne vois pas pourquoi je lui donnerais la même somme en février qu’en janvier, car mon père m’a toujours appris qu’à tout salaire doit d’abord correspondre un travail.
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas une banque chargée de compenser les bosses du calendrier.
 
Je croyais aussi qu’il suffisait de lui donner cet argent, et de le déclarer aux Impôts, pour être en règle avec la loi. Mais j’ai appris qu’il fallait écrire un bulletin, avec une bonne vingtaine de lignes, et prendre à Marcel, sur l’argent que je lui dois, un certain pourcentage, pour aller le donner à une palanquée d’organismes divers aux noms exotiques : Urssaf, pôle emploi, etc… Sur les 500 euros hebdomadaires que je comptais donner à Marcel, une fois servis ces organismes, il lui en restera moins de la moitié. J’ai objecté qu’alors, il ne pourrait pas vivre. On m’a répondu que certes il ne vivrait pas bien du tout, mais que par contre il était assuré contre tous les accidents de la vie : la maladie, la vieillesse, les coupures de doigts, la maternité (pour ceux qui n’ont pas suivi, Marcel est un mâle…), le chômage, la petite et la grande vérole (la petite c’est en standard, mais la grande c’est avec supplément), la grippe espagnole, et même le décès… Alors j’ai dit que tout ça était idiot, puisque Marcel pouvait très bien s’assurer lui-même pour ce qu’il voulait et que sa vie privée ne me regardait pas. En outre son grand-père possède un joli vignoble, donc il ne sera jamais dans le besoin en cas de chômage car il héritera bientôt de cette vigne. En outre sa grand-mère va lui léguer deux ou trois maisons qu’il pourra louer, donc cotiser pour la retraite ne servira à rien. En outre cotiser pour le décès ne veut rien dire non plus puisqu’il est célibataire et que s’il meurt il ne pourra toucher cet argent.
Et enfin j’ai argué que je ne comprenais rigoureusement rien à leurs paperasses et que j’avais autre chose à faire le soir, après avoir assemblé mes quatre brouettes, que de remplir des papiers et faire des chèques pour des risques qui ne me concernaient pas. On m’a méchamment répondu que c’était comme ça la solidarité en France depuis la guerre et que c’était pas autrement, et que si je ne payais pas tout ça on me traînerait devant une cour de justice et on me prendrait cet argent de force.
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas scribouillard et redistributeur d’argent. Et que la nuit, j’ai besoin de me reposer. Et que, pour avoir donné un travail à quelqu’un de mon village, je ne veux pas courir le risque de finir devant un tribunal.
 
 
 
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J’ai toutefois demandé ce qui se passerait, si j’étais assez fou pour m’occuper de ces problèmes, au cas où Marcel se trouverait immobilisé par une brutale lombralgie après avoir riveté toute la journée. Avec un tel montant de cotisations, je ne doutais pas que Marcel fut choyé comme un prince, et que ladite assurance me fournirait prompto un Marcel bis pour continuer le travail. On m’expliqua alors que Marcel percevrait 80% de son salaire, puisque ce n’était pas de sa faute s’il était sans revenu, mais que moi, par contre, je devrais fournir les 20% restant, soit quasiment 300 euros par mois, jusqu’à ce que le Rhône se jette dans l’Euphrate, au nom d’une mystérieuse convention signée autrefois par une secte très occulte qu’on appelle partenaires sociaux. J’objectai que si Marcel avait une lombralgie, ce n’était pas ma faute non plus et que son assurance n’avait qu’à s’en occuper (c’est d’ailleurs à ça que ça sert, une assurance…). Et que si moi, je devais construire encore plus de brouettes pour payer ces 300 euros, c’est moi qui aurais la colonne vertébrale en quenouille. On me rétorqua alors que je n’aurais droit à rien du tout, vu que la colonne vertébrale d’un patron, c’était son problème à lui et pas celui de la solidarité nationale.
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas assureur ni réassureur. Et que si je travaille, comme la majorité des gens, c’est pour moi, et pas pour les autres.
 
Je me suis aussi inquiété de ce que je ferais de Marcel si mes brouettes ne se vendent plus un jour et si je dois me séparer de lui. On m’a alors imprimé un document décrivant par le menu la procédure de licenciement. Je l’ai lue trois fois, avant d’abandonner. J’ai seulement compris que Marcel serait payé à ne rien faire un certain nombre de mois, et que l’argent pour le payer à ne rien faire sortirait de ma poche, alors même que je n’aurais plus de rentrées. Et pour pimenter la sauce, il faudrait que je lui verse une indemnité de licenciement, au moment où l’entreprise n’aurait plus d’argent, et moi les poches vides et plus de boulot…
J’ai objecté que si les clients ne veulent plus de mes brouettes, ce n’est bigrement pas ma faute, et que s’ils ne les achètent plus, je n’ai donc plus de trésorerie, donc je ne vois pas, sauf à puiser dans mes économies, comment je pourrais rémunérer Marcel, qui ne fabrique plus, avec de l’argent que je n’ai pas. On m’a rétorqué que un contrat c’est un contrat, et que je dois le respecter et qu’un patron se doit de fournir à ses salariés un minimum de sécurité. A quoi j’ai répondu ne pas comprendre comment je pourrais fournir à Marcel une sécurité que moi je n’aurai jamais… Je leur susurrai aussi que si je voulais embaucher Marcel, c’était pour lui donner un travail, pas pour lui assurer un salaire…
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas nounou sociale.
 
 
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Un monsieur, se prétendant contrôleur du travail, avec des mains bien trop blanches pour savoir vraiment ce qu’était le travail, est venu visiter l’atelier de mon père. Il a poussé des cris de chouca en rut devant l’emboutisseuse, hurlant qu’elle n’était pas aux normes, et que si je mettais un employé devant cette machine, j’irais droit en prison. J’ai répondu que mon père avait travaillé 40 ans sur cette machine vénérable, et qu’il était seulement mort d’être trop vieux. Que de toute façon je n’avais pas le premier sou pour acquérir une nouvelle emboutisseuse, et qu’il y avait mille autres possibilités pour se blesser dans un atelier que d’aller mettre la main sous cette satanée machine.
Voilà pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas ange gardien.
 
Puis un jour, quelques mois après mon retour en France, un gentil courrier m’a annoncé que j’allais devoir, moi aussi, donner plus de la moitié de mon bénéfice, après avoir rémunéré Marcel, afin de bénéficier d’une protection sociale contre une montagne de calamités (curieux le lapsus légal qui vous fait bénéficier de choses diverses avec votre propre bénéfice…). J’ai décliné l’invitation, puisque j’avais, durant ma vie dans le Pacifique, économisé suffisamment pour être à l’abri. On m’a répondu que la protection, dans le doux pays de France, n’était pas une option personnelle, mais obligatoire, sous peine des pires sanctions financières et même de la prison.
Voilà pourquoi je ne vais sans doute pas continuer l’entreprise, et donc pourquoi je n’embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas un coffre-fort où vont puiser des gens que je ne connais pas pour me garantir des choses dont je n’ai nul besoin.
 
A cet instant de mes réflexions sur l’avenir de cette petite entreprise familiale, j’ai regardé l’allure des bâtiments où créchaient ces gens qui voulaient ma peau, je les ai trouvés tristes et laids. J’ai regardé la tête des employés de ces machines bureaucratiques auxquelles je m’adressais, je les ai trouvés déprimés et déprimants, j’ai regardé les imprimés que j’avais reçus, je les ai trouvés illisibles et incompréhensibles. Et j’ai pensé à mon grand-père et à mon père, fiers de leurs brouettes et heureux de satisfaire leurs clients. J’ai pensé au rêve que j’avais, en revenant en France, de retrouver ce bonheur simple durant une dizaine d’années, avant de goûter aux joies de la pêche à la ligne. Je me suis demandé pour quelles obscures raisons j’irais me crever le derrière pour faire vivre cette armée de parasites et entretenir un système qui est à l’absolu opposé de mes valeurs les plus sacrées. Parce que, voyez-vous, le travail a toujours été pour moi synonyme de bonheur. Et ce bonheur-là, tous ces organismes en ont fait un bagne…
 
Le problème dans tout ça, c’est que nous sommes cinq millions de petits artisans dans ce pays qui n’embaucherons pas Marcel… C’est ballot, n’est-ce pas… Mais après tout est-ce vraiment un problème ? Ne pas embaucher Marcel, ça fera plein de boulot pour les assistantes sociales, les pôlemployistes, les distributeurs de revenus minima, et bien sûr les fabricants de brouettes chinoises… Et la France, vue d’Australie, passera encore un peu plus pour le dernier pays communiste d’Europe de l’ouest.
 
 
 
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Quant à Marcel, il se demandera longtemps pourquoi je ne l’ai pas embauché. Il se trouvera bien quelques bonnes âmes pour lui susurrer que les patrons sont tous les mêmes, ils préfèrent se dorer la pilule dans le Pacifique que de jouer en France un rôle social de solidarité. Je n’ai jamais voulu jouer de rôle social, moi, parce que, voyez-vous, je suis un simple constructeur de brouettes… Et les autres, là-haut, les hauts fonctionnaires qui savent tout sur tout alors qu’ils n’ont jamais travaillé de toute leur vie (dans le sens où mon père entendait le mot « travail »), ils se demanderont longtemps pourquoi je suis reparti. Pas le temps de leur expliquer… Si à Bac+20 ils n’ont toujours pas compris, il est définitivement trop tard…
 
Dans quelques jours, je vais cesser de riveter des brouettes et je vais repartir dans le bush australien. Je vais fermer la porte du vieil atelier, qui a fait vivre ma famille pendant deux générations, et jeter la clé dans la rivière. J’aime toujours ce pays où je suis né, mais je n’ai pas le courage d’apprendre à devenir aussi abruti que ceux qui le dirigent aujourd’hui. »
 
 
 
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Dette, crise, chômage : qui crée l’argent ?

comment fonctionne la monnaie ?

 

La monnaie fait partie de notre quotidien. Elle est au cœur de nos économies : elle permet les échanges des biens et des services.


 


Pourtant, personne ne sait vraiment qui la fabrique, ni comment elle fonctionne. En partant de ce que tout le monde connait, ce document explique les fondements des systèmes monétaire et bancaire, et en décrypte certaines conséquences. Car c’est bien l’incompréhension du système monétaire par la majorité des citoyens, des journalistes, des politiciens et de nos élites au sens large, qui permet à la finance et aux banques de régner sans entraves.
Ce document citoyen n’a aucune couleur politique. Par des exemples simples, didactiques, il décrit les mécanismes bancaires peu connus, énonce des faits et matérialise des liens avec les principaux enjeux de notre temps. Il débouche sur une critique des systèmes financier, politique et médiatique, et se termine par des objectifs et alternatives fondamentaux pour le monde de demain.
Avec la supervision de deux spécialistes du domaine que sont Gérard Foucher et André Jacques Holbecq, tous deux auteurs de nombreux ouvrages sur le système monétaire, ainsi que des analyses techniques précises comme celle de Jean Bayard, Gabriel RABHI a mit à profit ses compétences en imagerie. La sélection des informations et des principes à exposer, leur simplification sans induire d’erreurs, ainsi qu’une orientation critique de la création monétaire a nécessité six mois de travail.A diffuser largement sous toute forme utile. A faire publier par les blogs et les sites de réinformation …
 
 
 
 
D’autres vidéos, extraits, informations, bibliographie et liens :
 
 
 
 
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